Les boîtiers Nikon embarqués devront résister à des températures ultimes,
des pressions extraordinaires. Bref des Nikon de haut vol pour un saut
extraordinaire.
Moi, j'aime bien les jeunes, les filles surtout, les garçons, moins, quoique...
GR
Alf92
Dans <news:480f0b92$0$874$,
(...) Racine utilisait 3000 mots et Goethe 9000, quant à Shakespeare, il les fabriquait à volonté. Mais ce n'est pas un critère de supériorité d'une langue sur une autre. Il faut, comme tu le fais remarquer, tenir compte de la situation. En Inuit, on dispose d'une cinquantaine de mots pour décrire la neige. En Samoan, sans doute beaucoup moins.
biloute !
-- Alf92 «Les mesures répressives sont des mesures dictées par des industries qui n'ont pas été capables de changer leurs modèles économiques face aux nécessités imposées par la société de l'information.» Guy Bono
Dans <news:480f0b92$0$874$ba4acef3@news.orange.fr>,
(...) Racine
utilisait 3000 mots et Goethe 9000, quant à Shakespeare, il les
fabriquait à volonté. Mais ce n'est pas un critère de supériorité
d'une langue sur une
autre. Il faut, comme tu le fais remarquer, tenir compte de la
situation. En Inuit, on dispose d'une cinquantaine de mots pour
décrire la neige. En Samoan, sans doute beaucoup moins.
biloute !
--
Alf92
«Les mesures répressives sont des mesures dictées par des industries
qui n'ont pas été capables de changer leurs modèles économiques face
aux nécessités imposées par la société de l'information.» Guy Bono
(...) Racine utilisait 3000 mots et Goethe 9000, quant à Shakespeare, il les fabriquait à volonté. Mais ce n'est pas un critère de supériorité d'une langue sur une autre. Il faut, comme tu le fais remarquer, tenir compte de la situation. En Inuit, on dispose d'une cinquantaine de mots pour décrire la neige. En Samoan, sans doute beaucoup moins.
biloute !
-- Alf92 «Les mesures répressives sont des mesures dictées par des industries qui n'ont pas été capables de changer leurs modèles économiques face aux nécessités imposées par la société de l'information.» Guy Bono
filh
Ghost Rider wrote:
bref t'aimes pas les jeunes... finalement moi si.
Moi, j'aime bien les jeunes, les filles surtout, les garçons, moins, quoique...
Oui mais tu les aimes pour toi, pas pour eux :)
Rahh cette génération des soixantenaires qui nous a pourri le monde...
FiLH
-- Le fondement du constat bourgeois, c'est le bon sens, c'est-à-dire une vérité qui s'arrête sur l'ordre arbitraire de celui qui la parle. Roland Barthes. http://www.filh.org
Ghost Rider <Ghost-Rider@in-the-sky.net> wrote:
bref t'aimes pas les jeunes...
finalement moi si.
Moi, j'aime bien les jeunes, les filles surtout, les garçons, moins,
quoique...
Oui mais tu les aimes pour toi, pas pour eux :)
Rahh cette génération des soixantenaires qui nous a pourri le monde...
FiLH
--
Le fondement du constat bourgeois, c'est le bon sens, c'est-à-dire
une vérité qui s'arrête sur l'ordre arbitraire de celui qui la parle.
Roland Barthes.
http://www.filh.org
Moi, j'aime bien les jeunes, les filles surtout, les garçons, moins, quoique...
Oui mais tu les aimes pour toi, pas pour eux :)
Rahh cette génération des soixantenaires qui nous a pourri le monde...
FiLH
-- Le fondement du constat bourgeois, c'est le bon sens, c'est-à-dire une vérité qui s'arrête sur l'ordre arbitraire de celui qui la parle. Roland Barthes. http://www.filh.org
bermisch
Je ne sais plus qui a dit que, quoi que fassent les parents, l'éducation de leurs enfants sera _toujours loupée_... *TOUJOURS*...
