Tout d'abord je ne savais pas trop quel était le groupe le plus
approprié. Je vous laisse choisir.
Je suis passé à Mac Os High Sierra et c'est la catastrophe. Photoshop
CS6 a l'interface utilisateur d'une lenteur, il plante... et LightRoom 5
plante aussi.
Je dois donc faire la mise à jour et j'ai deux choix :
- Basculer sur l'abonnement à 10¤/mois pour avoir les deux mis à jour
tant que je paye ;
- Acheter la dernière version de LR et trouver un autre outil que PShop.
Un autre outil aussi bon pour la photo, mais pas du tout au même prix.
On oublie les Picasa, PShop Elements ou Express... avec tout un tas
d'automatismes pour le béotien. Si l'interface de PShop était le même en
pro qu'en light je serai d'accord, mais là...
Il est aussi vrai que l'achat de LR correspond à un an d'abonnement, et
LR + Element quasiment deux ans.
--
Pense à l'étiquette une fois les vendanges faites.
Le 18/03/2018 à 19:12, Stephane Legras-Decussy a écrit :
Le 18/03/2018 19:05, GhostRaider a écrit :
Il faut faire attention. Le fisc vérifie. J'ai été redressé sur une partie de travaux d'économie d'énergie non éligible, il fallait bien lire la facture.
mon père a eu un sévère controle fiscal un jour... tout ce qu'ils ont trouvé c'est un trop perçu par le fisc. il était vexé le contrôleur :-)
Pour moi aussi ça a été le bon début de ma carrière dans un groupe. Mon prédécesseur directeur financier, vieux comptable à l'ancienne, n'avait jamais compris la différence entre les charges définitivement non déductibles de l'assiette de l'impôt, et celles dont la déductibilité est simplement repoussée. Il réintégrait celles-ci chaque année mais ne les déduisait pas l'année suivante, à tort. La commissaire aux comptes (une camarade d'études) n'avait pas vu.
un burne ce CAC. c'est une des premières choses qu'on vérifie en mission de commisariat.
Ben non... Elle était gênée, n'avait pas vérifié elle-même que le contrôle du tableau 2057 avait été fait. Mais j'ai vu des dizaines d'auditeurs de tous poils au cours de ma carrière et très peu s'intéressaient à la fiscalité. Il est vrai que c'est un boulot de spécialiste qui devient rapidement très compliqué avec les régimes des mères et filiales, consolidation fiscale, déclaration de précompte, retenue à la source, conventions de non-double imposition etc.. Non, ils étaient fascinés par la séparation des exercices : il fallait "checker" le "cut-off" comme ils disent.. Ils y passaient des jours. Risible !
Je trouve ça, il y en avait pour des millions de F, mais manque de pot, c'était prescrit, irrécupérable, car à l'époque, les délais de prescription était différents pour le contribuable et pour l'administration. Divine surprise : on a un contrôle fiscal. Je ne dis surtout rien, le contrôleur fait son job et remonte sur les années non prescrites. Lui non plus ne remarque rien et sort les trucs habituels : voitures des dirigeants, provisions plus ou moins justifiées etc. Il nous fait son rapport et là, je lui sors la surprise. Il a tout de suite compris et a failli avoir une attaque. On a récupéré des millions et le PDG s'en est souvenu. Bon, on est un peu HS, là, non ?
Oui, on est vraiment HC.
Le 19/03/2018 à 00:28, Alf92 a écrit :
GhostRaider :
Le 18/03/2018 à 19:12, Stephane Legras-Decussy a écrit :
Le 18/03/2018 19:05, GhostRaider a écrit :
Il faut faire attention. Le fisc vérifie. J'ai été redressé sur une
partie de travaux d'économie d'énergie non éligible, il fallait bien
lire la facture.
mon père a eu un sévère controle fiscal un jour... tout ce qu'ils ont
trouvé c'est un trop perçu par le fisc.
il était vexé le contrôleur :-)
Pour moi aussi ça a été le bon début de ma carrière dans un groupe.
Mon prédécesseur directeur financier, vieux comptable à l'ancienne,
n'avait jamais compris la différence entre les charges définitivement
non déductibles de l'assiette de l'impôt, et celles dont la
déductibilité est simplement repoussée.
Il réintégrait celles-ci chaque année mais ne les déduisait pas l'année
suivante, à tort.
La commissaire aux comptes (une camarade d'études) n'avait pas vu.
un burne ce CAC.
c'est une des premières choses qu'on vérifie en mission de commisariat.
Ben non...
Elle était gênée, n'avait pas vérifié elle-même que le contrôle du
tableau 2057 avait été fait. Mais j'ai vu des dizaines d'auditeurs de
tous poils au cours de ma carrière et très peu s'intéressaient à la
fiscalité. Il est vrai que c'est un boulot de spécialiste qui devient
rapidement très compliqué avec les régimes des mères et filiales,
consolidation fiscale, déclaration de précompte, retenue à la source,
conventions de non-double imposition etc..
