Etat des lieux, mon jardin dévasté par les taupes. Elles travaillent
hardi sous la neige et en peu de temps effondrent le terrain. Mon fils les
guette comme un esquimau des Vosges. Cause perdue, il va falloir replanter
au printemps. Le voisin rigole depuis sa fenêtre, il bascule lui aussi,
heureusement de l'autre coté :
http://pagesperso-orange.fr/albert.lemoine/panoramique/vimenil/jardin.htm
Amitiés,
albert
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Photographies imaginaires
http://perso.orange.fr/albert.lemoine
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C'est marrant, je viens de poster un message plus bas dans l'arborescence (fractale ?) du fil où je cite Varini et je le retrouve aussitôt ici. Plus bas je n'en dis que du bien, ici tu le démontes, juste en changeant son point de vue. C'est très étonnant ! Finalement les jugements sur l'art ne sont qu'une affaire de point de vue. Excuse l'esprit d'escalier qui m'entraîne tout en bas, là où les jugements prennent forme, dans l'amalgame des informations mêlées aux impressions. Mais il faut reconnaître une chose : L'art circule, et comme les courants d'airs, donne le rhume à certains et pour d'autres fait tourner les cerfs-volants.
Amitiés, albert
C'est marrant, je viens de poster un message plus bas dans
l'arborescence (fractale ?) du fil où je cite Varini et je le retrouve
aussitôt ici. Plus bas je n'en dis que du bien, ici tu le démontes, juste en
changeant son point de vue. C'est très étonnant ! Finalement les jugements
sur l'art ne sont qu'une affaire de point de vue. Excuse l'esprit d'escalier
qui m'entraîne tout en bas, là où les jugements prennent forme, dans
l'amalgame des informations mêlées aux impressions. Mais il faut reconnaître
une chose : L'art circule, et comme les courants d'airs, donne le rhume à
certains et pour d'autres fait tourner les cerfs-volants.
C'est marrant, je viens de poster un message plus bas dans l'arborescence (fractale ?) du fil où je cite Varini et je le retrouve aussitôt ici. Plus bas je n'en dis que du bien, ici tu le démontes, juste en changeant son point de vue. C'est très étonnant ! Finalement les jugements sur l'art ne sont qu'une affaire de point de vue. Excuse l'esprit d'escalier qui m'entraîne tout en bas, là où les jugements prennent forme, dans l'amalgame des informations mêlées aux impressions. Mais il faut reconnaître une chose : L'art circule, et comme les courants d'airs, donne le rhume à certains et pour d'autres fait tourner les cerfs-volants.
Amitiés, albert
filh
Alban Taraire wrote:
Bref, tu essaies de contredire des propos que personne ne tient,
Ah ben c'est le péché mignon de BB...
FiLH
-- Le fondement du constat bourgeois, c'est le bon sens, c'est-à-dire une vérité qui s'arrête sur l'ordre arbitraire de celui qui la parle. Roland Barthes. http://www.filh.org
Alban Taraire <zarma@toto.com> wrote:
Bref, tu essaies de contredire des propos que personne ne tient,
Ah ben c'est le péché mignon de BB...
FiLH
--
Le fondement du constat bourgeois, c'est le bon sens, c'est-à-dire
une vérité qui s'arrête sur l'ordre arbitraire de celui qui la parle.
Roland Barthes.
http://www.filh.org
Bref, tu essaies de contredire des propos que personne ne tient,
Ah ben c'est le péché mignon de BB...
FiLH
-- Le fondement du constat bourgeois, c'est le bon sens, c'est-à-dire une vérité qui s'arrête sur l'ordre arbitraire de celui qui la parle. Roland Barthes. http://www.filh.org
Charles VASSALLO
Bour-Brown wrote:
Ici le principe est basique : quand on projette une image sur des supports variés et qu'on regarde du côté, on ne voit que des distorsions et des ruptures. Pas grave. Si on peint sur ces supports exactement ce qu'on voit, et si après on se met à la place du projecteur, on va retrouver l'image initiale.
Ah ! Tu avais remarqué, toi aussi ? Pas bête, hein...
Charles
Bour-Brown wrote:
Ici le principe est basique : quand on projette une image sur des supports
variés et qu'on regarde du côté, on ne voit que des distorsions et des
ruptures. Pas grave. Si on peint sur ces supports exactement ce qu'on voit,
et si après on se met à la place du projecteur, on va retrouver l'image
initiale.
