« M. Marleix note qu'Emmanuel Macron, alors ministre de l'Economie a
"formellement donné l'autorisation" de la vente d'Alstom énergie et a
"également autorisé" d'autres cessions d'actifs "d'entreprises
stratégiques françaises", citant celles d'Alcatel-Lucent au groupe
finlandais Nokia ou de Technip à l'entreprise américaine FMC Technologies.
Il note que le candidat Macron a bénéficié d'un "montant de dons records
pour sa campagne" et estime que "le fait que l'on puisse retrouver dans
la liste des donateurs ou des organisateurs de diners de levée de fonds
des personnes qui auraient été intéressées aux ventes précitées ne peut
qu'interroger".
M. Marleix émet l'hypothèse que le "système" mis en place dans le cadre
de ces cessions aurait pu bénéficier à l'actuel président de la
République pendant sa campagne. "S'il était vérifié, un tel système
pourrait être interprété comme un pacte de corruption", affirme le document.
"Puisqu'une enquête préliminaire a été ouverte en novembre dernier sur
les dons reçus par le parti En Marche pendant la campagne
(présidentielle) il m'a paru nécessaire de vous signaler ces éléments",
ajoute le député.
Le signalement de M. Marleix auprès du parquet de Paris intervient alors
qu'un ex-dirigeant d'Alstom a livré un témoignage sur les dessous
du rachat d'Alstom par General Electric dans un ouvrage ("Le piège
américain, JC Lattès) paru mercredi. »
"Gerald" a écrit dans le message de groupe de discussion : 1o1nne2.1s82wve1hw9eu9N%
Gloops wrote:
Réindustrialiser le pays et diminuer le chômage, je crois que personne ne serait contre. Il y a moins unanimité sur la façon de s'y prendre.
Tout simplement parce que c'est antinomique ! Industrialiser veut dire accélérer : 1/ l'automatisation 2/ la reconversion/transition des métiers --> plus tu industrialises vite et plus le bilan s'alourdit niveau chômage pour ces simples deux raisons "mécaniques". Exemple : la transition accélérée vers les bagnoles électriques.
Tout à fait. Mais là nous sommes prisonniers de l'élément de langage: pour être compétitifs il faut travailler plus. FAUX, il faut travailler moins et automatiser, mais les profits doivent être mieux répartis, puisque le mérite en revient aux machines (dans le système actuel: au capital, aka ceux qui "travaillent," càd ont l'argent pour investir) et par conséquent le travail mieux partagé également. Les banques jouent sur les deux tableaux, selon que vous soyez riche ou misérable, profits pour les riches, et chômage pour les misérables. Selon la théorie économique, les besoins de l'homme sont infinis. Mais pas seulement les besoins en produits industriels. Si les gens travaillent moins, ils n'en sont pas pour autant oisifs, et donc pas exposés à tous les vices. Il y a énormément de "choses à faires" qui ne sont pas faites parce que les forces vives sont absorbées soit par le travail, soit par la recherche d'emploi et/la la survie.
Pour être compétitif il faut : - avoir une monnaie sous-évaluée (Allemagne, Chine), - une densité industrielle importante (Allemagne, Corée, Chine, Taïwan, Singapour), - une main-d'oeuvre bien formée (Allemagne, Corée, Chine, Taïwan, Singapour), - des impôts et des taxes assez bas (Chine, Taïwan, Corée, Singapour). En situation de libre circulation des capitaux les investisseurs comparent les taux de rentabilité pays par pays. Et la France avec ses DOM-TOM, sa force de frappe, son armée surdimensionnée, ses dépenses publiques trop élevées, sa complexité administrative inutile, ses frontières ouvertes à toute la misère du monde est très peu attractive. C'est d'ailleurs la principale raison pour laquelle il faut sortir de l'UE. En contrôlant les mouvements de capitaux, en surtaxant les plus-values boursières et immobilières et en monétisant son déficit budgétaire la France peut obliger les capitaux français à s'investir dans l'industrie. Et si la France sort aussi de l'euro et dévalue le franc de 50% (à la de Gaulle) alors elle attirera les capitaux étrangers, ravis de profiter d'une main d'oeuvre bon marché.
Le 19/01/2019 à 15:40, Cl.Massé a écrit :
"Gerald" a écrit dans le message de groupe de discussion :
1o1nne2.1s82wve1hw9eu9N%voir_le_reply-to@car.cette.adresse.est.invalid...
Gloops <gloops@zailes.invalid.org.invalid> wrote:
> Réindustrialiser le pays et diminuer le chômage, je crois que personne
> ne serait contre. Il y a moins unanimité sur la façon de s'y prendre.
Tout simplement parce que c'est antinomique ! Industrialiser veut dire
accélérer :
1/ l'automatisation
2/ la reconversion/transition des métiers
--> plus tu industrialises vite et plus le bilan s'alourdit niveau
chômage
pour ces simples deux raisons "mécaniques".
Exemple : la transition accélérée vers les bagnoles électriques.
Tout à fait. Mais là nous sommes prisonniers de l'élément de langage: pour
être compétitifs il faut travailler plus. FAUX, il faut travailler moins et
automatiser, mais les profits doivent être mieux répartis, puisque le
mérite
en revient aux machines (dans le système actuel: au capital, aka ceux qui
"travaillent," càd ont l'argent pour investir) et par conséquent le travail
mieux partagé également. Les banques jouent sur les deux tableaux, selon
que
vous soyez riche ou misérable, profits pour les riches, et chômage pour les
misérables.
