Le mercredi 16 janvier 2008 23:25, Emmanuel Florac s'est exprimé de la sorte sur fr.comp.os.linux.debats :
la place du grand public, c'est aux champs avec une serpette :)
Ou un marteau :
http://doug.letough.free.fr/images/karlmurx.png
-- @+ Doug - Linux user #307925 - Gentoo rocks ;-) [ Plus ou moins avec une chance de peut-être ] - Pour me contacter, enlever nospam (2X) -
SL
Le 16-01-2008, Nicolas George <nicolas$ a écrit :
SL , dans le message , a écrit :
Comment peux tu dire cela ? <snip encore de la prose indigeste que j'ai la flemme de lire>
En lisant les clauses. Comme j'essaie de te le faire comprendre, l'intention de l'auteur de la licence n'est pas pertinente pour juger de la liberté de la licence au delà de son strict effet sur les clauses.
Les clauses énoncent clairement que le code doit être maintenu dans la même licence, et c'est une contrainte, une restriction à la liberté.
Par ailleurs je vois pas comment tu peux juger de la liberté que te donne quelque chose si tu ne prends pas en compte ce à quoi elle contribue à long terme et particulièrement les choix politiques qu'elle implique. De ce point de vue, les intentions, derrière les clauses, comptent. Et les intentions sont parfaitement claires dans le cas de la GPL. Et le choix politique derrière ces intentions est particulièrement contraignant ; pour tout dire, il est même parfaitement totalitaire, derrière plein d'arguments convainquants.
Je reviens donc à mon critère : il est évident que la GPL m'instrumentalise pour un projet politique. On peut faire semblant de ne pas le voir et juger la GPL à travers une lecture "ras des paquerettes" comme tu dis, mais les faits sont là. Et si jamais la "liberté" pour une licence a un sens, il me semble que ce n'est pas "essayer de contraindre à un projet politique".
Le 16-01-2008, Nicolas George <nicolas$george@salle-s.org> a écrit :
SL , dans le message <slrnfosi62.6sr.nospam@valla.limsi.fr>, a écrit :
Comment peux tu dire cela ?
<snip encore de la prose indigeste que j'ai la flemme de lire>
En lisant les clauses. Comme j'essaie de te le faire comprendre, l'intention
de l'auteur de la licence n'est pas pertinente pour juger de la liberté de
la licence au delà de son strict effet sur les clauses.
Les clauses énoncent clairement que le code doit être maintenu dans la
même licence, et c'est une contrainte, une restriction à la liberté.
Par ailleurs je vois pas comment tu peux juger de la liberté que te
donne quelque chose si tu ne prends pas en compte ce à quoi elle
contribue à long terme et particulièrement les choix politiques qu'elle
implique. De ce point de vue, les intentions, derrière les clauses,
comptent. Et les intentions sont parfaitement claires dans le cas de la
GPL. Et le choix politique derrière ces intentions est particulièrement
contraignant ; pour tout dire, il est même parfaitement totalitaire,
derrière plein d'arguments convainquants.
Je reviens donc à mon critère : il est évident que la GPL
m'instrumentalise pour un projet politique. On peut faire semblant de ne
pas le voir et juger la GPL à travers une lecture "ras des paquerettes"
comme tu dis, mais les faits sont là. Et si jamais la "liberté" pour une
licence a un sens, il me semble que ce n'est pas "essayer de contraindre
à un projet politique".
Comment peux tu dire cela ? <snip encore de la prose indigeste que j'ai la flemme de lire>
En lisant les clauses. Comme j'essaie de te le faire comprendre, l'intention de l'auteur de la licence n'est pas pertinente pour juger de la liberté de la licence au delà de son strict effet sur les clauses.
Les clauses énoncent clairement que le code doit être maintenu dans la même licence, et c'est une contrainte, une restriction à la liberté.
Par ailleurs je vois pas comment tu peux juger de la liberté que te donne quelque chose si tu ne prends pas en compte ce à quoi elle contribue à long terme et particulièrement les choix politiques qu'elle implique. De ce point de vue, les intentions, derrière les clauses, comptent. Et les intentions sont parfaitement claires dans le cas de la GPL. Et le choix politique derrière ces intentions est particulièrement contraignant ; pour tout dire, il est même parfaitement totalitaire, derrière plein d'arguments convainquants.
