Etat des lieux, mon jardin dévasté par les taupes. Elles travaillent
hardi sous la neige et en peu de temps effondrent le terrain. Mon fils les
guette comme un esquimau des Vosges. Cause perdue, il va falloir replanter
au printemps. Le voisin rigole depuis sa fenêtre, il bascule lui aussi,
heureusement de l'autre coté :
http://pagesperso-orange.fr/albert.lemoine/panoramique/vimenil/jardin.htm
Amitiés,
albert
----------------------------------------------------------
Photographies imaginaires
http://perso.orange.fr/albert.lemoine
----------------------------------------------------------
Ce n'est pas la même chose, pour reprendre ton expression, de montrer une image et de parler cuisine à propos de cette image.
Moi qui pensais qu'à partir de l'assiette on pouvait parler recette, qu'à partir de la recette on pouvait parler cuisine, et qu'à partir de la cuisine on finirait par parler gastronomie...
J'aurai mal compris, voilà tout.
Mais encore ce n'est pas la même chose de parler cuisine et de tenter de prouver quelque chose. Je te racontes juste ce que j'ai éprouvé en fabricant cette image, alors pourquoi veux-tu absolument que je prouve quelque chose, je n'ai rien à prouver.
Pas de problème, on causait, c'est tout.
albert a écrit
( news:4b7ce47a$0$13186$ba4acef3@reader.news.orange.fr )
Ce n'est pas la même chose, pour reprendre ton expression, de montrer une
image et de parler cuisine à propos de cette image.
Moi qui pensais qu'à partir de l'assiette on pouvait parler recette, qu'à
partir de la recette on pouvait parler cuisine, et qu'à partir de la cuisine
on finirait par parler gastronomie...
J'aurai mal compris, voilà tout.
Mais encore ce n'est pas la même chose de parler cuisine et de tenter de
prouver quelque chose. Je te racontes juste ce que j'ai éprouvé en
fabricant cette image, alors pourquoi veux-tu absolument que je prouve
quelque chose, je n'ai rien à prouver.
Ce n'est pas la même chose, pour reprendre ton expression, de montrer une image et de parler cuisine à propos de cette image.
Moi qui pensais qu'à partir de l'assiette on pouvait parler recette, qu'à partir de la recette on pouvait parler cuisine, et qu'à partir de la cuisine on finirait par parler gastronomie...
J'aurai mal compris, voilà tout.
Mais encore ce n'est pas la même chose de parler cuisine et de tenter de prouver quelque chose. Je te racontes juste ce que j'ai éprouvé en fabricant cette image, alors pourquoi veux-tu absolument que je prouve quelque chose, je n'ai rien à prouver.
Pas de problème, on causait, c'est tout.
Charles VASSALLO
Bour-Brown wrote pour albert
Normalement la technique est au service d'un effet, et l'effet doit être au service d'une réflexion. Je pose donc la question : ici avec ton jardin, quelle(s) réflexion(s) penses-tu induire chez le spectateur ?
Ça c'est une bonne question. Il arrive toutefois que l'artiste — apprenti sorcier – ne sache pas bien répondre. Il a touché quelque chose, du moins le pense-t-il, et il creuse tout autour. Peut-être est-ce une banalité, peut-être pas. Peut-être y aura-t-il une réaction du public (et si oui, qui l'arrêtera ou qui l'encouragera) et peut-être pas.
Bof, « l'interaction de la cohérence et de l'incohérence dans l'expression d'un espace photographique », ce n'est vraiment pas difficile.
Aujourd'hui je propose soit du calendrier : http://cjoint.com/?crvFEwoPDY
soit de la playmate : http://cjoint.com/?crvGyjypoF
soit du graphisme inversement lui-même : http://cjoint.com/?crvHgtL1kn
On peut dire que tu réagis, pas de manière très encourageante, mais vous ne travaillez pas dans le même registre. A mon avis, tu travailles dans le coup de poing alors qu'albert recherche la subtilité. Comme albert le reconnaît lui-même, les deux démarches sont intéressantes — et j'attends la suite.
