S'il n'y a plus de bécanes neuves avec W2000 dessus pourquoi ne pas
acheter une bécane sans windows et installé dessus le windows 2000 qu'il
y avait sur celle qui est jetée ? Il n'a toujours qu'une machine avec
une licence. Non ?
S'il n'y a plus de bécanes neuves avec W2000 dessus pourquoi ne pas
acheter une bécane sans windows et installé dessus le windows 2000 qu'il
y avait sur celle qui est jetée ? Il n'a toujours qu'une machine avec
une licence. Non ?
S'il n'y a plus de bécanes neuves avec W2000 dessus pourquoi ne pas
acheter une bécane sans windows et installé dessus le windows 2000 qu'il
y avait sur celle qui est jetée ? Il n'a toujours qu'une machine avec
une licence. Non ?
À ma connaissance, il y a, d'après MS, deux types de licences Windows,
certaines qui sont transférables et d'autres (moins chères) qui ne le
sont pas (en général c'est le cas de tout Windows acheté avec un PC
neuf).
Mais par contre, en droit français, il me semble que la clause
interdisant le transfert est abusive. Comme celle qui interdit la
vente d'occasion, ou celle qui interdit le "reverse engineering". Donc
avec un bon avocat, on peut transférer n'importe quel Windows et s'en
sortir.
Ceci dit, IANAL, donc demandez conseil à un professionel avant.
Et de toute façon, le problème est le logiciel privatif, où une
société (MS ou autre la question n'est pas là) s'arroge des droits
absurdes sur ce que vous avez acheté (pas le droit de le modifier, de
l'utiliser dans telle ou telle condition, de le prêter à un ami, ...),
y compris parfois rétroactivement (comme Windows Media Player où des
conditions supplémentaires ont été imposées lors d'une simple mise à
jour de sécurité). La seule façon de protéger ses libertés et ses
droits dans le monde numérique, c'est en utilisant du logiciel libre.
À ma connaissance, il y a, d'après MS, deux types de licences Windows,
certaines qui sont transférables et d'autres (moins chères) qui ne le
sont pas (en général c'est le cas de tout Windows acheté avec un PC
neuf).
Mais par contre, en droit français, il me semble que la clause
interdisant le transfert est abusive. Comme celle qui interdit la
vente d'occasion, ou celle qui interdit le "reverse engineering". Donc
avec un bon avocat, on peut transférer n'importe quel Windows et s'en
sortir.
Ceci dit, IANAL, donc demandez conseil à un professionel avant.
Et de toute façon, le problème est le logiciel privatif, où une
société (MS ou autre la question n'est pas là) s'arroge des droits
absurdes sur ce que vous avez acheté (pas le droit de le modifier, de
l'utiliser dans telle ou telle condition, de le prêter à un ami, ...),
y compris parfois rétroactivement (comme Windows Media Player où des
conditions supplémentaires ont été imposées lors d'une simple mise à
jour de sécurité). La seule façon de protéger ses libertés et ses
droits dans le monde numérique, c'est en utilisant du logiciel libre.
À ma connaissance, il y a, d'après MS, deux types de licences Windows,
certaines qui sont transférables et d'autres (moins chères) qui ne le
sont pas (en général c'est le cas de tout Windows acheté avec un PC
neuf).
Mais par contre, en droit français, il me semble que la clause
interdisant le transfert est abusive. Comme celle qui interdit la
vente d'occasion, ou celle qui interdit le "reverse engineering". Donc
avec un bon avocat, on peut transférer n'importe quel Windows et s'en
sortir.
Ceci dit, IANAL, donc demandez conseil à un professionel avant.
Et de toute façon, le problème est le logiciel privatif, où une
société (MS ou autre la question n'est pas là) s'arroge des droits
absurdes sur ce que vous avez acheté (pas le droit de le modifier, de
l'utiliser dans telle ou telle condition, de le prêter à un ami, ...),
y compris parfois rétroactivement (comme Windows Media Player où des
conditions supplémentaires ont été imposées lors d'une simple mise à
jour de sécurité). La seule façon de protéger ses libertés et ses
droits dans le monde numérique, c'est en utilisant du logiciel libre.
Mais par contre, en droit français, il me semble que la clause
interdisant le transfert est abusive. Comme celle qui interdit la
vente d'occasion, ou celle qui interdit le "reverse engineering". Donc
avec un bon avocat, on peut transférer n'importe quel Windows et s'en
sortir.
