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Linux et pognon

142 réponses
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Mihamina Rakotomandimby (R12y)
http://www.lesechos.fr/investisseurs/actualites-boursieres/
afp_00291094.htm?xtor=RSS-2065

" La plateforme boursière londonienne Turquoise, filiale de la Bourse
de Londres, s'est flattée mercredi d'être devenue la plus rapide du
monde, avec un temps de traitement des transactions ramené à 126
millionièmes de seconde en moyenne."


Et ils utilisent Linux.
Qui c'est qui affirmait que Linux ne permettait pas de gagner de l'argent?

--

Architecte Informatique chez Blueline/Gulfsat:
Administration Systeme, Recherche & Developpement
+261 33 11 207 36

10 réponses

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Toxico Nimbus
Le 22/10/2010 15:43, Vivien MOREAU a écrit :
On 2010-10-22, Toxico Nimbus wrote:

Le 22/10/2010 13:41, Professeur Méphisto a écrit :
Le Fri, 22 Oct 2010 12:19:12 +0200, Toxico Nimbus a écrit :

DTCAO



es-tu bien sûr qu'il faille être assisté par ordinateur ?



Je ne suis même pas sûr qu'il faille être assisté.



Par contre je suis formel, il faut être.



forcément, si tu n'étais plus tu serais formol.

--
Toxico Nimbus
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PP
Le 22/10/2010 14:55, Michel Talon a écrit :
Tonton Th wrote:
On 10/22/2010 02:13 PM, Michel Talon wrote:

infirmières, etc. et d'agriculteurs. Le bâtiment est fait en grande




De nos jours, l'agriculture est clairement délocali(sable|sée).




Que nenni, on a un excédent en agriculture considérable.



Rapidement, il suffit de voir ce que les Chinois font des terres
africaines !!!!!

De la nourriture sur terre, on peut en fabriquer beaucoup beaucoup !

Les famines sont le fruit des dictatures et des guerres uniquement.
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PP
Le 22/10/2010 15:18, JKB a écrit :
Le Fri, 22 Oct 2010 14:47:03 +0200,
remy écrivait :
Michel Talon a écrit :
JKB wrote:
Et tu crois franchement que c'est une bonne chose pour l'économie ?
Je ne parle pas de la finance mais bien de _l'économie_.

JKB




Je crois que tu n'as pas bien compris que l'économie moderne *c'est* la
finance, tout le reste, soit disant "recherche et développement",
"production industrielle" etc. étant un cache sexe. Bon on a aussi
besoin de services non délocalisables, plombiers, coiffeurs, médecins
infirmières, etc. et d'agriculteurs. Le bâtiment est fait en grande
partie par des esclaves importés, autrement appelés "sans papiers" et
le reste du travail on l'exporte.




et le pire c'est que nos politiques l'ont bien compris
cet état de fait déséquilibre tout le système de répartition

une grande partie des revenus n'est plus redistribuée aux individus
(par exemple les retraites)
le système financier s'auto redistribue (un coup à toi un coup à lui)
les apports de ceux qui croient en la bourse à grand papy (par exemple
assurance vie) ou qui ont besoin d'un investissement et finissent par
payer très cher les rendements imposés par le système



Ne mélange pas le capitalisme (classique) avec le libéralisme
financier. Ce sont deux choses totalement distinctes. Et de grâce,
ne me dis surtout pas que le capital n'est pas taxé en France parce
qu'il l'est juste à hauteur de 50 % (il faut compter IS [ben oui,
les dividendes passent d'abord par l'IS], CSG, CRDS puis IR).



la finance n'a rien à voir avec le Libéralisme !!!
La finance est un secteur économique parmi les plus régulés. Et pourtant
on continue à avoir des excès. Comme quoi, ce n'est peut-être pas un
problème de règles !?
La finance permet l'expression de l'individualisme à son paroxysme à
travers des outils de la dite régulation à permis ! Chercher l'erreur.
Le Libéralisme n'est pas l'anarchie non plus.

non la vraie question est plutôt, pourquoi je n'y suis pas et comment
sortir du fric du système, parce que entre nous c'est pas prêt de
s'arrêter



Rassure-toi, ça risque de s'arrêter très vite comme c'est parti. Le
seul hic, c'est qu'on sera tous dans la merde et que la grande crise
de 29 passera à côté de ce qu'on va vivre comme une aimable
promenade de santé. Il n'y a qu'une seule façon d'éviter la chute
finale, mais aucun gouvernement ne s'y soumettra.



