Bonjour moa,
Je n'ai lu ni toute ta prose ni toutes les réponses consécutives, tu
m'excuseras c'est un peu indigeste...
Juste une question, imaginons que tu aies auto-produit un CD de tes
oeuvres sans aucune intention mercantile, que ce CD soit vaguement
distribué et que tu entendes cette musique que tu as créée, associée à une
pub pour un fabricant d'armes (au hasard Dassault....), n'aurais-tu pas
tout bénéfice à pouvoir arguer d'un droit de propriété intellectuelle de
ton oeuvre te permettant de refuser qu'elle soit assimilée à un tel
produit ? (s'il ne te convient pas, bien sûr...)
Y a pas besoin de discours, c'est oui ou non.
On est plus plus au début ou au milieu du 20ème siècle ou l'art
n'intéressait pas les marchands.
L'art ou du moins les productions artistiques ne peuvent plus être
considérées comme des actes solitaires, anodins et futiles, tant ils
génèrent d'intérêts financiers; ce n'est pas un jugement de valeur, c'est
une constatation.
Les rêveurs de pacotille font souvent le lit du libéralisme.
Bon courage dans ta quête d'absolu.
Cordialement,
Laurent.
Bonjour moa,
Je n'ai lu ni toute ta prose ni toutes les réponses consécutives, tu
m'excuseras c'est un peu indigeste...
Juste une question, imaginons que tu aies auto-produit un CD de tes
oeuvres sans aucune intention mercantile, que ce CD soit vaguement
distribué et que tu entendes cette musique que tu as créée, associée à une
pub pour un fabricant d'armes (au hasard Dassault....), n'aurais-tu pas
tout bénéfice à pouvoir arguer d'un droit de propriété intellectuelle de
ton oeuvre te permettant de refuser qu'elle soit assimilée à un tel
produit ? (s'il ne te convient pas, bien sûr...)
Y a pas besoin de discours, c'est oui ou non.
On est plus plus au début ou au milieu du 20ème siècle ou l'art
n'intéressait pas les marchands.
L'art ou du moins les productions artistiques ne peuvent plus être
considérées comme des actes solitaires, anodins et futiles, tant ils
génèrent d'intérêts financiers; ce n'est pas un jugement de valeur, c'est
une constatation.
Les rêveurs de pacotille font souvent le lit du libéralisme.
Bon courage dans ta quête d'absolu.
Cordialement,
Laurent.
Bonjour moa,
Je n'ai lu ni toute ta prose ni toutes les réponses consécutives, tu
m'excuseras c'est un peu indigeste...
Juste une question, imaginons que tu aies auto-produit un CD de tes
oeuvres sans aucune intention mercantile, que ce CD soit vaguement
distribué et que tu entendes cette musique que tu as créée, associée à une
pub pour un fabricant d'armes (au hasard Dassault....), n'aurais-tu pas
tout bénéfice à pouvoir arguer d'un droit de propriété intellectuelle de
ton oeuvre te permettant de refuser qu'elle soit assimilée à un tel
produit ? (s'il ne te convient pas, bien sûr...)
Y a pas besoin de discours, c'est oui ou non.
On est plus plus au début ou au milieu du 20ème siècle ou l'art
n'intéressait pas les marchands.
L'art ou du moins les productions artistiques ne peuvent plus être
considérées comme des actes solitaires, anodins et futiles, tant ils
génèrent d'intérêts financiers; ce n'est pas un jugement de valeur, c'est
une constatation.
Les rêveurs de pacotille font souvent le lit du libéralisme.
Bon courage dans ta quête d'absolu.
Cordialement,
Laurent.
Grace aux fantastiques legislations en faveur de la propriete
instauree dans la plupart des pays, un auteur a le pouvoir de censurer un
detournement de son oeuvre, d'autoriser ou de reprimer une reprise, une
citation et de reclamer une partie des benefices generes par cette
utilisation sans toutefois participer aux frais de conception de l'oeuvre
nouvelle ainsi cree.
Pour écouter de la musique, il faut payer. Payer le support physique ou
frais d'enregistrement peut sembler normal. Les frais de marketing
énervants. Payer le droit d'ecouter une musique ou de lire un livre
revoltant. La culture reservee aux riches ?
Vous payez pour acheter un CD comme pour n'importe quel bien ou service.
L'art serait-il devenu un bien ou un service ?
de vous en inspirer... a moins de demander l'autorisation et d'aligner les
billets.
publique a l'une de ses creations. Est-ce cela la liberte d'expression ?
De la logique commerciale actuelle decoule une confusion chez celui qu'il
convient desormais d'appeler le consommateur. Cet animal curieux achete la
culture comme ses legumes. Il est sensible aux grandes marques, aux labels
en tous genre. Comme sa bourse est limitee, il n'achete que ce qu'il
connait deja ou ce dont il a entendu parler sans trop s'aventurer parce
payer 20 euros pour un CD qu'on n'ecoute qu'une fois, ce n'est pas un bon
investissement. Oui oui, on parle bien d'art ici !
Ajoutons que le droit a la propriete intellectuelle n'est pas un droit
un privilege reserve a ceux qui en ont les moyens, vu le caractere
et, surtout, couteux des demarches a entreprendre.
Vous, auteurs, qui tenez tant a la propriete intellectuelle, demandez-vous
au juste quelle est la part d'originalite dans ce qui emane de vos
Suivant votre raisonnement, pour etre tout a fait juste, il conviendrait
reverser des droits a tous vos pairs, toutes vos influences de toutes
sortes. Aux auteurs des livres que vous avez lus, des musiques que vous
avez ecoutees, des films, emissions TV qui se sont imprimees sur votre
retine.
Soyez humbles et reconnaissez que sans toutes ces influences votre
oeuvre n'aurait jamais vu le jour.
Soyez en phase avec vos convictions
Il y a ceux qui pronent les louanges de ce systeme comme etant l'assurance
de l'independance financiere et - donc - intellectuelle des auteurs.
Combien de fois ai-je entendu cet argument incroyable ? Incroyable car ce
systeme, loin de procurer a l'auteur une quelconque independance, les
oblige a se prostituer aupres des grands lobbies de l'edition. A se
prostituer aupres des medias pour ecraser la concurrence et imposer son
image. Incroyable car, loin de favoriser l'innovation, il la tue dans
l'oeuf, rend les grands toujours plus grands, les petits toujours plus
incapables d'exister, laissant les grands editeurs decider de ce qui est
bon ou mauvais. Le capitalisme applique a l'art est la pire forme de
dictature : celle contre laquelle il ne peut y avoir de resistance car
ne dit pas son nom.
Il y a ceux qui disent qu"'il faut bien manger". Combien d'auteurs vivent
leurs droits ? Vraiment très peu. Tous ces autres, ces independants qui
font leur musique dans un garage le soir apres le boulot, qui pensent et
ecrivent en rognant sur leur sommeil pour concilier travail, vie de
et creativite : tous ces autres representent quoi ? de la merde ? Une
oeuvre, pour avoir de la valeur doit-elle etre creee par des gens qui ne
font que ca de leurs journees, des "professionnel" qui sont coupes des
realites sociales ? Qu'on l'admette une bonne fois pour toute : artiste
n'est pas une profession, c'est un etat d'ame !
Ce qui est revoltant, ce n'est pas le fait que l'auteur percoive de
en retour de ce qu'il a apporte a la acommunaute, c'est que l'on ne paye
pas l'auteur mais son oeuvre.
Que le systeme ne garantisse pas la
exploitation a quelques uns.
Les creations de l'esprit n'appartiennent pas a l'individu mais a
l'humanite. Toutes les creations sont liees en une toile inextricable : il
n'est rien de plus vaniteux que de reclamer la paternite de telle ou telle
parcelle. La culture, essence de l'homme, n'appartient a personne, il
aucune restriction a sa diffusion tolerable. Il manque assurement un
article dans la Declaration des Droits de l'Homme sur ce point.
L'acte creatif ne doit pas etre un faire-valoir social ou mercantile. La
creation, l'idee originale s'impose d'elle-meme a son auteur qui peut
decider ou non de l'exprimer. Les idees qui ne s'imposent pas d'elles-meme
ne sont pas idees mais plagiat. ceci explique l'absence de saveur des
oeuvres commerciales ; ceci est la raison profonde de mon opposition
la mauvaise herbe capitaliste qui asphyxie la culture.
