> aux gens de QI 80 ne foutant > rien à l'école comme aux gens de QI 120 travaillant sérieusement.
T'es déjà allé dans une école ? Avec des vrais gens ? Tu fais la différences entre le travail fournis et les capacités ? Je ne sais pas comment ça se passe dans les établissement ne recrutant que les meilleurs. Mais dans les établissements plus variés, les plus gros QI ont souvent tendance à se laisser aller et à travailler moins que ceux qui rament pour atteindre la moyenne.
Je suis bien d'accord avec toi, et c'est là que se trouve le vrai problème. Faire en sorte que le prof passe tout son temps à traîner des boulets qui de toute façon n'arriveront jamais à rien, finiront par décrocher au mieux un bac qui ne vaut plus rien avant de se retrouver au chomedu, ça a l'air formidable, généreux, "citoyen" et toutes les autres conneries à la mode. Mais ça a un prix astronomique, l'euthanasie des quelques bons éléments qui auraient pu faire quelque chose de peut être brillant, faire progresser la société. Le système actuel du nivellement par le bas procède à la manière de Pisistrate "couper toutes les têtes qui dépassent". C'est un bonus formidable, ça permet aux enfants du corps enseignant de truster la quasi totalité des places dans les grandes écoles prestigieuses, car papa maman ont les capacités, la connaissance des bonnes filières et surtout le temps en quantité à peu près illimitée pour s'occuper de pousser à outrance leur progéniture. Les riches sont aussi indemnes de ce fauchage systématique car ils mettent leurs enfants dans de bonnes écoles privées et les dirigent vers les filières très rentables et pas trop dures, genre HEC. Les grandes victimes du système sont les classes moyennes et inférieures qui n'ont plus aucune chance de réussir par les voies standard. Enfin il reste toujours le cul, comme à toutes les époques (pas difficile de trouver des exemples récents de réussite rapide par cette méthode), et aussi, en plus dangereux, le deal.
--
Michel TALON
Stephane CARPENTIER <sc@fiat-linux.fr> wrote:
Michel Talon wrote:
> aux gens de QI 80 ne foutant
> rien à l'école comme aux gens de QI 120 travaillant sérieusement.
T'es déjà allé dans une école ? Avec des vrais gens ? Tu fais la différences
entre le travail fournis et les capacités ? Je ne sais pas comment ça se
passe dans les établissement ne recrutant que les meilleurs. Mais dans les
établissements plus variés, les plus gros QI ont souvent tendance à se
laisser aller et à travailler moins que ceux qui rament pour atteindre la
moyenne.
Je suis bien d'accord avec toi, et c'est là que se trouve le vrai
problème. Faire en sorte que le prof passe tout son temps à traîner des
boulets qui de toute façon n'arriveront jamais à rien, finiront par
décrocher au mieux un bac qui ne vaut plus rien avant de se retrouver au
chomedu, ça a l'air formidable, généreux, "citoyen" et toutes les autres
conneries à la mode. Mais ça a un prix astronomique, l'euthanasie des
quelques bons éléments qui auraient pu faire quelque chose de peut être
brillant, faire progresser la société. Le système actuel du nivellement
par le bas procède à la manière de Pisistrate "couper toutes les têtes
qui dépassent". C'est un bonus formidable, ça permet aux enfants du
corps enseignant de truster la quasi totalité des places dans les
grandes écoles prestigieuses, car papa maman ont les capacités, la
connaissance des bonnes filières et surtout le temps en quantité à peu
près illimitée pour s'occuper de pousser à outrance leur progéniture.
Les riches sont aussi indemnes de ce fauchage systématique car ils
mettent leurs enfants dans de bonnes écoles privées et les dirigent vers
les filières très rentables et pas trop dures, genre HEC. Les grandes
victimes du système sont les classes moyennes et inférieures qui n'ont
plus aucune chance de réussir par les voies standard. Enfin il reste
toujours le cul, comme à toutes les époques (pas difficile de trouver
des exemples récents de réussite rapide par cette méthode), et aussi, en
plus dangereux, le deal.
> aux gens de QI 80 ne foutant > rien à l'école comme aux gens de QI 120 travaillant sérieusement.
