cette loi a t'elle été finallement voté, et donc applicable ?.
Si oui, je suppose que la "taxe Sacem" sur la mémoire, disques dur, clef
USB est caduque, donc, plus de raison d'être taxé par ces profiteurs de
tout poils que sont les majors ?.
Bons surfs.
--
Cordialement
Bidouille 62
Adresse mail non valide
Piratage -> vocabulaire de guerre sémantique inventé par les éditeurs de logiciels propriétaires pour justifier un monopole.
Non faut pas exagérer quand même, quand tu copies un logiciel et l'utilise sans payer, ca s'appelle du vol tout simplement. La copie privé n'a jamais concerné le logiciel d'ailleurs.
Charlie a écrit :
Piratage -> vocabulaire de guerre sémantique inventé par les éditeurs de
logiciels propriétaires pour justifier un monopole.
Non faut pas exagérer quand même, quand tu copies un logiciel et
l'utilise sans payer, ca s'appelle du vol tout simplement. La copie
privé n'a jamais concerné le logiciel d'ailleurs.
Piratage -> vocabulaire de guerre sémantique inventé par les éditeurs de logiciels propriétaires pour justifier un monopole.
Non faut pas exagérer quand même, quand tu copies un logiciel et l'utilise sans payer, ca s'appelle du vol tout simplement. La copie privé n'a jamais concerné le logiciel d'ailleurs.
Dominique ROUSSEAU
Le lun, 03 avr 2006 at 08:29 GMT, Kupee a écrit :
Charlie a écrit :
Piratage -> vocabulaire de guerre sémantique inventé par les éditeurs de logiciels propriétaires pour justifier un monopole.
Non faut pas exagérer quand même, quand tu copies un logiciel et l'utilise sans payer, ca s'appelle du vol tout simplement. La copie privé n'a jamais concerné le logiciel d'ailleurs.
Et tu "voles" ça à qui ? Le logiciel est un bien non rival, tout autant que la musique, quand on parle seulement du tas de bits qui le compose.
Et quand on y regarde bien, les copies "pirates" de logiciels Microsoft et autres contibuent sans doute plus à établir leur monopole qu'à réduire leurs revenus...
Dom
Le lun, 03 avr 2006 at 08:29 GMT, Kupee <rien@rien.rien> a écrit :
Charlie a écrit :
Piratage -> vocabulaire de guerre sémantique inventé par les éditeurs
de logiciels propriétaires pour justifier un monopole.
Non faut pas exagérer quand même, quand tu copies un logiciel et
l'utilise sans payer, ca s'appelle du vol tout simplement. La copie
privé n'a jamais concerné le logiciel d'ailleurs.
Et tu "voles" ça à qui ?
Le logiciel est un bien non rival, tout autant que la musique, quand on
parle seulement du tas de bits qui le compose.
Et quand on y regarde bien, les copies "pirates" de logiciels Microsoft
et autres contibuent sans doute plus à établir leur monopole qu'à
réduire leurs revenus...
Piratage -> vocabulaire de guerre sémantique inventé par les éditeurs de logiciels propriétaires pour justifier un monopole.
Non faut pas exagérer quand même, quand tu copies un logiciel et l'utilise sans payer, ca s'appelle du vol tout simplement. La copie privé n'a jamais concerné le logiciel d'ailleurs.
Et tu "voles" ça à qui ? Le logiciel est un bien non rival, tout autant que la musique, quand on parle seulement du tas de bits qui le compose.
Et quand on y regarde bien, les copies "pirates" de logiciels Microsoft et autres contibuent sans doute plus à établir leur monopole qu'à réduire leurs revenus...
Dom
Xavier Roche
Kupee wrote:
Non faut pas exagérer quand même, quand tu copies un logiciel et l'utilise sans payer, ca s'appelle du vol tout simplement.
Non. Ce n'est pas du vol. Appeler copie illicite "vol", c'est comme amalgamer vol et homicide, cela n'a aucun sens au point de vue juridique. Aucun.
