Linux est un logiciel pour les grosses sociétées.
Le public, les novices comme vous dites , les mécréants de linux et bien ces
rebus représentent 95% des utilisateurs d'informatique et sont à windows.
Pourquoi?
Parce que l'ordinateur que l'on vient d'acheter est sûr de fonctionner.
Quand on le dit à des personnes de la communauté Linux on est renvoyé dans
un mépris le plus total.
A ceux qui consacrent leur temps à linux, c'est tout en leur honneur, vous
pouvez encore gagner la guerre contre Microsoft. A une seule condition celle
de servir les nouveaux arrivant qui essayent linux avec leur nouveau
matériel. Car les nouveaux venus n'ont absolument pas le temps de ce
consacrer à la configuration profonde de leur logiciel. C'est comme la
majorité des conducteurs de voitures , ils ignorent ce qu'il y a sous le
capot et quand bien même il s'y interressent et bien le temps qu'il leur
reste après le boulot, il le consacre à d'autres chose qu' à une pétoire.
La seule chose qui sauvera Linux est une installation sans défaut des
composants de base d'un ordinateur.C'est loin d'être le cas.
A quand un sites facilement accéssible, sans nom bizarroïdes, du matériel
compatible avec les différentes distributions Linux.
Un tel site fiable mis à jour et bien placé fera faire un bon énorme au
logiciels libres en facilitant les migrations.
En ce qui concerne les virus, plus généralement la sécurité que la
communauté ne fasse pas trop le fanfaron. C'est un problème majeur même pour
Linux si la communauté le méprise, elle est cuite d'avance. Comme disait un
général français méprisé en 1940 aucune forteresse n'est imprenable.
Salut à tous de la part de quelqu'un qui n'a que peu de temps à consacrer à
l'informatique mais qui à besoin d'un ordinateur pour d'autres affaires.
Michel Talon, dans le message <e740dq$1qlb$, a écrit :
Si les divergences sont trop fortes, par exemple passage du noyau 2.4 au 2.6 alors il faut une adaptation, mais il y a eu tout le temps pour la
Pour toi, entre le 2.6.10 et le 2.6.11, c'est une divergence trop forte ? Parce que le driver nvidia a mis plusieurs jours, voire même plusieurs semaines, à être compilable avec le 2.6.11, alors même que cette release corrigeait un trou de sécurité important.
Je ne suis pas au courant. j'ai vu le problème se poser entre le 2.4 et le 2.6.
Accessoirement, il n'y a pas que la dépendance au noyau, il y a la dépendance au serveur X11, et là, même si les versions sont plus rares, les changements sont aussi plus importants.
C'est possible, mais de fait il m'est arrivé de compiler un driver Matrox pour FreeBSD et xorg, avec le module mga_hal binaire que j'avais trouvé sur le site Matrox pour Linux-XFree86 des années avant et ça a marché. Donc il n'y a pas de quoi être nécessairement si pessimiste. Entre parenthèse même Matrox utilise un blob binaire si on veut avoir un fonctionnement un peu décent. Il reste donc quelques chips Intel intégrés et le chip de la carte Via Epia qui ont un driver libre fonctionnel, grosso modo.
--
Michel TALON
Nicolas George <nicolas$george@salle-s.org> wrote:
Michel Talon, dans le message <e740dq$1qlb$2@asmodee.lpthe.jussieu.fr>,
a écrit :
Si les divergences sont trop fortes, par exemple passage du noyau 2.4
au 2.6 alors il faut une adaptation, mais il y a eu tout le temps pour la
Pour toi, entre le 2.6.10 et le 2.6.11, c'est une divergence trop forte ?
Parce que le driver nvidia a mis plusieurs jours, voire même plusieurs
semaines, à être compilable avec le 2.6.11, alors même que cette release
corrigeait un trou de sécurité important.
Je ne suis pas au courant. j'ai vu le problème se poser entre le 2.4 et le 2.6.
Accessoirement, il n'y a pas que la dépendance au noyau, il y a la
dépendance au serveur X11, et là, même si les versions sont plus rares, les
changements sont aussi plus importants.