T'es déjà allé dans une école ? Avec des vrais gens ? Tu fais la différences entre le travail fournis et les capacités ? Je ne sais pas comment ça se passe dans les établissement ne recrutant que les meilleurs. Mais dans les établissements plus variés, les plus gros QI ont souvent tendance à se laisser aller et à travailler moins que ceux qui rament pour atteindre la moyenne.
Je suis bien d'accord avec toi, et c'est là que se trouve le vrai problème. Faire en sorte que le prof passe tout son temps à traîner des boulets qui de toute façon n'arriveront jamais à rien, finiront par décrocher au mieux un bac qui ne vaut plus rien avant de se retrouver au chomedu, ça a l'air formidable, généreux, "citoyen" et toutes les autres conneries à la mode. Mais ça a un prix astronomique, l'euthanasie des quelques bons éléments qui auraient pu faire quelque chose de peut être brillant, faire progresser la société. Le système actuel du nivellement par le bas procède à la manière de Pisistrate "couper toutes les têtes qui dépassent". C'est un bonus formidable, ça permet aux enfants du corps enseignant de truster la quasi totalité des places dans les grandes écoles prestigieuses, car papa maman ont les capacités, la connaissance des bonnes filières et surtout le temps en quantité à peu près illimitée pour s'occuper de pousser à outrance leur progéniture. Les riches sont aussi indemnes de ce fauchage systématique car ils mettent leurs enfants dans de bonnes écoles privées et les dirigent vers les filières très rentables et pas trop dures, genre HEC. Les grandes victimes du système sont les classes moyennes et inférieures qui n'ont plus aucune chance de réussir par les voies standard. Enfin il reste toujours le cul, comme à toutes les époques (pas difficile de trouver des exemples récents de réussite rapide par cette méthode), et aussi, en plus dangereux, le deal.
--
Michel TALON
Baton .rouge
On Sat, 22 Dec 2012 14:47:56 +0000 (UTC), (Michel Talon) wrote:
Je suis bien d'accord avec toi, et c'est là que se trouve le vrai problème. Faire en sorte que le prof passe tout son temps à traîner des boulets qui de toute façon n'arriveront jamais à rien
Ces "boulets" sont des enfants victimes le plus souvent de l'indifférence de leur parents et de la société.
Tu fais parti des gens méprisable en parlant d'eux de la sorte. Tu leur enfonce la tête sous l'eau.
On Sat, 22 Dec 2012 14:47:56 +0000 (UTC), talon@lpthe.jussieu.fr (Michel
Talon) wrote:
Je suis bien d'accord avec toi, et c'est là que se trouve le vrai
problème. Faire en sorte que le prof passe tout son temps à traîner des
boulets qui de toute façon n'arriveront jamais à rien
Ces "boulets" sont des enfants victimes le plus souvent de
l'indifférence de leur parents et de la société.
Tu fais parti des gens méprisable en parlant d'eux de la sorte. Tu leur
enfonce la tête sous l'eau.
On Sat, 22 Dec 2012 14:47:56 +0000 (UTC), (Michel Talon) wrote:
Je suis bien d'accord avec toi, et c'est là que se trouve le vrai problème. Faire en sorte que le prof passe tout son temps à traîner des boulets qui de toute façon n'arriveront jamais à rien
Ces "boulets" sont des enfants victimes le plus souvent de l'indifférence de leur parents et de la société.
Tu fais parti des gens méprisable en parlant d'eux de la sorte. Tu leur enfonce la tête sous l'eau.
Jerome Lambert
Le 22/12/12 15:12, Baton .rouge a écrit :
On Sat, 22 Dec 2012 12:56:35 +0100, Jerome Lambert wrote:
avant, ces enfants-là étaient rapidement mis dans les champs ou dans les mines, maintenant ils sont en classe, aux professeurs à faire avec.
Ces enfants là ont des parents, à eux de faire leur éducation de base (merci, bonjour, etc) pas aux prof.
La question n'est pas là. Du temps de mes parents, l'enfant qui lisait difficilement à 12 allait travailler dans les champs ou à la mine. Maintenant, il rentre au collège comme les autres.
