J'ai une petite idée de ce qui se passe dans un U-point mais pas plus
D'après ce que j'ai compris à l'utilisation, un point de contrôle, c'est une sélection circulaire dégradée sur laquelle on applique telle ou telle transformation.
Là où c'est bien pratique, c'est que tous ces points de contrôle restent indépendamment accessibles et modifiables, l'équivalent de calques de réglage localisés, si on veut...
Charles Vassallo a écrit
( 50e6dfb3$0$8997$ba4acef3@reader.news.orange.fr )
Bref, tu ne fais qu'aggraver ton cas.
+1
J'ai une petite idée de ce qui se passe dans un U-point mais pas plus
D'après ce que j'ai compris à l'utilisation, un point de contrôle, c'est une
sélection circulaire dégradée sur laquelle on applique telle ou telle
transformation.
Là où c'est bien pratique, c'est que tous ces points de contrôle restent
indépendamment accessibles et modifiables, l'équivalent de calques de
réglage localisés, si on veut...
J'ai une petite idée de ce qui se passe dans un U-point mais pas plus
D'après ce que j'ai compris à l'utilisation, un point de contrôle, c'est une sélection circulaire dégradée sur laquelle on applique telle ou telle transformation.
Là où c'est bien pratique, c'est que tous ces points de contrôle restent indépendamment accessibles et modifiables, l'équivalent de calques de réglage localisés, si on veut...
Charles Vassallo
Stephane Legras-Decussy a écrit :
et bien voilà tu m'expliques consciencieusement que comme tu ne t'en sers pas c'est que tu peux t'en passer... et que tu ne sais pas vraiment ce que c'est en fait.
ne repproche pas la même chose au utilisateurs de gimp.
Je crois surtout que tu ne sais pas vraiment ce que fait un U-point. Moi, je crois savoir un peu, mais je suis prudent. Le mec que tu appelles à ta rescousse pour Gimp, lui, ne sait clairement pas comment fonctionne un calque de réglage et il ne devrait pas dire que sa recette rend les mêmes services.
Charles
Stephane Legras-Decussy a écrit :
et bien voilà tu m'expliques consciencieusement que comme tu ne t'en
sers pas c'est que tu peux t'en passer... et que tu ne sais pas
vraiment ce que c'est en fait.
ne repproche pas la même chose au utilisateurs de gimp.
Je crois surtout que tu ne sais pas vraiment ce que fait un U-point.
Moi, je crois savoir un peu, mais je suis prudent. Le mec que tu
appelles à ta rescousse pour Gimp, lui, ne sait clairement pas comment
fonctionne un calque de réglage et il ne devrait pas dire que sa recette
rend les mêmes services.
et bien voilà tu m'expliques consciencieusement que comme tu ne t'en sers pas c'est que tu peux t'en passer... et que tu ne sais pas vraiment ce que c'est en fait.
ne repproche pas la même chose au utilisateurs de gimp.
Je crois surtout que tu ne sais pas vraiment ce que fait un U-point. Moi, je crois savoir un peu, mais je suis prudent. Le mec que tu appelles à ta rescousse pour Gimp, lui, ne sait clairement pas comment fonctionne un calque de réglage et il ne devrait pas dire que sa recette rend les mêmes services.
Charles
Jean-Pierre Roche
Le 04/01/2013 15:53, Bour-Brown a écrit :
J'ai une petite idée de ce qui se passe dans un U-point mais pas plus
D'après ce que j'ai compris à l'utilisation, un point de contrôle, c'est une sélection circulaire dégradée sur laquelle on applique telle ou telle transformation.
Pas exactement... C'est une sélection à partir d'un point, avec un rayon réglable mais qui tient compte de nombreux facteurs dont la couleur. L'exemple typique est la correction du ciel : on peut obtenir un ciel bien bleu sans que la correction empiète sur le reste quelles que soient les formes de ce reste.
-- Jean-Pierre Roche
enlever sanspub pour m'écrire...
Le 04/01/2013 15:53, Bour-Brown a écrit :
J'ai une petite idée de ce qui se passe dans un U-point
mais pas plus
D'après ce que j'ai compris à l'utilisation, un point de
contrôle, c'est une
sélection circulaire dégradée sur laquelle on applique telle
ou telle
transformation.
