Eh bin elle est écrit dedans, sa définition de libre.
Non. Je pense que tu ne sais pas ce qu'est une définition. En voici un exemple :
http://www.opensource.org/docs/osd
Il y en a d'autres, qui disent souvent globalement la même chose, mais pas exactement.
Plusieurs personnes ont prétendu ici que la licence GPL n'était « pas vraiment » libre, alors que la BSD l'est : j'attends de voir sur quelle définition précisément ils s'appuient pour dire ça.
Benjamin FRANCOIS , dans le message <slrnfoqlho.7ds.kwyxz@kwyxz.org>, a
écrit :
Eh bin elle est écrit dedans, sa définition de libre.
Non. Je pense que tu ne sais pas ce qu'est une définition. En voici un
exemple :
http://www.opensource.org/docs/osd
Il y en a d'autres, qui disent souvent globalement la même chose, mais pas
exactement.
Plusieurs personnes ont prétendu ici que la licence GPL n'était « pas
vraiment » libre, alors que la BSD l'est : j'attends de voir sur quelle
définition précisément ils s'appuient pour dire ça.
Eh bin elle est écrit dedans, sa définition de libre.
Non. Je pense que tu ne sais pas ce qu'est une définition. En voici un exemple :
http://www.opensource.org/docs/osd
Il y en a d'autres, qui disent souvent globalement la même chose, mais pas exactement.
Plusieurs personnes ont prétendu ici que la licence GPL n'était « pas vraiment » libre, alors que la BSD l'est : j'attends de voir sur quelle définition précisément ils s'appuient pour dire ça.
talon
SL wrote:
Bon, il aurait peut être mieux vallu le dire plus haut, non ? Tu semblais donner un exemple a l'appuie de l'argument que des machines antédiluviennes seraient largement suffisante pour un usage grand public.
Je disais que des machines antédiluviennes peuvent faire tourner KDE, et donc remplir les services courants de mail, news, browser, etc. Pour OpenOffice, qui est un monstre, il faut évidemment une machine puissante. Sinoon il faut se contenter de choses comme abiword qui sont moins gourmandes (tant que le document n'est pas trop gros, sinon abiword est encore pire que OpenOffice), voire antiword, etc.
--
Michel TALON
SL <nospam@nospam.fr> wrote:
Bon, il aurait peut être mieux vallu le dire plus haut, non ? Tu
semblais donner un exemple a l'appuie de l'argument que des machines
antédiluviennes seraient largement suffisante pour un usage grand
public.
Je disais que des machines antédiluviennes peuvent faire tourner KDE, et
donc remplir les services courants de mail, news, browser, etc. Pour
OpenOffice, qui est un monstre, il faut évidemment une machine
puissante. Sinoon il faut se contenter de choses comme abiword qui sont
moins gourmandes (tant que le document n'est pas trop gros, sinon
abiword est encore pire que OpenOffice), voire antiword, etc.
Bon, il aurait peut être mieux vallu le dire plus haut, non ? Tu semblais donner un exemple a l'appuie de l'argument que des machines antédiluviennes seraient largement suffisante pour un usage grand public.
Je disais que des machines antédiluviennes peuvent faire tourner KDE, et donc remplir les services courants de mail, news, browser, etc. Pour OpenOffice, qui est un monstre, il faut évidemment une machine puissante. Sinoon il faut se contenter de choses comme abiword qui sont moins gourmandes (tant que le document n'est pas trop gros, sinon abiword est encore pire que OpenOffice), voire antiword, etc.
--
Michel TALON
Benjamin FRANCOIS
Nicolas George s'est exprimé en ces termes:
Non. Je pense que tu ne sais pas ce qu'est une définition.
Oui alors merci de m'appeller con, mais "YOU JUST DO WHAT THE FUCK YOU WANT TO" est une excellente définition, la différence avec l'URL que tu files c'est qu'il n'y a qu'un point, celui sus-cité.