Il me semble que c'est pépé Sigmund Freud, en tous cas il n'avait pas
tort, au moins en parlant de lui-même. Il suffit de voir ce qu'est devenue sa descendance -spirituelle-, et le goût qu'elle a désormais pour les choses -matérielles- (100 à 500 ¤ la séance?)
-- Nunc dimittis... BM http://bernard-michaud.pagespro-orange.fr
Je ne sais plus qui a dit que, quoi que fassent les parents, l'éducation
de leurs enfants sera _toujours loupée_...
*TOUJOURS*...
Il me semble que c'est pépé Sigmund Freud, en tous cas il n'avait pas
tort, au moins en parlant de lui-même. Il suffit de voir ce qu'est
devenue sa descendance -spirituelle-, et le goût qu'elle a désormais
pour les choses -matérielles- (100 à 500 ¤ la séance?)
--
Nunc dimittis...
BM http://bernard-michaud.pagespro-orange.fr
Je ne sais plus qui a dit que, quoi que fassent les parents, l'éducation de leurs enfants sera _toujours loupée_... *TOUJOURS*...
Il me semble que c'est pépé Sigmund Freud, en tous cas il n'avait pas
tort, au moins en parlant de lui-même. Il suffit de voir ce qu'est devenue sa descendance -spirituelle-, et le goût qu'elle a désormais pour les choses -matérielles- (100 à 500 ¤ la séance?)
-- Nunc dimittis... BM http://bernard-michaud.pagespro-orange.fr
filh
bermisch wrote:
Je ne sais plus qui a dit que, quoi que fassent les parents, l'éducation de leurs enfants sera _toujours loupée_... *TOUJOURS*...
Il me semble que c'est pépé Sigmund Freud, en tous cas il n'avait pas
tort, au moins en parlant de lui-même. Il suffit de voir ce qu'est devenue sa descendance -spirituelle-, et le goût qu'elle a désormais pour les choses -matérielles- (100 à 500 ¤ la séance?)
Hum et votre goût pour l'exagération ? C'est votre éducation ?
FiLH
-- Le fondement du constat bourgeois, c'est le bon sens, c'est-à-dire une vérité qui s'arrête sur l'ordre arbitraire de celui qui la parle. Roland Barthes. http://www.filh.org
bermisch <couic-nspam-couic@wanadoo.fr> wrote:
Je ne sais plus qui a dit que, quoi que fassent les parents, l'éducation
de leurs enfants sera _toujours loupée_...
*TOUJOURS*...
Il me semble que c'est pépé Sigmund Freud, en tous cas il n'avait pas
tort, au moins en parlant de lui-même. Il suffit de voir ce qu'est
devenue sa descendance -spirituelle-, et le goût qu'elle a désormais
pour les choses -matérielles- (100 à 500 ¤ la séance?)
Hum et votre goût pour l'exagération ? C'est votre éducation ?
FiLH
--
Le fondement du constat bourgeois, c'est le bon sens, c'est-à-dire
une vérité qui s'arrête sur l'ordre arbitraire de celui qui la parle.
Roland Barthes.
http://www.filh.org
Je ne sais plus qui a dit que, quoi que fassent les parents, l'éducation de leurs enfants sera _toujours loupée_... *TOUJOURS*...
Il me semble que c'est pépé Sigmund Freud, en tous cas il n'avait pas
tort, au moins en parlant de lui-même. Il suffit de voir ce qu'est devenue sa descendance -spirituelle-, et le goût qu'elle a désormais pour les choses -matérielles- (100 à 500 ¤ la séance?)
Hum et votre goût pour l'exagération ? C'est votre éducation ?
FiLH
-- Le fondement du constat bourgeois, c'est le bon sens, c'est-à-dire une vérité qui s'arrête sur l'ordre arbitraire de celui qui la parle. Roland Barthes. http://www.filh.org
Den
Je ne sais plus qui a dit que, quoi que fassent les parents, l'éducation
de leurs enfants sera _toujours loupée_... *TOUJOURS*...
