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Mandriva s'étonne du choix d'Ubuntu à l'Assemblée Nationale

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Phil
http://www.pcinpact.com/actu/news/35464-mandriva-ubuntu-Francois-Bancilhon.htm

François Bancilhon a posté sur son blog une lettre ouverte aux députés
pour s'étonner du choix fait d'équiper les ordinateurs des députés avec
la distribution Ubuntu. Rappelons que la société avait répondu à cet
appel, mais n’avait pas été retenue.

« Je ne comprends pas ce choix et je ne comprends pas qu’une entreprise
française, qui peut assurer un support local de son produit, grâce à des
ingénieurs basés en France, n’ait pas été retenue » écrit-il, avec une
dose d’amertume.

A cette l'heure, il est beaucoup question de patriotisme économique,
de pôle de compétitivité et d'excellence : la décision de ne pas opter
pour la distribution française Mandriva semble être en opposition avec
les paroles. C'est ce que souligne en filigrane François Bancilhon dans
sa lettre.

« Le choix des services informatiques (…) vient de se porter sur
Ubuntu, un Linux concurrent de celui de Mandriva, financé à 100% par un
milliardaire sud-africain — et donc dans un modèle économique face
auquel aucune entreprise ne peut concourir — qui inonde le marché.
L’offre retenue – semble-t-il uniquement sur la base du prix — a été
proposée par une société de service, sans référence de déploiement de
bureau Linux, et qui prétend supporter seule ce Linux sans s’associer à
l’éditeur d’Ubuntu ».

Plus directement, alors que Mandriva s'apprête à sortir sa distribution
en version 2007.1, il critique le choix de l'Assemblée nationale,
notamment au niveau du modèle économique qui a été favorisé, mais
également au niveau technique. Mais l'argument du patriotisme économique
peut-il raisonnablement jouer dans le cadre d’un appel d’offres
totalement ouvert fait dans une économie mondialisée ?

Phil

10 réponses

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talon
pehache-tolai wrote:
Le problème est qu'on assiste à une espèce de mode, au moins dans le
discours, qui dénigre et dévalorise le concept même de logiciel
propriétaire.


A mon avis, ce qui ne doit en aucun cas être propriétaire, et qui
malheureusement l'est, c'est le soubassement sur lequel on construit tout
le reste, l'OS. Un OS propriétaire, c'est le moyen pour celui qui
contrôle l'OS de contrôler tout le reste et de bénéficier d'avantages
concurrentiels illégitimes. Pour cette raison je pense qu'il faut en
effet dénigrer systématiquement Windows, faire prendre conscience qu'il
faut absolument s'en débarrasser et le mettre à la poubelle.

Pour le reste, je pense qu'on devrait se limiter à exiger que les
formats soient libres de façon à ce que la concurrence s'exerce
librement. Qu'il y ait des logiciels gratuits et d'autres propriétaires,
les gens feront leur choix en fonction de la qualité des logiciels et de
leur porte-monnaie.

Discours pas toujours très clair dans ses intentions et
parfois manipulateur, par exemple en entretenant savamment la
confusion entre format libre et logiciel libre ou format fermé et
logiciel propriétaire.


Cette confusion est entretenue uniquement par certains zélateurs de la
licence GPL, elle n'est même pas rééllement suscitée par les textes
originaux de Stallman, et elle est fortement combattue par les tenants
des licences BSD. Un logiciel sous licence BSD n'a rien d'hostile envers
le logiciel propriétaire, il peut même y être inclu sans que ça cause de
souci. L'idée est simplement que celui qui fait un cadeau fait un
cadeau, pas une offre avec des conditions. D'ailleurs celui qui a
développé un logiciel libre important est le mieux placé, s'il le
souhaite, pour développer un projet commercial autour. Ca n'enlève rien
à la liberté du logiciel en question, et ça ne limite pas la marge de
manoeuvre de l'auteur. Si une tierce personne acquiert une expertise sur
ce logiciel et en profite pour l'intégrer dans un produit commercial,
tant mieux pour lui, il a su profiter d'un cadeau, a su voir qu'on
pouvait le mettre en oeuvre dans un produit vendable, a su réaliser
l'opération, finalement il a valorisé l'oeuvre initiale sans rien
retirer à l'auteur.



