Satisfait du jugement du tribunal de première instance de l'Union européenne
http://canadianpress.google.com/article/ALeqM5jtONkhrzxy1_IPsxzZt4asfOof4w
J'espère que ce n'est qu'un début, et que l'on finira pas interdire à
Microsoft d'imposer ses O S sur tous les ordis......
Essayée d'acheter un P C portable dans une boutique sans Vista !!!
c'est la galère, il faut ce battre contre les vendeurs......
La liberté n'est-elle pas de choisir ???
On veut des P C nus, sans O S......
Il existe plus de 150 distri de Linux,
à chacun de choisir la sienne......
On 20 Sep 2007 10:40:13 +0200, Michel Billaud wrote:
Alors que ça soit windows ou multidesk sur le disque du client, quelle importance ?
C'est l'évidence même, alors peux-bien m'expliquer pourquoi tu prétendais 10 posts avant que les SAVs refusaient de prendre en charge des machines qui n'étaient pas sous Windows ??? -- Nina
On 20 Sep 2007 10:40:13 +0200, Michel Billaud
<billaud@serveur5.labri.fr> wrote:
Alors que ça soit windows ou multidesk sur le disque du client, quelle importance ?
C'est l'évidence même, alors peux-bien m'expliquer pourquoi tu
prétendais 10 posts avant que les SAVs refusaient de prendre en charge
des machines qui n'étaient pas sous Windows ???
--
Nina
On 20 Sep 2007 10:40:13 +0200, Michel Billaud wrote:
Alors que ça soit windows ou multidesk sur le disque du client, quelle importance ?
C'est l'évidence même, alors peux-bien m'expliquer pourquoi tu prétendais 10 posts avant que les SAVs refusaient de prendre en charge des machines qui n'étaient pas sous Windows ??? -- Nina
nicolas vigier
On 2007-09-20, Valafar wrote:
Les constructeurs, comme les distributeurs, subissent les contraintes imposées par microsoft.
Donc pour toi, Dell, HP et consort sont obligés de vendre leurs PCs avec un Windows préinstallé sans quoi ils s'exposeraient à des représailles de la part de Microsoft ?
Mais alors , pourquoi Dell vient-il de (re)démarrer un programme permettant de choisir entre Windows et Linux (ubuntu en l'occurence) ?
Par ce qu'ils pensent pouvoir en vendre une quantité suffisement importante pour compenser les possibles représailles de la part de Microsoft ?
A voir la raison majeure qui a poussée Dell à proposer ubuntu -une demande du public-, il semble évident qu'aucun constructeur ne subit de coercition de la part de Microsoft, que les constructeurs ne font que suivrent la demande, et, que cette demande se concentre sur le système Windows tout simplement parce que celui-ci s'est imposé comme standard au fil de ces 20 dernières années faute d'une réelle concurrence.
Mais bien sur, et tout le monde utilise Windows par ce que c'est un OS de grande qualité, il n'y a aucune autre explication.
On 2007-09-20, Valafar <nospam@nospam.com> wrote:
Les constructeurs, comme les distributeurs, subissent les
contraintes imposées par microsoft.
Donc pour toi, Dell, HP et consort sont obligés de vendre leurs
PCs avec un Windows préinstallé sans quoi ils s'exposeraient à
des représailles de la part de Microsoft ?
Mais alors , pourquoi Dell vient-il de (re)démarrer un programme
permettant de choisir entre Windows et Linux (ubuntu en l'occurence) ?
Par ce qu'ils pensent pouvoir en vendre une quantité suffisement
importante pour compenser les possibles représailles de la part de
Microsoft ?
A voir la raison majeure qui a poussée Dell à proposer ubuntu -une
demande du public-, il semble évident qu'aucun constructeur ne
subit de coercition de la part de Microsoft, que les constructeurs
ne font que suivrent la demande, et, que cette demande se concentre
sur le système Windows tout simplement parce que celui-ci s'est imposé
comme standard au fil de ces 20 dernières années faute d'une réelle
concurrence.
Mais bien sur, et tout le monde utilise Windows par ce que c'est un OS
de grande qualité, il n'y a aucune autre explication.
