tu sembles admette
avec tous les exemples qu'on te donne, qu'il
y a des requins et/ou des incompétents dans tous
les domaines... *sauf* dans la photo, le domaine
qui t'intéresse...
par quel miracle ?
n'est-ce pas un peu excessif de confiance/optimisme ?
tu sembles admette
avec tous les exemples qu'on te donne, qu'il
y a des requins et/ou des incompétents dans tous
les domaines... *sauf* dans la photo, le domaine
qui t'intéresse...
par quel miracle ?
n'est-ce pas un peu excessif de confiance/optimisme ?
tu sembles admette
avec tous les exemples qu'on te donne, qu'il
y a des requins et/ou des incompétents dans tous
les domaines... *sauf* dans la photo, le domaine
qui t'intéresse...
par quel miracle ?
n'est-ce pas un peu excessif de confiance/optimisme ?
Jean-Pierre Roche wrote:Ca n'a rien à voir. Les formats d'utilisation des photos
sont tout à fait publics.
Faux. J'au eu, il y a des années, un CD avec mes photos dessus,
mais le format est propriétaire Kodak et j'ai eu toutes les peines du
mondes a les récupérer car leur logiciel ne tournait que sous windows.
Jean-Pierre Roche<jproche@sanspub.invalid> wrote:
Ca n'a rien à voir. Les formats d'utilisation des photos
sont tout à fait publics.
Faux. J'au eu, il y a des années, un CD avec mes photos dessus,
mais le format est propriétaire Kodak et j'ai eu toutes les peines du
mondes a les récupérer car leur logiciel ne tournait que sous windows.
Jean-Pierre Roche wrote:Ca n'a rien à voir. Les formats d'utilisation des photos
sont tout à fait publics.
Faux. J'au eu, il y a des années, un CD avec mes photos dessus,
mais le format est propriétaire Kodak et j'ai eu toutes les peines du
mondes a les récupérer car leur logiciel ne tournait que sous windows.
Quand on parle technique de stockage, format de fichier, logiciel de
manipulation, on est dans l'informatique.
Bien sûr que si, ça concerne le grand public. Les problèmes de
pérennité des données concernent le grand public.
Le grand public n'utilise jamais aucun logiciel
libre, aucun shareware, aucune application iphone réalisée par un
développeur indépendant ? Et il n'a pas le droit d'utiliser le
logiciel d'un éditeur commercial, non lié au fabriquant de matériel,
pour éditer ses photos ?
L'ouverture des formats et protocoles, c'est ce qui a permis à
Internet d'exister. C'est ce qui permet d'avoir un ecosystème riche,
peuplé de nombreux acteurs (indépendants, petites sociétés, grosses
structures, logiciels libres ou non, ...), et ça, c'est le grand
public qui en profite.
C'est comme si je te disais "ce n'est pas grave que seul MS Word sous
Windows peut lire le .doc, parce que tu peux toujours faire un export
en PDF qui lui est lisible partout". Et bien non, c'est très loin
d'être satisfaisant. Parce que ça ne permet pas aux créateurs de
logiciels de faire des logiciels pour manipuler le raw, et parce que
ça pose de gros problèmes de pérénité des données, comme je l'ai
expliqué.
> Voilà... Tu parles d'informatique et tu mélanges des choses qui n'ont
> aucun rapport entre elles. Le raw n'est pas un format d'image, c'est
> un fichiers de données et donc il n'est pas question de vouloir le
> lire dans son salon ou sur un PDA.
Ah ? Et pourquoi "il n'en est pas question" ? Parce que tu as décidé
que non ? Parce que les fabriquants ont décidé que non ?
Et si moi j'ai envie de faire un lecteur/graveur DVD de salon avec un
slot de carte mémoire et qui inclue des possibilités de retouche de
photos, je n'ai pas le droit ? Peut-être que ce sera un flop
commercial. Mais peut-être que des gens trouveront ça utiles. Et ce
n'est qu'un exemple parmi d'autres. Avec ce genre de raisonnement "il
n'est pas question de", la plupart des utilisations actuelles de
l'informatique, d'Internet et du "multimédia" n'existeraient pas.
> Le JPEG peut être lu partout et modifié à sa guise.
Lu partout oui. Modifié non, parce qu'à chaque fois qu'on modifie le
JPEG (sauf petit nombre de transmformations simples comme une rotation
de 90° ou 180°) on diminue sa qualité.
Quand on parle technique de stockage, format de fichier, logiciel de
manipulation, on est dans l'informatique.
