Depuis plus ou moin un mois je pense a switcher mais je manque encore
d=B4information...
Les pubs sur apple ne sont-elles pas un peu exag=E9r=E9 ??? Un ordi qui
ne plante jamais existent-il vraiment???
Est-ce que qqls pourais me faire une petite liste des avantages d=FAn
mac et de ses inconveniants (si il y en =E0...)
Ma très grand crainte (bien que je ne m'en serve pas) est de voir adobe dire " Puisque les Macs bootent sous Windows, on arrête le dev des applis Macs, z'ont qu'à utiliser Windows".
On peut aussi avoir *l'espoir* inverse que cette possibilité (au demeurant assez illusoire ou d'intérêt limité !) provoquant le switch irrationnel d'un grand nombre de windowsiens, l'augmentation de la part de marché d'Apple oblige les éditeurs à retrouver une considération pour le monde Mac qu'ils avaient tendance à perdre.
On peut se demander si le retour d'un certain nombre d'éditeurs de jeux sur la plateforme mac ne pourrait pas en être un indicateur à surveiller.
Le vrai domaine-clé à espérer voir basculer étant évidemment l'éducation.
-- Gérald
Jacques Foucry <nospam@foucry.net.invalid> wrote:
Ma très grand crainte (bien que je ne m'en serve pas) est de voir adobe
dire " Puisque les Macs bootent sous Windows, on arrête le dev des
applis Macs, z'ont qu'à utiliser Windows".
On peut aussi avoir *l'espoir* inverse que cette possibilité (au
demeurant assez illusoire ou d'intérêt limité !) provoquant le switch
irrationnel d'un grand nombre de windowsiens, l'augmentation de la part
de marché d'Apple oblige les éditeurs à retrouver une considération pour
le monde Mac qu'ils avaient tendance à perdre.
On peut se demander si le retour d'un certain nombre d'éditeurs de jeux
sur la plateforme mac ne pourrait pas en être un indicateur à
surveiller.
Le vrai domaine-clé à espérer voir basculer étant évidemment
l'éducation.
Ma très grand crainte (bien que je ne m'en serve pas) est de voir adobe dire " Puisque les Macs bootent sous Windows, on arrête le dev des applis Macs, z'ont qu'à utiliser Windows".
On peut aussi avoir *l'espoir* inverse que cette possibilité (au demeurant assez illusoire ou d'intérêt limité !) provoquant le switch irrationnel d'un grand nombre de windowsiens, l'augmentation de la part de marché d'Apple oblige les éditeurs à retrouver une considération pour le monde Mac qu'ils avaient tendance à perdre.
On peut se demander si le retour d'un certain nombre d'éditeurs de jeux sur la plateforme mac ne pourrait pas en être un indicateur à surveiller.
Le vrai domaine-clé à espérer voir basculer étant évidemment l'éducation.
-- Gérald
Erwan David
(Gerald) écrivait :
On peut se demander si le retour d'un certain nombre d'éditeurs de jeux sur la plateforme mac ne pourrait pas en être un indicateur à surveiller.
Vu récemmentsur une revue de video numérique, dans un test des logiciels de montage "maintenant on peut utiliser les logiciels windows sur un mac"...
-- Erwan
Gerald@alussinan.org (Gerald) écrivait :
On peut se demander si le retour d'un certain nombre d'éditeurs de jeux
sur la plateforme mac ne pourrait pas en être un indicateur à
surveiller.
Vu récemmentsur une revue de video numérique, dans un test des
logiciels de montage "maintenant on peut utiliser les logiciels
windows sur un mac"...
... sans vrai surcoût pour ce qui concerne les MacBook, par exemple, si on tient compte de la valeur du pack logiciel.
il faut quand meme acheter une licence Ouin Ouin, ce qui n'est franchement pas donné en achat direct, alors que c'est que dalle en OEM.
en se débrouillant bien, un simple achat de souris offre droit à...
philo.ra
Jacques Foucry wrote:
ASM wrote:
en toute cordialité, hein ?
Dans le même esprit : <http://www.sri.ucl.ac.be/rfc1855.fr.html#313>
et en particulier :
« Les messages et articles seront brefs et ciblés. Ne vagabondez pas hors sujet, ne divaguez pas et ne câblez, ni postez simplement pour faire remarquer les fautes de frappe ou d'orthographe des autres. Cela, plus que tout autre comportement, vous signale comme débutant puéril. »
Merci Jean-Pierre !