C'est cela oui. Dépenser des milliers d'euros en frais de justice pour
en économiser quelques dizaines. Sans compter le temps passé et les
emmerdements variés. Vous feriez un excellent gestionnaire...
Et de toute façon, le problème est le logiciel privatif, où une
société (MS ou autre la question n'est pas là) s'arroge des droits
absurdes sur ce que vous avez acheté
Vous avez acheté un droit d'utilisation. Rien d'autre...
Mais par contre, en droit français, il me semble que la clause
interdisant le transfert est abusive. Comme celle qui interdit la
vente d'occasion, ou celle qui interdit le "reverse engineering". Donc
avec un bon avocat, on peut transférer n'importe quel Windows et s'en
sortir.
C'est cela oui. Dépenser des milliers d'euros en frais de justice pour
en économiser quelques dizaines. Sans compter le temps passé et les
emmerdements variés. Vous feriez un excellent gestionnaire...
Et de toute façon, le problème est le logiciel privatif, où une
société (MS ou autre la question n'est pas là) s'arroge des droits
absurdes sur ce que vous avez acheté
Vous avez acheté un droit d'utilisation. Rien d'autre...
Mais par contre, en droit français, il me semble que la clause
interdisant le transfert est abusive. Comme celle qui interdit la
vente d'occasion, ou celle qui interdit le "reverse engineering". Donc
avec un bon avocat, on peut transférer n'importe quel Windows et s'en
sortir.
C'est cela oui. Dépenser des milliers d'euros en frais de justice pour
en économiser quelques dizaines. Sans compter le temps passé et les
emmerdements variés. Vous feriez un excellent gestionnaire...
Et de toute façon, le problème est le logiciel privatif, où une
société (MS ou autre la question n'est pas là) s'arroge des droits
absurdes sur ce que vous avez acheté
Vous avez acheté un droit d'utilisation. Rien d'autre...
Donc, au final, on laisse une société nous imposer des conditions
qu'elle n'a légalement pas le droit de nous imposer, tout simplement
parce que payer des avocats c'est plus facile pour elle pour nous ? Et
ça ne dérange personne de laisser faire de telles pratiques ?
Moi je n'ai rien acheté, je n'utilise que du logiciel libre.
parce que je n'accepte pas qu'on me dise ce que je peux ou ne peux pas
faire avec ce que j'ai acheté. Quand j'achète un livre, j'ai le droit
de le revendre d'occasion, de mettre du blanc et changer des mots, de
faire une photocopie pour mon usage privé, ... Pourquoi je n'aurais
pas les mêmes droits sur un logiciel ? J'ai payé le droit de
l'utiliser, la manière dont je l'utilise (sur quelle machine, si je le
modifie ou pas, ...) ça me regarde moi, pas eux.
Donc, au final, on laisse une société nous imposer des conditions
qu'elle n'a légalement pas le droit de nous imposer, tout simplement
parce que payer des avocats c'est plus facile pour elle pour nous ? Et
ça ne dérange personne de laisser faire de telles pratiques ?
Moi je n'ai rien acheté, je n'utilise que du logiciel libre.
parce que je n'accepte pas qu'on me dise ce que je peux ou ne peux pas
faire avec ce que j'ai acheté. Quand j'achète un livre, j'ai le droit
de le revendre d'occasion, de mettre du blanc et changer des mots, de
faire une photocopie pour mon usage privé, ... Pourquoi je n'aurais
pas les mêmes droits sur un logiciel ? J'ai payé le droit de
l'utiliser, la manière dont je l'utilise (sur quelle machine, si je le
modifie ou pas, ...) ça me regarde moi, pas eux.
Donc, au final, on laisse une société nous imposer des conditions
qu'elle n'a légalement pas le droit de nous imposer, tout simplement
parce que payer des avocats c'est plus facile pour elle pour nous ? Et
ça ne dérange personne de laisser faire de telles pratiques ?