Bien sûr que si, ça concerne le grand public. Les problèmes de
pérennité des données concernent le grand public.
Le grand public n'utilise jamais aucun logiciel
libre, aucun shareware, aucune application iphone réalisée par un
développeur indépendant ? Et il n'a pas le droit d'utiliser le
logiciel d'un éditeur commercial, non lié au fabriquant de matériel,
pour éditer ses photos ?
L'ouverture des formats et protocoles, c'est ce qui a permis à
Internet d'exister. C'est ce qui permet d'avoir un ecosystème riche,
peuplé de nombreux acteurs (indépendants, petites sociétés, grosses
structures, logiciels libres ou non, ...), et ça, c'est le grand
public qui en profite.
C'est comme si je te disais "ce n'est pas grave que seul MS Word sous
Windows peut lire le .doc, parce que tu peux toujours faire un export
en PDF qui lui est lisible partout". Et bien non, c'est très loin
d'être satisfaisant. Parce que ça ne permet pas aux créateurs de
logiciels de faire des logiciels pour manipuler le raw, et parce que
ça pose de gros problèmes de pérénité des données, comme je l'ai
expliqué.
> Voilà... Tu parles d'informatique et tu mélanges des choses qui n'ont
> aucun rapport entre elles. Le raw n'est pas un format d'image, c'est
> un fichiers de données et donc il n'est pas question de vouloir le
> lire dans son salon ou sur un PDA.
Ah ? Et pourquoi "il n'en est pas question" ? Parce que tu as décidé
que non ? Parce que les fabriquants ont décidé que non ?
Et si moi j'ai envie de faire un lecteur/graveur DVD de salon avec un
slot de carte mémoire et qui inclue des possibilités de retouche de
photos, je n'ai pas le droit ? Peut-être que ce sera un flop
commercial. Mais peut-être que des gens trouveront ça utiles. Et ce
n'est qu'un exemple parmi d'autres. Avec ce genre de raisonnement "il
n'est pas question de", la plupart des utilisations actuelles de
l'informatique, d'Internet et du "multimédia" n'existeraient pas.
> Le JPEG peut être lu partout et modifié à sa guise.
Lu partout oui. Modifié non, parce qu'à chaque fois qu'on modifie le
JPEG (sauf petit nombre de transmformations simples comme une rotation
de 90° ou 180°) on diminue sa qualité.
Quand on parle technique de stockage, format de fichier, logiciel de
manipulation, on est dans l'informatique.
Bien sûr que si, ça concerne le grand public. Les problèmes de
pérennité des données concernent le grand public.
Le grand public n'utilise jamais aucun logiciel
libre, aucun shareware, aucune application iphone réalisée par un
développeur indépendant ? Et il n'a pas le droit d'utiliser le
logiciel d'un éditeur commercial, non lié au fabriquant de matériel,
pour éditer ses photos ?
L'ouverture des formats et protocoles, c'est ce qui a permis à
Internet d'exister. C'est ce qui permet d'avoir un ecosystème riche,
peuplé de nombreux acteurs (indépendants, petites sociétés, grosses
structures, logiciels libres ou non, ...), et ça, c'est le grand
public qui en profite.
C'est comme si je te disais "ce n'est pas grave que seul MS Word sous
Windows peut lire le .doc, parce que tu peux toujours faire un export
en PDF qui lui est lisible partout". Et bien non, c'est très loin
d'être satisfaisant. Parce que ça ne permet pas aux créateurs de
logiciels de faire des logiciels pour manipuler le raw, et parce que
ça pose de gros problèmes de pérénité des données, comme je l'ai
expliqué.
> Voilà... Tu parles d'informatique et tu mélanges des choses qui n'ont
> aucun rapport entre elles. Le raw n'est pas un format d'image, c'est
> un fichiers de données et donc il n'est pas question de vouloir le
> lire dans son salon ou sur un PDA.
Ah ? Et pourquoi "il n'en est pas question" ? Parce que tu as décidé
que non ? Parce que les fabriquants ont décidé que non ?
Et si moi j'ai envie de faire un lecteur/graveur DVD de salon avec un
slot de carte mémoire et qui inclue des possibilités de retouche de
photos, je n'ai pas le droit ? Peut-être que ce sera un flop
commercial. Mais peut-être que des gens trouveront ça utiles. Et ce
n'est qu'un exemple parmi d'autres. Avec ce genre de raisonnement "il
n'est pas question de", la plupart des utilisations actuelles de
l'informatique, d'Internet et du "multimédia" n'existeraient pas.