--
pehache



--

Michel TALON

Avatar
Laurent
On 28 mar, 13:22, "pehache-tolai" wrote:
On 28 mar, 12:28, "Laurent" wrote:



On 28 mar, 10:54, "pehache-tolai" wrote:

On 28 mar, 00:07, "Mihamina (R12y) Rakotomandimby"

polyvalente.fr> wrote:
pehache-tolai - :

Il est obligé de
la faire suffisamment complexe et difficile à utiliser pour pou voir
justifer de vendre un service associé ?


Non.
La complexifiction viendra d'elle meme:
Un bon logiciel attire les développeurs, les développeurs ajout ent des
fonctionalités, les fonctionalités augmentent la complexité, la complexité
génère un besoin de service.
Il suffit d'avoir la bonne idée et de savoir faire les premiers t ours de
roues. Enfin... "il suffit" c'est vite dit, mais il me semble que c 'est
comme ça, par exemple que Linux a évolué [1]. (Hop, retour en charte.)

[1] A ceci près que certains/tous ne pensent pas que c'est un "bo n"
logiciel.


Mais justement. Si le trip du gars c'est de faire un logiciel qui
reste simple, qui ne se transforme pas petit à petit en usine à g az,
et qu'il veut en garder la maîtrise totale ?


Comme fmmpeg ?

Bon, elle était facile...


C'est du propriétaire, ffmpeg ?



J'ai mal quoté. J'aurais dû mette celà juste après "...usine à ga z,"

--
Laurent C.





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talon
Thomas Labourdette wrote:
pehache-tolai a écrit le mercredi 28 mars 2007 11:33 :

On 28 mar, 11:07, (Michel Talon) wrote:
pehache-tolai wrote:

Mais justement. Si le trip du gars c'est de faire un logiciel qui
reste simple, qui ne se transforme pas petit à petit en usine à gaz,
et qu'il veut en garder la maîtrise totale ?


Il fait un logiciel commercial et il le vend s'il trouve des clients.
Où est le problème?

Personne n'a mis les logiciels commerciaux hors la loi, il me semble.


Le problème est qu'on assiste à une espèce de mode, au moins dans le
discours, qui dénigre et dévalorise le concept même de logiciel
propriétaire.


Il te parlait de faire un logiciel commercial, pas propriétaire.

Rien ne t'empêche de faire un logiciel sous licence libre et de le vendre.
Libre ne veut pas dire : à mettre obligatoirement en accès libre sur le Web.


Allons donc, c'est pratiquement équivalent. Je parlais bien de faire un
logiciel propriétaire et non libre, parceque c'est évidemment le seul
moyen d'en tirer des ressources directement (je ne parle pas du
service).


@+


--

Michel TALON




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pehache-tolai
On 28 mar, 13:51, (Michel Talon) wrote:
pehache-tolai wrote:
Le problème est qu'on assiste à une espèce de mode, au moins dans le
discours, qui dénigre et dévalorise le concept même de logiciel
propriétaire.


A mon avis, ce qui ne doit en aucun cas être propriétaire, et qui
malheureusement l'est, c'est le soubassement sur lequel on construit tout
le reste, l'OS. Un OS propriétaire, c'est le moyen pour celui qui
contrôle l'OS de contrôler tout le reste et de bénéficier d'avant ages
concurrentiels illégitimes. Pour cette raison je pense qu'il faut en
effet dénigrer systématiquement Windows, faire prendre conscience qu' il
faut absolument s'en débarrasser et le mettre à la poubelle.