-- When Batman is in trouble, he turns on the Jack Bauer signal.
Nicolas George s'est exprimé en ces termes:
Non. Je pense que tu ne sais pas ce qu'est une définition.
Oui alors merci de m'appeller con, mais "YOU JUST DO WHAT THE FUCK YOU
WANT TO" est une excellente définition, la différence avec l'URL que tu
files c'est qu'il n'y a qu'un point, celui sus-cité.
--
When Batman is in trouble, he turns on the Jack Bauer signal.
Non. Je pense que tu ne sais pas ce qu'est une définition.
Oui alors merci de m'appeller con, mais "YOU JUST DO WHAT THE FUCK YOU WANT TO" est une excellente définition, la différence avec l'URL que tu files c'est qu'il n'y a qu'un point, celui sus-cité.
-- When Batman is in trouble, he turns on the Jack Bauer signal.
SL
Le 16-01-2008, Michel Talon a écrit :
SL wrote:
Bon, il aurait peut être mieux vallu le dire plus haut, non ? Tu semblais donner un exemple a l'appuie de l'argument que des machines antédiluviennes seraient largement suffisante pour un usage grand public.
Je disais que des machines antédiluviennes peuvent faire tourner KDE, et donc remplir les services courants de mail, news, browser, etc. Pour OpenOffice, qui est un monstre, il faut évidemment une machine puissante. Sinoon il faut se contenter de choses comme abiword qui sont moins gourmandes (tant que le document n'est pas trop gros, sinon abiword est encore pire que OpenOffice), voire antiword, etc.
Il me semble que la conclusion, à moins de vouloir chipoter, c'est : il est tout à fait inimaginable de faire utiliser la machine que tu décris par le grand public sauf sous la menaces de violences physiques ou de sanctions financières (et encore).
Le 16-01-2008, Michel Talon <talon@lpthe.jussieu.fr> a écrit :
SL <nospam@nospam.fr> wrote:
Bon, il aurait peut être mieux vallu le dire plus haut, non ? Tu
semblais donner un exemple a l'appuie de l'argument que des machines
antédiluviennes seraient largement suffisante pour un usage grand
public.
Je disais que des machines antédiluviennes peuvent faire tourner KDE, et
donc remplir les services courants de mail, news, browser, etc. Pour
OpenOffice, qui est un monstre, il faut évidemment une machine
puissante. Sinoon il faut se contenter de choses comme abiword qui sont
moins gourmandes (tant que le document n'est pas trop gros, sinon
abiword est encore pire que OpenOffice), voire antiword, etc.
Il me semble que la conclusion, à moins de vouloir chipoter, c'est : il
est tout à fait inimaginable de faire utiliser la machine que tu décris
par le grand public sauf sous la menaces de violences physiques ou de
sanctions financières (et encore).
Bon, il aurait peut être mieux vallu le dire plus haut, non ? Tu semblais donner un exemple a l'appuie de l'argument que des machines antédiluviennes seraient largement suffisante pour un usage grand public.
Je disais que des machines antédiluviennes peuvent faire tourner KDE, et donc remplir les services courants de mail, news, browser, etc. Pour OpenOffice, qui est un monstre, il faut évidemment une machine puissante. Sinoon il faut se contenter de choses comme abiword qui sont moins gourmandes (tant que le document n'est pas trop gros, sinon abiword est encore pire que OpenOffice), voire antiword, etc.
Il me semble que la conclusion, à moins de vouloir chipoter, c'est : il est tout à fait inimaginable de faire utiliser la machine que tu décris par le grand public sauf sous la menaces de violences physiques ou de sanctions financières (et encore).
Nicolas George
Benjamin FRANCOIS , dans le message , a écrit :
Oui alors merci de m'appeller con, mais "YOU JUST DO WHAT THE FUCK YOU WANT TO" est une excellente définition
Donc ta définition, c'est : un logiciel est libre si sa licence te permet de faire tout ce que tu veux. C'est bien ça.