Non, ils étaient fascinés par la séparation des exercices : il fallait
"checker" le "cut-off" comme ils disent.. Ils y passaient des jours.
Risible !
Je trouve ça, il y en avait pour des millions de F, mais manque de pot,
c'était prescrit, irrécupérable, car à l'époque, les délais de
prescription était différents pour le contribuable et pour l'administration.
Divine surprise : on a un contrôle fiscal. Je ne dis surtout rien, le
contrôleur fait son job et remonte sur les années non prescrites. Lui
non plus ne remarque rien et sort les trucs habituels : voitures des
dirigeants, provisions plus ou moins justifiées etc.
Il nous fait son rapport et là, je lui sors la surprise. Il a tout de
suite compris et a failli avoir une attaque. On a récupéré des millions
et le PDG s'en est souvenu.
Le 18/03/2018 à 19:12, Stephane Legras-Decussy a écrit :
Le 18/03/2018 19:05, GhostRaider a écrit :
Il faut faire attention. Le fisc vérifie. J'ai été redressé sur une partie de travaux d'économie d'énergie non éligible, il fallait bien lire la facture.
mon père a eu un sévère controle fiscal un jour... tout ce qu'ils ont trouvé c'est un trop perçu par le fisc. il était vexé le contrôleur :-)
Pour moi aussi ça a été le bon début de ma carrière dans un groupe. Mon prédécesseur directeur financier, vieux comptable à l'ancienne, n'avait jamais compris la différence entre les charges définitivement non déductibles de l'assiette de l'impôt, et celles dont la déductibilité est simplement repoussée. Il réintégrait celles-ci chaque année mais ne les déduisait pas l'année suivante, à tort. La commissaire aux comptes (une camarade d'études) n'avait pas vu.
un burne ce CAC. c'est une des premières choses qu'on vérifie en mission de commisariat.
Ben non... Elle était gênée, n'avait pas vérifié elle-même que le contrôle du tableau 2057 avait été fait. Mais j'ai vu des dizaines d'auditeurs de tous poils au cours de ma carrière et très peu s'intéressaient à la fiscalité. Il est vrai que c'est un boulot de spécialiste qui devient rapidement très compliqué avec les régimes des mères et filiales, consolidation fiscale, déclaration de précompte, retenue à la source, conventions de non-double imposition etc.. Non, ils étaient fascinés par la séparation des exercices : il fallait "checker" le "cut-off" comme ils disent.. Ils y passaient des jours. Risible !
Je trouve ça, il y en avait pour des millions de F, mais manque de pot, c'était prescrit, irrécupérable, car à l'époque, les délais de prescription était différents pour le contribuable et pour l'administration. Divine surprise : on a un contrôle fiscal. Je ne dis surtout rien, le contrôleur fait son job et remonte sur les années non prescrites. Lui non plus ne remarque rien et sort les trucs habituels : voitures des dirigeants, provisions plus ou moins justifiées etc. Il nous fait son rapport et là, je lui sors la surprise. Il a tout de suite compris et a failli avoir une attaque. On a récupéré des millions et le PDG s'en est souvenu. Bon, on est un peu HS, là, non ?
Oui, on est vraiment HC.
GhostRaider
Le 19/03/2018 à 07:58, jdd a écrit :
Le 19/03/2018 à 00:28, Alf92 a écrit :
c'est une des premières choses qu'on vérifie en mission de commisariat.
un bon commissaire aux comptes sait tout de suite où il va trouver des erreurs. Je sais, je l'ai fait :-) et on coince des copains, dont l’honnêteté ne fait pas de doute, et c'est gênant pour les deux :-(
Ma copine commissaire aux comptes était gêné, certes, mais comme c'était de la pure technique fiscale que la DG ne comprend guère, elle s'en est sortie. Mon PDG s'en est bien souvenu, comme l'autre fois ou j'ai fait tomber tout un contrôle très coûteux parce que le contrôleur trop pressé a envoyé trop vite sa notification de redressement sans respecter la procédure. Crâââc ! Même pas besoin de commencer un contentieux, y'avait un arrêt de la Cour de Cassation. Contrôle ---> poubelle. On est vraiment HC, là...
Le 19/03/2018 à 07:58, jdd a écrit :
Le 19/03/2018 à 00:28, Alf92 a écrit :
c'est une des premières choses qu'on vérifie en mission de commisariat.
un bon commissaire aux comptes sait tout de suite où il va trouver des
erreurs. Je sais, je l'ai fait :-)
et on coince des copains, dont l’honnêteté ne fait pas de doute, et
c'est gênant pour les deux :-(
Ma copine commissaire aux comptes était gêné, certes, mais comme c'était
de la pure technique fiscale que la DG ne comprend guère, elle s'en est
sortie.
Mon PDG s'en est bien souvenu, comme l'autre fois ou j'ai fait tomber
tout un contrôle très coûteux parce que le contrôleur trop pressé a
envoyé trop vite sa notification de redressement sans respecter la
procédure. Crâââc ! Même pas besoin de commencer un contentieux,
y'avait un arrêt de la Cour de Cassation.
