J'ai fait une comparaison du métamérisme des gris obtenus par
différentes techniques ou différentes imprimantes auxquelles j'ai eu
accès. En gros, j'ai pris un ton L=50 et j'ai mesuré de combien la
teinte se déplace dans le plan (a,b) de l'espace Lab quand l'éclairage
passe de 6500L à 2800K. Le résultat des courses est détaillé dans
http://www.oitregor.fr.eu.org/numeric/
Prendre l'entrée «métamerisme» au menu.
Enfin, quand je dis «j'ai mesuré», il faut comprendre que j'ai fait
joujou avec le spectro Eye-One et les logiciels de Gretag-Macbeth :-))
On passe ainsi de l'excellence avec les tirages argentiques sur papier
baryté (m=0,1) au fort médiocre avec l'Epson 2000P (m=10) ; la valeur du
déplacement m doit se comprendre avec la discrétisation habituelle de a
et b de -128 à +128.
La Fuji Frontier correspond à m=2 et son métamérisme est encore
observable. Autour de 4, donc avec un métamérisme assez net, on trouve
l'Epson 2100 et la toute nouvelle HP 8750. Eh oui, cette dernière aussi
a du métamérisme, quoiqu'en dise la pub, quasiment autant que son ainée
7960 ; mais rappelez-vous qu'on disait lors de son arrivée que l'Epson
2100 n'en avait pas... L'histoire bégaie volontiers :-)
Nota : le métamérisme de la HP 8750 se voit bel et bien. Les tirages
sont neutres en lumière naturelle et prennant une nuance magenta en
lumière artificielle.
Comme attendu, tous les vrais procédés à l'encre pigmentaire noire --
encre noire seule, encres spéciales type piezography, RIP -- donnent de
meilleurs résultats (sauf pour des tirages chauds ou sépia fortement
coloriés, mais la déviation de couleur est bien plus acceptable pour
ceux-ci que pour des tirages neutres)
Pour moi il est évident qu'avec certaines combinaisons encre/papier on "sort" de la zone de "correction automatique" du cerveau.
Oui, c'est exactement ce qui se passe.
-- Jean-Claude Ghislain www.grimart.com
filh
Jean-Claude Ghislain wrote:
Moi yen a pas piger : 5400 K c'est pas du daylight ça...
Oublierais-tu que les films lumière du jour sont équilibrés pour 5500 K ?
Ah...
Et les tungstène ?
FiLH
-- Le fondement du constat bourgeois, c'est le bon sens, c'est-à-dire une vérité qui s'arrête sur l'ordre arbitraire de celui qui la parle. Roland Barthes. http://www.filh.org
Jean-Claude Ghislain <jcg@grimart.com> wrote:
Moi yen a pas piger : 5400 K c'est pas du daylight ça...
Oublierais-tu que les films lumière du jour sont équilibrés
pour 5500 K ?
Ah...
Et les tungstène ?
FiLH
--
Le fondement du constat bourgeois, c'est le bon sens, c'est-à-dire
une vérité qui s'arrête sur l'ordre arbitraire de celui qui la parle.
Roland Barthes.
http://www.filh.org
Moi yen a pas piger : 5400 K c'est pas du daylight ça...
Oublierais-tu que les films lumière du jour sont équilibrés pour 5500 K ?
Ah...
Et les tungstène ?
FiLH
-- Le fondement du constat bourgeois, c'est le bon sens, c'est-à-dire une vérité qui s'arrête sur l'ordre arbitraire de celui qui la parle. Roland Barthes. http://www.filh.org
Jean-Pierre Roche
Et les tungstène ?
Ca se complique... Il y avait à une époque deux types de tungstènes : 3200 et 3400 K On en est resté à 3200 K il me semble. C'est du moins le cas de l'Ekta 64T (EPY)
-- Jean-Pierre Roche
enlever sanspub pour m'écrire...
http://jpierreroche.free.fr/
Et les tungstène ?
Ca se complique... Il y avait à une époque deux types de
tungstènes : 3200 et 3400 K
On en est resté à 3200 K il me semble. C'est du moins le cas
de l'Ekta 64T (EPY)
--
Jean-Pierre Roche
jproche@sanspubchello.fr
enlever sanspub pour m'écrire...
Ca se complique... Il y avait à une époque deux types de tungstènes : 3200 et 3400 K On en est resté à 3200 K il me semble. C'est du moins le cas de l'Ekta 64T (EPY)
-- Jean-Pierre Roche
enlever sanspub pour m'écrire...
http://jpierreroche.free.fr/
Charles VASSALLO
Jean-Claude Ghislain wrote:
Pour moi il est évident qu'avec certaines combinaisons encre/papier on "sort" de la zone de "correction automatique" du cerveau.