Les constructeurs, comme les distributeurs, subissent les contraintes imposées par microsoft.
Donc pour toi, Dell, HP et consort sont obligés de vendre leurs PCs avec un Windows préinstallé sans quoi ils s'exposeraient à des représailles de la part de Microsoft ?
Mais alors , pourquoi Dell vient-il de (re)démarrer un programme permettant de choisir entre Windows et Linux (ubuntu en l'occurence) ?
Par ce qu'ils pensent pouvoir en vendre une quantité suffisement importante pour compenser les possibles représailles de la part de Microsoft ?
A voir la raison majeure qui a poussée Dell à proposer ubuntu -une demande du public-, il semble évident qu'aucun constructeur ne subit de coercition de la part de Microsoft, que les constructeurs ne font que suivrent la demande, et, que cette demande se concentre sur le système Windows tout simplement parce que celui-ci s'est imposé comme standard au fil de ces 20 dernières années faute d'une réelle concurrence.
Mais bien sur, et tout le monde utilise Windows par ce que c'est un OS de grande qualité, il n'y a aucune autre explication.
nicolas vigier
On 2007-09-20, SL wrote:
Le 19-09-2007, Ed a écrit :
On Wednesday 19 September 2007 22:01, SL wrote:
C'est un point intéressant qui rentre exactement dans ce que je disais : jusqu'où est-ce la faute du matériel, et à partir de quand commence le "trop" ? Il faut un point de repère pour cela, une standardisation et une /norme/ du bon fonctionnement du matériel, et cette norme est nécessairement un système de référence, c'est-à-dire Windows.
Tu es sûr de ça? Que la norme du bon fonctionnement d'un disque dur est fixée par un système d'exploitation? Parce que, pour le coup, c'est parfaitement ridicule.
Ce n'est pas le problème, même s'ils ne regarde pas le soft, et ne le démarre pas, il set idiot d'espérer qu'un SAV ne risque pas de créer des emmerdes supplémentaires devant un système exotiques.
Heu, de quelles emmerdes supplémentaires tu parles exactement ?
On 2007-09-20, SL <nospam@nospam.fr> wrote:
Le 19-09-2007, Ed <ed@invalid.org> a écrit :
On Wednesday 19 September 2007 22:01, SL wrote:
C'est un point intéressant qui rentre exactement dans ce que je
disais : jusqu'où est-ce la faute du matériel, et à partir de quand
commence le "trop" ? Il faut un point de repère pour cela, une
standardisation et une /norme/ du bon fonctionnement du matériel, et
cette norme est nécessairement un système de référence, c'est-à-dire
Windows.
Tu es sûr de ça?
Que la norme du bon fonctionnement d'un disque dur est fixée par un système
d'exploitation?
Parce que, pour le coup, c'est parfaitement ridicule.
Ce n'est pas le problème, même s'ils ne regarde pas le soft, et ne le
démarre pas, il set idiot d'espérer qu'un SAV ne risque pas de créer des
emmerdes supplémentaires devant un système exotiques.
Heu, de quelles emmerdes supplémentaires tu parles exactement ?
C'est un point intéressant qui rentre exactement dans ce que je disais : jusqu'où est-ce la faute du matériel, et à partir de quand commence le "trop" ? Il faut un point de repère pour cela, une standardisation et une /norme/ du bon fonctionnement du matériel, et cette norme est nécessairement un système de référence, c'est-à-dire Windows.
Tu es sûr de ça? Que la norme du bon fonctionnement d'un disque dur est fixée par un système d'exploitation? Parce que, pour le coup, c'est parfaitement ridicule.
Ce n'est pas le problème, même s'ils ne regarde pas le soft, et ne le démarre pas, il set idiot d'espérer qu'un SAV ne risque pas de créer des emmerdes supplémentaires devant un système exotiques.
Heu, de quelles emmerdes supplémentaires tu parles exactement ?
Nicolas George
Michel Billaud , dans le message , a écrit :
On peut très bien utiliser FAT32, en ajoutant l'option de montage "noatime" qui évite d'aller écrire des trucs dans la FAT chaque fois qu'on consulte un fichier (ce qui précipite l'usure de la clé, qui ne supporte qu'un nombre relativement limité d'écritures).