Contrôle ---> poubelle.
c'est une des premières choses qu'on vérifie en mission de commisariat.
un bon commissaire aux comptes sait tout de suite où il va trouver des erreurs. Je sais, je l'ai fait :-) et on coince des copains, dont l’honnêteté ne fait pas de doute, et c'est gênant pour les deux :-(
Ma copine commissaire aux comptes était gêné, certes, mais comme c'était de la pure technique fiscale que la DG ne comprend guère, elle s'en est sortie. Mon PDG s'en est bien souvenu, comme l'autre fois ou j'ai fait tomber tout un contrôle très coûteux parce que le contrôleur trop pressé a envoyé trop vite sa notification de redressement sans respecter la procédure. Crâââc ! Même pas besoin de commencer un contentieux, y'avait un arrêt de la Cour de Cassation. Contrôle ---> poubelle. On est vraiment HC, là...
jdd
Le 19/03/2018 à 09:23, pehache a écrit :
Et en quoi ça va les empêcher de ne PAS inclure de lecteur Flash ?? Parfois les discussions avec toi sont un peu surréalistes...
tu quote mal nous disions:
Ca tombe bien, la fin de Flash est "programmée" dans tous les navigateurs
sûrement pas, c'est sous licence adobe on ne peut pas programmer la fin de quelque chose qui n'existe pas. Flash n'est pas et n'a jamais été par défaut au moins dans les principaux navigateurs, il fallait installer le plugin adobe
Donc deux actions différentes. Et tu conclus que c'est la première qui qui a tout changé... Un peu rapide.
je résume une semaine de travail... jdd -- http://dodin.org
Le 19/03/2018 à 09:23, pehache a écrit :
Et en quoi ça va les empêcher de ne PAS inclure de lecteur Flash ??
Parfois les discussions avec toi sont un peu surréalistes...
tu quote mal
nous disions:
Ca tombe bien, la fin de Flash est "programmée" dans tous les navigateurs
sûrement pas, c'est sous licence adobe
on ne peut pas programmer la fin de quelque chose qui n'existe pas.
Flash n'est pas et n'a jamais été par défaut au moins dans les
principaux navigateurs, il fallait installer le plugin adobe
Donc deux actions différentes. Et tu conclus que c'est la première qui
qui a tout changé... Un peu rapide.
Et en quoi ça va les empêcher de ne PAS inclure de lecteur Flash ?? Parfois les discussions avec toi sont un peu surréalistes...
tu quote mal nous disions:
Ca tombe bien, la fin de Flash est "programmée" dans tous les navigateurs
sûrement pas, c'est sous licence adobe on ne peut pas programmer la fin de quelque chose qui n'existe pas. Flash n'est pas et n'a jamais été par défaut au moins dans les principaux navigateurs, il fallait installer le plugin adobe
Donc deux actions différentes. Et tu conclus que c'est la première qui qui a tout changé... Un peu rapide.
je résume une semaine de travail... jdd -- http://dodin.org
DV
Stephane Legras-Decussy a écrit ceci :
par définition, aucune règle = n'importe quoi = ce que tu veux
À mon avis, l'erreur est de croire qu'une production graphique sérieuse ne s'encombre d'aucune règle. S'agissant de la mise en page d'une revue, par exemple, il y a d'abord les règles gravées dans le marbre, celles de la typographie. Mieux vaut les respecter si l'on veut pris au sérieux. Ensuite, il y a les usages induits par l'environnement esthétique de l'époque. Ce sont par exemple les petits accidents graphiques — une image débordant de son cadre et entraînant la brisure d'une ligne — qui font dire au lecteur-spectateur de 2018 : "c'est joli", et qui dans cinquante ans paraîtront sans doute délicieusement rétro. Enfin, il y a les règles graphiques que l'on se fixe soi-même et qui constitueront l'identité visuelle de la revue. Sans ce cadre contraignant, on ne publierait qu'une succession de numéros hétéroclites plutôt qu'une suite graphiquement cohérente. Une revue risque de ne pas faire de vieux os si elle ne se dote pas d'une réelle identité visuelle. Tu pourrais m'objecter que si le maquettiste fixe lui-même des règles, il les choisit bel et bien comme il veut. Mais comme d'une part ces règles interagissent avec les autres points (typographie, environnement esthétique) et que d'autre part elles engendrent des contraintes, le "ce que tu veux" ne peut pas être "n'importe quoi". De plus, on n'a pas intérêt à se louper dans ses choix, si l'on veut que la revue trouve un public... et le garde. -- Denis
Stephane Legras-Decussy a écrit ceci :
par définition, aucune règle = n'importe quoi = ce que tu veux
À mon avis, l'erreur est de croire qu'une production graphique sérieuse
ne s'encombre d'aucune règle.