Françoise Dolto disait qu'on a chacun notre façon de mal élever nos enfants.
Den
-- Pour me répondre en privé, enlever "pubpasglop" de mon adresse.
Je ne sais plus qui a dit que, quoi que fassent les parents,
l'éducation
de leurs enfants sera _toujours loupée_...
*TOUJOURS*...
Françoise Dolto disait qu'on a chacun notre façon de mal élever nos enfants.
Den
--
Pour me répondre en privé, enlever "pubpasglop" de mon adresse.
Je ne sais plus qui a dit que, quoi que fassent les parents, l'éducation
de leurs enfants sera _toujours loupée_... *TOUJOURS*...
Françoise Dolto disait qu'on a chacun notre façon de mal élever nos enfants.
Den
-- Pour me répondre en privé, enlever "pubpasglop" de mon adresse.
Ghost Rider
Ghost Rider wrote:
Mais il ne faut pas croire que cela reste sans réactions. Il y a des puristes qui se battent contre cette facilité. Au XVIIIème siècl e, par exemple il y a eu des batailles homériques concernant le néologism e "lengthy", une horreur d'origine américaine, selon certains.
A partir du moment où le latin n'a plus été capable d'intégrer quoi que ce soit, il est devenu une langue morte. Et il l'était sans doute dè s l'origine.
Le latin ne pouvait, amha, être une langue *morte* à son origine. Il est apparu vers 2000 avant JC et on a parlé un latin vulgaire jusqu'au 9è me siècle avant la séparation d'avec les langues locales. Cette langue a beaucoup évolué pendant cette période et après elle, elle est res tée la langue de l'université jusqu'au bas moyen-âge et la langue diplomatiq ue plus tard encore. Le latin a été pratiqué pendant 3700 ans. Newton a écrit, en 1687, les lois de la chute des corps en latin ! Le latin n'es t d'ailleurs pas strictement une langue morte, il reste la langue officielle de l'Eglise catholique et l'étude du droit canon se fait en latin. Le danger du purisme, c'est l'immobilisation de la pensée. Brider l'évolution du langage, c'est priver l'homme de penser différemment. Le passage du latin d'église aux langues vernaculaires a permis aux pratiquants de comprendre, enfin, ce qu'ils lisaient ou chantaient, et le maintien du Coran en arabe classique a peut-être quelque chose à v oir avec l'immobilisme dont souffre l'Islam.
C'est pourquoi nous ne parlons pas latin, mais latin vulgaire, et c'est toute la différence. En particulier au plan de la construction des phrases. Le latin vulgaire nous a légué la structure S+V+Comp, les déclinaisons ont disparu.
Peut-on vraiment dire que le français est du latin vulgaire ? La séparation nette, parce qu'écrite, date des deux premiers textes français connus: le serment de Strasbourg et la séquence de Ste Eulal ie. Après, l'intercompréhension est devenue quasiment impossible. A cette aune, l'italien et le français seraient la même langue, et le ur intercompréhension est nettement plus facile.
Ghost Rider
Ghost Rider <Ghost-Rider@in-the-sky.net> wrote:
Mais il ne faut pas croire que cela reste sans réactions. Il y a des
puristes qui se battent contre cette facilité. Au XVIIIème siècl e, par
exemple il y a eu des batailles homériques concernant le néologism e
"lengthy", une horreur d'origine américaine, selon certains.
A partir du moment où le latin n'a plus été capable d'intégrer quoi que
ce soit, il est devenu une langue morte. Et il l'était sans doute dè s
l'origine.