Si ce n'est pas Windows ce sera un autre. Le problème de Windows est
sa situation quasi-monopolistique surl e marché du desktop. Sans ce
monopole le problème de l'avantage concurrentiel du au contrôle de
l'OS ne se poserait pas vraiment. Casser le monopole de Windows peut
difficilement se décréter, mais par contre il serait possible, à
condition de le vouloir, de séparer l'OS des applications.



Pour le reste, je pense qu'on devrait se limiter à exiger que les
formats soient libres de façon à ce que la concurrence s'exerce
librement. Qu'il y ait des logiciels gratuits et d'autres propriétaires,
les gens feront leur choix en fonction de la qualité des logiciels et de
leur porte-monnaie.


OK


Cette confusion est entretenue uniquement par certains zélateurs de la
licence GPL, elle n'est même pas rééllement suscitée par les text es
originaux de Stallman, et elle est fortement combattue par les tenants
des licences BSD. Un logiciel sous licence BSD n'a rien d'hostile envers
le logiciel propriétaire, il peut même y être inclu sans que ça c ause de
souci. L'idée est simplement que celui qui fait un cadeau fait un
cadeau, pas une offre avec des conditions. D'ailleurs celui qui a
développé un logiciel libre important est le mieux placé, s'il le
souhaite, pour développer un projet commercial autour. Ca n'enlève ri en
à la liberté du logiciel en question, et ça ne limite pas la marge de
manoeuvre de l'auteur. Si une tierce personne acquiert une expertise sur
ce logiciel et en profite pour l'intégrer dans un produit commercial,
tant mieux pour lui, il a su profiter d'un cadeau, a su voir qu'on
pouvait le mettre en oeuvre dans un produit vendable, a su réaliser
l'opération, finalement il a valorisé l'oeuvre initiale sans rien
retirer à l'auteur.


OK encore.

--
pehache


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talon
Personne n'a mis les logiciels commerciaux hors la loi, il me semble.


Le problème est qu'on assiste à une espèce de mode, au moins dans le
discours, qui dénigre et dévalorise le concept même de logiciel
propriétaire.


Il te parlait de faire un logiciel commercial, pas propriétaire.

Rien ne t'empêche de faire un logiciel sous licence libre et de le vendre.
Libre ne veut pas dire : à mettre obligatoirement en accès libre sur le Web.


Allons donc, c'est pratiquement équivalent. Je parlais bien de faire un
logiciel propriétaire et non libre, parceque c'est évidemment le seul
moyen d'en tirer des ressources directement (je ne parle pas du
service).

La question est que notre interlocuteur oppose logiciel libre et
propriétaire, comme si l'un empêchait l'autre de vivre. Ce n'est pas le
cas. Son "modèle économique" favori s'applique au logiciel "en boite"
commercial, un autre modèle s'applique au logiciel libre, essentiellement
fondé sur le service.

Une des erreurs fondamentales de son raisonnement est de croire que le
système reposant sur la production de logiciel en boite représente une
part importante des programmeurs. C'est totalement faux. Elle occupe un
nombre epsilonesque de l'effectif total des programmeurs, de très loin
la part la plus importante est occupée à faire des développements
spécifiques pour leur employeur (banques, etc.), ou dans des sociétés de
service, ce qui revient au même, ou dans les logiciels embarqués
(industrie automobile, aréronautique, etc.) Pour tous ces gens là, le fait
que les producteurs de logiciels en boite puissent vivre ou non de leur
activité est totalement indifférent. Ces gens là ne sont en rien menacés
ni de prés ni de loin par le logiciel libre. Au contraire le logiciel
libre peut les aider puissamment à faire leur boulot, et réduire leur
dépendance à l'égard de sangsues comme Microsoft. Dans l'hypothèse
inimaginable où le logiciel libre mettrait sur la paille quelques
milliers de programmeurs chez Microsoft, Adobe, etc. ça représenterait,
et uniquement aux USA, quelques pouillèmes de l'effectif global des
programmeurs américains. En réalité ce sont les sociétés de production
de logiciel en boite qui représentent la pire menace pour l'ensemble des
effectifs de programmeurs, et qui prélèvent sur cette communauté une taxe
indue.