Je reviens donc à mon critère : il est évident que la GPL m'instrumentalise pour un projet politique. On peut faire semblant de ne pas le voir et juger la GPL à travers une lecture "ras des paquerettes" comme tu dis, mais les faits sont là. Et si jamais la "liberté" pour une licence a un sens, il me semble que ce n'est pas "essayer de contraindre à un projet politique".
SL
Le 16-01-2008, Emmanuel Florac a écrit :
Le Wed, 16 Jan 2008 00:07:43 +0000, SL a écrit :
Pour elle, la voiture relève objectivement du besoin, et prétendre le contraire c'est de l'authentique violence.
Ouah putain l'écolo! Magnifique! Il faudrait l'encadrer à côté de la phrase de GWBush "le mode de vie américain n'est pas négociable"!!!!
Trop d'honneur. Si tu essayais de pas lire trop vite, tu remarquerais que je ne porte aucun jugement sur la voiture ou tel ou tel mode de vie, mais seulement sur la nature de la résistance aux arguments en faveur d'un changement, changement que je considère comme très important et souhaitable par ailleurs.
Le 16-01-2008, Emmanuel Florac <eflorac@imaginet.fr> a écrit :
Le Wed, 16 Jan 2008 00:07:43 +0000, SL a écrit :
Pour elle, la voiture relève objectivement du besoin, et prétendre le
contraire c'est de l'authentique violence.
Ouah putain l'écolo! Magnifique! Il faudrait l'encadrer à côté de la
phrase de GWBush "le mode de vie américain n'est pas négociable"!!!!
Trop d'honneur. Si tu essayais de pas lire trop vite, tu remarquerais
que je ne porte aucun jugement sur la voiture ou tel ou tel mode de vie,
mais seulement sur la nature de la résistance aux arguments en faveur
d'un changement, changement que je considère comme très important et
souhaitable par ailleurs.
Pour elle, la voiture relève objectivement du besoin, et prétendre le contraire c'est de l'authentique violence.
Ouah putain l'écolo! Magnifique! Il faudrait l'encadrer à côté de la phrase de GWBush "le mode de vie américain n'est pas négociable"!!!!
Trop d'honneur. Si tu essayais de pas lire trop vite, tu remarquerais que je ne porte aucun jugement sur la voiture ou tel ou tel mode de vie, mais seulement sur la nature de la résistance aux arguments en faveur d'un changement, changement que je considère comme très important et souhaitable par ailleurs.
SL
Le 16-01-2008, Emmanuel Florac a écrit :
Le Wed, 16 Jan 2008 21:41:24 +0000, SL a écrit :
Voilà, j'ai vérifié, c'est un Pentium III 447.69-MHz avec 366 MB. Même en restant uniquement avec des applications KDE, il faut par exemple attendre entre 5 et 10 seconde le lancement de kontact alors que kmail et un konqueror sont ouvert. C'est inutilisable sans une raison particulière d'être patient.
Ce n'est pas spécialement choquant, et peut-être même que le DMA n'est pas activé sur le disque...
Comment ça pas choquant ? C'est horriblement lent.
Le 16-01-2008, Emmanuel Florac <eflorac@imaginet.fr> a écrit :
Le Wed, 16 Jan 2008 21:41:24 +0000, SL a écrit :
Voilà, j'ai vérifié, c'est un Pentium III 447.69-MHz avec 366 MB. Même
en restant uniquement avec des applications KDE, il faut par exemple
attendre entre 5 et 10 seconde le lancement de kontact alors que kmail
et un konqueror sont ouvert. C'est inutilisable sans une raison
particulière d'être patient.
Ce n'est pas spécialement choquant, et peut-être même que le DMA n'est
pas activé sur le disque...
Comment ça pas choquant ? C'est horriblement lent.