Rendons au capitalisme ce qui est au capitalisme, a l'art ce qui est a
l'art.
ce texte n'a ete depose nulle part, vous etes libre d'en faire ce que bon
vous semble, y compris vous en attribuer la paternite si vous etes
malhonnete ;-)
Grace aux fantastiques legislations en faveur de la propriete
instauree dans la plupart des pays, un auteur a le pouvoir de censurer un
detournement de son oeuvre, d'autoriser ou de reprimer une reprise, une
citation et de reclamer une partie des benefices generes par cette
utilisation sans toutefois participer aux frais de conception de l'oeuvre
nouvelle ainsi cree.
Pour écouter de la musique, il faut payer. Payer le support physique ou
frais d'enregistrement peut sembler normal. Les frais de marketing
énervants. Payer le droit d'ecouter une musique ou de lire un livre
revoltant. La culture reservee aux riches ?
Vous payez pour acheter un CD comme pour n'importe quel bien ou service.
L'art serait-il devenu un bien ou un service ?
de vous en inspirer... a moins de demander l'autorisation et d'aligner les
billets.
publique a l'une de ses creations. Est-ce cela la liberte d'expression ?
De la logique commerciale actuelle decoule une confusion chez celui qu'il
convient desormais d'appeler le consommateur. Cet animal curieux achete la
culture comme ses legumes. Il est sensible aux grandes marques, aux labels
en tous genre. Comme sa bourse est limitee, il n'achete que ce qu'il
connait deja ou ce dont il a entendu parler sans trop s'aventurer parce
payer 20 euros pour un CD qu'on n'ecoute qu'une fois, ce n'est pas un bon
investissement. Oui oui, on parle bien d'art ici !
Ajoutons que le droit a la propriete intellectuelle n'est pas un droit
un privilege reserve a ceux qui en ont les moyens, vu le caractere
et, surtout, couteux des demarches a entreprendre.
Vous, auteurs, qui tenez tant a la propriete intellectuelle, demandez-vous
au juste quelle est la part d'originalite dans ce qui emane de vos
Suivant votre raisonnement, pour etre tout a fait juste, il conviendrait
reverser des droits a tous vos pairs, toutes vos influences de toutes
sortes. Aux auteurs des livres que vous avez lus, des musiques que vous
avez ecoutees, des films, emissions TV qui se sont imprimees sur votre
retine.
Soyez humbles et reconnaissez que sans toutes ces influences votre
oeuvre n'aurait jamais vu le jour.
Soyez en phase avec vos convictions
Il y a ceux qui pronent les louanges de ce systeme comme etant l'assurance
de l'independance financiere et - donc - intellectuelle des auteurs.
Combien de fois ai-je entendu cet argument incroyable ? Incroyable car ce
systeme, loin de procurer a l'auteur une quelconque independance, les
oblige a se prostituer aupres des grands lobbies de l'edition. A se
prostituer aupres des medias pour ecraser la concurrence et imposer son
image. Incroyable car, loin de favoriser l'innovation, il la tue dans
l'oeuf, rend les grands toujours plus grands, les petits toujours plus
incapables d'exister, laissant les grands editeurs decider de ce qui est
bon ou mauvais. Le capitalisme applique a l'art est la pire forme de
dictature : celle contre laquelle il ne peut y avoir de resistance car
ne dit pas son nom.
Il y a ceux qui disent qu"'il faut bien manger". Combien d'auteurs vivent
leurs droits ? Vraiment très peu. Tous ces autres, ces independants qui
font leur musique dans un garage le soir apres le boulot, qui pensent et
ecrivent en rognant sur leur sommeil pour concilier travail, vie de
et creativite : tous ces autres representent quoi ? de la merde ? Une
oeuvre, pour avoir de la valeur doit-elle etre creee par des gens qui ne
font que ca de leurs journees, des "professionnel" qui sont coupes des
realites sociales ? Qu'on l'admette une bonne fois pour toute : artiste
n'est pas une profession, c'est un etat d'ame !
Ce qui est revoltant, ce n'est pas le fait que l'auteur percoive de
en retour de ce qu'il a apporte a la acommunaute, c'est que l'on ne paye
pas l'auteur mais son oeuvre.
Que le systeme ne garantisse pas la
exploitation a quelques uns.
Les creations de l'esprit n'appartiennent pas a l'individu mais a
l'humanite. Toutes les creations sont liees en une toile inextricable : il
n'est rien de plus vaniteux que de reclamer la paternite de telle ou telle
parcelle. La culture, essence de l'homme, n'appartient a personne, il
aucune restriction a sa diffusion tolerable. Il manque assurement un
article dans la Declaration des Droits de l'Homme sur ce point.
L'acte creatif ne doit pas etre un faire-valoir social ou mercantile. La
creation, l'idee originale s'impose d'elle-meme a son auteur qui peut
decider ou non de l'exprimer. Les idees qui ne s'imposent pas d'elles-meme
ne sont pas idees mais plagiat. ceci explique l'absence de saveur des
oeuvres commerciales ; ceci est la raison profonde de mon opposition
la mauvaise herbe capitaliste qui asphyxie la culture.
Rendons au capitalisme ce qui est au capitalisme, a l'art ce qui est a
l'art.
ce texte n'a ete depose nulle part, vous etes libre d'en faire ce que bon
vous semble, y compris vous en attribuer la paternite si vous etes
malhonnete ;-)
Grace aux fantastiques legislations en faveur de la propriete
instauree dans la plupart des pays, un auteur a le pouvoir de censurer un
detournement de son oeuvre, d'autoriser ou de reprimer une reprise, une
citation et de reclamer une partie des benefices generes par cette
utilisation sans toutefois participer aux frais de conception de l'oeuvre
nouvelle ainsi cree.
Pour écouter de la musique, il faut payer. Payer le support physique ou
frais d'enregistrement peut sembler normal. Les frais de marketing
énervants. Payer le droit d'ecouter une musique ou de lire un livre
revoltant. La culture reservee aux riches ?
Vous payez pour acheter un CD comme pour n'importe quel bien ou service.
L'art serait-il devenu un bien ou un service ?
de vous en inspirer... a moins de demander l'autorisation et d'aligner les
billets.
publique a l'une de ses creations. Est-ce cela la liberte d'expression ?
De la logique commerciale actuelle decoule une confusion chez celui qu'il
convient desormais d'appeler le consommateur. Cet animal curieux achete la
culture comme ses legumes. Il est sensible aux grandes marques, aux labels
en tous genre. Comme sa bourse est limitee, il n'achete que ce qu'il
connait deja ou ce dont il a entendu parler sans trop s'aventurer parce
payer 20 euros pour un CD qu'on n'ecoute qu'une fois, ce n'est pas un bon
investissement. Oui oui, on parle bien d'art ici !
Ajoutons que le droit a la propriete intellectuelle n'est pas un droit
un privilege reserve a ceux qui en ont les moyens, vu le caractere
et, surtout, couteux des demarches a entreprendre.
Vous, auteurs, qui tenez tant a la propriete intellectuelle, demandez-vous
au juste quelle est la part d'originalite dans ce qui emane de vos
Suivant votre raisonnement, pour etre tout a fait juste, il conviendrait
reverser des droits a tous vos pairs, toutes vos influences de toutes
sortes. Aux auteurs des livres que vous avez lus, des musiques que vous
avez ecoutees, des films, emissions TV qui se sont imprimees sur votre
retine.
Soyez humbles et reconnaissez que sans toutes ces influences votre
oeuvre n'aurait jamais vu le jour.
Soyez en phase avec vos convictions
Il y a ceux qui pronent les louanges de ce systeme comme etant l'assurance
de l'independance financiere et - donc - intellectuelle des auteurs.