Pas plus d'ailleurs que le terme "piratage", que certains emploient pour tout et n'importe quoi (accès illicite à un serveur, utilisation de logiciels copiés de manière illicite, copie de cassetes vidéo, etc).
La copie privé n'a jamais concerné le logiciel d'ailleurs.
Absolument. Cela rend d'autant plus scandaleux le racket organisé par le lobbie du disque sur les supports vièrges, et le vérouillage par DRM de la copie privée, toujours pas les mêmes lobbies (avec la complicité d'un ministre condamné pour blanchiment d'argent).
Kupee wrote:
Non faut pas exagérer quand même, quand tu copies un logiciel et
l'utilise sans payer, ca s'appelle du vol tout simplement.
Non. Ce n'est pas du vol. Appeler copie illicite "vol", c'est comme
amalgamer vol et homicide, cela n'a aucun sens au point de vue
juridique. Aucun.
Pas plus d'ailleurs que le terme "piratage", que certains emploient pour
tout et n'importe quoi (accès illicite à un serveur, utilisation de
logiciels copiés de manière illicite, copie de cassetes vidéo, etc).
La copie
privé n'a jamais concerné le logiciel d'ailleurs.
Absolument. Cela rend d'autant plus scandaleux le racket organisé par le
lobbie du disque sur les supports vièrges, et le vérouillage par DRM de
la copie privée, toujours pas les mêmes lobbies (avec la complicité d'un
ministre condamné pour blanchiment d'argent).
Non faut pas exagérer quand même, quand tu copies un logiciel et l'utilise sans payer, ca s'appelle du vol tout simplement.
Non. Ce n'est pas du vol. Appeler copie illicite "vol", c'est comme amalgamer vol et homicide, cela n'a aucun sens au point de vue juridique. Aucun.
Pas plus d'ailleurs que le terme "piratage", que certains emploient pour tout et n'importe quoi (accès illicite à un serveur, utilisation de logiciels copiés de manière illicite, copie de cassetes vidéo, etc).
La copie privé n'a jamais concerné le logiciel d'ailleurs.
Absolument. Cela rend d'autant plus scandaleux le racket organisé par le lobbie du disque sur les supports vièrges, et le vérouillage par DRM de la copie privée, toujours pas les mêmes lobbies (avec la complicité d'un ministre condamné pour blanchiment d'argent).
Xavier Roche
Dominique ROUSSEAU wrote:
Le logiciel est un bien non rival, tout autant que la musique, quand on parle seulement du tas de bits qui le compose.
Voila. Disons que la copie de musique, ou de logiciel, ce n'est qu'une affaire de non-paiement de license d'utilisation, qui peut être discutable dans le cas de la musique si la copie a été réalisée sur un support taxé.
C'est comme regarder la télévision sans payer la redevance: ce n'est pas du vol, mais cela reste illicite. [ Sauf si on regarge la même télévision depuis un poste portable (*), par exemple: ne distinguo n'est pas totalement immédiat ]
Mais beaucoup moins grave qu'un vol de biens, évidemment.
Et c'est pour cela que quand les lobbies du disque éructent en disant que "la license globale, c'est comme si on ouvrait les supermarchés gratuitement", c'est de la désinformation pure et simple. De la *désinformation*, avec la complicité du ministère de la culture encore une fois.
Et quand on y regarde bien, les copies "pirates" de logiciels Microsoft et autres contibuent sans doute plus à établir leur monopole qu'à réduire leurs revenus...
(*) c'est peut être uniquement vrai si on paye déja pour un poste principal ?
Dominique ROUSSEAU wrote:
Le logiciel est un bien non rival, tout autant que la musique, quand on
parle seulement du tas de bits qui le compose.
Voila. Disons que la copie de musique, ou de logiciel, ce n'est qu'une
affaire de non-paiement de license d'utilisation, qui peut être
discutable dans le cas de la musique si la copie a été réalisée sur un
support taxé.