@+


--

Michel TALON



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pehache-tolai
On 28 mar, 13:16, Thomas Labourdette
wrote:

Il te parlait de faire un logiciel commercial, pas propriétaire.



Oui mais moi je parle de propriétaire.

Rien ne t'empêche de faire un logiciel sous licence libre et de le vend re.
Libre ne veut pas dire : à mettre obligatoirement en accès libre sur le Web.


Hum, c'est du jésuistisme ou je ne m'y connais pas :-). Si tu ne le
mets pas en libre accès (du moins les sources, et du moins à qui les
demande) je ne vois pas très bien comment revendiquer le terme
"libre".

--
pehache

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pehache-tolai
On 28 mar, 13:26, Nicolas George <nicolas$ wrote:


Donc prétendre que la « propagande » pour le logiciel libre puisse d'une
quelconque manière faire ombrage au logiciel propriétaire, c'est du f outage
de gueule à l'état pur.



Deux exemples, un national, un local.

Le national: les députés ont obtenus l'installation d'Ubuntu sur leurs
bécanes. Comment les medias ont-ils présenté la chose ? En parlant de
l'opposition logiciel libre (c'est bien) / logiciel propriétaire
(c'est mal), de l'aspect financier (c'est moins cher), et très peu de
la question des formats ouverts/libres versus fermés/propriétaires,
alors que ce dernier point est quand même essentiel.

Le local: à l'école de mes enfants c'est une association de promotion
du logiciel libre qui a installé et qui maintient bénévolement Linux
et quelques logiciels libres. Très bien, je les remercie pour cela.
Mais je me demande si au passage ils ne font pas un peu de bourrage de
crâne: en discutant avec une des instits, assez novice par rapport à
tout cela, j'ai pu constater que l'accent avait été par l'association
sur le logiciel libre (c'est bien) en opposition au logiciel
propriétaire (c'est mal), et que là également la question pourtant
centrale des formats était fort confuse pour ne pas dire inexistante.


--
pehache

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remy
Personne n'a mis les logiciels commerciaux hors la loi, il me semble.
Le problème est qu'on assiste à une espèce de mode, au moins dans le

discours, qui dénigre et dévalorise le concept même de logiciel
propriétaire.
Il te parlait de faire un logiciel commercial, pas propriétaire.


Rien ne t'empêche de faire un logiciel sous licence libre et de le vendre.
Libre ne veut pas dire : à mettre obligatoirement en accès libre sur le Web.


Allons donc, c'est pratiquement équivalent. Je parlais bien de faire un
logiciel propriétaire et non libre, parceque c'est évidemment le seul
moyen d'en tirer des ressources directement (je ne parle pas du
service).

La question est que notre interlocuteur oppose logiciel libre et
propriétaire, comme si l'un empêchait l'autre de vivre. Ce n'est pas le
cas. Son "modèle économique" favori s'applique au logiciel "en boite"
commercial, un autre modèle s'applique au logiciel libre, essentiellement
fondé sur le service.

Une des erreurs fondamentales de son raisonnement est de croire que le
système reposant sur la production de logiciel en boite représente une
part importante des programmeurs. C'est totalement faux. Elle occupe un
nombre epsilonesque de l'effectif total des programmeurs, de très loin
la part la plus importante est occupée à faire des développements
spécifiques pour leur employeur (banques, etc.), ou dans des sociétés de
service, ce qui revient au même, ou dans les logiciels embarqués
(industrie automobile, aréronautique, etc.) Pour tous ces gens là, le fait
que les producteurs de logiciels en boite puissent vivre ou non de leur
activité est totalement indifférent. Ces gens là ne sont en rien menacés
ni de prés ni de loin par le logiciel libre. Au contraire le logiciel
libre peut les aider puissamment à faire leur boulot, et réduire leur
dépendance à l'égard de sangsues comme Microsoft. Dans l'hypothèse
inimaginable où le logiciel libre mettrait sur la paille quelques
milliers de programmeurs chez Microsoft, Adobe, etc. ça représenterait,
et uniquement aux USA, quelques pouillèmes de l'effectif global des
programmeurs américains. En réalité ce sont les sociétés de production
de logiciel en boite qui représentent la pire menace pour l'ensemble des
effectifs de programmeurs, et qui prélèvent sur cette communauté une taxe
indue.