C'est maintenant une vieille rengaine que la rebellion contre les lois de la perspective. Les mouvements du 20ème siècle l'ont mise au grand jour mais je suppose qu'il y a eu des précurseurs plus anciens (ne pas remonter au moyen âge toutefois, où on jouait pas avec les mêmes règles du jeu)
Charles
Bour-Brown wrote pour albert
Normalement la technique est au service d'un effet, et l'effet doit être au
service d'une réflexion. Je pose donc la question : ici avec ton jardin,
quelle(s) réflexion(s) penses-tu induire chez le spectateur ?
Ça c'est une bonne question.
Il arrive toutefois que l'artiste — apprenti sorcier – ne sache pas bien
répondre. Il a touché quelque chose, du moins le pense-t-il, et il
creuse tout autour. Peut-être est-ce une banalité, peut-être pas.
Peut-être y aura-t-il une réaction du public (et si oui, qui l'arrêtera
ou qui l'encouragera) et peut-être pas.
Bof, « l'interaction de la cohérence et de l'incohérence dans l'expression
d'un espace photographique », ce n'est vraiment pas difficile.
Aujourd'hui je propose soit du calendrier :
http://cjoint.com/?crvFEwoPDY
soit de la playmate :
http://cjoint.com/?crvGyjypoF
soit du graphisme inversement lui-même :
http://cjoint.com/?crvHgtL1kn
On peut dire que tu réagis, pas de manière très encourageante, mais vous
ne travaillez pas dans le même registre. A mon avis, tu travailles dans
le coup de poing alors qu'albert recherche la subtilité. Comme albert le
reconnaît lui-même, les deux démarches sont intéressantes — et j'attends
la suite.
C'est maintenant une vieille rengaine que la rebellion contre les lois
de la perspective. Les mouvements du 20ème siècle l'ont mise au grand
jour mais je suppose qu'il y a eu des précurseurs plus anciens (ne pas
remonter au moyen âge toutefois, où on jouait pas avec les mêmes règles
du jeu)
Normalement la technique est au service d'un effet, et l'effet doit être au service d'une réflexion. Je pose donc la question : ici avec ton jardin, quelle(s) réflexion(s) penses-tu induire chez le spectateur ?
Ça c'est une bonne question. Il arrive toutefois que l'artiste — apprenti sorcier – ne sache pas bien répondre. Il a touché quelque chose, du moins le pense-t-il, et il creuse tout autour. Peut-être est-ce une banalité, peut-être pas. Peut-être y aura-t-il une réaction du public (et si oui, qui l'arrêtera ou qui l'encouragera) et peut-être pas.
Bof, « l'interaction de la cohérence et de l'incohérence dans l'expression d'un espace photographique », ce n'est vraiment pas difficile.
Aujourd'hui je propose soit du calendrier : http://cjoint.com/?crvFEwoPDY
soit de la playmate : http://cjoint.com/?crvGyjypoF
soit du graphisme inversement lui-même : http://cjoint.com/?crvHgtL1kn
On peut dire que tu réagis, pas de manière très encourageante, mais vous ne travaillez pas dans le même registre. A mon avis, tu travailles dans le coup de poing alors qu'albert recherche la subtilité. Comme albert le reconnaît lui-même, les deux démarches sont intéressantes — et j'attends la suite.
C'est maintenant une vieille rengaine que la rebellion contre les lois de la perspective. Les mouvements du 20ème siècle l'ont mise au grand jour mais je suppose qu'il y a eu des précurseurs plus anciens (ne pas remonter au moyen âge toutefois, où on jouait pas avec les mêmes règles du jeu)
Charles
Delestaque
Bour-Brown wrote:
albert a écrit ( news:4b7c57e9$0$13167$ )
L'impact de la main industrieuse radicalise l'espace de l'objet.
Amphigourique, définitivement.
Les brindilles ou les pousses de framboisiers sauvages sont parfaites. Elles gardent une énergie qui fait vibrer leur espace et n'ont de fractale que l'idée qu'on y met.
Le mûrier ni le groseiller n'y arrivent que parfois.
Finalement qu'est-ce que la photographie sinon écrire une histoire en une image.
Euh... je trouve que tes images te ressemblent assez, pour l'idée que je m'en fais.
une idée de " fractale " ? -- G.Ricco
Bour-Brown wrote:
albert a écrit
( news:4b7c57e9$0$13167$ba4acef3@reader.news.orange.fr )
L'impact de la main industrieuse radicalise l'espace de l'objet.