C'est comme regarder la télévision sans payer la redevance: ce n'est pas
du vol, mais cela reste illicite. [ Sauf si on regarge la même
télévision depuis un poste portable (*), par exemple: ne distinguo n'est
pas totalement immédiat ]
Mais beaucoup moins grave qu'un vol de biens, évidemment.
Et c'est pour cela que quand les lobbies du disque éructent en disant
que "la license globale, c'est comme si on ouvrait les supermarchés
gratuitement", c'est de la désinformation pure et simple. De la
*désinformation*, avec la complicité du ministère de la culture encore
une fois.
Et quand on y regarde bien, les copies "pirates" de logiciels Microsoft
et autres contibuent sans doute plus à établir leur monopole qu'à
réduire leurs revenus...
(*) c'est peut être uniquement vrai si on paye déja pour un poste
principal ?
Le logiciel est un bien non rival, tout autant que la musique, quand on parle seulement du tas de bits qui le compose.
Voila. Disons que la copie de musique, ou de logiciel, ce n'est qu'une affaire de non-paiement de license d'utilisation, qui peut être discutable dans le cas de la musique si la copie a été réalisée sur un support taxé.
C'est comme regarder la télévision sans payer la redevance: ce n'est pas du vol, mais cela reste illicite. [ Sauf si on regarge la même télévision depuis un poste portable (*), par exemple: ne distinguo n'est pas totalement immédiat ]
Mais beaucoup moins grave qu'un vol de biens, évidemment.
Et c'est pour cela que quand les lobbies du disque éructent en disant que "la license globale, c'est comme si on ouvrait les supermarchés gratuitement", c'est de la désinformation pure et simple. De la *désinformation*, avec la complicité du ministère de la culture encore une fois.
Et quand on y regarde bien, les copies "pirates" de logiciels Microsoft et autres contibuent sans doute plus à établir leur monopole qu'à réduire leurs revenus...
(*) c'est peut être uniquement vrai si on paye déja pour un poste principal ?
Kupee
Dominique ROUSSEAU a écrit :
Le lun, 03 avr 2006 at 08:29 GMT, Kupee a écrit :
Charlie a écrit :
Piratage -> vocabulaire de guerre sémantique inventé par les éditeurs de logiciels propriétaires pour justifier un monopole.
Non faut pas exagérer quand même, quand tu copies un logiciel et l'utilise sans payer, ca s'appelle du vol tout simplement. La copie privé n'a jamais concerné le logiciel d'ailleurs.
Et tu "voles" ça à qui ? Le logiciel est un bien non rival, tout autant que la musique, quand on parle seulement du tas de bits qui le compose.
Je te répond a toi mais ma réponse est aussi valable pour Xavier. Oui c'est vrai ce n'est pas exactement du vol, je ne connais pas le terme exact pour ce genre de chose, et il est vrai que si je copie un logiciel (ou un CD audio par exemple) personne ne perd réellement d'argent. Je sais pas comment appeler ca, fraude, escroquerie ? Il ne peut y avoir qu'une perte potentielle. Mais il reste que dans un certain nombre de cas cette perte est réelle car j'aurai acheté le produit si je n'avais pas pu le copier. Donc si tu as un terme plus adapté ca m'intéresse
Et quand on y regarde bien, les copies "pirates" de logiciels Microsoft et autres contibuent sans doute plus à établir leur monopole qu'à réduire leurs revenus...
Ca c'est un autre débat, que le piratage les serve, le fait est qu'officiellement les logiciels Microsoft payants ne doivent pas etre piratés.
Dominique ROUSSEAU a écrit :
Le lun, 03 avr 2006 at 08:29 GMT, Kupee <rien@rien.rien> a écrit :
Charlie a écrit :
Piratage -> vocabulaire de guerre sémantique inventé par les éditeurs
de logiciels propriétaires pour justifier un monopole.