Selon la théorie économique, les besoins de l'homme sont infinis. Mais
pas seulement les besoins en produits industriels. Si les gens
travaillent moins, ils n'en sont pas pour autant oisifs, et donc pas
exposés à tous les vices. Il y a énormément de "choses à faires" qui ne
sont pas faites parce que les forces vives sont absorbées soit par le
travail, soit par la recherche d'emploi et/la la survie.
Pour être compétitif il faut :
- avoir une monnaie sous-évaluée (Allemagne, Chine),
- une densité industrielle importante (Allemagne, Corée, Chine, Taïwan,
Singapour),
- une main-d'oeuvre bien formée (Allemagne, Corée, Chine, Taïwan,
Singapour),
- des impôts et des taxes assez bas (Chine, Taïwan, Corée, Singapour).
En situation de libre circulation des capitaux les investisseurs
comparent les taux de rentabilité pays par pays. Et la France avec ses
DOM-TOM, sa force de frappe, son armée surdimensionnée, ses dépenses
publiques trop élevées, sa complexité administrative inutile, ses
frontières ouvertes à toute la misère du monde est très peu attractive.
C'est d'ailleurs la principale raison pour laquelle il faut sortir de
l'UE. En contrôlant les mouvements de capitaux, en surtaxant les
plus-values boursières et immobilières et en monétisant son déficit
budgétaire la France peut obliger les capitaux français à s'investir
dans l'industrie. Et si la France sort aussi de l'euro et dévalue le
franc de 50% (à la de Gaulle) alors elle attirera les capitaux
étrangers, ravis de profiter d'une main d'oeuvre bon marché.
"Gerald" a écrit dans le message de groupe de discussion : 1o1nne2.1s82wve1hw9eu9N%
Gloops wrote:
Réindustrialiser le pays et diminuer le chômage, je crois que personne ne serait contre. Il y a moins unanimité sur la façon de s'y prendre.
Tout simplement parce que c'est antinomique ! Industrialiser veut dire accélérer : 1/ l'automatisation 2/ la reconversion/transition des métiers --> plus tu industrialises vite et plus le bilan s'alourdit niveau chômage pour ces simples deux raisons "mécaniques". Exemple : la transition accélérée vers les bagnoles électriques.
Tout à fait. Mais là nous sommes prisonniers de l'élément de langage: pour être compétitifs il faut travailler plus. FAUX, il faut travailler moins et automatiser, mais les profits doivent être mieux répartis, puisque le mérite en revient aux machines (dans le système actuel: au capital, aka ceux qui "travaillent," càd ont l'argent pour investir) et par conséquent le travail mieux partagé également. Les banques jouent sur les deux tableaux, selon que vous soyez riche ou misérable, profits pour les riches, et chômage pour les misérables. Selon la théorie économique, les besoins de l'homme sont infinis. Mais pas seulement les besoins en produits industriels. Si les gens travaillent moins, ils n'en sont pas pour autant oisifs, et donc pas exposés à tous les vices. Il y a énormément de "choses à faires" qui ne sont pas faites parce que les forces vives sont absorbées soit par le travail, soit par la recherche d'emploi et/la la survie.
Pour être compétitif il faut : - avoir une monnaie sous-évaluée (Allemagne, Chine), - une densité industrielle importante (Allemagne, Corée, Chine, Taïwan, Singapour), - une main-d'oeuvre bien formée (Allemagne, Corée, Chine, Taïwan, Singapour), - des impôts et des taxes assez bas (Chine, Taïwan, Corée, Singapour). En situation de libre circulation des capitaux les investisseurs comparent les taux de rentabilité pays par pays. Et la France avec ses DOM-TOM, sa force de frappe, son armée surdimensionnée, ses dépenses publiques trop élevées, sa complexité administrative inutile, ses frontières ouvertes à toute la misère du monde est très peu attractive. C'est d'ailleurs la principale raison pour laquelle il faut sortir de l'UE. En contrôlant les mouvements de capitaux, en surtaxant les plus-values boursières et immobilières et en monétisant son déficit budgétaire la France peut obliger les capitaux français à s'investir dans l'industrie. Et si la France sort aussi de l'euro et dévalue le franc de 50% (à la de Gaulle) alors elle attirera les capitaux étrangers, ravis de profiter d'une main d'oeuvre bon marché.
Cardinal de H=c3=a8re
Le 19/01/2019 à 18:19, Gerald a écrit :
Cl.Massé wrote:
Tout à fait. Mais là nous sommes prisonniers de l'élément de langage: pour être compétitifs il faut travailler plus. FAUX, il faut travailler moins et automatiser, mais les profits doivent être mieux répartis, puisque le mérite en revient aux machines (dans le système actuel: au capital, aka ceux qui "travaillent," càd ont l'argent pour investir) et par conséquent le travail mieux partagé également.
