J'espère que je suis sur le bon forum ...
J'ai une connaissance qui est dans une école de photographie, et,
évidemment, elle utilise Photoshop. Elle voudrait remplacer son
ordinateur personnel (un PC), mais je ne sais quoi lui conseiller ...
Quel est votre avis :
- pour une configuration minimale ?
- pour une configuration optimale ?
Un grand merci d'avance pour vos réponses !
Bisous les copines ! et salut les copains !
L'histoire se réécrit toujours du côté des vainqueurs... En 1990, il y avait un logiciel bitmap qui tenait le haut du pavé sur Windows et personne ne parlait de Photoshop. A l'époque je suivais pas ces choses là de près et je ne me souviens plus de son nom ; si quelqu'un avait des souvenirs plus frais...
En 1989 Adobe a racheté Barney Scan, le soft des frères Knoll.
Mais à l'époque Windows était plutôt discret dans le domaine graphique (avant la véritable révolution de Windows 95). La bagarre graphique se situait plutôt du côté du Mac, de l'Amiga et pourquoi pas des stations Silicon Graphics, un amis ne jurait que par elles ! [.........]
Je crois bien que le nom que je cherchais est le PhotoStyler cité par Jérome Lambert. Il manque dans la longue litanie égrenée par JCR.
Quant à Windows en 1990, ce n'est pas qu'il faisait la loi dans les arts graphiques, mais il la faisait déjà dans les bureaux et le scanner HP que j'utilisais était interfacé sur Windows, d'où le PhotoStyler (probablement) de l'époque
Merci à tous ceux qui ont répondu à ma question.
Charles
Jean-Claude Ghislain a écrit :
"Charles Vassallo" a écrit :
L'histoire se réécrit toujours du côté des vainqueurs... En 1990, il y
avait un logiciel bitmap qui tenait le haut du pavé sur Windows et
personne ne parlait de Photoshop. A l'époque je suivais pas ces choses là
de près et je ne me souviens plus de son nom ; si quelqu'un avait des
souvenirs plus frais...
En 1989 Adobe a racheté Barney Scan, le soft des frères Knoll.
Mais à l'époque Windows était plutôt discret dans le domaine graphique
(avant la véritable révolution de Windows 95). La bagarre graphique se
situait plutôt du côté du Mac, de l'Amiga et pourquoi pas des stations
Silicon Graphics, un amis ne jurait que par elles !
[.........]
Je crois bien que le nom que je cherchais est le PhotoStyler cité par
Jérome Lambert. Il manque dans la longue litanie égrenée par JCR.
Quant à Windows en 1990, ce n'est pas qu'il faisait la loi dans les arts
graphiques, mais il la faisait déjà dans les bureaux et le scanner HP
que j'utilisais était interfacé sur Windows, d'où le PhotoStyler
(probablement) de l'époque
L'histoire se réécrit toujours du côté des vainqueurs... En 1990, il y avait un logiciel bitmap qui tenait le haut du pavé sur Windows et personne ne parlait de Photoshop. A l'époque je suivais pas ces choses là de près et je ne me souviens plus de son nom ; si quelqu'un avait des souvenirs plus frais...
En 1989 Adobe a racheté Barney Scan, le soft des frères Knoll.
Mais à l'époque Windows était plutôt discret dans le domaine graphique (avant la véritable révolution de Windows 95). La bagarre graphique se situait plutôt du côté du Mac, de l'Amiga et pourquoi pas des stations Silicon Graphics, un amis ne jurait que par elles ! [.........]
Je crois bien que le nom que je cherchais est le PhotoStyler cité par Jérome Lambert. Il manque dans la longue litanie égrenée par JCR.
Quant à Windows en 1990, ce n'est pas qu'il faisait la loi dans les arts graphiques, mais il la faisait déjà dans les bureaux et le scanner HP que j'utilisais était interfacé sur Windows, d'où le PhotoStyler (probablement) de l'époque
Merci à tous ceux qui ont répondu à ma question.
Charles
palmerclaude
delestaque wrote:
-- Ricco "Jean-Claude Ghislain" a écrit dans le message de news: i7609h$mtf$
"JLC" a écrit :
Chez moi, Monsieur, on ne se peigne pas, ... on se coiffe !
Tu portes une coiffe ?