Combien de fois ai-je entendu cet argument incroyable ? Incroyable car ce
systeme, loin de procurer a l'auteur une quelconque independance, les
oblige a se prostituer aupres des grands lobbies de l'edition. A se
prostituer aupres des medias pour ecraser la concurrence et imposer son
image. Incroyable car, loin de favoriser l'innovation, il la tue dans
l'oeuf, rend les grands toujours plus grands, les petits toujours plus
incapables d'exister, laissant les grands editeurs decider de ce qui est
bon ou mauvais. Le capitalisme applique a l'art est la pire forme de
dictature : celle contre laquelle il ne peut y avoir de resistance car
ne dit pas son nom.
Il y a ceux qui disent qu"'il faut bien manger". Combien d'auteurs vivent
leurs droits ? Vraiment très peu. Tous ces autres, ces independants qui
font leur musique dans un garage le soir apres le boulot, qui pensent et
ecrivent en rognant sur leur sommeil pour concilier travail, vie de
et creativite : tous ces autres representent quoi ? de la merde ? Une
oeuvre, pour avoir de la valeur doit-elle etre creee par des gens qui ne
font que ca de leurs journees, des "professionnel" qui sont coupes des
realites sociales ? Qu'on l'admette une bonne fois pour toute : artiste
n'est pas une profession, c'est un etat d'ame !
Ce qui est revoltant, ce n'est pas le fait que l'auteur percoive de
en retour de ce qu'il a apporte a la acommunaute, c'est que l'on ne paye
pas l'auteur mais son oeuvre.
Que le systeme ne garantisse pas la
exploitation a quelques uns.
Les creations de l'esprit n'appartiennent pas a l'individu mais a
l'humanite. Toutes les creations sont liees en une toile inextricable : il
n'est rien de plus vaniteux que de reclamer la paternite de telle ou telle
parcelle. La culture, essence de l'homme, n'appartient a personne, il
aucune restriction a sa diffusion tolerable. Il manque assurement un
article dans la Declaration des Droits de l'Homme sur ce point.
L'acte creatif ne doit pas etre un faire-valoir social ou mercantile. La
creation, l'idee originale s'impose d'elle-meme a son auteur qui peut
decider ou non de l'exprimer. Les idees qui ne s'imposent pas d'elles-meme
ne sont pas idees mais plagiat. ceci explique l'absence de saveur des
oeuvres commerciales ; ceci est la raison profonde de mon opposition
la mauvaise herbe capitaliste qui asphyxie la culture.
Rendons au capitalisme ce qui est au capitalisme, a l'art ce qui est a
l'art.
ce texte n'a ete depose nulle part, vous etes libre d'en faire ce que bon
vous semble, y compris vous en attribuer la paternite si vous etes
malhonnete ;-)
Au secours !!!!!!
Ton manifeste est bien gentil, mais par trop naïf et confus.Grace aux fantastiques legislations en faveur de la propriete
intellectuelleinstauree dans la plupart des pays, un auteur a le pouvoir de censurer un
detournement de son oeuvre, d'autoriser ou de reprimer une reprise, une
citation et de reclamer une partie des benefices generes par cette
utilisation sans toutefois participer aux frais de conception de l'oeuvre
nouvelle ainsi cree.
en général ce sont les labels qui négocient et non les auteurs. cf.: les
énormes bouses qui ont pu sortir sous la forme de reprise, remix,
DJremastering, ...Pour écouter de la musique, il faut payer. Payer le support physique ou
lesfrais d'enregistrement peut sembler normal. Les frais de marketing
énervants. Payer le droit d'ecouter une musique ou de lire un livre
revoltant. La culture reservee aux riches ?
l'auteur n'est pas concerné en proportion de ce que l'on paye! Il ne
retire (au mieux) que 10% des 15 ? que tu débourses.Vous payez pour acheter un CD comme pour n'importe quel bien ou service.
L'art serait-il devenu un bien ou un service ?
C'est triste, j'en conviens, mais c'est bien le cas.
Il vous est interdit de la copier, de la modifier,de vous en inspirer... a moins de demander l'autorisation et d'aligner
les billets.
désolé, c'est faux. les réseaux sont beaucoup plus complexes que tu ne
semble le croire
Bientot, il faudra payer l'auteur pour la moindre allusionpublique a l'une de ses creations. Est-ce cela la liberte d'expression ?
??????!!!!!!!???????De la logique commerciale actuelle decoule une confusion chez celui qu'il
convient desormais d'appeler le consommateur. Cet animal curieux achete
la culture comme ses legumes. Il est sensible aux grandes marques, aux
labels en tous genre. Comme sa bourse est limitee, il n'achete que ce
qu'il connait deja ou ce dont il a entendu parler sans trop s'aventurer
parce
quepayer 20 euros pour un CD qu'on n'ecoute qu'une fois, ce n'est pas un bon
investissement. Oui oui, on parle bien d'art ici !
OK, mais c'est pas nouveau. En fait, ce qui semble te révolter c'est le
manque de curiosité des gens.
C'est une éducation et non un droit. Quoi qu'il en soit, il y en a que ça
intéresse et d'autres pas. Même si ça me tape sur les nerf, je respectes
ces gens qui se précipitent sur le dernier album de la starac, pour la
raison très simple qu'il y a toujours de l'espoir. Mais je ne me place
jamais au sommet d'une chaire docte pour juger de ce qui est bon ou
mauvais pour eux. Mon fils (2 ans ) adore quand je lui passe du Aphex Twin
ou Wesseltoft, et par ailleurs, il dansouille sur chiouaoua...
Nous avons tous des gens dans notre entourage pour qui la musique n'est
qu'un bruit harmonieux, qu'il s'agisse de radiohead ou de celine dion,
mais qui sont dénués de curiosité et se laissent guider par les
programmations radiophoniques.
Allez je m'arrête...Ajoutons que le droit a la propriete intellectuelle n'est pas un droit
maisun privilege reserve a ceux qui en ont les moyens, vu le caractere
complexeet, surtout, couteux des demarches a entreprendre.
Vous, auteurs, qui tenez tant a la propriete intellectuelle,
demandez-vous au juste quelle est la part d'originalite dans ce qui emane
de vos
pensees.
Eh mec! c'est quoi cette philo de comptoir?
T'es tu seulement inscrit dans une démarche artistique, ou bien veux tu
simplement réclamer les choses pour toi-même?
As-tu déjà éprouvé l'incertitude du lendemain au moment de te lancer dans
un production?
Le problème de la création provient essentiellement de l'entretien de
cette création. Qu'est ce que c'est que ce discours de "profiteur du
malaise". J'aurai cru qu'un type qui entame une réflexion sur le sujet,
aurait tiré les conséquences des enjeux du mouvement des intermittents du
spectacle!
La situation a actuelle résulte d'un équilibre qui devient de + en +
précaire non en raison des auteurs mais des multinationales du
divertissement (majors, sociétés de prod audiovisuelles ...)Suivant votre raisonnement, pour etre tout a fait juste, il conviendrait
dereverser des droits a tous vos pairs, toutes vos influences de toutes
sortes. Aux auteurs des livres que vous avez lus, des musiques que vous
avez ecoutees, des films, emissions TV qui se sont imprimees sur votre
retine.
Les "auteurs" ne raisonnent pas en ces termes, tu le saurais si tu avais
une démarche créatrices.Soyez humbles et reconnaissez que sans toutes ces influences votre
oeuvre n'aurait jamais vu le jour.
personne ne dit le contraire...Soyez en phase avec vos convictions
De quelles convictions parles-tu.
Tu vois, l'une des pires choses au monde c'est la généralisation. Et c'est
ce vers quoi tu tends.Il y a ceux qui pronent les louanges de ce systeme comme etant
l'assurance de l'independance financiere et - donc - intellectuelle des
auteurs. Combien de fois ai-je entendu cet argument incroyable ?
Incroyable car ce systeme, loin de procurer a l'auteur une quelconque
independance, les oblige a se prostituer aupres des grands lobbies de
l'edition. A se prostituer aupres des medias pour ecraser la concurrence
et imposer son image. Incroyable car, loin de favoriser l'innovation, il
la tue dans l'oeuf, rend les grands toujours plus grands, les petits
toujours plus incapables d'exister, laissant les grands editeurs decider
de ce qui est bon ou mauvais. Le capitalisme applique a l'art est la pire
forme de dictature : celle contre laquelle il ne peut y avoir de
resistance car
ellene dit pas son nom.