Non faut pas exagérer quand même, quand tu copies un logiciel et
l'utilise sans payer, ca s'appelle du vol tout simplement. La copie
privé n'a jamais concerné le logiciel d'ailleurs.
Et tu "voles" ça à qui ?
Le logiciel est un bien non rival, tout autant que la musique, quand on
parle seulement du tas de bits qui le compose.
Je te répond a toi mais ma réponse est aussi valable pour Xavier.
Oui c'est vrai ce n'est pas exactement du vol, je ne connais pas le
terme exact pour ce genre de chose, et il est vrai que si je copie un
logiciel (ou un CD audio par exemple) personne ne perd réellement
d'argent. Je sais pas comment appeler ca, fraude, escroquerie ?
Il ne peut y avoir qu'une perte potentielle. Mais il reste que dans un
certain nombre de cas cette perte est réelle car j'aurai acheté le
produit si je n'avais pas pu le copier.
Donc si tu as un terme plus adapté ca m'intéresse
Et quand on y regarde bien, les copies "pirates" de logiciels Microsoft
et autres contibuent sans doute plus à établir leur monopole qu'à
réduire leurs revenus...
Ca c'est un autre débat, que le piratage les serve, le fait est
qu'officiellement les logiciels Microsoft payants ne doivent pas etre
piratés.
Piratage -> vocabulaire de guerre sémantique inventé par les éditeurs de logiciels propriétaires pour justifier un monopole.
Non faut pas exagérer quand même, quand tu copies un logiciel et l'utilise sans payer, ca s'appelle du vol tout simplement. La copie privé n'a jamais concerné le logiciel d'ailleurs.
Et tu "voles" ça à qui ? Le logiciel est un bien non rival, tout autant que la musique, quand on parle seulement du tas de bits qui le compose.
Je te répond a toi mais ma réponse est aussi valable pour Xavier. Oui c'est vrai ce n'est pas exactement du vol, je ne connais pas le terme exact pour ce genre de chose, et il est vrai que si je copie un logiciel (ou un CD audio par exemple) personne ne perd réellement d'argent. Je sais pas comment appeler ca, fraude, escroquerie ? Il ne peut y avoir qu'une perte potentielle. Mais il reste que dans un certain nombre de cas cette perte est réelle car j'aurai acheté le produit si je n'avais pas pu le copier. Donc si tu as un terme plus adapté ca m'intéresse
Et quand on y regarde bien, les copies "pirates" de logiciels Microsoft et autres contibuent sans doute plus à établir leur monopole qu'à réduire leurs revenus...
Ca c'est un autre débat, que le piratage les serve, le fait est qu'officiellement les logiciels Microsoft payants ne doivent pas etre piratés.
Xavier Roche
Kupee wrote:
personne ne perd réellement d'argent.
Voila. Copier un mp3, cela peut s'apparenter à enregistrer un titre qui passe à la radio.
Je sais pas comment appeler ca, fraude, escroquerie ?
Copie privée dans le cas de la musique ?
Il ne peut y avoir qu'une perte potentielle.
Voila. Potentielle.
certain nombre de cas cette perte est réelle car j'aurai acheté le produit si je n'avais pas pu le copier.
Il y a des tas de musiques que j'écoute (involontairement) et qui passent à la radio que je n'aurai pas acheté de toute manière. Et il m'est arrivé de copier des mp3 que je n'ai pas acheté (oh!), et que je n'aurai jamais acheté de toute manière non plus. Cela ne m'empêche pas d'acheter des dizaines de CD par ailleurs (CD que j'avais déja écouté en radio ou en mp3)
Perte potentielle, difficile à évaluer. Les dernières études en date montrent que cette perte est nulle (par exemple l'étude publiée récemment dans "Que Choisir ?")
Ca c'est un autre débat, que le piratage les serve
Le piratage a fait la fortune des gros éditeurs de logiciels. Le jour ou personne ne pourra plus copier Office, Open Office aura gagné la guerre. C'est un exemple, il y en a beaucoup d'autres.
qu'officiellement les logiciels Microsoft payants ne doivent pas etre piratés.