-- JCG
La coiffe des Gilles de Bintje. gaffe aux oranges.
Toutes les bretonnes portent une coiffe (exemple Bécassine)... sauf quand elles émigrent et s'installent des créperies gare Montparnasse. Quoi que certaines amènent leur lit clos, par exemple le restau face à l'hôtel Delambre, rue Delambre; je vérifie vendredi soir lors de mon prochain déplacement à Paris et posterai le justificatif photo.
delestaque wrote:
--
Ricco
"Jean-Claude Ghislain" <jcg@invalid.com> a écrit dans le message de
news: i7609h$mtf$1@speranza.aioe.org...
"JLC" a écrit :
Chez moi, Monsieur, on ne se peigne pas, ... on se coiffe !
Tu portes une coiffe ?
--
JCG
La coiffe des Gilles de Bintje.
gaffe aux oranges.
Toutes les bretonnes portent une coiffe (exemple Bécassine)... sauf quand
elles émigrent et s'installent des créperies gare Montparnasse.
Quoi que certaines amènent leur lit clos, par exemple le restau face à
l'hôtel Delambre, rue Delambre; je vérifie vendredi soir lors de mon
prochain déplacement à Paris et posterai le justificatif photo.
-- Ricco "Jean-Claude Ghislain" a écrit dans le message de news: i7609h$mtf$
"JLC" a écrit :
Chez moi, Monsieur, on ne se peigne pas, ... on se coiffe !
Tu portes une coiffe ?
-- JCG
La coiffe des Gilles de Bintje. gaffe aux oranges.
Toutes les bretonnes portent une coiffe (exemple Bécassine)... sauf quand elles émigrent et s'installent des créperies gare Montparnasse. Quoi que certaines amènent leur lit clos, par exemple le restau face à l'hôtel Delambre, rue Delambre; je vérifie vendredi soir lors de mon prochain déplacement à Paris et posterai le justificatif photo.
*core*administrator
On Sun, 19 Sep 2010 23:37:15 +0200, "Jean-Claude Ghislain" wrote:
- Un corps humain est entièrement modelé en 3D, pour sept minutes d'animation : Looker de Richard Taylor (connais pas).
"Looker" Disponible en DVD dans toutes les bonnes maisons ;-)
On Sun, 19 Sep 2010 23:37:15 +0200, "Jean-Claude Ghislain" wrote:
- Un corps humain est entièrement modelé en 3D, pour sept minutes d'animation : Looker de Richard Taylor (connais pas).
"Looker" Disponible en DVD dans toutes les bonnes maisons ;-)
Edité par Warner Video.
*core*administrator
On Sun, 19 Sep 2010 20:39:47 +0200, Charles Vassallo wrote:
Moins de 200¤ en tarif éducation en extended. Ça vaut le coup de retourner à l'école ! Ou suivez les camions, paraît qu'il y en a qui tombent de temps en temps :-)
euh.... je crois que ce ne sont pas les camions qui "tombent" mais bien les marchandises que les dits camions sont sensés contenir. Non ?
On Sun, 19 Sep 2010 20:39:47 +0200, Charles Vassallo <cv@waou.fr>
wrote:
Moins de 200¤ en tarif éducation en extended. Ça vaut le coup de
retourner à l'école ! Ou suivez les camions, paraît qu'il y en a qui
tombent de temps en temps :-)
euh.... je crois que ce ne sont pas les camions qui "tombent"
mais bien les marchandises que les dits camions sont sensés
contenir. Non ?
On Sun, 19 Sep 2010 20:39:47 +0200, Charles Vassallo wrote:
Moins de 200¤ en tarif éducation en extended. Ça vaut le coup de retourner à l'école ! Ou suivez les camions, paraît qu'il y en a qui tombent de temps en temps :-)
euh.... je crois que ce ne sont pas les camions qui "tombent" mais bien les marchandises que les dits camions sont sensés contenir. Non ?
delestaque
"Richard" <*core* a écrit dans le message de news:
On Sun, 19 Sep 2010 20:39:47 +0200, Charles Vassallo wrote:
Moins de 200¤ en tarif éducation en extended. Ça vaut le coup de retourner à l'école ! Ou suivez les camions, paraît qu'il y en a qui tombent de temps en temps :-)
euh.... je crois que ce ne sont pas les camions qui "tombent" mais bien les marchandises que les dits camions sont sensés contenir. Non ?