Le latin ne pouvait, amha, être une langue *morte* à son origine. Il est
apparu vers 2000 avant JC et on a parlé un latin vulgaire jusqu'au 9è me
siècle avant la séparation d'avec les langues locales. Cette langue a
beaucoup évolué pendant cette période et après elle, elle est res tée la
langue de l'université jusqu'au bas moyen-âge et la langue diplomatiq ue
plus tard encore. Le latin a été pratiqué pendant 3700 ans. Newton a
écrit, en 1687, les lois de la chute des corps en latin ! Le latin n'es t
d'ailleurs pas strictement une langue morte, il reste la langue
officielle de l'Eglise catholique et l'étude du droit canon se fait en
latin.
Le danger du purisme, c'est l'immobilisation de la pensée. Brider
l'évolution du langage, c'est priver l'homme de penser différemment. Le
passage du latin d'église aux langues vernaculaires a permis aux
pratiquants de comprendre, enfin, ce qu'ils lisaient ou chantaient, et
le maintien du Coran en arabe classique a peut-être quelque chose à v oir
avec l'immobilisme dont souffre l'Islam.
C'est pourquoi nous ne parlons pas latin, mais latin vulgaire, et c'est
toute la différence. En particulier au plan de la construction des
phrases. Le latin vulgaire nous a légué la structure S+V+Comp, les
déclinaisons ont disparu.
Peut-on vraiment dire que le français est du latin vulgaire ? La
séparation nette, parce qu'écrite, date des deux premiers textes
français connus: le serment de Strasbourg et la séquence de Ste Eulal ie.
Après, l'intercompréhension est devenue quasiment impossible.
A cette aune, l'italien et le français seraient la même langue, et le ur
intercompréhension est nettement plus facile.
Mais il ne faut pas croire que cela reste sans réactions. Il y a des puristes qui se battent contre cette facilité. Au XVIIIème siècl e, par exemple il y a eu des batailles homériques concernant le néologism e "lengthy", une horreur d'origine américaine, selon certains.
A partir du moment où le latin n'a plus été capable d'intégrer quoi que ce soit, il est devenu une langue morte. Et il l'était sans doute dè s l'origine.
Le latin ne pouvait, amha, être une langue *morte* à son origine. Il est apparu vers 2000 avant JC et on a parlé un latin vulgaire jusqu'au 9è me siècle avant la séparation d'avec les langues locales. Cette langue a beaucoup évolué pendant cette période et après elle, elle est res tée la langue de l'université jusqu'au bas moyen-âge et la langue diplomatiq ue plus tard encore. Le latin a été pratiqué pendant 3700 ans. Newton a écrit, en 1687, les lois de la chute des corps en latin ! Le latin n'es t d'ailleurs pas strictement une langue morte, il reste la langue officielle de l'Eglise catholique et l'étude du droit canon se fait en latin. Le danger du purisme, c'est l'immobilisation de la pensée. Brider l'évolution du langage, c'est priver l'homme de penser différemment. Le passage du latin d'église aux langues vernaculaires a permis aux pratiquants de comprendre, enfin, ce qu'ils lisaient ou chantaient, et le maintien du Coran en arabe classique a peut-être quelque chose à v oir avec l'immobilisme dont souffre l'Islam.
C'est pourquoi nous ne parlons pas latin, mais latin vulgaire, et c'est toute la différence. En particulier au plan de la construction des phrases. Le latin vulgaire nous a légué la structure S+V+Comp, les déclinaisons ont disparu.
Peut-on vraiment dire que le français est du latin vulgaire ? La séparation nette, parce qu'écrite, date des deux premiers textes français connus: le serment de Strasbourg et la séquence de Ste Eulal ie. Après, l'intercompréhension est devenue quasiment impossible. A cette aune, l'italien et le français seraient la même langue, et le ur intercompréhension est nettement plus facile.
Ghost Rider
Ghost Rider
La seule abréviation anglo-latine que je connaisse est "i.e.", dont la traduction est "c'est-à-dire".
ah ? je croyais que c'était Internet Explorer...
Oui, aussi, mais c'est quelque chose à éviter le plus possible...
GR
La seule abréviation anglo-latine que je connaisse est "i.e.", dont la
traduction est "c'est-à-dire".
ah ? je croyais que c'était Internet Explorer...