Oui, c'est exactement ce qui se passe.
Pas vraiment, pas quand on discute du rendu des gris sous des éclairages raisonnables (c'est bien de ça qu'on discutait, n'est-ce-pas ?).
On admet généralement que le modèle LAB décrit plutôt bien la perception des couleurs ; en tout cas, toute la gestion de la couleur intégrée à nos chers logiciels repose dessus. En gros, les formules de base disent que (i) le couple oeil-cerveau découpe les flux d'énergie qu'il reçoit en trois paquets, rouge, vert et bleu ; (ii) qu'il connaît --ou croit connaître-- les trois paquets correspondants qu'il aurait pour un blanc placé dans la scène ; (iii) et qu'il fait les rapports. Ce sont ces rapports qui sont ensuite traduits en couleur et luminosité.
L'oeil ne perd ses repères que quand la scène n'est manifestement pas éclairée en «blanc» ; ces blancs exigent des rapports précis entre les trois canaux RVB (et sans doute que la température de couleur ne soit ni trop basse, ni trop haute). Mais tous les éclairages évoqués jusqu'ici dans ce fil sont recevables.
Le spectrophotomètre et son logiciel appliquent évidemment les formules LAB sans aucun état d'âme. Dans le cas du gris LP interprété par la HP8750, quand on passe d'une température de couleur de 5000K à 3200K, ils annoncent que ce «gris» va bouger de +2 sur l'axe vert-rouge (vers le rouge) et de -0,4 sur l'axe bleu-jaune (c.à.d. 0.4 vers les bleus). Ça correspond fort raisonnablement à la petite coloration magenta que mon oeil croit percevoir, ce qui confirme bien à la fois (i) que je n'ai pas la berlue (une idée qui m'est chère :-)) (ii)et que le modèle LAB a du bon.
J'ajouterai pour faire plaisir à Jean-Claude qu'aucune couleur ne saurait garder les mêmes composantes (et donc la même perception) quand on change la lumière, sauf le gris idéal, et ce dernier n'est évidemment pas du monde que nos imprimantes à jet d'encre peuvent restituer.
Charles
Jean-Claude Ghislain wrote:
Pour moi il est évident qu'avec certaines combinaisons encre/papier on
"sort" de la zone de "correction automatique" du cerveau.
Oui, c'est exactement ce qui se passe.
Pas vraiment, pas quand on discute du rendu des gris sous des éclairages
raisonnables (c'est bien de ça qu'on discutait, n'est-ce-pas ?).
On admet généralement que le modèle LAB décrit plutôt bien la perception
des couleurs ; en tout cas, toute la gestion de la couleur intégrée à
nos chers logiciels repose dessus. En gros, les formules de base disent que
(i) le couple oeil-cerveau découpe les flux d'énergie qu'il reçoit en
trois paquets, rouge, vert et bleu ;
(ii) qu'il connaît --ou croit connaître-- les trois paquets
correspondants qu'il aurait pour un blanc placé dans la scène ;
(iii) et qu'il fait les rapports. Ce sont ces rapports qui sont ensuite
traduits en couleur et luminosité.
L'oeil ne perd ses repères que quand la scène n'est manifestement pas
éclairée en «blanc» ; ces blancs exigent des rapports précis entre les
trois canaux RVB (et sans doute que la température de couleur ne soit ni
trop basse, ni trop haute). Mais tous les éclairages évoqués jusqu'ici
dans ce fil sont recevables.
Le spectrophotomètre et son logiciel appliquent évidemment les formules
LAB sans aucun état d'âme. Dans le cas du gris LP interprété par la
HP8750, quand on passe d'une température de couleur de 5000K à 3200K,
ils annoncent que ce «gris» va bouger de +2 sur l'axe vert-rouge (vers
le rouge) et de -0,4 sur l'axe bleu-jaune (c.à.d. 0.4 vers les bleus).
Ça correspond fort raisonnablement à la petite coloration magenta que
mon oeil croit percevoir, ce qui confirme bien à la fois
(i) que je n'ai pas la berlue (une idée qui m'est chère :-))
(ii)et que le modèle LAB a du bon.