Ah ! Tu avais remarqué, toi aussi ?
Pas bête, hein...
Ici le principe est basique : quand on projette une image sur des supports variés et qu'on regarde du côté, on ne voit que des distorsions et des ruptures. Pas grave. Si on peint sur ces supports exactement ce qu'on voit, et si après on se met à la place du projecteur, on va retrouver l'image initiale.
Ah ! Tu avais remarqué, toi aussi ? Pas bête, hein...
Charles
Bour-Brown
albert a écrit ( news:4b80130a$0$17864$ )
Il y a la une petite contradiction : Comment peux-tu t'inscrire dans les courants artistiques contemporains [?]-) et être indifférent à la sacralisation de l'art, aux expositions, aux publications ?
On va dire que l'art est une partie importante de ma vie, mais que si tout disparaissait du jour au lendemain cela me serait complètement indifférent.
Par exemple j'admire les cathédrales - je trouve ça hallucinant jusqu'à la dernière pierre - et en même temps je reprocherais toujours à la Révolution de ne pas les avoir rasées définitivement.
Contradiction, j'admets.
D'ailleurs de quel courant artistique s'agit-il ?
Un mélange, une sorte de remix de tout ce qu'on peut voir en arts plastiques depuis des décennies. Plus on voit de choses, plus on a des chances d'en mettre des éléments ici ou là.
Tiens, par exemple ce mélange (cette image est un essai, je l'ai sous la main je la montre, mais dans l'état elle ne me plaît pas) : http://cjoint.com/?cusrK7kRo5
Eh bien l'insertion de signes et de lettres dans une composition est quelque chose de tout à fait banal aujourd'hui. Au lieu de me déranger, j'y vois une résonnance avec tous ceux qui en ont mis dans leurs oeuvres. Ça donne l'illusion de la citation, procédé aujourd'hui usé jusqu'à la corde.
albert a écrit
( news:4b80130a$0$17864$ba4acef3@reader.news.orange.fr )
Il y a la une petite contradiction : Comment peux-tu t'inscrire dans
les courants artistiques contemporains [?]-) et être indifférent à la
sacralisation de l'art, aux expositions, aux publications ?
On va dire que l'art est une partie importante de ma vie, mais que si tout
disparaissait du jour au lendemain cela me serait complètement indifférent.
Par exemple j'admire les cathédrales - je trouve ça hallucinant jusqu'à la
dernière pierre - et en même temps je reprocherais toujours à la Révolution
de ne pas les avoir rasées définitivement.
Contradiction, j'admets.
D'ailleurs de quel courant artistique s'agit-il ?
Un mélange, une sorte de remix de tout ce qu'on peut voir en arts plastiques
depuis des décennies. Plus on voit de choses, plus on a des chances d'en
mettre des éléments ici ou là.
Tiens, par exemple ce mélange (cette image est un essai, je l'ai sous la
main je la montre, mais dans
l'état elle ne me plaît pas) :
http://cjoint.com/?cusrK7kRo5
Eh bien l'insertion de signes et de lettres dans une composition est quelque
chose de tout à fait banal aujourd'hui. Au lieu de me déranger, j'y vois une
résonnance avec tous ceux qui en ont mis dans leurs oeuvres. Ça donne
l'illusion de la citation, procédé aujourd'hui usé jusqu'à la corde.
Il y a la une petite contradiction : Comment peux-tu t'inscrire dans les courants artistiques contemporains [?]-) et être indifférent à la sacralisation de l'art, aux expositions, aux publications ?
On va dire que l'art est une partie importante de ma vie, mais que si tout disparaissait du jour au lendemain cela me serait complètement indifférent.
Par exemple j'admire les cathédrales - je trouve ça hallucinant jusqu'à la dernière pierre - et en même temps je reprocherais toujours à la Révolution de ne pas les avoir rasées définitivement.
Contradiction, j'admets.
D'ailleurs de quel courant artistique s'agit-il ?
Un mélange, une sorte de remix de tout ce qu'on peut voir en arts plastiques depuis des décennies. Plus on voit de choses, plus on a des chances d'en mettre des éléments ici ou là.