C'est possible, mais de fait il m'est arrivé de compiler un driver Matrox pour
FreeBSD et xorg, avec le module mga_hal binaire que j'avais trouvé sur le site
Matrox pour Linux-XFree86 des années avant et ça a marché. Donc il n'y a pas
de quoi être nécessairement si pessimiste. Entre parenthèse même Matrox
utilise un blob binaire si on veut avoir un fonctionnement un peu décent. Il
reste donc quelques chips Intel intégrés et le chip de la carte Via Epia qui
ont un driver libre fonctionnel, grosso modo.
Michel Talon, dans le message <e740dq$1qlb$, a écrit :
Si les divergences sont trop fortes, par exemple passage du noyau 2.4 au 2.6 alors il faut une adaptation, mais il y a eu tout le temps pour la
Pour toi, entre le 2.6.10 et le 2.6.11, c'est une divergence trop forte ? Parce que le driver nvidia a mis plusieurs jours, voire même plusieurs semaines, à être compilable avec le 2.6.11, alors même que cette release corrigeait un trou de sécurité important.
Je ne suis pas au courant. j'ai vu le problème se poser entre le 2.4 et le 2.6.
Accessoirement, il n'y a pas que la dépendance au noyau, il y a la dépendance au serveur X11, et là, même si les versions sont plus rares, les changements sont aussi plus importants.
C'est possible, mais de fait il m'est arrivé de compiler un driver Matrox pour FreeBSD et xorg, avec le module mga_hal binaire que j'avais trouvé sur le site Matrox pour Linux-XFree86 des années avant et ça a marché. Donc il n'y a pas de quoi être nécessairement si pessimiste. Entre parenthèse même Matrox utilise un blob binaire si on veut avoir un fonctionnement un peu décent. Il reste donc quelques chips Intel intégrés et le chip de la carte Via Epia qui ont un driver libre fonctionnel, grosso modo.
--
Michel TALON
Stéphane Zuckerman
On Mon, 19 Jun 2006, helios wrote:
si c'est celui à qui je penses il n'a jamais ete general mais colonel (les galons de general il se les a mis lui meme) et monarchiste et non republicain ensuite sa carriere militaire est plutot bizarre
Il a été nommé général à titre temporaire, et c'est un temporaire qui s'est transformé en permanent quand la 2nde GM a éclaté.
-- "Je deteste les ordinateurs : ils font toujours ce que je dis, jamais ce que je veux !" "The obvious mathematical breakthrough would be development of an easy way to factor large prime numbers." (Bill Gates, The Road Ahead)
On Mon, 19 Jun 2006, helios wrote:
si c'est celui à qui je penses il n'a jamais ete general mais colonel (les
galons de general il se les a mis lui meme) et monarchiste et non
republicain
ensuite sa carriere militaire est plutot bizarre
Il a été nommé général à titre temporaire, et c'est un temporaire qui
s'est transformé en permanent quand la 2nde GM a éclaté.
--
"Je deteste les ordinateurs : ils font toujours ce que je dis, jamais ce
que je veux !"
"The obvious mathematical breakthrough would be development of an easy
way to factor large prime numbers." (Bill Gates, The Road Ahead)
si c'est celui à qui je penses il n'a jamais ete general mais colonel (les galons de general il se les a mis lui meme) et monarchiste et non republicain ensuite sa carriere militaire est plutot bizarre
Il a été nommé général à titre temporaire, et c'est un temporaire qui s'est transformé en permanent quand la 2nde GM a éclaté.
-- "Je deteste les ordinateurs : ils font toujours ce que je dis, jamais ce que je veux !" "The obvious mathematical breakthrough would be development of an easy way to factor large prime numbers." (Bill Gates, The Road Ahead)
talon
Emmanuel Florac wrote:
Ben voilà, au fait c'est sur quelle partie que tu n'étais pas d'accord ? :)
Non pas sur sur le résultat mais sur l'argument d'autorité.