J'ajouterai pour faire plaisir à Jean-Claude qu'aucune couleur ne
saurait garder les mêmes composantes (et donc la même perception) quand
on change la lumière, sauf le gris idéal, et ce dernier n'est évidemment
pas du monde que nos imprimantes à jet d'encre peuvent restituer.
Pour moi il est évident qu'avec certaines combinaisons encre/papier on "sort" de la zone de "correction automatique" du cerveau.
Oui, c'est exactement ce qui se passe.
Pas vraiment, pas quand on discute du rendu des gris sous des éclairages raisonnables (c'est bien de ça qu'on discutait, n'est-ce-pas ?).
On admet généralement que le modèle LAB décrit plutôt bien la perception des couleurs ; en tout cas, toute la gestion de la couleur intégrée à nos chers logiciels repose dessus. En gros, les formules de base disent que (i) le couple oeil-cerveau découpe les flux d'énergie qu'il reçoit en trois paquets, rouge, vert et bleu ; (ii) qu'il connaît --ou croit connaître-- les trois paquets correspondants qu'il aurait pour un blanc placé dans la scène ; (iii) et qu'il fait les rapports. Ce sont ces rapports qui sont ensuite traduits en couleur et luminosité.
L'oeil ne perd ses repères que quand la scène n'est manifestement pas éclairée en «blanc» ; ces blancs exigent des rapports précis entre les trois canaux RVB (et sans doute que la température de couleur ne soit ni trop basse, ni trop haute). Mais tous les éclairages évoqués jusqu'ici dans ce fil sont recevables.
Le spectrophotomètre et son logiciel appliquent évidemment les formules LAB sans aucun état d'âme. Dans le cas du gris LP interprété par la HP8750, quand on passe d'une température de couleur de 5000K à 3200K, ils annoncent que ce «gris» va bouger de +2 sur l'axe vert-rouge (vers le rouge) et de -0,4 sur l'axe bleu-jaune (c.à.d. 0.4 vers les bleus). Ça correspond fort raisonnablement à la petite coloration magenta que mon oeil croit percevoir, ce qui confirme bien à la fois (i) que je n'ai pas la berlue (une idée qui m'est chère :-)) (ii)et que le modèle LAB a du bon.
J'ajouterai pour faire plaisir à Jean-Claude qu'aucune couleur ne saurait garder les mêmes composantes (et donc la même perception) quand on change la lumière, sauf le gris idéal, et ce dernier n'est évidemment pas du monde que nos imprimantes à jet d'encre peuvent restituer.
Charles
Jean-Claude Ghislain
Et les tungstène ?
Comme dit par JPR, il ne reste aujourd'hui que le tungstène 3200 K. Pour rester dans les températures de couleur, l'art graphique utilise l'illuminant D50, c'est-à-dire 5000 K, aussi bien pour les profils colorimétriques, que pour les éclairages de contrôle :
Comme dit par JPR, il ne reste aujourd'hui que le tungstène 3200 K. Pour
rester dans les températures de couleur, l'art graphique utilise
l'illuminant D50, c'est-à-dire 5000 K, aussi bien pour les profils
colorimétriques, que pour les éclairages de contrôle :
Comme dit par JPR, il ne reste aujourd'hui que le tungstène 3200 K. Pour rester dans les températures de couleur, l'art graphique utilise l'illuminant D50, c'est-à-dire 5000 K, aussi bien pour les profils colorimétriques, que pour les éclairages de contrôle :
Pour moi il est évident qu'avec certaines combinaisons encre/papier on "sort" de la zone de "correction automatique" du cerveau.
Oui, c'est exactement ce qui se passe.
Pas vraiment, pas quand on discute du rendu des gris sous des éclairages raisonnables (c'est bien de ça qu'on discutait, n'est-ce-pas ?).
On admet généralement que le modèle LAB décrit plutôt bien la perception des couleurs ; en tout cas, toute la gestion de la couleur intégrée à nos chers logiciels repose dessus. En gros, les formules de base disent que (i) le couple oeil-cerveau découpe les flux d'énergie qu'il reçoit en trois paquets, rouge, vert et bleu ; (ii) qu'il connaît --ou croit connaître-- les trois paquets correspondants qu'il aurait pour un blanc placé dans la scène ; (iii) et qu'il fait les rapports. Ce sont ces rapports qui sont ensuite traduits en couleur et luminosité.
L'oeil ne perd ses repères que quand la scène n'est manifestement pas éclairée en «blanc» ; ces blancs exigent des rapports précis entre les trois canaux RVB (et sans doute que la température de couleur ne soit ni trop basse, ni trop haute). Mais tous les éclairages évoqués jusqu'ici dans ce fil sont recevables.
