linux le système pour ceux qui n'ont pas d'identité
2514 réponses
utiliser linux en monoposte, c'est vouloir se persuader que l'on est
quelqu'un quand on est en crise identitaire, c'est pourquoi ce système est
très aimé chez les boutonneux et les puceaux
prendre linux, c'est vouloir se prouver et le prouver à son entourage que
l'on est intelligent quand on ne l'est pas
bref, linux ça revient à de la frime et rien d'autre
linux c'est de la merde, c'est pas au point et tant pis
Le 24-11-2008, ? propos de Re: De l'esthetique en 3D, Cumbalero ?crivait dans fr.comp.os.linux.debats :
Stéphane CARPENTIER a écrit :
Sublime. Se baser sur les chiffres des accidents dans un canton suisse pour argumenter sur l'impact des radars sur les autoroutes françaises, c'est grandiose.
Ces chiffres sont juste là pour contredire le fait que le nombre de blessés graves diminue. Avec un nombre d'accident en baisse, on a le même nombre de blessés graves.
Le fait qu'il soit impossible de trouver ce genre de chiffre en France montre bien à quel point la politique de prévention routière se base sur du vent et des écrans de fumée.
Certainement. Sauf qu'il est beaucoup plus facile de flasher un automobiliste qui roule sur une autoroute déserte (et qui reçoit la prune par courrier) que d'arrêter une voiture parce qu'elle colle un peu trop la voiture précédente (contrôles difficiles et surtout, il faut que le flic ou le gendarme arrête physiquement le véhicule et commence à discuter avec le conducteur). Pour les mêmes raisons, on n'a presque que des contractuels à Paris qui verbalisent les voitures _arrêtées_ maintenant 24h/24 et 7 jours sur 7 ! Et jamais je n'ai encore vu un contractuel collet un PV à un véhicule gênant (ni faire une remarque à son conducteur dès lors que son conducteur était dedans). À Paris, on a même une exclusivité : deux contractuels par pâté de maison et autant de prunes à la fin de la journée que de passage des contractuels, ça fait peur.
Sans compter qu'il y a au bas de chez moi un carrefour avec priorité à droite et sans visibilité. Il ne se passe pas quinze jours sans qu'il y ait un accident grave ou mortel (j'ai déjà vu un motard écrasé contre le comptoir du restaurant ramassé à la petite cuillère, vendredi dernier, c'était une voiture dans l'entrée du restaurant). Bref, en dix ans, il y a dû y avoir au bas mot 20 morts et de sérieux handicapés. Pourquoi ? Parce qu'à Paris, il n'y a ni panneau stop ni cédez le passage, c'est comme ça. Après, qu'on ose me dire que les photomatons sont là pour la sécurité routière...
JKB
-- Le cerveau, c'est un véritable scandale écologique. Il représente 2% de notre masse corporelle, mais disperse à lui seul 25% de l'énergie que nous consommons tous les jours.
Le 24-11-2008, ? propos de
Re: De l'esthetique en 3D,
Cumbalero ?crivait dans fr.comp.os.linux.debats :
Stéphane CARPENTIER a écrit :
Sublime. Se baser sur les chiffres des accidents dans un canton suisse pour
argumenter sur l'impact des radars sur les autoroutes françaises, c'est
grandiose.
Ces chiffres sont juste là pour contredire le fait que le nombre de
blessés graves diminue. Avec un nombre d'accident en baisse, on a le
même nombre de blessés graves.
Le fait qu'il soit impossible de trouver ce genre de chiffre en France
montre bien à quel point la politique de prévention routière se base sur
du vent et des écrans de fumée.
Certainement. Sauf qu'il est beaucoup plus facile de flasher un
automobiliste qui roule sur une autoroute déserte (et qui reçoit la
prune par courrier) que d'arrêter une voiture parce qu'elle colle un peu
trop la voiture précédente (contrôles difficiles et surtout, il faut que
le flic ou le gendarme arrête physiquement le véhicule et commence à
discuter avec le conducteur). Pour les mêmes raisons, on n'a presque que
des contractuels à Paris qui verbalisent les voitures _arrêtées_
maintenant 24h/24 et 7 jours sur 7 ! Et jamais je n'ai encore vu un
contractuel collet un PV à un véhicule gênant (ni faire une remarque à
son conducteur dès lors que son conducteur était dedans). À Paris, on a
même une exclusivité : deux contractuels par pâté de maison et autant de
prunes à la fin de la journée que de passage des contractuels, ça fait
peur.