Officieusement, ils sont facilement piratables pour de très bonnes raisons stratégiques mais on s'égare un peu du thème du forum là.
Kupee wrote:
personne ne perd réellement d'argent.
Voila. Copier un mp3, cela peut s'apparenter à enregistrer un titre qui
passe à la radio.
Je sais pas comment appeler ca, fraude, escroquerie ?
Copie privée dans le cas de la musique ?
Il ne peut y avoir qu'une perte potentielle.
Voila. Potentielle.
certain nombre de cas cette perte est réelle car j'aurai acheté le
produit si je n'avais pas pu le copier.
Il y a des tas de musiques que j'écoute (involontairement) et qui
passent à la radio que je n'aurai pas acheté de toute manière. Et il
m'est arrivé de copier des mp3 que je n'ai pas acheté (oh!), et que je
n'aurai jamais acheté de toute manière non plus. Cela ne m'empêche pas
d'acheter des dizaines de CD par ailleurs (CD que j'avais déja écouté en
radio ou en mp3)
Perte potentielle, difficile à évaluer. Les dernières études en date
montrent que cette perte est nulle (par exemple l'étude publiée
récemment dans "Que Choisir ?")
Ca c'est un autre débat, que le piratage les serve
Le piratage a fait la fortune des gros éditeurs de logiciels. Le jour ou
personne ne pourra plus copier Office, Open Office aura gagné la guerre.
C'est un exemple, il y en a beaucoup d'autres.
qu'officiellement les logiciels Microsoft payants ne doivent pas etre
piratés.
Officieusement, ils sont facilement piratables pour de très bonnes
raisons stratégiques mais on s'égare un peu du thème du forum là.
Voila. Copier un mp3, cela peut s'apparenter à enregistrer un titre qui passe à la radio.
Je sais pas comment appeler ca, fraude, escroquerie ?
Copie privée dans le cas de la musique ?
Il ne peut y avoir qu'une perte potentielle.
Voila. Potentielle.
certain nombre de cas cette perte est réelle car j'aurai acheté le produit si je n'avais pas pu le copier.
Il y a des tas de musiques que j'écoute (involontairement) et qui passent à la radio que je n'aurai pas acheté de toute manière. Et il m'est arrivé de copier des mp3 que je n'ai pas acheté (oh!), et que je n'aurai jamais acheté de toute manière non plus. Cela ne m'empêche pas d'acheter des dizaines de CD par ailleurs (CD que j'avais déja écouté en radio ou en mp3)
Perte potentielle, difficile à évaluer. Les dernières études en date montrent que cette perte est nulle (par exemple l'étude publiée récemment dans "Que Choisir ?")
Ca c'est un autre débat, que le piratage les serve
Le piratage a fait la fortune des gros éditeurs de logiciels. Le jour ou personne ne pourra plus copier Office, Open Office aura gagné la guerre. C'est un exemple, il y en a beaucoup d'autres.
qu'officiellement les logiciels Microsoft payants ne doivent pas etre piratés.
Officieusement, ils sont facilement piratables pour de très bonnes raisons stratégiques mais on s'égare un peu du thème du forum là.
Kupee
Xavier Roche a écrit :
Kupee wrote:
personne ne perd réellement d'argent.
Voila. Copier un mp3, cela peut s'apparenter à enregistrer un titre qui passe à la radio.
Je sais pas comment appeler ca, fraude, escroquerie ?
Copie privée dans le cas de la musique ?
Absolument, mais Charlie parlait d'éditeurs logiciels et pas de musique.
Xavier Roche a écrit :
Kupee wrote:
personne ne perd réellement d'argent.
Voila. Copier un mp3, cela peut s'apparenter à enregistrer un titre qui
passe à la radio.
Je sais pas comment appeler ca, fraude, escroquerie ?
Copie privée dans le cas de la musique ?