Ils tombent même des mules. Je me demande s'ils s'en foutent, ou ils ne peuvent rien y faire ? Certaines entreprises travailleraient avec des logiciels tombés des mules, ça couterait moins cher de payer la prune que de les acheter. -- Ricco
"Richard" <*core*administrator@nsa.org> a écrit dans le message de news:
4c9c0f5e.2743436@www.stben.net...
On Sun, 19 Sep 2010 20:39:47 +0200, Charles Vassallo <cv@waou.fr>
wrote:
Moins de 200¤ en tarif éducation en extended. Ça vaut le coup de
retourner à l'école ! Ou suivez les camions, paraît qu'il y en a qui
tombent de temps en temps :-)
euh.... je crois que ce ne sont pas les camions qui "tombent"
mais bien les marchandises que les dits camions sont sensés
contenir. Non ?
Ils tombent même des mules.
Je me demande s'ils s'en foutent, ou ils ne peuvent rien y faire ?
Certaines entreprises travailleraient avec des logiciels tombés des mules,
ça couterait moins cher de payer la prune que de les acheter.
--
Ricco
"Richard" <*core* a écrit dans le message de news:
On Sun, 19 Sep 2010 20:39:47 +0200, Charles Vassallo wrote:
Moins de 200¤ en tarif éducation en extended. Ça vaut le coup de retourner à l'école ! Ou suivez les camions, paraît qu'il y en a qui tombent de temps en temps :-)
euh.... je crois que ce ne sont pas les camions qui "tombent" mais bien les marchandises que les dits camions sont sensés contenir. Non ?
Ils tombent même des mules. Je me demande s'ils s'en foutent, ou ils ne peuvent rien y faire ? Certaines entreprises travailleraient avec des logiciels tombés des mules, ça couterait moins cher de payer la prune que de les acheter. -- Ricco
Charles Vassallo
Richard a écrit :
On Sun, 19 Sep 2010 20:39:47 +0200, Charles Vassallo wrote:
Moins de 200¤ en tarif éducation en extended. Ça vaut le coup de retourner à l'école ! Ou suivez les camions, paraît qu'il y en a qui tombent de temps en temps :-)
euh.... je crois que ce ne sont pas les camions qui "tombent" mais bien les marchandises que les dits camions sont sensés contenir. Non ?
Eh, qui sait ? C'est toute l'ambiguïté des pronoms, parfois source d'humour ; on ne sourit jamais assez.
Charles
Richard a écrit :
On Sun, 19 Sep 2010 20:39:47 +0200, Charles Vassallo<cv@waou.fr>
wrote:
Moins de 200¤ en tarif éducation en extended. Ça vaut le coup de
retourner à l'école ! Ou suivez les camions, paraît qu'il y en a qui
tombent de temps en temps :-)
euh.... je crois que ce ne sont pas les camions qui "tombent"
mais bien les marchandises que les dits camions sont sensés
contenir. Non ?
Eh, qui sait ? C'est toute l'ambiguïté des pronoms, parfois source
d'humour ; on ne sourit jamais assez.
On Sun, 19 Sep 2010 20:39:47 +0200, Charles Vassallo wrote:
Moins de 200¤ en tarif éducation en extended. Ça vaut le coup de retourner à l'école ! Ou suivez les camions, paraît qu'il y en a qui tombent de temps en temps :-)
euh.... je crois que ce ne sont pas les camions qui "tombent" mais bien les marchandises que les dits camions sont sensés contenir. Non ?
Eh, qui sait ? C'est toute l'ambiguïté des pronoms, parfois source d'humour ; on ne sourit jamais assez.
Charles
YouDontNeedToKnowButItsNoëlle
Le 22/09/10 09:02, Charles Vassallo a écrit :
Richard a écrit :
euh.... je crois que ce ne sont pas les camions qui "tombent" mais bien les marchandises que les dits camions sont sensés contenir. Non ?
Eh, qui sait ? C'est toute l'ambiguïté des pronoms, parfois source d'humour ; on ne sourit jamais assez.
Charles
D'autant que certains magasins ont une spécialité de solder les produits en provenance de sinistres - les camions accidentés en font partie !. Si le camion tombe son contenu aussi. Je n'y ait jamais vu de boites de logiciels.