Sans compter qu'il y a au bas de chez moi un carrefour avec priorité
à droite et sans visibilité. Il ne se passe pas quinze jours sans qu'il
y ait un accident grave ou mortel (j'ai déjà vu un motard écrasé contre
le comptoir du restaurant ramassé à la petite cuillère, vendredi
dernier, c'était une voiture dans l'entrée du restaurant). Bref, en dix
ans, il y a dû y avoir au bas mot 20 morts et de sérieux handicapés.
Pourquoi ? Parce qu'à Paris, il n'y a ni panneau stop ni cédez le
passage, c'est comme ça. Après, qu'on ose me dire que les photomatons
sont là pour la sécurité routière...
JKB
--
Le cerveau, c'est un véritable scandale écologique. Il représente 2% de notre
masse corporelle, mais disperse à lui seul 25% de l'énergie que nous
consommons tous les jours.
Le 24-11-2008, ? propos de Re: De l'esthetique en 3D, Cumbalero ?crivait dans fr.comp.os.linux.debats :
Stéphane CARPENTIER a écrit :
Sublime. Se baser sur les chiffres des accidents dans un canton suisse pour argumenter sur l'impact des radars sur les autoroutes françaises, c'est grandiose.
Ces chiffres sont juste là pour contredire le fait que le nombre de blessés graves diminue. Avec un nombre d'accident en baisse, on a le même nombre de blessés graves.
Le fait qu'il soit impossible de trouver ce genre de chiffre en France montre bien à quel point la politique de prévention routière se base sur du vent et des écrans de fumée.
Certainement. Sauf qu'il est beaucoup plus facile de flasher un automobiliste qui roule sur une autoroute déserte (et qui reçoit la prune par courrier) que d'arrêter une voiture parce qu'elle colle un peu trop la voiture précédente (contrôles difficiles et surtout, il faut que le flic ou le gendarme arrête physiquement le véhicule et commence à discuter avec le conducteur). Pour les mêmes raisons, on n'a presque que des contractuels à Paris qui verbalisent les voitures _arrêtées_ maintenant 24h/24 et 7 jours sur 7 ! Et jamais je n'ai encore vu un contractuel collet un PV à un véhicule gênant (ni faire une remarque à son conducteur dès lors que son conducteur était dedans). À Paris, on a même une exclusivité : deux contractuels par pâté de maison et autant de prunes à la fin de la journée que de passage des contractuels, ça fait peur.
Sans compter qu'il y a au bas de chez moi un carrefour avec priorité à droite et sans visibilité. Il ne se passe pas quinze jours sans qu'il y ait un accident grave ou mortel (j'ai déjà vu un motard écrasé contre le comptoir du restaurant ramassé à la petite cuillère, vendredi dernier, c'était une voiture dans l'entrée du restaurant). Bref, en dix ans, il y a dû y avoir au bas mot 20 morts et de sérieux handicapés. Pourquoi ? Parce qu'à Paris, il n'y a ni panneau stop ni cédez le passage, c'est comme ça. Après, qu'on ose me dire que les photomatons sont là pour la sécurité routière...
JKB
-- Le cerveau, c'est un véritable scandale écologique. Il représente 2% de notre masse corporelle, mais disperse à lui seul 25% de l'énergie que nous consommons tous les jours.
talon
Cumbalero wrote:
*.-pipolin-.* a écrit :
> faires des études, ce n'est pas a la portée de tout le monde.
C'est plus un problème de capacités intellectuelles ou plutôt de contexte éducatif que de moyens financiers!
Si tes parents habitent dans un endroit proche des centres scolaires ou universitaires appropriés, sinon le loyer d'une chambre d'étudiant est assez dissuasif pour les familles démunies. Autrefois il y avait des internats dans les lycées, donc les enfants de la campagne souhaitant faire des études secondaires pouvaient le faire sans trop de problème. Maintenant il n'y a plus guère d'internat que pour les classes prépas, et encore en nombre très insuffisant.
