Le 04/01/2011 09:31, Dominique Gobeaut a écrit :
> Le même qui délire depuis quelques années sur le T.C. cité dans le même
> arrêt ( frappé d'appel, je le rappelle),
Le parquet n'a pas fait appel, je le rappelle, les relaxes sont
définitives. C'est juste la partie civile qui remet au pot pour s'en
prendre encore plus en D/I.
C'est une pratique maso,
Le 04/01/2011 09:31, Dominique Gobeaut a écrit :
> Le même qui délire depuis quelques années sur le T.C. cité dans le même
> arrêt ( frappé d'appel, je le rappelle),
Le parquet n'a pas fait appel, je le rappelle, les relaxes sont
définitives. C'est juste la partie civile qui remet au pot pour s'en
prendre encore plus en D/I.
C'est une pratique maso,
Le 04/01/2011 09:31, Dominique Gobeaut a écrit :
> Le même qui délire depuis quelques années sur le T.C. cité dans le même
> arrêt ( frappé d'appel, je le rappelle),
Le parquet n'a pas fait appel, je le rappelle, les relaxes sont
définitives. C'est juste la partie civile qui remet au pot pour s'en
prendre encore plus en D/I.
C'est une pratique maso,
Dominique Gobeaut devait dire quelque chose comme ceci :
>> L'épouse d'une partie civile qui a refusé de se présenter au procès
>> concernant son affaire est-elle réellement en droit de tourner
>> publiquement en ridicule le texte du jugement rendu ?
>
> D'abord, je ne vois pas en quoi ma vie privée intéresse les lecteurs de
> ce groupe, Monsieur Stephane Catteau.
Vous êtes la personne qui a étalé une partie de sa vie privé sur les
forums de droit,
vous êtes même la personne qui m'a appris, à moi et à
d'autre, votre mariage avec le plaignant.
Pour autant, si vous aviez
pris soin de lire attentivement mon message vous auriez vu, madame
Dominique Gobeaut, que rien, absolument rien, ne vous y liais avec le
plaignant ; ma question s'adressait explicitement à la juriste de
formation que vous êtes et son énoncé était volontairement impersonnel.
> (Vous êtes marié ? Vous avez des enfants ? Ils sont de vous ? Ça vous
> plait qu'on en parle sur Usenet ?)
Je ne suis pas marié, j'ai des enfants, ils sont de moi et je n'en ai
rien à faire qu'on en parle sur usenet, d'une part parce que ce n'est
que usenet
et d'autre part parce que ma famille et mes amis sont des
gens sains d'esprits, ils ne savent même pas que ça existe et ne
passent pas leur temps à faire des recherches narcissiques sur Google.
> [...] comme si le prévenu Jérôme L. était un expert agréé près les
> tribunaux et son analyse d'Usenet parole d'Evangile - n'éclaire en rien
> cette décision et que cette décision étant frappée d'appel fera l'objet
> d'un autre examen par d'autres juges, et c'est heureux.
Comme déjà répondu à Thierry, la décision est clairement basée sur
l'indolence du plaignant qui, non content d'avoir présenté des preuves
qui étaient, dixit la justice, tronquées, a refusé de se présenter à
l'audience.
S'il y a bien une chose qui est conforme à la réalité dans
ce "charabia", comme tu le qualifies toi-même, c'est le fait qu'un
message sur usenet s'inscrit dans le cadre d'une discussion et que le
contexte, ou tout du moins le message auquel il est fait réponse,
importe pour la compression des propos tenus.
Le plaignant aurait fournis au minimum l'intégral du message en lieu
et place d'une citation (ce pour chaque motif de plainte), la justice
aurait pu être rendue sur le fond et non sur la forme.
> Si je vous révèle, de surcroît, que l'un des juges qui a signé le
> jugement, à savoir Joël Boyer, est aussi l'un des trois magistrats
> impliqués dans l'affaire qui a abouti à saisir illégalement les
> ordinateurs
Je suis désolé de t'interrompre, mais te rends-tu bien compte de ce
qu'implique ton propos ?
Tu es quand même entrain de sous-entendre que,
parce qu'il a rendu un verdict en sa défaveur après avoir saisi ses
ordinateurs, ce magistrat est entrain de régler ou contribuer à régler
une histoire personnel vis-à-vis du plaignant, et qu'il aurait rendu ce
verdict pour raison personnel et non en toute impartialité comme il se
doit.