Pas exactement... C'est une sélection à partir d'un point,
avec un rayon réglable mais qui tient compte de nombreux
facteurs dont la couleur.
L'exemple typique est la correction du ciel : on peut
obtenir un ciel bien bleu sans que la correction empiète sur
le reste quelles que soient les formes de ce reste.
--
Jean-Pierre Roche
jproche@sanspubnumericable.com
enlever sanspub pour m'écrire...
J'ai une petite idée de ce qui se passe dans un U-point mais pas plus
D'après ce que j'ai compris à l'utilisation, un point de contrôle, c'est une sélection circulaire dégradée sur laquelle on applique telle ou telle transformation.
Pas exactement... C'est une sélection à partir d'un point, avec un rayon réglable mais qui tient compte de nombreux facteurs dont la couleur. L'exemple typique est la correction du ciel : on peut obtenir un ciel bien bleu sans que la correction empiète sur le reste quelles que soient les formes de ce reste.
-- Jean-Pierre Roche
enlever sanspub pour m'écrire...
Charles Vassallo
Bour-Brown a écrit :
D'après ce que j'ai compris à l'utilisation, un point de contrôle, c'est une sélection circulaire dégradée sur laquelle on applique telle ou telle transformation.
Je pense que c'est un peu plus compliqué : à l'intérieur de ce cercle il doit aussi y avoir une sélection genre baguette magique ou plage de couleurs. Avec le pinceau de retouche de LR4/CS6, on remplace la sélection circulaire par ce que tu dessines toi-même avec le pinceau, et tu as aussi une palanquée de contrôles possibles ; ça me fait penser que ce doit être à peu près la même chose. Mais je trouve que ça devient vite trop lent (bien que ma machine soit plutôt musclée) alors que le travail sur les calques reste quasiment instantané -- enfin, tant qu'on reste dans les réglages colorimétriques.
charles
Bour-Brown a écrit :
D'après ce que j'ai compris à l'utilisation, un point de contrôle, c'est
une sélection circulaire dégradée sur laquelle on applique telle
ou telle transformation.
Je pense que c'est un peu plus compliqué : à l'intérieur de ce cercle il
doit aussi y avoir une sélection genre baguette magique ou plage de
couleurs. Avec le pinceau de retouche de LR4/CS6, on remplace la
sélection circulaire par ce que tu dessines toi-même avec le pinceau, et
tu as aussi une palanquée de contrôles possibles ; ça me fait penser que
ce doit être à peu près la même chose. Mais je trouve que ça devient
vite trop lent (bien que ma machine soit plutôt musclée) alors que le
travail sur les calques reste quasiment instantané -- enfin, tant qu'on
reste dans les réglages colorimétriques.
D'après ce que j'ai compris à l'utilisation, un point de contrôle, c'est une sélection circulaire dégradée sur laquelle on applique telle ou telle transformation.
Je pense que c'est un peu plus compliqué : à l'intérieur de ce cercle il doit aussi y avoir une sélection genre baguette magique ou plage de couleurs. Avec le pinceau de retouche de LR4/CS6, on remplace la sélection circulaire par ce que tu dessines toi-même avec le pinceau, et tu as aussi une palanquée de contrôles possibles ; ça me fait penser que ce doit être à peu près la même chose. Mais je trouve que ça devient vite trop lent (bien que ma machine soit plutôt musclée) alors que le travail sur les calques reste quasiment instantané -- enfin, tant qu'on reste dans les réglages colorimétriques.
charles
YouDontNeedToKnowButItsNoëlle
Le 04/01/13 14:57, Charles Vassallo a écrit :
Je ne crois pas que ce soit si compliqué que ça, mais je ne m'avancerai pas trop. J'ai une petite idée de ce qui se passe dans un U-point mais pas plus ; j'ai vu des démos de U-points que j'ai aisément reproduites dans Photoshop mais je ne dirais pas que ce soit toujours aussi simple. Bref, explique (bien) ce que ça fait et je dirai si je sais faire.
Je veux bien accorder que Nikon a sorti un dispositif intéressant
Non, c'est un brevet qu'ils ont en licence. L'origine c'est Nik software et les U-points sont utilisés par exemple dans D-fine, qui est le plus pratique (hélas fort cher) des softs de débruitage. En version éducation, ça passe dans le budget, et c'est superbe comme résultat.