Amphigourique, définitivement.
Les brindilles ou les pousses de framboisiers sauvages sont
parfaites. Elles gardent une énergie qui fait vibrer leur espace et
n'ont de fractale que l'idée qu'on y met.
Le mûrier ni le groseiller n'y arrivent que parfois.
Finalement qu'est-ce que la photographie sinon écrire une
histoire en une image.
Euh... je trouve que tes images te ressemblent assez, pour l'idée que
je m'en fais.
L'impact de la main industrieuse radicalise l'espace de l'objet.
Amphigourique, définitivement.
Les brindilles ou les pousses de framboisiers sauvages sont parfaites. Elles gardent une énergie qui fait vibrer leur espace et n'ont de fractale que l'idée qu'on y met.
Le mûrier ni le groseiller n'y arrivent que parfois.
Finalement qu'est-ce que la photographie sinon écrire une histoire en une image.
Euh... je trouve que tes images te ressemblent assez, pour l'idée que je m'en fais.
une idée de " fractale " ? -- G.Ricco
albert
"Bour-Brown" a écrit :
albert a écrit
L'impact de la main industrieuse radicalise l'espace de l'objet.
Amphigourique, définitivement.
J'aime bien le terme, et tu as raison de relever l'embrouillamini de la phrase. Je lâche les trucs comme ça me vient, c'est clair dans mon esprit alors qu'il ne s'agit pas d'une conversation en temps réel où on me reprendrait tout de suite. Donc, après ce léger différé, j'y reviens :
La borne du chemin des Vosges est un objet pyramidal et taillé aux arrêtes coupantes, le tronc scié présente une face nette, circulaire ou ovoïde selon la perspective. Ces volumes d'une géométrie exemplaire du travail de la main de l'homme découpent l'espace qui les entoure, et l'emmènent avec eux quand j'en prélève une photographie. Je ne photographie pas que l'objet mais l'espace qu'il impose avec lui. C'est juste une image mais aussi une image juste dans le sens ou je veux exprimer la difficulté à réintégrer cet objet dans un autre espace avec une perspective globale qui se trouvera modifiée ponctuellement au niveau de cet objet.
Toi tu t'en fous, dans cette composition : http://cjoint.com/?crvFEwoPDY il n'y pas d'espace global, juste une accumulation qui donne une perspective verticale et un espace abstrait avec le contraste des colombages et la transparence des fenêtres. C'est pas mal d'ailleurs.
Si j'étais poète (mais je ne suis que Photographe, comme Ricco) je ne m'embarrasserais pas de perspective, je dirais simplement :
"Diverses sont les lignes de la vie Comme sont les routes et les bornes des monts" Hölderlin
Est-ce plus clair ?
Finalement qu'est-ce que la photographie sinon écrire une histoire en une image.
Euh... je trouve que tes images te ressemblent assez, pour l'idée que je m'en fais.
C'est plus clair effectivement.
Amitiés, albert ---------------------------------------------------------- Photographies imaginaires http://perso.orange.fr/albert.lemoine ----------------------------------------------------------
"Bour-Brown" <bour-brown@wnd.fr> a écrit :
albert a écrit
L'impact de la main industrieuse radicalise l'espace de l'objet.
Amphigourique, définitivement.
J'aime bien le terme, et tu as raison de relever l'embrouillamini de la
phrase. Je lâche les trucs comme ça me vient, c'est clair dans mon esprit
alors qu'il ne s'agit pas d'une conversation en temps réel où on me
reprendrait tout de suite. Donc, après ce léger différé, j'y reviens :
La borne du chemin des Vosges est un objet pyramidal et taillé aux
arrêtes coupantes, le tronc scié présente une face nette, circulaire ou
ovoïde selon la perspective. Ces volumes d'une géométrie exemplaire du
travail de la main de l'homme découpent l'espace qui les entoure, et
l'emmènent avec eux quand j'en prélève une photographie. Je ne photographie
pas que l'objet mais l'espace qu'il impose avec lui. C'est juste une image
mais aussi une image juste dans le sens ou je veux exprimer la difficulté à
réintégrer cet objet dans un autre espace avec une perspective globale qui
se trouvera modifiée ponctuellement au niveau de cet objet.