M'est avis que tenir publiquement de tels propos n'est la
meilleure chose à faire, mais bon c'est toi qui est juriste de
formation, pas moi.
> du plaignant et de sa locataire (devenue récemment son épouse mais
> simple locataire à l'époque),
Tu veux dire qu'il te faisait payer pour habiter chez lui, ou que tu
étais sa concubine ? Ah bin non, tu ne peux pas vouloir dire que tu
étais sa concubine puisque la plus grande part de cette accusation
d'illégalité que tu portes sur la saisie vient du fait que ton/tes
ordinateur(s) a/ont aussi été saisie(s), ce qui serait normal en ce
cas.
Ben merde alors, ton époux n'est vraiment pas quelqu'un de
fréquentable, faire payer sa future épouse pour qu'elle ait le droit
d'habiter chez lui, quel mufle !!!
> cela vous donnera une indication sur le sens de l'appel du plaignant,
> et sur le fait que plusieurs plaintes seront déposées sous peu par la
> partie civile et son épouse à l'encontre du service public de la justice
> lui-même.
C'est donc effectivement cela, tu sous-entends fortement que le
jugement a été rendu pour motif personnel et non en toute indépendance.
C'est la une accusation très grave madame Dominique Gobeaut, j'espère
pour toi que tu as autre chose que ton apparente paranoïa pour
l'etayer.
> Mais vous n'êtes pas obligé de me croire et encore moins de me lire,
> Stephane Catteau.
Je ne le fais pas tant par obligation que par plaisir.
Pour autant
j'en viens de plus en plus à me demander si je ne devrais pas me fendre
d'un petit voyage pour m'assurer que les intérêts d'une partie de ma
famille ne sont pas compromis par un soutien qu'elle pourrait vous
avoir apporté dans cette histoire, ce qu'elle est parfaitement en
mesure de faire.
La seule et unique chose qui m'a retenu jusqu'à lors
étant l'absence d'envie de vous foutre, tous les deux, plus dans la
merde que vous ne le faite vous-mêmes.
> Remettez moi donc dans votre killfile, comme l'autruche Miakinen et
> qu'on n'en parle plus.
Il ne faut pas être vexée comme ça, on pourrait croire que la réponse
à ma question est "non".
Dominique Gobeaut devait dire quelque chose comme ceci :
>> L'épouse d'une partie civile qui a refusé de se présenter au procès
>> concernant son affaire est-elle réellement en droit de tourner
>> publiquement en ridicule le texte du jugement rendu ?
>
> D'abord, je ne vois pas en quoi ma vie privée intéresse les lecteurs de
> ce groupe, Monsieur Stephane Catteau.
Vous êtes la personne qui a étalé une partie de sa vie privé sur les
forums de droit,
vous êtes même la personne qui m'a appris, à moi et à
d'autre, votre mariage avec le plaignant.
Pour autant, si vous aviez
pris soin de lire attentivement mon message vous auriez vu, madame
Dominique Gobeaut, que rien, absolument rien, ne vous y liais avec le
plaignant ; ma question s'adressait explicitement à la juriste de
formation que vous êtes et son énoncé était volontairement impersonnel.
> (Vous êtes marié ? Vous avez des enfants ? Ils sont de vous ? Ça vous
> plait qu'on en parle sur Usenet ?)
Je ne suis pas marié, j'ai des enfants, ils sont de moi et je n'en ai
rien à faire qu'on en parle sur usenet, d'une part parce que ce n'est
que usenet
et d'autre part parce que ma famille et mes amis sont des
gens sains d'esprits, ils ne savent même pas que ça existe et ne
passent pas leur temps à faire des recherches narcissiques sur Google.
> [...] comme si le prévenu Jérôme L. était un expert agréé près les
> tribunaux et son analyse d'Usenet parole d'Evangile - n'éclaire en rien
> cette décision et que cette décision étant frappée d'appel fera l'objet
> d'un autre examen par d'autres juges, et c'est heureux.
Comme déjà répondu à Thierry, la décision est clairement basée sur
l'indolence du plaignant qui, non content d'avoir présenté des preuves
qui étaient, dixit la justice, tronquées, a refusé de se présenter à
l'audience.