je suis d'accord mais à mon avis c'est le monde des programmeurs qui
s'est adapté à l'hégémonie de windows il fallait s'adapter

le libre lui dispose par nature une certain pluralité
regarde la quantité de distribution avec toute
plus ou moins les mêmes programmes

non non la cause de cette adaptation forcée et liée au monopole
le libre existe lui aussi uniquement à cause de l'hégémonie de Ms
et désolé mais je ne pense pas que cela soit lié à idéologie
s'est à mon avis juste une conséquence

le libre existerait certainement c'est sûr mais il ne serait pas aussi
cohérent
si l'on disposait de aller 5 os proprios et différents qui proposeraient
la même chose bien entendu
au hasard win os2 amiga mac gem solaris,...
le marché aurait été complètement différent

alors vouloir renverser la vapeur faut pas pousser mémé dans les orties
je ne dis pas cela pour toi mais pour Mr Pehache

libre = chomage pour les programmeurs

remy





@+







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Thomas Labourdette
pehache-tolai a écrit le mercredi 28 mars 2007 16:33 :

On 28 mar, 13:16, Thomas Labourdette
wrote:

Il te parlait de faire un logiciel commercial, pas propriétaire.



Oui mais moi je parle de propriétaire.

Rien ne t'empêche de faire un logiciel sous licence libre et de le
vendre. Libre ne veut pas dire : à mettre obligatoirement en accès libre
sur le Web.


Hum, c'est du jésuistisme ou je ne m'y connais pas :-). Si tu ne le
mets pas en libre accès (du moins les sources, et du moins à qui les
demande) je ne vois pas très bien comment revendiquer le terme
"libre".


Aucune licence libre ne m'oblige à mettre les sources à dispositions de tout
le monde. Certaines imposent un accès aux sources que pour ceux à qui je
fourni le binaire (binaire que j'ai vendu).

@+
--
Ella, Nathan TRODEBÉNÉFISS (signature et citation aléatoires)
Qui ne pète ni ne rote est voué à l'explosion.


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Nicolas George
"pehache-tolai" , dans le message
, a écrit :
Le national: les députés ont obtenus l'installation d'Ubuntu sur leurs
bécanes. Comment les medias ont-ils présenté la chose ? En parlant de
l'opposition logiciel libre (c'est bien) / logiciel propriétaire
(c'est mal), de l'aspect financier (c'est moins cher), et très peu de
la question des formats ouverts/libres versus fermés/propriétaires,
alors que ce dernier point est quand même essentiel.


La question des formats est une conséquence directe de la liberté des
logiciels, et n'est pas le seul avantage pour le consommateur dans le choix
du logiciel libre. Dans ces conditions, et en considérant que le public n'y
comprend rien (ben oui, word, c'est ouvert, la preuve : il y a fichier,
ouvrir), je ne vois pas l'intérêt qu'il y aurait eu à en parler
spécifiquement.

Quant au jugement moral, « c'est bien », « c'est mal », c'est ton
interprétation.

Mais je me demande si au passage ils ne font pas un peu de bourrage de
crâne: en discutant avec une des instits, assez novice par rapport à
tout cela, j'ai pu constater que l'accent avait été par l'association
sur le logiciel libre (c'est bien) en opposition au logiciel
propriétaire (c'est mal), et que là également la question pourtant
centrale des formats était fort confuse pour ne pas dire inexistante.


Nous n'avons que ta parole pour estimer qu'il s'agit de « bourrage de
crâne », de « propagande », et pas d'une conviction honnête basée sur des
arguments rationnels et un débat contradictoire.