Puis-je te suggérer que tu restes en chemin dans cette réflexion ? Pour être clair : 1/ la question n'est pas de travailler "moins" mais de déconnecter le travail du revenu. C'est le principe du "salaire à vie" de Bernard Friot qui n'a RIEN à voir avec le "revenu universel". C'est en fait la généralisation du principe du fonctionnariat : le salaire n'est pas attaché à la fonction mais à la qualification, et ça marche TRÈS BIEN ! Détails <https://www.youtube.com/watch?v=uhg0SUYOXjw> 2/ Le pas suivant est un peu indigeste pour certains mais immensément logique : une fois tout le monde "fonctionnarisé" (et ne travaillant que de manière volontaire puisque le salaire est "à vie") on constate simplement la disparition totale des revenus du capital (les bénéfices éventuels sont tous réinvestis). Ah zut ! Il y en a que ça gêne ? ;-)
Ce qui gêne c'est la certitude du désastre économique. Comme en URSS, à Cuba, dans la Chine de Mao et au Venezuela un pays de fonctionnaires ne marche pas !
Le 19/01/2019 à 18:19, Gerald a écrit :
Cl.Massé <contact@nospam.invalid> wrote:
Tout à fait. Mais là nous sommes prisonniers de l'élément de langage: pour
être compétitifs il faut travailler plus. FAUX, il faut travailler moins et
automatiser, mais les profits doivent être mieux répartis, puisque le mérite
en revient aux machines (dans le système actuel: au capital, aka ceux qui
"travaillent," càd ont l'argent pour investir) et par conséquent le travail
mieux partagé également.
Puis-je te suggérer que tu restes en chemin dans cette réflexion ? Pour
être clair :
1/ la question n'est pas de travailler "moins" mais de déconnecter le
travail du revenu. C'est le principe du "salaire à vie" de Bernard Friot
qui n'a RIEN à voir avec le "revenu universel".
C'est en fait la généralisation du principe du fonctionnariat : le
salaire n'est pas attaché à la fonction mais à la qualification, et ça
marche TRÈS BIEN ! Détails <https://www.youtube.com/watch?v=uhg0SUYOXjw>
2/ Le pas suivant est un peu indigeste pour certains mais immensément
logique : une fois tout le monde "fonctionnarisé" (et ne travaillant que
de manière volontaire puisque le salaire est "à vie") on constate
simplement la disparition totale des revenus du capital (les bénéfices
éventuels sont tous réinvestis). Ah zut ! Il y en a que ça gêne ? ;-)
Ce qui gêne c'est la certitude du désastre économique. Comme en URSS, à
Cuba, dans la Chine de Mao et au Venezuela un pays de fonctionnaires ne
marche pas !
Tout à fait. Mais là nous sommes prisonniers de l'élément de langage: pour être compétitifs il faut travailler plus. FAUX, il faut travailler moins et automatiser, mais les profits doivent être mieux répartis, puisque le mérite en revient aux machines (dans le système actuel: au capital, aka ceux qui "travaillent," càd ont l'argent pour investir) et par conséquent le travail mieux partagé également.
Puis-je te suggérer que tu restes en chemin dans cette réflexion ? Pour être clair : 1/ la question n'est pas de travailler "moins" mais de déconnecter le travail du revenu. C'est le principe du "salaire à vie" de Bernard Friot qui n'a RIEN à voir avec le "revenu universel". C'est en fait la généralisation du principe du fonctionnariat : le salaire n'est pas attaché à la fonction mais à la qualification, et ça marche TRÈS BIEN ! Détails <https://www.youtube.com/watch?v=uhg0SUYOXjw> 2/ Le pas suivant est un peu indigeste pour certains mais immensément logique : une fois tout le monde "fonctionnarisé" (et ne travaillant que de manière volontaire puisque le salaire est "à vie") on constate simplement la disparition totale des revenus du capital (les bénéfices éventuels sont tous réinvestis). Ah zut ! Il y en a que ça gêne ? ;-)
Ce qui gêne c'est la certitude du désastre économique. Comme en URSS, à Cuba, dans la Chine de Mao et au Venezuela un pays de fonctionnaires ne marche pas !
Cardinal de H=c3=a8re
Le 19/01/2019 à 20:59, Cl.Massé a écrit :
"Cardinal de Hère" a écrit dans le message de groupe de discussion : q1vc5b$463$
Le 19/01/2019 à 14:43, Gerald a écrit :
Tout simplement parce que c'est antinomique ! Industrialiser veut
dire > accélérer :
1/ l'automatisation 2/ la reconversion/transition des métiers --> plus tu industrialises vite et plus le bilan s'alourdit niveau >
chômage pour ces simples deux raisons "mécaniques".
Exemple : la transition accélérée vers les bagnoles électriques.
C'est totalement faux. L'industrie est la seule source d'emplois bien payés. Prenons l'exemple de la robotique : les robots il faut les concevoir, les expérimenter, les fabriquer, les monter sur leur lieu de production, les piloter, les entretenir, les réparer. Et c'est autant de boulots hyper bien payés parce que très qualifiés.
Et ces machines hyper sophistiquées partent en Chine ou au Bangladesh. Au pays, ça ne demande que quelques ingénieurs, travaillant 48 et payés 35, et ça ne s'adresse qu'à une petite partie de la population.