Le 22/12/12 15:12, Baton .rouge a écrit :
On Sat, 22 Dec 2012 12:56:35 +0100, Jerome Lambert
<jerome.lambert@swing.be> wrote:
avant, ces enfants-là étaient
rapidement mis dans les champs ou dans les mines, maintenant ils sont en
classe, aux professeurs à faire avec.
Ces enfants là ont des parents, à eux de faire leur éducation de base
(merci, bonjour, etc) pas aux prof.
La question n'est pas là. Du temps de mes parents, l'enfant qui lisait
difficilement à 12 allait travailler dans les champs ou à la mine.
Maintenant, il rentre au collège comme les autres.
On Sat, 22 Dec 2012 12:56:35 +0100, Jerome Lambert wrote:
avant, ces enfants-là étaient rapidement mis dans les champs ou dans les mines, maintenant ils sont en classe, aux professeurs à faire avec.
Ces enfants là ont des parents, à eux de faire leur éducation de base (merci, bonjour, etc) pas aux prof.
La question n'est pas là. Du temps de mes parents, l'enfant qui lisait difficilement à 12 allait travailler dans les champs ou à la mine. Maintenant, il rentre au collège comme les autres.
Baton .rouge
On Sat, 22 Dec 2012 15:54:00 +0100, Jerome Lambert wrote:
Ces enfants là ont des parents, à eux de faire leur éducation de base (merci, bonjour, etc) pas aux prof.
La question n'est pas là.
Bien sur que si. C'est la base de l'éducation d'un enfant. S'il n'a pas cette base, comment peut il avoir l'envie de s'assoir pendant des heures à apprendre à lire et compter...
Du temps de mes parents, l'enfant qui lisait difficilement à 12 allait travailler dans les champs ou à la mine.
Pourquoi lisaient ils si mal à 12 ans ?
Maintenant, il rentre au collège comme les autres.
Avec des lacunes. La faute à qui ?
On Sat, 22 Dec 2012 15:54:00 +0100, Jerome Lambert
<jerome.lambert@swing.be> wrote:
Ces enfants là ont des parents, à eux de faire leur éducation de base
(merci, bonjour, etc) pas aux prof.
La question n'est pas là.
Bien sur que si. C'est la base de l'éducation d'un enfant.
S'il n'a pas cette base, comment peut il avoir l'envie de s'assoir
pendant des heures à apprendre à lire et compter...
Du temps de mes parents, l'enfant qui lisait
difficilement à 12 allait travailler dans les champs ou à la mine.
Pourquoi lisaient ils si mal à 12 ans ?
Maintenant, il rentre au collège comme les autres.
On Sat, 22 Dec 2012 15:54:00 +0100, Jerome Lambert wrote:
Ces enfants là ont des parents, à eux de faire leur éducation de base (merci, bonjour, etc) pas aux prof.
La question n'est pas là.
Bien sur que si. C'est la base de l'éducation d'un enfant. S'il n'a pas cette base, comment peut il avoir l'envie de s'assoir pendant des heures à apprendre à lire et compter...
Du temps de mes parents, l'enfant qui lisait difficilement à 12 allait travailler dans les champs ou à la mine.
Pourquoi lisaient ils si mal à 12 ans ?
Maintenant, il rentre au collège comme les autres.
Avec des lacunes. La faute à qui ?
Jerome Lambert
Le 22/12/12 15:55, Baton .rouge a écrit :
On Sat, 22 Dec 2012 15:54:00 +0100, Jerome Lambert wrote:
Ces enfants là ont des parents, à eux de faire leur éducation de base (merci, bonjour, etc) pas aux prof.
La question n'est pas là.
Bien sur que si. C'est la base de l'éducation d'un enfant. S'il n'a pas cette base, comment peut il avoir l'envie de s'assoir pendant des heures à apprendre à lire et compter...
Les deux sont indissociables: même si il o toute la volonté du monde, l'élève qui "n'y arrive pas" finit tôt ou tard pour se rebeller, faute de comprendre ce qu'on veut lui inculquer. Tout ramener de manière systématique à un manque d'éducation est une solution de facilité.
Du temps de mes parents, l'enfant qui lisait difficilement à 12 allait travailler dans les champs ou à la mine.