Et voila !!! Tu généralise encore. Ta réflexion est louable, mais tu te
jette toi-même dans les orties.Il y a ceux qui disent qu"'il faut bien manger". Combien d'auteurs vivent
deleurs droits ? Vraiment très peu. Tous ces autres, ces independants qui
font leur musique dans un garage le soir apres le boulot, qui pensent et
ecrivent en rognant sur leur sommeil pour concilier travail, vie de
familleet creativite : tous ces autres representent quoi ? de la merde ? Une
oeuvre, pour avoir de la valeur doit-elle etre creee par des gens qui ne
font que ca de leurs journees, des "professionnel" qui sont coupes des
realites sociales ? Qu'on l'admette une bonne fois pour toute : artiste
n'est pas une profession, c'est un etat d'ame !
Je vais me répéter, c'est non les auteurs qui tirent partie de ton fric,
mais la chaîne de production ( labels, intermédiaires, fabricants,
producteurs, IG du son, distributeurs ...)Ce qui est revoltant, ce n'est pas le fait que l'auteur percoive de
l'argenten retour de ce qu'il a apporte a la acommunaute, c'est que l'on ne paye
pas l'auteur mais son oeuvre.
Ah ! tout de même; une idée interessante ...Que le systeme ne garantisse pas la
conservation ni la distribution de l'oeuvre mais l'exclusivite de sonexploitation a quelques uns.
Et tu propose quoi concrètement? je suis curieux.
Qui dit "manifeste", dit propositions.Les creations de l'esprit n'appartiennent pas a l'individu mais a
l'humanite. Toutes les creations sont liees en une toile inextricable :
il n'est rien de plus vaniteux que de reclamer la paternite de telle ou
telle parcelle. La culture, essence de l'homme, n'appartient a personne,
il
n'estaucune restriction a sa diffusion tolerable. Il manque assurement un
article dans la Declaration des Droits de l'Homme sur ce point.
Toi, t'as dû vachement écouter Dorothée quand t'étais gamin ...
Je voudrai vraiment savoir qui tu es pour parler comme ça.L'acte creatif ne doit pas etre un faire-valoir social ou mercantile. La
creation, l'idee originale s'impose d'elle-meme a son auteur qui peut
decider ou non de l'exprimer. Les idees qui ne s'imposent pas
d'elles-meme ne sont pas idees mais plagiat. ceci explique l'absence de
saveur des oeuvres commerciales ; ceci est la raison profonde de mon
opposition
contrela mauvaise herbe capitaliste qui asphyxie la culture.
Rendons au capitalisme ce qui est au capitalisme, a l'art ce qui est a
l'art.
Ouai, ouai, ouai ... c'est bien banal tout ça...ce texte n'a ete depose nulle part, vous etes libre d'en faire ce que bon
vous semble, y compris vous en attribuer la paternite si vous etes
malhonnete ;-)
Ta réflexion est louable, mais pas assez aboutie. Tu me fais penser à un
jeune homme (ou une jeune fille?) qui s'éveille au monde.
C'est pourquoi, sans vouloir te froisser je ne reproduirai pas ton texte
et bien peu le feront.
Par contre, ne t'arrête pas là, ne te décourage pas... La contradiction
vient toujours à celui qui prend position (et j'en sais un rayon).
Ta réfection reste généreuse bien qu'elle mérite d'être plus mesurée, et
plus en phase avec la réalité: avant de passer à l'attaque, il faut bien
connaitre ses adversaires.
A+
Fab
Au secours !!!!!!
Ton manifeste est bien gentil, mais par trop naïf et confus.
Grace aux fantastiques legislations en faveur de la propriete
intellectuelle
instauree dans la plupart des pays, un auteur a le pouvoir de censurer un
detournement de son oeuvre, d'autoriser ou de reprimer une reprise, une
citation et de reclamer une partie des benefices generes par cette
utilisation sans toutefois participer aux frais de conception de l'oeuvre
nouvelle ainsi cree.
en général ce sont les labels qui négocient et non les auteurs. cf.: les
énormes bouses qui ont pu sortir sous la forme de reprise, remix,
DJremastering, ...
Pour écouter de la musique, il faut payer. Payer le support physique ou
les
frais d'enregistrement peut sembler normal. Les frais de marketing
énervants. Payer le droit d'ecouter une musique ou de lire un livre
revoltant. La culture reservee aux riches ?
l'auteur n'est pas concerné en proportion de ce que l'on paye! Il ne
retire (au mieux) que 10% des 15 ? que tu débourses.
Vous payez pour acheter un CD comme pour n'importe quel bien ou service.
L'art serait-il devenu un bien ou un service ?
C'est triste, j'en conviens, mais c'est bien le cas.
Il vous est interdit de la copier, de la modifier,
de vous en inspirer... a moins de demander l'autorisation et d'aligner
les billets.
désolé, c'est faux. les réseaux sont beaucoup plus complexes que tu ne
semble le croire
Bientot, il faudra payer l'auteur pour la moindre allusion
publique a l'une de ses creations. Est-ce cela la liberte d'expression ?
??????!!!!!!!???????
De la logique commerciale actuelle decoule une confusion chez celui qu'il
convient desormais d'appeler le consommateur. Cet animal curieux achete
la culture comme ses legumes. Il est sensible aux grandes marques, aux
labels en tous genre. Comme sa bourse est limitee, il n'achete que ce
qu'il connait deja ou ce dont il a entendu parler sans trop s'aventurer
parce
que
payer 20 euros pour un CD qu'on n'ecoute qu'une fois, ce n'est pas un bon
investissement. Oui oui, on parle bien d'art ici !
OK, mais c'est pas nouveau. En fait, ce qui semble te révolter c'est le
manque de curiosité des gens.
C'est une éducation et non un droit. Quoi qu'il en soit, il y en a que ça
intéresse et d'autres pas. Même si ça me tape sur les nerf, je respectes
ces gens qui se précipitent sur le dernier album de la starac, pour la
raison très simple qu'il y a toujours de l'espoir. Mais je ne me place
jamais au sommet d'une chaire docte pour juger de ce qui est bon ou
mauvais pour eux. Mon fils (2 ans ) adore quand je lui passe du Aphex Twin
ou Wesseltoft, et par ailleurs, il dansouille sur chiouaoua...
Nous avons tous des gens dans notre entourage pour qui la musique n'est
qu'un bruit harmonieux, qu'il s'agisse de radiohead ou de celine dion,
mais qui sont dénués de curiosité et se laissent guider par les
programmations radiophoniques.
Allez je m'arrête...
Ajoutons que le droit a la propriete intellectuelle n'est pas un droit
mais
un privilege reserve a ceux qui en ont les moyens, vu le caractere
complexe
et, surtout, couteux des demarches a entreprendre.
Vous, auteurs, qui tenez tant a la propriete intellectuelle,
demandez-vous au juste quelle est la part d'originalite dans ce qui emane
de vos
pensees.
Eh mec! c'est quoi cette philo de comptoir?
T'es tu seulement inscrit dans une démarche artistique, ou bien veux tu
simplement réclamer les choses pour toi-même?
As-tu déjà éprouvé l'incertitude du lendemain au moment de te lancer dans
un production?
Le problème de la création provient essentiellement de l'entretien de
cette création. Qu'est ce que c'est que ce discours de "profiteur du
malaise". J'aurai cru qu'un type qui entame une réflexion sur le sujet,
aurait tiré les conséquences des enjeux du mouvement des intermittents du
spectacle!
La situation a actuelle résulte d'un équilibre qui devient de + en +
précaire non en raison des auteurs mais des multinationales du
divertissement (majors, sociétés de prod audiovisuelles ...)
Suivant votre raisonnement, pour etre tout a fait juste, il conviendrait
de
reverser des droits a tous vos pairs, toutes vos influences de toutes
sortes. Aux auteurs des livres que vous avez lus, des musiques que vous
avez ecoutees, des films, emissions TV qui se sont imprimees sur votre
retine.
Les "auteurs" ne raisonnent pas en ces termes, tu le saurais si tu avais
une démarche créatrices.
Soyez humbles et reconnaissez que sans toutes ces influences votre
oeuvre n'aurait jamais vu le jour.
personne ne dit le contraire...