Oui, aussi, mais c'est quelque chose à éviter le plus possible...
Moi, j'aime bien les jeunes, les filles surtout, les garçons, moins, quoique...
Oui mais tu les aimes pour toi, pas pour eux :)
Ah, mais elles m'aiment bien aussi.
GR
Bour-Brown
Ghost Rider a écrit ( 480f0b92$0$874$ )
En Inuit, on dispose d'une cinquantaine de mots pour décrire la neige.
Ah bon.
Petite vérification : http://cjoint.com/?exogbLKq50 La parole Inuit de Louis-Jacques Dorais, Peeters Paris 1996 - merci Google.
C'est-y pas un peu plus sérieux, mmh ?
Oui, mais y a aussi ça : « Prenons la forme igluksak qui peut se dérouler (surtout lorsque mal orthographié) en une liste de vingt mots supposés pour "neige" dans un dialecte Inuit Canadien. Igluksak a été glosé comme une signification de "neige pour faire des igloos". Ce mot est une combinaison provenant de iglu "maison" et -ksag "matériau pour", en d'autres termes il signifie seulement "matériau pour fabriquer une maison ". Cela pourrait donc comprendre tout aussi bien "contreplaqué", "clou", peut-être "tuiles", "ciment" ou "briques"... Igluksak n'est finalement pas un mot signifiant un certain type de neige du tout. »
Vérif' dans la liste... zut, il y est, et mal orthographié en plus. ( http://charlatans.info/esquineige.shtml )
Y a pas, j'*adore* Internet.
Ghost Rider a écrit
( 480f0b92$0$874$ba4acef3@news.orange.fr )
En Inuit, on dispose d'une cinquantaine de mots pour décrire la neige.
Ah bon.
Petite vérification :
http://cjoint.com/?exogbLKq50
La parole Inuit de Louis-Jacques Dorais, Peeters Paris 1996 - merci Google.
C'est-y pas un peu plus sérieux, mmh ?
Oui, mais y a aussi ça :
« Prenons la forme igluksak qui peut se dérouler (surtout lorsque mal
orthographié) en une liste de vingt mots supposés pour "neige" dans un
dialecte Inuit Canadien. Igluksak a été glosé comme une signification de
"neige pour faire des igloos". Ce mot est une combinaison provenant de iglu
"maison" et -ksag "matériau pour", en d'autres termes il signifie seulement
"matériau pour fabriquer une maison ". Cela pourrait donc comprendre tout
aussi bien "contreplaqué", "clou", peut-être "tuiles", "ciment" ou
"briques"... Igluksak n'est finalement pas un mot signifiant un certain type
de neige du tout. »
Vérif' dans la liste... zut, il y est, et mal orthographié en plus.
( http://charlatans.info/esquineige.shtml )
En Inuit, on dispose d'une cinquantaine de mots pour décrire la neige.
Ah bon.
Petite vérification : http://cjoint.com/?exogbLKq50 La parole Inuit de Louis-Jacques Dorais, Peeters Paris 1996 - merci Google.
C'est-y pas un peu plus sérieux, mmh ?
Oui, mais y a aussi ça : « Prenons la forme igluksak qui peut se dérouler (surtout lorsque mal orthographié) en une liste de vingt mots supposés pour "neige" dans un dialecte Inuit Canadien. Igluksak a été glosé comme une signification de "neige pour faire des igloos". Ce mot est une combinaison provenant de iglu "maison" et -ksag "matériau pour", en d'autres termes il signifie seulement "matériau pour fabriquer une maison ". Cela pourrait donc comprendre tout aussi bien "contreplaqué", "clou", peut-être "tuiles", "ciment" ou "briques"... Igluksak n'est finalement pas un mot signifiant un certain type de neige du tout. »
Vérif' dans la liste... zut, il y est, et mal orthographié en plus. ( http://charlatans.info/esquineige.shtml )