Effectivement, c'est une définition, simple et élégante.
Attention, plus difficile : cite-moi un logiciel largement connu et utilisé qui soit libre suivant cette définition.
Benjamin FRANCOIS , dans le message <slrnforltg.7mg.kwyxz@kwyxz.org>, a
écrit :
Oui alors merci de m'appeller con, mais "YOU JUST DO WHAT THE FUCK YOU
WANT TO" est une excellente définition
Donc ta définition, c'est : un logiciel est libre si sa licence te permet de
faire tout ce que tu veux. C'est bien ça.
Effectivement, c'est une définition, simple et élégante.
Attention, plus difficile : cite-moi un logiciel largement connu et utilisé
qui soit libre suivant cette définition.
Oui alors merci de m'appeller con, mais "YOU JUST DO WHAT THE FUCK YOU WANT TO" est une excellente définition
Donc ta définition, c'est : un logiciel est libre si sa licence te permet de faire tout ce que tu veux. C'est bien ça.
Effectivement, c'est une définition, simple et élégante.
Attention, plus difficile : cite-moi un logiciel largement connu et utilisé qui soit libre suivant cette définition.
Khanh-Dang
Mais on ne peut en aucun cas parler d'un besoin avec un sens "réel" au sens où tu l'entends. Il n'y a pas d'un côté le royaume du faux et de l'autre le ciel des idées.
Je me suis fait mal comprendre. Je ne parle aucunement d'un besoin idéal qu'il faudrait que les utilisateurs aient. Autrement dit, je ne parle pas non plus d'idéologie à asseoir :
Prétendre qu'un préalable nécessaire est d'"éclairer" les gens est très naïf (et dangereux)
J'utilise l'adjectif « éclairé » pour qualifier des utilisateurs et tu comprends que je prétends qu'un préalable nécessaire (à quoi ?) soit d'éclairer les gens par un savoir absolu...
Je ne prétends pas que le logiciel libre réponde aux besoins de tout le monde et je ne prétends pas imposer aux gens les seuls besoins auxquels répond le logiciel libre. Seulement, je déplore qu'un *grand nombre* d'utilisateurs soient *mal informés*, de telle sorte que là où le logiciel libre pourrait répondre à la totalité de leurs besoins, ou tout du moins à une partie largement satisfaisante, il choisissent sans connaissance de cause, voire se voient imposer, d'autres solutions.
Mais on ne peut en aucun cas parler d'un besoin avec un sens "réel" au
sens où tu l'entends. Il n'y a pas d'un côté le royaume du faux et de
l'autre le ciel des idées.
Je me suis fait mal comprendre. Je ne parle aucunement d'un besoin idéal
qu'il faudrait que les utilisateurs aient. Autrement dit, je ne parle
pas non plus d'idéologie à asseoir :
Prétendre qu'un préalable nécessaire
est d'"éclairer" les gens est très naïf (et dangereux)
J'utilise l'adjectif « éclairé » pour qualifier des utilisateurs et tu
comprends que je prétends qu'un préalable nécessaire (à quoi ?) soit
d'éclairer les gens par un savoir absolu...
Je ne prétends pas que le logiciel libre réponde aux besoins de tout le
monde et je ne prétends pas imposer aux gens les seuls besoins auxquels
répond le logiciel libre. Seulement, je déplore qu'un *grand nombre*
d'utilisateurs soient *mal informés*, de telle sorte que là où le
logiciel libre pourrait répondre à la totalité de leurs besoins, ou tout
du moins à une partie largement satisfaisante, il choisissent sans
connaissance de cause, voire se voient imposer, d'autres solutions.
Mais on ne peut en aucun cas parler d'un besoin avec un sens "réel" au sens où tu l'entends. Il n'y a pas d'un côté le royaume du faux et de l'autre le ciel des idées.