Pourquoi lisaient ils si mal à 12 ans ?
Parce qu'ils n'ont pas su acquérir les apprentissages à temps et à heure (apprentissage, courbe de Gauss, etc.).
Maintenant, il rentre au collège comme les autres.
Avec des lacunes. La faute à qui ?
Au fait qu'il n'y a plus de mines, et que les champs n'ont plus besoin d'autant de main-d’œuvre qu'avant (pour fixer les chose, pour le labour, on est passé en 50 ans de un demi-hectare par jour avec un cheval à 2 hectares à l'heure avec les tracteurs modernes)
Le 22/12/12 15:55, Baton .rouge a écrit :
On Sat, 22 Dec 2012 15:54:00 +0100, Jerome Lambert
<jerome.lambert@swing.be> wrote:
Ces enfants là ont des parents, à eux de faire leur éducation de base
(merci, bonjour, etc) pas aux prof.
La question n'est pas là.
Bien sur que si. C'est la base de l'éducation d'un enfant.
S'il n'a pas cette base, comment peut il avoir l'envie de s'assoir
pendant des heures à apprendre à lire et compter...
Les deux sont indissociables: même si il o toute la volonté du monde,
l'élève qui "n'y arrive pas" finit tôt ou tard pour se rebeller, faute
de comprendre ce qu'on veut lui inculquer.
Tout ramener de manière systématique à un manque d'éducation est une
solution de facilité.
Du temps de mes parents, l'enfant qui lisait
difficilement à 12 allait travailler dans les champs ou à la mine.
Pourquoi lisaient ils si mal à 12 ans ?
Parce qu'ils n'ont pas su acquérir les apprentissages à temps et à heure
(apprentissage, courbe de Gauss, etc.).
Maintenant, il rentre au collège comme les autres.
Avec des lacunes. La faute à qui ?
Au fait qu'il n'y a plus de mines, et que les champs n'ont plus besoin
d'autant de main-d’œuvre qu'avant (pour fixer les chose, pour le labour,
on est passé en 50 ans de un demi-hectare par jour avec un cheval à 2
hectares à l'heure avec les tracteurs modernes)
On Sat, 22 Dec 2012 15:54:00 +0100, Jerome Lambert wrote:
Ces enfants là ont des parents, à eux de faire leur éducation de base (merci, bonjour, etc) pas aux prof.
La question n'est pas là.
Bien sur que si. C'est la base de l'éducation d'un enfant. S'il n'a pas cette base, comment peut il avoir l'envie de s'assoir pendant des heures à apprendre à lire et compter...
Les deux sont indissociables: même si il o toute la volonté du monde, l'élève qui "n'y arrive pas" finit tôt ou tard pour se rebeller, faute de comprendre ce qu'on veut lui inculquer. Tout ramener de manière systématique à un manque d'éducation est une solution de facilité.
Du temps de mes parents, l'enfant qui lisait difficilement à 12 allait travailler dans les champs ou à la mine.
Pourquoi lisaient ils si mal à 12 ans ?
Parce qu'ils n'ont pas su acquérir les apprentissages à temps et à heure (apprentissage, courbe de Gauss, etc.).
Maintenant, il rentre au collège comme les autres.
Avec des lacunes. La faute à qui ?
Au fait qu'il n'y a plus de mines, et que les champs n'ont plus besoin d'autant de main-d’œuvre qu'avant (pour fixer les chose, pour le labour, on est passé en 50 ans de un demi-hectare par jour avec un cheval à 2 hectares à l'heure avec les tracteurs modernes)
talon
Nicolas George <nicolas$ wrote:
clair que le choix politique de l'éducation de masse doit s'accompagner des moyens nécessaires pour que ça se passe correctement. C'est partiellement le cas, mais certains semblent rechigner.
