Satisfait du jugement du tribunal de première instance de l'Union européenne
http://canadianpress.google.com/article/ALeqM5jtONkhrzxy1_IPsxzZt4asfOof4w
J'espère que ce n'est qu'un début, et que l'on finira pas interdire à
Microsoft d'imposer ses O S sur tous les ordis......
Essayée d'acheter un P C portable dans une boutique sans Vista !!!
c'est la galère, il faut ce battre contre les vendeurs......
La liberté n'est-elle pas de choisir ???
On veut des P C nus, sans O S......
Il existe plus de 150 distri de Linux,
à chacun de choisir la sienne......
Ta façon à toi et à quelques autres de faires des guerres d'escarmouches, de pinailler sur des détails formels de l'argumentation pendant des dixaines de messages, d'essayer de compromettre l'interlocuteurs pour le disqualifier, de façon quasi policière, tout cela est immensément puérile fanatique et grostesque.
Ça n'a rien de puéril, et encore moins de fanatique. On appelle ça la rigueur.
La rigueur est une notion absolument inutile en dehors de quelques domaines scientifiques. Et encore dans les sciences dures uniquement au niveau de l'exposé scolaire, certainement pas de la recherche vivante.
C'est quelque chose d'indispensable pour tenir un discours qui prouve quoi que ce soit.
Ainsi que la notion de preuve au sens où tu l'entends. Dans la quasi totalité des domaines de la pensée, les choses ne sont pas formalisées de manière telle que la rigueur ou la preuve rigoureuse aient quelque prise que ce soit sur l'objet de l'étude. C'est parceque tu n'as pas intériorisé cette évidence que tu nous assènes sans arrêt des lapalissades qui ne "prouvent" rien de plus que l'inexistence de leurs prémisses, et n'ont aucun intérêt.
Mais on a pu constater que tu ne la fréquentes guère.
--
Michel TALON
Nicolas George <nicolas$george@salle-s.org> wrote:
SL , dans le message <slrnfgf5rt.crl.nospam@valla.limsi.fr>, a écrit :
Ta façon à toi et à quelques autres de faires des guerres
d'escarmouches, de pinailler sur des détails formels de l'argumentation
pendant des dixaines de messages, d'essayer de compromettre
l'interlocuteurs pour le disqualifier, de façon quasi policière, tout
cela est immensément puérile fanatique et grostesque.
Ça n'a rien de puéril, et encore moins de fanatique. On appelle ça la
rigueur.
La rigueur est une notion absolument inutile en dehors de quelques
domaines scientifiques. Et encore dans les sciences dures uniquement au
niveau de l'exposé scolaire, certainement pas de la recherche vivante.
C'est quelque chose d'indispensable pour tenir un discours qui
prouve quoi que ce soit.
Ainsi que la notion de preuve au sens où tu l'entends. Dans la quasi
totalité des domaines de la pensée, les choses ne sont pas formalisées
de manière telle que la rigueur ou la preuve rigoureuse aient quelque
prise que ce soit sur l'objet de l'étude. C'est parceque tu n'as pas
intériorisé cette évidence que tu nous assènes sans arrêt des
lapalissades qui ne "prouvent" rien de plus que l'inexistence de leurs
prémisses, et n'ont aucun intérêt.
Mais on a pu constater que tu ne la fréquentes
guère.
Ta façon à toi et à quelques autres de faires des guerres d'escarmouches, de pinailler sur des détails formels de l'argumentation pendant des dixaines de messages, d'essayer de compromettre l'interlocuteurs pour le disqualifier, de façon quasi policière, tout cela est immensément puérile fanatique et grostesque.
Ça n'a rien de puéril, et encore moins de fanatique. On appelle ça la rigueur.
La rigueur est une notion absolument inutile en dehors de quelques domaines scientifiques. Et encore dans les sciences dures uniquement au niveau de l'exposé scolaire, certainement pas de la recherche vivante.
C'est quelque chose d'indispensable pour tenir un discours qui prouve quoi que ce soit.
Ainsi que la notion de preuve au sens où tu l'entends. Dans la quasi totalité des domaines de la pensée, les choses ne sont pas formalisées de manière telle que la rigueur ou la preuve rigoureuse aient quelque prise que ce soit sur l'objet de l'étude. C'est parceque tu n'as pas intériorisé cette évidence que tu nous assènes sans arrêt des lapalissades qui ne "prouvent" rien de plus que l'inexistence de leurs prémisses, et n'ont aucun intérêt.
Mais on a pu constater que tu ne la fréquentes guère.