> Le JPEG peut être lu partout et modifié à sa guise.
Lu partout oui. Modifié non, parce qu'à chaque fois qu'on modifie le
JPEG (sauf petit nombre de transmformations simples comme une rotation
de 90° ou 180°) on diminue sa qualité.
Le 28/04/2010 20:37, Stephane Legras-Decussy a écrit :tu sembles admette
avec tous les exemples qu'on te donne, qu'il
y a des requins et/ou des incompétents dans tous
les domaines... *sauf* dans la photo, le domaine
qui t'intéresse...
par quel miracle ?
n'est-ce pas un peu excessif de confiance/optimisme ?
Ca n'a rien d'un miracle. Un fabricant de matériel photo n'a aucun
intérêt (contrairement à une société d'informatique) à se mettre à dos
ses clients par un comportement regrettable. Ce qu'il vend
principalement c'est du matériel...
Le 28/04/2010 20:37, Stephane Legras-Decussy a écrit :
tu sembles admette
avec tous les exemples qu'on te donne, qu'il
y a des requins et/ou des incompétents dans tous
les domaines... *sauf* dans la photo, le domaine
qui t'intéresse...
par quel miracle ?
n'est-ce pas un peu excessif de confiance/optimisme ?
Ca n'a rien d'un miracle. Un fabricant de matériel photo n'a aucun
intérêt (contrairement à une société d'informatique) à se mettre à dos
ses clients par un comportement regrettable. Ce qu'il vend
principalement c'est du matériel...
Le 28/04/2010 20:37, Stephane Legras-Decussy a écrit :tu sembles admette
avec tous les exemples qu'on te donne, qu'il
y a des requins et/ou des incompétents dans tous
les domaines... *sauf* dans la photo, le domaine
qui t'intéresse...
par quel miracle ?
n'est-ce pas un peu excessif de confiance/optimisme ?
Ca n'a rien d'un miracle. Un fabricant de matériel photo n'a aucun
intérêt (contrairement à une société d'informatique) à se mettre à dos
ses clients par un comportement regrettable. Ce qu'il vend
principalement c'est du matériel...
Déjà rien n'empêche un fabricant de matériel photo d'être à la fois
société d'informatique. Rien n'interdit à MS ou Apple de faire des
appareils photos (d'ailleurs Apple en fait dans l'iphone, même si
c'est du gadget). Rien n'empêche que dans 2 ans ou 5 ans Canon et
Adobe fusionnent ou soient rachetés par le même groupe.
Mais surtout, l'estimation de l'intérêt de la société que nous pouvons
faire et que son conseil d'administration peut faire peuvent être très
différents. Parce que nous pouvons nous tromper sur une stratégie
commerciale, ou parce que eux peuvent se tromper. La stratégie de Sony
avec le "cheval de troie" intégré à ses CDs DRMisés était absurde, ils
se sont mis à dos leurs clients. Rien n'empêche la même Sony, ou l'un
de ses concurrents, de faire les mêmes erreurs dans le domaine de la
photo.
Déjà rien n'empêche un fabricant de matériel photo d'être à la fois
société d'informatique. Rien n'interdit à MS ou Apple de faire des
appareils photos (d'ailleurs Apple en fait dans l'iphone, même si
c'est du gadget). Rien n'empêche que dans 2 ans ou 5 ans Canon et
Adobe fusionnent ou soient rachetés par le même groupe.
Mais surtout, l'estimation de l'intérêt de la société que nous pouvons
faire et que son conseil d'administration peut faire peuvent être très
différents. Parce que nous pouvons nous tromper sur une stratégie
commerciale, ou parce que eux peuvent se tromper. La stratégie de Sony
avec le "cheval de troie" intégré à ses CDs DRMisés était absurde, ils
se sont mis à dos leurs clients. Rien n'empêche la même Sony, ou l'un
de ses concurrents, de faire les mêmes erreurs dans le domaine de la
photo.
Déjà rien n'empêche un fabricant de matériel photo d'être à la fois
société d'informatique. Rien n'interdit à MS ou Apple de faire des
appareils photos (d'ailleurs Apple en fait dans l'iphone, même si
c'est du gadget). Rien n'empêche que dans 2 ans ou 5 ans Canon et
Adobe fusionnent ou soient rachetés par le même groupe.