Tiens, par exemple ce mélange (cette image est un essai, je l'ai sous la main je la montre, mais dans l'état elle ne me plaît pas) : http://cjoint.com/?cusrK7kRo5
Eh bien l'insertion de signes et de lettres dans une composition est quelque chose de tout à fait banal aujourd'hui. Au lieu de me déranger, j'y vois une résonnance avec tous ceux qui en ont mis dans leurs oeuvres. Ça donne l'illusion de la citation, procédé aujourd'hui usé jusqu'à la corde.
albert
> Tiens, par exemple ce mélange (cette image est un essai, je l'ai sous la main je la montre, mais dans l'état elle ne me plaît pas) : http://cjoint.com/?cusrK7kRo5
Tu m'étonnes, autant ton discours me crispe par moments, autant quand tu sors des images de cet acabit, je ne peux être qu'admiratif (à part les couleurs à chier). L'unique point de fuite vertigineux me laisse coi. Attends ! Je vais me déplacer un peu pour changer le point de vue et me défaire de la magie.. Ah! Non ! Ca marche pas. C'est toujours étonnant. Vraiment très fort. Je vais devenir un de tes admirateurs, et peut-être bientôt un de tes collectionneurs. Mais faudra bien savoir me passer la main dans le dos, hein ? Et corriger ces couleurs !
albert
> Tiens, par exemple ce mélange (cette image est un essai, je l'ai sous la
main je la montre, mais dans
l'état elle ne me plaît pas) :
http://cjoint.com/?cusrK7kRo5
Tu m'étonnes, autant ton discours me crispe par moments, autant quand tu
sors des images de cet acabit, je ne peux être qu'admiratif (à part les
couleurs à chier). L'unique point de fuite vertigineux me laisse coi.
Attends ! Je vais me déplacer un peu pour changer le point de vue et me
défaire de la magie.. Ah! Non ! Ca marche pas. C'est toujours étonnant.
Vraiment très fort. Je vais devenir un de tes admirateurs, et peut-être
bientôt un de tes collectionneurs. Mais faudra bien savoir me passer la main
dans le dos, hein ? Et corriger ces couleurs !
> Tiens, par exemple ce mélange (cette image est un essai, je l'ai sous la main je la montre, mais dans l'état elle ne me plaît pas) : http://cjoint.com/?cusrK7kRo5
Tu m'étonnes, autant ton discours me crispe par moments, autant quand tu sors des images de cet acabit, je ne peux être qu'admiratif (à part les couleurs à chier). L'unique point de fuite vertigineux me laisse coi. Attends ! Je vais me déplacer un peu pour changer le point de vue et me défaire de la magie.. Ah! Non ! Ca marche pas. C'est toujours étonnant. Vraiment très fort. Je vais devenir un de tes admirateurs, et peut-être bientôt un de tes collectionneurs. Mais faudra bien savoir me passer la main dans le dos, hein ? Et corriger ces couleurs !
albert
Bour-Brown
albert a écrit ( news:4b80130a$0$17864$ )
Je te laisse tout loisir de les découvrir en consultant Mister Google qui chez toi à dû remplacer la lecture des revues, la visite des expos, celle des ateliers, et même la rencontre directement avec les artistes, qui je te l'avoue est quand même l'expérience la plus gratifiante.
Voilà, on va le dire comme ça.
Il y aurait les gens de terrain, ceux qui savent, ceux qui n'ont pas peur du contact rugueux avec l'oeuvre et le créateur, ceux qui se frottent au réel, et puis il y aurait les autres, les dilettantes à la petite semaine, à la production électronique, les aficionados du virtuel, du vent quoi.
Je m'en fiche.
Pour tout dire, des gens comme ça j'en ai toujours connus.
Des gens pour qui le livre était sacré. Un grand auteur en livre de poche ? Lire un classique sur la plage et non pas dans une bibliothèque feutrée ? Sacrilège.
Des gens pour qui le cinéma était sacré. Un film à la télé ? Sur un petit écran, en mangent des nouilles au lieu d'être recueilli dans l'obscurité d'une salle dédiée ? Sacrilège.
Des gens pour qui la musique était sacrée. Écouter une symphonie chez soi, à n'importe quelle heure et par morceau, au lieu de s'habiller et de venir l'apprécier toute entière dans une salle de concert ? Sacrilège.