Je me suis fait mal comprendre. Je ne parle aucunement d'un besoin idéal qu'il faudrait que les utilisateurs aient. Autrement dit, je ne parle pas non plus d'idéologie à asseoir :
Prétendre qu'un préalable nécessaire est d'"éclairer" les gens est très naïf (et dangereux)
J'utilise l'adjectif « éclairé » pour qualifier des utilisateurs et tu comprends que je prétends qu'un préalable nécessaire (à quoi ?) soit d'éclairer les gens par un savoir absolu...
Je ne prétends pas que le logiciel libre réponde aux besoins de tout le monde et je ne prétends pas imposer aux gens les seuls besoins auxquels répond le logiciel libre. Seulement, je déplore qu'un *grand nombre* d'utilisateurs soient *mal informés*, de telle sorte que là où le logiciel libre pourrait répondre à la totalité de leurs besoins, ou tout du moins à une partie largement satisfaisante, il choisissent sans connaissance de cause, voire se voient imposer, d'autres solutions.
talon
Nicolas George <nicolas$ wrote:
Benjamin FRANCOIS , dans le message , a écrit :
Oui alors merci de m'appeller con, mais "YOU JUST DO WHAT THE FUCK YOU WANT TO" est une excellente définition
Donc ta définition, c'est : un logiciel est libre si sa licence te permet de faire tout ce que tu veux. C'est bien ça.
Effectivement, c'est une définition, simple et élégante.
Attention, plus difficile : cite-moi un logiciel largement connu et utilisé qui soit libre suivant cette définition.
Essentiellement tous les logiciels sous licence BSD, ne t'en déplaise. En effet voici en quoi elle consiste:
* Redistribution and use in source and binary forms, with or without * modification, are permitted provided that the following conditions * are met: * 1. Redistributions of source code must retain the above copyright * notice, this list of conditions and the following disclaimer. * 2. Redistributions in binary form must reproduce the above copyright * notice, this list of conditions and the following disclaimer in * the documentation and/or other materials provided with the * distribution. * 4. Neither the name of the University nor the names of its contributors * may be used to endorse or promote products derived from this software * without specific prior written permission. * * THIS SOFTWARE IS PROVIDED BY THE REGENTS AND CONTRIBUTORS ``AS IS'' * ...
En bref, il y a bien une contrainte, et en ce sens une absence de liberté, mais cette contrainte représente un ennui pratique extrêmement minime, reproduire la notice de copyright. En dehors de celà c'est exactement la même chose que la définition ci-dessus: "YOU JUST DO WHAT THE FUCK YOU WANT TO" Et tu pourras toujours frétiller autant que tu voudras, la GPL introduit une clause contraire à la liberté tellement forte (la clause virale) que c'est à bon droit qu'on peut dire que la GPL n'est *pas* une licence libre, sauf à tordre la notion de liberté en tous sens comme fait Stallman. Et je ne parle pas des ergotages et pinaillages en tout genre qu'il faut se fader pendant des pages et des pages pour tenter de comprendre ce qu'elle veut dire exactement, ce qui en soit devrait suffire à la disqualifier complètement comme licence d'usage courant.
--
Michel TALON
Nicolas George <nicolas$george@salle-s.org> wrote:
Benjamin FRANCOIS , dans le message <slrnforltg.7mg.kwyxz@kwyxz.org>, a
écrit :
Oui alors merci de m'appeller con, mais "YOU JUST DO WHAT THE FUCK YOU
WANT TO" est une excellente définition
Donc ta définition, c'est : un logiciel est libre si sa licence te permet de
faire tout ce que tu veux. C'est bien ça.
Effectivement, c'est une définition, simple et élégante.
Attention, plus difficile : cite-moi un logiciel largement connu et utilisé
qui soit libre suivant cette définition.
Essentiellement tous les logiciels sous licence BSD, ne t'en déplaise.
En effet voici en quoi elle consiste:
* Redistribution and use in source and binary forms, with or without
* modification, are permitted provided that the following conditions
* are met:
* 1. Redistributions of source code must retain the above copyright
* notice, this list of conditions and the following disclaimer.