S'il y a bien une chose qui est conforme à la réalité dans
ce "charabia", comme tu le qualifies toi-même, c'est le fait qu'un
message sur usenet s'inscrit dans le cadre d'une discussion et que le
contexte, ou tout du moins le message auquel il est fait réponse,
importe pour la compression des propos tenus.
Le plaignant aurait fournis au minimum l'intégral du message en lieu
et place d'une citation (ce pour chaque motif de plainte), la justice
aurait pu être rendue sur le fond et non sur la forme.
> Si je vous révèle, de surcroît, que l'un des juges qui a signé le
> jugement, à savoir Joël Boyer, est aussi l'un des trois magistrats
> impliqués dans l'affaire qui a abouti à saisir illégalement les
> ordinateurs
Je suis désolé de t'interrompre, mais te rends-tu bien compte de ce
qu'implique ton propos ?
Tu es quand même entrain de sous-entendre que,
parce qu'il a rendu un verdict en sa défaveur après avoir saisi ses
ordinateurs, ce magistrat est entrain de régler ou contribuer à régler
une histoire personnel vis-à-vis du plaignant, et qu'il aurait rendu ce
verdict pour raison personnel et non en toute impartialité comme il se
doit.
M'est avis que tenir publiquement de tels propos n'est la
meilleure chose à faire, mais bon c'est toi qui est juriste de
formation, pas moi.
> du plaignant et de sa locataire (devenue récemment son épouse mais
> simple locataire à l'époque),
Tu veux dire qu'il te faisait payer pour habiter chez lui, ou que tu
étais sa concubine ? Ah bin non, tu ne peux pas vouloir dire que tu
étais sa concubine puisque la plus grande part de cette accusation
d'illégalité que tu portes sur la saisie vient du fait que ton/tes
ordinateur(s) a/ont aussi été saisie(s), ce qui serait normal en ce
cas.
Ben merde alors, ton époux n'est vraiment pas quelqu'un de
fréquentable, faire payer sa future épouse pour qu'elle ait le droit
d'habiter chez lui, quel mufle !!!
> cela vous donnera une indication sur le sens de l'appel du plaignant,
> et sur le fait que plusieurs plaintes seront déposées sous peu par la
> partie civile et son épouse à l'encontre du service public de la justice
> lui-même.
C'est donc effectivement cela, tu sous-entends fortement que le
jugement a été rendu pour motif personnel et non en toute indépendance.
C'est la une accusation très grave madame Dominique Gobeaut, j'espère
pour toi que tu as autre chose que ton apparente paranoïa pour
l'etayer.
> Mais vous n'êtes pas obligé de me croire et encore moins de me lire,
> Stephane Catteau.
Je ne le fais pas tant par obligation que par plaisir.
Pour autant
j'en viens de plus en plus à me demander si je ne devrais pas me fendre
d'un petit voyage pour m'assurer que les intérêts d'une partie de ma
famille ne sont pas compromis par un soutien qu'elle pourrait vous
avoir apporté dans cette histoire, ce qu'elle est parfaitement en
mesure de faire.
La seule et unique chose qui m'a retenu jusqu'à lors
étant l'absence d'envie de vous foutre, tous les deux, plus dans la
merde que vous ne le faite vous-mêmes.
> Remettez moi donc dans votre killfile, comme l'autruche Miakinen et
> qu'on n'en parle plus.
Il ne faut pas être vexée comme ça, on pourrait croire que la réponse
à ma question est "non".
Dominique Gobeaut devait dire quelque chose comme ceci :
>> L'épouse d'une partie civile qui a refusé de se présenter au procès
>> concernant son affaire est-elle réellement en droit de tourner
>> publiquement en ridicule le texte du jugement rendu ?
>
> D'abord, je ne vois pas en quoi ma vie privée intéresse les lecteurs de
> ce groupe, Monsieur Stephane Catteau.
Vous êtes la personne qui a étalé une partie de sa vie privé sur les
forums de droit,
vous êtes même la personne qui m'a appris, à moi et à
d'autre, votre mariage avec le plaignant.
Pour autant, si vous aviez
pris soin de lire attentivement mon message vous auriez vu, madame
Dominique Gobeaut, que rien, absolument rien, ne vous y liais avec le
plaignant ; ma question s'adressait explicitement à la juriste de
formation que vous êtes et son énoncé était volontairement impersonnel.