Je m'en fiche, je te dis, c'est exactement de ça que je parle quand je parle de la sacralisation de l'art.
Perso je n'ai pas besoin d'avoir un atelier qui sent la térébenthine, un ordinateur et Photoshop me fait le même usage. Je n'ai pas besoin d'aller triturer la glaise, Rhino & Povray me procurent le même plaisir. La matérialité de l'oeuvre m'indiffère. Et ça ne date pas d'hier.
albert a écrit
( news:4b80130a$0$17864$ba4acef3@reader.news.orange.fr )
Je te laisse tout loisir de les découvrir en consultant Mister Google qui
chez toi à dû remplacer la lecture des revues, la visite des expos, celle
des ateliers, et même la rencontre directement avec les artistes, qui je
te l'avoue est quand même l'expérience la plus gratifiante.
Voilà, on va le dire comme ça.
Il y aurait les gens de terrain, ceux qui savent, ceux qui n'ont pas peur du
contact rugueux avec l'oeuvre et le créateur, ceux qui se frottent au réel,
et puis il y aurait les autres, les dilettantes à la petite semaine, à la
production électronique, les aficionados du virtuel, du vent quoi.
Je m'en fiche.
Pour tout dire, des gens comme ça j'en ai toujours connus.
Des gens pour qui le livre était sacré. Un grand auteur en livre de poche ?
Lire un classique sur la plage et non pas dans une bibliothèque feutrée ?
Sacrilège.
Des gens pour qui le cinéma était sacré. Un film à la télé ? Sur un petit
écran, en mangent des nouilles au lieu d'être recueilli dans l'obscurité
d'une salle dédiée ? Sacrilège.
Des gens pour qui la musique était sacrée. Écouter une symphonie chez soi, à
n'importe quelle heure et par morceau, au lieu de s'habiller et de venir
l'apprécier toute entière dans une salle de concert ? Sacrilège.
Je m'en fiche, je te dis, c'est exactement de ça que je parle quand je parle
de la sacralisation de l'art.
Perso je n'ai pas besoin d'avoir un atelier qui sent la térébenthine, un
ordinateur et Photoshop me fait le même usage. Je n'ai pas besoin d'aller
triturer la glaise, Rhino & Povray me procurent le même plaisir. La
matérialité de l'oeuvre m'indiffère. Et ça ne date pas d'hier.
Je te laisse tout loisir de les découvrir en consultant Mister Google qui chez toi à dû remplacer la lecture des revues, la visite des expos, celle des ateliers, et même la rencontre directement avec les artistes, qui je te l'avoue est quand même l'expérience la plus gratifiante.
Voilà, on va le dire comme ça.
Il y aurait les gens de terrain, ceux qui savent, ceux qui n'ont pas peur du contact rugueux avec l'oeuvre et le créateur, ceux qui se frottent au réel, et puis il y aurait les autres, les dilettantes à la petite semaine, à la production électronique, les aficionados du virtuel, du vent quoi.
Je m'en fiche.
Pour tout dire, des gens comme ça j'en ai toujours connus.
Des gens pour qui le livre était sacré. Un grand auteur en livre de poche ? Lire un classique sur la plage et non pas dans une bibliothèque feutrée ? Sacrilège.
Des gens pour qui le cinéma était sacré. Un film à la télé ? Sur un petit écran, en mangent des nouilles au lieu d'être recueilli dans l'obscurité d'une salle dédiée ? Sacrilège.
Des gens pour qui la musique était sacrée. Écouter une symphonie chez soi, à n'importe quelle heure et par morceau, au lieu de s'habiller et de venir l'apprécier toute entière dans une salle de concert ? Sacrilège.
Je m'en fiche, je te dis, c'est exactement de ça que je parle quand je parle de la sacralisation de l'art.
Perso je n'ai pas besoin d'avoir un atelier qui sent la térébenthine, un ordinateur et Photoshop me fait le même usage. Je n'ai pas besoin d'aller triturer la glaise, Rhino & Povray me procurent le même plaisir. La matérialité de l'oeuvre m'indiffère. Et ça ne date pas d'hier.