Sauf qu'un texte plein de fautes est pénible à lire, fait perdre du temps, et risque donc d'être rejeté par les lecteurs.
Je crois qu'il faut le dire à ceux qui font trop de fautes, c'est plus un service qu'autre chose.
Dans le même esprit :
<http://www.sri.ucl.ac.be/rfc1855.fr.html#313>
et en particulier :
« Les messages et articles seront brefs et ciblés. Ne vagabondez pas
hors sujet, ne divaguez pas et ne câblez, ni postez simplement pour
faire remarquer les fautes de frappe ou d'orthographe des autres. Cela,
plus que tout autre comportement, vous signale comme débutant puéril. »
Merci Jean-Pierre !
Sauf qu'un texte plein de fautes est pénible à lire, fait perdre du
temps, et risque donc d'être rejeté par les lecteurs.
Je crois qu'il faut le dire à ceux qui font trop de fautes, c'est plus
un service qu'autre chose.
Dans le même esprit : <http://www.sri.ucl.ac.be/rfc1855.fr.html#313>
et en particulier :
« Les messages et articles seront brefs et ciblés. Ne vagabondez pas hors sujet, ne divaguez pas et ne câblez, ni postez simplement pour faire remarquer les fautes de frappe ou d'orthographe des autres. Cela, plus que tout autre comportement, vous signale comme débutant puéril. »
Merci Jean-Pierre !
Sauf qu'un texte plein de fautes est pénible à lire, fait perdre du temps, et risque donc d'être rejeté par les lecteurs.
Je crois qu'il faut le dire à ceux qui font trop de fautes, c'est plus un service qu'autre chose.
Philippe RAI
francois.jacquemin
Philippe RAI wrote:
Sauf qu'un texte plein de fautes est pénible à lire, fait perdre du temps, et risque donc d'être rejeté par les lecteurs.
C'est tout à fait vrai, toutes les études faites sur le sujet le
montrent.
Je crois qu'il faut le dire à ceux qui font trop de fautes, c'est plus un service qu'autre chose.
Mais ils le savent. Nous faisons tous des fautes, y compris les meilleurs d'entre nous, dont certains sont même quasi repérables à leur manière dysorthographique. Il est curieux d'observer comme, bien qu'elle soit dactylographiée, notre prose est en réalité rédigée et perçue comme de la langue parlée, ou à mi-chemin de la langue parlée et de la langue écrite, d'où les signes d'intonation genre sourillard destinés à compenser l'absence de la voix.
-- F. Jacquemin
Philippe RAI <philo.ra@NSfreesurf.fr> wrote:
Sauf qu'un texte plein de fautes est pénible à lire, fait perdre du
temps, et risque donc d'être rejeté par les lecteurs.
C'est tout à fait vrai, toutes les études faites sur le sujet le
montrent.
Je crois qu'il faut le dire à ceux qui font trop de fautes, c'est plus
un service qu'autre chose.
Mais ils le savent. Nous faisons tous des fautes, y compris les
meilleurs d'entre nous, dont certains sont même quasi repérables à leur
manière dysorthographique. Il est curieux d'observer comme, bien qu'elle
soit dactylographiée, notre prose est en réalité rédigée et perçue comme
de la langue parlée, ou à mi-chemin de la langue parlée et de la langue
écrite, d'où les signes d'intonation genre sourillard destinés à
compenser l'absence de la voix.
Sauf qu'un texte plein de fautes est pénible à lire, fait perdre du temps, et risque donc d'être rejeté par les lecteurs.
C'est tout à fait vrai, toutes les études faites sur le sujet le
montrent.
Je crois qu'il faut le dire à ceux qui font trop de fautes, c'est plus un service qu'autre chose.
Mais ils le savent. Nous faisons tous des fautes, y compris les meilleurs d'entre nous, dont certains sont même quasi repérables à leur manière dysorthographique. Il est curieux d'observer comme, bien qu'elle soit dactylographiée, notre prose est en réalité rédigée et perçue comme de la langue parlée, ou à mi-chemin de la langue parlée et de la langue écrite, d'où les signes d'intonation genre sourillard destinés à compenser l'absence de la voix.
-- F. Jacquemin
philo.ra
François Jacquemin wrote:
Philippe RAI wrote:
Sauf qu'un texte plein de fautes est pénible à lire, fait perdre du temps, et risque donc d'être rejeté par les lecteurs.
C'est tout à fait vrai, toutes les études faites sur le sujet le
montrent.