Toi tu t'en fous, dans cette composition :
http://cjoint.com/?crvFEwoPDY
il n'y pas d'espace global, juste une accumulation qui donne une perspective
verticale et un espace abstrait avec le contraste des colombages et la
transparence des fenêtres. C'est pas mal d'ailleurs.
Si j'étais poète (mais je ne suis que Photographe, comme Ricco) je ne
m'embarrasserais pas de perspective, je dirais simplement :
"Diverses sont les lignes de la vie
Comme sont les routes et les bornes des monts"
Hölderlin
Est-ce plus clair ?
Finalement qu'est-ce que la photographie sinon écrire une histoire en
une image.
Euh... je trouve que tes images te ressemblent assez, pour l'idée que je
m'en fais.
C'est plus clair effectivement.
Amitiés,
albert
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Photographies imaginaires
http://perso.orange.fr/albert.lemoine
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L'impact de la main industrieuse radicalise l'espace de l'objet.
Amphigourique, définitivement.
J'aime bien le terme, et tu as raison de relever l'embrouillamini de la phrase. Je lâche les trucs comme ça me vient, c'est clair dans mon esprit alors qu'il ne s'agit pas d'une conversation en temps réel où on me reprendrait tout de suite. Donc, après ce léger différé, j'y reviens :
La borne du chemin des Vosges est un objet pyramidal et taillé aux arrêtes coupantes, le tronc scié présente une face nette, circulaire ou ovoïde selon la perspective. Ces volumes d'une géométrie exemplaire du travail de la main de l'homme découpent l'espace qui les entoure, et l'emmènent avec eux quand j'en prélève une photographie. Je ne photographie pas que l'objet mais l'espace qu'il impose avec lui. C'est juste une image mais aussi une image juste dans le sens ou je veux exprimer la difficulté à réintégrer cet objet dans un autre espace avec une perspective globale qui se trouvera modifiée ponctuellement au niveau de cet objet.
Toi tu t'en fous, dans cette composition : http://cjoint.com/?crvFEwoPDY il n'y pas d'espace global, juste une accumulation qui donne une perspective verticale et un espace abstrait avec le contraste des colombages et la transparence des fenêtres. C'est pas mal d'ailleurs.
Si j'étais poète (mais je ne suis que Photographe, comme Ricco) je ne m'embarrasserais pas de perspective, je dirais simplement :
"Diverses sont les lignes de la vie Comme sont les routes et les bornes des monts" Hölderlin
Est-ce plus clair ?
Finalement qu'est-ce que la photographie sinon écrire une histoire en une image.
Euh... je trouve que tes images te ressemblent assez, pour l'idée que je m'en fais.
C'est plus clair effectivement.
Amitiés, albert ---------------------------------------------------------- Photographies imaginaires http://perso.orange.fr/albert.lemoine ----------------------------------------------------------
Bour-Brown
Charles VASSALLO a écrit ( news:4b7d1dfc$0$15814$ )
Peut-être est-ce une banalité, peut-être pas. Peut-être y aura-t-il une réaction du public (et si oui, qui l'arrêtera ou qui l'encouragera) et peut-être pas.
Oui, c'est pour ça que c'est bien de proposer des trucs, et c'est pour ça que c'est bien d'en discuter, même si cela ne va pas dans le sens de ce que souhaiterait l'auteur.
On peut dire que tu réagis, pas de manière très encourageante
Ce qui m'a toujours gêné dans l'histoire, c'est de faire passer la géométrie standard pour une banalité, et la géométrie traficotée pour une sorte de magie.
Pour moi cela n'a aucun sens, on peut parfaitement faire des bouses dans les deux cas, moi aussi bien qu'un autre d'ailleurs.
Pourquoi faire de ces bidouillages-là une telle affaire, comme si cela dépassait la photographie traditionnelle, comme si tout à coup cela confinait à l'exception ?
Charles VASSALLO a écrit
( news:4b7d1dfc$0$15814$ba4acef3@reader.news.orange.fr )
Peut-être est-ce une banalité, peut-être pas. Peut-être y aura-t-il une
réaction du public (et si oui, qui l'arrêtera ou qui l'encouragera) et
peut-être pas.