Voilà, j'ai vérifié, c'est un Pentium III 447.69-MHz avec 366 MB. Même en restant uniquement avec des applications KDE, il faut par exemple attendre entre 5 et 10 seconde le lancement de kontact alors que kmail et un konqueror sont ouvert. C'est inutilisable sans une raison particulière d'être patient.
Ce n'est pas spécialement choquant, et peut-être même que le DMA n'est pas activé sur le disque...
Comment ça pas choquant ? C'est horriblement lent.
Nicolas George
SL , dans le message , a écrit :
Les clauses énoncent clairement que le code doit être maintenu dans la même licence, et c'est une contrainte, une restriction à la liberté.
De même que l'obligation de laisser une notice de copyright. La question est de savoir ce qui est acceptable et ce qui ne l'est pas. Tout ça pour revenir au point de départ.
Par ailleurs je vois pas comment tu peux juger de la liberté que te donne quelque chose si tu ne prends pas en compte ce à quoi elle contribue à long terme
Tout simplement parce que ce « long terme » est impossible à prédire avec une quelconque exactitude, donc totalement non pertinent pour prendre une décision locale comme celle-là.
SL , dans le message <slrnfot1au.7g3.nospam@valla.limsi.fr>, a écrit :
Les clauses énoncent clairement que le code doit être maintenu dans la
même licence, et c'est une contrainte, une restriction à la liberté.
De même que l'obligation de laisser une notice de copyright. La question est
de savoir ce qui est acceptable et ce qui ne l'est pas. Tout ça pour revenir
au point de départ.
Par ailleurs je vois pas comment tu peux juger de la liberté que te
donne quelque chose si tu ne prends pas en compte ce à quoi elle
contribue à long terme
Tout simplement parce que ce « long terme » est impossible à prédire avec
une quelconque exactitude, donc totalement non pertinent pour prendre une
décision locale comme celle-là.
Les clauses énoncent clairement que le code doit être maintenu dans la même licence, et c'est une contrainte, une restriction à la liberté.
De même que l'obligation de laisser une notice de copyright. La question est de savoir ce qui est acceptable et ce qui ne l'est pas. Tout ça pour revenir au point de départ.
Par ailleurs je vois pas comment tu peux juger de la liberté que te donne quelque chose si tu ne prends pas en compte ce à quoi elle contribue à long terme
Tout simplement parce que ce « long terme » est impossible à prédire avec une quelconque exactitude, donc totalement non pertinent pour prendre une décision locale comme celle-là.
SL
Le 16-01-2008, Nicolas George <nicolas$ a écrit :
SL , dans le message , a écrit :
Les clauses énoncent clairement que le code doit être maintenu dans la même licence, et c'est une contrainte, une restriction à la liberté.
De même que l'obligation de laisser une notice de copyright.
C'est pas vraiment du même ordre...
La question est de savoir ce qui est acceptable et ce qui ne l'est pas. Tout ça pour revenir au point de départ.
Eh bien imposer (ou subir) l'obligation de redistribuer sous la même licence me semble davantage problématique que l'obligation de laisser son nom sur un bout de chiffon. Le maintient de la licence ferme totalement les utilisations qu'on peut faire.
Par ailleurs je vois pas comment tu peux juger de la liberté que te donne quelque chose si tu ne prends pas en compte ce à quoi elle contribue à long terme
Tout simplement parce que ce « long terme » est impossible à prédire avec une quelconque exactitude, donc totalement non pertinent pour prendre une décision locale comme celle-là.
Ce n'est pas une question de prédire, c'est une question de contribuer, présentement, à une chose particulière, fut elle inscrite dans le long terme comme le projet social adossé à la licence GPL. En l'espèce la GPL enrôle ou fait concourrir à un but politique et cherche à rendre "obligatoire" cette participation, c'est tout le problème ; non seulement elle te fait participer mais elle essaye d'étendre, via toi, cette participation sous la contrainte (contrainte parce que la situation recherchée est que tout soit sous GPL et qu'il n'y ait donc plus le choix que d'utiliser, et donc de produire, de la GPL).
Le 16-01-2008, Nicolas George <nicolas$george@salle-s.org> a écrit :
SL , dans le message <slrnfot1au.7g3.nospam@valla.limsi.fr>, a écrit :
Les clauses énoncent clairement que le code doit être maintenu dans la
même licence, et c'est une contrainte, une restriction à la liberté.