--
Michel TALON
Emmanuel Florac <eflorac@imaginet.fr> wrote:
Ben voilà, au fait c'est sur quelle partie que tu n'étais pas d'accord ? :)
Non pas sur sur le résultat mais sur l'argument d'autorité.
Ben voilà, au fait c'est sur quelle partie que tu n'étais pas d'accord ? :)
Non pas sur sur le résultat mais sur l'argument d'autorité.
--
Michel TALON
talon
Jerome Lambert wrote:
Tu bottes en touche, là. Alors que répondre face à des questions style "comment éditer avec Gimp une image intégrée dans un document OpenOffice?" ou "comment faire en sorte qu'Evolution se lance quand on clique sur un lien mailto: dans Firefox?", le bien sûr sans passer des plombes à bidouiller...
Tu vois j'ai beau ne pas utiliser gnome, j'ai quand même découvert ça, pas mal de ces défauts se règlent dans gnome-control-center, en particulier pour firefox et thunderbird comme browser ou mailer par défaut dans d'autres applications de la famille gnome.
--
Michel TALON
Jerome Lambert <jerome.lambert@swing.be> wrote:
Tu bottes en touche, là. Alors que répondre face à des questions style
"comment éditer avec Gimp une image intégrée dans un document
OpenOffice?" ou "comment faire en sorte qu'Evolution se lance quand on
clique sur un lien mailto: dans Firefox?", le bien sûr sans passer des
plombes à bidouiller...
Tu vois j'ai beau ne pas utiliser gnome, j'ai quand même découvert ça, pas
mal de ces défauts se règlent dans gnome-control-center, en particulier
pour firefox et thunderbird comme browser ou mailer par défaut dans d'autres
applications de la famille gnome.
Tu bottes en touche, là. Alors que répondre face à des questions style "comment éditer avec Gimp une image intégrée dans un document OpenOffice?" ou "comment faire en sorte qu'Evolution se lance quand on clique sur un lien mailto: dans Firefox?", le bien sûr sans passer des plombes à bidouiller...
Tu vois j'ai beau ne pas utiliser gnome, j'ai quand même découvert ça, pas mal de ces défauts se règlent dans gnome-control-center, en particulier pour firefox et thunderbird comme browser ou mailer par défaut dans d'autres applications de la famille gnome.
--
Michel TALON
totof01
Je répond en tant qu'utilisateur d'environnement alternatif
Mais je trouve que, même pour l'utilisateur de ces bureaux "alternatifs ", la qualité d'utilisation n'est pas terrible, concernant l'interopérabili té, la cohérence et la cohésion. En effet, je connais certains utilisateurs de ces bureaux, qui les plébiscitent surtout pour leur légéreté. Mais ex cepté cette capacité à tourner sur des machines anciennes... En quoi ça te concerne ? Parce que pour toi, KDE ou Gnome te
conviennent alors ça devrait convenir à tout le monde?
En regardant leur bureau, qu'est ce que je constate ? Par exemple : un Xt erm (ou Rxvt, Eterm...), un emacs (ou Vi, Nano...), un Firefox, un xmms, un xchat, une fenêtre OpenOffice, un xpdf, un gv, un xdvi, un mutt... tout ça au milieu d'applets XFCE ou WindowMaker... Ne parlons pas de l'incohére nce visuelle, ce n'est pas le plus important. Mais parlons de l'incohérence ergonomique : En tant qu'utilisateur de bureau alternatif, je m'en fiche.
dans toutes ces applications, les items des menus se trouvent-ils au même endroit ? on s'en fiche.
les raccourcis claviers sont-ils les mêmes ? on s'en fiche
comment faire pour qu'un fichier .pdf ou .ps trouvé sur Internet s'ouvre dans Firefox (simplement, sans bidouiller la configuration de Firefox) ? on s'en fiche. De plus c'est pas une bidouille, c'est prévu par
firefox. C'est fait une fois pour toutes.
Je trouve un lien avec une adresse de courriel, et je voudrais répondre av ec mutt comme client... Comment faire (simplement, encore sans bidouiller la configuration de Firefox) ? on s'en fiche.