Absolument, mais Charlie parlait d'éditeurs logiciels et pas de musique.
Kupee a écrit : [copie illicite de musique ou logiciel]
Oui c'est vrai ce n'est pas exactement du vol, je ne connais pas le terme exact pour ce genre de chose
Contrefaçon.
Dominique ROUSSEAU
Le lun, 03 avr 2006 at 09:45 GMT, Kupee a écrit :
Dominique ROUSSEAU a écrit :
Et tu "voles" ça à qui ? Le logiciel est un bien non rival, tout autant que la musique, quand on parle seulement du tas de bits qui le compose.
Je te répond a toi mais ma réponse est aussi valable pour Xavier. Oui c'est vrai ce n'est pas exactement du vol, je ne connais pas le terme exact pour ce genre de chose, et il est vrai que si je copie un logiciel (ou un CD audio par exemple) personne ne perd réellement d'argent. Je sais pas comment appeler ca, fraude, escroquerie ?
Pour celui qui transmet une dite copie, ça s'appelle de la contrefaçon.
Il ne peut y avoir qu'une perte potentielle. Mais il reste que dans un certain nombre de cas cette perte est réelle car j'aurai acheté le produit si je n'avais pas pu le copier.
Dans les chiffres de « piratage » claironnés par les « lésés », personne ne parle jamais du pourcentage de ceux qui ont copié au lieu d'achter, par rapport à ceux qui ont copié mais n'aurait de toute façon pas acheté (que ce soit une copie pour évaluer avant d'acheter, parceque pas de moyen parceque ...)
Donc si tu as un terme plus adapté ca m'intéresse
Je n'ai pas, là, de terme comme "vol" correspondant à celà. Mais il s'agit juste de "copie non autorisée".
Et quand on y regarde bien, les copies "pirates" de logiciels Microsoft et autres contibuent sans doute plus à établir leur monopole qu'à réduire leurs revenus...
Ca c'est un autre débat, que le piratage les serve, le fait est qu'officiellement les logiciels Microsoft payants ne doivent pas etre piratés.
Ils ne doivent pas être copiés sans leur autorisation, oui. Et pour certains, c'est à peine si tu as le droit des les utiliser... Pour ma part, j'ai fait mon choix depuis longtemps, je ne les utilise simplement pas :)
Dom
Le lun, 03 avr 2006 at 09:45 GMT, Kupee <rien@rien.rien> a écrit :
Dominique ROUSSEAU a écrit :
Et tu "voles" ça à qui ?
Le logiciel est un bien non rival, tout autant que la musique, quand on
parle seulement du tas de bits qui le compose.
Je te répond a toi mais ma réponse est aussi valable pour Xavier.
Oui c'est vrai ce n'est pas exactement du vol, je ne connais pas le
terme exact pour ce genre de chose, et il est vrai que si je copie un
logiciel (ou un CD audio par exemple) personne ne perd réellement
d'argent. Je sais pas comment appeler ca, fraude, escroquerie ?
Pour celui qui transmet une dite copie, ça s'appelle de la contrefaçon.
Il ne peut y avoir qu'une perte potentielle. Mais il reste que dans
un certain nombre de cas cette perte est réelle car j'aurai acheté le
produit si je n'avais pas pu le copier.
Dans les chiffres de « piratage » claironnés par les « lésés », personne
ne parle jamais du pourcentage de ceux qui ont copié au lieu d'achter,
par rapport à ceux qui ont copié mais n'aurait de toute façon pas acheté
(que ce soit une copie pour évaluer avant d'acheter, parceque pas de
moyen parceque ...)
Donc si tu as un terme plus adapté ca m'intéresse
Je n'ai pas, là, de terme comme "vol" correspondant à celà.
Mais il s'agit juste de "copie non autorisée".
Et quand on y regarde bien, les copies "pirates" de logiciels Microsoft
et autres contibuent sans doute plus à établir leur monopole qu'à
réduire leurs revenus...