-- si
on y tient, on peut greffer ces U-points sur Photoshop, mais ce n'est pas Adobe-genuine.
Ça serait vraiment bien. C'est vachement plus précis et intuitif que les masques. Un très bel outil les U-points. C'est surtout énormément plus rapide et modifiable. Pour une raison que j'ignore, la "sélection par couleur" de PS qui pourrait contribuer à faire la même chose est bien moins précise. Je peux t'expliquer comment ça se présente puisque je connais les 2 même si je connais certainement PS moins à fond que toi. Le point que tu pose au départ est à la fois une sélection par couleur précise (ce qui se sera affecté, ce sont les pixels de la couleur du point) et une sélection spatiale circulaire à bord diffus dont la taille est réglable par une tirette. (tu peux bien sûr éditer avec d'autres outils la sélection comme tu éditerais un masque, mais dans la plupart des cas, ce n'est pas utile. )
Sur ce point tu as des tirettes pour luminosité, saturation, teintes, chaleur (équivalent du calque de contrôle saturation couleur, en ayant sélectionné une couleur custom et en l'appliquant sur une sélection floue qui sert de masque d'effet en même temps que de masque spatial. Comme la sélection est faite par la couleur avec une bonne précision, l'aspect sélection spatiale peut être assez approximatif.
Là où c'est malin et amusant aussi, c'est que si tu duplique le point de contrôle tu peux porter cette sélection par couleur dans un coin où la couleur concernée est peu présente (tu n'arriverais pas à la choper directement par exemple. Le résultat final n'est pas infaisable avec PS ; c'est juste beaucoup plus complexe en nombre d'opérations, plus laborieux, et bien moins souple à modifier. Le point critique imho c'est la sélection par couleur de PS qui est moins bonne.
Ce qui est bien dommage, c'est que ces cornichons chez Nikon n'ont pas pensé qu'on aimerait bien affecter aussi les réglages boitier (le developpement du raw) avec ces U-points. Et donc, quand j'ai besoin d'assembler 2 développements différents du même raw (en général pour une raison d'exposition mais une fois je l'ai fait à cause de lumières mélangées) je retourne sous PS, et je colle les morceaux avec un masque. Tu passes quand tu veux essayer le tout tranquillement ou tu essaies la version démo, c'est très démonstratif.
Noëlle Adam
Le 04/01/13 14:57, Charles Vassallo a écrit :
Je ne crois pas que ce soit si compliqué que ça, mais je ne m'avancerai
pas trop. J'ai une petite idée de ce qui se passe dans un U-point mais
pas plus ; j'ai vu des démos de U-points que j'ai aisément reproduites
dans Photoshop mais je ne dirais pas que ce soit toujours aussi simple.
Bref, explique (bien) ce que ça fait et je dirai si je sais faire.
Je veux bien accorder que Nikon a sorti un dispositif intéressant
Non, c'est un brevet qu'ils ont en licence.
L'origine c'est Nik software et les U-points sont utilisés par exemple
dans D-fine, qui est le plus pratique (hélas fort cher) des softs de
débruitage. En version éducation, ça passe dans le budget, et c'est
superbe comme résultat.
-- si
on y tient, on peut greffer ces U-points sur Photoshop, mais ce n'est
pas Adobe-genuine.
Ça serait vraiment bien.
C'est vachement plus précis et intuitif que les masques. Un très bel
outil les U-points. C'est surtout énormément plus rapide et modifiable.
Pour une raison que j'ignore, la "sélection par couleur" de PS qui
pourrait contribuer à faire la même chose est bien moins précise.
Je peux t'expliquer comment ça se présente puisque je connais les 2 même
si je connais certainement PS moins à fond que toi.
Le point que tu pose au départ est à la fois une sélection par couleur
précise (ce qui se sera affecté, ce sont les pixels de la couleur du
point) et une sélection spatiale circulaire à bord diffus dont la taille
est réglable par une tirette. (tu peux bien sûr éditer avec d'autres
outils la sélection comme tu éditerais un masque, mais dans la plupart
des cas, ce n'est pas utile. )
Sur ce point tu as des tirettes pour luminosité, saturation, teintes,
chaleur (équivalent du calque de contrôle saturation couleur, en ayant
sélectionné une couleur custom et en l'appliquant sur une sélection
floue qui sert de masque d'effet en même temps que de masque spatial.