Oui, c'est pour ça que c'est bien de proposer des trucs, et c'est pour ça
que c'est bien d'en discuter, même si cela ne va pas dans le sens de ce que
souhaiterait l'auteur.
On peut dire que tu réagis, pas de manière très encourageante
Ce qui m'a toujours gêné dans l'histoire, c'est de faire passer la géométrie
standard pour une banalité, et la géométrie traficotée pour une sorte de
magie.
Pour moi cela n'a aucun sens, on peut parfaitement faire des bouses dans les
deux cas, moi aussi bien qu'un autre d'ailleurs.
Pourquoi faire de ces bidouillages-là une telle affaire, comme si cela
dépassait la photographie traditionnelle, comme si tout à coup cela
confinait à l'exception ?
Charles VASSALLO a écrit ( news:4b7d1dfc$0$15814$ )
Peut-être est-ce une banalité, peut-être pas. Peut-être y aura-t-il une réaction du public (et si oui, qui l'arrêtera ou qui l'encouragera) et peut-être pas.
Oui, c'est pour ça que c'est bien de proposer des trucs, et c'est pour ça que c'est bien d'en discuter, même si cela ne va pas dans le sens de ce que souhaiterait l'auteur.
On peut dire que tu réagis, pas de manière très encourageante
Ce qui m'a toujours gêné dans l'histoire, c'est de faire passer la géométrie standard pour une banalité, et la géométrie traficotée pour une sorte de magie.
Pour moi cela n'a aucun sens, on peut parfaitement faire des bouses dans les deux cas, moi aussi bien qu'un autre d'ailleurs.
Pourquoi faire de ces bidouillages-là une telle affaire, comme si cela dépassait la photographie traditionnelle, comme si tout à coup cela confinait à l'exception ?
albert
"jpw" a écrit : >> Mon verbiage te heurte, j'en suis désolé,
non il ne me heurte pas, il me désole, qu'as tu besoin d'en rajouter ?
Au fond tu es sûrement quelqu'un de très gentil, alors je vais en rajouter une couche et te rendre un petit service. Plutôt que d'adopter cette posture de grand-père désolé par autant de crétinisme, défoule-toi ! Tiens ! Je t'envoie ici un portrait de moi que tu pourras imprimer afin de le piétiner tout à ton aise (fais gaffe au verre, ça coupe) : http://cjoint.com/?csp4TMMkEN
Mais tout seul dans ta cuisine, l'action sera un peu triste. Je te propose d'en faire toi même une photo afin que tout le monde en profite sur FRP. Et pourquoi pas une petite vidéo ? Encore mieux, un rendu 3D, avec les éclats de verre jaillissant depuis, ou vers (c'est toi le savant) le point de fuite inversé de cette icône (: Magnifique ! Je veux voir ! Participe au lieu de ronchonner.
Amitiés, albert ---------------------------------------------------------- Photographies imaginaires http://perso.orange.fr/albert.lemoine ----------------------------------------------------------
"jpw" <jprafarin@jpw.fr> a écrit :
>> Mon verbiage te heurte, j'en suis désolé,
non il ne me heurte pas, il me désole, qu'as tu besoin d'en rajouter ?
Au fond tu es sûrement quelqu'un de très gentil, alors je vais en
rajouter une couche et te rendre un petit service. Plutôt que d'adopter
cette posture de grand-père désolé par autant de crétinisme, défoule-toi !
Tiens ! Je t'envoie ici un portrait de moi que tu pourras imprimer afin de
le piétiner tout à ton aise (fais gaffe au verre, ça coupe) :
http://cjoint.com/?csp4TMMkEN
Mais tout seul dans ta cuisine, l'action sera un peu triste. Je te
propose d'en faire toi même une photo afin que tout le monde en profite sur
FRP. Et pourquoi pas une petite vidéo ? Encore mieux, un rendu 3D, avec les
éclats de verre jaillissant depuis, ou vers (c'est toi le savant) le point
de fuite inversé de cette icône (: Magnifique ! Je veux voir ! Participe au
lieu de ronchonner.
Amitiés,
albert
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Photographies imaginaires
http://perso.orange.fr/albert.lemoine
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"jpw" a écrit : >> Mon verbiage te heurte, j'en suis désolé,
non il ne me heurte pas, il me désole, qu'as tu besoin d'en rajouter ?