Et la liste des questions est longue... la réponse sera la même
Parlons aussi de l'interopérabilité entre ces applications, toutes écrites par des équipes différentes, avec des toolkits différents et aucune API en commun : elle est quasi inexistante (sauf peut être des choses comme le clic du bouton du milieu de la souris). Et ou est le problème? En tant qu'utilisateur de bureau alternatif,
cette interopérabilité n'entre pas dans mes critères de choix.
Au contraire, regardons un bureau KDE ou Gnome (je prendrais KDE car c'est celui que je connais le mieux) : une IHM cohérente, une apparence cohérente, et surtout une interopérabilité et une intégration pre sque totale des applications entre elles ! Je m'en fiche, j'en ai pas besoin.
Ce n'est pas vraiment la faute des équipes travaillant sur ces bureaux "alternatifs" (que je trouve en fait courageux de se lancer dans cette aventure) : les "grands" bureaux comme KDE et Gnome contiennent des centaines d'applications, toutes avec une API commune, sont maintenus par des milliers de programmeurs, artistes, traducteurs, contributeurs qui travaillent dessus depuis, respectivement, 10 et 9 années. Si je n'ai pas besoin de ces centaines d'applis, ou si ces applis ne
correspondent pas à mes besoins, à quoi ça sert?
Les bureaux "alternatifs" ne peuvent tout simplement par rivaliser et se retrouvent ainsi à fournir seulement quelques applications, laissant les utilisateurs avec un bureau hétéroclite... A chacun son taf. Les concepteurs de bureau créent un bireau avec les
outils permettant d'uniformiser plus ou moins les applications. Les développeurs d'applis créent les applis, en utilisant (ou pas) les outils mis à leur disposition.
La question est alors : quel intérêt dans ces bureaux "alternatifs", excepté leur grande légéreté en consommation processeur et mémoire ? Ne pas avoir une usine à gaz rien que pour lancer quelques xterm et
une appli de supervision sur un serveur par exemple? Mais il doit y en avoir d'autres ....
C'est peut-être l'habitude des anciens systèmes UNIX, quand les ressources matérielles étaient trop limitées pour se permettre d'utiliser des "monstres" comme KDE et Gnome ? Hereusement que ces environnements alternatifs existent. L'informatque
ne se résume pas seulement à des machines de bureau ou à des serveurs. Y a aussi par exemple les PDA ou telephones portables, par exemple qui sauront tirer parti d'un environnement léger.
Je répond en tant qu'utilisateur d'environnement alternatif
Mais je trouve que, même pour l'utilisateur de ces bureaux "alternatifs ", la
qualité d'utilisation n'est pas terrible, concernant l'interopérabili té, la
cohérence et la cohésion. En effet, je connais certains utilisateurs de ces
bureaux, qui les plébiscitent surtout pour leur légéreté. Mais ex cepté
cette capacité à tourner sur des machines anciennes...
En quoi ça te concerne ? Parce que pour toi, KDE ou Gnome te
conviennent alors ça devrait convenir à tout le monde?
En regardant leur bureau, qu'est ce que je constate ? Par exemple : un Xt erm
(ou Rxvt, Eterm...), un emacs (ou Vi, Nano...), un Firefox, un xmms, un
xchat, une fenêtre OpenOffice, un xpdf, un gv, un xdvi, un mutt... tout ça
au milieu d'applets XFCE ou WindowMaker... Ne parlons pas de l'incohére nce
visuelle, ce n'est pas le plus important. Mais parlons de l'incohérence
ergonomique :
En tant qu'utilisateur de bureau alternatif, je m'en fiche.
dans toutes ces applications, les items des menus se
trouvent-ils au même endroit ?
on s'en fiche.
les raccourcis claviers sont-ils les mêmes ?
on s'en fiche
comment faire pour qu'un fichier .pdf ou .ps trouvé sur Internet s'ouvre
dans Firefox (simplement, sans bidouiller la configuration de Firefox) ?
on s'en fiche. De plus c'est pas une bidouille, c'est prévu par
firefox. C'est fait une fois pour toutes.