Si si
Le Canada, la Suède l'ont fait !
Le R-U est en train de s'y mettre.
L'Allemagne, c'est un peu différent, elle est rigoureuse travailleuse,
et respectueuse des générations futures, c'est toute une culture.
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JKB
Le Fri, 22 Oct 2010 19:12:33 +0200,
PP écrivait :
Le 22/10/2010 15:18, JKB a écrit :
Le Fri, 22 Oct 2010 14:47:03 +0200,
remy écrivait :
Michel Talon a écrit :
JKB wrote:
Et tu crois franchement que c'est une bonne chose pour l'économie ?
Je ne parle pas de la finance mais bien de _l'économie_.

JKB




Je crois que tu n'as pas bien compris que l'économie moderne *c'est* la
finance, tout le reste, soit disant "recherche et développement",
"production industrielle" etc. étant un cache sexe. Bon on a aussi
besoin de services non délocalisables, plombiers, coiffeurs, médecins
infirmières, etc. et d'agriculteurs. Le bâtiment est fait en grande
partie par des esclaves importés, autrement appelés "sans papiers" et
le reste du travail on l'exporte.




et le pire c'est que nos politiques l'ont bien compris
cet état de fait déséquilibre tout le système de répartition

une grande partie des revenus n'est plus redistribuée aux individus
(par exemple les retraites)
le système financier s'auto redistribue (un coup à toi un coup à lui)
les apports de ceux qui croient en la bourse à grand papy (par exemple
assurance vie) ou qui ont besoin d'un investissement et finissent par
payer très cher les rendements imposés par le système



Ne mélange pas le capitalisme (classique) avec le libéralisme
financier. Ce sont deux choses totalement distinctes. Et de grâce,
ne me dis surtout pas que le capital n'est pas taxé en France parce
qu'il l'est juste à hauteur de 50 % (il faut compter IS [ben oui,
les dividendes passent d'abord par l'IS], CSG, CRDS puis IR).



la finance n'a rien à voir avec le Libéralisme !!!



Je parle de libéralisme _financier_. Ce qui n'est ni le libéralisme
ni la finance.

La finance est un secteur économique parmi les plus régulés. Et pourtant
on continue à avoir des excès. Comme quoi, ce n'est peut-être pas un
problème de règles !?



Le plus _régulé_ ? À qui veux-tu faire accroire ça ?

La finance permet l'expression de l'individualisme à son paroxysme à
travers des outils de la dite régulation à permis ! Chercher l'erreur.
Le Libéralisme n'est pas l'anarchie non plus.

non la vraie question est plutôt, pourquoi je n'y suis pas et comment
sortir du fric du système, parce que entre nous c'est pas prêt de
s'arrêter



Rassure-toi, ça risque de s'arrêter très vite comme c'est parti. Le
seul hic, c'est qu'on sera tous dans la merde et que la grande crise
de 29 passera à côté de ce qu'on va vivre comme une aimable
promenade de santé. Il n'y a qu'une seule façon d'éviter la chute
finale, mais aucun gouvernement ne s'y soumettra.



Si si
Le Canada, la Suède l'ont fait !
Le R-U est en train de s'y mettre.



Pour le R-U, je demande à _voir_.

L'Allemagne, c'est un peu différent, elle est rigoureuse travailleuse,
et respectueuse des générations futures, c'est toute une culture.



Euh, l'Allemagne, je connais bien. C'est un cliché. C'était vrai il
y a vingt ans.