Comme la sélection est faite par la couleur avec une bonne précision,
l'aspect sélection spatiale peut être assez approximatif.
Là où c'est malin et amusant aussi, c'est que si tu duplique le point de
contrôle tu peux porter cette sélection par couleur dans un coin où la
couleur concernée est peu présente (tu n'arriverais pas à la choper
directement par exemple.
Le résultat final n'est pas infaisable avec PS ; c'est juste beaucoup
plus complexe en nombre d'opérations, plus laborieux, et bien moins
souple à modifier.
Le point critique imho c'est la sélection par couleur de PS qui est
moins bonne.
Ce qui est bien dommage, c'est que ces cornichons chez Nikon n'ont pas
pensé qu'on aimerait bien affecter aussi les réglages boitier (le
developpement du raw) avec ces U-points.
Et donc, quand j'ai besoin d'assembler 2 développements différents du
même raw (en général pour une raison d'exposition mais une fois je l'ai
fait à cause de lumières mélangées) je retourne sous PS, et je colle les
morceaux avec un masque.
Tu passes quand tu veux essayer le tout tranquillement ou tu essaies la
version démo, c'est très démonstratif.
Je ne crois pas que ce soit si compliqué que ça, mais je ne m'avancerai pas trop. J'ai une petite idée de ce qui se passe dans un U-point mais pas plus ; j'ai vu des démos de U-points que j'ai aisément reproduites dans Photoshop mais je ne dirais pas que ce soit toujours aussi simple. Bref, explique (bien) ce que ça fait et je dirai si je sais faire.
Je veux bien accorder que Nikon a sorti un dispositif intéressant
Non, c'est un brevet qu'ils ont en licence. L'origine c'est Nik software et les U-points sont utilisés par exemple dans D-fine, qui est le plus pratique (hélas fort cher) des softs de débruitage. En version éducation, ça passe dans le budget, et c'est superbe comme résultat.
-- si
on y tient, on peut greffer ces U-points sur Photoshop, mais ce n'est pas Adobe-genuine.
Ça serait vraiment bien. C'est vachement plus précis et intuitif que les masques. Un très bel outil les U-points. C'est surtout énormément plus rapide et modifiable. Pour une raison que j'ignore, la "sélection par couleur" de PS qui pourrait contribuer à faire la même chose est bien moins précise. Je peux t'expliquer comment ça se présente puisque je connais les 2 même si je connais certainement PS moins à fond que toi. Le point que tu pose au départ est à la fois une sélection par couleur précise (ce qui se sera affecté, ce sont les pixels de la couleur du point) et une sélection spatiale circulaire à bord diffus dont la taille est réglable par une tirette. (tu peux bien sûr éditer avec d'autres outils la sélection comme tu éditerais un masque, mais dans la plupart des cas, ce n'est pas utile. )
Sur ce point tu as des tirettes pour luminosité, saturation, teintes, chaleur (équivalent du calque de contrôle saturation couleur, en ayant sélectionné une couleur custom et en l'appliquant sur une sélection floue qui sert de masque d'effet en même temps que de masque spatial. Comme la sélection est faite par la couleur avec une bonne précision, l'aspect sélection spatiale peut être assez approximatif.
Là où c'est malin et amusant aussi, c'est que si tu duplique le point de contrôle tu peux porter cette sélection par couleur dans un coin où la couleur concernée est peu présente (tu n'arriverais pas à la choper directement par exemple. Le résultat final n'est pas infaisable avec PS ; c'est juste beaucoup plus complexe en nombre d'opérations, plus laborieux, et bien moins souple à modifier. Le point critique imho c'est la sélection par couleur de PS qui est moins bonne.
Ce qui est bien dommage, c'est que ces cornichons chez Nikon n'ont pas pensé qu'on aimerait bien affecter aussi les réglages boitier (le developpement du raw) avec ces U-points. Et donc, quand j'ai besoin d'assembler 2 développements différents du même raw (en général pour une raison d'exposition mais une fois je l'ai fait à cause de lumières mélangées) je retourne sous PS, et je colle les morceaux avec un masque. Tu passes quand tu veux essayer le tout tranquillement ou tu essaies la version démo, c'est très démonstratif.