Soyez en phase avec vos convictions
De quelles convictions parles-tu.
Tu vois, l'une des pires choses au monde c'est la généralisation. Et c'est
ce vers quoi tu tends.
Il y a ceux qui pronent les louanges de ce systeme comme etant
l'assurance de l'independance financiere et - donc - intellectuelle des
auteurs. Combien de fois ai-je entendu cet argument incroyable ?
Incroyable car ce systeme, loin de procurer a l'auteur une quelconque
independance, les oblige a se prostituer aupres des grands lobbies de
l'edition. A se prostituer aupres des medias pour ecraser la concurrence
et imposer son image. Incroyable car, loin de favoriser l'innovation, il
la tue dans l'oeuf, rend les grands toujours plus grands, les petits
toujours plus incapables d'exister, laissant les grands editeurs decider
de ce qui est bon ou mauvais. Le capitalisme applique a l'art est la pire
forme de dictature : celle contre laquelle il ne peut y avoir de
resistance car
elle
ne dit pas son nom.
Et voila !!! Tu généralise encore. Ta réflexion est louable, mais tu te
jette toi-même dans les orties.
Il y a ceux qui disent qu"'il faut bien manger". Combien d'auteurs vivent
de
leurs droits ? Vraiment très peu. Tous ces autres, ces independants qui
font leur musique dans un garage le soir apres le boulot, qui pensent et
ecrivent en rognant sur leur sommeil pour concilier travail, vie de
famille
et creativite : tous ces autres representent quoi ? de la merde ? Une
oeuvre, pour avoir de la valeur doit-elle etre creee par des gens qui ne
font que ca de leurs journees, des "professionnel" qui sont coupes des
realites sociales ? Qu'on l'admette une bonne fois pour toute : artiste
n'est pas une profession, c'est un etat d'ame !
Je vais me répéter, c'est non les auteurs qui tirent partie de ton fric,
mais la chaîne de production ( labels, intermédiaires, fabricants,
producteurs, IG du son, distributeurs ...)
Ce qui est revoltant, ce n'est pas le fait que l'auteur percoive de
l'argent
en retour de ce qu'il a apporte a la acommunaute, c'est que l'on ne paye
pas l'auteur mais son oeuvre.
Ah ! tout de même; une idée interessante ...
Que le systeme ne garantisse pas la
conservation ni la distribution de l'oeuvre mais l'exclusivite de son
exploitation a quelques uns.
Et tu propose quoi concrètement? je suis curieux.
Qui dit "manifeste", dit propositions.
Les creations de l'esprit n'appartiennent pas a l'individu mais a
l'humanite. Toutes les creations sont liees en une toile inextricable :
il n'est rien de plus vaniteux que de reclamer la paternite de telle ou
telle parcelle. La culture, essence de l'homme, n'appartient a personne,
il
n'est
aucune restriction a sa diffusion tolerable. Il manque assurement un
article dans la Declaration des Droits de l'Homme sur ce point.
Toi, t'as dû vachement écouter Dorothée quand t'étais gamin ...
Je voudrai vraiment savoir qui tu es pour parler comme ça.
L'acte creatif ne doit pas etre un faire-valoir social ou mercantile. La
creation, l'idee originale s'impose d'elle-meme a son auteur qui peut
decider ou non de l'exprimer. Les idees qui ne s'imposent pas
d'elles-meme ne sont pas idees mais plagiat. ceci explique l'absence de
saveur des oeuvres commerciales ; ceci est la raison profonde de mon
opposition
contre
la mauvaise herbe capitaliste qui asphyxie la culture.
Rendons au capitalisme ce qui est au capitalisme, a l'art ce qui est a
l'art.
Ouai, ouai, ouai ... c'est bien banal tout ça...
ce texte n'a ete depose nulle part, vous etes libre d'en faire ce que bon
vous semble, y compris vous en attribuer la paternite si vous etes
malhonnete ;-)
Ta réflexion est louable, mais pas assez aboutie. Tu me fais penser à un
jeune homme (ou une jeune fille?) qui s'éveille au monde.
C'est pourquoi, sans vouloir te froisser je ne reproduirai pas ton texte
et bien peu le feront.
Par contre, ne t'arrête pas là, ne te décourage pas... La contradiction
vient toujours à celui qui prend position (et j'en sais un rayon).
Ta réfection reste généreuse bien qu'elle mérite d'être plus mesurée, et
plus en phase avec la réalité: avant de passer à l'attaque, il faut bien
connaitre ses adversaires.
A+
Fab
Au secours !!!!!!
Ton manifeste est bien gentil, mais par trop naïf et confus.Grace aux fantastiques legislations en faveur de la propriete
intellectuelleinstauree dans la plupart des pays, un auteur a le pouvoir de censurer un
detournement de son oeuvre, d'autoriser ou de reprimer une reprise, une
citation et de reclamer une partie des benefices generes par cette
utilisation sans toutefois participer aux frais de conception de l'oeuvre
nouvelle ainsi cree.
en général ce sont les labels qui négocient et non les auteurs. cf.: les
énormes bouses qui ont pu sortir sous la forme de reprise, remix,
DJremastering, ...Pour écouter de la musique, il faut payer. Payer le support physique ou
lesfrais d'enregistrement peut sembler normal. Les frais de marketing
énervants. Payer le droit d'ecouter une musique ou de lire un livre
revoltant. La culture reservee aux riches ?
l'auteur n'est pas concerné en proportion de ce que l'on paye! Il ne
retire (au mieux) que 10% des 15 ? que tu débourses.Vous payez pour acheter un CD comme pour n'importe quel bien ou service.
L'art serait-il devenu un bien ou un service ?
C'est triste, j'en conviens, mais c'est bien le cas.
Il vous est interdit de la copier, de la modifier,de vous en inspirer... a moins de demander l'autorisation et d'aligner
les billets.
désolé, c'est faux. les réseaux sont beaucoup plus complexes que tu ne
semble le croire
Bientot, il faudra payer l'auteur pour la moindre allusionpublique a l'une de ses creations. Est-ce cela la liberte d'expression ?
??????!!!!!!!???????De la logique commerciale actuelle decoule une confusion chez celui qu'il
convient desormais d'appeler le consommateur. Cet animal curieux achete
la culture comme ses legumes. Il est sensible aux grandes marques, aux
labels en tous genre. Comme sa bourse est limitee, il n'achete que ce
qu'il connait deja ou ce dont il a entendu parler sans trop s'aventurer
parce
quepayer 20 euros pour un CD qu'on n'ecoute qu'une fois, ce n'est pas un bon
investissement. Oui oui, on parle bien d'art ici !
OK, mais c'est pas nouveau. En fait, ce qui semble te révolter c'est le
manque de curiosité des gens.
C'est une éducation et non un droit. Quoi qu'il en soit, il y en a que ça
intéresse et d'autres pas. Même si ça me tape sur les nerf, je respectes
ces gens qui se précipitent sur le dernier album de la starac, pour la
raison très simple qu'il y a toujours de l'espoir. Mais je ne me place
jamais au sommet d'une chaire docte pour juger de ce qui est bon ou
mauvais pour eux. Mon fils (2 ans ) adore quand je lui passe du Aphex Twin
ou Wesseltoft, et par ailleurs, il dansouille sur chiouaoua...
Nous avons tous des gens dans notre entourage pour qui la musique n'est
qu'un bruit harmonieux, qu'il s'agisse de radiohead ou de celine dion,
mais qui sont dénués de curiosité et se laissent guider par les
programmations radiophoniques.
Allez je m'arrête...Ajoutons que le droit a la propriete intellectuelle n'est pas un droit
maisun privilege reserve a ceux qui en ont les moyens, vu le caractere
complexeet, surtout, couteux des demarches a entreprendre.
Vous, auteurs, qui tenez tant a la propriete intellectuelle,
demandez-vous au juste quelle est la part d'originalite dans ce qui emane
de vos
pensees.
Eh mec! c'est quoi cette philo de comptoir?
T'es tu seulement inscrit dans une démarche artistique, ou bien veux tu
simplement réclamer les choses pour toi-même?