Est ce que tu paries que ces moyens vont *diminuer* dans les années à venir, vu l'état des finances publiques? Sinon il y a aussi une façon de résoudre cette question sans bourse délier, comme par exemple de remonter les horaires des profs à 35 heures effectives devant les élèves, mais j'ai un gros doute sur le bon accueil réservé à une telle mesure. De toute façon dans les conditions actuelles on ne trouve plus personne pour enseigner, alors ... La vérité est que l'éducation de masse est une énorme sottise, et une sottise d'un prix qu'on ne peut plus payer. Il faut revenir à des conceptions raisonnables, payer l'enseignement pour des gens qui apprennent quelque chose est un investissement et une excellente chose, le payer pour des bons à rien est un gaspillage, et en aucun cas un investissement. C'est autant un gaspillage que de construire des aérodromes où ne se pose jamais un avion en Espagne, et autres "investissements" catastrophiques que les politiciens espagnols ont inventé pour caresser leurs électeurs dans le sens du poil.
--
Michel TALON
Nicolas George <nicolas$george@salle-s.org> wrote:
clair que le choix politique de l'éducation de masse doit s'accompagner des
moyens nécessaires pour que ça se passe correctement. C'est partiellement le
cas, mais certains semblent rechigner.
Est ce que tu paries que ces moyens vont *diminuer* dans les années à
venir, vu l'état des finances publiques?
Sinon il y a aussi une façon de résoudre cette question sans bourse
délier, comme par exemple de remonter les horaires des profs à 35 heures
effectives devant les élèves, mais j'ai un gros doute sur le bon accueil
réservé à une telle mesure. De toute façon dans les conditions actuelles
on ne trouve plus personne pour enseigner, alors ... La vérité est que
l'éducation de masse est une énorme sottise, et une sottise d'un prix
qu'on ne peut plus payer. Il faut revenir à des conceptions
raisonnables, payer l'enseignement pour des gens qui apprennent quelque
chose est un investissement et une excellente chose, le payer pour des
bons à rien est un gaspillage, et en aucun cas un investissement. C'est
autant un gaspillage que de construire des aérodromes où ne se pose
jamais un avion en Espagne, et autres "investissements" catastrophiques
que les politiciens espagnols ont inventé pour caresser leurs électeurs
dans le sens du poil.
clair que le choix politique de l'éducation de masse doit s'accompagner des moyens nécessaires pour que ça se passe correctement. C'est partiellement le cas, mais certains semblent rechigner.
Est ce que tu paries que ces moyens vont *diminuer* dans les années à venir, vu l'état des finances publiques? Sinon il y a aussi une façon de résoudre cette question sans bourse délier, comme par exemple de remonter les horaires des profs à 35 heures effectives devant les élèves, mais j'ai un gros doute sur le bon accueil réservé à une telle mesure. De toute façon dans les conditions actuelles on ne trouve plus personne pour enseigner, alors ... La vérité est que l'éducation de masse est une énorme sottise, et une sottise d'un prix qu'on ne peut plus payer. Il faut revenir à des conceptions raisonnables, payer l'enseignement pour des gens qui apprennent quelque chose est un investissement et une excellente chose, le payer pour des bons à rien est un gaspillage, et en aucun cas un investissement. C'est autant un gaspillage que de construire des aérodromes où ne se pose jamais un avion en Espagne, et autres "investissements" catastrophiques que les politiciens espagnols ont inventé pour caresser leurs électeurs dans le sens du poil.
--
Michel TALON
Baton .rouge
On Sat, 22 Dec 2012 15:15:43 +0000 (UTC), (Michel Talon) wrote:
Est ce que tu paries que ces moyens vont *diminuer* dans les années à venir, vu l'état des finances publiques?
La solution est déjà trouvé. La droite attend de revenir au pouvoir pour l'imposer : Les lobbies commerciaux comme aux Zéta Zuni.
On Sat, 22 Dec 2012 15:15:43 +0000 (UTC), talon@lpthe.jussieu.fr (Michel
Talon) wrote:
Est ce que tu paries que ces moyens vont *diminuer* dans les années à
venir, vu l'état des finances publiques?
La solution est déjà trouvé. La droite attend de revenir au pouvoir pour
l'imposer :
Les lobbies commerciaux comme aux Zéta Zuni.
On Sat, 22 Dec 2012 15:15:43 +0000 (UTC), (Michel Talon) wrote:
Est ce que tu paries que ces moyens vont *diminuer* dans les années à venir, vu l'état des finances publiques?