Mais surtout, l'estimation de l'intérêt de la société que nous pouvons
faire et que son conseil d'administration peut faire peuvent être très
différents. Parce que nous pouvons nous tromper sur une stratégie
commerciale, ou parce que eux peuvent se tromper. La stratégie de Sony
avec le "cheval de troie" intégré à ses CDs DRMisés était absurde, ils
se sont mis à dos leurs clients. Rien n'empêche la même Sony, ou l'un
de ses concurrents, de faire les mêmes erreurs dans le domaine de la
photo.
Le 29/04/2010 09:48, Gaël Le Mignot a écrit :Déjà rien n'empêche un fabricant de matériel photo d'être à la fois
société d'informatique. Rien n'interdit à MS ou Apple de faire des
appareils photos (d'ailleurs Apple en fait dans l'iphone, même si
c'est du gadget). Rien n'empêche que dans 2 ans ou 5 ans Canon et
Adobe fusionnent ou soient rachetés par le même groupe.
On peut tout imaginer mais la photo au plus haut niveau ce n'est
qu'une niche minuscule par rapport aux produits vraiment grand
public. Les intérêts et le mode de fonctionnement ne sont donc pas du
tout comparables.
Mais surtout, l'estimation de l'intérêt de la société que nous pouvons
faire et que son conseil d'administration peut faire peuvent être très
différents. Parce que nous pouvons nous tromper sur une stratégie
commerciale, ou parce que eux peuvent se tromper. La stratégie de Sony
avec le "cheval de troie" intégré à ses CDs DRMisés était absurde, ils
se sont mis à dos leurs clients. Rien n'empêche la même Sony, ou l'un
de ses concurrents, de faire les mêmes erreurs dans le domaine de la
photo.
Explique moi en quoi un *support* de médias de divertissement est
comparable à un *équipement* supposé servir à la création... Que Sony
ai voulu tenter de protéger la musique qu'il vend sur CD est logique,
les photos faites avec ses appareils appartiennent à ceux qui les ont
faites...
Le 29/04/2010 09:48, Gaël Le Mignot a écrit :
Déjà rien n'empêche un fabricant de matériel photo d'être à la fois
société d'informatique. Rien n'interdit à MS ou Apple de faire des
appareils photos (d'ailleurs Apple en fait dans l'iphone, même si
c'est du gadget). Rien n'empêche que dans 2 ans ou 5 ans Canon et
Adobe fusionnent ou soient rachetés par le même groupe.
On peut tout imaginer mais la photo au plus haut niveau ce n'est
qu'une niche minuscule par rapport aux produits vraiment grand
public. Les intérêts et le mode de fonctionnement ne sont donc pas du
tout comparables.
Mais surtout, l'estimation de l'intérêt de la société que nous pouvons
faire et que son conseil d'administration peut faire peuvent être très
différents. Parce que nous pouvons nous tromper sur une stratégie
commerciale, ou parce que eux peuvent se tromper. La stratégie de Sony
avec le "cheval de troie" intégré à ses CDs DRMisés était absurde, ils
se sont mis à dos leurs clients. Rien n'empêche la même Sony, ou l'un
de ses concurrents, de faire les mêmes erreurs dans le domaine de la
photo.
Explique moi en quoi un *support* de médias de divertissement est
comparable à un *équipement* supposé servir à la création... Que Sony
ai voulu tenter de protéger la musique qu'il vend sur CD est logique,
les photos faites avec ses appareils appartiennent à ceux qui les ont
faites...
Le 29/04/2010 09:48, Gaël Le Mignot a écrit :Déjà rien n'empêche un fabricant de matériel photo d'être à la fois
société d'informatique. Rien n'interdit à MS ou Apple de faire des
appareils photos (d'ailleurs Apple en fait dans l'iphone, même si
c'est du gadget). Rien n'empêche que dans 2 ans ou 5 ans Canon et
Adobe fusionnent ou soient rachetés par le même groupe.
On peut tout imaginer mais la photo au plus haut niveau ce n'est
qu'une niche minuscule par rapport aux produits vraiment grand
public. Les intérêts et le mode de fonctionnement ne sont donc pas du
tout comparables.
Mais surtout, l'estimation de l'intérêt de la société que nous pouvons
faire et que son conseil d'administration peut faire peuvent être très
différents. Parce que nous pouvons nous tromper sur une stratégie
commerciale, ou parce que eux peuvent se tromper. La stratégie de Sony
avec le "cheval de troie" intégré à ses CDs DRMisés était absurde, ils
se sont mis à dos leurs clients. Rien n'empêche la même Sony, ou l'un
de ses concurrents, de faire les mêmes erreurs dans le domaine de la
photo.