Noëlle Adam
Le 22/09/10 09:02, Charles Vassallo a écrit :
Richard a écrit :
euh.... je crois que ce ne sont pas les camions qui "tombent"
mais bien les marchandises que les dits camions sont sensés
contenir. Non ?
Eh, qui sait ? C'est toute l'ambiguïté des pronoms, parfois source
d'humour ; on ne sourit jamais assez.
Charles
D'autant que certains magasins ont une spécialité de solder les produits
en provenance de sinistres - les camions accidentés en font partie !. Si
le camion tombe son contenu aussi.
Je n'y ait jamais vu de boites de logiciels.
euh.... je crois que ce ne sont pas les camions qui "tombent" mais bien les marchandises que les dits camions sont sensés contenir. Non ?
Eh, qui sait ? C'est toute l'ambiguïté des pronoms, parfois source d'humour ; on ne sourit jamais assez.
Charles
D'autant que certains magasins ont une spécialité de solder les produits en provenance de sinistres - les camions accidentés en font partie !. Si le camion tombe son contenu aussi. Je n'y ait jamais vu de boites de logiciels.
Noëlle Adam
delestaque
"YouDontNeedToKnowButItsNoëlle" <"YoudontNeedThatNeither"@sol.earth> a écrit dans le message de news: 4c99b541$0$32430$
Le 22/09/10 09:02, Charles Vassallo a écrit :
Richard a écrit :
euh.... je crois que ce ne sont pas les camions qui "tombent" mais bien les marchandises que les dits camions sont sensés contenir. Non ?
Eh, qui sait ? C'est toute l'ambiguïté des pronoms, parfois source d'humour ; on ne sourit jamais assez.
Charles
D'autant que certains magasins ont une spécialité de solder les produits en provenance de sinistres - les camions accidentés en font partie !. Si le camion tombe son contenu aussi. Je n'y ait jamais vu de boites de logiciels.
Noëlle Adam
Moi, j'en ai racheté sur des ventes aux enchères, pour le bouquin, là en général, pas la peine de le chercher, mais en revanche avec une facture de commissaire priseur, l'affaire est parfaitement légale. Mais c'était à l'époque des liquidations en masse des labos photo, et, il n'en reste plus à liquider. -- Ricco
"YouDontNeedToKnowButItsNoëlle" <"YoudontNeedThatNeither"@sol.earth> a écrit
dans le message de news: 4c99b541$0$32430$ba4acef3@reader.news.orange.fr...
Le 22/09/10 09:02, Charles Vassallo a écrit :
Richard a écrit :
euh.... je crois que ce ne sont pas les camions qui "tombent"
mais bien les marchandises que les dits camions sont sensés
contenir. Non ?
Eh, qui sait ? C'est toute l'ambiguïté des pronoms, parfois source
d'humour ; on ne sourit jamais assez.
Charles
D'autant que certains magasins ont une spécialité de solder les produits
en provenance de sinistres - les camions accidentés en font partie !. Si
le camion tombe son contenu aussi.
Je n'y ait jamais vu de boites de logiciels.
Noëlle Adam
Moi, j'en ai racheté sur des ventes aux enchères, pour le bouquin, là en
général, pas la peine de le chercher, mais en revanche avec une facture de
commissaire priseur, l'affaire est parfaitement légale.
Mais c'était à l'époque des liquidations en masse des labos photo, et, il
n'en reste plus à liquider.
--
Ricco
"YouDontNeedToKnowButItsNoëlle" <"YoudontNeedThatNeither"@sol.earth> a écrit dans le message de news: 4c99b541$0$32430$
Le 22/09/10 09:02, Charles Vassallo a écrit :
Richard a écrit :
euh.... je crois que ce ne sont pas les camions qui "tombent" mais bien les marchandises que les dits camions sont sensés contenir. Non ?
Eh, qui sait ? C'est toute l'ambiguïté des pronoms, parfois source d'humour ; on ne sourit jamais assez.
Charles
D'autant que certains magasins ont une spécialité de solder les produits en provenance de sinistres - les camions accidentés en font partie !. Si le camion tombe son contenu aussi. Je n'y ait jamais vu de boites de logiciels.