Le spectrophotomètre et son logiciel appliquent évidemment les formules LAB sans aucun état d'âme.
le spectophotométre est une chose, la procédure et le sérieux d'une conclusion en est une autre. Tout en étant dubitatif sur les conclusions que tu donnes par rapport aux observations que tu fais sur le logiciel, je vois bien peu de renseignement sur la procédure (mire utilisée, réglage pilote,....) Je reste donc très très dubitatif, d'autant que je fais parti de ceux qui posséde la hp7960 depuis sa sortie, que je me suis "torturé" à chercher la "dérive" sous tout les éclairages disponibles dans la maison, et que je suis rentré bredouille, comme beaucoup qui utilise cette machine. nous avons donc tous la berlue ?
Jean-Claude Ghislain wrote:
Pour moi il est évident qu'avec certaines combinaisons encre/papier on
"sort" de la zone de "correction automatique" du cerveau.
Oui, c'est exactement ce qui se passe.
Pas vraiment, pas quand on discute du rendu des gris sous des éclairages
raisonnables (c'est bien de ça qu'on discutait, n'est-ce-pas ?).
On admet généralement que le modèle LAB décrit plutôt bien la perception
des couleurs ; en tout cas, toute la gestion de la couleur intégrée à
nos chers logiciels repose dessus. En gros, les formules de base disent que
(i) le couple oeil-cerveau découpe les flux d'énergie qu'il reçoit en
trois paquets, rouge, vert et bleu ;
(ii) qu'il connaît --ou croit connaître-- les trois paquets
correspondants qu'il aurait pour un blanc placé dans la scène ;
(iii) et qu'il fait les rapports. Ce sont ces rapports qui sont ensuite
traduits en couleur et luminosité.
L'oeil ne perd ses repères que quand la scène n'est manifestement pas
éclairée en «blanc» ; ces blancs exigent des rapports précis entre les
trois canaux RVB (et sans doute que la température de couleur ne soit ni
trop basse, ni trop haute). Mais tous les éclairages évoqués jusqu'ici
dans ce fil sont recevables.
Le spectrophotomètre et son logiciel appliquent évidemment les formules
LAB sans aucun état d'âme.
le spectophotométre est une chose, la procédure et le sérieux d'une
conclusion en est une autre.
Tout en étant dubitatif sur les conclusions que tu donnes par rapport
aux observations que tu fais sur le logiciel, je vois bien peu de
renseignement sur la procédure (mire utilisée, réglage pilote,....)
Je reste donc très très dubitatif, d'autant que je fais parti de ceux
qui posséde la hp7960 depuis sa sortie, que je me suis "torturé" à
chercher la "dérive" sous tout les éclairages disponibles dans la
maison, et que je suis rentré bredouille, comme beaucoup qui utilise
cette machine.
nous avons donc tous la berlue ?
Pour moi il est évident qu'avec certaines combinaisons encre/papier on "sort" de la zone de "correction automatique" du cerveau.
Oui, c'est exactement ce qui se passe.
Pas vraiment, pas quand on discute du rendu des gris sous des éclairages raisonnables (c'est bien de ça qu'on discutait, n'est-ce-pas ?).
On admet généralement que le modèle LAB décrit plutôt bien la perception des couleurs ; en tout cas, toute la gestion de la couleur intégrée à nos chers logiciels repose dessus. En gros, les formules de base disent que (i) le couple oeil-cerveau découpe les flux d'énergie qu'il reçoit en trois paquets, rouge, vert et bleu ; (ii) qu'il connaît --ou croit connaître-- les trois paquets correspondants qu'il aurait pour un blanc placé dans la scène ; (iii) et qu'il fait les rapports. Ce sont ces rapports qui sont ensuite traduits en couleur et luminosité.
L'oeil ne perd ses repères que quand la scène n'est manifestement pas éclairée en «blanc» ; ces blancs exigent des rapports précis entre les trois canaux RVB (et sans doute que la température de couleur ne soit ni trop basse, ni trop haute). Mais tous les éclairages évoqués jusqu'ici dans ce fil sont recevables.