Noëlle Adam
Bour-Brown
Jean-Pierre Roche a écrit ( kc6tqs$19ol$ )
C'est une sélection à partir d'un point, avec un rayon réglable mais qui tient compte de nombreux facteurs dont la couleur.
Ah ok. Effectivement, quand j'avais essayé cela m'avait eu l'air efficace, sans effet de bord marqué comme avec une sélection même adoucie, mais cela fait un moment, maintenant...
L'exemple typique est la correction du ciel : on peut obtenir un ciel bien bleu sans que la correction empiète sur le reste quelles que soient les formes de ce reste.
Va falloir que je ré-essaie le truc, c'est sûr, ne serait-ce qu'avec une version d'essai.
Jean-Pierre Roche a écrit
( kc6tqs$19ol$1@talisker.lacave.net )
C'est une sélection à partir d'un point, avec un rayon réglable mais qui
tient compte de nombreux facteurs dont la couleur.
Ah ok. Effectivement, quand j'avais essayé cela m'avait eu l'air efficace,
sans effet de bord marqué comme avec une sélection même adoucie, mais cela
fait un moment, maintenant...
L'exemple typique est la correction du ciel : on peut obtenir un ciel bien
bleu sans que la correction empiète sur le reste quelles que soient les
formes de ce reste.
Va falloir que je ré-essaie le truc, c'est sûr, ne serait-ce qu'avec une
version d'essai.
C'est une sélection à partir d'un point, avec un rayon réglable mais qui tient compte de nombreux facteurs dont la couleur.
Ah ok. Effectivement, quand j'avais essayé cela m'avait eu l'air efficace, sans effet de bord marqué comme avec une sélection même adoucie, mais cela fait un moment, maintenant...
L'exemple typique est la correction du ciel : on peut obtenir un ciel bien bleu sans que la correction empiète sur le reste quelles que soient les formes de ce reste.
Va falloir que je ré-essaie le truc, c'est sûr, ne serait-ce qu'avec une version d'essai.
Bour-Brown
Charles Vassallo a écrit ( 50e6fb03$0$1412$ )
Je pense que c'est un peu plus compliqué : à l'intérieur de ce cercle il doit aussi y avoir une sélection genre baguette magique ou plage de couleurs.
Oui, c'est ce que souligne également Jean-Pierre Roche.
Mais je trouve que ça devient vite trop lent (bien que ma machine soit plutôt musclée)
Là où je suis agréablement surpris, c'est que les réglages « masques flous » de Photoshop sont maintenant instantanés, alors que dans le temps fallait choisir un paramètre, appliquer le truc, revenir en arrière, etc.
Même avec Photomatix - loin d'être exemplaire pourtant - on commence à pouvoir travailler de façon interactive et non plus par méthode des essais et des erreurs.
Finalement le plus difficile, ce n'est pas de savoir comment s'y prendre, c'est de savoir ce qu'on souhaite obtenir...
Charles Vassallo a écrit
( 50e6fb03$0$1412$ba4acef3@reader.news.orange.fr )
Je pense que c'est un peu plus compliqué : à l'intérieur de ce cercle il
doit aussi y avoir une sélection genre baguette magique ou plage de
couleurs.
Oui, c'est ce que souligne également Jean-Pierre Roche.
Mais je trouve que ça devient vite trop lent (bien que ma machine soit
plutôt musclée)
Là où je suis agréablement surpris, c'est que les réglages « masques flous »
de Photoshop sont maintenant instantanés, alors que dans le temps fallait
choisir un paramètre, appliquer le truc, revenir en arrière, etc.
Même avec Photomatix - loin d'être exemplaire pourtant - on commence à
pouvoir travailler de façon interactive et non plus par méthode des essais
et des erreurs.
Finalement le plus difficile, ce n'est pas de savoir comment s'y prendre,
c'est de savoir ce qu'on souhaite obtenir...
Je pense que c'est un peu plus compliqué : à l'intérieur de ce cercle il doit aussi y avoir une sélection genre baguette magique ou plage de couleurs.