JKB

--
Si votre demande me parvient sur carte perforée, je titiouaillerai très
volontiers une réponse...
=> http://grincheux.de-charybde-en-scylla.fr
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PP
Le 22/10/2010 16:53, remy a écrit :

ce que je voulais expliquer du moins ce que j'ai perçu pour être plus
exact c'est que le système financier draine vers lui des revenus liés au
travail ,via des placements financiers (assurance vie, complémentaire
retraite ,sicav, etc etc ,ou le bon petit placement de père de famille
et cela sur au minimum sur 1/3 de la planète

et que les revenus induits par cet apport
ne sont que très très très partiellement redistribués et donc ne
servent pas à faire tourner l'économie réelle ,la plus grande partie des
revenus est réinvestie dans le système ce qui permet de faire de plus
gros bénéfices de manière ponctuelle (plus le gâteau augmente plus ma
part grossie)
à l'arrivée tu te retrouves avec un système qui s' enrichi sans faire
tourner l'économie réelle, au détriment de l'autre,
on t'a fait croire que l'on rasait gratis mais on t'a tondu



Tu parles des bulles là !

Tout investisseurs, qu'ils achètent une action, une obligation ou qu'ils
investissent directement dans une PME (en gros qu'ils achètent des
actions ...) font tourner l'économie.
Soit au moment de l'émission des actions/obligations pour apporter les
liquidités, soit indirectement par la liquidité des actions/obligations
par les échanges sur les marchés (ce qui permet à l'investisseur de
pouvoir récupérer ses billes à un moment donné comme la retraite, un
achat, etc.)
Par contre, l'achat de créance d'état permet aux états (comme la France)
de pouvoir continuer à vivre au dessus de ces moyens en faisant croire
au paradis sur terre. Le bon du trésor est le très bonne exemple de
l'outils de destruction de valeurs.
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PP
Le 22/10/2010 17:27, JKB a écrit :

C'est pareil dans _tous_ les pays. Le seul truc qui paie moins
d'impôt, c'est le boursicotage. Ma réaction épidermique vient du
fait que l'immense majorité des gens confond allègrement le capital
investi dans l'économie à celui investi dans la finance. Le premier
est taxé éhontément alors que le second ne paie que la CSG et un peu
d'IR, mais juste un peu.



Qu'est-ce que tu entends par "investi dans la finance" ?
Le monde financier gère des actifs de l'économie. Il permet de
rapprocher les investisseurs des besoins de l'économie.
Les gens investissent dans l'économie à chaque fois qu'il achète une
action, obligation, sicav, fcp ou autres.
Que le monde financier "joue" avec les actifs pour se faire de l'argent
"facile", c'est complètement autre chose.
En terme de fiscalisation de tout cela, le problème vient des politiques
qui sont incapables de se rendre compte qu'un revenu est un revenu, et
ceux d'où qu'il vienne, et qu'il n'y a aucune raison de vouloir le taxer
plus pour quelque raison que ce soit.
Que l'IS est à 33% et que des sociétés comme Total ne payent même pas la
moitié des 33% est honteux pour toutes les entreprises qui elles n'ont
pas chance d'être copains avec le ministère de l'économie ou du
président !!! Il n'y a pas d'égalité, et c'est la raison pour laquelle
les gens ne comprennent plus rien.

ce que je voulais expliquer du moins ce que j'ai perçu pour être plus
exact c'est que le système financier draine vers lui des revenus liés au
travail ,via des placements financiers (assurance vie, complémentaire
retraite ,sicav, etc etc ,ou le bon petit placement de père de famille
et cela sur au minimum sur 1/3 de la planète



Tu te trompes. Le système financier ne draine rien. Ce sont les gens
qui sont assez cons pour y laisser leurs économies. Le type qui vend
un papier (action coté en bourse, placement financiers quelconques)
le vend à la valeur qu'il se figure avoir. Celui qui l'achète, à la
valeur qu'il croit qu'il a. S'il n'y avait pas d'acheteurs, il n'y
aurait aucun problème. Et ce sont ces acheteurs qui pompent les
fonds de l'économie pour engraisser la finance. Tous les types
porteurs de parts de SICAV ou de PEA sont responsables de la
situation.