Explique moi en quoi un *support* de médias de divertissement est
comparable à un *équipement* supposé servir à la création... Que Sony
ai voulu tenter de protéger la musique qu'il vend sur CD est logique,
les photos faites avec ses appareils appartiennent à ceux qui les ont
faites...
Sauf que les fabriquants produisent souvent les deux, et s'ils
décident d'appliquer une politique de manière globale...
L'exemple de l'iphone est très parlant, et montre bien en quoi un
équipement supposé servir à la création (je veux parler du SDK de
l'iphone, qui permet aux auteurs de logiciels de fabriquer des
applications iphone) est tout aussi vulnérables aux pratiques de
vérouillage que les supports de divertissement. À partir du moment où
on accepte que les fabriquants abusent de leur pouvoir et nous
imposent des conditions toujours plus liberticides, ils ne vont pas
s'arrêtr à ça.
Sauf que les fabriquants produisent souvent les deux, et s'ils
décident d'appliquer une politique de manière globale...
L'exemple de l'iphone est très parlant, et montre bien en quoi un
équipement supposé servir à la création (je veux parler du SDK de
l'iphone, qui permet aux auteurs de logiciels de fabriquer des
applications iphone) est tout aussi vulnérables aux pratiques de
vérouillage que les supports de divertissement. À partir du moment où
on accepte que les fabriquants abusent de leur pouvoir et nous
imposent des conditions toujours plus liberticides, ils ne vont pas
s'arrêtr à ça.
Sauf que les fabriquants produisent souvent les deux, et s'ils
décident d'appliquer une politique de manière globale...
L'exemple de l'iphone est très parlant, et montre bien en quoi un
équipement supposé servir à la création (je veux parler du SDK de
l'iphone, qui permet aux auteurs de logiciels de fabriquer des
applications iphone) est tout aussi vulnérables aux pratiques de
vérouillage que les supports de divertissement. À partir du moment où
on accepte que les fabriquants abusent de leur pouvoir et nous
imposent des conditions toujours plus liberticides, ils ne vont pas
s'arrêtr à ça.
Le 28/04/2010 21:14, Gaël Le Mignot a écrit :Quand on parle technique de stockage, format de fichier, logiciel de
manipulation, on est dans l'informatique.
Non. On utilise l'informatique ce qui est sensiblement différent.
Bien sûr que si, ça concerne le grand public. Les problèmes de
pérennité des données concernent le grand public.
? j'ai parlé de ça ?
Le grand public n'utilise jamais aucun logiciel libre, aucun
shareware, aucune application iphone réalisée par un développeur
indépendant ? Et il n'a pas le droit d'utiliser le logiciel d'un
éditeur commercial, non lié au fabriquant de matériel, pour éditer
ses photos ?
Chacun fait comme il veut mais vouloir limiter les possibilités d'un
fabricant de matériel est absurde.
L'ouverture des formats et protocoles, c'est ce qui a permis à
Internet d'exister. C'est ce qui permet d'avoir un ecosystème riche,
peuplé de nombreux acteurs (indépendants, petites sociétés, grosses
structures, logiciels libres ou non, ...), et ça, c'est le grand
public qui en profite.
Je ne vois pas trop le rapport entre internet et le traitement
d'image... Les recettes d'un domaine ne s'appliquent pas forcément à
un autre.
C'est comme si je te disais "ce n'est pas grave que seul MS Word sous
Windows peut lire le .doc, parce que tu peux toujours faire un export
en PDF qui lui est lisible partout". Et bien non, c'est très loin
d'être satisfaisant. Parce que ça ne permet pas aux créateurs de
logiciels de faire des logiciels pour manipuler le raw, et parce que
ça pose de gros problèmes de pérénité des données, comme je l'ai
expliqué.
Tu n'as rien expliqué du tout. Vu que les fichiers raw de tous les
fabricants ou presque peuvent être traités par une foultitude de
logiciels. C'est donc que c'est pas si fermé que ça...
> Voilà... Tu parles d'informatique et tu mélanges des choses qui n'ont
> aucun rapport entre elles. Le raw n'est pas un format d'image, c'est
> un fichiers de données et donc il n'est pas question de vouloir le
> lire dans son salon ou sur un PDA.
Ah ? Et pourquoi "il n'en est pas question" ? Parce que tu as décidé
que non ? Parce que les fabriquants ont décidé que non ?
Bon... Je vois que tu ne sais pas vraiment ce qu'est le raw donc
pourquoi vouloir en discuter ???