* 2. Redistributions in binary form must reproduce the above copyright
* notice, this list of conditions and the following disclaimer in
* the documentation and/or other materials provided with the
* distribution.
* 4. Neither the name of the University nor the names of its contributors
* may be used to endorse or promote products derived from this software
* without specific prior written permission.
*
* THIS SOFTWARE IS PROVIDED BY THE REGENTS AND CONTRIBUTORS ``AS IS''
* ...
En bref, il y a bien une contrainte, et en ce sens une absence de
liberté, mais cette contrainte représente un ennui pratique extrêmement
minime, reproduire la notice de copyright. En dehors de celà c'est
exactement la même chose que la définition ci-dessus:
"YOU JUST DO WHAT THE FUCK YOU WANT TO"
Et tu pourras toujours frétiller autant que tu voudras, la GPL introduit
une clause contraire à la liberté tellement forte (la clause virale) que
c'est à bon droit qu'on peut dire que la GPL n'est *pas* une licence
libre, sauf à tordre la notion de liberté en tous sens comme fait
Stallman. Et je ne parle pas des ergotages et pinaillages en tout genre
qu'il faut se fader pendant des pages et des pages pour tenter de
comprendre ce qu'elle veut dire exactement, ce qui en soit devrait
suffire à la disqualifier complètement comme licence d'usage courant.
Oui alors merci de m'appeller con, mais "YOU JUST DO WHAT THE FUCK YOU WANT TO" est une excellente définition
Donc ta définition, c'est : un logiciel est libre si sa licence te permet de faire tout ce que tu veux. C'est bien ça.
Effectivement, c'est une définition, simple et élégante.
Attention, plus difficile : cite-moi un logiciel largement connu et utilisé qui soit libre suivant cette définition.
Essentiellement tous les logiciels sous licence BSD, ne t'en déplaise. En effet voici en quoi elle consiste:
* Redistribution and use in source and binary forms, with or without * modification, are permitted provided that the following conditions * are met: * 1. Redistributions of source code must retain the above copyright * notice, this list of conditions and the following disclaimer. * 2. Redistributions in binary form must reproduce the above copyright * notice, this list of conditions and the following disclaimer in * the documentation and/or other materials provided with the * distribution. * 4. Neither the name of the University nor the names of its contributors * may be used to endorse or promote products derived from this software * without specific prior written permission. * * THIS SOFTWARE IS PROVIDED BY THE REGENTS AND CONTRIBUTORS ``AS IS'' * ...
En bref, il y a bien une contrainte, et en ce sens une absence de liberté, mais cette contrainte représente un ennui pratique extrêmement minime, reproduire la notice de copyright. En dehors de celà c'est exactement la même chose que la définition ci-dessus: "YOU JUST DO WHAT THE FUCK YOU WANT TO" Et tu pourras toujours frétiller autant que tu voudras, la GPL introduit une clause contraire à la liberté tellement forte (la clause virale) que c'est à bon droit qu'on peut dire que la GPL n'est *pas* une licence libre, sauf à tordre la notion de liberté en tous sens comme fait Stallman. Et je ne parle pas des ergotages et pinaillages en tout genre qu'il faut se fader pendant des pages et des pages pour tenter de comprendre ce qu'elle veut dire exactement, ce qui en soit devrait suffire à la disqualifier complètement comme licence d'usage courant.
--
Michel TALON
Khanh-Dang
Il me semble que la conclusion, à moins de vouloir chipoter, c'est : il est tout à fait inimaginable de faire utiliser la machine que tu décris par le grand public sauf sous la menaces de violences physiques ou de sanctions financières (et encore).
Ma soeur utilise tous les jours un KDE 3 sur un PIII 500 Mhz avec 256 Mo et elle en est positivement contente. Elle y fait tourner konqueror, kopete, amarok, akregator, les divers petits jeux, gimp. Tous ces programmes tournent en même temps. Je n'ai fait aucun lobying, aucune menaces ni actions de violence physique, ni sanctions financières.