Je crois qu'il faut le dire à ceux qui font trop de fautes, c'est plus un service qu'autre chose.
Mais ils le savent. Nous faisons tous des fautes, y compris les meilleurs d'entre nous, dont certains sont même quasi repérables à leur manière dysorthographique.
Bien sûr, mais cela n'empêche pas de le dire de temps en temps, juste pour inciter à faire quelques efforts.
Sinon pourquoi se gêner si les lecteurs acceptent ce report d'effort sans rechigner ?
Et puis il ne faut pas oublier que professionnellement cela peut-être un motif de rejet.
Sans compter qu'il y a une grosse différence entre quelques fautes de temps en temps et quasiment une faute par mot.
Et contrairement à ce qui est dit généralement, il ne faut pas trop compter sur les logiciels de correction, qui corrigent les fautes de vocabulaire (à condition que les mots ne soient pas trop torturés), mais surtout qui posent des questions de grammaire auxquelles certains sont bien incapables de répondre.
Il est curieux d'observer comme, bien qu'elle soit dactylographiée, notre prose est en réalité rédigée et perçue comme de la langue parlée, ou à mi-chemin de la langue parlée et de la langue écrite, d'où les signes d'intonation genre sourillard destinés à compenser l'absence de la voix.
Parce qu'on a perdu les subtilités de la langue qui permettent de faire passer ces nuances sans ces artifices ?
Philippe RAI
François Jacquemin <francois.jacquemin@free.fr> wrote:
Philippe RAI <philo.ra@NSfreesurf.fr> wrote:
Sauf qu'un texte plein de fautes est pénible à lire, fait perdre du
temps, et risque donc d'être rejeté par les lecteurs.
C'est tout à fait vrai, toutes les études faites sur le sujet le
montrent.
Je crois qu'il faut le dire à ceux qui font trop de fautes, c'est plus
un service qu'autre chose.
Mais ils le savent. Nous faisons tous des fautes, y compris les
meilleurs d'entre nous, dont certains sont même quasi repérables à leur
manière dysorthographique.
Bien sûr, mais cela n'empêche pas de le dire de temps en temps, juste
pour inciter à faire quelques efforts.
Sinon pourquoi se gêner si les lecteurs acceptent ce report d'effort
sans rechigner ?
Et puis il ne faut pas oublier que professionnellement cela peut-être un
motif de rejet.
Sans compter qu'il y a une grosse différence entre quelques fautes de
temps en temps et quasiment une faute par mot.
Et contrairement à ce qui est dit généralement, il ne faut pas trop
compter sur les logiciels de correction, qui corrigent les fautes de
vocabulaire (à condition que les mots ne soient pas trop torturés), mais
surtout qui posent des questions de grammaire auxquelles certains sont
bien incapables de répondre.
Il est curieux d'observer comme, bien qu'elle
soit dactylographiée, notre prose est en réalité rédigée et perçue comme
de la langue parlée, ou à mi-chemin de la langue parlée et de la langue
écrite, d'où les signes d'intonation genre sourillard destinés à
compenser l'absence de la voix.
Parce qu'on a perdu les subtilités de la langue qui permettent de faire
passer ces nuances sans ces artifices ?
Sauf qu'un texte plein de fautes est pénible à lire, fait perdre du temps, et risque donc d'être rejeté par les lecteurs.
C'est tout à fait vrai, toutes les études faites sur le sujet le
montrent.
Je crois qu'il faut le dire à ceux qui font trop de fautes, c'est plus un service qu'autre chose.
Mais ils le savent. Nous faisons tous des fautes, y compris les meilleurs d'entre nous, dont certains sont même quasi repérables à leur manière dysorthographique.
Bien sûr, mais cela n'empêche pas de le dire de temps en temps, juste pour inciter à faire quelques efforts.
Sinon pourquoi se gêner si les lecteurs acceptent ce report d'effort sans rechigner ?
Et puis il ne faut pas oublier que professionnellement cela peut-être un motif de rejet.
Sans compter qu'il y a une grosse différence entre quelques fautes de temps en temps et quasiment une faute par mot.
Et contrairement à ce qui est dit généralement, il ne faut pas trop compter sur les logiciels de correction, qui corrigent les fautes de vocabulaire (à condition que les mots ne soient pas trop torturés), mais surtout qui posent des questions de grammaire auxquelles certains sont bien incapables de répondre.