S'agissant de la mise en page d'une revue, par exemple, il y a d'abord
les règles gravées dans le marbre, celles de la typographie. Mieux vaut
les respecter si l'on veut pris au sérieux.
Ensuite, il y a les usages induits par l'environnement esthétique de
l'époque. Ce sont par exemple les petits accidents graphiques — une
image débordant de son cadre et entraînant la brisure d'une ligne — qui
font dire au lecteur-spectateur de 2018 : "c'est joli", et qui dans
cinquante ans paraîtront sans doute délicieusement rétro.
Enfin, il y a les règles graphiques que l'on se fixe soi-même et qui
constitueront l'identité visuelle de la revue. Sans ce cadre
contraignant, on ne publierait qu'une succession de numéros hétéroclites
plutôt qu'une suite graphiquement cohérente. Une revue risque de ne pas
faire de vieux os si elle ne se dote pas d'une réelle identité visuelle.
Tu pourrais m'objecter que si le maquettiste fixe lui-même des règles,
il les choisit bel et bien comme il veut. Mais comme d'une part ces
règles interagissent avec les autres points (typographie, environnement
esthétique) et que d'autre part elles engendrent des contraintes, le "ce
que tu veux" ne peut pas être "n'importe quoi". De plus, on n'a pas
intérêt à se louper dans ses choix, si l'on veut que la revue trouve un
public... et le garde.
par définition, aucune règle = n'importe quoi = ce que tu veux
À mon avis, l'erreur est de croire qu'une production graphique sérieuse ne s'encombre d'aucune règle. S'agissant de la mise en page d'une revue, par exemple, il y a d'abord les règles gravées dans le marbre, celles de la typographie. Mieux vaut les respecter si l'on veut pris au sérieux. Ensuite, il y a les usages induits par l'environnement esthétique de l'époque. Ce sont par exemple les petits accidents graphiques — une image débordant de son cadre et entraînant la brisure d'une ligne — qui font dire au lecteur-spectateur de 2018 : "c'est joli", et qui dans cinquante ans paraîtront sans doute délicieusement rétro. Enfin, il y a les règles graphiques que l'on se fixe soi-même et qui constitueront l'identité visuelle de la revue. Sans ce cadre contraignant, on ne publierait qu'une succession de numéros hétéroclites plutôt qu'une suite graphiquement cohérente. Une revue risque de ne pas faire de vieux os si elle ne se dote pas d'une réelle identité visuelle. Tu pourrais m'objecter que si le maquettiste fixe lui-même des règles, il les choisit bel et bien comme il veut. Mais comme d'une part ces règles interagissent avec les autres points (typographie, environnement esthétique) et que d'autre part elles engendrent des contraintes, le "ce que tu veux" ne peut pas être "n'importe quoi". De plus, on n'a pas intérêt à se louper dans ses choix, si l'on veut que la revue trouve un public... et le garde. -- Denis
GhostRaider
Le 19/03/2018 à 00:54, pehache a écrit :
Le 18/03/2018 à 08:27, GhostRaider a écrit :
Le 17/03/2018 à 22:30, pehache a écrit :
Le 17/03/2018 à 18:54, GhostRaider a écrit :
Le 17/03/2018 à 18:07, pehache a écrit :
Le 17/03/2018 à 17:14, GhostRaider a écrit :
Le 17/03/2018 à 15:30, jp willm a écrit :
Le 17/03/2018 à 15:10, pehache a écrit :
Un traitement de texte bien foutu ne te pourrit pas la vie quand tu inclus des images, ce sont les traitements de texte mal foutus qui le font.
Avec les premières versions de OpenOffice j'y arrivait bien, mais depuis que LibreOffice s'est aligné sur MSOffice c'est galère :-/
Je remarque que tout le monde parle ici de Libre Office et personne, sauf moi, de Apache Open Office.
C'est à dire que dans les faits, le développement d'AOO est quasi arrêté à cause d'une pénurie de développeurs, qui ont préféré rejoindre le projet LO.
Oui, arrêté ? J'en doute. Ma version AOO est la 4.1.3 du 26/9/2016. C'est quand même pas trop ancien. Depuis, il y a eu la 4.1.4 et la 4.1.5 du 30/12/2017, que je n'ai pas encore installées, par prudence, vu que j'étais sur la thèse....
La dernière version /évolutive/ (c'est à dire avec de nouveaux développements) parue est la 4.1.0 en 2014. Les 5 versions qui ont suivi (4.1.1 à 4.1.5) sont des versions correctives. Donc il n'y a eu aucun évolution en 4 ans : si ce n'est pas arrêté, ça y ressemble bien... Je pense que les développeurs qui restent n'ont le temps que de faire la maintenance corrective, mais 5 versions correctives en 4 ans ce n'est pas un rythme soutenu non plus...
Ça peut vouloir dire qu'il n'y a pas beaucoup de bugs.
Lol... Je viens de faire une recherche sur leur de suivi des bugs. J'ai sélectionné uniquement les rapports de bug avec le statut "Confirmé" (il y a bien un bug, en attente de prise en charge : il y en a plus de 10000.