Oui, c'est ce que souligne également Jean-Pierre Roche.
Mais je trouve que ça devient vite trop lent (bien que ma machine soit plutôt musclée)
Là où je suis agréablement surpris, c'est que les réglages « masques flous » de Photoshop sont maintenant instantanés, alors que dans le temps fallait choisir un paramètre, appliquer le truc, revenir en arrière, etc.
Même avec Photomatix - loin d'être exemplaire pourtant - on commence à pouvoir travailler de façon interactive et non plus par méthode des essais et des erreurs.
Finalement le plus difficile, ce n'est pas de savoir comment s'y prendre, c'est de savoir ce qu'on souhaite obtenir...
YouDontNeedToKnowButItsNoëlle
Le 04/01/13 15:13, Stephane Legras-Decussy a écrit :
ne repproche pas la même chose au utilisateurs de gimp.
Perso je ne reproche rien au utilisateurs (même si le proselytisme linuxien façon témoins de Jéhovah me gave vraiment). Je reproche des choses parfois aux logiciels, ou à leurs concepteurs. Photoshop est programmé avec les pieds et gère la mémoire comme un cochon, l'interface utilisateur de Capture NX est médiocre et il n'est pas scriptable, Aperture n'accepte pas de plug-in pour le développement des raw et oblige à importer avant de pouvoir trier.
Si je trouve un truc génial dans the Gimp (1) dont j'ai vraiment l'usage, voire besoin ; (2) que the Gimp fait ça vachement mieux que les autres alors je l'installe sans tarder et je m'en sert en parallèle.
Maintenant je veux bien savoir comment on émule les U-points dans the Gimp (en nombre d'opérations) puisque je sais déja comment on les émule avec photoshop, et que ça demande pas mal de bazar de calques de réglages et de masques de sélection. Et qu'il faut aussi émuler les calques pour avoir ces fonctions...
Le U-point, tu montres ça à un utilsateur lambda, disons un adepte du bouton magique j'ai de la chance, il a compris et il sait s'en servir. C'est pas uniquement une fonction (on peut faire autrement) c'est une fonctionnalité accessible directement et directement utilisable.
Mon compagnon me disait un jour en fait PS c'est comme de l'assembleur...On peut tout faire mais c'est plein de petits bouts et il faut savoir comment. Capture NX c'est comme du C, et Aperture plus comme un langage de haut niveau. Ce n'est qu'une image (et qui a le défaut d'être compréhensible surtout par des gens qui ont programmé). Mais du coup, je me demande si the Gimp ça serait pas le langage machine :). Et Picasa un interprète basic.
Noëlle Adam
Le 04/01/13 15:13, Stephane Legras-Decussy a écrit :
ne repproche pas la même chose au utilisateurs de gimp.
Perso je ne reproche rien au utilisateurs (même si le proselytisme
linuxien façon témoins de Jéhovah me gave vraiment).
Je reproche des choses parfois aux logiciels, ou à leurs concepteurs.
Photoshop est programmé avec les pieds et gère la mémoire comme un
cochon, l'interface utilisateur de Capture NX est médiocre et il n'est
pas scriptable, Aperture n'accepte pas de plug-in pour le développement
des raw et oblige à importer avant de pouvoir trier.
Si je trouve un truc génial dans the Gimp
(1) dont j'ai vraiment l'usage, voire besoin ;
(2) que the Gimp fait ça vachement mieux que les autres alors je
l'installe sans tarder et je m'en sert en parallèle.
Maintenant je veux bien savoir comment on émule les U-points dans the
Gimp (en nombre d'opérations) puisque je sais déja comment on les émule
avec photoshop, et que ça demande pas mal de bazar de calques de
réglages et de masques de sélection. Et qu'il faut aussi émuler les
calques pour avoir ces fonctions...
Le U-point, tu montres ça à un utilsateur lambda, disons un adepte du
bouton magique j'ai de la chance, il a compris et il sait s'en servir.
C'est pas uniquement une fonction (on peut faire autrement) c'est une
fonctionnalité accessible directement et directement utilisable.