Au fond tu es sûrement quelqu'un de très gentil, alors je vais en rajouter une couche et te rendre un petit service. Plutôt que d'adopter cette posture de grand-père désolé par autant de crétinisme, défoule-toi ! Tiens ! Je t'envoie ici un portrait de moi que tu pourras imprimer afin de le piétiner tout à ton aise (fais gaffe au verre, ça coupe) : http://cjoint.com/?csp4TMMkEN
Mais tout seul dans ta cuisine, l'action sera un peu triste. Je te propose d'en faire toi même une photo afin que tout le monde en profite sur FRP. Et pourquoi pas une petite vidéo ? Encore mieux, un rendu 3D, avec les éclats de verre jaillissant depuis, ou vers (c'est toi le savant) le point de fuite inversé de cette icône (: Magnifique ! Je veux voir ! Participe au lieu de ronchonner.
Amitiés, albert ---------------------------------------------------------- Photographies imaginaires http://perso.orange.fr/albert.lemoine ----------------------------------------------------------
Bour-Brown
Charles VASSALLO a écrit ( news:4b7d1dfc$0$15814$ )
A mon avis, tu travailles dans le coup de poing alors qu'albert recherche la subtilité.
Pas plus tard qu'hier il proposait à Octave : http://pagesperso-orange.fr/albert.lemoine/langres01.htm
La subtilité, euh...
C'est maintenant une vieille rengaine que la rebellion contre les lois de la perspective.
+ 1
La projection plane est le mode retenu par l'essentiel de nos objectifs, mais depuis notre enfance, nous nous sommes tous amusés des réflexions dans une cuillère ou des déformations quand on collait son oeil à un verre cathédrale.
En faire une forme d'exploration ingénieuse qui sortirait de l'ordinaire, là encore, euh...
Charles VASSALLO a écrit
( news:4b7d1dfc$0$15814$ba4acef3@reader.news.orange.fr )
A mon avis, tu travailles dans le coup de poing alors qu'albert recherche
la subtilité.
Pas plus tard qu'hier il proposait à Octave :
http://pagesperso-orange.fr/albert.lemoine/langres01.htm
La subtilité, euh...
C'est maintenant une vieille rengaine que la rebellion contre les lois de
la perspective.
+ 1
La projection plane est le mode retenu par l'essentiel de nos objectifs,
mais depuis notre enfance, nous nous sommes tous amusés des réflexions dans
une cuillère ou des déformations quand on collait son oeil à un verre
cathédrale.
En faire une forme d'exploration ingénieuse qui sortirait de l'ordinaire, là
encore, euh...
Charles VASSALLO a écrit ( news:4b7d1dfc$0$15814$ )
A mon avis, tu travailles dans le coup de poing alors qu'albert recherche la subtilité.
Pas plus tard qu'hier il proposait à Octave : http://pagesperso-orange.fr/albert.lemoine/langres01.htm
La subtilité, euh...
C'est maintenant une vieille rengaine que la rebellion contre les lois de la perspective.
+ 1
La projection plane est le mode retenu par l'essentiel de nos objectifs, mais depuis notre enfance, nous nous sommes tous amusés des réflexions dans une cuillère ou des déformations quand on collait son oeil à un verre cathédrale.
En faire une forme d'exploration ingénieuse qui sortirait de l'ordinaire, là encore, euh...
Bour-Brown
albert a écrit ( news:4b7d410d$0$10358$ )
Ces volumes [...] découpent l'espace qui les entoure
Si tu prends un plan - par exemple ta coupe d'arbre - eh bien pour moi c'est un plan, strictement rien d'autre. Il ne découpe aucun espace qui l'entoure, uniquement le sien, d'espace, en un dessus et en un dessous.
Maintenant on peut toujours dire que dessous c'est l'arbre et que dessus c'était l'arbre, par exemple. C'est vrai. Mais en dehors de ça...
Je ne photographie pas que l'objet mais l'espace qu'il impose avec lui.
Pour moi cela ne veut rien dire.