Le spectrophotomètre et son logiciel appliquent évidemment les formules LAB sans aucun état d'âme.
le spectophotométre est une chose, la procédure et le sérieux d'une conclusion en est une autre. Tout en étant dubitatif sur les conclusions que tu donnes par rapport aux observations que tu fais sur le logiciel, je vois bien peu de renseignement sur la procédure (mire utilisée, réglage pilote,....) Je reste donc très très dubitatif, d'autant que je fais parti de ceux qui posséde la hp7960 depuis sa sortie, que je me suis "torturé" à chercher la "dérive" sous tout les éclairages disponibles dans la maison, et que je suis rentré bredouille, comme beaucoup qui utilise cette machine. nous avons donc tous la berlue ?
Charles VASSALLO
fred.bleu11 wrote:
le spectophotométre est une chose, la procédure et le sérieux d'une conclusion en est une autre. Tout en étant dubitatif sur les conclusions que tu donnes par rapport aux observations que tu fais sur le logiciel, je vois bien peu de renseignement sur la procédure (mire utilisée, réglage pilote,....) Je reste donc très très dubitatif, d'autant que je fais parti de ceux qui posséde la hp7960 depuis sa sortie, que je me suis "torturé" à chercher la "dérive" sous tout les éclairages disponibles dans la maison, et que je suis rentré bredouille, comme beaucoup qui utilise cette machine. nous avons donc tous la berlue ?
Ce n'est pas moi qui le dis, hein !
Quant à ma procédure, j'ai donné l'adresse d'une page explicative ; il n'y a pas grand chose à dire de plus. J'ai cru comprendre que tu avais un spectro Eye-One et ProfileMaker : il suffit de faire tousser le module MeasureTools. On peut faire ça à partir de n'importe quelle image, le pilote n'a rien à voir là-dedans, pourvu qu'on vraiment imprimé avec les gris.
Charles
fred.bleu11 wrote:
le spectophotométre est une chose, la procédure et le sérieux d'une
conclusion en est une autre.
Tout en étant dubitatif sur les conclusions que tu donnes par rapport
aux observations que tu fais sur le logiciel, je vois bien peu de
renseignement sur la procédure (mire utilisée, réglage pilote,....)
Je reste donc très très dubitatif, d'autant que je fais parti de ceux
qui posséde la hp7960 depuis sa sortie, que je me suis "torturé" à
chercher la "dérive" sous tout les éclairages disponibles dans la
maison, et que je suis rentré bredouille, comme beaucoup qui utilise
cette machine.
nous avons donc tous la berlue ?
Ce n'est pas moi qui le dis, hein !
Quant à ma procédure, j'ai donné l'adresse d'une page explicative ; il
n'y a pas grand chose à dire de plus. J'ai cru comprendre que tu avais
un spectro Eye-One et ProfileMaker : il suffit de faire tousser le
module MeasureTools. On peut faire ça à partir de n'importe quelle
image, le pilote n'a rien à voir là-dedans, pourvu qu'on vraiment
imprimé avec les gris.
le spectophotométre est une chose, la procédure et le sérieux d'une conclusion en est une autre. Tout en étant dubitatif sur les conclusions que tu donnes par rapport aux observations que tu fais sur le logiciel, je vois bien peu de renseignement sur la procédure (mire utilisée, réglage pilote,....) Je reste donc très très dubitatif, d'autant que je fais parti de ceux qui posséde la hp7960 depuis sa sortie, que je me suis "torturé" à chercher la "dérive" sous tout les éclairages disponibles dans la maison, et que je suis rentré bredouille, comme beaucoup qui utilise cette machine. nous avons donc tous la berlue ?
Ce n'est pas moi qui le dis, hein !
Quant à ma procédure, j'ai donné l'adresse d'une page explicative ; il n'y a pas grand chose à dire de plus. J'ai cru comprendre que tu avais un spectro Eye-One et ProfileMaker : il suffit de faire tousser le module MeasureTools. On peut faire ça à partir de n'importe quelle image, le pilote n'a rien à voir là-dedans, pourvu qu'on vraiment imprimé avec les gris.
Charles
fred.bleu11
nous avons donc tous la berlue ?
Ce n'est pas moi qui le dis, hein !
ben c'est qui, alors ?
Quant à ma procédure, j'ai donné l'adresse d'une page explicative ; il n'y a pas grand chose à dire de plus. J'ai cru comprendre que tu avais un spectro Eye-One et ProfileMaker : il suffit de faire tousser le module MeasureTools.
ben disons que ce n'est pas clair du tout pour moi.
On peut faire ça à partir de n'importe quelle
image, le pilote n'a rien à voir là-dedans, pourvu qu'on vraiment imprimé avec les gris.
ben si justement l'utilisation du pilote est primordiale. suivant les réglages, c'est tel lou tel cartouche qui est utilisée, ce qui change tout. et ne parlons pas du papier utilisé.
nous avons donc tous la berlue ?