La solution est déjà trouvé. La droite attend de revenir au pouvoir pour l'imposer : Les lobbies commerciaux comme aux Zéta Zuni.
talon
Jerome Lambert wrote:
> Et ces élèves finiront chômeurs, bien entendu.
Vu la demande constamment décroissante de main-d'oeuvre non qualifiée, ils le seraient devenus de toutes façons. En les gardant en l'école,
Cette assertion est évidemment une légende complaisamment rabachée par ceux qui ont intérêt à gonfler les effectifs du système scolaire, c'est à dire les profs. Sinon comment expliques tu l'afflux permanent de travailleurs non qualifiés venant ici du monde entier pour remplir les emplois que "les français ne veulent pas faire". Typiquement les emplois du bâtiment, les emplois agricoles etc. L'été dernier j'ai eu la surprise de découvrir des indiens des andes dans mon village du sud, qui venaient ramasser les asperges. C'est certes très sympathique, mais ça suscite quand même la réflexion. Je ne te parle même pas des gens des pays de l'Est comme le "plombier polonais" etc. J'ai lu qu'en Angleterre il y a un million de travailleurs polonais employés dans les secteurs non qualifiés. Je pense qu'il y en a moins en France, bien sûr.
--
Michel TALON
Jerome Lambert <jerome.lambert@swing.be> wrote:
> Et ces élèves finiront chômeurs, bien entendu.
Vu la demande constamment décroissante de main-d'oeuvre non qualifiée,
ils le seraient devenus de toutes façons. En les gardant en l'école,
Cette assertion est évidemment une légende complaisamment rabachée par
ceux qui ont intérêt à gonfler les effectifs du système scolaire,
c'est à dire les profs. Sinon comment expliques tu l'afflux permanent
de travailleurs non qualifiés venant ici du monde entier pour remplir
les emplois que "les français ne veulent pas faire". Typiquement les
emplois du bâtiment, les emplois agricoles etc. L'été dernier j'ai eu la
surprise de découvrir des indiens des andes dans mon village du sud, qui
venaient ramasser les asperges. C'est certes très sympathique, mais ça
suscite quand même la réflexion. Je ne te parle même pas des gens des pays de
l'Est comme le "plombier polonais" etc. J'ai lu qu'en Angleterre il y a
un million de travailleurs polonais employés dans les secteurs non
qualifiés. Je pense qu'il y en a moins en France, bien sûr.
Vu la demande constamment décroissante de main-d'oeuvre non qualifiée, ils le seraient devenus de toutes façons. En les gardant en l'école,
Cette assertion est évidemment une légende complaisamment rabachée par ceux qui ont intérêt à gonfler les effectifs du système scolaire, c'est à dire les profs. Sinon comment expliques tu l'afflux permanent de travailleurs non qualifiés venant ici du monde entier pour remplir les emplois que "les français ne veulent pas faire". Typiquement les emplois du bâtiment, les emplois agricoles etc. L'été dernier j'ai eu la surprise de découvrir des indiens des andes dans mon village du sud, qui venaient ramasser les asperges. C'est certes très sympathique, mais ça suscite quand même la réflexion. Je ne te parle même pas des gens des pays de l'Est comme le "plombier polonais" etc. J'ai lu qu'en Angleterre il y a un million de travailleurs polonais employés dans les secteurs non qualifiés. Je pense qu'il y en a moins en France, bien sûr.
--
Michel TALON
Flipper
Yliur a écrit:
Ce n'est pas la peine, quand on te le colle sous le nez tu refuses de le voir ou tu repars sur un de tes sujets favoris. Si j'étais dans un mauvais jour, je dirais que ça me fait penser à du pipolin (les fautes en mois).
Désolé de te le dire mais jusqu'à maintenant dans ce débat tu n'as apporté aucune argumentation autre que celles venant des "autorités" officielles pour prouver tes affirmations. JKB lui a eu au moins la décence de trouver des références. Qu'elles répondent à tes sacro- saintes convictions n'a aucune importance.
Prouve par A+B que le niveau a augmenté depuis 50 ans et on en reparle.
Yliur a écrit:
Ce n'est pas la peine, quand on te le colle sous le nez tu refuses de
le voir ou tu repars sur un de tes sujets favoris. Si j'étais dans un
mauvais jour, je dirais que ça me fait penser à du pipolin (les fautes
en mois).