Et si moi j'ai envie de faire un lecteur/graveur DVD de salon avec un
slot de carte mémoire et qui inclue des possibilités de retouche de
photos, je n'ai pas le droit ? Peut-être que ce sera un flop
commercial. Mais peut-être que des gens trouveront ça utiles. Et ce
n'est qu'un exemple parmi d'autres. Avec ce genre de raisonnement "il
n'est pas question de", la plupart des utilisations actuelles de
l'informatique, d'Internet et du "multimédia" n'existeraient pas.
> Le JPEG peut être lu partout et modifié à sa guise.
Lu partout oui. Modifié non, parce qu'à chaque fois qu'on modifie le
JPEG (sauf petit nombre de transmformations simples comme une rotation
de 90° ou 180°) on diminue sa qualité.
MDR ! Ressortir cette vieille lune montre bien l'inanité du
débat. Avant de se préoccuper de la perte de qualité éventuelle du
JPEG il y aurait bien d'autres problèmes à régler si on recherchait
vraiment la plus haute qualité. Ca supposerait d'ailleurs qu'on en ait
une idée précise ce qui est rarement le cas...
Le 28/04/2010 21:14, Gaël Le Mignot a écrit :
Quand on parle technique de stockage, format de fichier, logiciel de
manipulation, on est dans l'informatique.
Non. On utilise l'informatique ce qui est sensiblement différent.
Bien sûr que si, ça concerne le grand public. Les problèmes de
pérennité des données concernent le grand public.
? j'ai parlé de ça ?
Le grand public n'utilise jamais aucun logiciel libre, aucun
shareware, aucune application iphone réalisée par un développeur
indépendant ? Et il n'a pas le droit d'utiliser le logiciel d'un
éditeur commercial, non lié au fabriquant de matériel, pour éditer
ses photos ?
Chacun fait comme il veut mais vouloir limiter les possibilités d'un
fabricant de matériel est absurde.
L'ouverture des formats et protocoles, c'est ce qui a permis à
Internet d'exister. C'est ce qui permet d'avoir un ecosystème riche,
peuplé de nombreux acteurs (indépendants, petites sociétés, grosses
structures, logiciels libres ou non, ...), et ça, c'est le grand
public qui en profite.
Je ne vois pas trop le rapport entre internet et le traitement
d'image... Les recettes d'un domaine ne s'appliquent pas forcément à
un autre.
C'est comme si je te disais "ce n'est pas grave que seul MS Word sous
Windows peut lire le .doc, parce que tu peux toujours faire un export
en PDF qui lui est lisible partout". Et bien non, c'est très loin
d'être satisfaisant. Parce que ça ne permet pas aux créateurs de
logiciels de faire des logiciels pour manipuler le raw, et parce que
ça pose de gros problèmes de pérénité des données, comme je l'ai
expliqué.
Tu n'as rien expliqué du tout. Vu que les fichiers raw de tous les
fabricants ou presque peuvent être traités par une foultitude de
logiciels. C'est donc que c'est pas si fermé que ça...
> Voilà... Tu parles d'informatique et tu mélanges des choses qui n'ont
> aucun rapport entre elles. Le raw n'est pas un format d'image, c'est
> un fichiers de données et donc il n'est pas question de vouloir le
> lire dans son salon ou sur un PDA.
Ah ? Et pourquoi "il n'en est pas question" ? Parce que tu as décidé
que non ? Parce que les fabriquants ont décidé que non ?
Bon... Je vois que tu ne sais pas vraiment ce qu'est le raw donc
pourquoi vouloir en discuter ???
Et si moi j'ai envie de faire un lecteur/graveur DVD de salon avec un
slot de carte mémoire et qui inclue des possibilités de retouche de
photos, je n'ai pas le droit ? Peut-être que ce sera un flop
commercial. Mais peut-être que des gens trouveront ça utiles. Et ce
n'est qu'un exemple parmi d'autres. Avec ce genre de raisonnement "il
n'est pas question de", la plupart des utilisations actuelles de
l'informatique, d'Internet et du "multimédia" n'existeraient pas.
> Le JPEG peut être lu partout et modifié à sa guise.
Lu partout oui. Modifié non, parce qu'à chaque fois qu'on modifie le
JPEG (sauf petit nombre de transmformations simples comme une rotation
de 90° ou 180°) on diminue sa qualité.