Ne pas reconnaitre que l'école est un facteur de promotion sociale, c'est continuer à ne pas vouloir voir plus loin que le bout de ton nez.
C'est quand même beaucoup *moins* vrai qu'autrefois. Il est bien connu, et vrai, qu'un doctorat a une valeur monnayable voisine de zéro ou négative. On trouve sans peine des Normaliens ou des Polytechniciens qui se sont transformés en pilier d'ANPE. A l'heure actuelle il n'est pas clair du tout que poursuivre des études longues soit rentable socialement. Il est évident que le nombre de diplômés sur le marché ayant cru considérablement, la valeur du diplôme a beaucoup diminué, et corrélativement la force du piston familial et social est devenue omniprésente.
A+ JF
--
Michel TALON
Cumbalero <cumbalero@nospam.yahoo.fr> wrote:
*.-pipolin-.* a écrit :
> faires des études, ce n'est pas a la portée de tout le monde.
C'est plus un problème de capacités intellectuelles ou plutôt de
contexte éducatif que de moyens financiers!
Si tes parents habitent dans un endroit proche des centres scolaires ou
universitaires appropriés, sinon le loyer d'une chambre d'étudiant est
assez dissuasif pour les familles démunies. Autrefois il y avait des
internats dans les lycées, donc les enfants de la campagne souhaitant
faire des études secondaires pouvaient le faire sans trop de problème.
Maintenant il n'y a plus guère d'internat que pour les classes prépas,
et encore en nombre très insuffisant.
Ne pas reconnaitre que l'école est un facteur de promotion sociale,
c'est continuer à ne pas vouloir voir plus loin que le bout de ton nez.
C'est quand même beaucoup *moins* vrai qu'autrefois. Il est bien connu,
et vrai, qu'un doctorat a une valeur monnayable voisine de zéro ou
négative. On trouve sans peine des Normaliens ou des Polytechniciens qui
se sont transformés en pilier d'ANPE. A l'heure actuelle il n'est pas
clair du tout que poursuivre des études longues soit rentable
socialement. Il est évident que le nombre de diplômés sur le marché
ayant cru considérablement, la valeur du diplôme a beaucoup diminué, et
corrélativement la force du piston familial et social est devenue
omniprésente.
> faires des études, ce n'est pas a la portée de tout le monde.
C'est plus un problème de capacités intellectuelles ou plutôt de contexte éducatif que de moyens financiers!
Si tes parents habitent dans un endroit proche des centres scolaires ou universitaires appropriés, sinon le loyer d'une chambre d'étudiant est assez dissuasif pour les familles démunies. Autrefois il y avait des internats dans les lycées, donc les enfants de la campagne souhaitant faire des études secondaires pouvaient le faire sans trop de problème. Maintenant il n'y a plus guère d'internat que pour les classes prépas, et encore en nombre très insuffisant.
Ne pas reconnaitre que l'école est un facteur de promotion sociale, c'est continuer à ne pas vouloir voir plus loin que le bout de ton nez.
C'est quand même beaucoup *moins* vrai qu'autrefois. Il est bien connu, et vrai, qu'un doctorat a une valeur monnayable voisine de zéro ou négative. On trouve sans peine des Normaliens ou des Polytechniciens qui se sont transformés en pilier d'ANPE. A l'heure actuelle il n'est pas clair du tout que poursuivre des études longues soit rentable socialement. Il est évident que le nombre de diplômés sur le marché ayant cru considérablement, la valeur du diplôme a beaucoup diminué, et corrélativement la force du piston familial et social est devenue omniprésente.
A+ JF
--
Michel TALON
talon
Cumbalero wrote:
Stephane TOUGARD a écrit :
> > Qd on a des chances de s'assoupir sur l'autoroute parce qu'on a mal > dormi
Une étude récente à montré qu'une veille de 18h (ce qui n'a rien d'exceptionnel!) avait des effets similaires à une alcoolémie de 0.5g/l...
Dans mon cas j'avais certainement très mal dormi la nuit précédente.