Désolé de te le dire mais jusqu'à maintenant dans ce débat tu n'as
apporté aucune argumentation autre que celles venant des "autorités"
officielles pour prouver tes affirmations. JKB lui a eu au moins la
décence de trouver des références. Qu'elles répondent à tes sacro-
saintes convictions n'a aucune importance.
Prouve par A+B que le niveau a augmenté depuis 50 ans et on en reparle.
Ce n'est pas la peine, quand on te le colle sous le nez tu refuses de le voir ou tu repars sur un de tes sujets favoris. Si j'étais dans un mauvais jour, je dirais que ça me fait penser à du pipolin (les fautes en mois).
Désolé de te le dire mais jusqu'à maintenant dans ce débat tu n'as apporté aucune argumentation autre que celles venant des "autorités" officielles pour prouver tes affirmations. JKB lui a eu au moins la décence de trouver des références. Qu'elles répondent à tes sacro- saintes convictions n'a aucune importance.
Prouve par A+B que le niveau a augmenté depuis 50 ans et on en reparle.
Flipper
Stephane CARPENTIER a écrit:
Comme quoi la memoire ne s'arrange pas avec l'age. Ne te meprends pas, je sous entends surtout que tu as oublie comment tu ecrivais il y a 10 ans, pas de la memoire de ce que tu as appris a l'ecole, que tu as oublie depuis bien plus longtemps de toutes facons.
Pour une fois, je suis d'accord avec toi. C'est un fait rarement pris en considération, la mémoire a toujours tendance à atténuer les effets désagréables du passer et à embellir les effets agréables.
Mes cahiers du primaire (je suis pas français) montrent clairement que mes connaissances en français d'alors sont EXACTEMENT les mêmes qu'aujourd'hui alors que j'ai plus de 60 berges. Alors vos histoires à la con sur l'âge du capitaine vous pouvez vous les mettre où je pense. Les étudiants d'aujourd'hui sont des illetrés aussi dans mon pays. Sauf qu'ici, on ne se ferme pas les yeux et on tente de régler la situation.
Joyeuses Fêtes quand même!
Stephane CARPENTIER a écrit:
Comme quoi la memoire ne s'arrange pas avec l'age. Ne te meprends
pas, je sous entends surtout que tu as oublie comment tu ecrivais il
y a 10 ans, pas de la memoire de ce que tu as appris a l'ecole, que
tu as oublie depuis bien plus longtemps de toutes facons.
Pour une fois, je suis d'accord avec toi. C'est un fait rarement pris
en considération, la mémoire a toujours tendance à atténuer les effets
désagréables du passer et à embellir les effets agréables.
Mes cahiers du primaire (je suis pas français) montrent clairement que
mes connaissances en français d'alors sont EXACTEMENT les mêmes
qu'aujourd'hui alors que j'ai plus de 60 berges. Alors vos histoires à
la con sur l'âge du capitaine vous pouvez vous les mettre où je pense.
Les étudiants d'aujourd'hui sont des illetrés aussi dans mon pays. Sauf
qu'ici, on ne se ferme pas les yeux et on tente de régler la situation.
Comme quoi la memoire ne s'arrange pas avec l'age. Ne te meprends pas, je sous entends surtout que tu as oublie comment tu ecrivais il y a 10 ans, pas de la memoire de ce que tu as appris a l'ecole, que tu as oublie depuis bien plus longtemps de toutes facons.
Pour une fois, je suis d'accord avec toi. C'est un fait rarement pris en considération, la mémoire a toujours tendance à atténuer les effets désagréables du passer et à embellir les effets agréables.
Mes cahiers du primaire (je suis pas français) montrent clairement que mes connaissances en français d'alors sont EXACTEMENT les mêmes qu'aujourd'hui alors que j'ai plus de 60 berges. Alors vos histoires à la con sur l'âge du capitaine vous pouvez vous les mettre où je pense. Les étudiants d'aujourd'hui sont des illetrés aussi dans mon pays. Sauf qu'ici, on ne se ferme pas les yeux et on tente de régler la situation.