De même que l'obligation de laisser une notice de copyright.
C'est pas vraiment du même ordre...
La question est de savoir ce qui est acceptable et ce qui ne l'est
pas. Tout ça pour revenir au point de départ.
Eh bien imposer (ou subir) l'obligation de redistribuer sous la même
licence me semble davantage problématique que l'obligation de laisser
son nom sur un bout de chiffon. Le maintient de la licence ferme
totalement les utilisations qu'on peut faire.
Par ailleurs je vois pas comment tu peux juger de la liberté que te
donne quelque chose si tu ne prends pas en compte ce à quoi elle
contribue à long terme
Tout simplement parce que ce « long terme » est impossible à prédire
avec une quelconque exactitude, donc totalement non pertinent pour
prendre une décision locale comme celle-là.
Ce n'est pas une question de prédire, c'est une question de contribuer,
présentement, à une chose particulière, fut elle inscrite dans le long
terme comme le projet social adossé à la licence GPL. En l'espèce la GPL
enrôle ou fait concourrir à un but politique et cherche à rendre
"obligatoire" cette participation, c'est tout le problème ; non
seulement elle te fait participer mais elle essaye d'étendre, via toi,
cette participation sous la contrainte (contrainte parce que la
situation recherchée est que tout soit sous GPL et qu'il n'y ait donc
plus le choix que d'utiliser, et donc de produire, de la GPL).
Les clauses énoncent clairement que le code doit être maintenu dans la même licence, et c'est une contrainte, une restriction à la liberté.
De même que l'obligation de laisser une notice de copyright.
C'est pas vraiment du même ordre...
La question est de savoir ce qui est acceptable et ce qui ne l'est pas. Tout ça pour revenir au point de départ.
Eh bien imposer (ou subir) l'obligation de redistribuer sous la même licence me semble davantage problématique que l'obligation de laisser son nom sur un bout de chiffon. Le maintient de la licence ferme totalement les utilisations qu'on peut faire.
Par ailleurs je vois pas comment tu peux juger de la liberté que te donne quelque chose si tu ne prends pas en compte ce à quoi elle contribue à long terme
Tout simplement parce que ce « long terme » est impossible à prédire avec une quelconque exactitude, donc totalement non pertinent pour prendre une décision locale comme celle-là.
Ce n'est pas une question de prédire, c'est une question de contribuer, présentement, à une chose particulière, fut elle inscrite dans le long terme comme le projet social adossé à la licence GPL. En l'espèce la GPL enrôle ou fait concourrir à un but politique et cherche à rendre "obligatoire" cette participation, c'est tout le problème ; non seulement elle te fait participer mais elle essaye d'étendre, via toi, cette participation sous la contrainte (contrainte parce que la situation recherchée est que tout soit sous GPL et qu'il n'y ait donc plus le choix que d'utiliser, et donc de produire, de la GPL).
Nicolas George
SL , dans le message , a écrit :
Eh bien imposer (ou subir) l'obligation de redistribuer sous la même licence me semble davantage problématique que l'obligation de laisser son nom sur un bout de chiffon.
En d'autres termes, ta définition exclue exprès la GPL, juste parce que c'est la GPL que tu n'aimes pas.
Ce n'est pas une question de prédire
Si, précisément.
SL , dans le message <slrnfot705.7oq.nospam@valla.limsi.fr>, a écrit :
Eh bien imposer (ou subir) l'obligation de redistribuer sous la même
licence me semble davantage problématique que l'obligation de laisser
son nom sur un bout de chiffon.
En d'autres termes, ta définition exclue exprès la GPL, juste parce que
c'est la GPL que tu n'aimes pas.
Eh bien imposer (ou subir) l'obligation de redistribuer sous la même licence me semble davantage problématique que l'obligation de laisser son nom sur un bout de chiffon.
En d'autres termes, ta définition exclue exprès la GPL, juste parce que c'est la GPL que tu n'aimes pas.
Ce n'est pas une question de prédire
Si, précisément.