Dans la mesure où FAT n'a ni atime ni ctime, mettre explicitement noatime, c'est un peu comme pisser dans un violon.
Michel Billaud , dans le message <7zabrh4t9e.fsf@serveur5.labri.fr>, a
écrit :
On peut très bien utiliser FAT32, en ajoutant l'option de montage
"noatime" qui évite d'aller écrire des trucs dans la FAT chaque fois
qu'on consulte un fichier (ce qui précipite l'usure de la clé, qui ne
supporte qu'un nombre relativement limité d'écritures).
Dans la mesure où FAT n'a ni atime ni ctime, mettre explicitement noatime,
c'est un peu comme pisser dans un violon.
On peut très bien utiliser FAT32, en ajoutant l'option de montage "noatime" qui évite d'aller écrire des trucs dans la FAT chaque fois qu'on consulte un fichier (ce qui précipite l'usure de la clé, qui ne supporte qu'un nombre relativement limité d'écritures).
Dans la mesure où FAT n'a ni atime ni ctime, mettre explicitement noatime, c'est un peu comme pisser dans un violon.
Nicolas George
Nina Popravka , dans le message , a écrit :
C'est l'évidence même, alors peux-bien m'expliquer pourquoi tu prétendais 10 posts avant que les SAVs refusaient de prendre en charge des machines qui n'étaient pas sous Windows ???
Ils le font, souvent. Tout simplement parce qu'un SAV saute sur tous les prétextes pour ne pas honorer ses obligations.
Nina Popravka , dans le message
<svf4f3dir2onmjhj220ad4e57j1n1au3qh@4ax.com>, a écrit :
C'est l'évidence même, alors peux-bien m'expliquer pourquoi tu
prétendais 10 posts avant que les SAVs refusaient de prendre en charge
des machines qui n'étaient pas sous Windows ???
Ils le font, souvent. Tout simplement parce qu'un SAV saute sur tous les
prétextes pour ne pas honorer ses obligations.
C'est l'évidence même, alors peux-bien m'expliquer pourquoi tu prétendais 10 posts avant que les SAVs refusaient de prendre en charge des machines qui n'étaient pas sous Windows ???
Ils le font, souvent. Tout simplement parce qu'un SAV saute sur tous les prétextes pour ne pas honorer ses obligations.
SL
Le 20-09-2007, Michel Billaud a écrit :
SL writes:
Tu trouves vraiment étonnant qu'un SAV refuse d'avoir à gérer les ordinateurs sous OS libre ? Tu crois pas que si tu veux utiliser des trucs aussi peu standard, il faut te débrouiller tout seul ?
Il me semble que la seule procédure acceptable pour un SAV, pour s'occuper d'un problème non-logiciel (évidemment, on ne lui demande pas de réparer Linux) sur le poste de travail d'un client, est de commencer par deconnecter le disque du client pour booter sur un disque (ou CD) "maison" pour la durée des tests.
Tout le monde est d'accord.
Maintenant, j'irai pas dire que ça va jusqu'à m'étonner si la plupart des SAV travaillent come des gorets,
Tu peux appeler ça comme tu veux.
même si les trois raisons sont toutes dans l'intérêt même dudit SAV. Gain de temps, travail méthodique, satisfaction du client. On reconnait le goret à ce qu'il n'est même pas conscient d'où est son intérêt.
Je suis d'accord, aux jugements de valeur près...
Le 20-09-2007, Michel Billaud <billaud@serveur5.labri.fr> a écrit :
SL <nospam@nospam.fr> writes:
Tu trouves vraiment étonnant qu'un SAV refuse d'avoir à gérer les
ordinateurs sous OS libre ? Tu crois pas que si tu veux utiliser des
trucs aussi peu standard, il faut te débrouiller tout seul ?
Il me semble que la seule procédure acceptable pour un SAV, pour
s'occuper d'un problème non-logiciel (évidemment, on ne lui demande
pas de réparer Linux) sur le poste de travail d'un client, est de
commencer par deconnecter le disque du client pour booter sur un
disque (ou CD) "maison" pour la durée des tests.