Ca c'est un autre débat, que le piratage les serve, le fait est
qu'officiellement les logiciels Microsoft payants ne doivent pas etre
piratés.
Ils ne doivent pas être copiés sans leur autorisation, oui.
Et pour certains, c'est à peine si tu as le droit des les utiliser...
Pour ma part, j'ai fait mon choix depuis longtemps, je ne les utilise
simplement pas :)
Et tu "voles" ça à qui ? Le logiciel est un bien non rival, tout autant que la musique, quand on parle seulement du tas de bits qui le compose.
Je te répond a toi mais ma réponse est aussi valable pour Xavier. Oui c'est vrai ce n'est pas exactement du vol, je ne connais pas le terme exact pour ce genre de chose, et il est vrai que si je copie un logiciel (ou un CD audio par exemple) personne ne perd réellement d'argent. Je sais pas comment appeler ca, fraude, escroquerie ?
Pour celui qui transmet une dite copie, ça s'appelle de la contrefaçon.
Il ne peut y avoir qu'une perte potentielle. Mais il reste que dans un certain nombre de cas cette perte est réelle car j'aurai acheté le produit si je n'avais pas pu le copier.
Dans les chiffres de « piratage » claironnés par les « lésés », personne ne parle jamais du pourcentage de ceux qui ont copié au lieu d'achter, par rapport à ceux qui ont copié mais n'aurait de toute façon pas acheté (que ce soit une copie pour évaluer avant d'acheter, parceque pas de moyen parceque ...)
Donc si tu as un terme plus adapté ca m'intéresse
Je n'ai pas, là, de terme comme "vol" correspondant à celà. Mais il s'agit juste de "copie non autorisée".
Et quand on y regarde bien, les copies "pirates" de logiciels Microsoft et autres contibuent sans doute plus à établir leur monopole qu'à réduire leurs revenus...
Ca c'est un autre débat, que le piratage les serve, le fait est qu'officiellement les logiciels Microsoft payants ne doivent pas etre piratés.
Ils ne doivent pas être copiés sans leur autorisation, oui. Et pour certains, c'est à peine si tu as le droit des les utiliser... Pour ma part, j'ai fait mon choix depuis longtemps, je ne les utilise simplement pas :)
Dom
Céd
Spyou wrote in news:44302678$0$12867 $:
'lut,
Sauf votre respect, tres cher Ced 1/ vous n'en savez rien
Les DRM sont déjà largement répandues. Je ne pense pas que les différents acteurs feront des cadeaux de ce côté là à leurs clients. Du moins, ça n'en prend pas le chemin ;
La future loi légalise les DRM ;
La future loi interdit de les contourner mais n'impose rien aux industriels en terme d'interopérabilité ;
Qu'en conclure ?
Le fait que des gens usent du p2p pour obtenir de la musique, je m'en fous à un point que tu n'imagines même pas. Ce n'est pas là qu'est le problème.
Le problème, c'est que le client honnête, celui qui paie son dû, doit se fader un message incontournable sur le piratage sur chaque DVD ; celui qui paie se voit interdire la copie de l'oeuvre qu'il a acquise légalement (déjà aujourd'hui dans le cadre du téléchargement légal) ; celui qui paie se voit interdire la lecture de son enregistrement sur son matériel (c'est déjà le cas avec certains CD) ; celui qui paie doit renouveler son matériel ET les oeuvres pourtant acquises légalement au gré des éditeurs (baladeurs incompatibles entre eux, etc.) ; celui qui paie doit surtout fermer sa gueule sous le prétexte que d'autres copient.
Tout ça dans la plus totale inefficacité vis-à-vis des copieurs, dont le préjudice qu'ils portent à l'industrie, notamment musicale, reste à prouver.
Et pour couronner le tout, une loi vient déséquilibrer totalement le Droit d'Auteur, en faveur non pas des auteurs (qui, sur les morceaux vendus en ligne à un prix absolument scandaleux, ne touchent quasiment rien), mais de l'industrie musicale, électronique et informatique, et au détriment des auteurs ET des clients. Ce qui m'étonne, c'est que certains trouvent ça normal...