Thierry B.
--{ doug713705 a plopé ceci: }--
"Monde de merde"
Mon texte !
-- <Eva> Vous, les geek, vous avez vraiment une case en moins... <Dieu> C'est pas qu'on a une case en moins, c'est juste qu'on compte à partir de zéro.
--{ doug713705 a plopé ceci: }--
"Monde de merde"
Mon texte !
--
<Eva> Vous, les geek, vous avez vraiment une case en moins...
<Dieu> C'est pas qu'on a une case en moins, c'est juste qu'on compte
à partir de zéro.
-- <Eva> Vous, les geek, vous avez vraiment une case en moins... <Dieu> C'est pas qu'on a une case en moins, c'est juste qu'on compte à partir de zéro.
SL
Le 17-01-2008, Nicolas George <nicolas$ a écrit :
SL , dans le message , a écrit :
Eh bien imposer (ou subir) l'obligation de redistribuer sous la même licence me semble davantage problématique que l'obligation de laisser son nom sur un bout de chiffon.
En d'autres termes, ta définition exclue exprès la GPL, juste parce que c'est la GPL que tu n'aimes pas.
Non, tu vois un peu les hypothèses que tu fais ? Pourquoi je « n'aimerais pas » la GPL ? Ce que je n'aime pas, c'est l'aspect viral, précisément en cause, et la naïveté politique de son objectif.
Par ailleurs tu sembles ne toujours pas vouloir prendre en considération que la GPL n'est pas un texte qui vise seulement à donner à l'auteur un droit de regard sur ce qui est fait de son travail, mais un texte qui vise également à promouvoir un modèle politique, à travers un bouleversement de l'accès à l'information.
Ce n'est pas une question de prédire
Si, précisément.
Non, il n'y a nulle prédiction dans le fait de souligner le fait que la GPL promeut un modèle politique. Ce qui est une prédiction, c'est dire que les clauses de la licence GPL auront cet effet. Mais ce n'est pas ce que je fais. Il n'est pas nécessaire d'attendre le succès d'une entreprise pour se prononcer sur son objectif et sa nature. La GPL est, précisément, l'archétype de la licence dont il est tout à fait impossible de considérer seulement les clauses, puisqu'elle instrumentalise le droit pour renverser le droit d'auteur, précisément.
Le 17-01-2008, Nicolas George <nicolas$george@salle-s.org> a écrit :
SL , dans le message <slrnfot705.7oq.nospam@valla.limsi.fr>, a écrit :
Eh bien imposer (ou subir) l'obligation de redistribuer sous la même
licence me semble davantage problématique que l'obligation de laisser
son nom sur un bout de chiffon.
En d'autres termes, ta définition exclue exprès la GPL, juste parce que
c'est la GPL que tu n'aimes pas.
Non, tu vois un peu les hypothèses que tu fais ? Pourquoi je « n'aimerais
pas » la GPL ? Ce que je n'aime pas, c'est l'aspect viral, précisément
en cause, et la naïveté politique de son objectif.
Par ailleurs tu sembles ne toujours pas vouloir prendre en considération
que la GPL n'est pas un texte qui vise seulement à donner à l'auteur un
droit de regard sur ce qui est fait de son travail, mais un texte qui
vise également à promouvoir un modèle politique, à travers un
bouleversement de l'accès à l'information.
Ce n'est pas une question de prédire
Si, précisément.
Non, il n'y a nulle prédiction dans le fait de souligner le fait que la
GPL promeut un modèle politique. Ce qui est une prédiction, c'est dire
que les clauses de la licence GPL auront cet effet. Mais ce n'est pas ce
que je fais. Il n'est pas nécessaire d'attendre le succès d'une
entreprise pour se prononcer sur son objectif et sa nature. La GPL est,
précisément, l'archétype de la licence dont il est tout à fait
impossible de considérer seulement les clauses, puisqu'elle
instrumentalise le droit pour renverser le droit d'auteur, précisément.
Eh bien imposer (ou subir) l'obligation de redistribuer sous la même licence me semble davantage problématique que l'obligation de laisser son nom sur un bout de chiffon.