On peut forcer la réindustrialisation de la France, sans toucher à sa structure sociale. Mais il faut sortir de l'UE afin de dévaluer la monnaie de presque 50% (à la de Gaulle), de contrôler les mouvements de capitaux, de pratiquer le protectionnisme et de mener une politique énergétique fondée sur le nucléaire de quatrième génération. On pourrait également simplifier le fonctionnement administratif de la France qui est anormalement et inutilement complexe et éventuellement larguer les DOM-TOM et la Corse. Les réformes sont faciles à mettre en oeuvre et leur effet est presque immédiat. Malheureusement les Français ne comprennent rien à l'économie.
Le 19/01/2019 à 20:59, Cl.Massé a écrit :
"Cardinal de Hère" a écrit dans le message de groupe de discussion :
q1vc5b$463$1@dont-email.me...
Le 19/01/2019 à 14:43, Gerald a écrit :
> Tout simplement parce que c'est antinomique ! Industrialiser veut
dire > accélérer :
> 1/ l'automatisation
> 2/ la reconversion/transition des métiers
>
> --> plus tu industrialises vite et plus le bilan s'alourdit niveau >
chômage pour ces simples deux raisons "mécaniques".
>
> Exemple : la transition accélérée vers les bagnoles électriques.
C'est totalement faux. L'industrie est la seule source d'emplois bien
payés. Prenons l'exemple de la robotique : les robots il faut les
concevoir, les expérimenter, les fabriquer, les monter sur leur lieu
de production, les piloter, les entretenir, les réparer. Et c'est
autant de boulots hyper bien payés parce que très qualifiés.
Et ces machines hyper sophistiquées partent en Chine ou au Bangladesh.
Au pays, ça ne demande que quelques ingénieurs, travaillant 48 et payés
35, et ça ne s'adresse qu'à une petite partie de la population.
On peut forcer la réindustrialisation de la France, sans toucher à sa
structure sociale. Mais il faut sortir de l'UE afin de dévaluer la
monnaie de presque 50% (à la de Gaulle), de contrôler les mouvements de
capitaux, de pratiquer le protectionnisme et de mener une politique
énergétique fondée sur le nucléaire de quatrième génération. On pourrait
également simplifier le fonctionnement administratif de la France qui
est anormalement et inutilement complexe et éventuellement larguer les
DOM-TOM et la Corse. Les réformes sont faciles à mettre en oeuvre et
leur effet est presque immédiat. Malheureusement les Français ne
comprennent rien à l'économie.
"Cardinal de Hère" a écrit dans le message de groupe de discussion : q1vc5b$463$
Le 19/01/2019 à 14:43, Gerald a écrit :
Tout simplement parce que c'est antinomique ! Industrialiser veut
dire > accélérer :
1/ l'automatisation 2/ la reconversion/transition des métiers --> plus tu industrialises vite et plus le bilan s'alourdit niveau >
chômage pour ces simples deux raisons "mécaniques".
Exemple : la transition accélérée vers les bagnoles électriques.
C'est totalement faux. L'industrie est la seule source d'emplois bien payés. Prenons l'exemple de la robotique : les robots il faut les concevoir, les expérimenter, les fabriquer, les monter sur leur lieu de production, les piloter, les entretenir, les réparer. Et c'est autant de boulots hyper bien payés parce que très qualifiés.
Et ces machines hyper sophistiquées partent en Chine ou au Bangladesh. Au pays, ça ne demande que quelques ingénieurs, travaillant 48 et payés 35, et ça ne s'adresse qu'à une petite partie de la population.
On peut forcer la réindustrialisation de la France, sans toucher à sa structure sociale. Mais il faut sortir de l'UE afin de dévaluer la monnaie de presque 50% (à la de Gaulle), de contrôler les mouvements de capitaux, de pratiquer le protectionnisme et de mener une politique énergétique fondée sur le nucléaire de quatrième génération. On pourrait également simplifier le fonctionnement administratif de la France qui est anormalement et inutilement complexe et éventuellement larguer les DOM-TOM et la Corse. Les réformes sont faciles à mettre en oeuvre et leur effet est presque immédiat. Malheureusement les Français ne comprennent rien à l'économie.
Cl.Massé
"Cardinal de Hère" a écrit dans le message de groupe de discussion : q2052b$5c5$
L'Islande et le Portugal se sont redressés en pratiquant un libéralisme forcené pour la première, en se transformant en paradis fiscal pour le second et tout deux en exportant vers le monde entier entre 20 et 30% de leur jeunesse !
Je ne crois pas à ce genre de mensonge. La France est sur le point de subir le sort de la Grèce, elle est la risée du monde entier, regorge d'arrogants qui s'auto-désignent "élite," a le taux de chômage le plus élevé d'Europe, se prétend avancée socialement alors que 6000 sans abri meurent prématurément par an, et c'est même pas un pays démocratique vu que la chasse au flashball y est ouverte, ce qui colle avec sa réputation de violence policière. A côté, l'Islande ou le Portugal c'est le Paradis. -- ~~~~ clmasse chez libre Hexagone Liberté, Egalité, Sale assisté.
"Cardinal de Hère" a écrit dans le message de groupe de discussion :
q2052b$5c5$1@dont-email.me...
L'Islande et le Portugal se sont redressés en pratiquant un libéralisme
forcené pour la première, en se transformant en paradis fiscal pour le
second et tout deux en exportant vers le monde entier entre 20 et 30% de
leur jeunesse !