Il est curieux d'observer comme, bien qu'elle soit dactylographiée, notre prose est en réalité rédigée et perçue comme de la langue parlée, ou à mi-chemin de la langue parlée et de la langue écrite, d'où les signes d'intonation genre sourillard destinés à compenser l'absence de la voix.
Parce qu'on a perdu les subtilités de la langue qui permettent de faire passer ces nuances sans ces artifices ?
Philippe RAI
pmanet
Erwan David wrote:
100 ¤ le XP Home en OEM, j'appelle pas ça "que dalle".
tu crois que DELL paie ce prix là ? -- Philippe Manet
Erwan David <erwan@rail.eu.org> wrote:
100 ¤ le XP Home en OEM, j'appelle pas ça "que dalle".
tu crois que DELL paie ce prix là ?
--
Philippe Manet
100 ¤ le XP Home en OEM, j'appelle pas ça "que dalle".
tu crois que DELL paie ce prix là ? -- Philippe Manet
francois.jacquemin
Philippe RAI wrote:
Parce qu'on a perdu les subtilités de la langue qui permettent de faire passer ces nuances sans ces artifices ?
Non, je ne crois pas. Les mêmes, lecteurs d'un texte dont ils attendent qu'il soit rédigé, perçoivent parfaitement les nuances d'expression dont il est composé.
Mais ici, sur Usenet, ou sur la toile, ils se projettent dans un univers à la fois proche, très accessible, très privé, et en même temps irréel, un peu comme celui du téléphone, des SMS, qui témoignent encore davantage de ce statut particulier de la langue. Dès lors, elle n'est plus ni la langue parlée de la vie sociale, ni la langue écrite du document ou du livre.
Elle tient des deux, langue murmurée, si loin du travail de la langue, langue dactylographiée, si loin de la parole. Ce grand écart modal lui vaut d'être mise à mal de façon très particulière, avec des fautes presque volontaires, pour taper plus vite, de l'expression phonétique, de la contamination, associant un mélange de niveaux de langue soutenue, de lange familière et de jargons et argots divers. J'imagine qu'on puisse lire Henri de Régnier et lâcher des caisses de fautes ici. Et peut-être finira-t-il par surgir un jour un griot de ce brouhaha collectif. -- F. Jacquemin
Philippe RAI <philo.ra@NSfreesurf.fr> wrote:
Parce qu'on a perdu les subtilités de la langue qui permettent de faire
passer ces nuances sans ces artifices ?
Non, je ne crois pas. Les mêmes, lecteurs d'un texte dont ils attendent
qu'il soit rédigé, perçoivent parfaitement les nuances d'expression dont
il est composé.
Mais ici, sur Usenet, ou sur la toile, ils se projettent dans un univers
à la fois proche, très accessible, très privé, et en même temps irréel,
un peu comme celui du téléphone, des SMS, qui témoignent encore
davantage de ce statut particulier de la langue. Dès lors, elle n'est
plus ni la langue parlée de la vie sociale, ni la langue écrite du
document ou du livre.
Elle tient des deux, langue murmurée, si loin du travail de la langue,
langue dactylographiée, si loin de la parole. Ce grand écart modal lui
vaut d'être mise à mal de façon très particulière, avec des fautes
presque volontaires, pour taper plus vite, de l'expression phonétique,
de la contamination, associant un mélange de niveaux de langue soutenue,
de lange familière et de jargons et argots divers. J'imagine qu'on
puisse lire Henri de Régnier et lâcher des caisses de fautes ici. Et
peut-être finira-t-il par surgir un jour un griot de ce brouhaha
collectif.
--
F. Jacquemin
Parce qu'on a perdu les subtilités de la langue qui permettent de faire passer ces nuances sans ces artifices ?
Non, je ne crois pas. Les mêmes, lecteurs d'un texte dont ils attendent qu'il soit rédigé, perçoivent parfaitement les nuances d'expression dont il est composé.
Mais ici, sur Usenet, ou sur la toile, ils se projettent dans un univers à la fois proche, très accessible, très privé, et en même temps irréel, un peu comme celui du téléphone, des SMS, qui témoignent encore davantage de ce statut particulier de la langue. Dès lors, elle n'est plus ni la langue parlée de la vie sociale, ni la langue écrite du document ou du livre.