Delestaque
Charles VASSALLO wrote:
Bour-Brown wrote:
Tu parles, depuis le temps qu'il intervient sur la scène artistique, la probabilité pour qu'un photographe tel que Georges Rousse soit indifférent aux enjeux qui traversent les champs de la photographie est absolument nulle.
C'est un mec qui baigne depuis des lustres dans la photographie plasticienne, qu'albert ose soutenir son prétendu détachement, et ça sur la foi d'une émission de télé, c'est quelque chose de... comment dire... ahurissant, voilà.
Pour ceux qui veulent se faire une idée : http://www.georgesrousse.com/informations/biographie.html
C'est finalement très difficiele d'écrire sur une photographe ou ses photos, ça confine systématiquement au délayage convenu, c'est chaque fois la même chose, quelle prose flatteuse, exercice de style bien connu, dans les rédactions ça doit tomber sur le nouveau, ... "allez, tu vas nous pondre un truc sur le photographe... " et c'est parti, l'autre se décarcasse la tronche pour essayer de sortir un truc, ça donne n'importe quoi, pas grave, personne ne lit jusqu'au bout. les expos photos, les pince fesses dans ce genre, si le champagne est correct et le petits fours d'une bonne maison, ça ira.
-- G.Ricco
Charles VASSALLO wrote:
Bour-Brown wrote:
Tu parles, depuis le temps qu'il intervient sur la scène artistique,
la probabilité pour qu'un photographe tel que Georges Rousse soit
indifférent aux enjeux qui traversent les champs de la photographie
est absolument nulle.
C'est un mec qui baigne depuis des lustres dans la photographie
plasticienne, qu'albert ose soutenir son prétendu détachement, et ça
sur la foi d'une émission de télé, c'est quelque chose de... comment
dire... ahurissant, voilà.
Pour ceux qui veulent se faire une idée :
http://www.georgesrousse.com/informations/biographie.html
C'est finalement très difficiele d'écrire sur une photographe ou ses photos,
ça confine systématiquement au délayage convenu, c'est chaque fois la même
chose, quelle prose flatteuse, exercice de style bien connu, dans les
rédactions ça doit tomber sur le nouveau, ...
"allez, tu vas nous pondre un truc sur le photographe... " et c'est parti,
l'autre se décarcasse la tronche pour essayer de sortir un truc, ça donne
n'importe quoi, pas grave, personne ne lit jusqu'au bout.
les expos photos, les pince fesses dans ce genre, si le champagne est
correct et le petits fours d'une bonne maison, ça ira.
Tu parles, depuis le temps qu'il intervient sur la scène artistique, la probabilité pour qu'un photographe tel que Georges Rousse soit indifférent aux enjeux qui traversent les champs de la photographie est absolument nulle.
C'est un mec qui baigne depuis des lustres dans la photographie plasticienne, qu'albert ose soutenir son prétendu détachement, et ça sur la foi d'une émission de télé, c'est quelque chose de... comment dire... ahurissant, voilà.
Pour ceux qui veulent se faire une idée : http://www.georgesrousse.com/informations/biographie.html
C'est finalement très difficiele d'écrire sur une photographe ou ses photos, ça confine systématiquement au délayage convenu, c'est chaque fois la même chose, quelle prose flatteuse, exercice de style bien connu, dans les rédactions ça doit tomber sur le nouveau, ... "allez, tu vas nous pondre un truc sur le photographe... " et c'est parti, l'autre se décarcasse la tronche pour essayer de sortir un truc, ça donne n'importe quoi, pas grave, personne ne lit jusqu'au bout. les expos photos, les pince fesses dans ce genre, si le champagne est correct et le petits fours d'une bonne maison, ça ira.
-- G.Ricco
Delestaque
albert wrote:
Savoir passer la main dans
le dos du collectionneur ou du galeriste est tout un art aussi, sans pour autant éprouver le besoin de leur lécher le cul.
je ne vois pas la différence ? pourrait on parler aussi de " l'art de lécher le cul " ? Assurément, on le peut.
-- G.Ricco
albert wrote:
Savoir passer la main dans
le dos du collectionneur ou du galeriste est tout un art aussi, sans
pour autant éprouver le besoin de leur lécher le cul.
je ne vois pas la différence ?
pourrait on parler aussi de " l'art de lécher le cul " ?