Noëlle Adam
Moi, j'en ai racheté sur des ventes aux enchères, pour le bouquin, là en général, pas la peine de le chercher, mais en revanche avec une facture de commissaire priseur, l'affaire est parfaitement légale. Mais c'était à l'époque des liquidations en masse des labos photo, et, il n'en reste plus à liquider. -- Ricco
*core*administrator
On Tue, 21 Sep 2010 22:11:09 +0200, "delestaque" wrote:
Ils tombent même des mules.
Ah oui. Les mules. J'avais oubliés les mules.
Je me demande s'ils s'en foutent, ou ils ne peuvent rien y faire ? Certaines entreprises travailleraient avec des logiciels tombés des mules, ça couterait moins cher de payer la prune que de les acheter. --
D'autant plus que leur chance d'être contrôlé doit se rapprocher curieusement du zéro absolu. A moins d'une dénonciation, peut-être.
On Tue, 21 Sep 2010 22:11:09 +0200, "delestaque" <rd@fresbee.be>
wrote:
Ils tombent même des mules.
Ah oui. Les mules. J'avais oubliés les mules.
Je me demande s'ils s'en foutent, ou ils ne peuvent rien y faire ?
Certaines entreprises travailleraient avec des logiciels tombés des mules,
ça couterait moins cher de payer la prune que de les acheter.
--
D'autant plus que leur chance d'être contrôlé doit se rapprocher
curieusement du zéro absolu. A moins d'une dénonciation,
peut-être.
On Tue, 21 Sep 2010 22:11:09 +0200, "delestaque" wrote:
Ils tombent même des mules.
Ah oui. Les mules. J'avais oubliés les mules.
Je me demande s'ils s'en foutent, ou ils ne peuvent rien y faire ? Certaines entreprises travailleraient avec des logiciels tombés des mules, ça couterait moins cher de payer la prune que de les acheter. --
D'autant plus que leur chance d'être contrôlé doit se rapprocher curieusement du zéro absolu. A moins d'une dénonciation, peut-être.
Gerald
Richard <*core* wrote:
>Certaines entreprises travailleraient avec des logiciels tombés des mules, >ça couterait moins cher de payer la prune que de les acheter. >-- D'autant plus que leur chance d'être contrôlé doit se rapprocher curieusement du zéro absolu. A moins d'une dénonciation, peut-être.
1/ le risque n'est pas là : il est dans la possibilité d'accueillir un malware chez soi, ou du code pourri, avec impossibilité de se plaindre ! Est-elle vraiment passée la mode (chez les éditeurs et auteurs) de charger eux-mêmes la mule des versions daubées des softs qu'ils savent largement piratés ? Dépendre professionnellement d'un logiciel ou d'une configuration instable me semble bien peu "professionnel", mais ça va peut-être avec le matériel et l'OS qu'on utilise aussi... :-(
2/ tout faire dépendre du fric, du cassage de prix qu'on peut se permettre par rapport aux concurrents via diverses malversations, incluant le non paiement de charges, les fausses déclarations, le vol de matériels ou de logiciels (quelle différence ?), le graissage de pattes de politiques, de fonctionnaires, de juges ou de policiers... a une logique propre qu'il faut savoir mener jusqu'au bout sinon on reste "petite bite", et on se fait rapidement doubler par plus cynique que soi. Faut pas en rester aux logiciels ! Faut se lancer dans le mafieux !
3/ il y a quarante ans, une librairie sise 11 rue Ternaux dans le XIe arrondissement de Paris, était tenue par un aveugle (façon Ray Charles dans les Blues Brothers !). On payait en mettant son billet dans le tiroir en bois de la caisse et en reprenant soi-même sa monnaie. Non seulement cette librairie (qui a déménagé un peu plus loin et s'est modernisée) n'a pas fait faillite mais elle est encore aujourd'hui bien prospère. Était-ce sa clientèle ? C'est en tout cas un honneur partagé d'en avoir été client. C'est bien *ne pas* voler quand c'est facile de le faire qui est classe.
4/ C'est marrant que tu confondes ci-dessus les mots "risque" et "chance". Un peu grippé des neurones ? On leur souhaite ensemble bonne chance à "certaines entreprises" ? :-)
-- Gérald
Richard <*core*administrator@nsa.org> wrote:
>Certaines entreprises travailleraient avec des logiciels tombés des mules,
>ça couterait moins cher de payer la prune que de les acheter.