As-tu déjà éprouvé l'incertitude du lendemain au moment de te lancer dans
un production?
Le problème de la création provient essentiellement de l'entretien de
cette création. Qu'est ce que c'est que ce discours de "profiteur du
malaise". J'aurai cru qu'un type qui entame une réflexion sur le sujet,
aurait tiré les conséquences des enjeux du mouvement des intermittents du
spectacle!
La situation a actuelle résulte d'un équilibre qui devient de + en +
précaire non en raison des auteurs mais des multinationales du
divertissement (majors, sociétés de prod audiovisuelles ...)Suivant votre raisonnement, pour etre tout a fait juste, il conviendrait
dereverser des droits a tous vos pairs, toutes vos influences de toutes
sortes. Aux auteurs des livres que vous avez lus, des musiques que vous
avez ecoutees, des films, emissions TV qui se sont imprimees sur votre
retine.
Les "auteurs" ne raisonnent pas en ces termes, tu le saurais si tu avais
une démarche créatrices.Soyez humbles et reconnaissez que sans toutes ces influences votre
oeuvre n'aurait jamais vu le jour.
personne ne dit le contraire...Soyez en phase avec vos convictions
De quelles convictions parles-tu.
Tu vois, l'une des pires choses au monde c'est la généralisation. Et c'est
ce vers quoi tu tends.Il y a ceux qui pronent les louanges de ce systeme comme etant
l'assurance de l'independance financiere et - donc - intellectuelle des
auteurs. Combien de fois ai-je entendu cet argument incroyable ?
Incroyable car ce systeme, loin de procurer a l'auteur une quelconque
independance, les oblige a se prostituer aupres des grands lobbies de
l'edition. A se prostituer aupres des medias pour ecraser la concurrence
et imposer son image. Incroyable car, loin de favoriser l'innovation, il
la tue dans l'oeuf, rend les grands toujours plus grands, les petits
toujours plus incapables d'exister, laissant les grands editeurs decider
de ce qui est bon ou mauvais. Le capitalisme applique a l'art est la pire
forme de dictature : celle contre laquelle il ne peut y avoir de
resistance car
ellene dit pas son nom.
Et voila !!! Tu généralise encore. Ta réflexion est louable, mais tu te
jette toi-même dans les orties.Il y a ceux qui disent qu"'il faut bien manger". Combien d'auteurs vivent
deleurs droits ? Vraiment très peu. Tous ces autres, ces independants qui
font leur musique dans un garage le soir apres le boulot, qui pensent et
ecrivent en rognant sur leur sommeil pour concilier travail, vie de
familleet creativite : tous ces autres representent quoi ? de la merde ? Une
oeuvre, pour avoir de la valeur doit-elle etre creee par des gens qui ne
font que ca de leurs journees, des "professionnel" qui sont coupes des
realites sociales ? Qu'on l'admette une bonne fois pour toute : artiste
n'est pas une profession, c'est un etat d'ame !
Je vais me répéter, c'est non les auteurs qui tirent partie de ton fric,
mais la chaîne de production ( labels, intermédiaires, fabricants,
producteurs, IG du son, distributeurs ...)Ce qui est revoltant, ce n'est pas le fait que l'auteur percoive de
l'argenten retour de ce qu'il a apporte a la acommunaute, c'est que l'on ne paye
pas l'auteur mais son oeuvre.
Ah ! tout de même; une idée interessante ...Que le systeme ne garantisse pas la
conservation ni la distribution de l'oeuvre mais l'exclusivite de sonexploitation a quelques uns.
Et tu propose quoi concrètement? je suis curieux.
Qui dit "manifeste", dit propositions.Les creations de l'esprit n'appartiennent pas a l'individu mais a
l'humanite. Toutes les creations sont liees en une toile inextricable :
il n'est rien de plus vaniteux que de reclamer la paternite de telle ou
telle parcelle. La culture, essence de l'homme, n'appartient a personne,
il
n'estaucune restriction a sa diffusion tolerable. Il manque assurement un
article dans la Declaration des Droits de l'Homme sur ce point.
Toi, t'as dû vachement écouter Dorothée quand t'étais gamin ...
Je voudrai vraiment savoir qui tu es pour parler comme ça.L'acte creatif ne doit pas etre un faire-valoir social ou mercantile. La
creation, l'idee originale s'impose d'elle-meme a son auteur qui peut
decider ou non de l'exprimer. Les idees qui ne s'imposent pas
d'elles-meme ne sont pas idees mais plagiat. ceci explique l'absence de
saveur des oeuvres commerciales ; ceci est la raison profonde de mon
opposition
contrela mauvaise herbe capitaliste qui asphyxie la culture.
Rendons au capitalisme ce qui est au capitalisme, a l'art ce qui est a
l'art.
Ouai, ouai, ouai ... c'est bien banal tout ça...ce texte n'a ete depose nulle part, vous etes libre d'en faire ce que bon
vous semble, y compris vous en attribuer la paternite si vous etes
malhonnete ;-)
Ta réflexion est louable, mais pas assez aboutie. Tu me fais penser à un
jeune homme (ou une jeune fille?) qui s'éveille au monde.
C'est pourquoi, sans vouloir te froisser je ne reproduirai pas ton texte
et bien peu le feront.
Par contre, ne t'arrête pas là, ne te décourage pas... La contradiction
vient toujours à celui qui prend position (et j'en sais un rayon).
Ta réfection reste généreuse bien qu'elle mérite d'être plus mesurée, et
plus en phase avec la réalité: avant de passer à l'attaque, il faut bien
connaitre ses adversaires.
A+
Fab
Et en + t'es susceptible...
Mon propos était plutôt bienveillant.
Maintenant, si tu veux que je sorte les dents, je vais être très clair.
Je ne préjuge jamais de rien ni personne. Je me reconnais un ton
paternaliste maladroit mais pour le reste, mon post n'appelait que des
éclaircissements. Je n'ai développé aucune argumentation, je n'ai fait que
poser des questions.
On va éviter le dialogue de sourds ...
Je me suis simplement exprimé sur ce qui semblait transparaître de ton
manifeste à la noix, qui soulève pour l'essentiel de "vraies questions"
sans intérêt, auxquelles les philosophes eux-même réfléchissent depuis des
siècles sans trouver de réponse qui les satisfasse.
Car, après la lecture de tous les posts sur FCM, je trouve ton
raisonnement biaisé. Quand on parle de points précis, tu élargies le
débat, et dès lors qu'on vient te chercher sur ce terrain, tu reviens au
point particulier. Tu comprends ce que tu veux bien comprendre: Je n'ai
jamais écrit que ton style était naïf. C'est ta pensée qui est en cause,
ta réflexion. Ton style si bien noté par ta maîtresse d'école n'est pas en
cause.
Si tu me dis que t'as 53 ans, je suis désolé que ton cheminement
intellectuel n'ait pas dépassé le stade du "MOA JE". Non, je n'ai jamais
dit, ni même pensé que tu étais une merde ! Tu me parle de ta démarche
créatrice, de tes centaines de textes restés sous le coude... Quand on
crée, quoi qu'on fasse, c'est pour être entendu, lu, vu ... parce qu'on
veut s'exprimer, et c'est là l'une des quêtes éternelles des hommes: la
reconnaissance... des siens et des autres. Le nier, c'est plonger dans la
névrose.
Une question simple et malsaine pour l'homme de 53 ans:
Cette démarche intellectuelle sur les droits d'auteurs n'est-elle pas une
façon d'attaquer ceux qui ont eu envie d'être diffusés et par là d'être
reconnus?
N'est-ce pas difficile à vivre de devoir se satisfaire qu'aujourd'hui
encore tous tes travaux soient restés dans le placard?
Bien sûr tu es quelqu'un. Je ne l'ai jamais nié. Mais es-tu seulement
satisfait?
En ce qui concerne la répétition des posts précédents, la raison en est
simple: j'ai répondu sur FRAME et non sur FCM.
Tu veux jouer les penseurs universels, grand bien te fasse! On sent
beaucoup d'aigreur et de désordre dans tes posts.
On n'est pas seulement quelqu'un par son âge, ou par son métier. On est
aussi quelqu'un quand on assume ses choix de vie, et que l'on vit en paix
avec soi et les autres.