Je
trouve un lien avec une adresse de courriel, et je voudrais répondre av ec
mutt comme client... Comment faire (simplement, encore sans bidouiller la
configuration de Firefox) ?
on s'en fiche.
Et la liste des questions est longue...
la réponse sera la même
Parlons
aussi de l'interopérabilité entre ces applications, toutes écrites par des
équipes différentes, avec des toolkits différents et aucune API en commun :
elle est quasi inexistante (sauf peut être des choses comme le clic du
bouton du milieu de la souris).
Et ou est le problème? En tant qu'utilisateur de bureau alternatif,
cette interopérabilité n'entre pas dans mes critères de choix.
Au contraire, regardons un bureau KDE ou Gnome (je prendrais KDE car c'est
celui que je connais le mieux) : une IHM cohérente, une apparence
cohérente, et surtout une interopérabilité et une intégration pre sque
totale des applications entre elles !
Je m'en fiche, j'en ai pas besoin.
Ce n'est pas vraiment la faute des équipes travaillant sur ces
bureaux "alternatifs" (que je trouve en fait courageux de se lancer dans
cette aventure) : les "grands" bureaux comme KDE et Gnome contiennent des
centaines d'applications, toutes avec une API commune, sont maintenus par
des milliers de programmeurs, artistes, traducteurs, contributeurs qui
travaillent dessus depuis, respectivement, 10 et 9 années.
Si je n'ai pas besoin de ces centaines d'applis, ou si ces applis ne
correspondent pas à mes besoins, à quoi ça sert?
Les
bureaux "alternatifs" ne peuvent tout simplement par rivaliser et se
retrouvent ainsi à fournir seulement quelques applications, laissant les
utilisateurs avec un bureau hétéroclite...
A chacun son taf. Les concepteurs de bureau créent un bireau avec les
outils permettant d'uniformiser plus ou moins les applications. Les
développeurs d'applis créent les applis, en utilisant (ou pas) les
outils mis à leur disposition.
La question est alors : quel intérêt dans ces bureaux "alternatifs", excepté
leur grande légéreté en consommation processeur et mémoire ?
Ne pas avoir une usine à gaz rien que pour lancer quelques xterm et
une appli de supervision sur un serveur par exemple? Mais il doit y en
avoir d'autres ....
C'est
peut-être l'habitude des anciens systèmes UNIX, quand les ressources
matérielles étaient trop limitées pour se permettre d'utiliser
des "monstres" comme KDE et Gnome ?
Hereusement que ces environnements alternatifs existent. L'informatque
ne se résume pas seulement à des machines de bureau ou à des
serveurs. Y a aussi par exemple les PDA ou telephones portables, par
exemple qui sauront tirer parti d'un environnement léger.
Je répond en tant qu'utilisateur d'environnement alternatif
Mais je trouve que, même pour l'utilisateur de ces bureaux "alternatifs ", la qualité d'utilisation n'est pas terrible, concernant l'interopérabili té, la cohérence et la cohésion. En effet, je connais certains utilisateurs de ces bureaux, qui les plébiscitent surtout pour leur légéreté. Mais ex cepté cette capacité à tourner sur des machines anciennes... En quoi ça te concerne ? Parce que pour toi, KDE ou Gnome te
conviennent alors ça devrait convenir à tout le monde?
En regardant leur bureau, qu'est ce que je constate ? Par exemple : un Xt erm (ou Rxvt, Eterm...), un emacs (ou Vi, Nano...), un Firefox, un xmms, un xchat, une fenêtre OpenOffice, un xpdf, un gv, un xdvi, un mutt... tout ça au milieu d'applets XFCE ou WindowMaker... Ne parlons pas de l'incohére nce visuelle, ce n'est pas le plus important. Mais parlons de l'incohérence ergonomique : En tant qu'utilisateur de bureau alternatif, je m'en fiche.
dans toutes ces applications, les items des menus se trouvent-ils au même endroit ? on s'en fiche.
les raccourcis claviers sont-ils les mêmes ? on s'en fiche
comment faire pour qu'un fichier .pdf ou .ps trouvé sur Internet s'ouvre dans Firefox (simplement, sans bidouiller la configuration de Firefox) ? on s'en fiche. De plus c'est pas une bidouille, c'est prévu par
firefox. C'est fait une fois pour toutes.