Spyou <root@spyou.org> wrote in news:44302678$0$12867
$626a54ce@news.free.fr:
'lut,
Sauf votre respect, tres cher Ced
1/ vous n'en savez rien
Les DRM sont déjà largement répandues. Je ne pense pas que les différents
acteurs feront des cadeaux de ce côté là à leurs clients. Du moins, ça
n'en prend pas le chemin ;
La future loi légalise les DRM ;
La future loi interdit de les contourner mais n'impose rien aux
industriels en terme d'interopérabilité ;
Qu'en conclure ?
Le fait que des gens usent du p2p pour obtenir de la musique, je m'en
fous à un point que tu n'imagines même pas. Ce n'est pas là qu'est le
problème.
Le problème, c'est que le client honnête, celui qui paie son dû, doit se
fader un message incontournable sur le piratage sur chaque DVD ; celui
qui paie se voit interdire la copie de l'oeuvre qu'il a acquise
légalement (déjà aujourd'hui dans le cadre du téléchargement légal) ;
celui qui paie se voit interdire la lecture de son enregistrement sur son
matériel (c'est déjà le cas avec certains CD) ; celui qui paie doit
renouveler son matériel ET les oeuvres pourtant acquises légalement au
gré des éditeurs (baladeurs incompatibles entre eux, etc.) ; celui qui
paie doit surtout fermer sa gueule sous le prétexte que d'autres copient.
Tout ça dans la plus totale inefficacité vis-à-vis des copieurs, dont le
préjudice qu'ils portent à l'industrie, notamment musicale, reste à
prouver.
Et pour couronner le tout, une loi vient déséquilibrer totalement le
Droit d'Auteur, en faveur non pas des auteurs (qui, sur les morceaux
vendus en ligne à un prix absolument scandaleux, ne touchent quasiment
rien), mais de l'industrie musicale, électronique et informatique, et au
détriment des auteurs ET des clients. Ce qui m'étonne, c'est que certains
trouvent ça normal...
Sauf votre respect, tres cher Ced 1/ vous n'en savez rien
Les DRM sont déjà largement répandues. Je ne pense pas que les différents acteurs feront des cadeaux de ce côté là à leurs clients. Du moins, ça n'en prend pas le chemin ;
La future loi légalise les DRM ;
La future loi interdit de les contourner mais n'impose rien aux industriels en terme d'interopérabilité ;
Qu'en conclure ?
Le fait que des gens usent du p2p pour obtenir de la musique, je m'en fous à un point que tu n'imagines même pas. Ce n'est pas là qu'est le problème.
Le problème, c'est que le client honnête, celui qui paie son dû, doit se fader un message incontournable sur le piratage sur chaque DVD ; celui qui paie se voit interdire la copie de l'oeuvre qu'il a acquise légalement (déjà aujourd'hui dans le cadre du téléchargement légal) ; celui qui paie se voit interdire la lecture de son enregistrement sur son matériel (c'est déjà le cas avec certains CD) ; celui qui paie doit renouveler son matériel ET les oeuvres pourtant acquises légalement au gré des éditeurs (baladeurs incompatibles entre eux, etc.) ; celui qui paie doit surtout fermer sa gueule sous le prétexte que d'autres copient.
Tout ça dans la plus totale inefficacité vis-à-vis des copieurs, dont le préjudice qu'ils portent à l'industrie, notamment musicale, reste à prouver.
Et pour couronner le tout, une loi vient déséquilibrer totalement le Droit d'Auteur, en faveur non pas des auteurs (qui, sur les morceaux vendus en ligne à un prix absolument scandaleux, ne touchent quasiment rien), mais de l'industrie musicale, électronique et informatique, et au détriment des auteurs ET des clients. Ce qui m'étonne, c'est que certains trouvent ça normal...