> (Vous êtes marié ? Vous avez des enfants ? Ils sont de vous ? Ça vous
> plait qu'on en parle sur Usenet ?)
Je ne suis pas marié, j'ai des enfants, ils sont de moi et je n'en ai
rien à faire qu'on en parle sur usenet, d'une part parce que ce n'est
que usenet
et d'autre part parce que ma famille et mes amis sont des
gens sains d'esprits, ils ne savent même pas que ça existe et ne
passent pas leur temps à faire des recherches narcissiques sur Google.
> [...] comme si le prévenu Jérôme L. était un expert agréé près les
> tribunaux et son analyse d'Usenet parole d'Evangile - n'éclaire en rien
> cette décision et que cette décision étant frappée d'appel fera l'objet
> d'un autre examen par d'autres juges, et c'est heureux.
Comme déjà répondu à Thierry, la décision est clairement basée sur
l'indolence du plaignant qui, non content d'avoir présenté des preuves
qui étaient, dixit la justice, tronquées, a refusé de se présenter à
l'audience.
S'il y a bien une chose qui est conforme à la réalité dans
ce "charabia", comme tu le qualifies toi-même, c'est le fait qu'un
message sur usenet s'inscrit dans le cadre d'une discussion et que le
contexte, ou tout du moins le message auquel il est fait réponse,
importe pour la compression des propos tenus.
Le plaignant aurait fournis au minimum l'intégral du message en lieu
et place d'une citation (ce pour chaque motif de plainte), la justice
aurait pu être rendue sur le fond et non sur la forme.
> Si je vous révèle, de surcroît, que l'un des juges qui a signé le
> jugement, à savoir Joël Boyer, est aussi l'un des trois magistrats
> impliqués dans l'affaire qui a abouti à saisir illégalement les
> ordinateurs
Je suis désolé de t'interrompre, mais te rends-tu bien compte de ce
qu'implique ton propos ?
Tu es quand même entrain de sous-entendre que,
parce qu'il a rendu un verdict en sa défaveur après avoir saisi ses
ordinateurs, ce magistrat est entrain de régler ou contribuer à régler
une histoire personnel vis-à-vis du plaignant, et qu'il aurait rendu ce
verdict pour raison personnel et non en toute impartialité comme il se
doit.
M'est avis que tenir publiquement de tels propos n'est la
meilleure chose à faire, mais bon c'est toi qui est juriste de
formation, pas moi.
> du plaignant et de sa locataire (devenue récemment son épouse mais
> simple locataire à l'époque),
Tu veux dire qu'il te faisait payer pour habiter chez lui, ou que tu
étais sa concubine ? Ah bin non, tu ne peux pas vouloir dire que tu
étais sa concubine puisque la plus grande part de cette accusation
d'illégalité que tu portes sur la saisie vient du fait que ton/tes
ordinateur(s) a/ont aussi été saisie(s), ce qui serait normal en ce
cas.
Ben merde alors, ton époux n'est vraiment pas quelqu'un de
fréquentable, faire payer sa future épouse pour qu'elle ait le droit
d'habiter chez lui, quel mufle !!!
> cela vous donnera une indication sur le sens de l'appel du plaignant,
> et sur le fait que plusieurs plaintes seront déposées sous peu par la
> partie civile et son épouse à l'encontre du service public de la justice
> lui-même.
C'est donc effectivement cela, tu sous-entends fortement que le
jugement a été rendu pour motif personnel et non en toute indépendance.
C'est la une accusation très grave madame Dominique Gobeaut, j'espère
pour toi que tu as autre chose que ton apparente paranoïa pour
l'etayer.
> Mais vous n'êtes pas obligé de me croire et encore moins de me lire,
> Stephane Catteau.
Je ne le fais pas tant par obligation que par plaisir.
Pour autant
j'en viens de plus en plus à me demander si je ne devrais pas me fendre
d'un petit voyage pour m'assurer que les intérêts d'une partie de ma
famille ne sont pas compromis par un soutien qu'elle pourrait vous
avoir apporté dans cette histoire, ce qu'elle est parfaitement en
mesure de faire.
La seule et unique chose qui m'a retenu jusqu'à lors
étant l'absence d'envie de vous foutre, tous les deux, plus dans la
merde que vous ne le faite vous-mêmes.