Tout le monde est d'accord.
Maintenant, j'irai pas dire que ça va jusqu'à m'étonner si la plupart
des SAV travaillent come des gorets,
Tu peux appeler ça comme tu veux.
même si les trois raisons sont toutes dans l'intérêt même dudit SAV.
Gain de temps, travail méthodique, satisfaction du client. On
reconnait le goret à ce qu'il n'est même pas conscient d'où est son
intérêt.
Tu trouves vraiment étonnant qu'un SAV refuse d'avoir à gérer les ordinateurs sous OS libre ? Tu crois pas que si tu veux utiliser des trucs aussi peu standard, il faut te débrouiller tout seul ?
Il me semble que la seule procédure acceptable pour un SAV, pour s'occuper d'un problème non-logiciel (évidemment, on ne lui demande pas de réparer Linux) sur le poste de travail d'un client, est de commencer par deconnecter le disque du client pour booter sur un disque (ou CD) "maison" pour la durée des tests.
Tout le monde est d'accord.
Maintenant, j'irai pas dire que ça va jusqu'à m'étonner si la plupart des SAV travaillent come des gorets,
Tu peux appeler ça comme tu veux.
même si les trois raisons sont toutes dans l'intérêt même dudit SAV. Gain de temps, travail méthodique, satisfaction du client. On reconnait le goret à ce qu'il n'est même pas conscient d'où est son intérêt.
Je suis d'accord, aux jugements de valeur près...
SL
Le 20-09-2007, Michel Billaud a écrit :
SL writes:
C'est un point intéressant qui rentre exactement dans ce que je disais : jusqu'où est-ce la faute du matériel, et à partir de quand commence le "trop" ? Il faut un point de repère pour cela, une standardisation et une /norme/ du bon fonctionnement du matériel, et cette norme est nécessairement un système de référence, c'est-à-dire Windows.
Certes. Et tu considères comme point de référence le Windows vérolé qui est sur le poste client ? Sérieusement ?
Il y a de bonnes chances pour que les membres d'un service de dépannage pris au hasard le considère comme le point de référence, oui.
Le 20-09-2007, Michel Billaud <billaud@serveur5.labri.fr> a écrit :
SL <nospam@nospam.fr> writes:
C'est un point intéressant qui rentre exactement dans ce que je
disais : jusqu'où est-ce la faute du matériel, et à partir de quand
commence le "trop" ? Il faut un point de repère pour cela, une
standardisation et une /norme/ du bon fonctionnement du matériel, et
cette norme est nécessairement un système de référence, c'est-à-dire
Windows.
Certes. Et tu considères comme point de référence le Windows vérolé
qui est sur le poste client ? Sérieusement ?
Il y a de bonnes chances pour que les membres d'un service de dépannage
pris au hasard le considère comme le point de référence, oui.
C'est un point intéressant qui rentre exactement dans ce que je disais : jusqu'où est-ce la faute du matériel, et à partir de quand commence le "trop" ? Il faut un point de repère pour cela, une standardisation et une /norme/ du bon fonctionnement du matériel, et cette norme est nécessairement un système de référence, c'est-à-dire Windows.
Certes. Et tu considères comme point de référence le Windows vérolé qui est sur le poste client ? Sérieusement ?
Il y a de bonnes chances pour que les membres d'un service de dépannage pris au hasard le considère comme le point de référence, oui.
SL
Le 20-09-2007, nicolas vigier a écrit :
On 2007-09-20, SL wrote:
Le 19-09-2007, Ed a écrit :
On Wednesday 19 September 2007 22:01, SL wrote:
C'est un point intéressant qui rentre exactement dans ce que je disais : jusqu'où est-ce la faute du matériel, et à partir de quand commence le "trop" ? Il faut un point de repère pour cela, une standardisation et une /norme/ du bon fonctionnement du matériel, et cette norme est nécessairement un système de référence, c'est-à-dire Windows.
Tu es sûr de ça? Que la norme du bon fonctionnement d'un disque dur est fixée par un système d'exploitation? Parce que, pour le coup, c'est parfaitement ridicule.