Ça doit être souvent plus ou moins les mêmes : je veux dire : en en corrigeant un, on en corrige d'autres. Moi, j'en ai deux, c'est tout. Et pour LO, combien ?
Le 19/03/2018 à 00:54, pehache a écrit :
Le 18/03/2018 à 08:27, GhostRaider a écrit :
Le 17/03/2018 à 22:30, pehache a écrit :
Le 17/03/2018 à 18:54, GhostRaider a écrit :
Le 17/03/2018 à 18:07, pehache a écrit :
Le 17/03/2018 à 17:14, GhostRaider a écrit :
Le 17/03/2018 à 15:30, jp willm a écrit :
Le 17/03/2018 à 15:10, pehache a écrit :
Un traitement de texte bien foutu ne te pourrit pas la vie quand
tu inclus des images, ce sont les traitements de texte mal
foutus qui le font.
Avec les premières versions de OpenOffice j'y arrivait bien, mais
depuis que LibreOffice s'est aligné sur MSOffice c'est galère :-/
Je remarque que tout le monde parle ici de Libre Office et
personne, sauf moi, de Apache Open Office.
C'est à dire que dans les faits, le développement d'AOO est quasi
arrêté à cause d'une pénurie de développeurs, qui ont préféré
rejoindre le projet LO.
Oui, arrêté ? J'en doute.
Ma version AOO est la 4.1.3 du 26/9/2016. C'est quand même pas trop
ancien.
Depuis, il y a eu la 4.1.4 et la 4.1.5 du 30/12/2017, que je n'ai
pas encore installées, par prudence, vu que j'étais sur la thèse....
La dernière version /évolutive/ (c'est à dire avec de nouveaux
développements) parue est la 4.1.0 en 2014. Les 5 versions qui ont
suivi (4.1.1 à 4.1.5) sont des versions correctives.
Donc il n'y a eu aucun évolution en 4 ans : si ce n'est pas arrêté,
ça y ressemble bien... Je pense que les développeurs qui restent
n'ont le temps que de faire la maintenance corrective, mais 5
versions correctives en 4 ans ce n'est pas un rythme soutenu non plus...
Ça peut vouloir dire qu'il n'y a pas beaucoup de bugs.
Lol...
Je viens de faire une recherche sur leur de suivi des bugs. J'ai
sélectionné uniquement les rapports de bug avec le statut "Confirmé" (il
y a bien un bug, en attente de prise en charge : il y en a plus de 10000.
Ça doit être souvent plus ou moins les mêmes : je veux dire : en en
corrigeant un, on en corrige d'autres.
Moi, j'en ai deux, c'est tout.
Un traitement de texte bien foutu ne te pourrit pas la vie quand tu inclus des images, ce sont les traitements de texte mal foutus qui le font.
Avec les premières versions de OpenOffice j'y arrivait bien, mais depuis que LibreOffice s'est aligné sur MSOffice c'est galère :-/
Je remarque que tout le monde parle ici de Libre Office et personne, sauf moi, de Apache Open Office.
C'est à dire que dans les faits, le développement d'AOO est quasi arrêté à cause d'une pénurie de développeurs, qui ont préféré rejoindre le projet LO.
Oui, arrêté ? J'en doute. Ma version AOO est la 4.1.3 du 26/9/2016. C'est quand même pas trop ancien. Depuis, il y a eu la 4.1.4 et la 4.1.5 du 30/12/2017, que je n'ai pas encore installées, par prudence, vu que j'étais sur la thèse....
La dernière version /évolutive/ (c'est à dire avec de nouveaux développements) parue est la 4.1.0 en 2014. Les 5 versions qui ont suivi (4.1.1 à 4.1.5) sont des versions correctives. Donc il n'y a eu aucun évolution en 4 ans : si ce n'est pas arrêté, ça y ressemble bien... Je pense que les développeurs qui restent n'ont le temps que de faire la maintenance corrective, mais 5 versions correctives en 4 ans ce n'est pas un rythme soutenu non plus...
Ça peut vouloir dire qu'il n'y a pas beaucoup de bugs.
Lol... Je viens de faire une recherche sur leur de suivi des bugs. J'ai sélectionné uniquement les rapports de bug avec le statut "Confirmé" (il y a bien un bug, en attente de prise en charge : il y en a plus de 10000.
Ça doit être souvent plus ou moins les mêmes : je veux dire : en en corrigeant un, on en corrige d'autres. Moi, j'en ai deux, c'est tout. Et pour LO, combien ?