> Remettez moi donc dans votre killfile, comme l'autruche Miakinen et
> qu'on n'en parle plus.
Il ne faut pas être vexée comme ça, on pourrait croire que la réponse
à ma question est "non".
Le 04/01/2011 09:31, Dominique Gobeaut a écrit :
> cette décision
> étant frappée d'appel fera l'objet d'un autre examen par d'autres juges,
> et c'est heureux.
L'appel ne concerne que la punition infligée au plaignant, qui trouve
que c'est trop horrible.
Le 04/01/2011 09:31, Dominique Gobeaut a écrit :
> cette décision
> étant frappée d'appel fera l'objet d'un autre examen par d'autres juges,
> et c'est heureux.
L'appel ne concerne que la punition infligée au plaignant, qui trouve
que c'est trop horrible.
Le 04/01/2011 09:31, Dominique Gobeaut a écrit :
> cette décision
> étant frappée d'appel fera l'objet d'un autre examen par d'autres juges,
> et c'est heureux.
L'appel ne concerne que la punition infligée au plaignant, qui trouve
que c'est trop horrible.
C'est apparament laissé à la libre interprétation du lecteur. D'aucun
pourrait penser que, pour être passer de locataire à épouse, la
location n'était pas si gracieuse que cela, mais ne se payait pas en
argent.
C'est apparament laissé à la libre interprétation du lecteur. D'aucun
pourrait penser que, pour être passer de locataire à épouse, la
location n'était pas si gracieuse que cela, mais ne se payait pas en
argent.
C'est apparament laissé à la libre interprétation du lecteur. D'aucun
pourrait penser que, pour être passer de locataire à épouse, la
location n'était pas si gracieuse que cela, mais ne se payait pas en
argent.
----mode Krebs ON----
Otez moi d'un doute : vous n'êtes pas juriste mais informaticien, ce me
semble ?
---mode Krebs OFF ---
----mode Krebs ON----
Otez moi d'un doute : vous n'êtes pas juriste mais informaticien, ce me
semble ?
---mode Krebs OFF ---
----mode Krebs ON----
Otez moi d'un doute : vous n'êtes pas juriste mais informaticien, ce me
semble ?
---mode Krebs OFF ---
la discussion initiée
N'employez pas des mots compliqués dont vous ignorez le sens :
"indolence" n'est absolument pas le bon terme.
Je vous explique, Stephane : l'intégrale des messages
était sur des
ordinateurs dont chacun était la sauvegarde de l'autre et qui ont été
saisis illégalement par la justice juste avant le procès et restitués
juste après.
On aurait voulu que la partie civile ne puisse pas fournir lesdits
messages qu'on ne s'y serait pas pris autrement...
Mais si vous parlez de celle concernant "l'épouse de la partie civile",
comme elle est biaisée,
la discussion initiée
N'employez pas des mots compliqués dont vous ignorez le sens :
"indolence" n'est absolument pas le bon terme.
Je vous explique, Stephane : l'intégrale des messages
était sur des
ordinateurs dont chacun était la sauvegarde de l'autre et qui ont été
saisis illégalement par la justice juste avant le procès et restitués
juste après.
On aurait voulu que la partie civile ne puisse pas fournir lesdits
messages qu'on ne s'y serait pas pris autrement...
Mais si vous parlez de celle concernant "l'épouse de la partie civile",
comme elle est biaisée,
la discussion initiée
N'employez pas des mots compliqués dont vous ignorez le sens :
"indolence" n'est absolument pas le bon terme.
Je vous explique, Stephane : l'intégrale des messages
était sur des
ordinateurs dont chacun était la sauvegarde de l'autre et qui ont été
saisis illégalement par la justice juste avant le procès et restitués
juste après.
On aurait voulu que la partie civile ne puisse pas fournir lesdits
messages qu'on ne s'y serait pas pris autrement...
Mais si vous parlez de celle concernant "l'épouse de la partie civile",
comme elle est biaisée,
Le plaignant aurait fournis au minimum l'intégral du message en lieu
et place d'une citation (ce pour chaque motif de plainte), la justice
aurait pu être rendue sur le fond et non sur la forme.