Mon compagnon me disait un jour en fait PS c'est comme de
l'assembleur...On peut tout faire mais c'est plein de petits bouts et il
faut savoir comment. Capture NX c'est comme du C, et Aperture plus comme
un langage de haut niveau. Ce n'est qu'une image (et qui a le défaut
d'être compréhensible surtout par des gens qui ont programmé).
Mais du coup, je me demande si the Gimp ça serait pas le langage machine
:). Et Picasa un interprète basic.
Le 04/01/13 15:13, Stephane Legras-Decussy a écrit :
ne repproche pas la même chose au utilisateurs de gimp.
Perso je ne reproche rien au utilisateurs (même si le proselytisme linuxien façon témoins de Jéhovah me gave vraiment). Je reproche des choses parfois aux logiciels, ou à leurs concepteurs. Photoshop est programmé avec les pieds et gère la mémoire comme un cochon, l'interface utilisateur de Capture NX est médiocre et il n'est pas scriptable, Aperture n'accepte pas de plug-in pour le développement des raw et oblige à importer avant de pouvoir trier.
Si je trouve un truc génial dans the Gimp (1) dont j'ai vraiment l'usage, voire besoin ; (2) que the Gimp fait ça vachement mieux que les autres alors je l'installe sans tarder et je m'en sert en parallèle.
Maintenant je veux bien savoir comment on émule les U-points dans the Gimp (en nombre d'opérations) puisque je sais déja comment on les émule avec photoshop, et que ça demande pas mal de bazar de calques de réglages et de masques de sélection. Et qu'il faut aussi émuler les calques pour avoir ces fonctions...
Le U-point, tu montres ça à un utilsateur lambda, disons un adepte du bouton magique j'ai de la chance, il a compris et il sait s'en servir. C'est pas uniquement une fonction (on peut faire autrement) c'est une fonctionnalité accessible directement et directement utilisable.
Mon compagnon me disait un jour en fait PS c'est comme de l'assembleur...On peut tout faire mais c'est plein de petits bouts et il faut savoir comment. Capture NX c'est comme du C, et Aperture plus comme un langage de haut niveau. Ce n'est qu'une image (et qui a le défaut d'être compréhensible surtout par des gens qui ont programmé). Mais du coup, je me demande si the Gimp ça serait pas le langage machine :). Et Picasa un interprète basic.
Noëlle Adam
YouDontNeedToKnowButItsNoëlle
Le 04/01/13 16:53, Charles Vassallo a écrit :
Bour-Brown a écrit :
D'après ce que j'ai compris à l'utilisation, un point de contrôle, c'est une sélection circulaire dégradée sur laquelle on applique telle ou telle transformation.
Je pense que c'est un peu plus compliqué : à l'intérieur de ce cercle il doit aussi y avoir une sélection genre baguette magique ou plage de couleurs.
Oui une sélection par couleur bien plus fine et efficace que celle de PS.
Avec le pinceau de retouche de LR4/CS6, on remplace la
sélection circulaire par ce que tu dessines toi-même avec le pinceau, et tu as aussi une palanquée de contrôles possibles ; ça me fait penser que ce doit être à peu près la même chose.
Ce qui m'épate c'est que tu n'aie pas eu la curiosité d'essayer ? La démo est quand même fonctionnelle 2 mois, c'est pas si mal. L'interêt des U-points par rapport aux selections par pinceau c'est la réversibilité complète, l'indépendance des différents points (dans PS il faudrait autant de combinaisons calques de reglages + masques), on peut associer ou dissocier à volonté les points si on désire que leurs réglages se suivent. Et surtout, l'immédiateté.
Tu peux aussi essayer les U-points avec D-fine (en plug-in PS), là par contre la démo c'est 15 jours seulement.
Noëlle Adam
Le 04/01/13 16:53, Charles Vassallo a écrit :
Bour-Brown a écrit :
D'après ce que j'ai compris à l'utilisation, un point de contrôle, c'est
une sélection circulaire dégradée sur laquelle on applique telle
ou telle transformation.
Je pense que c'est un peu plus compliqué : à l'intérieur de ce cercle il
doit aussi y avoir une sélection genre baguette magique ou plage de
couleurs.
Oui une sélection par couleur bien plus fine et efficace que celle de PS.