Assurément, on le peut.
le dos du collectionneur ou du galeriste est tout un art aussi, sans pour autant éprouver le besoin de leur lécher le cul.
je ne vois pas la différence ? pourrait on parler aussi de " l'art de lécher le cul " ? Assurément, on le peut.
-- G.Ricco
Delestaque
Bour-Brown wrote:
Voilà. On fait ça pour s'amuser, on est un aimable plaisantin, on fait ça de manière systématique pendant vingt ans en parlant d'espace-temps, on est un artiss'.
on en connait un qui systématiquement se barre dans des sortes de tourbillons flous, il fait ça depuis des années, le pire c'est que c'est un filon qui ne lui a rien rapporté , ni une titre d'artiste à Bordeaux, ni un sou, en desespoir de cause, il finit pas photographier sa bite, en revanche, ça retse net, pas de bricolages toshop, de tourbillons, pas de flou radial adaptés a la bite ? -- G.Ricco
Bour-Brown wrote:
Voilà. On fait ça pour s'amuser, on est un aimable plaisantin, on
fait ça de manière systématique pendant vingt ans en parlant
d'espace-temps, on est un artiss'.
on en connait un qui systématiquement se barre dans des sortes de
tourbillons flous, il fait ça depuis des années, le pire c'est que c'est un
filon qui ne lui a rien rapporté , ni une titre d'artiste à Bordeaux, ni un
sou, en desespoir de cause, il finit pas photographier sa bite, en revanche,
ça retse net, pas de bricolages toshop, de tourbillons, pas de flou radial
adaptés a la bite ?
--
G.Ricco
Voilà. On fait ça pour s'amuser, on est un aimable plaisantin, on fait ça de manière systématique pendant vingt ans en parlant d'espace-temps, on est un artiss'.
on en connait un qui systématiquement se barre dans des sortes de tourbillons flous, il fait ça depuis des années, le pire c'est que c'est un filon qui ne lui a rien rapporté , ni une titre d'artiste à Bordeaux, ni un sou, en desespoir de cause, il finit pas photographier sa bite, en revanche, ça retse net, pas de bricolages toshop, de tourbillons, pas de flou radial adaptés a la bite ? -- G.Ricco
jpw
"Delestaque" a écrit dans le message de news: 4b802c64$0$30031$
Bour-Brown wrote:
Voilà. On fait ça pour s'amuser, on est un aimable plaisantin, on fait ça de manière systématique pendant vingt ans en parlant d'espace-temps, on est un artiss'.
on en connait un qui systématiquement se barre dans des sortes de tourbillons flous, il fait ça depuis des années, le pire c'est que c'est un filon qui ne lui a rien rapporté , ni une titre d'artiste à Bordeaux, ni un sou, en desespoir de cause, il finit pas photographier sa bite, en revanche, ça retse net, pas de bricolages toshop, de tourbillons, pas de flou radial adaptés a la bite ?
grande forme !
jpw
"Delestaque" <1@1.com> a écrit dans le message de news:
4b802c64$0$30031$426a74cc@news.free.fr...
Bour-Brown wrote:
Voilà. On fait ça pour s'amuser, on est un aimable plaisantin, on
fait ça de manière systématique pendant vingt ans en parlant
d'espace-temps, on est un artiss'.
on en connait un qui systématiquement se barre dans des sortes de
tourbillons flous, il fait ça depuis des années, le pire c'est que c'est
un filon qui ne lui a rien rapporté , ni une titre d'artiste à Bordeaux,
ni un sou, en desespoir de cause, il finit pas photographier sa bite, en
revanche, ça retse net, pas de bricolages toshop, de tourbillons, pas de
flou radial adaptés a la bite ?
"Delestaque" a écrit dans le message de news: 4b802c64$0$30031$
Bour-Brown wrote:
Voilà. On fait ça pour s'amuser, on est un aimable plaisantin, on fait ça de manière systématique pendant vingt ans en parlant d'espace-temps, on est un artiss'.
on en connait un qui systématiquement se barre dans des sortes de tourbillons flous, il fait ça depuis des années, le pire c'est que c'est un filon qui ne lui a rien rapporté , ni une titre d'artiste à Bordeaux, ni un sou, en desespoir de cause, il finit pas photographier sa bite, en revanche, ça retse net, pas de bricolages toshop, de tourbillons, pas de flou radial adaptés a la bite ?