Ce n'est pas le problème, même s'ils ne regarde pas le soft, et ne le démarre pas, il set idiot d'espérer qu'un SAV ne risque pas de créer des emmerdes supplémentaires devant un système exotiques.
Heu, de quelles emmerdes supplémentaires tu parles exactement ?
Par exemples refuser de réparer ta machine, au hasard ?
Le 20-09-2007, nicolas vigier <boklm@mars-attacks.org> a écrit :
On 2007-09-20, SL <nospam@nospam.fr> wrote:
Le 19-09-2007, Ed <ed@invalid.org> a écrit :
On Wednesday 19 September 2007 22:01, SL wrote:
C'est un point intéressant qui rentre exactement dans ce que je
disais : jusqu'où est-ce la faute du matériel, et à partir de quand
commence le "trop" ? Il faut un point de repère pour cela, une
standardisation et une /norme/ du bon fonctionnement du matériel, et
cette norme est nécessairement un système de référence, c'est-à-dire
Windows.
Tu es sûr de ça?
Que la norme du bon fonctionnement d'un disque dur est fixée par un système
d'exploitation?
Parce que, pour le coup, c'est parfaitement ridicule.
Ce n'est pas le problème, même s'ils ne regarde pas le soft, et ne le
démarre pas, il set idiot d'espérer qu'un SAV ne risque pas de créer des
emmerdes supplémentaires devant un système exotiques.
Heu, de quelles emmerdes supplémentaires tu parles exactement ?
Par exemples refuser de réparer ta machine, au hasard ?
C'est un point intéressant qui rentre exactement dans ce que je disais : jusqu'où est-ce la faute du matériel, et à partir de quand commence le "trop" ? Il faut un point de repère pour cela, une standardisation et une /norme/ du bon fonctionnement du matériel, et cette norme est nécessairement un système de référence, c'est-à-dire Windows.
Tu es sûr de ça? Que la norme du bon fonctionnement d'un disque dur est fixée par un système d'exploitation? Parce que, pour le coup, c'est parfaitement ridicule.
Ce n'est pas le problème, même s'ils ne regarde pas le soft, et ne le démarre pas, il set idiot d'espérer qu'un SAV ne risque pas de créer des emmerdes supplémentaires devant un système exotiques.
Heu, de quelles emmerdes supplémentaires tu parles exactement ?
Par exemples refuser de réparer ta machine, au hasard ?
Jerome Lambert
Jerome Lambert , dans le message
Mais bien sûr. Les offres concurentielles ont *toujours* existé, et *toutes* se sont plantés. Une concurrence efficace n'a de sens qui si les alternatives offrent nettement mieux sur des critères accessibles au plus grand nombre, et force est de constater qu'aucune ne correspond à ces critères.
Tu parles de quoi, là ?
<Nicolas George> Marre de me répéter. Cfr un fil récent sur l'émergence de Windows. </>
Jerome Lambert , dans le message
Mais bien sûr. Les offres concurentielles ont *toujours* existé, et
*toutes* se sont plantés. Une concurrence efficace n'a de sens qui si
les alternatives offrent nettement mieux sur des critères accessibles au
plus grand nombre, et force est de constater qu'aucune ne correspond à
ces critères.
Tu parles de quoi, là ?
<Nicolas George>
Marre de me répéter. Cfr un fil récent sur l'émergence de Windows.
</>
Mais bien sûr. Les offres concurentielles ont *toujours* existé, et *toutes* se sont plantés. Une concurrence efficace n'a de sens qui si les alternatives offrent nettement mieux sur des critères accessibles au plus grand nombre, et force est de constater qu'aucune ne correspond à ces critères.
Tu parles de quoi, là ?
<Nicolas George> Marre de me répéter. Cfr un fil récent sur l'émergence de Windows. </>
Jerome Lambert
Jerome Lambert a tapoté :
Jerome Lambert a écrit:
Pour que la loi de marché fonctionne, on interdit le monopole, point. On se contrefout de savoir si la meilleure offre concurrentielle va plaire ou non; on donne le choix au consommateur. Mais bien sûr. Les offres concurentielles ont *toujours* existé, et
*toutes* se sont plantés. Une concurrence efficace n'a de sens qui si les alternatives offrent nettement mieux sur des critères accessibles au plus grand nombre, et force est de constater qu'aucune ne correspond à ces critères.