--
Michel TALON
Nicolas S.
(Michel Talon) a écrit:
La rigueur est une notion absolument inutile en dehors de quelques domaines scientifiques. Et encore dans les sciences dures uniquement au niveau de l'exposé scolaire, certainement pas de la recherche vivante.
Mouaarf!
-- Nicolas S.
talon@lpthe.jussieu.fr (Michel Talon) a écrit:
La rigueur est une notion absolument inutile en dehors de quelques
domaines scientifiques. Et encore dans les sciences dures uniquement
au niveau de l'exposé scolaire, certainement pas de la recherche
vivante.
La rigueur est une notion absolument inutile en dehors de quelques domaines scientifiques. Et encore dans les sciences dures uniquement au niveau de l'exposé scolaire, certainement pas de la recherche vivante.
Michel Talon, dans le message <fe8rvq$1d8h$, a écrit :
Ainsi que la notion de preuve au sens où tu l'entends. Dans la quasi totalité des domaines de la pensée, les choses ne sont pas formalisées de manière telle que la rigueur ou la preuve rigoureuse aient quelque prise que ce soit sur l'objet de l'étude.
Il n'y a pas besoin de formalisme pour faire preuve de rigueur. La rigueur, c'est le minimum de discipline intellectuelle qui fait qu'on ne met normalement pas en vente un médicament sans avoir vérifié qu'il n'avait pas d'effets secondaires, qu'on évite de condamner un innocent, etc.
La société se porterait bien mal si tes idées de relativisme intellectuel la gouvernait.
Michel Talon, dans le message <fe8rvq$1d8h$2@asmodee.lpthe.jussieu.fr>,
a écrit :
Ainsi que la notion de preuve au sens où tu l'entends. Dans la quasi
totalité des domaines de la pensée, les choses ne sont pas formalisées
de manière telle que la rigueur ou la preuve rigoureuse aient quelque
prise que ce soit sur l'objet de l'étude.
Il n'y a pas besoin de formalisme pour faire preuve de rigueur. La rigueur,
c'est le minimum de discipline intellectuelle qui fait qu'on ne met
normalement pas en vente un médicament sans avoir vérifié qu'il n'avait pas
d'effets secondaires, qu'on évite de condamner un innocent, etc.
La société se porterait bien mal si tes idées de relativisme intellectuel la
gouvernait.
Michel Talon, dans le message <fe8rvq$1d8h$, a écrit :
Ainsi que la notion de preuve au sens où tu l'entends. Dans la quasi totalité des domaines de la pensée, les choses ne sont pas formalisées de manière telle que la rigueur ou la preuve rigoureuse aient quelque prise que ce soit sur l'objet de l'étude.
Il n'y a pas besoin de formalisme pour faire preuve de rigueur. La rigueur, c'est le minimum de discipline intellectuelle qui fait qu'on ne met normalement pas en vente un médicament sans avoir vérifié qu'il n'avait pas d'effets secondaires, qu'on évite de condamner un innocent, etc.
La société se porterait bien mal si tes idées de relativisme intellectuel la gouvernait.
SL
Le 06-10-2007, Michel Talon a écrit :
SL wrote:
Il se trouve que la dernière version en binaire pour R est toujours disponible. Plus sérieusement, le point que je voulais souligner est qu'une toute petite surface du monde Unix est rendu proprette pour une utilisation simple. Mais dès qu'on sort de ce qui a été nettoyé, on retombe dans du compliqué. Ches Windows, tout est fait pour une utilisation simple, il n'y a pas ces deux niveaux. Alors quand bien même il y aurait moins de chose chez Windows, si ça avait un sens de dire ça, au moins la totalité de ce moins est accessible, ce qui fait plus qu'une infimité de ce plus :-) Tu vois ce que je veux dire ?
Je ne vois pas ce qui peut te faire dire ça. Dès qu'on attaque un logiciel un peu sophistiqué sous Windows, par exemple Autocad, c'est aussi immédiatement archi compliqué que des logiciels similaires sous Unix. Tu as un petit exemple avec qcad sous Linux, fais un petit essai et tu verras l'ergonomie de la bête. Autocad c'est exactement le même style avec 1000 fois plus de fonctions. Au secours!
Je ne comparais pas la simplicité du logiciel, qui dépend de ses utilisateurs, de sa fonction, etc., mais la simplicité du processus d'installation. Ce qui est simplifié et accessible à l'utilisateur normal dans une distribution grand public est un petit sous-ensemble des logiciels, des versions des logiciels, etc. Si on sort du cas de figure simple ou on n'a besoin que de ce qui est packagé par la méthode de packetage de la distribution et dans la version prévu par la distribution, on retombe dans de l'imbitable. Au contraire de Windows, ou installer n'importe quelle version de R dont un installeur traine quelque part est aussi facile : il n'y a pas cette différence.