Avec le pinceau de retouche de LR4/CS6, on remplace la
sélection circulaire par ce que tu dessines toi-même avec le pinceau, et
tu as aussi une palanquée de contrôles possibles ; ça me fait penser que
ce doit être à peu près la même chose.
Ce qui m'épate c'est que tu n'aie pas eu la curiosité d'essayer ? La
démo est quand même fonctionnelle 2 mois, c'est pas si mal.
L'interêt des U-points par rapport aux selections par pinceau c'est la
réversibilité complète, l'indépendance des différents points (dans PS
il faudrait autant de combinaisons calques de reglages + masques), on
peut associer ou dissocier à volonté les points si on désire que leurs
réglages se suivent.
Et surtout, l'immédiateté.
Tu peux aussi essayer les U-points avec D-fine (en plug-in PS), là par
contre la démo c'est 15 jours seulement.
D'après ce que j'ai compris à l'utilisation, un point de contrôle, c'est une sélection circulaire dégradée sur laquelle on applique telle ou telle transformation.
Je pense que c'est un peu plus compliqué : à l'intérieur de ce cercle il doit aussi y avoir une sélection genre baguette magique ou plage de couleurs.
Oui une sélection par couleur bien plus fine et efficace que celle de PS.
Avec le pinceau de retouche de LR4/CS6, on remplace la
sélection circulaire par ce que tu dessines toi-même avec le pinceau, et tu as aussi une palanquée de contrôles possibles ; ça me fait penser que ce doit être à peu près la même chose.
Ce qui m'épate c'est que tu n'aie pas eu la curiosité d'essayer ? La démo est quand même fonctionnelle 2 mois, c'est pas si mal. L'interêt des U-points par rapport aux selections par pinceau c'est la réversibilité complète, l'indépendance des différents points (dans PS il faudrait autant de combinaisons calques de reglages + masques), on peut associer ou dissocier à volonté les points si on désire que leurs réglages se suivent. Et surtout, l'immédiateté.
Tu peux aussi essayer les U-points avec D-fine (en plug-in PS), là par contre la démo c'est 15 jours seulement.
Noëlle Adam
François
Le 04/01/2013 13:34, Ghost-Rider a écrit :
J'explore Nikon View avec prudence et circonspection mais les RAW me posent problème : je sais modifier les courbes mais pas sauvegarder les images ainsi modifiées
Un fichier raw ne se modifie pas.
Je ne sais pas comment fonctionne Nikon View. Rawtherapee enregistre les réglages dans un fichier associé à chaque photo, et applique automatiquement ces réglages quand on ré-ouvre la photo. On trouve ainsi un fichier nommé maphoto.rt3 à côté de maphoto.nef.
On peut aussi créer des profils personnalisés, très utiles quand on applique les mêmes réglages à toutes les photos, ou à une série.
Nikon View doit bien avoir des fonctionnalités comparables.
-- François
Le 04/01/2013 13:34, Ghost-Rider a écrit :
J'explore Nikon View avec prudence et circonspection mais les RAW me
posent problème : je sais modifier les courbes mais pas sauvegarder les
images ainsi modifiées
Un fichier raw ne se modifie pas.
Je ne sais pas comment fonctionne Nikon View. Rawtherapee enregistre les
réglages dans un fichier associé à chaque photo, et applique
automatiquement ces réglages quand on ré-ouvre la photo. On trouve ainsi
un fichier nommé maphoto.rt3 à côté de maphoto.nef.
On peut aussi créer des profils personnalisés, très utiles quand on
applique les mêmes réglages à toutes les photos, ou à une série.
Nikon View doit bien avoir des fonctionnalités comparables.
J'explore Nikon View avec prudence et circonspection mais les RAW me posent problème : je sais modifier les courbes mais pas sauvegarder les images ainsi modifiées
Un fichier raw ne se modifie pas.
Je ne sais pas comment fonctionne Nikon View. Rawtherapee enregistre les réglages dans un fichier associé à chaque photo, et applique automatiquement ces réglages quand on ré-ouvre la photo. On trouve ainsi un fichier nommé maphoto.rt3 à côté de maphoto.nef.
On peut aussi créer des profils personnalisés, très utiles quand on applique les mêmes réglages à toutes les photos, ou à une série.
Nikon View doit bien avoir des fonctionnalités comparables.