Je ne crois pas à ce genre de mensonge. La France est sur le point de subir
le sort de la Grèce, elle est la risée du monde entier, regorge d'arrogants
qui s'auto-désignent "élite," a le taux de chômage le plus élevé d'Europe,
se prétend avancée socialement alors que 6000 sans abri meurent
prématurément par an, et c'est même pas un pays démocratique vu que la
chasse au flashball y est ouverte, ce qui colle avec sa réputation de
violence policière. A côté, l'Islande ou le Portugal c'est le Paradis.
-- ~~~~ clmasse chez libre Hexagone
Liberté, Egalité, Sale assisté.
"Cardinal de Hère" a écrit dans le message de groupe de discussion : q2052b$5c5$
L'Islande et le Portugal se sont redressés en pratiquant un libéralisme forcené pour la première, en se transformant en paradis fiscal pour le second et tout deux en exportant vers le monde entier entre 20 et 30% de leur jeunesse !
Je ne crois pas à ce genre de mensonge. La France est sur le point de subir le sort de la Grèce, elle est la risée du monde entier, regorge d'arrogants qui s'auto-désignent "élite," a le taux de chômage le plus élevé d'Europe, se prétend avancée socialement alors que 6000 sans abri meurent prématurément par an, et c'est même pas un pays démocratique vu que la chasse au flashball y est ouverte, ce qui colle avec sa réputation de violence policière. A côté, l'Islande ou le Portugal c'est le Paradis. -- ~~~~ clmasse chez libre Hexagone Liberté, Egalité, Sale assisté.
voir_le_reply-to
Cl.Massé wrote:
A côté, l'Islande ou le Portugal c'est le Paradis.
Mais surtout : quel intérêt présentent ces comparaisons qui n'en sont pas et ne peuvent pas en être ! Elles ne *démontrent* rien ! Le système éducatif finlandais est considéré comme le plus performant qui soit ? Leur système carcéral aussi ? *Malheureusement* ce n'est pas transposable : leur culture millénaire est tellement différente qu'aucune transposition directe du modèle n'est possible, il faudrait changer tant de choses au quotidien et les mentalités avec ! Dans les pays nordiques les mecs pissent ASSIS : les jeunes, les vieux, tous. Simplement par RESPECT des nanas, et les toilettes sont unisexe, pas besoin de polémiques sur les questions de genre etc. Ce n'est pas grand chose, c'est tellement simple et facile... mais imagine la révolution que ça serait de tenter de convertir à cette pratique la moitié de la population française ! Alors le reste ! -- Gérald
Cl.Massé <contact@nospam.invalid> wrote:
A côté, l'Islande ou le Portugal c'est le Paradis.
Mais surtout : quel intérêt présentent ces comparaisons qui n'en sont
pas et ne peuvent pas en être ! Elles ne *démontrent* rien !
Le système éducatif finlandais est considéré comme le plus performant
qui soit ? Leur système carcéral aussi ? *Malheureusement* ce n'est pas
transposable : leur culture millénaire est tellement différente
qu'aucune transposition directe du modèle n'est possible, il faudrait
changer tant de choses au quotidien et les mentalités avec !
Dans les pays nordiques les mecs pissent ASSIS : les jeunes, les vieux,
tous. Simplement par RESPECT des nanas, et les toilettes sont unisexe,
pas besoin de polémiques sur les questions de genre etc.
Ce n'est pas grand chose, c'est tellement simple et facile... mais
imagine la révolution que ça serait de tenter de convertir à cette
pratique la moitié de la population française ! Alors le reste !
A côté, l'Islande ou le Portugal c'est le Paradis.
Mais surtout : quel intérêt présentent ces comparaisons qui n'en sont pas et ne peuvent pas en être ! Elles ne *démontrent* rien ! Le système éducatif finlandais est considéré comme le plus performant qui soit ? Leur système carcéral aussi ? *Malheureusement* ce n'est pas transposable : leur culture millénaire est tellement différente qu'aucune transposition directe du modèle n'est possible, il faudrait changer tant de choses au quotidien et les mentalités avec ! Dans les pays nordiques les mecs pissent ASSIS : les jeunes, les vieux, tous. Simplement par RESPECT des nanas, et les toilettes sont unisexe, pas besoin de polémiques sur les questions de genre etc. Ce n'est pas grand chose, c'est tellement simple et facile... mais imagine la révolution que ça serait de tenter de convertir à cette pratique la moitié de la population française ! Alors le reste ! -- Gérald
voir_le_reply-to
Cl.Massé wrote:
"Cardinal de Hère" a écrit dans le message de groupe de discussion : q1vc5b$463$
C'est totalement faux. L'industrie est la seule source d'emplois bien payés. Prenons l'exemple de la robotique : les robots il faut les concevoir, les expérimenter, les fabriquer, les monter sur leur lieu de production, les piloter, les entretenir, les réparer. Et c'est autant de boulots hyper bien payés parce que très qualifiés.
Et ces machines hyper sophistiquées partent en Chine ou au Bangladesh. Au pays, ça ne demande que quelques ingénieurs, travaillant 48 et payés 35, et ça ne s'adresse qu'à une petite partie de la population.