MDR ! Ressortir cette vieille lune montre bien l'inanité du
débat. Avant de se préoccuper de la perte de qualité éventuelle du
JPEG il y aurait bien d'autres problèmes à régler si on recherchait
vraiment la plus haute qualité. Ca supposerait d'ailleurs qu'on en ait
une idée précise ce qui est rarement le cas...
Le 28/04/2010 21:14, Gaël Le Mignot a écrit :Quand on parle technique de stockage, format de fichier, logiciel de
manipulation, on est dans l'informatique.
Non. On utilise l'informatique ce qui est sensiblement différent.
Bien sûr que si, ça concerne le grand public. Les problèmes de
pérennité des données concernent le grand public.
? j'ai parlé de ça ?
Le grand public n'utilise jamais aucun logiciel libre, aucun
shareware, aucune application iphone réalisée par un développeur
indépendant ? Et il n'a pas le droit d'utiliser le logiciel d'un
éditeur commercial, non lié au fabriquant de matériel, pour éditer
ses photos ?
Chacun fait comme il veut mais vouloir limiter les possibilités d'un
fabricant de matériel est absurde.
L'ouverture des formats et protocoles, c'est ce qui a permis à
Internet d'exister. C'est ce qui permet d'avoir un ecosystème riche,
peuplé de nombreux acteurs (indépendants, petites sociétés, grosses
structures, logiciels libres ou non, ...), et ça, c'est le grand
public qui en profite.
Je ne vois pas trop le rapport entre internet et le traitement
d'image... Les recettes d'un domaine ne s'appliquent pas forcément à
un autre.
C'est comme si je te disais "ce n'est pas grave que seul MS Word sous
Windows peut lire le .doc, parce que tu peux toujours faire un export
en PDF qui lui est lisible partout". Et bien non, c'est très loin
d'être satisfaisant. Parce que ça ne permet pas aux créateurs de
logiciels de faire des logiciels pour manipuler le raw, et parce que
ça pose de gros problèmes de pérénité des données, comme je l'ai
expliqué.
Tu n'as rien expliqué du tout. Vu que les fichiers raw de tous les
fabricants ou presque peuvent être traités par une foultitude de
logiciels. C'est donc que c'est pas si fermé que ça...
> Voilà... Tu parles d'informatique et tu mélanges des choses qui n'ont
> aucun rapport entre elles. Le raw n'est pas un format d'image, c'est
> un fichiers de données et donc il n'est pas question de vouloir le
> lire dans son salon ou sur un PDA.
Ah ? Et pourquoi "il n'en est pas question" ? Parce que tu as décidé
que non ? Parce que les fabriquants ont décidé que non ?
Bon... Je vois que tu ne sais pas vraiment ce qu'est le raw donc
pourquoi vouloir en discuter ???
Et si moi j'ai envie de faire un lecteur/graveur DVD de salon avec un
slot de carte mémoire et qui inclue des possibilités de retouche de
photos, je n'ai pas le droit ? Peut-être que ce sera un flop
commercial. Mais peut-être que des gens trouveront ça utiles. Et ce
n'est qu'un exemple parmi d'autres. Avec ce genre de raisonnement "il
n'est pas question de", la plupart des utilisations actuelles de
l'informatique, d'Internet et du "multimédia" n'existeraient pas.
> Le JPEG peut être lu partout et modifié à sa guise.
Lu partout oui. Modifié non, parce qu'à chaque fois qu'on modifie le
JPEG (sauf petit nombre de transmformations simples comme une rotation
de 90° ou 180°) on diminue sa qualité.
MDR ! Ressortir cette vieille lune montre bien l'inanité du
débat. Avant de se préoccuper de la perte de qualité éventuelle du
JPEG il y aurait bien d'autres problèmes à régler si on recherchait
vraiment la plus haute qualité. Ca supposerait d'ailleurs qu'on en ait
une idée précise ce qui est rarement le cas...
Et pour utiliser l'informatique, on est dépendant de ceux qui sont
dans l'informatique, donc toute restriction de leurs libertés nous
affecte tôt ou tard.
Non, mais moi oui, et je n'ai pas eu de réponse à ça. Le problème des
pérennités est une des facettes fondamentales de la nécessité d'avoir
des formats ouverts.
Mais que le fabricant de matériel veuille limiter les possibilités des
fabricants de logiciels, ou d'autres matériels, par contre, ce n'est
pas absurde ?