En d'autres termes, ta définition exclue exprès la GPL, juste parce que c'est la GPL que tu n'aimes pas.
Non, tu vois un peu les hypothèses que tu fais ? Pourquoi je « n'aimerais pas » la GPL ? Ce que je n'aime pas, c'est l'aspect viral, précisément en cause, et la naïveté politique de son objectif.
Par ailleurs tu sembles ne toujours pas vouloir prendre en considération que la GPL n'est pas un texte qui vise seulement à donner à l'auteur un droit de regard sur ce qui est fait de son travail, mais un texte qui vise également à promouvoir un modèle politique, à travers un bouleversement de l'accès à l'information.
Ce n'est pas une question de prédire
Si, précisément.
Non, il n'y a nulle prédiction dans le fait de souligner le fait que la GPL promeut un modèle politique. Ce qui est une prédiction, c'est dire que les clauses de la licence GPL auront cet effet. Mais ce n'est pas ce que je fais. Il n'est pas nécessaire d'attendre le succès d'une entreprise pour se prononcer sur son objectif et sa nature. La GPL est, précisément, l'archétype de la licence dont il est tout à fait impossible de considérer seulement les clauses, puisqu'elle instrumentalise le droit pour renverser le droit d'auteur, précisément.
remy
Pour elle, la voiture relève objectivement du besoin, et prétendre le contraire c'est de l'authentique violence. Ouah putain l'écolo! Magnifique! Il faudrait l'encadrer à côté de la
phrase de GWBush "le mode de vie américain n'est pas négociable"!!!!
Trop d'honneur. Si tu essayais de pas lire trop vite, tu remarquerais que je ne porte aucun jugement sur la voiture ou tel ou tel mode de vie, mais seulement sur la nature de la résistance aux arguments en faveur d'un changement, changement que je considère comme très important et souhaitable par ailleurs.
tu es un indécrottable bipède arqué sur des schémas passeïstes le rendez vous du grand soir est une fable pour petit m'enfant
l'on est actuellement en pleine révolution la mondialisation a permis une meilleure répartition de la richesse cette répartition s'est faite au détriment du tissu social économique local
en gros et pour faire simple, on a supprimé des circuits économiques en les concentrant sur un axe nord /sud (Inde-chine) avec un transfert de la charge sur la société pour le nord
cela n'a été possible que parce que le coût du transport était négligeable, les effets pervers ont été un appauvrissement de la culture, culture au sens large bien sûr ou schéma de pensée unique
histoire de fixer les idées : tout le monde veut maintenant bouffer des yaourts, avoir une bagnole etc d'où l'augmentation des prix des matières premières et patati et patata
la concentration des flux financiers a aussi permis une moins bonne répartition de la richesse travailleurs pauvres par exemple
le politique qui est indispensable n'est là que pour garder les clefs du système démocratique, il est tellement impuissant qu'il fait de la com et uniquement de la com du baratin
la révolution actuelle et énergétique les grandes manoeuvres sont en cours, libéralisation du marché accompagnée de quelques guerres Darfour et Irak
comme dab tous les coups sont permis, les plus forts ont raison alors ton changement il s'imposera par lui même à toi comme à moi avec peut être une réactivation du tissu économique local j'ai le droit de rêver non mais
l'année dernière les bourses du nord ont été à la ramasse, les indiens les vrais outsiders vont peut être acheter Jaguar après s'être offert le fleuron de la sidérurgie européenne et être devenus le plus gros producteur de médicaments
eh oui ma bonne dame tout fout le camp sauf la vaseline qui reste dans les mains des politiques
remy
Pour elle, la voiture relève objectivement du besoin, et prétendre le
contraire c'est de l'authentique violence.
Ouah putain l'écolo! Magnifique! Il faudrait l'encadrer à côté de la
phrase de GWBush "le mode de vie américain n'est pas négociable"!!!!