Lorsque j'ai écrit "Je voudrai vraiment savoir qui tu es pour parler comme
ça", ce n'était pas une invective, mais un vrai désir de connaître ton
histoire et ton parcours. Finalement, ton masque est tombé: Fantômas
empêcheur de tourner en rond post-68, bobo des médias, aigri de ne pas
avoir été reconnu.
Mon post précédent n'avait rien d'agressif, et la référence à Dorothée
était une manière- peut-être maladroite- de parler des idéaux simplistes
qui tuent tous engagements sociaux et politiques dans l'oeuf. Ce n'est pas
parce qu'on brandit le drapeau de l'idéologie, que l'on est idéologue. Je
me suis toujours méfié des ersatz.
Quant à ton expression de copyright/copyleft, elle participe exactement
aux dérives de la médiacratie/médiocratie.
Sur ce, je te souhaite bon vent et bien du courage
A+
Et en + t'es susceptible...
Mon propos était plutôt bienveillant.
Maintenant, si tu veux que je sorte les dents, je vais être très clair.
Je ne préjuge jamais de rien ni personne. Je me reconnais un ton
paternaliste maladroit mais pour le reste, mon post n'appelait que des
éclaircissements. Je n'ai développé aucune argumentation, je n'ai fait que
poser des questions.
On va éviter le dialogue de sourds ...
Je me suis simplement exprimé sur ce qui semblait transparaître de ton
manifeste à la noix, qui soulève pour l'essentiel de "vraies questions"
sans intérêt, auxquelles les philosophes eux-même réfléchissent depuis des
siècles sans trouver de réponse qui les satisfasse.
Car, après la lecture de tous les posts sur FCM, je trouve ton
raisonnement biaisé. Quand on parle de points précis, tu élargies le
débat, et dès lors qu'on vient te chercher sur ce terrain, tu reviens au
point particulier. Tu comprends ce que tu veux bien comprendre: Je n'ai
jamais écrit que ton style était naïf. C'est ta pensée qui est en cause,
ta réflexion. Ton style si bien noté par ta maîtresse d'école n'est pas en
cause.
Si tu me dis que t'as 53 ans, je suis désolé que ton cheminement
intellectuel n'ait pas dépassé le stade du "MOA JE". Non, je n'ai jamais
dit, ni même pensé que tu étais une merde ! Tu me parle de ta démarche
créatrice, de tes centaines de textes restés sous le coude... Quand on
crée, quoi qu'on fasse, c'est pour être entendu, lu, vu ... parce qu'on
veut s'exprimer, et c'est là l'une des quêtes éternelles des hommes: la
reconnaissance... des siens et des autres. Le nier, c'est plonger dans la
névrose.
Une question simple et malsaine pour l'homme de 53 ans:
Cette démarche intellectuelle sur les droits d'auteurs n'est-elle pas une
façon d'attaquer ceux qui ont eu envie d'être diffusés et par là d'être
reconnus?
N'est-ce pas difficile à vivre de devoir se satisfaire qu'aujourd'hui
encore tous tes travaux soient restés dans le placard?
Bien sûr tu es quelqu'un. Je ne l'ai jamais nié. Mais es-tu seulement
satisfait?
En ce qui concerne la répétition des posts précédents, la raison en est
simple: j'ai répondu sur FRAME et non sur FCM.
Tu veux jouer les penseurs universels, grand bien te fasse! On sent
beaucoup d'aigreur et de désordre dans tes posts.
On n'est pas seulement quelqu'un par son âge, ou par son métier. On est
aussi quelqu'un quand on assume ses choix de vie, et que l'on vit en paix
avec soi et les autres.
Lorsque j'ai écrit "Je voudrai vraiment savoir qui tu es pour parler comme
ça", ce n'était pas une invective, mais un vrai désir de connaître ton
histoire et ton parcours. Finalement, ton masque est tombé: Fantômas
empêcheur de tourner en rond post-68, bobo des médias, aigri de ne pas
avoir été reconnu.
Mon post précédent n'avait rien d'agressif, et la référence à Dorothée
était une manière- peut-être maladroite- de parler des idéaux simplistes
qui tuent tous engagements sociaux et politiques dans l'oeuf. Ce n'est pas
parce qu'on brandit le drapeau de l'idéologie, que l'on est idéologue. Je
me suis toujours méfié des ersatz.
Quant à ton expression de copyright/copyleft, elle participe exactement
aux dérives de la médiacratie/médiocratie.
Sur ce, je te souhaite bon vent et bien du courage
A+
Et en + t'es susceptible...
Mon propos était plutôt bienveillant.
Maintenant, si tu veux que je sorte les dents, je vais être très clair.
Je ne préjuge jamais de rien ni personne. Je me reconnais un ton
paternaliste maladroit mais pour le reste, mon post n'appelait que des
éclaircissements. Je n'ai développé aucune argumentation, je n'ai fait que
poser des questions.
On va éviter le dialogue de sourds ...
Je me suis simplement exprimé sur ce qui semblait transparaître de ton
manifeste à la noix, qui soulève pour l'essentiel de "vraies questions"
sans intérêt, auxquelles les philosophes eux-même réfléchissent depuis des
siècles sans trouver de réponse qui les satisfasse.
Car, après la lecture de tous les posts sur FCM, je trouve ton
raisonnement biaisé. Quand on parle de points précis, tu élargies le
débat, et dès lors qu'on vient te chercher sur ce terrain, tu reviens au
point particulier. Tu comprends ce que tu veux bien comprendre: Je n'ai
jamais écrit que ton style était naïf. C'est ta pensée qui est en cause,
ta réflexion. Ton style si bien noté par ta maîtresse d'école n'est pas en
cause.
Si tu me dis que t'as 53 ans, je suis désolé que ton cheminement
intellectuel n'ait pas dépassé le stade du "MOA JE". Non, je n'ai jamais
dit, ni même pensé que tu étais une merde ! Tu me parle de ta démarche
créatrice, de tes centaines de textes restés sous le coude... Quand on
crée, quoi qu'on fasse, c'est pour être entendu, lu, vu ... parce qu'on
veut s'exprimer, et c'est là l'une des quêtes éternelles des hommes: la
reconnaissance... des siens et des autres. Le nier, c'est plonger dans la
névrose.
Une question simple et malsaine pour l'homme de 53 ans:
Cette démarche intellectuelle sur les droits d'auteurs n'est-elle pas une
façon d'attaquer ceux qui ont eu envie d'être diffusés et par là d'être
reconnus?
N'est-ce pas difficile à vivre de devoir se satisfaire qu'aujourd'hui
encore tous tes travaux soient restés dans le placard?
Bien sûr tu es quelqu'un. Je ne l'ai jamais nié. Mais es-tu seulement
satisfait?
En ce qui concerne la répétition des posts précédents, la raison en est
simple: j'ai répondu sur FRAME et non sur FCM.
Tu veux jouer les penseurs universels, grand bien te fasse! On sent
beaucoup d'aigreur et de désordre dans tes posts.
On n'est pas seulement quelqu'un par son âge, ou par son métier. On est
aussi quelqu'un quand on assume ses choix de vie, et que l'on vit en paix
avec soi et les autres.
Lorsque j'ai écrit "Je voudrai vraiment savoir qui tu es pour parler comme
ça", ce n'était pas une invective, mais un vrai désir de connaître ton
histoire et ton parcours. Finalement, ton masque est tombé: Fantômas
empêcheur de tourner en rond post-68, bobo des médias, aigri de ne pas
avoir été reconnu.
Mon post précédent n'avait rien d'agressif, et la référence à Dorothée
était une manière- peut-être maladroite- de parler des idéaux simplistes
qui tuent tous engagements sociaux et politiques dans l'oeuf. Ce n'est pas
parce qu'on brandit le drapeau de l'idéologie, que l'on est idéologue. Je
me suis toujours méfié des ersatz.
Quant à ton expression de copyright/copyleft, elle participe exactement
aux dérives de la médiacratie/médiocratie.
Sur ce, je te souhaite bon vent et bien du courage
A+
Les droits
d'auteurs ne sont pas la pour proteger je ne sais quelle exception
francaise mais simplement pour faire du pognon.