DV
jdd a écrit ceci :
Le 19/03/2018 à 09:23, pehache a écrit :
Et en quoi ça va les empêcher de ne PAS inclure de lecteur Flash ?? Parfois les discussions avec toi sont un peu surréalistes...
tu quote mal nous disions:
Ca tombe bien, la fin de Flash est "programmée" dans tous les navigateurs
sûrement pas, c'est sous licence adobe on ne peut pas programmer la fin de quelque chose qui n'existe pas. Flash n'est pas et n'a jamais été par défaut au moins dans les principaux navigateurs, il fallait installer le plugin adobe
Je ne vois pas en quoi ça empêche que la fin de Flash soit programmée. Ce ne sont pas les éditeurs de navigateurs qui l'ont programmée, c'est la société Adobe elle-même (et c'est prévu pour fin 2020) : <https://theblog.adobe.com/adobe-flash-update/> -- Denis
jdd a écrit ceci :
Le 19/03/2018 à 09:23, pehache a écrit :
Et en quoi ça va les empêcher de ne PAS inclure de lecteur Flash ??
Parfois les discussions avec toi sont un peu surréalistes...
tu quote mal
nous disions:
> Ca tombe bien, la fin de Flash est "programmée" dans tous les navigateurs
sûrement pas, c'est sous licence adobe
on ne peut pas programmer la fin de quelque chose qui n'existe pas.
Flash n'est pas et n'a jamais été par défaut au moins dans les
principaux navigateurs, il fallait installer le plugin adobe
Je ne vois pas en quoi ça empêche que la fin de Flash soit programmée.
Ce ne sont pas les éditeurs de navigateurs qui l'ont programmée, c'est
la société Adobe elle-même (et c'est prévu pour fin 2020) :
Et en quoi ça va les empêcher de ne PAS inclure de lecteur Flash ?? Parfois les discussions avec toi sont un peu surréalistes...
tu quote mal nous disions:
Ca tombe bien, la fin de Flash est "programmée" dans tous les navigateurs
sûrement pas, c'est sous licence adobe on ne peut pas programmer la fin de quelque chose qui n'existe pas. Flash n'est pas et n'a jamais été par défaut au moins dans les principaux navigateurs, il fallait installer le plugin adobe
Je ne vois pas en quoi ça empêche que la fin de Flash soit programmée. Ce ne sont pas les éditeurs de navigateurs qui l'ont programmée, c'est la société Adobe elle-même (et c'est prévu pour fin 2020) : <https://theblog.adobe.com/adobe-flash-update/> -- Denis
Alf92
pehache :
Le 18/03/2018 à 11:45, François Guillet a écrit :
Ceci dit, on a aussi le droit d'entretenir les exploiteurs.
On dirait Poutou :) Mais tu y participes en utilisant quand même leurs produits plutôt que de favoriser les solutions alternatives. En tous cas plus que moi qui utilise Gimp.
nous dit un utilisateur de Mac... aller, tu nous a fait bien rire, c'est l'essentiel.
pehache :
Le 18/03/2018 à 11:45, François Guillet a écrit :
Ceci dit, on a aussi le droit d'entretenir
les exploiteurs.
On dirait Poutou :)
Mais tu y participes en utilisant quand même leurs produits plutôt que
de favoriser les solutions alternatives. En tous cas plus que moi qui
utilise Gimp.
nous dit un utilisateur de Mac...
aller, tu nous a fait bien rire, c'est l'essentiel.
Ceci dit, on a aussi le droit d'entretenir les exploiteurs.
On dirait Poutou :) Mais tu y participes en utilisant quand même leurs produits plutôt que de favoriser les solutions alternatives. En tous cas plus que moi qui utilise Gimp.
nous dit un utilisateur de Mac... aller, tu nous a fait bien rire, c'est l'essentiel.
jdd
Le 19/03/2018 à 10:18, DV a écrit :
jdd a écrit ceci :
Le 19/03/2018 à 09:23, pehache a écrit :
Ca tombe bien, la fin de Flash est "programmée" dans tous les navigateurs
Je ne vois pas en quoi ça empêche que la fin de Flash soit programmée. Ce ne sont pas les éditeurs de navigateurs qui l'ont programmée, c'est la société Adobe elle-même (et c'est prévu pour fin 2020) :
je ne sais plus trop qui on réponds, là... je disais juste que ce n'est pas "programmé dans les navigateurs", à moins qu'on considère que l'inclusion du html5 soit la programmation de la fin de flash c'est très bien que ca disparaisse, c'était assez catastrophique - pas tant le format vidéo que les sites entièrement programmés en flash jdd -- http://dodin.org
Le 19/03/2018 à 10:18, DV a écrit :
jdd a écrit ceci :
Le 19/03/2018 à 09:23, pehache a écrit :
> Ca tombe bien, la fin de Flash est "programmée" dans tous les navigateurs
Je ne vois pas en quoi ça empêche que la fin de Flash soit programmée.