A+ JF
--
Michel TALON
Cumbalero <cumbalero@nospam.yahoo.fr> wrote:
Stephane TOUGARD a écrit :
>
> Qd on a des chances de s'assoupir sur l'autoroute parce qu'on a mal
> dormi
Une étude récente à montré qu'une veille de 18h (ce qui n'a rien
d'exceptionnel!) avait des effets similaires à une alcoolémie de 0.5g/l...
Dans mon cas j'avais certainement très mal dormi la nuit précédente.
> > Qd on a des chances de s'assoupir sur l'autoroute parce qu'on a mal > dormi
Une étude récente à montré qu'une veille de 18h (ce qui n'a rien d'exceptionnel!) avait des effets similaires à une alcoolémie de 0.5g/l...
Dans mon cas j'avais certainement très mal dormi la nuit précédente.
A+ JF
--
Michel TALON
Cumbalero
Michel Talon a écrit :
Si tes parents habitent dans un endroit proche des centres scolaires ou universitaires appropriés, sinon le loyer d'une chambre d'étudiant est assez dissuasif pour les familles démunies.
Les résidences universitaires ont cette vocation. Elles sont en nombre insuffisant, mais les critères d'attribution prennent en compte la situation matérielle.
Pour mon propre cas, j'ai été financièrement indépendant à 17 a ns, payant le loyer de ma chambre de bonne en bossant à côté des étud es. Les étudiants salariés ou ceux qui avaient un job à côté représen taient l'essentiel des étudiants dans ma fac. C'est plus facile à la fac pou r s'organiser...
C'est quand même beaucoup *moins* vrai qu'autrefois. Il est bien conn u, et vrai, qu'un doctorat a une valeur monnayable voisine de zéro ou négative. On trouve sans peine des Normaliens ou des Polytechniciens qui se sont transformés en pilier d'ANPE. A l'heure actuelle il n'est pas clair du tout que poursuivre des études longues soit rentable socialement. Il est évident que le nombre de diplômés sur le marc hé ayant cru considérablement, la valeur du diplôme a beaucoup diminué , et corrélativement la force du piston familial et social est devenue omniprésente.
C'est donc encore plus difficile pour les non diplômés...
Et pour ce qui est du piston, les associations d'anciens élèves, c'es t un des trucs qui se fait de mieux!
A+ JF
Michel Talon a écrit :
Si tes parents habitent dans un endroit proche des centres scolaires ou
universitaires appropriés, sinon le loyer d'une chambre d'étudiant est
assez dissuasif pour les familles démunies.
Les résidences universitaires ont cette vocation. Elles sont en nombre
insuffisant, mais les critères d'attribution prennent en compte la
situation matérielle.
Pour mon propre cas, j'ai été financièrement indépendant à 17 a ns,
payant le loyer de ma chambre de bonne en bossant à côté des étud es. Les
étudiants salariés ou ceux qui avaient un job à côté représen taient
l'essentiel des étudiants dans ma fac. C'est plus facile à la fac pou r
s'organiser...
C'est quand même beaucoup *moins* vrai qu'autrefois. Il est bien conn u,
et vrai, qu'un doctorat a une valeur monnayable voisine de zéro ou
négative. On trouve sans peine des Normaliens ou des Polytechniciens qui
se sont transformés en pilier d'ANPE. A l'heure actuelle il n'est pas
clair du tout que poursuivre des études longues soit rentable
socialement. Il est évident que le nombre de diplômés sur le marc hé
ayant cru considérablement, la valeur du diplôme a beaucoup diminué , et
corrélativement la force du piston familial et social est devenue
omniprésente.
C'est donc encore plus difficile pour les non diplômés...
Et pour ce qui est du piston, les associations d'anciens élèves, c'es t
un des trucs qui se fait de mieux!
Si tes parents habitent dans un endroit proche des centres scolaires ou universitaires appropriés, sinon le loyer d'une chambre d'étudiant est assez dissuasif pour les familles démunies.
Les résidences universitaires ont cette vocation. Elles sont en nombre insuffisant, mais les critères d'attribution prennent en compte la situation matérielle.
Pour mon propre cas, j'ai été financièrement indépendant à 17 a ns, payant le loyer de ma chambre de bonne en bossant à côté des étud es. Les étudiants salariés ou ceux qui avaient un job à côté représen taient l'essentiel des étudiants dans ma fac. C'est plus facile à la fac pou r s'organiser...