Il me semble que la conclusion, à moins de vouloir chipoter, c'est : il
est tout à fait inimaginable de faire utiliser la machine que tu décris
par le grand public sauf sous la menaces de violences physiques ou de
sanctions financières (et encore).
Ma soeur utilise tous les jours un KDE 3 sur un PIII 500 Mhz avec 256 Mo
et elle en est positivement contente. Elle y fait tourner konqueror,
kopete, amarok, akregator, les divers petits jeux, gimp. Tous ces
programmes tournent en même temps. Je n'ai fait aucun lobying, aucune
menaces ni actions de violence physique, ni sanctions financières.
Il me semble que la conclusion, à moins de vouloir chipoter, c'est : il est tout à fait inimaginable de faire utiliser la machine que tu décris par le grand public sauf sous la menaces de violences physiques ou de sanctions financières (et encore).
Ma soeur utilise tous les jours un KDE 3 sur un PIII 500 Mhz avec 256 Mo et elle en est positivement contente. Elle y fait tourner konqueror, kopete, amarok, akregator, les divers petits jeux, gimp. Tous ces programmes tournent en même temps. Je n'ai fait aucun lobying, aucune menaces ni actions de violence physique, ni sanctions financières.
talon
SL wrote:
Il me semble que la conclusion, à moins de vouloir chipoter, c'est : il est tout à fait inimaginable de faire utiliser la machine que tu décris par le grand public sauf sous la menaces de violences physiques ou de sanctions financières (et encore).
Si le grand public a besoin d'OpenOffice, oui, je suis d'accord avec toi. OpenOffice n'est heureux qu'avec une machine puissante. Sur mon portable Core 2 Duo il démarre presque instantanément. Idem pour les autres monstres genre Eclipse, NetBeans, etc. La question est de savoir si le grand public a besoin de monstres comme ça, et là je n'ai pas de réponse. Mon usage personnel de l'ordinateur, c'est d'abord et avant tout, mail et similaires, et browser, et là il n'y a pas rééllement besoin d'une machine puissante. Ce qui t'explique le succès de choses comme les machines à base de Via Epia, ou du portable Asus Eee PC.
Si le besoin du grand public c'est de jouer aux derniers jeux à la mode, alors il faut un PC surpuissant overclocké avec la dernière carte vidéo à la mode qui coute plus cher que tout le reste du PC.
--
Michel TALON
SL <nospam@nospam.fr> wrote:
Il me semble que la conclusion, à moins de vouloir chipoter, c'est : il
est tout à fait inimaginable de faire utiliser la machine que tu décris
par le grand public sauf sous la menaces de violences physiques ou de
sanctions financières (et encore).
Si le grand public a besoin d'OpenOffice, oui, je suis d'accord avec toi.
OpenOffice n'est heureux qu'avec une machine puissante. Sur mon portable
Core 2 Duo il démarre presque instantanément. Idem pour les autres
monstres genre Eclipse, NetBeans, etc. La question est de savoir si le
grand public a besoin de monstres comme ça, et là je n'ai pas de
réponse. Mon usage personnel de l'ordinateur, c'est d'abord et avant
tout, mail et similaires, et browser, et là il n'y a pas rééllement
besoin d'une machine puissante. Ce qui t'explique le succès de choses
comme les machines à base de Via Epia, ou du portable Asus Eee PC.
Si le besoin du grand public c'est de jouer aux derniers jeux à la mode,
alors il faut un PC surpuissant overclocké avec la dernière carte vidéo
à la mode qui coute plus cher que tout le reste du PC.
Il me semble que la conclusion, à moins de vouloir chipoter, c'est : il est tout à fait inimaginable de faire utiliser la machine que tu décris par le grand public sauf sous la menaces de violences physiques ou de sanctions financières (et encore).