Moi je n'ai rien acheté, je n'utilise que du logiciel libre.
parce que je n'accepte pas qu'on me dise ce que je peux ou ne peux pas
faire avec ce que j'ai acheté. Quand j'achète un livre, j'ai le droit
de le revendre d'occasion, de mettre du blanc et changer des mots, de
faire une photocopie pour mon usage privé, ... Pourquoi je n'aurais
pas les mêmes droits sur un logiciel ? J'ai payé le droit de
l'utiliser, la manière dont je l'utilise (sur quelle machine, si je le
modifie ou pas, ...) ça me regarde moi, pas eux.
Le 26/04/2010 16:46, Gaël Le Mignot a écrit :Donc, au final, on laisse une société nous imposer des conditions
qu'elle n'a légalement pas le droit de nous imposer, tout simplement
parce que payer des avocats c'est plus facile pour elle pour nous ? Et
ça ne dérange personne de laisser faire de telles pratiques ?
En ce qui me concerne je vis dans le monde réel.
Et il y a infiniment plus grave que les problèmes de droit des
logiciels.
D'ailleurs "des conditions qu'elle n'a légalement pas le droit de
nous imposer" il faudrait commencer par le démontrer. Sans parler
de la question : vérité ici, erreur ailleurs. Ensuite, si vous
voulez faire appliquer toutes les dispositions légales existantes,
vous ne manquerez jamais de boulot.
Moi je n'ai rien acheté, je n'utilise que du logiciel libre.
De quoi vous plaignez vous alors ???
parce que je n'accepte pas qu'on me dise ce que je peux ou ne peux pas
faire avec ce que j'ai acheté. Quand j'achète un livre, j'ai le droit
de le revendre d'occasion, de mettre du blanc et changer des mots, de
faire une photocopie pour mon usage privé, ... Pourquoi je n'aurais
pas les mêmes droits sur un logiciel ? J'ai payé le droit de
l'utiliser, la manière dont je l'utilise (sur quelle machine, si je le
modifie ou pas, ...) ça me regarde moi, pas eux.
Vous avez parfaitement le droit de ne rien faire en vous interdisant
d'utiliser des logiciels performants.
Mais on ne vous a jamais vendu un logiciel : uniquement le droit de
l'utiliser. Le concept semble vous dépasser.
Cela dit vous pouvez tout à fait vous amuser à le rendre inopérant
par des bidouilles infernales.
Tant qu'il ne sort pas de chez vous. Tout comme vous pouvez changer
les mots d'un livre tant que vous rendez pas ces modifications
publiques.
Le 26/04/2010 16:46, Gaël Le Mignot a écrit :
Donc, au final, on laisse une société nous imposer des conditions
qu'elle n'a légalement pas le droit de nous imposer, tout simplement
parce que payer des avocats c'est plus facile pour elle pour nous ? Et
ça ne dérange personne de laisser faire de telles pratiques ?
En ce qui me concerne je vis dans le monde réel.
Et il y a infiniment plus grave que les problèmes de droit des
logiciels.
D'ailleurs "des conditions qu'elle n'a légalement pas le droit de
nous imposer" il faudrait commencer par le démontrer. Sans parler
de la question : vérité ici, erreur ailleurs. Ensuite, si vous
voulez faire appliquer toutes les dispositions légales existantes,
vous ne manquerez jamais de boulot.
Moi je n'ai rien acheté, je n'utilise que du logiciel libre.
De quoi vous plaignez vous alors ???
parce que je n'accepte pas qu'on me dise ce que je peux ou ne peux pas
faire avec ce que j'ai acheté. Quand j'achète un livre, j'ai le droit
de le revendre d'occasion, de mettre du blanc et changer des mots, de
faire une photocopie pour mon usage privé, ... Pourquoi je n'aurais
pas les mêmes droits sur un logiciel ? J'ai payé le droit de
l'utiliser, la manière dont je l'utilise (sur quelle machine, si je le
modifie ou pas, ...) ça me regarde moi, pas eux.
Vous avez parfaitement le droit de ne rien faire en vous interdisant
d'utiliser des logiciels performants.
Mais on ne vous a jamais vendu un logiciel : uniquement le droit de
l'utiliser. Le concept semble vous dépasser.
Cela dit vous pouvez tout à fait vous amuser à le rendre inopérant
par des bidouilles infernales.
Tant qu'il ne sort pas de chez vous. Tout comme vous pouvez changer
les mots d'un livre tant que vous rendez pas ces modifications
publiques.