Elle tient des deux, langue murmurée, si loin du travail de la langue, langue dactylographiée, si loin de la parole. Ce grand écart modal lui vaut d'être mise à mal de façon très particulière, avec des fautes presque volontaires, pour taper plus vite, de l'expression phonétique, de la contamination, associant un mélange de niveaux de langue soutenue, de lange familière et de jargons et argots divers. J'imagine qu'on puisse lire Henri de Régnier et lâcher des caisses de fautes ici. Et peut-être finira-t-il par surgir un jour un griot de ce brouhaha collectif. -- F. Jacquemin
Alain Borel
Christophe Delplanche wrote:
Il ya les problèmes de virus. une plaie sur pc.
Il y a les problèmes des installations. C'est pas pour rien qu'un pc a besoin de points de restauration. Pour revenir à une situation d'avant.
La maintenance du pc est réservée à une élite. Quand je lis dans micro hebdo les solutions aux problèmes. Quan on dit qu'il faut travailler sur le registre, ouvrir telle ressource et noter un charabia épouvantagle que seul un érudi savait, cela me fait peur.
Sur un pc, il faut régulièrement tout reformater et réinstaller.
Dans tout ce qui précède, ne pas confondre PC et Windows! Je connais plein de PCs qui n'ont absolument pas ce genre de problèmes. Simplement, ce n'est pas Windows qui tourne dessus: Linux, FreeBSD... il y a de nonbreux autres choix.
Un mac garde toujours une certaine valeur. Un pc d'occase perd vite de sa valeur.
Ca, c'est surtout parce qu'il est vite remplacé chez les revendeurs par du matériel bien plus performant.
Mais maintenant comme mac sait faire tourner Xp... où est le problème ?
Le problème? Le mac va avoir potentiellement droit à tous les problèmes que tu attribuais à tort au PC. Puisque ce sont des problèmes de Windows ;-)
Alain
Christophe Delplanche wrote:
Il ya les problèmes de virus. une plaie sur pc.
Il y a les problèmes des installations. C'est pas pour rien qu'un pc a
besoin de points de restauration. Pour revenir à une situation d'avant.
La maintenance du pc est réservée à une élite. Quand je lis dans micro
hebdo les solutions aux problèmes. Quan on dit qu'il faut travailler sur
le registre, ouvrir telle ressource et noter un charabia épouvantagle
que seul un érudi savait, cela me fait peur.
Sur un pc, il faut régulièrement tout reformater et réinstaller.
Dans tout ce qui précède, ne pas confondre PC et Windows! Je connais
plein de PCs qui n'ont absolument pas ce genre de problèmes. Simplement,
ce n'est pas Windows qui tourne dessus: Linux, FreeBSD... il y a de
nonbreux autres choix.
Un mac garde toujours une certaine valeur. Un pc d'occase perd vite de
sa valeur.
Ca, c'est surtout parce qu'il est vite remplacé chez les revendeurs par
du matériel bien plus performant.
Mais maintenant comme mac sait faire tourner Xp... où est le problème ?
Le problème? Le mac va avoir potentiellement droit à tous les problèmes
que tu attribuais à tort au PC. Puisque ce sont des problèmes de Windows ;-)
Il y a les problèmes des installations. C'est pas pour rien qu'un pc a besoin de points de restauration. Pour revenir à une situation d'avant.
La maintenance du pc est réservée à une élite. Quand je lis dans micro hebdo les solutions aux problèmes. Quan on dit qu'il faut travailler sur le registre, ouvrir telle ressource et noter un charabia épouvantagle que seul un érudi savait, cela me fait peur.
Sur un pc, il faut régulièrement tout reformater et réinstaller.
Dans tout ce qui précède, ne pas confondre PC et Windows! Je connais plein de PCs qui n'ont absolument pas ce genre de problèmes. Simplement, ce n'est pas Windows qui tourne dessus: Linux, FreeBSD... il y a de nonbreux autres choix.
Un mac garde toujours une certaine valeur. Un pc d'occase perd vite de sa valeur.
Ca, c'est surtout parce qu'il est vite remplacé chez les revendeurs par du matériel bien plus performant.
Mais maintenant comme mac sait faire tourner Xp... où est le problème ?
Le problème? Le mac va avoir potentiellement droit à tous les problèmes que tu attribuais à tort au PC. Puisque ce sont des problèmes de Windows ;-)
Alain
Erwan David
(manet) écrivait :
Erwan David wrote:
100 ¤ le XP Home en OEM, j'appelle pas ça "que dalle".
tu crois que DELL paie ce prix là ?
C'ets le prix public OEM...
-- Erwan
pmanet@invivo.edu (manet) écrivait :
Erwan David <erwan@rail.eu.org> wrote:
100 ¤ le XP Home en OEM, j'appelle pas ça "que dalle".