Je vous explique, Stephane : l'intégrale des messages était sur des
ordinateurs dont chacun était la sauvegarde de l'autre et qui ont été
saisis illégalement par la justice juste avant le procès et restitués
juste après.
On aurait voulu que la partie civile ne puisse pas fournir lesdits
messages qu'on ne s'y serait pas pris autrement...
Le plaignant aurait fournis au minimum l'intégral du message en lieu
et place d'une citation (ce pour chaque motif de plainte), la justice
aurait pu être rendue sur le fond et non sur la forme.
Je vous explique, Stephane : l'intégrale des messages était sur des
ordinateurs dont chacun était la sauvegarde de l'autre et qui ont été
saisis illégalement par la justice juste avant le procès et restitués
juste après.
On aurait voulu que la partie civile ne puisse pas fournir lesdits
messages qu'on ne s'y serait pas pris autrement...
Le plaignant aurait fournis au minimum l'intégral du message en lieu
et place d'une citation (ce pour chaque motif de plainte), la justice
aurait pu être rendue sur le fond et non sur la forme.
Je vous explique, Stephane : l'intégrale des messages était sur des
ordinateurs dont chacun était la sauvegarde de l'autre et qui ont été
saisis illégalement par la justice juste avant le procès et restitués
juste après.
On aurait voulu que la partie civile ne puisse pas fournir lesdits
messages qu'on ne s'y serait pas pris autrement...
Mais sur ce cas d'espèce, mes
prédictions ont toutes été réalisées.
Mais sur ce cas d'espèce, mes
prédictions ont toutes été réalisées.
Mais sur ce cas d'espèce, mes
prédictions ont toutes été réalisées.
Le 05/01/2011 09:48, Dominique Gobeaut a écrit :
> la discussion initiée
Qu'est-ce que c'est que cet argot, encore?
> "indolence" n'est absolument pas le bon terme.
Il va très bien, au sens de "nonchalant".
> Je vous explique, Stephane : l'intégrale des messages
Intégrale n'est substantif qu'en maths. Vous vous faites trop de cinéma.
> des ordinateurs dont chacun était la sauvegarde de l'autre et qui ont
> été saisis illégalement par la justice juste avant le procès et restitués
> juste après.
Sûr que la justice française, et la 17ème chambre en particulier, n'ont
rien d'autre à foutre que de comploter pour faire capoter une affaire
dans laquelle quelqu'un a dit prout à quelqu'un d'autre.
> Mais si vous parlez de celle concernant "l'épouse de la partie civile",
> comme elle est biaisée,
C'est rien de le dire.
Le 05/01/2011 09:48, Dominique Gobeaut a écrit :
> la discussion initiée
Qu'est-ce que c'est que cet argot, encore?
> "indolence" n'est absolument pas le bon terme.
Il va très bien, au sens de "nonchalant".
> Je vous explique, Stephane : l'intégrale des messages
Intégrale n'est substantif qu'en maths. Vous vous faites trop de cinéma.
> des ordinateurs dont chacun était la sauvegarde de l'autre et qui ont
> été saisis illégalement par la justice juste avant le procès et restitués
> juste après.
Sûr que la justice française, et la 17ème chambre en particulier, n'ont
rien d'autre à foutre que de comploter pour faire capoter une affaire
dans laquelle quelqu'un a dit prout à quelqu'un d'autre.
> Mais si vous parlez de celle concernant "l'épouse de la partie civile",
> comme elle est biaisée,
C'est rien de le dire.
Le 05/01/2011 09:48, Dominique Gobeaut a écrit :
> la discussion initiée
Qu'est-ce que c'est que cet argot, encore?
> "indolence" n'est absolument pas le bon terme.
Il va très bien, au sens de "nonchalant".
> Je vous explique, Stephane : l'intégrale des messages
Intégrale n'est substantif qu'en maths. Vous vous faites trop de cinéma.
> des ordinateurs dont chacun était la sauvegarde de l'autre et qui ont
> été saisis illégalement par la justice juste avant le procès et restitués
> juste après.
Sûr que la justice française, et la 17ème chambre en particulier, n'ont
rien d'autre à foutre que de comploter pour faire capoter une affaire
dans laquelle quelqu'un a dit prout à quelqu'un d'autre.
> Mais si vous parlez de celle concernant "l'épouse de la partie civile",
> comme elle est biaisée,
C'est rien de le dire.