Maintenant si je me trompe, et si effectivement l'espace environnant est marqué par les choses, c'est toujours et pour tout le monde. À la limite à chacune de ses photos, un radar automatique en fait tout autant.
je veux exprimer la difficulté à réintégrer cet objet dans un autre espace avec une perspective globale qui se trouvera modifiée ponctuellement au niveau de cet objet.
Là encore, c'est comme ça pour la plupart des collages, hein.
albert a écrit
( news:4b7d410d$0$10358$ba4acef3@reader.news.orange.fr )
Ces volumes [...] découpent l'espace qui les entoure
Si tu prends un plan - par exemple ta coupe d'arbre - eh bien pour moi c'est
un plan, strictement rien d'autre. Il ne découpe aucun espace qui l'entoure,
uniquement le sien, d'espace, en un dessus et en un dessous.
Maintenant on peut toujours dire que dessous c'est l'arbre et que dessus
c'était l'arbre, par exemple. C'est vrai. Mais en dehors de ça...
Je ne photographie pas que l'objet mais l'espace qu'il impose avec lui.
Pour moi cela ne veut rien dire.
Maintenant si je me trompe, et si effectivement l'espace environnant est
marqué par les choses, c'est toujours et pour tout le monde. À la limite à
chacune de ses photos, un radar automatique en fait tout autant.
je veux exprimer la difficulté à réintégrer cet objet dans un autre
espace avec une perspective globale qui se trouvera modifiée
ponctuellement au niveau de cet objet.
Là encore, c'est comme ça pour la plupart des collages, hein.
Ces volumes [...] découpent l'espace qui les entoure
Si tu prends un plan - par exemple ta coupe d'arbre - eh bien pour moi c'est un plan, strictement rien d'autre. Il ne découpe aucun espace qui l'entoure, uniquement le sien, d'espace, en un dessus et en un dessous.
Maintenant on peut toujours dire que dessous c'est l'arbre et que dessus c'était l'arbre, par exemple. C'est vrai. Mais en dehors de ça...
Je ne photographie pas que l'objet mais l'espace qu'il impose avec lui.
Pour moi cela ne veut rien dire.
Maintenant si je me trompe, et si effectivement l'espace environnant est marqué par les choses, c'est toujours et pour tout le monde. À la limite à chacune de ses photos, un radar automatique en fait tout autant.
je veux exprimer la difficulté à réintégrer cet objet dans un autre espace avec une perspective globale qui se trouvera modifiée ponctuellement au niveau de cet objet.
Là encore, c'est comme ça pour la plupart des collages, hein.
Bour-Brown
albert a écrit ( news:4b7d410d$0$10358$ )
Toi tu t'en fous, dans cette composition : http://cjoint.com/?crvFEwoPDY il n'y pas d'espace global, juste une accumulation qui donne une perspective verticale et un espace abstrait avec le contraste des colombages et la transparence des fenêtres.
Pour moi il y un ensemble de façades régionales ramené à un même plan, celui du stéréotype, c'est déjà ça.
Ce que j'aime bien aussi, ce sont ces petits espaces intérieurs qui remontent à la surface, l'apparition de ces personnages dans le masque des façades.
Mais bon, pour cette image je suis d'accord avec toi, si on parle d'espace global et d'espace local, vaut mieux un autre de mes amalgames :
Cette fois c'est une superposition de pièces d'une maison habitée cette été au Canada. Perso j'y trouve à la fois la perception globale d'un espace en tant que tel, un volume quoi, et à la fois des bribes qui jouent ici et là comme autant de souvenirs personnels.
Comme quoi...
albert a écrit
( news:4b7d410d$0$10358$ba4acef3@reader.news.orange.fr )
Toi tu t'en fous, dans cette composition :
http://cjoint.com/?crvFEwoPDY
il n'y pas d'espace global, juste une accumulation qui donne une
perspective verticale et un espace abstrait avec le contraste des
colombages et la transparence des fenêtres.
Pour moi il y un ensemble de façades régionales ramené à un même plan, celui
du stéréotype, c'est déjà ça.
Ce que j'aime bien aussi, ce sont ces petits espaces intérieurs qui
remontent à la surface, l'apparition de ces personnages dans le masque des
façades.