Maintenant, si tu compares des logiciels pour mous du cerveau, genre Word c'est exactement aussi facile d'utiliser OpenOffice sous Linux. Je trouve qu'on exagère énormément la différence entre Windows et Linux pour une fonction similaire. En fait il n'y en a pratiquement pas.
Je suis d'accord qu'OpenOffice offre des fonctions pratiquement équivalentes, ce n'est pas là dessus que je le critique, mais sur le fait qu'il néglige un ensemble de choses jugées négligeables et triviales : par exemple, le fait de changer des détails d'apparence du document, ce qui est immédiatement désagréable pour quelqu'un qui jugera sur ces détails la similarité.
Le 06-10-2007, Michel Talon <talon@lpthe.jussieu.fr> a écrit :
SL <nospam@nospam.fr> wrote:
Il se trouve que la dernière version en binaire pour R est toujours
disponible. Plus sérieusement, le point que je voulais souligner est
qu'une toute petite surface du monde Unix est rendu proprette pour
une utilisation simple. Mais dès qu'on sort de ce qui a été nettoyé,
on retombe dans du compliqué. Ches Windows, tout est fait pour une
utilisation simple, il n'y a pas ces deux niveaux. Alors quand bien
même il y aurait moins de chose chez Windows, si ça avait un sens de
dire ça, au moins la totalité de ce moins est accessible, ce qui fait
plus qu'une infimité de ce plus :-) Tu vois ce que je veux dire ?
Je ne vois pas ce qui peut te faire dire ça. Dès qu'on attaque un
logiciel un peu sophistiqué sous Windows, par exemple Autocad, c'est
aussi immédiatement archi compliqué que des logiciels similaires sous
Unix. Tu as un petit exemple avec qcad sous Linux, fais un petit essai
et tu verras l'ergonomie de la bête. Autocad c'est exactement le même
style avec 1000 fois plus de fonctions. Au secours!
Je ne comparais pas la simplicité du logiciel, qui dépend de ses
utilisateurs, de sa fonction, etc., mais la simplicité du processus
d'installation. Ce qui est simplifié et accessible à l'utilisateur
normal dans une distribution grand public est un petit sous-ensemble des
logiciels, des versions des logiciels, etc. Si on sort du cas de figure
simple ou on n'a besoin que de ce qui est packagé par la méthode de
packetage de la distribution et dans la version prévu par la
distribution, on retombe dans de l'imbitable. Au contraire de Windows,
ou installer n'importe quelle version de R dont un installeur traine
quelque part est aussi facile : il n'y a pas cette différence.
Maintenant, si tu compares des logiciels pour mous du cerveau, genre
Word c'est exactement aussi facile d'utiliser OpenOffice sous Linux.
Je trouve qu'on exagère énormément la différence entre Windows et Linux
pour une fonction similaire. En fait il n'y en a pratiquement pas.
Je suis d'accord qu'OpenOffice offre des fonctions pratiquement
équivalentes, ce n'est pas là dessus que je le critique, mais sur le
fait qu'il néglige un ensemble de choses jugées négligeables et
triviales : par exemple, le fait de changer des détails d'apparence du
document, ce qui est immédiatement désagréable pour quelqu'un qui jugera
sur ces détails la similarité.
Il se trouve que la dernière version en binaire pour R est toujours disponible. Plus sérieusement, le point que je voulais souligner est qu'une toute petite surface du monde Unix est rendu proprette pour une utilisation simple. Mais dès qu'on sort de ce qui a été nettoyé, on retombe dans du compliqué. Ches Windows, tout est fait pour une utilisation simple, il n'y a pas ces deux niveaux. Alors quand bien même il y aurait moins de chose chez Windows, si ça avait un sens de dire ça, au moins la totalité de ce moins est accessible, ce qui fait plus qu'une infimité de ce plus :-) Tu vois ce que je veux dire ?
Je ne vois pas ce qui peut te faire dire ça. Dès qu'on attaque un logiciel un peu sophistiqué sous Windows, par exemple Autocad, c'est aussi immédiatement archi compliqué que des logiciels similaires sous Unix. Tu as un petit exemple avec qcad sous Linux, fais un petit essai et tu verras l'ergonomie de la bête. Autocad c'est exactement le même style avec 1000 fois plus de fonctions. Au secours!