Je trouve un lien avec une adresse de courriel, et je voudrais répondre av ec mutt comme client... Comment faire (simplement, encore sans bidouiller la configuration de Firefox) ? on s'en fiche.
Et la liste des questions est longue... la réponse sera la même
Parlons aussi de l'interopérabilité entre ces applications, toutes écrites par des équipes différentes, avec des toolkits différents et aucune API en commun : elle est quasi inexistante (sauf peut être des choses comme le clic du bouton du milieu de la souris). Et ou est le problème? En tant qu'utilisateur de bureau alternatif,
cette interopérabilité n'entre pas dans mes critères de choix.
Au contraire, regardons un bureau KDE ou Gnome (je prendrais KDE car c'est celui que je connais le mieux) : une IHM cohérente, une apparence cohérente, et surtout une interopérabilité et une intégration pre sque totale des applications entre elles ! Je m'en fiche, j'en ai pas besoin.
Ce n'est pas vraiment la faute des équipes travaillant sur ces bureaux "alternatifs" (que je trouve en fait courageux de se lancer dans cette aventure) : les "grands" bureaux comme KDE et Gnome contiennent des centaines d'applications, toutes avec une API commune, sont maintenus par des milliers de programmeurs, artistes, traducteurs, contributeurs qui travaillent dessus depuis, respectivement, 10 et 9 années. Si je n'ai pas besoin de ces centaines d'applis, ou si ces applis ne
correspondent pas à mes besoins, à quoi ça sert?
Les bureaux "alternatifs" ne peuvent tout simplement par rivaliser et se retrouvent ainsi à fournir seulement quelques applications, laissant les utilisateurs avec un bureau hétéroclite... A chacun son taf. Les concepteurs de bureau créent un bireau avec les
outils permettant d'uniformiser plus ou moins les applications. Les développeurs d'applis créent les applis, en utilisant (ou pas) les outils mis à leur disposition.
La question est alors : quel intérêt dans ces bureaux "alternatifs", excepté leur grande légéreté en consommation processeur et mémoire ? Ne pas avoir une usine à gaz rien que pour lancer quelques xterm et
une appli de supervision sur un serveur par exemple? Mais il doit y en avoir d'autres ....
C'est peut-être l'habitude des anciens systèmes UNIX, quand les ressources matérielles étaient trop limitées pour se permettre d'utiliser des "monstres" comme KDE et Gnome ? Hereusement que ces environnements alternatifs existent. L'informatque
ne se résume pas seulement à des machines de bureau ou à des serveurs. Y a aussi par exemple les PDA ou telephones portables, par exemple qui sauront tirer parti d'un environnement léger.
totof01
Enfin, moi je ne peux pas. C'est limite inexplicable.
Euh. Comme tu disais ailleurs, "c'est une question de volonté".
Allez, allonge toi sur le fauteuil, et racconte-moi tout depuis ta petite enfance. Pour 1500 Euros de l'heure, je te règle ton problème. Après ça tu pourras lancer n'importe quelle appli, de n'importe quelle société :)
Enfin, moi je ne peux pas. C'est limite inexplicable.
Euh. Comme tu disais ailleurs, "c'est une question de volonté".
Allez, allonge toi sur le fauteuil, et racconte-moi tout depuis ta
petite enfance. Pour 1500 Euros de l'heure, je te règle ton problème.
Après ça tu pourras lancer n'importe quelle appli, de n'importe
quelle société :)
Enfin, moi je ne peux pas. C'est limite inexplicable.
Euh. Comme tu disais ailleurs, "c'est une question de volonté".