C'est quand même beaucoup *moins* vrai qu'autrefois. Il est bien conn u, et vrai, qu'un doctorat a une valeur monnayable voisine de zéro ou négative. On trouve sans peine des Normaliens ou des Polytechniciens qui se sont transformés en pilier d'ANPE. A l'heure actuelle il n'est pas clair du tout que poursuivre des études longues soit rentable socialement. Il est évident que le nombre de diplômés sur le marc hé ayant cru considérablement, la valeur du diplôme a beaucoup diminué , et corrélativement la force du piston familial et social est devenue omniprésente.
C'est donc encore plus difficile pour les non diplômés...
Et pour ce qui est du piston, les associations d'anciens élèves, c'es t un des trucs qui se fait de mieux!
A+ JF
JKB
Le 24-11-2008, ? propos de Re: De l'esthetique en 3D, Cumbalero ?crivait dans fr.comp.os.linux.debats :
Michel Talon a écrit :
Si tes parents habitent dans un endroit proche des centres scolaires ou universitaires appropriés, sinon le loyer d'une chambre d'étudiant est assez dissuasif pour les familles démunies.
Les résidences universitaires ont cette vocation. Elles sont en nombre insuffisant, mais les critères d'attribution prennent en compte la situation matérielle.
Pour mon propre cas, j'ai été financièrement indépendant à 17 ans, payant le loyer de ma chambre de bonne en bossant à côté des études. Les étudiants salariés ou ceux qui avaient un job à côté représentaient l'essentiel des étudiants dans ma fac. C'est plus facile à la fac pour s'organiser...
Et ce n'est pas forcément évident.
C'est quand même beaucoup *moins* vrai qu'autrefois. Il est bien connu, et vrai, qu'un doctorat a une valeur monnayable voisine de zéro ou négative. On trouve sans peine des Normaliens ou des Polytechniciens qui se sont transformés en pilier d'ANPE. A l'heure actuelle il n'est pas clair du tout que poursuivre des études longues soit rentable socialement. Il est évident que le nombre de diplômés sur le marché ayant cru considérablement, la valeur du diplôme a beaucoup diminué, et corrélativement la force du piston familial et social est devenue omniprésente.
C'est donc encore plus difficile pour les non diplômés...
Et pour ce qui est du piston, les associations d'anciens élèves, c'est un des trucs qui se fait de mieux!
La grande majorité des associations d'anciens élèves perd grosso-modo 10% de leurs adhérents depuis cinq à six ans. C'est général; On peut mettre ça sur le dos de l'individualisme, sur le dos de plein de choses, mais les associations d'anciens élèves à but maffieux (hors Arts et Métiers), c'est fini !...
JKB
-- Le cerveau, c'est un véritable scandale écologique. Il représente 2% de notre masse corporelle, mais disperse à lui seul 25% de l'énergie que nous consommons tous les jours.
Le 24-11-2008, ? propos de
Re: De l'esthetique en 3D,
Cumbalero ?crivait dans fr.comp.os.linux.debats :
Michel Talon a écrit :
Si tes parents habitent dans un endroit proche des centres scolaires ou
universitaires appropriés, sinon le loyer d'une chambre d'étudiant est
assez dissuasif pour les familles démunies.
Les résidences universitaires ont cette vocation. Elles sont en nombre
insuffisant, mais les critères d'attribution prennent en compte la
situation matérielle.
Pour mon propre cas, j'ai été financièrement indépendant à 17 ans,
payant le loyer de ma chambre de bonne en bossant à côté des études. Les
étudiants salariés ou ceux qui avaient un job à côté représentaient
l'essentiel des étudiants dans ma fac. C'est plus facile à la fac pour
s'organiser...
Et ce n'est pas forcément évident.
C'est quand même beaucoup *moins* vrai qu'autrefois. Il est bien connu,
et vrai, qu'un doctorat a une valeur monnayable voisine de zéro ou
négative. On trouve sans peine des Normaliens ou des Polytechniciens qui
se sont transformés en pilier d'ANPE. A l'heure actuelle il n'est pas
clair du tout que poursuivre des études longues soit rentable
socialement. Il est évident que le nombre de diplômés sur le marché
ayant cru considérablement, la valeur du diplôme a beaucoup diminué, et
corrélativement la force du piston familial et social est devenue
omniprésente.