- Le "cardinal" est plonké chez moi depuis des lustres : qu'il persiste à me répondre *en le sachant* n'indique pas un grand niveau d'intelligence - et, en l'occurence, qu'il nie à ce point l'évidence d'une transition que nul ne conteste en rajoute une couche, mais pose surtout la question du "pourquoi" ? Quelle "raison" supérieure peut-elle bien l'animer ? Au point de contester des chiffres donnés par les *dirigeants* des industries en question (récemment les grands constructeurs allemands, qui estiment à terme la division par HUIT des emplois dans leur filière en conséquence du passage à la motorisation électrique) ? J'aurais tendance à dire (en charte) la *compréhension* (consciente ? ou pas ?) de la pertinence du modèle (de la solution) politique qui se profile et que j'évoquais, et qui bouleverse quelque peu le sien ! Tu fais, à juste titre, la distinction entre pays du "tertiaire" et pays du "primaire et secondaire". Il faudrait probablement augmenter cette segmentation de manière plus fine MAIS au moins pour la France, on a vu la logique s'imposer secteur par secteur : aciéries et filatures fermées et délocalisées, agriculture "remembrée" concentrée et exangue, filières et habitudes de vies remises en question en quelques années, moins d'une décade (productions tabacoles du sud-ouest, marché de la viande et habitudes alimentaires, abandon du diesel sur une durée tellement courte, zéro-papier, services publics en ligne...) ...à quoi j'ajoute : disparition de la notion de service public remplacée par la "rentabilité obligée" (tarification à l'acte etc.), disparition de la notion de solidarité et de la plupart des valeurs humanistes (accueil, compassion, bénévolat... elles ont une sacrée sale gueule les religions dans ce contexte, ne défendant plus que l'immobilisme, voire le retour en arrière et l'intégrisme ! Cardinal de mon cul !) "Le monde et les temps changent" disait le poète : que oui et vite ! Ce qui n'est pas clair (mais peut-être va-t-il nous aider ?) est la manière dont les tenants du libéralisme, du profit à outrance, du pillage des ressources et de la liquidation de la planète... envisagent vraiment la suite, ne serait-ce que pour réussir à contenir la colère des masses. Ce qu'on en entrevoit ne me remplit pas de joie. Sur Facebook, un fils de capitaliste iranien fait le buzz en ce moment, dans un cynisme effrayant sur le thème "mort aux pauvres, crevez !". Lui aussi va crever, peut-être avant bien des pauvres... le khon ! Carpe diem, les amis ! Et investissez dans l'intelligence, c'est gratuit. -- Gérald
Cl.Massé <contact@nospam.invalid> wrote:
"Cardinal de Hère" a écrit dans le message de groupe de discussion :
q1vc5b$463$1@dont-email.me...
> C'est totalement faux. L'industrie est la seule source d'emplois bien
> payés. Prenons l'exemple de la robotique : les robots il faut les
> concevoir, les expérimenter, les fabriquer, les monter sur leur lieu de
> production, les piloter, les entretenir, les réparer. Et c'est autant de
> boulots hyper bien payés parce que très qualifiés.
Et ces machines hyper sophistiquées partent en Chine ou au Bangladesh. Au
pays, ça ne demande que quelques ingénieurs, travaillant 48 et payés 35, et
ça ne s'adresse qu'à une petite partie de la population.
- Le "cardinal" est plonké chez moi depuis des lustres : qu'il persiste
à me répondre *en le sachant* n'indique pas un grand niveau
d'intelligence
- et, en l'occurence, qu'il nie à ce point l'évidence d'une transition
que nul ne conteste en rajoute une couche, mais pose surtout la question
du "pourquoi" ? Quelle "raison" supérieure peut-elle bien l'animer ? Au
point de contester des chiffres donnés par les *dirigeants* des
industries en question (récemment les grands constructeurs allemands,
qui estiment à terme la division par HUIT des emplois dans leur filière
en conséquence du passage à la motorisation électrique) ?
J'aurais tendance à dire (en charte) la *compréhension* (consciente ? ou
pas ?) de la pertinence du modèle (de la solution) politique qui se
profile et que j'évoquais, et qui bouleverse quelque peu le sien !
Tu fais, à juste titre, la distinction entre pays du "tertiaire" et pays
du "primaire et secondaire". Il faudrait probablement augmenter cette
segmentation de manière plus fine MAIS au moins pour la France, on a vu
la logique s'imposer secteur par secteur : aciéries et filatures fermées
et délocalisées, agriculture "remembrée" concentrée et exangue, filières
et habitudes de vies remises en question en quelques années, moins d'une
décade (productions tabacoles du sud-ouest, marché de la viande et
habitudes alimentaires, abandon du diesel sur une durée tellement
courte, zéro-papier, services publics en ligne...)
...à quoi j'ajoute : disparition de la notion de service public
remplacée par la "rentabilité obligée" (tarification à l'acte etc.),
disparition de la notion de solidarité et de la plupart des valeurs
humanistes (accueil, compassion, bénévolat... elles ont une sacrée sale
gueule les religions dans ce contexte, ne défendant plus que
l'immobilisme, voire le retour en arrière et l'intégrisme ! Cardinal de
mon cul !)
"Le monde et les temps changent" disait le poète : que oui et vite ! Ce
qui n'est pas clair (mais peut-être va-t-il nous aider ?) est la manière
dont les tenants du libéralisme, du profit à outrance, du pillage des
ressources et de la liquidation de la planète... envisagent vraiment la
suite, ne serait-ce que pour réussir à contenir la colère des masses. Ce
qu'on en entrevoit ne me remplit pas de joie.