Allez, allonge toi sur le fauteuil, et racconte-moi tout depuis ta petite enfance. Pour 1500 Euros de l'heure, je te règle ton problème. Après ça tu pourras lancer n'importe quelle appli, de n'importe quelle société :)
Olivier
Michel Billaud a formulé la demande :
Qui a dit qu'on ne gagnait pas d'argent avec l'opensource ?
MB
Suis d'en dessus...
Michel Billaud a formulé la demande :
Qui a dit qu'on ne gagnait pas d'argent avec l'opensource ?
Qui a dit qu'on ne gagnait pas d'argent avec l'opensource ?
MB
Suis d'en dessus...
Sui là il a entendu parler de la loi de l'offre et de la demande, qui dit qu'un bien libre est forcément sans valeur vénale.
Jean-Louis Liagre
Laurent wrote:
Patrick Lamaizière wrote:
Jean-Louis Liagre écrivait :
hors GPL, dans leur grande majorité n'interdisent pas l'inclusion de code propriétaire, même si bien sûr, d'une manière générale, les développeurs préfèrerent que tout code ajouté soit open source, pour des raisons évidentes. C'est l'inverse. On peut inclure du code BSD dans du logiciel
propriétaire mais pas l'inverse. J'en doute.
Quel article de la license BSD l'interdit ?
Ce n'est pas le licence BSD qui l'interdit
On est d'accord alors, la licence BSD n'interdit pas d'intégrer du code propriétaire.
, mais la licence (CLUF par exemple) du logiciel proprio à intégrer dans BSD, cf. le très bon exemple de java sous FreeBSD.
Pas un très bon exemple, Java n'est pas un pilote.
Laurent wrote:
Patrick Lamaizière wrote:
Jean-Louis Liagre écrivait :
hors GPL, dans leur
grande majorité n'interdisent pas l'inclusion de code propriétaire,
même si bien sûr, d'une manière générale, les développeurs préfèrerent
que tout code ajouté soit open source, pour des raisons évidentes.
C'est l'inverse. On peut inclure du code BSD dans du logiciel
propriétaire mais pas l'inverse.
J'en doute.
Quel article de la license BSD l'interdit ?
Ce n'est pas le licence BSD qui l'interdit
On est d'accord alors, la licence BSD n'interdit pas d'intégrer du
code propriétaire.
, mais la licence (CLUF par
exemple) du logiciel proprio à intégrer dans BSD, cf. le très bon
exemple de java sous FreeBSD.
Pas un très bon exemple, Java n'est pas un pilote.
hors GPL, dans leur grande majorité n'interdisent pas l'inclusion de code propriétaire, même si bien sûr, d'une manière générale, les développeurs préfèrerent que tout code ajouté soit open source, pour des raisons évidentes. C'est l'inverse. On peut inclure du code BSD dans du logiciel
propriétaire mais pas l'inverse. J'en doute.
Quel article de la license BSD l'interdit ?
Ce n'est pas le licence BSD qui l'interdit
On est d'accord alors, la licence BSD n'interdit pas d'intégrer du code propriétaire.
, mais la licence (CLUF par exemple) du logiciel proprio à intégrer dans BSD, cf. le très bon exemple de java sous FreeBSD.
Pas un très bon exemple, Java n'est pas un pilote.
Jean-Louis Liagre
Nicolas George wrote:
Jean-Louis Liagre , dans le message
Quel article de la license BSD l'interdit ?
L'ensemble : un logiciel sous licence BSD n'est pas un logiciel propriétaire.
Certes, mais je peux prendre un logiciel sous BSD, y ajouter du code propriétaire, et le redistribuer sous format binaire uniquement, non ?
Nicolas George wrote:
Jean-Louis Liagre , dans le message
Quel article de la license BSD l'interdit ?
L'ensemble : un logiciel sous licence BSD n'est pas un logiciel
propriétaire.
Certes, mais je peux prendre un logiciel sous BSD, y ajouter du
code propriétaire, et le redistribuer sous format binaire uniquement,
non ?