C'est donc encore plus difficile pour les non diplômés...
Et pour ce qui est du piston, les associations d'anciens élèves, c'est
un des trucs qui se fait de mieux!
La grande majorité des associations d'anciens élèves perd
grosso-modo 10% de leurs adhérents depuis cinq à six ans. C'est général;
On peut mettre ça sur le dos de l'individualisme, sur le dos de plein de
choses, mais les associations d'anciens élèves à but maffieux (hors Arts
et Métiers), c'est fini !...
JKB
--
Le cerveau, c'est un véritable scandale écologique. Il représente 2% de notre
masse corporelle, mais disperse à lui seul 25% de l'énergie que nous
consommons tous les jours.
Le 24-11-2008, ? propos de Re: De l'esthetique en 3D, Cumbalero ?crivait dans fr.comp.os.linux.debats :
Michel Talon a écrit :
Si tes parents habitent dans un endroit proche des centres scolaires ou universitaires appropriés, sinon le loyer d'une chambre d'étudiant est assez dissuasif pour les familles démunies.
Les résidences universitaires ont cette vocation. Elles sont en nombre insuffisant, mais les critères d'attribution prennent en compte la situation matérielle.
Pour mon propre cas, j'ai été financièrement indépendant à 17 ans, payant le loyer de ma chambre de bonne en bossant à côté des études. Les étudiants salariés ou ceux qui avaient un job à côté représentaient l'essentiel des étudiants dans ma fac. C'est plus facile à la fac pour s'organiser...
Et ce n'est pas forcément évident.
C'est quand même beaucoup *moins* vrai qu'autrefois. Il est bien connu, et vrai, qu'un doctorat a une valeur monnayable voisine de zéro ou négative. On trouve sans peine des Normaliens ou des Polytechniciens qui se sont transformés en pilier d'ANPE. A l'heure actuelle il n'est pas clair du tout que poursuivre des études longues soit rentable socialement. Il est évident que le nombre de diplômés sur le marché ayant cru considérablement, la valeur du diplôme a beaucoup diminué, et corrélativement la force du piston familial et social est devenue omniprésente.
C'est donc encore plus difficile pour les non diplômés...
Et pour ce qui est du piston, les associations d'anciens élèves, c'est un des trucs qui se fait de mieux!
La grande majorité des associations d'anciens élèves perd grosso-modo 10% de leurs adhérents depuis cinq à six ans. C'est général; On peut mettre ça sur le dos de l'individualisme, sur le dos de plein de choses, mais les associations d'anciens élèves à but maffieux (hors Arts et Métiers), c'est fini !...
JKB
-- Le cerveau, c'est un véritable scandale écologique. Il représente 2% de notre masse corporelle, mais disperse à lui seul 25% de l'énergie que nous consommons tous les jours.
Doug713705
Le Mon, 24 Nov 2008 10:34:19 +0100, Cumbalero a écrit dans news:ggds02$m94$ des mots en forme de phrase pour nous dire :
Bwarf, un bon fusil de chasse et on en parle plus du voisin...
Ben non, puisque "tu ne tueras point"!
La plupart du temps la menace est suffisamment dissuasive pour ne pas avoir à verser dans le péché :-D
-- @+ Doug - Linux user #307925 - Slamd64 roulaize ;-) [ Plus ou moins avec une chance de peut-être ]
Le Mon, 24 Nov 2008 10:34:19 +0100, Cumbalero a écrit dans
news:ggds02$m94$4@writer.imaginet.fr des mots en forme de phrase pour nous
dire :
Bwarf, un bon fusil de chasse et on en parle plus du voisin...
Ben non, puisque "tu ne tueras point"!
La plupart du temps la menace est suffisamment dissuasive pour ne pas avoir
à verser dans le péché :-D
--
@+
Doug - Linux user #307925 - Slamd64 roulaize ;-)
[ Plus ou moins avec une chance de peut-être ]
Le Mon, 24 Nov 2008 10:34:19 +0100, Cumbalero a écrit dans news:ggds02$m94$ des mots en forme de phrase pour nous dire :
Bwarf, un bon fusil de chasse et on en parle plus du voisin...