Je ne comparais pas la simplicité du logiciel, qui dépend de ses utilisateurs, de sa fonction, etc., mais la simplicité du processus d'installation. Ce qui est simplifié et accessible à l'utilisateur normal dans une distribution grand public est un petit sous-ensemble des logiciels, des versions des logiciels, etc. Si on sort du cas de figure simple ou on n'a besoin que de ce qui est packagé par la méthode de packetage de la distribution et dans la version prévu par la distribution, on retombe dans de l'imbitable. Au contraire de Windows, ou installer n'importe quelle version de R dont un installeur traine quelque part est aussi facile : il n'y a pas cette différence.
Maintenant, si tu compares des logiciels pour mous du cerveau, genre Word c'est exactement aussi facile d'utiliser OpenOffice sous Linux. Je trouve qu'on exagère énormément la différence entre Windows et Linux pour une fonction similaire. En fait il n'y en a pratiquement pas.
Je suis d'accord qu'OpenOffice offre des fonctions pratiquement équivalentes, ce n'est pas là dessus que je le critique, mais sur le fait qu'il néglige un ensemble de choses jugées négligeables et triviales : par exemple, le fait de changer des détails d'apparence du document, ce qui est immédiatement désagréable pour quelqu'un qui jugera sur ces détails la similarité.
SL
Le 06-10-2007, Michel Talon a écrit :
Nicolas George <nicolas$ wrote:
SL , dans le message , a écrit :
Ta façon à toi et à quelques autres de faires des guerres d'escarmouches, de pinailler sur des détails formels de l'argumentation pendant des dixaines de messages, d'essayer de compromettre l'interlocuteurs pour le disqualifier, de façon quasi policière, tout cela est immensément puérile fanatique et grostesque.
Ça n'a rien de puéril, et encore moins de fanatique. On appelle ça la rigueur.
La rigueur est une notion absolument inutile en dehors de quelques domaines scientifiques. Et encore dans les sciences dures uniquement au niveau de l'exposé scolaire, certainement pas de la recherche vivante.
C'est quelque chose d'indispensable pour tenir un discours qui prouve quoi que ce soit.
Ainsi que la notion de preuve au sens où tu l'entends. Dans la quasi totalité des domaines de la pensée, les choses ne sont pas formalisées de manière telle que la rigueur ou la preuve rigoureuse aient quelque prise que ce soit sur l'objet de l'étude. C'est parceque tu n'as pas intériorisé cette évidence que tu nous assènes sans arrêt des lapalissades qui ne "prouvent" rien de plus que l'inexistence de leurs prémisses, et n'ont aucun intérêt.
Tout ceci est rigoureusement exact.
Le 06-10-2007, Michel Talon <talon@lpthe.jussieu.fr> a écrit :
Nicolas George <nicolas$george@salle-s.org> wrote:
SL , dans le message <slrnfgf5rt.crl.nospam@valla.limsi.fr>, a
écrit :
Ta façon à toi et à quelques autres de faires des guerres
d'escarmouches, de pinailler sur des détails formels de
l'argumentation pendant des dixaines de messages, d'essayer de
compromettre l'interlocuteurs pour le disqualifier, de façon quasi
policière, tout cela est immensément puérile fanatique et
grostesque.
Ça n'a rien de puéril, et encore moins de fanatique. On appelle ça la
rigueur.
La rigueur est une notion absolument inutile en dehors de quelques
domaines scientifiques. Et encore dans les sciences dures uniquement
au niveau de l'exposé scolaire, certainement pas de la recherche
vivante.
C'est quelque chose d'indispensable pour tenir un discours qui prouve
quoi que ce soit.
Ainsi que la notion de preuve au sens où tu l'entends. Dans la quasi
totalité des domaines de la pensée, les choses ne sont pas formalisées
de manière telle que la rigueur ou la preuve rigoureuse aient quelque
prise que ce soit sur l'objet de l'étude. C'est parceque tu n'as pas
intériorisé cette évidence que tu nous assènes sans arrêt des
lapalissades qui ne "prouvent" rien de plus que l'inexistence de leurs
prémisses, et n'ont aucun intérêt.
Ta façon à toi et à quelques autres de faires des guerres d'escarmouches, de pinailler sur des détails formels de l'argumentation pendant des dixaines de messages, d'essayer de compromettre l'interlocuteurs pour le disqualifier, de façon quasi policière, tout cela est immensément puérile fanatique et grostesque.