>--
D'autant plus que leur chance d'être contrôlé doit se rapprocher
curieusement du zéro absolu. A moins d'une dénonciation,
peut-être.
1/ le risque n'est pas là : il est dans la possibilité d'accueillir un
malware chez soi, ou du code pourri, avec impossibilité de se plaindre !
Est-elle vraiment passée la mode (chez les éditeurs et auteurs) de
charger eux-mêmes la mule des versions daubées des softs qu'ils savent
largement piratés ?
Dépendre professionnellement d'un logiciel ou d'une configuration
instable me semble bien peu "professionnel", mais ça va peut-être avec
le matériel et l'OS qu'on utilise aussi... :-(
2/ tout faire dépendre du fric, du cassage de prix qu'on peut se
permettre par rapport aux concurrents via diverses malversations,
incluant le non paiement de charges, les fausses déclarations, le vol de
matériels ou de logiciels (quelle différence ?), le graissage de pattes
de politiques, de fonctionnaires, de juges ou de policiers... a une
logique propre qu'il faut savoir mener jusqu'au bout sinon on reste
"petite bite", et on se fait rapidement doubler par plus cynique que
soi.
Faut pas en rester aux logiciels ! Faut se lancer dans le mafieux !
3/ il y a quarante ans, une librairie sise 11 rue Ternaux dans le XIe
arrondissement de Paris, était tenue par un aveugle (façon Ray Charles
dans les Blues Brothers !). On payait en mettant son billet dans le
tiroir en bois de la caisse et en reprenant soi-même sa monnaie. Non
seulement cette librairie (qui a déménagé un peu plus loin et s'est
modernisée) n'a pas fait faillite mais elle est encore aujourd'hui bien
prospère. Était-ce sa clientèle ? C'est en tout cas un honneur partagé
d'en avoir été client. C'est bien *ne pas* voler quand c'est facile de
le faire qui est classe.
4/ C'est marrant que tu confondes ci-dessus les mots "risque" et
"chance". Un peu grippé des neurones ?
On leur souhaite ensemble bonne chance à "certaines entreprises" ? :-)
>Certaines entreprises travailleraient avec des logiciels tombés des mules, >ça couterait moins cher de payer la prune que de les acheter. >-- D'autant plus que leur chance d'être contrôlé doit se rapprocher curieusement du zéro absolu. A moins d'une dénonciation, peut-être.
1/ le risque n'est pas là : il est dans la possibilité d'accueillir un malware chez soi, ou du code pourri, avec impossibilité de se plaindre ! Est-elle vraiment passée la mode (chez les éditeurs et auteurs) de charger eux-mêmes la mule des versions daubées des softs qu'ils savent largement piratés ? Dépendre professionnellement d'un logiciel ou d'une configuration instable me semble bien peu "professionnel", mais ça va peut-être avec le matériel et l'OS qu'on utilise aussi... :-(
2/ tout faire dépendre du fric, du cassage de prix qu'on peut se permettre par rapport aux concurrents via diverses malversations, incluant le non paiement de charges, les fausses déclarations, le vol de matériels ou de logiciels (quelle différence ?), le graissage de pattes de politiques, de fonctionnaires, de juges ou de policiers... a une logique propre qu'il faut savoir mener jusqu'au bout sinon on reste "petite bite", et on se fait rapidement doubler par plus cynique que soi. Faut pas en rester aux logiciels ! Faut se lancer dans le mafieux !
3/ il y a quarante ans, une librairie sise 11 rue Ternaux dans le XIe arrondissement de Paris, était tenue par un aveugle (façon Ray Charles dans les Blues Brothers !). On payait en mettant son billet dans le tiroir en bois de la caisse et en reprenant soi-même sa monnaie. Non seulement cette librairie (qui a déménagé un peu plus loin et s'est modernisée) n'a pas fait faillite mais elle est encore aujourd'hui bien prospère. Était-ce sa clientèle ? C'est en tout cas un honneur partagé d'en avoir été client. C'est bien *ne pas* voler quand c'est facile de le faire qui est classe.
4/ C'est marrant que tu confondes ci-dessus les mots "risque" et "chance". Un peu grippé des neurones ? On leur souhaite ensemble bonne chance à "certaines entreprises" ? :-)