Si le grand public a besoin d'OpenOffice, oui, je suis d'accord avec toi. OpenOffice n'est heureux qu'avec une machine puissante. Sur mon portable Core 2 Duo il démarre presque instantanément. Idem pour les autres monstres genre Eclipse, NetBeans, etc. La question est de savoir si le grand public a besoin de monstres comme ça, et là je n'ai pas de réponse. Mon usage personnel de l'ordinateur, c'est d'abord et avant tout, mail et similaires, et browser, et là il n'y a pas rééllement besoin d'une machine puissante. Ce qui t'explique le succès de choses comme les machines à base de Via Epia, ou du portable Asus Eee PC.
Si le besoin du grand public c'est de jouer aux derniers jeux à la mode, alors il faut un PC surpuissant overclocké avec la dernière carte vidéo à la mode qui coute plus cher que tout le reste du PC.
--
Michel TALON
Nicolas George
Michel Talon, dans le message <fmkmqk$2t8q$, a écrit :
En bref, il y a bien une contrainte, et en ce sens une absence de liberté, mais cette contrainte représente un ennui pratique extrêmement minime, reproduire la notice de copyright. En dehors de celà c'est exactement la même chose que la définition ci-dessus: "YOU JUST DO WHAT THE FUCK YOU WANT TO"
Et un triangle rectangle, il a un angle plus gros que les autres, mais en dehors de cela, c'est exactement la même chose que la définition d'un triangle équilatéral : tous les angles égaux.
Je pensais que toi, entre tous, tu comprendrais la notion de définition : soit on respecte les critères, soit on ne les respecte pas, il n'y a pas de « en dehors de cela » qui tienne.
La licence BSD ne respecte pas la définition « YOU JUST DO WHAT THE FUCK YOU WANT TO », point. Donc cette définition est sans intérêt, et inutilisable pour définira la notion de logiciel libre.
Et tu pourras toujours frétiller autant que tu voudras, la GPL introduit une clause contraire à la liberté tellement forte (la clause virale) que c'est à bon droit qu'on peut dire que la GPL n'est *pas* une licence libre
La GPL introduit une clause contraignante, c'est tout à fait vrai. La question est de savoir si cette contrainte est compatible ou non avec la notion de logiciel libre. Pour ça, il faut des critères. J'attends de voir un jeu de critères tels que :
- selon ces critères, les licences dont personne ne conteste la liberté, comme la licence BSD (y compris l'originale), la licence Artistic, la licence X11, la licence Apache, etc., sont bien libres ;
- selon ces critères, la GPL n'est pas une licence de logiciel libre ;
- on ne voit pas comme le nez au milieu de la figure qu'elle a été conçue spécialement pour exclure la GPL.
(Parce qu'on pourrait aussi dire « une licence est libre si elle respecte les DFSG, sauf si c'est la GPL » ; ce ne serait pas très intéressant pour le débat.)
Toi personnellement, tu répètes à loisir que la GPL n'est pas libre, mais ça fait plusieurs fois que je te mets au défi d'exhiber ce jeu de critères, et tu n'en as jamais été capable, tu as toujours éludé la question. Jusqu'à ce que tu le fasses, je considérerai que tes élucubrations ne sont rien de plus que cela.
Michel Talon, dans le message <fmkmqk$2t8q$2@asmodee.lpthe.jussieu.fr>,
a écrit :
En bref, il y a bien une contrainte, et en ce sens une absence de
liberté, mais cette contrainte représente un ennui pratique extrêmement
minime, reproduire la notice de copyright. En dehors de celà c'est
exactement la même chose que la définition ci-dessus:
"YOU JUST DO WHAT THE FUCK YOU WANT TO"
Et un triangle rectangle, il a un angle plus gros que les autres, mais en
dehors de cela, c'est exactement la même chose que la définition d'un
triangle équilatéral : tous les angles égaux.
Je pensais que toi, entre tous, tu comprendrais la notion de définition :
soit on respecte les critères, soit on ne les respecte pas, il n'y a pas de
« en dehors de cela » qui tienne.