Sur Facebook, un fils de capitaliste iranien fait le buzz en ce moment,
dans un cynisme effrayant sur le thème "mort aux pauvres, crevez !". Lui
aussi va crever, peut-être avant bien des pauvres... le khon !
Carpe diem, les amis ! Et investissez dans l'intelligence, c'est
gratuit.
"Cardinal de Hère" a écrit dans le message de groupe de discussion : q1vc5b$463$
C'est totalement faux. L'industrie est la seule source d'emplois bien payés. Prenons l'exemple de la robotique : les robots il faut les concevoir, les expérimenter, les fabriquer, les monter sur leur lieu de production, les piloter, les entretenir, les réparer. Et c'est autant de boulots hyper bien payés parce que très qualifiés.
Et ces machines hyper sophistiquées partent en Chine ou au Bangladesh. Au pays, ça ne demande que quelques ingénieurs, travaillant 48 et payés 35, et ça ne s'adresse qu'à une petite partie de la population.
- Le "cardinal" est plonké chez moi depuis des lustres : qu'il persiste à me répondre *en le sachant* n'indique pas un grand niveau d'intelligence - et, en l'occurence, qu'il nie à ce point l'évidence d'une transition que nul ne conteste en rajoute une couche, mais pose surtout la question du "pourquoi" ? Quelle "raison" supérieure peut-elle bien l'animer ? Au point de contester des chiffres donnés par les *dirigeants* des industries en question (récemment les grands constructeurs allemands, qui estiment à terme la division par HUIT des emplois dans leur filière en conséquence du passage à la motorisation électrique) ? J'aurais tendance à dire (en charte) la *compréhension* (consciente ? ou pas ?) de la pertinence du modèle (de la solution) politique qui se profile et que j'évoquais, et qui bouleverse quelque peu le sien ! Tu fais, à juste titre, la distinction entre pays du "tertiaire" et pays du "primaire et secondaire". Il faudrait probablement augmenter cette segmentation de manière plus fine MAIS au moins pour la France, on a vu la logique s'imposer secteur par secteur : aciéries et filatures fermées et délocalisées, agriculture "remembrée" concentrée et exangue, filières et habitudes de vies remises en question en quelques années, moins d'une décade (productions tabacoles du sud-ouest, marché de la viande et habitudes alimentaires, abandon du diesel sur une durée tellement courte, zéro-papier, services publics en ligne...) ...à quoi j'ajoute : disparition de la notion de service public remplacée par la "rentabilité obligée" (tarification à l'acte etc.), disparition de la notion de solidarité et de la plupart des valeurs humanistes (accueil, compassion, bénévolat... elles ont une sacrée sale gueule les religions dans ce contexte, ne défendant plus que l'immobilisme, voire le retour en arrière et l'intégrisme ! Cardinal de mon cul !) "Le monde et les temps changent" disait le poète : que oui et vite ! Ce qui n'est pas clair (mais peut-être va-t-il nous aider ?) est la manière dont les tenants du libéralisme, du profit à outrance, du pillage des ressources et de la liquidation de la planète... envisagent vraiment la suite, ne serait-ce que pour réussir à contenir la colère des masses. Ce qu'on en entrevoit ne me remplit pas de joie. Sur Facebook, un fils de capitaliste iranien fait le buzz en ce moment, dans un cynisme effrayant sur le thème "mort aux pauvres, crevez !". Lui aussi va crever, peut-être avant bien des pauvres... le khon ! Carpe diem, les amis ! Et investissez dans l'intelligence, c'est gratuit. -- Gérald
jdd
Le 19/01/2019 à 22:44, Cardinal de Hère a écrit :
étrangers, ravis de profiter d'une main d'oeuvre bon marché.
et ca ramènera la France et ses travailleurs au niveau de la Chine des années 1950.. les financiers, eux, ne seront pas moins riches :-( jdd -- http://dodin.org
Le 19/01/2019 à 22:44, Cardinal de Hère a écrit :
étrangers, ravis de profiter d'une main d'oeuvre bon marché.
et ca ramènera la France et ses travailleurs au niveau de la Chine des
années 1950..
les financiers, eux, ne seront pas moins riches :-(
étrangers, ravis de profiter d'une main d'oeuvre bon marché.
et ca ramènera la France et ses travailleurs au niveau de la Chine des années 1950.. les financiers, eux, ne seront pas moins riches :-( jdd -- http://dodin.org
jdd
Le 19/01/2019 à 23:03, Cardinal de Hère a écrit :
structure sociale. Mais il faut sortir de l'UE afin de dévaluer la monnaie de presque 50% (à la de Gaulle),
rien que ca c'est idiot, pardon. Si tu le fais tu double le prix de *tout*, tu divise donc la pouvoir d'achat par deux au moins et tu ruine le pays, car les autres fermeront leurs frontières. il faut *d'abord* réindustrialiser, mais le pays sans usine est théorisé par le grand patronat depuis un demi-siècle (je lisais l'Usine Nouvelle, à l'époque) c'est donc 50 ans de boulot jdd -- http://dodin.org
Le 19/01/2019 à 23:03, Cardinal de Hère a écrit :
structure sociale. Mais il faut sortir de l'UE afin de dévaluer la
monnaie de presque 50% (à la de Gaulle),
rien que ca c'est idiot, pardon. Si tu le fais tu double le prix de
*tout*, tu divise donc la pouvoir d'achat par deux au moins et tu ruine
le pays, car les autres fermeront leurs frontières.