Le 26/04/2010 16:46, Gaël Le Mignot a écrit :Donc, au final, on laisse une société nous imposer des conditions
qu'elle n'a légalement pas le droit de nous imposer, tout simplement
parce que payer des avocats c'est plus facile pour elle pour nous ? Et
ça ne dérange personne de laisser faire de telles pratiques ?
En ce qui me concerne je vis dans le monde réel.
Et il y a infiniment plus grave que les problèmes de droit des
logiciels.
D'ailleurs "des conditions qu'elle n'a légalement pas le droit de
nous imposer" il faudrait commencer par le démontrer. Sans parler
de la question : vérité ici, erreur ailleurs. Ensuite, si vous
voulez faire appliquer toutes les dispositions légales existantes,
vous ne manquerez jamais de boulot.
Moi je n'ai rien acheté, je n'utilise que du logiciel libre.
De quoi vous plaignez vous alors ???
parce que je n'accepte pas qu'on me dise ce que je peux ou ne peux pas
faire avec ce que j'ai acheté. Quand j'achète un livre, j'ai le droit
de le revendre d'occasion, de mettre du blanc et changer des mots, de
faire une photocopie pour mon usage privé, ... Pourquoi je n'aurais
pas les mêmes droits sur un logiciel ? J'ai payé le droit de
l'utiliser, la manière dont je l'utilise (sur quelle machine, si je le
modifie ou pas, ...) ça me regarde moi, pas eux.
Vous avez parfaitement le droit de ne rien faire en vous interdisant
d'utiliser des logiciels performants.
Mais on ne vous a jamais vendu un logiciel : uniquement le droit de
l'utiliser. Le concept semble vous dépasser.
Cela dit vous pouvez tout à fait vous amuser à le rendre inopérant
par des bidouilles infernales.
Tant qu'il ne sort pas de chez vous. Tout comme vous pouvez changer
les mots d'un livre tant que vous rendez pas ces modifications
publiques.
Je veux faire respecter les droits que la loi me donne. Je suis
surpris que ça paraisse choquant.
Mais la différence c'est que jusqu'à l'avénement du numérique,
personne n'a jamais essayé de nous dire comment s'en servir, avec quel
matériel, dans quel contexte, si on pouvait ou non le prêter, le
revendre, le modifier. Mais que par contre, dans le domaine du
numérique, ils tentent de nous priver de ces droits. Et je ne
l'accepte pas.
Ou l'améliorer, l'adapater à mes besoins, le traduire dans une langue
qui n'est pas officiellement supportée, ... mais en fait non, je n'en
ai pas le droit. Le CLUF l'interdit. Clause abusive en droit
français. Et on revienr sur mon premier poste : ils tentent de nous
interdire ce qu'ils n'ont pas le droit de nous interdire.
Sur un livre, j'ai le droit, et la maison d'édition n'a jamais voulu
m'en empêcher. Sur un logiciel Microsoft (ou autre), je n'ai pas le
droit. En vertu de quoi ?
PS : ce sera mon dernier post sur ce sujet, puisque totalement HS
ici. Je voulais juste répondre à une question qui avait été posée sur
les licences Windows, en attirant l'attention sur les abus de pouvoir
auxquels se livrent les éditeurs, pas lancer un débat fleuve sur le
sujet.
Je veux faire respecter les droits que la loi me donne. Je suis
surpris que ça paraisse choquant.
Mais la différence c'est que jusqu'à l'avénement du numérique,
personne n'a jamais essayé de nous dire comment s'en servir, avec quel
matériel, dans quel contexte, si on pouvait ou non le prêter, le
revendre, le modifier. Mais que par contre, dans le domaine du
numérique, ils tentent de nous priver de ces droits. Et je ne
l'accepte pas.
Ou l'améliorer, l'adapater à mes besoins, le traduire dans une langue
qui n'est pas officiellement supportée, ... mais en fait non, je n'en
ai pas le droit. Le CLUF l'interdit. Clause abusive en droit
français. Et on revienr sur mon premier poste : ils tentent de nous
interdire ce qu'ils n'ont pas le droit de nous interdire.
Sur un livre, j'ai le droit, et la maison d'édition n'a jamais voulu
m'en empêcher. Sur un logiciel Microsoft (ou autre), je n'ai pas le
droit. En vertu de quoi ?