La licence BSD ne respecte pas la définition « YOU JUST DO WHAT THE FUCK YOU
WANT TO », point. Donc cette définition est sans intérêt, et inutilisable
pour définira la notion de logiciel libre.
Et tu pourras toujours frétiller autant que tu voudras, la GPL introduit
une clause contraire à la liberté tellement forte (la clause virale) que
c'est à bon droit qu'on peut dire que la GPL n'est *pas* une licence
libre
La GPL introduit une clause contraignante, c'est tout à fait vrai. La
question est de savoir si cette contrainte est compatible ou non avec la
notion de logiciel libre. Pour ça, il faut des critères. J'attends de voir
un jeu de critères tels que :
- selon ces critères, les licences dont personne ne conteste la liberté,
comme la licence BSD (y compris l'originale), la licence Artistic, la
licence X11, la licence Apache, etc., sont bien libres ;
- selon ces critères, la GPL n'est pas une licence de logiciel libre ;
- on ne voit pas comme le nez au milieu de la figure qu'elle a été conçue
spécialement pour exclure la GPL.
(Parce qu'on pourrait aussi dire « une licence est libre si elle respecte
les DFSG, sauf si c'est la GPL » ; ce ne serait pas très intéressant pour le
débat.)
Toi personnellement, tu répètes à loisir que la GPL n'est pas libre, mais ça
fait plusieurs fois que je te mets au défi d'exhiber ce jeu de critères, et
tu n'en as jamais été capable, tu as toujours éludé la question. Jusqu'à ce
que tu le fasses, je considérerai que tes élucubrations ne sont rien de plus
que cela.
Michel Talon, dans le message <fmkmqk$2t8q$, a écrit :
En bref, il y a bien une contrainte, et en ce sens une absence de liberté, mais cette contrainte représente un ennui pratique extrêmement minime, reproduire la notice de copyright. En dehors de celà c'est exactement la même chose que la définition ci-dessus: "YOU JUST DO WHAT THE FUCK YOU WANT TO"
Et un triangle rectangle, il a un angle plus gros que les autres, mais en dehors de cela, c'est exactement la même chose que la définition d'un triangle équilatéral : tous les angles égaux.
Je pensais que toi, entre tous, tu comprendrais la notion de définition : soit on respecte les critères, soit on ne les respecte pas, il n'y a pas de « en dehors de cela » qui tienne.
La licence BSD ne respecte pas la définition « YOU JUST DO WHAT THE FUCK YOU WANT TO », point. Donc cette définition est sans intérêt, et inutilisable pour définira la notion de logiciel libre.
Et tu pourras toujours frétiller autant que tu voudras, la GPL introduit une clause contraire à la liberté tellement forte (la clause virale) que c'est à bon droit qu'on peut dire que la GPL n'est *pas* une licence libre
La GPL introduit une clause contraignante, c'est tout à fait vrai. La question est de savoir si cette contrainte est compatible ou non avec la notion de logiciel libre. Pour ça, il faut des critères. J'attends de voir un jeu de critères tels que :
- selon ces critères, les licences dont personne ne conteste la liberté, comme la licence BSD (y compris l'originale), la licence Artistic, la licence X11, la licence Apache, etc., sont bien libres ;
- selon ces critères, la GPL n'est pas une licence de logiciel libre ;
- on ne voit pas comme le nez au milieu de la figure qu'elle a été conçue spécialement pour exclure la GPL.
(Parce qu'on pourrait aussi dire « une licence est libre si elle respecte les DFSG, sauf si c'est la GPL » ; ce ne serait pas très intéressant pour le débat.)
Toi personnellement, tu répètes à loisir que la GPL n'est pas libre, mais ça fait plusieurs fois que je te mets au défi d'exhiber ce jeu de critères, et tu n'en as jamais été capable, tu as toujours éludé la question. Jusqu'à ce que tu le fasses, je considérerai que tes élucubrations ne sont rien de plus que cela.