Trop d'honneur. Si tu essayais de pas lire trop vite, tu remarquerais
que je ne porte aucun jugement sur la voiture ou tel ou tel mode de vie,
mais seulement sur la nature de la résistance aux arguments en faveur
d'un changement, changement que je considère comme très important et
souhaitable par ailleurs.
tu es un indécrottable bipède arqué sur des schémas passeïstes
le rendez vous du grand soir est une fable pour petit m'enfant
l'on est actuellement en pleine révolution
la mondialisation a permis une meilleure répartition de la richesse
cette répartition s'est faite au détriment du tissu social économique
local
en gros et pour faire simple, on a supprimé des circuits économiques en
les concentrant sur un axe nord /sud (Inde-chine) avec un transfert de
la charge sur la société pour le nord
cela n'a été possible que parce que le coût du transport était
négligeable, les effets pervers ont été un appauvrissement de la
culture, culture au sens large bien sûr ou schéma de pensée unique
histoire de fixer les idées :
tout le monde veut maintenant bouffer des yaourts, avoir une bagnole etc
d'où l'augmentation des prix des matières premières et patati et patata
la concentration des flux financiers a aussi permis une moins bonne
répartition de la richesse travailleurs pauvres par exemple
le politique qui est indispensable n'est là que pour garder les clefs
du système démocratique, il est tellement impuissant qu'il fait de la
com et uniquement de la com du baratin
la révolution actuelle et énergétique les grandes manoeuvres sont en
cours, libéralisation du marché accompagnée de quelques guerres Darfour
et Irak
comme dab tous les coups sont permis, les plus forts ont raison
alors ton changement il s'imposera par lui même à toi comme à moi
avec peut être une réactivation du tissu économique local j'ai le droit
de rêver non mais
l'année dernière les bourses du nord ont été à la ramasse, les indiens
les vrais outsiders vont peut être acheter Jaguar après s'être offert le
fleuron de la sidérurgie européenne et être devenus le plus gros
producteur de médicaments
eh oui ma bonne dame tout fout le camp sauf la vaseline qui reste dans
les mains des politiques
Pour elle, la voiture relève objectivement du besoin, et prétendre le contraire c'est de l'authentique violence. Ouah putain l'écolo! Magnifique! Il faudrait l'encadrer à côté de la
phrase de GWBush "le mode de vie américain n'est pas négociable"!!!!
Trop d'honneur. Si tu essayais de pas lire trop vite, tu remarquerais que je ne porte aucun jugement sur la voiture ou tel ou tel mode de vie, mais seulement sur la nature de la résistance aux arguments en faveur d'un changement, changement que je considère comme très important et souhaitable par ailleurs.
tu es un indécrottable bipède arqué sur des schémas passeïstes le rendez vous du grand soir est une fable pour petit m'enfant
l'on est actuellement en pleine révolution la mondialisation a permis une meilleure répartition de la richesse cette répartition s'est faite au détriment du tissu social économique local
en gros et pour faire simple, on a supprimé des circuits économiques en les concentrant sur un axe nord /sud (Inde-chine) avec un transfert de la charge sur la société pour le nord
cela n'a été possible que parce que le coût du transport était négligeable, les effets pervers ont été un appauvrissement de la culture, culture au sens large bien sûr ou schéma de pensée unique
histoire de fixer les idées : tout le monde veut maintenant bouffer des yaourts, avoir une bagnole etc d'où l'augmentation des prix des matières premières et patati et patata
la concentration des flux financiers a aussi permis une moins bonne répartition de la richesse travailleurs pauvres par exemple
le politique qui est indispensable n'est là que pour garder les clefs du système démocratique, il est tellement impuissant qu'il fait de la com et uniquement de la com du baratin
la révolution actuelle et énergétique les grandes manoeuvres sont en cours, libéralisation du marché accompagnée de quelques guerres Darfour et Irak
comme dab tous les coups sont permis, les plus forts ont raison alors ton changement il s'imposera par lui même à toi comme à moi avec peut être une réactivation du tissu économique local j'ai le droit de rêver non mais
l'année dernière les bourses du nord ont été à la ramasse, les indiens les vrais outsiders vont peut être acheter Jaguar après s'être offert le fleuron de la sidérurgie européenne et être devenus le plus gros producteur de médicaments
eh oui ma bonne dame tout fout le camp sauf la vaseline qui reste dans les mains des politiques