Mais bon, pour cette image je suis d'accord avec toi, si on parle d'espace
global et d'espace local, vaut mieux un autre de mes amalgames :
Cette fois c'est une superposition de pièces d'une maison habitée cette été
au Canada. Perso j'y trouve à la fois la perception globale d'un espace en
tant que tel, un volume quoi, et à la fois des bribes qui jouent ici et là
comme autant de souvenirs personnels.
Toi tu t'en fous, dans cette composition : http://cjoint.com/?crvFEwoPDY il n'y pas d'espace global, juste une accumulation qui donne une perspective verticale et un espace abstrait avec le contraste des colombages et la transparence des fenêtres.
Pour moi il y un ensemble de façades régionales ramené à un même plan, celui du stéréotype, c'est déjà ça.
Ce que j'aime bien aussi, ce sont ces petits espaces intérieurs qui remontent à la surface, l'apparition de ces personnages dans le masque des façades.
Mais bon, pour cette image je suis d'accord avec toi, si on parle d'espace global et d'espace local, vaut mieux un autre de mes amalgames :
Cette fois c'est une superposition de pièces d'une maison habitée cette été au Canada. Perso j'y trouve à la fois la perception globale d'un espace en tant que tel, un volume quoi, et à la fois des bribes qui jouent ici et là comme autant de souvenirs personnels.
Comme quoi...
Bour-Brown
albert a écrit ( news:4b7d410d$0$10358$ )
http://cjoint.com/?crvFEwoPDY il n'y pas d'espace global, juste une accumulation qui donne une perspective verticale et un espace abstrait avec le contraste des colombages et la transparence des fenêtres.
Pour moi il y un ensemble de façades régionales ramené à un même plan, celui du stéréotype, c'est déjà ça.
Ce que j'aime bien aussi, ce sont ces petits espaces intérieurs qui remontent à la surface, l'apparition de ces personnages dans le masque des façades.
Mais bon, pour cette image je suis d'accord avec toi, si on parle d'espace global et d'espace local, vaut mieux un autre de mes amalgames : http://cjoint.com/?csqAEhLYQz
Cette fois c'est une superposition de pièces d'une maison habitée cette été au Canada. Perso j'y trouve à la fois la perception globale d'un espace en tant que tel, un volume quoi, et à la fois des bribes qui jouent ici et là comme autant de souvenirs personnels.
Comme quoi...
albert a écrit
( news:4b7d410d$0$10358$ba4acef3@reader.news.orange.fr )
http://cjoint.com/?crvFEwoPDY
il n'y pas d'espace global, juste une accumulation qui donne une
perspective verticale et un espace abstrait avec le contraste des
colombages et la transparence des fenêtres.
Pour moi il y un ensemble de façades régionales ramené à un même plan, celui
du stéréotype, c'est déjà ça.
Ce que j'aime bien aussi, ce sont ces petits espaces intérieurs qui
remontent à la surface, l'apparition de ces personnages dans le masque des
façades.
Mais bon, pour cette image je suis d'accord avec toi, si on parle d'espace
global et d'espace local, vaut mieux un autre de mes amalgames :
http://cjoint.com/?csqAEhLYQz
Cette fois c'est une superposition de pièces d'une maison habitée cette été
au Canada. Perso j'y trouve à la fois la perception globale d'un espace en
tant que tel, un volume quoi, et à la fois des bribes qui jouent ici et là
comme autant de souvenirs personnels.
http://cjoint.com/?crvFEwoPDY il n'y pas d'espace global, juste une accumulation qui donne une perspective verticale et un espace abstrait avec le contraste des colombages et la transparence des fenêtres.
Pour moi il y un ensemble de façades régionales ramené à un même plan, celui du stéréotype, c'est déjà ça.
Ce que j'aime bien aussi, ce sont ces petits espaces intérieurs qui remontent à la surface, l'apparition de ces personnages dans le masque des façades.
Mais bon, pour cette image je suis d'accord avec toi, si on parle d'espace global et d'espace local, vaut mieux un autre de mes amalgames : http://cjoint.com/?csqAEhLYQz
Cette fois c'est une superposition de pièces d'une maison habitée cette été au Canada. Perso j'y trouve à la fois la perception globale d'un espace en tant que tel, un volume quoi, et à la fois des bribes qui jouent ici et là comme autant de souvenirs personnels.