Non !
La solution n'est pas dans le lingot qui va laisser dormir sous le matelas.
Lorsqu'un individu place ses économies dans un Sicav, c'est pour tirer
un profit correspondant au risque qu'il prend. Mais cet argent fait
tourner l'économie, alors que le lingot, c'est de l'argent qui dort.

Ce qui fait que ce processus s'est accéléré les vingt-cinq dernières
années, c'est simplement le fait que le petit porteur a disparu au
profit des fonds d'investissements bancaires. En 1970, c'est
l'entreprise qui commandait à la finance composée de petits
porteurs. En 2010, c'est la finance composée de banques qui
commande aux entreprises. Le rapport de force s'est inversé
puisqu'initialement, la bourse était un outil au service des
entreprises pour trouver de l'argent alors qu'aujourd'hui, c'est un
outil au service des banques pour piquer indirectement de l'argent
aux entreprises. Oui, indirectement car le fait que le cours d'une
entreprise monte ou descende en bourse n'a qu'une influence sur les
dirigeants d'icelle, non sur la survie de cette entreprise, mais pour
avoir une équipe dirigeant pérenne, il faut satisfaire l'actionnaire
(la banque) sous peine de sauter.



Le problème c'est de donner un pouvoir à des financiers.
Le monde financier est opportuniste et court-termiste.
C'est l'exigence de rendement qui en est la cause, mais simplement parce
que le système permet cela.
Comment expliquer qu'une entreprise vale moins que ses fonds propres !?
C'est qui arrive tout les jours. Lorsqu'une entreprise vaut plus par
appartement que dans sa globalité, c'est qu'à un moment il y a un jeu
sur les cours des actions.

La révolution de la finance de ses 25 dernières années n'est autre
que le rachat de toutes les entreprises cotées en bourse par le
secteur bancaire grâce au liquidités des petits épargnants.



C'est un problème en effet, comment une banque finalement peut se
permettre de devenir propriétaire de quelque chose grâce à l'argent de
ses clients ? ça c'est une vraie question. Car, dans les faillites
bancaires par exemple, les clients n'arrivent pas à récupérer leurs
billes, c'est curieux quand même !!!!!


Pas de problème. J'ai tout investi dans des liquidités qui sont
présentement dans une cave au sol en terre battue.



L'industrie allemande, l'économie brésilienne c'est bien aussi.
Mais surtout pas la France !
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PP
Le 22/10/2010 19:19, JKB a écrit :

Je parle de libéralisme _financier_. Ce qui n'est ni le libéralisme
ni la finance.



Justement, il faut parler d'anarchie financière.

La finance est un secteur économique parmi les plus régulés. Et pourtant
on continue à avoir des excès. Comme quoi, ce n'est peut-être pas un
problème de règles !?



Le plus _régulé_ ? À qui veux-tu faire accroire ça ?



Et pourtant.
La règlementation financière représenterait plus de 30000 pages.

http://www.wto.org/french/docs_f/legal_f/legal_f.htm

La finance permet l'expression de l'individualisme à son paroxysme à
travers des outils de la dite régulation à permis ! Chercher l'erreur.
Le Libéralisme n'est pas l'anarchie non plus.

non la vraie question est plutôt, pourquoi je n'y suis pas et comment
sortir du fric du système, parce que entre nous c'est pas prêt de
s'arrêter



Rassure-toi, ça risque de s'arrêter très vite comme c'est parti. Le
seul hic, c'est qu'on sera tous dans la merde et que la grande crise
de 29 passera à côté de ce qu'on va vivre comme une aimable
promenade de santé. Il n'y a qu'une seule façon d'éviter la chute
finale, mais aucun gouvernement ne s'y soumettra.



Si si
Le Canada, la Suède l'ont fait !
Le R-U est en train de s'y mettre.



Pour le R-U, je demande à _voir_.