Le mécanisme est le même dans tous les domaines. Dans l'univers
numérique, avoir des formats ouverts, et donc permettre à tous ceux
qui ont la volonté et les compétences d'écrire des logiciels (ou du
matériel) pour les manipuler, du bidouilleur dans sa cave à la
multinationale en passant par la PME permet l'émergence de solutions,
qui bénéficient à l'utilisateur final, qu'on ne pouvait même pas
prévoir au départ.
Actuellement, les formats sont soit ouverts, soit cassés par
reverse-engineering. C'est plus ou moins compliqué et plus ou moins
légal suivant les cas. Mais avec la multiplication des DRMs de toute
sorte, ça peut changer...
Les ad hominem du type "retourne dans le monde réel", ou "tu ne sais
vraiment rien", ça n'apporte rien au débat.
La parte de qualité du JPEG est un fait scientifique, prouvé
mathématiquement et expérimentalement. Ainsi que le fait que cette
perte de qualité s'amplifie à chaque recompression.
Et pour utiliser l'informatique, on est dépendant de ceux qui sont
dans l'informatique, donc toute restriction de leurs libertés nous
affecte tôt ou tard.
Non, mais moi oui, et je n'ai pas eu de réponse à ça. Le problème des
pérennités est une des facettes fondamentales de la nécessité d'avoir
des formats ouverts.
Mais que le fabricant de matériel veuille limiter les possibilités des
fabricants de logiciels, ou d'autres matériels, par contre, ce n'est
pas absurde ?
Le mécanisme est le même dans tous les domaines. Dans l'univers
numérique, avoir des formats ouverts, et donc permettre à tous ceux
qui ont la volonté et les compétences d'écrire des logiciels (ou du
matériel) pour les manipuler, du bidouilleur dans sa cave à la
multinationale en passant par la PME permet l'émergence de solutions,
qui bénéficient à l'utilisateur final, qu'on ne pouvait même pas
prévoir au départ.
Actuellement, les formats sont soit ouverts, soit cassés par
reverse-engineering. C'est plus ou moins compliqué et plus ou moins
légal suivant les cas. Mais avec la multiplication des DRMs de toute
sorte, ça peut changer...
Les ad hominem du type "retourne dans le monde réel", ou "tu ne sais
vraiment rien", ça n'apporte rien au débat.
La parte de qualité du JPEG est un fait scientifique, prouvé
mathématiquement et expérimentalement. Ainsi que le fait que cette
perte de qualité s'amplifie à chaque recompression.
Et pour utiliser l'informatique, on est dépendant de ceux qui sont
dans l'informatique, donc toute restriction de leurs libertés nous
affecte tôt ou tard.
Non, mais moi oui, et je n'ai pas eu de réponse à ça. Le problème des
pérennités est une des facettes fondamentales de la nécessité d'avoir
des formats ouverts.
Mais que le fabricant de matériel veuille limiter les possibilités des
fabricants de logiciels, ou d'autres matériels, par contre, ce n'est
pas absurde ?
Le mécanisme est le même dans tous les domaines. Dans l'univers
numérique, avoir des formats ouverts, et donc permettre à tous ceux
qui ont la volonté et les compétences d'écrire des logiciels (ou du
matériel) pour les manipuler, du bidouilleur dans sa cave à la
multinationale en passant par la PME permet l'émergence de solutions,
qui bénéficient à l'utilisateur final, qu'on ne pouvait même pas
prévoir au départ.
Actuellement, les formats sont soit ouverts, soit cassés par
reverse-engineering. C'est plus ou moins compliqué et plus ou moins
légal suivant les cas. Mais avec la multiplication des DRMs de toute
sorte, ça peut changer...
Les ad hominem du type "retourne dans le monde réel", ou "tu ne sais
vraiment rien", ça n'apporte rien au débat.
La parte de qualité du JPEG est un fait scientifique, prouvé
mathématiquement et expérimentalement. Ainsi que le fait que cette
perte de qualité s'amplifie à chaque recompression.
À ma connaissance, il y a, d'après MS, deux types de licences Windows,
certaines qui sont transférables et d'autres (moins chères) qui ne le
sont pas (en général c'est le cas de tout Windows acheté avec un PC
neuf).
À ma connaissance, il y a, d'après MS, deux types de licences Windows,
certaines qui sont transférables et d'autres (moins chères) qui ne le
sont pas (en général c'est le cas de tout Windows acheté avec un PC
neuf).
À ma connaissance, il y a, d'après MS, deux types de licences Windows,
certaines qui sont transférables et d'autres (moins chères) qui ne le
sont pas (en général c'est le cas de tout Windows acheté avec un PC
neuf).