PS : ce sera mon dernier post sur ce sujet, puisque totalement HS
ici. Je voulais juste répondre à une question qui avait été posée sur
les licences Windows, en attirant l'attention sur les abus de pouvoir
auxquels se livrent les éditeurs, pas lancer un débat fleuve sur le
sujet.
Je veux faire respecter les droits que la loi me donne. Je suis
surpris que ça paraisse choquant.
Mais la différence c'est que jusqu'à l'avénement du numérique,
personne n'a jamais essayé de nous dire comment s'en servir, avec quel
matériel, dans quel contexte, si on pouvait ou non le prêter, le
revendre, le modifier. Mais que par contre, dans le domaine du
numérique, ils tentent de nous priver de ces droits. Et je ne
l'accepte pas.
Ou l'améliorer, l'adapater à mes besoins, le traduire dans une langue
qui n'est pas officiellement supportée, ... mais en fait non, je n'en
ai pas le droit. Le CLUF l'interdit. Clause abusive en droit
français. Et on revienr sur mon premier poste : ils tentent de nous
interdire ce qu'ils n'ont pas le droit de nous interdire.
Sur un livre, j'ai le droit, et la maison d'édition n'a jamais voulu
m'en empêcher. Sur un logiciel Microsoft (ou autre), je n'ai pas le
droit. En vertu de quoi ?
PS : ce sera mon dernier post sur ce sujet, puisque totalement HS
ici. Je voulais juste répondre à une question qui avait été posée sur
les licences Windows, en attirant l'attention sur les abus de pouvoir
auxquels se livrent les éditeurs, pas lancer un débat fleuve sur le
sujet.
Ben tiens. Le problème est que les logiciels photo les plus sérieux sont
issus de sociétés commerciales. Donc si on fait de la photo...
Ben tiens. Le problème est que les logiciels photo les plus sérieux sont
issus de sociétés commerciales. Donc si on fait de la photo...
Ben tiens. Le problème est que les logiciels photo les plus sérieux sont
issus de sociétés commerciales. Donc si on fait de la photo...
Et de toute façon, le problème est le logiciel privatif, où une
société (MS ou autre la question n'est pas là) s'arroge des droits
absurdes sur ce que vous avez acheté (pas le droit de le modifier, de
l'utiliser dans telle ou telle condition, de le prêter à un ami, ...), y
compris parfois rétroactivement (comme Windows Media Player où des
conditions supplémentaires ont été imposées lors d'une simple mise à
jour de sécurité). La seule façon de protéger ses libertés et ses
droits dans le monde numérique, c'est en utilisant du logiciel libre.
Et de toute façon, le problème est le logiciel privatif, où une
société (MS ou autre la question n'est pas là) s'arroge des droits
absurdes sur ce que vous avez acheté (pas le droit de le modifier, de
l'utiliser dans telle ou telle condition, de le prêter à un ami, ...), y
compris parfois rétroactivement (comme Windows Media Player où des
conditions supplémentaires ont été imposées lors d'une simple mise à
jour de sécurité). La seule façon de protéger ses libertés et ses
droits dans le monde numérique, c'est en utilisant du logiciel libre.
Et de toute façon, le problème est le logiciel privatif, où une
société (MS ou autre la question n'est pas là) s'arroge des droits
absurdes sur ce que vous avez acheté (pas le droit de le modifier, de
l'utiliser dans telle ou telle condition, de le prêter à un ami, ...), y
compris parfois rétroactivement (comme Windows Media Player où des
conditions supplémentaires ont été imposées lors d'une simple mise à
jour de sécurité). La seule façon de protéger ses libertés et ses
droits dans le monde numérique, c'est en utilisant du logiciel libre.
Mais à l'heure actuelle les CD d'install ne sont pas fournis avec le PC
et on ne peut plus faire le transfert..
Mais à l'heure actuelle les CD d'install ne sont pas fournis avec le PC
et on ne peut plus faire le transfert..
Mais à l'heure actuelle les CD d'install ne sont pas fournis avec le PC
et on ne peut plus faire le transfert..
Le vrai problème, pour moi, est que l'éditeur devient
propriétaire des données créées avec son logiciel.
Le vrai problème, pour moi, est que l'éditeur devient
propriétaire des données créées avec son logiciel.
Le vrai problème, pour moi, est que l'éditeur devient
propriétaire des données créées avec son logiciel.