Ce ne sont pas les éditeurs de navigateurs qui l'ont programmée, c'est
la société Adobe elle-même (et c'est prévu pour fin 2020) :
je ne sais plus trop qui on réponds, là...
je disais juste que ce n'est pas "programmé dans les navigateurs", à
moins qu'on considère que l'inclusion du html5 soit la programmation de
la fin de flash
c'est très bien que ca disparaisse, c'était assez catastrophique - pas
tant le format vidéo que les sites entièrement programmés en flash
Ca tombe bien, la fin de Flash est "programmée" dans tous les navigateurs
Je ne vois pas en quoi ça empêche que la fin de Flash soit programmée. Ce ne sont pas les éditeurs de navigateurs qui l'ont programmée, c'est la société Adobe elle-même (et c'est prévu pour fin 2020) :
je ne sais plus trop qui on réponds, là... je disais juste que ce n'est pas "programmé dans les navigateurs", à moins qu'on considère que l'inclusion du html5 soit la programmation de la fin de flash c'est très bien que ca disparaisse, c'était assez catastrophique - pas tant le format vidéo que les sites entièrement programmés en flash jdd -- http://dodin.org
GhostRaider
Le 19/03/2018 à 09:12, pehache a écrit :
Le 19/03/2018 à 09:06, GhostRaider a écrit :
Le 19/03/2018 à 07:34, Thierry Houx a écrit :
Le 19/03/2018 à 00:40, pehache a écrit :
Le 18/03/2018 à 11:45, François Guillet a écrit :
pehache a couché sur son écran : ...
Et donc où est la logique de justifier le non-paiement du bon logiciel sous prétexte que le même éditeur en fait des mauvais ?
Non seulement leurs logiciels ne sont pas bons,
"Qu'ils fassent mieux que Photoshop, et on les prendra."
La logique n'est pas bonne: Si on considère le logiciel comme nécessaire, alors l'acheter.
Pourquoi payer ? J'ai téléchargé gratuitement toute la suite d'Adobe : 11,9 GO.
Là on retombe au niveau zéro de l'argumentation. Je suppose (et espère) que tu trolles sciemment.
Mais non, pas du tout. Je ne comprends pas. J'ai téléchargé la suite CS2 gratis, comme d'autres ici, sur le site d'Adobe qui l'offrait gratuitement. Mes logiciels sont officiels, pas piratés, mais je ne les ai pas payés.
Le 19/03/2018 à 09:12, pehache a écrit :
Le 19/03/2018 à 09:06, GhostRaider a écrit :
Le 19/03/2018 à 07:34, Thierry Houx a écrit :
Le 19/03/2018 à 00:40, pehache a écrit :
Le 18/03/2018 à 11:45, François Guillet a écrit :
pehache a couché sur son écran :
...
Et donc où est la logique de justifier le non-paiement du bon
logiciel sous prétexte que le même éditeur en fait des mauvais ?
Non seulement leurs logiciels ne sont pas bons,
"Qu'ils fassent mieux que Photoshop, et on les prendra."
La logique n'est pas bonne:
Si on considère le logiciel comme nécessaire, alors l'acheter.
Pourquoi payer ?
J'ai téléchargé gratuitement toute la suite d'Adobe : 11,9 GO.
Là on retombe au niveau zéro de l'argumentation. Je suppose (et espère)
que tu trolles sciemment.
Mais non, pas du tout. Je ne comprends pas.
J'ai téléchargé la suite CS2 gratis, comme d'autres ici, sur le site
d'Adobe qui l'offrait gratuitement.
Mes logiciels sont officiels, pas piratés, mais je ne les ai pas payés.
Et donc où est la logique de justifier le non-paiement du bon logiciel sous prétexte que le même éditeur en fait des mauvais ?
Non seulement leurs logiciels ne sont pas bons,
"Qu'ils fassent mieux que Photoshop, et on les prendra."
La logique n'est pas bonne: Si on considère le logiciel comme nécessaire, alors l'acheter.
Pourquoi payer ? J'ai téléchargé gratuitement toute la suite d'Adobe : 11,9 GO.
Là on retombe au niveau zéro de l'argumentation. Je suppose (et espère) que tu trolles sciemment.
Mais non, pas du tout. Je ne comprends pas. J'ai téléchargé la suite CS2 gratis, comme d'autres ici, sur le site d'Adobe qui l'offrait gratuitement. Mes logiciels sont officiels, pas piratés, mais je ne les ai pas payés.
DV
Alf92 a écrit ceci :
pehache :>>> Mais tu y participes en utilisant quand même leurs produits plutôt que
de favoriser les solutions alternatives. En tous cas plus que moi qui utilise Gimp.
nous dit un utilisateur de Mac... aller, tu nous a fait bien rire, c'est l'essentiel.