Ce n'est pas moi qui le dis, hein !
ben c'est qui, alors ?
Quant à ma procédure, j'ai donné l'adresse d'une page explicative ; il
n'y a pas grand chose à dire de plus. J'ai cru comprendre que tu avais
un spectro Eye-One et ProfileMaker : il suffit de faire tousser le
module MeasureTools.
ben disons que ce n'est pas clair du tout pour moi.
On peut faire ça à partir de n'importe quelle
image, le pilote n'a rien à voir là-dedans, pourvu qu'on vraiment
imprimé avec les gris.
ben si justement l'utilisation du pilote est primordiale. suivant les
réglages, c'est tel lou tel cartouche qui est utilisée, ce qui change tout.
et ne parlons pas du papier utilisé.
Quant à ma procédure, j'ai donné l'adresse d'une page explicative ; il n'y a pas grand chose à dire de plus. J'ai cru comprendre que tu avais un spectro Eye-One et ProfileMaker : il suffit de faire tousser le module MeasureTools.
ben disons que ce n'est pas clair du tout pour moi.
On peut faire ça à partir de n'importe quelle
image, le pilote n'a rien à voir là-dedans, pourvu qu'on vraiment imprimé avec les gris.
ben si justement l'utilisation du pilote est primordiale. suivant les réglages, c'est tel lou tel cartouche qui est utilisée, ce qui change tout. et ne parlons pas du papier utilisé.
Charles VASSALLO
fred.bleu11 wrote:
ben si justement l'utilisation du pilote est primordiale. suivant les réglages, c'est telle ou tel cartouche qui est utilisée, ce qui change tout. et ne parlons pas du papier utilisé.
Pour l'encre, soit on utilise les gris, soit on utilise les encres CMJN. Dans le 2ème cas ça se voit au compte-fil ou quand on scanne à très haute résolution. Pour HP, j'ai examiné deux types d'échantillons : (i) ceux qu'on a imprimés sous mon nez avec une HP8750 en tant qu'image N&B, et qui, vus de très près, sont effectivement faits en gris. (ii) une impression estampillée HP7960 et distribuée par la pub officielle de HP. Que du gris aussi. Les deux ont le même type de spectre -- pas plat du tout.
Si tu crois qu'on m'a refilé n'importe quoi, envoie-moi tes propres échantillons. N'importe quel bout d'image N&B contenant des gris moyens (autour de LP ou 18%) fera l'affaire.
Charles
fred.bleu11 wrote:
ben si justement l'utilisation du pilote est primordiale. suivant les
réglages, c'est telle ou tel cartouche qui est utilisée, ce qui change tout.
et ne parlons pas du papier utilisé.
Pour l'encre, soit on utilise les gris, soit on utilise les encres CMJN.
Dans le 2ème cas ça se voit au compte-fil ou quand on scanne à très
haute résolution. Pour HP, j'ai examiné deux types d'échantillons :
(i) ceux qu'on a imprimés sous mon nez avec une HP8750 en tant qu'image
N&B, et qui, vus de très près, sont effectivement faits en gris.
(ii) une impression estampillée HP7960 et distribuée par la pub
officielle de HP. Que du gris aussi.
Les deux ont le même type de spectre -- pas plat du tout.
Si tu crois qu'on m'a refilé n'importe quoi, envoie-moi tes propres
échantillons. N'importe quel bout d'image N&B contenant des gris moyens
(autour de LP ou 18%) fera l'affaire.
ben si justement l'utilisation du pilote est primordiale. suivant les réglages, c'est telle ou tel cartouche qui est utilisée, ce qui change tout. et ne parlons pas du papier utilisé.
Pour l'encre, soit on utilise les gris, soit on utilise les encres CMJN. Dans le 2ème cas ça se voit au compte-fil ou quand on scanne à très haute résolution. Pour HP, j'ai examiné deux types d'échantillons : (i) ceux qu'on a imprimés sous mon nez avec une HP8750 en tant qu'image N&B, et qui, vus de très près, sont effectivement faits en gris. (ii) une impression estampillée HP7960 et distribuée par la pub officielle de HP. Que du gris aussi. Les deux ont le même type de spectre -- pas plat du tout.
Si tu crois qu'on m'a refilé n'importe quoi, envoie-moi tes propres échantillons. N'importe quel bout d'image N&B contenant des gris moyens (autour de LP ou 18%) fera l'affaire.