il faut *d'abord* réindustrialiser, mais le pays sans usine est théorisé
par le grand patronat depuis un demi-siècle (je lisais l'Usine Nouvelle,
à l'époque)
structure sociale. Mais il faut sortir de l'UE afin de dévaluer la monnaie de presque 50% (à la de Gaulle),
rien que ca c'est idiot, pardon. Si tu le fais tu double le prix de *tout*, tu divise donc la pouvoir d'achat par deux au moins et tu ruine le pays, car les autres fermeront leurs frontières. il faut *d'abord* réindustrialiser, mais le pays sans usine est théorisé par le grand patronat depuis un demi-siècle (je lisais l'Usine Nouvelle, à l'époque) c'est donc 50 ans de boulot jdd -- http://dodin.org
jdd
Le 20/01/2019 à 01:16, Cl.Massé a écrit :
violence policière. A côté, l'Islande ou le Portugal c'est le Paradis.
et, au moins pour le Portugal, très ouvert à l'immigration européenne. Qu'attendez-vous? moi j'y songe (mais je ne parle pas lusitanien) jdd -- http://dodin.org
Le 20/01/2019 à 01:16, Cl.Massé a écrit :
violence policière. A côté, l'Islande ou le Portugal c'est le Paradis.
et, au moins pour le Portugal, très ouvert à l'immigration européenne.
Qu'attendez-vous?
violence policière. A côté, l'Islande ou le Portugal c'est le Paradis.
et, au moins pour le Portugal, très ouvert à l'immigration européenne. Qu'attendez-vous? moi j'y songe (mais je ne parle pas lusitanien) jdd -- http://dodin.org
Gloops
Le 19 Janvier 2019 à 14:43, Gerald a écrit :
Gloops wrote:
Son programme aurait peut-être mérité que j'y fasse plus attention.
Au-delà de l'homme, il y a le parti... qui présentait effectivement des anticipations lucides par rapport à certaines revendications actuelles MAIS il va rester à confirmer que ce parti réussit à s'affranchir de tout ce qu'on reproche aux autres et c'est loin d'être gagné : bien que "désignés", les têtes de liste dont la tronche s'affiche systématiquement en grand sur tous les médias ne laisse pas bien augurer d'un recentrage sur les objectifs d'une part (non personnels) et la représentation de tous d'autre part (délégation révocable à tout moment ? comment ?)
Une précédente loi électorale qui prévoyait des moyens officiels de campagne allait dans le bon sens. Probablement faut-il aller plus loin, et probablement prévoir des sanctions contre les supports de communication qui accepteraient des moyens de paiement autres que la banque électorale officielle, pour les campagnes. --
(origine dans fr.soc.politique,fr.misc.droit)
*** Besoin d'un autre système, pas d'un autre gouvernement.
Le 19 Janvier 2019 à 14:43, Gerald
<voir_le_reply-to@car.cette.adresse.est.invalid> a écrit :
Gloops <gloops@zailes.invalid.org.invalid> wrote:
Son programme aurait peut-être mérité que j'y fasse plus attention.
Au-delà de l'homme, il y a le parti... qui présentait effectivement des
anticipations lucides par rapport à certaines revendications actuelles
MAIS il va rester à confirmer que ce parti réussit à s'affranchir de
tout ce qu'on reproche aux autres et c'est loin d'être gagné : bien que
"désignés", les têtes de liste dont la tronche s'affiche
systématiquement en grand sur tous les médias ne laisse pas bien augurer
d'un recentrage sur les objectifs d'une part (non personnels) et la
représentation de tous d'autre part (délégation révocable à tout moment
? comment ?)
Une précédente loi électorale qui prévoyait des moyens officiels de
campagne allait dans le bon sens. Probablement faut-il aller plus loin,
et probablement prévoir des sanctions contre les supports de
communication qui accepteraient des moyens de paiement autres que la
banque électorale officielle, pour les campagnes.
--
(origine dans fr.soc.politique,fr.misc.droit)
***
Besoin d'un autre système, pas d'un autre gouvernement.
Son programme aurait peut-être mérité que j'y fasse plus attention.
Au-delà de l'homme, il y a le parti... qui présentait effectivement des anticipations lucides par rapport à certaines revendications actuelles MAIS il va rester à confirmer que ce parti réussit à s'affranchir de tout ce qu'on reproche aux autres et c'est loin d'être gagné : bien que "désignés", les têtes de liste dont la tronche s'affiche systématiquement en grand sur tous les médias ne laisse pas bien augurer d'un recentrage sur les objectifs d'une part (non personnels) et la représentation de tous d'autre part (délégation révocable à tout moment ? comment ?)
Une précédente loi électorale qui prévoyait des moyens officiels de campagne allait dans le bon sens. Probablement faut-il aller plus loin, et probablement prévoir des sanctions contre les supports de communication qui accepteraient des moyens de paiement autres que la banque électorale officielle, pour les campagnes. --
(origine dans fr.soc.politique,fr.misc.droit)
*** Besoin d'un autre système, pas d'un autre gouvernement.