En faillite il y a 30 ans, Mme Tatcher l'a fait, et ben ils vont
recommencer ...

L'Allemagne, c'est un peu différent, elle est rigoureuse travailleuse,
et respectueuse des générations futures, c'est toute une culture.



Euh, l'Allemagne, je connais bien. C'est un cliché. C'était vrai il
y a vingt ans.



La preuve !
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remy
On 22 oct, 19:22, PP wrote:
Le 22/10/2010 16:53, remy a écrit :

> ce que je voulais expliquer du moins ce que j'ai perçu pour être pl us
> exact c'est que le système financier draine vers lui des revenus li és au
> travail ,via des placements financiers (assurance vie, complémentaire
> retraite ,sicav, etc etc ,ou le bon petit placement de père de famill e
> et cela sur au minimum sur 1/3 de la planète

> et que les revenus induits par cet apport
> ne sont que très très très partiellement redistribués et donc n e
> servent pas à faire tourner l'économie réelle ,la plus grande par tie des
> revenus est réinvestie dans le système ce qui permet de faire de pl us
> gros bénéfices de manière ponctuelle (plus le gâteau augmente p lus ma
> part grossie)
> à l'arrivée tu te retrouves avec un système qui s' enrichi sans f aire
> tourner l'économie réelle, au détriment de l'autre,
> on t'a fait croire que l'on rasait gratis mais on t'a tondu

Tu parles des bulles là !

Tout investisseurs, qu'ils achètent une action, une obligation ou qu'il s
investissent directement dans une PME (en gros qu'ils achètent des
actions ...) font tourner l'économie.
Soit au moment de l'émission des actions/obligations pour apporter les
liquidités, soit indirectement par la liquidité des actions/obligatio ns
par les échanges sur les marchés (ce qui permet à l'investisseur de
pouvoir récupérer ses billes à un moment donné comme la retraite, un
achat, etc.)



Je parle de produit financier qui te sont vendus
comme des actions mais qui ne sont pas des actions

sous prétexte qu'il y a un rendement minimal ou un avantage a la con
tu donnes le droit au gestionnaire de faire se qu'il veut avec ton
fric

traduction il fait dans les 15% par ans marche spéculatif
je t'en refile 5 et garde le reste qu'il s empresse de réinvestir
compte rénuméré , produit d'assurance ,certain portefeuille d'action
par exemple

Par contre, l'achat de créance d'état permet aux états (comme la Fr ance)
de pouvoir continuer à vivre au dessus de ces moyens en faisant croire
au paradis sur terre. Le bon du trésor est le très bonne exemple de
l'outils de destruction de valeurs.
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Doug713705
Le 22/10/2010 19:03 dans fr.comp.os.linux.debats PP nous expliquait:

Les famines sont le fruit des dictatures et des guerres uniquement.



Et du niveau de vie occidental.

--
@+
Doug - Linux user #307925 - Slackware64 roulaize ;-)
Usenet-fr ? Mais qu'est-ce que c'est ?
Pour en savoir plus : http://www.dougwise.org/wiki
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Fautvoir
Le 22/10/2010 19:01, PP a écrit :
Le 22/10/2010 17:51, Fautvoir a écrit :

La privatisation des profits et la socialisation des pertes, ce n'est
pas de la politique, c'est un mécanisme.



Slogan trop facile !
Personne n'oblige la société de prendre en charge les pertes.



Ce n'est pas un slogan. Quand une structure est ruinée, comment lui
faire payer les pertes ? La seule solution est de se tourner vers la
collectivité. Ce n'est pas un choix, c'est la seule solution une fois
les dégats causés.
Si les banques n'avaient pas été renflouées ou aidées lors de
l'éclatement de la bulle des subprimes, nous serions tous dans une très
mauvaise situation.

La bonne politique consiste à empêcher les acteurs économiques de
prendrent des risques qu'ils ne pourront mécaniquement (et non pas
politiqueent) plus assumer en cas de retournement de situation. Les
règles prudentielles bien construites peuvent le permettre.