Je présume que si ça te fait rire, c'est parce que tu n'utilises que du matériel produit par des fabricants à l'éthique irréprochable. Pour en rester au domaine logiciel et à Adobe en particulier, pour ma part je boycotte les produits de cette société, pour la simple raison qu'elle m'a causé du tort à deux reprises (je l'ai déjà raconté, mais c'était il y a longtemps). Première étape : le rachat d'Aldus par Adobe en 1994. J'utilisais à l'époque une édition limitée du logiciel de retouche Aldus PhotoStyler (fournie avec un scanner) et je m'apprêtais à acheter pour pas cher la licence débloquant les fonctions désactivées quand j'ai reçu un gentil courrier d'Adobe, m'annonçant la disparition de PhotoStyler et me proposant de le remplacer par Photoshop, à un prix stratosphérique évidemment. Deuxième étape, sur le même modèle : le rachat de Pixmantec par Adobe en 2006. Tout bénéfice pour Adobe qui a pu embaucher l'équipe de développeurs et intégrer la technologie du logiciel RawShooter à son projet Lightroom. Perte sèche pour moi, puisque cela a entraîné la disparition de RawShooter pour lequel je bénéficiais d'une licence promettant des mises à jour gratuites "à vie" (oui je sais, ça aussi ça fait rire). Plus de mise à jour, donc plus de prise en charge des APN à venir. Adieu RawShooter, merci Adobe. Aujourd'hui, même si les prestations des logiciels photo libres, je l'ai dit, ne me comblent pas, je leur reconnais néanmoins un immense mérite : celui de protéger leurs utilisateurs de ce genre de cannibalisme mercantile. -- Denis
Alf92 a écrit ceci :
pehache :>>> Mais tu y participes en utilisant quand même leurs produits plutôt que
de favoriser les solutions alternatives. En tous cas plus que moi qui
utilise Gimp.
nous dit un utilisateur de Mac...
aller, tu nous a fait bien rire, c'est l'essentiel.
Je présume que si ça te fait rire, c'est parce que tu n'utilises que du
matériel produit par des fabricants à l'éthique irréprochable.
Pour en rester au domaine logiciel et à Adobe en particulier, pour ma
part je boycotte les produits de cette société, pour la simple raison
qu'elle m'a causé du tort à deux reprises (je l'ai déjà raconté, mais
c'était il y a longtemps).
Première étape : le rachat d'Aldus par Adobe en 1994. J'utilisais à
l'époque une édition limitée du logiciel de retouche Aldus PhotoStyler
(fournie avec un scanner) et je m'apprêtais à acheter pour pas cher la
licence débloquant les fonctions désactivées quand j'ai reçu un gentil
courrier d'Adobe, m'annonçant la disparition de PhotoStyler et me
proposant de le remplacer par Photoshop, à un prix stratosphérique
évidemment.
Deuxième étape, sur le même modèle : le rachat de Pixmantec par Adobe en
2006. Tout bénéfice pour Adobe qui a pu embaucher l'équipe de
développeurs et intégrer la technologie du logiciel RawShooter à son
projet Lightroom. Perte sèche pour moi, puisque cela a entraîné la
disparition de RawShooter pour lequel je bénéficiais d'une licence
promettant des mises à jour gratuites "à vie" (oui je sais, ça aussi ça
fait rire). Plus de mise à jour, donc plus de prise en charge des APN à
venir. Adieu RawShooter, merci Adobe.
Aujourd'hui, même si les prestations des logiciels photo libres, je l'ai
dit, ne me comblent pas, je leur reconnais néanmoins un immense mérite :
celui de protéger leurs utilisateurs de ce genre de cannibalisme mercantile.
pehache :>>> Mais tu y participes en utilisant quand même leurs produits plutôt que
de favoriser les solutions alternatives. En tous cas plus que moi qui utilise Gimp.
nous dit un utilisateur de Mac... aller, tu nous a fait bien rire, c'est l'essentiel.
Je présume que si ça te fait rire, c'est parce que tu n'utilises que du matériel produit par des fabricants à l'éthique irréprochable. Pour en rester au domaine logiciel et à Adobe en particulier, pour ma part je boycotte les produits de cette société, pour la simple raison qu'elle m'a causé du tort à deux reprises (je l'ai déjà raconté, mais c'était il y a longtemps). Première étape : le rachat d'Aldus par Adobe en 1994. J'utilisais à l'époque une édition limitée du logiciel de retouche Aldus PhotoStyler (fournie avec un scanner) et je m'apprêtais à acheter pour pas cher la licence débloquant les fonctions désactivées quand j'ai reçu un gentil courrier d'Adobe, m'annonçant la disparition de PhotoStyler et me proposant de le remplacer par Photoshop, à un prix stratosphérique évidemment. Deuxième étape, sur le même modèle : le rachat de Pixmantec par Adobe en 2006. Tout bénéfice pour Adobe qui a pu embaucher l'équipe de développeurs et intégrer la technologie du logiciel RawShooter à son projet Lightroom. Perte sèche pour moi, puisque cela a entraîné la disparition de RawShooter pour lequel je bénéficiais d'une licence promettant des mises à jour gratuites "à vie" (oui je sais, ça aussi ça fait rire). Plus de mise à jour, donc plus de prise en charge des APN à venir. Adieu RawShooter, merci Adobe. Aujourd'hui, même si les prestations des logiciels photo libres, je l'ai dit, ne me comblent pas, je leur reconnais néanmoins un immense mérite : celui de protéger leurs utilisateurs de ce genre de cannibalisme mercantile. -- Denis