Les droits
d'auteurs ne sont pas la pour proteger je ne sais quelle exception
francaise mais simplement pour faire du pognon.
Les droits
d'auteurs ne sont pas la pour proteger je ne sais quelle exception
francaise mais simplement pour faire du pognon.
la remuneration des auteurs et un faux
probleme, la plupart ecrivent, dessinent ou composent en marge d'un
travail.
la remuneration des auteurs et un faux
probleme, la plupart ecrivent, dessinent ou composent en marge d'un
travail.
la remuneration des auteurs et un faux
probleme, la plupart ecrivent, dessinent ou composent en marge d'un
travail.
merci, ca elargit mon horizon en meme temps que ca enrichi le debat.
ce joli mot de 5 lettres signe d'un mysterieux M. Temple va faire le tour
de la France et s'afficher sur plusieurs miliers de pc dans les jours a
venir.
et tous ces gens liront votre prose et se diront : "comme il parle bien ce
M. Temple. Comme il a raison. Maintenant tout est limpide : ce manifeste
machin chose est ecrit par un cretin."
mes felicitations M. Temple : vers quels horribles recifs l'humanite irait
s'echouer si vous n'etiez pas la !
Permettez-moi de vous renouveler encore une fois mes plus sinceres
remerciements, M. Temple. Ce sont les gens ouverts et constructifs comme
vous qui sauveront l'humanite de la damnation eternelle.
(moi aussi je peux prendre les gens pour des cons, mais j'essaie au moins
que ce soit joli)
M. Temple wrote:
> moa wrote:
>
>> artiste
>> n'est pas une profession, c'est un etat d'ame !
>
> Crétin.
merci, ca elargit mon horizon en meme temps que ca enrichi le debat.
ce joli mot de 5 lettres signe d'un mysterieux M. Temple va faire le tour
de la France et s'afficher sur plusieurs miliers de pc dans les jours a
venir.
et tous ces gens liront votre prose et se diront : "comme il parle bien ce
M. Temple. Comme il a raison. Maintenant tout est limpide : ce manifeste
machin chose est ecrit par un cretin."
mes felicitations M. Temple : vers quels horribles recifs l'humanite irait
s'echouer si vous n'etiez pas la !
Permettez-moi de vous renouveler encore une fois mes plus sinceres
remerciements, M. Temple. Ce sont les gens ouverts et constructifs comme
vous qui sauveront l'humanite de la damnation eternelle.
(moi aussi je peux prendre les gens pour des cons, mais j'essaie au moins
que ce soit joli)
M. Temple wrote:
> moa <moa@nomail.com> wrote:
>
>> artiste
>> n'est pas une profession, c'est un etat d'ame !
>
> Crétin.
merci, ca elargit mon horizon en meme temps que ca enrichi le debat.
ce joli mot de 5 lettres signe d'un mysterieux M. Temple va faire le tour
de la France et s'afficher sur plusieurs miliers de pc dans les jours a
venir.
et tous ces gens liront votre prose et se diront : "comme il parle bien ce
M. Temple. Comme il a raison. Maintenant tout est limpide : ce manifeste
machin chose est ecrit par un cretin."
mes felicitations M. Temple : vers quels horribles recifs l'humanite irait
s'echouer si vous n'etiez pas la !
Permettez-moi de vous renouveler encore une fois mes plus sinceres
remerciements, M. Temple. Ce sont les gens ouverts et constructifs comme
vous qui sauveront l'humanite de la damnation eternelle.
(moi aussi je peux prendre les gens pour des cons, mais j'essaie au moins
que ce soit joli)
M. Temple wrote:
> moa wrote:
>
>> artiste
>> n'est pas une profession, c'est un etat d'ame !
>
> Crétin.
qui a envie de lire un livre
ecrit pour l'argent ?
qui a envie de lire un livre
ecrit pour l'argent ?
qui a envie de lire un livre
ecrit pour l'argent ?
"moa" a écrit dans le message de
news:bg9gdc$moq$
<snip>
> en conclusion de ce post :
> 1. la remuneration des auteurs n'est pas necessaire : n'en deplaise a ceux
> qui sont combles de gagner leur vie en vivant leur passion et a tous ceux
> qui egorgeraient pere et mere pour cette vie, ce n'est pas necessaire a
> l'art et meme malsain si pousse a l'extreme : qui a envie de lire un livre
> ecrit pour l'argent ?
hé bin moi, par exemple. J'aime lire un livre qui a été écrit par quelqu'un
dont c'est le métier, ce qui veut dire théoriquement qu'il sait le faire et
qu'il a un certain talent. Qu'il y consacre tout son temps. Bref, qu'il
travaille sérieusement.
"moa" <moa@nomail.com> a écrit dans le message de
news:bg9gdc$moq$1@news-reader2.wanadoo.fr...
<snip>
> en conclusion de ce post :
> 1. la remuneration des auteurs n'est pas necessaire : n'en deplaise a ceux
> qui sont combles de gagner leur vie en vivant leur passion et a tous ceux
> qui egorgeraient pere et mere pour cette vie, ce n'est pas necessaire a
> l'art et meme malsain si pousse a l'extreme : qui a envie de lire un livre
> ecrit pour l'argent ?
hé bin moi, par exemple. J'aime lire un livre qui a été écrit par quelqu'un
dont c'est le métier, ce qui veut dire théoriquement qu'il sait le faire et
qu'il a un certain talent. Qu'il y consacre tout son temps. Bref, qu'il
travaille sérieusement.
"moa" a écrit dans le message de
news:bg9gdc$moq$
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> en conclusion de ce post :
> 1. la remuneration des auteurs n'est pas necessaire : n'en deplaise a ceux
> qui sont combles de gagner leur vie en vivant leur passion et a tous ceux
> qui egorgeraient pere et mere pour cette vie, ce n'est pas necessaire a
> l'art et meme malsain si pousse a l'extreme : qui a envie de lire un livre
> ecrit pour l'argent ?
hé bin moi, par exemple. J'aime lire un livre qui a été écrit par quelqu'un
dont c'est le métier, ce qui veut dire théoriquement qu'il sait le faire et
qu'il a un certain talent. Qu'il y consacre tout son temps. Bref, qu'il
travaille sérieusement.
Claire Delavallée wrote:
>
> hé bin moi, par exemple. J'aime lire un livre qui a été écrit par
> quelqu'un dont c'est le métier, ce qui veut dire théoriquement qu'il sait
> le faire et qu'il a un certain talent. Qu'il y consacre tout son temps.
> Bref, qu'il travaille sérieusement.
parce qu'ecrivain est un metier ?
qui s'apprend d'apres toi ?
quelles etudes
faut-il faire ?
quel est le cursus d'apprentissage ?
J'espere qu'aucun de
tous les ecrivains qui gagnent leur vie par ailleurs ne tombe sur ton post,
c'est horriblement vexant pour eux.
Claire Delavallée wrote:
>
> hé bin moi, par exemple. J'aime lire un livre qui a été écrit par
> quelqu'un dont c'est le métier, ce qui veut dire théoriquement qu'il sait
> le faire et qu'il a un certain talent. Qu'il y consacre tout son temps.
> Bref, qu'il travaille sérieusement.
parce qu'ecrivain est un metier ?
qui s'apprend d'apres toi ?
quelles etudes
faut-il faire ?
quel est le cursus d'apprentissage ?
J'espere qu'aucun de
tous les ecrivains qui gagnent leur vie par ailleurs ne tombe sur ton post,
c'est horriblement vexant pour eux.
Claire Delavallée wrote:
>
> hé bin moi, par exemple. J'aime lire un livre qui a été écrit par
> quelqu'un dont c'est le métier, ce qui veut dire théoriquement qu'il sait
> le faire et qu'il a un certain talent. Qu'il y consacre tout son temps.
> Bref, qu'il travaille sérieusement.
parce qu'ecrivain est un metier ?
qui s'apprend d'apres toi ?
quelles etudes
faut-il faire ?
quel est le cursus d'apprentissage ?
J'espere qu'aucun de
tous les ecrivains qui gagnent leur vie par ailleurs ne tombe sur ton post,
c'est horriblement vexant pour eux.