LE problème étant que le plus grand nombre ne peut pas pas juger selon ses critères, puisque win est automatiquement imposé.
Ben si. Je fais régulièrement cette expérience: quand j'entends des récriminations contre Windows, j'aborde son auteur et je lui parle des alternatives. Dans la quasi-totalité des cas, Windows retrouve subitement de gros avantages et devient brusquement indispensable. Conclusions: - les utilisateurs savent jauger un système, n'en déplaise à certains ici, - les défauts, même réels, de Windows ne sont finalement pas trop importants pour la majorité de ses utilisateurs, et en tout cas inférieurs aux avantages qu'ils en retirent - à l'inverse, les offres alternatives n'offrent pas suffisemment d'avantages par rapport aux inconvénients rencontrés que pour convaincre de franchir le pas
Alors on peut gloser à l'envie sur l'importance de la vente liée, mais tant que les points ci-dessus seront d'actualité...
(...)
Jerome Lambert <jerome.lambert@swing.be> a tapoté :
Jerome Lambert <jerome.lambert@swing.be> a écrit:
Pour que la loi de marché fonctionne, on interdit le monopole,
point.
On se contrefout de savoir si la meilleure offre concurrentielle va
plaire ou non; on donne le choix au consommateur.
Mais bien sûr. Les offres concurentielles ont *toujours* existé, et
*toutes* se sont plantés. Une concurrence efficace n'a de sens qui si
les alternatives offrent nettement mieux sur des critères accessibles
au plus grand nombre, et force est de constater qu'aucune ne
correspond à ces critères.
LE problème étant que le plus grand nombre ne peut pas pas juger selon
ses critères, puisque win est automatiquement imposé.
Ben si. Je fais régulièrement cette expérience: quand j'entends des
récriminations contre Windows, j'aborde son auteur et je lui parle des
alternatives. Dans la quasi-totalité des cas, Windows retrouve
subitement de gros avantages et devient brusquement indispensable.
Conclusions:
- les utilisateurs savent jauger un système, n'en déplaise à certains ici,
- les défauts, même réels, de Windows ne sont finalement pas trop
importants pour la majorité de ses utilisateurs, et en tout cas
inférieurs aux avantages qu'ils en retirent
- à l'inverse, les offres alternatives n'offrent pas suffisemment
d'avantages par rapport aux inconvénients rencontrés que pour convaincre
de franchir le pas
Alors on peut gloser à l'envie sur l'importance de la vente liée, mais
tant que les points ci-dessus seront d'actualité...
Pour que la loi de marché fonctionne, on interdit le monopole, point. On se contrefout de savoir si la meilleure offre concurrentielle va plaire ou non; on donne le choix au consommateur. Mais bien sûr. Les offres concurentielles ont *toujours* existé, et
*toutes* se sont plantés. Une concurrence efficace n'a de sens qui si les alternatives offrent nettement mieux sur des critères accessibles au plus grand nombre, et force est de constater qu'aucune ne correspond à ces critères.
LE problème étant que le plus grand nombre ne peut pas pas juger selon ses critères, puisque win est automatiquement imposé.
Ben si. Je fais régulièrement cette expérience: quand j'entends des récriminations contre Windows, j'aborde son auteur et je lui parle des alternatives. Dans la quasi-totalité des cas, Windows retrouve subitement de gros avantages et devient brusquement indispensable. Conclusions: - les utilisateurs savent jauger un système, n'en déplaise à certains ici, - les défauts, même réels, de Windows ne sont finalement pas trop importants pour la majorité de ses utilisateurs, et en tout cas inférieurs aux avantages qu'ils en retirent - à l'inverse, les offres alternatives n'offrent pas suffisemment d'avantages par rapport aux inconvénients rencontrés que pour convaincre de franchir le pas
Alors on peut gloser à l'envie sur l'importance de la vente liée, mais tant que les points ci-dessus seront d'actualité...