Ben non, puisque "tu ne tueras point"!
La plupart du temps la menace est suffisamment dissuasive pour ne pas avoir à verser dans le péché :-D
-- @+ Doug - Linux user #307925 - Slamd64 roulaize ;-) [ Plus ou moins avec une chance de peut-être ]
talon
Cumbalero wrote:
Et pour ce qui est du piston, les associations d'anciens élèves, c'est un des trucs qui se fait de mieux!
Si tu savais le nombre d'anciens camarades de lycée que j'ai, passés par l'X, qui se sont fait lourder et qui ne trouvent rien ... il faut croire que le piston des anciens élèves n'est pas si fort qu'on dit.
Par contre, où que je me tourne, je ne vois que des "fils de" et des "filles de" à tous les postes importants, incidemment encore un exemple avec Martine.
A+ JF
--
Michel TALON
Cumbalero <cumbalero@nospam.yahoo.fr> wrote:
Et pour ce qui est du piston, les associations d'anciens élèves, c'est
un des trucs qui se fait de mieux!
Si tu savais le nombre d'anciens camarades de lycée que j'ai, passés par
l'X, qui se sont fait lourder et qui ne trouvent rien ... il faut croire
que le piston des anciens élèves n'est pas si fort qu'on dit.
Par contre, où que je me tourne, je ne vois que des "fils de" et des
"filles de" à tous les postes importants, incidemment encore un exemple
avec Martine.
Et pour ce qui est du piston, les associations d'anciens élèves, c'est un des trucs qui se fait de mieux!
Si tu savais le nombre d'anciens camarades de lycée que j'ai, passés par l'X, qui se sont fait lourder et qui ne trouvent rien ... il faut croire que le piston des anciens élèves n'est pas si fort qu'on dit.
Par contre, où que je me tourne, je ne vois que des "fils de" et des "filles de" à tous les postes importants, incidemment encore un exemple avec Martine.
A+ JF
--
Michel TALON
Stéphane CARPENTIER
Cumbalero wrote:
Stéphane CARPENTIER a écrit :
Sublime. Se baser sur les chiffres des accidents dans un canton suisse pour argumenter sur l'impact des radars sur les autoroutes françaises, c'est grandiose.
Ces chiffres sont juste là pour contredire le fait que le nombre de blessés graves diminue.
Tes chiffres ne contredisent rien.
-- Stéphane
Pour me répondre, traduire gratuit en anglais et virer le .invalid. http://stef.carpentier.free.fr/
Cumbalero wrote:
Stéphane CARPENTIER a écrit :
Sublime. Se baser sur les chiffres des accidents dans un canton suisse
pour argumenter sur l'impact des radars sur les autoroutes françaises,
c'est grandiose.
Ces chiffres sont juste là pour contredire le fait que le nombre de
blessés graves diminue.
Tes chiffres ne contredisent rien.
--
Stéphane
Pour me répondre, traduire gratuit en anglais et virer le .invalid.
http://stef.carpentier.free.fr/
Sublime. Se baser sur les chiffres des accidents dans un canton suisse pour argumenter sur l'impact des radars sur les autoroutes françaises, c'est grandiose.
Ces chiffres sont juste là pour contredire le fait que le nombre de blessés graves diminue.
Tes chiffres ne contredisent rien.
-- Stéphane
Pour me répondre, traduire gratuit en anglais et virer le .invalid. http://stef.carpentier.free.fr/
Cumbalero
Stéphane CARPENTIER a écrit :
Tes chiffres ne contredisent rien.
Ah... Evolution du nombre de "grièvement blessés" sur 10 ans: 0%
Pour une évolution qui fait que les centres de rééducation tournent au ralenti, on peut faire mieux.
A+ JF
Stéphane CARPENTIER a écrit :
Tes chiffres ne contredisent rien.
Ah... Evolution du nombre de "grièvement blessés" sur 10 ans: 0%
Pour une évolution qui fait que les centres de rééducation tournent au
ralenti, on peut faire mieux.