Ça n'a rien de puéril, et encore moins de fanatique. On appelle ça la rigueur.
La rigueur est une notion absolument inutile en dehors de quelques domaines scientifiques. Et encore dans les sciences dures uniquement au niveau de l'exposé scolaire, certainement pas de la recherche vivante.
C'est quelque chose d'indispensable pour tenir un discours qui prouve quoi que ce soit.
Ainsi que la notion de preuve au sens où tu l'entends. Dans la quasi totalité des domaines de la pensée, les choses ne sont pas formalisées de manière telle que la rigueur ou la preuve rigoureuse aient quelque prise que ce soit sur l'objet de l'étude. C'est parceque tu n'as pas intériorisé cette évidence que tu nous assènes sans arrêt des lapalissades qui ne "prouvent" rien de plus que l'inexistence de leurs prémisses, et n'ont aucun intérêt.
Tout ceci est rigoureusement exact.
SL
Le 06-10-2007, Nicolas George <nicolas$ a écrit :
SL , dans le message , a écrit :
Mais tu n'es absolument pas juge de cela.
Qui es-tu pour prétendre ça ?
Mais c'est toi qui te prétend juge de quelque chose, pas moi !
Le 06-10-2007, Nicolas George <nicolas$george@salle-s.org> a écrit :
SL , dans le message <slrnfgf9to.d39.nospam@valla.limsi.fr>, a écrit :
Mais tu n'es absolument pas juge de cela.
Qui es-tu pour prétendre ça ?
Mais c'est toi qui te prétend juge de quelque chose, pas moi !
Mais c'est toi qui te prétend juge de quelque chose, pas moi !
Nicolas George
SL , dans le message , a écrit :
Mais c'est toi qui te prétend juge de quelque chose, pas moi !
Et tu prétends juger que je ne le peux pas. La situation est symétrique. À ceci près que tu as largement prouvé que tu étais incapable de suivre un thread, et de ne pas partir dans des tirades hors de propos.
SL , dans le message <slrnfgg99e.dr0.nospam@valla.limsi.fr>, a écrit :
Mais c'est toi qui te prétend juge de quelque chose, pas moi !
Et tu prétends juger que je ne le peux pas. La situation est symétrique. À
ceci près que tu as largement prouvé que tu étais incapable de suivre un
thread, et de ne pas partir dans des tirades hors de propos.
Mais c'est toi qui te prétend juge de quelque chose, pas moi !
Et tu prétends juger que je ne le peux pas. La situation est symétrique. À ceci près que tu as largement prouvé que tu étais incapable de suivre un thread, et de ne pas partir dans des tirades hors de propos.
SL
Le 07-10-2007, Nicolas George <nicolas$ a écrit :
SL , dans le message , a écrit :
Mais c'est toi qui te prétend juge de quelque chose, pas moi !
Et tu prétends juger que je ne le peux pas. La situation est symétrique.
Ce n'est donc absolument pas symétrique ! C'est bien toi qui invoque les qualités, positivement ou négativement, des uns et des autres, et qui prétend juger des gens et pas des arguments. Je te dis seulement que tu n'as aucun titre à le faire et que ce sont des poses ridicules. Et je te reconnais capable de tout sur ce terrain, que je t'abandonne d'ailleurs, tout ceci est ridicule.
Le 07-10-2007, Nicolas George <nicolas$george@salle-s.org> a écrit :
SL , dans le message <slrnfgg99e.dr0.nospam@valla.limsi.fr>, a écrit :
Mais c'est toi qui te prétend juge de quelque chose, pas moi !
Et tu prétends juger que je ne le peux pas. La situation est
symétrique.
Ce n'est donc absolument pas symétrique ! C'est bien toi qui invoque
les qualités, positivement ou négativement, des uns et des autres, et
qui prétend juger des gens et pas des arguments. Je te dis seulement que
tu n'as aucun titre à le faire et que ce sont des poses ridicules. Et je
te reconnais capable de tout sur ce terrain, que je t'abandonne
d'ailleurs, tout ceci est ridicule.
Mais c'est toi qui te prétend juge de quelque chose, pas moi !
Et tu prétends juger que je ne le peux pas. La situation est symétrique.
Ce n'est donc absolument pas symétrique ! C'est bien toi qui invoque les qualités, positivement ou négativement, des uns et des autres, et qui prétend juger des gens et pas des arguments. Je te dis seulement que tu n'as aucun titre à le faire et que ce sont des poses ridicules. Et je te reconnais capable de tout sur ce terrain, que je t'abandonne d'ailleurs, tout ceci est ridicule.