http://www.photoservice.com/4/foto/num0.htm
;============
Une image numérique est caractérisée par 4 éléments :
Sa dimension : c'est la largeur et la hauteur de l'image. Elle est définie
en cm, en pouce voire en pixel. Une image de 10 cm x 15 cm en informatique
sera imprimée dans la même dimension 10 cm x 15 cm sur papier.
Très souvent, en photo numérique, les dimensions d'une image sont données en
pixels (par exemple 640 X 480 pixels). On peut calculer le nombre total de
pixel (307 200 pixels) mais nous ne pouvons pas connaître la dimension de
l'image en cm car nous ne connaissons pas la dimension du pixel (voir
paragraphe suivant). Les constructeurs d'appareils photos numériques ne
donnent pas la résolution, nous la connaissons lorsque nous visualisons
l'image dans un logiciel de traitement d'image.
Sa résolution : Elle est exprimée en DPI (dot per inch) ou PPP (point par
pouce) et correspond au nombre de pixels par unité de surface. La résolution
permet de définir la finesse d'une image. Plus la résolution est grande,
plus la finesse d'une image est grande. Une image à 300 DPI est plus fine
qu'une image à 72 DPI (pour les mêmes dimensions). De ce fait, l'impression
d'une image 10 X 15 cm à 300 DPI sera de meilleure qualité qu'une image 10 x
15 cm à 72 DPI. Une résolution à 300 DPI signifie qu'il y a 300 pixels sur
une longueur de 1 pouce (2,54 cm). A partir de la résolution, on peut
calculer la dimension du pixel. Par exemple pour une résolution à 72 DPI, un
pixel fait 0,35 mm de côté (2,54 cm divisé par 72 DPI).
;================
Une image numérique n'est caractérisée QUE par ses pixels. POINT BARRE.
Sa résolution n'est certainement pas expriméee par unité de surface.
Vouloir calculer la largeur d'un pixel, c'est comme vouloir calculer la
largeur d'un bit.
C'est du logique.
--
A+
Papy Bernard (RTCien malgré lui)
Le Tue, 21 Sep 2004 16:09:07 +0800, Dark_T a écrit :
Leur définition est vraiment pas acceptable :
"Élément le plus petit d'une surface d'affichage auquel on puisse associer individuellement une couleur (ou un niveau de gris) et une intensité. "
C'est pourtant la définition d'origine du picture element.
Donc ça veut dire selon toi que les marchands d'imprimantes ont raison de dire qu'ils impriment en 2400dpi ? Et donc les "pixels" peuvent-ils se chevaucher ?
Techniquement si on demande à l'imprimante de n'envoyer qu'une goutte d'une seule couleur, elle imprimera bien un point de un pouce/2400 qui ensuite se diffusera sur le papier.
Et pour les écrans ? Si je suis à la lettre cette définition, mon écran 1024x768 fait en fait du 3072 x 2304 car il est constitué de 3072 x 2304 "Élément[s] le[s] plus petit[s] d'une surface d'affichage auquel on puisse associer individuellement une couleur (ou un niveau de gris) et une intensité." Mon écran vient de faire un bond qualitatif incroyable ;)
Non, puisque tu n'as *que* 1024x768 éléments à qui tu puisses physiquement affecter une couleur. Après il est possible d'affecter à un *même* élément plusieurs couleurs qui se mélangent. Donc la définition est bonne.
Les "dimensions" d'un pixel sont fonction d'un moment, d'une surface, d'une technologie... C'est loin d'être un attribut uniquement lié au pixel, et donc ce n'est pas une propriété d'un pixel. Donc un pixel n'a pas de dimension propre, CQFD.
Un ressort au repos à une longueur donnée. Je l'étire, il change de longueur. Je le comprime, il change encore de longueur de manière différente. Les dimensions du ressort sont fonction du moment (d'ailleurs s'il fait chaud ou froid, le ressort au repos change de longueur), d'une contrainte, d'une technologie (je me vois mal compresser un ressort de suspension d'un camion par exemple). C'est loin d'être un attribut lié au ressort, et donc ce n'est pas une propriété du ressort. Donc un ressort n'a pas de dimension propre. CQFD.
-- Stephan Peccini Nature : <URL:http://nature.tesenca.info> Seurasaari : <URL:http://seurasaari.tesenca.info>
Le Tue, 21 Sep 2004 16:09:07 +0800, Dark_T a écrit :
Leur définition est vraiment pas acceptable :
"Élément le plus petit d'une surface d'affichage auquel on puisse associer
individuellement une couleur (ou un niveau de gris) et une intensité. "
C'est pourtant la définition d'origine du picture element.
Donc ça veut dire selon toi que les marchands d'imprimantes ont raison de
dire qu'ils impriment en 2400dpi ? Et donc les "pixels" peuvent-ils se
chevaucher ?
Techniquement si on demande à l'imprimante de n'envoyer qu'une goutte
d'une seule couleur, elle imprimera bien un point de un pouce/2400 qui
ensuite se diffusera sur le papier.
Et pour les écrans ? Si je suis à la lettre cette définition, mon écran
1024x768 fait en fait du 3072 x 2304 car il est constitué de 3072 x 2304
"Élément[s] le[s] plus petit[s] d'une surface d'affichage auquel on puisse
associer individuellement une couleur (ou un niveau de gris) et une
intensité."
Mon écran vient de faire un bond qualitatif incroyable ;)
Non, puisque tu n'as *que* 1024x768 éléments à qui tu puisses
physiquement affecter une couleur. Après il est possible d'affecter à un
*même* élément plusieurs couleurs qui se mélangent. Donc la
définition est bonne.
Les "dimensions" d'un pixel sont fonction d'un moment, d'une surface, d'une
technologie... C'est loin d'être un attribut uniquement lié au pixel, et
donc ce n'est pas une propriété d'un pixel. Donc un pixel n'a pas de
dimension propre, CQFD.
Un ressort au repos à une longueur donnée. Je l'étire, il change de
longueur. Je le comprime, il change encore de longueur de manière
différente. Les dimensions du ressort sont fonction du moment
(d'ailleurs s'il fait chaud ou froid, le ressort au repos change de
longueur), d'une contrainte, d'une technologie (je me vois mal
compresser un ressort de suspension d'un camion par exemple).
C'est loin d'être un attribut lié au ressort, et donc ce n'est pas une
propriété du ressort. Donc un ressort n'a pas de dimension propre. CQFD.
--
Stephan Peccini
Nature : <URL:http://nature.tesenca.info>
Seurasaari : <URL:http://seurasaari.tesenca.info>
Le Tue, 21 Sep 2004 16:09:07 +0800, Dark_T a écrit :
Leur définition est vraiment pas acceptable :
"Élément le plus petit d'une surface d'affichage auquel on puisse associer individuellement une couleur (ou un niveau de gris) et une intensité. "
C'est pourtant la définition d'origine du picture element.
Donc ça veut dire selon toi que les marchands d'imprimantes ont raison de dire qu'ils impriment en 2400dpi ? Et donc les "pixels" peuvent-ils se chevaucher ?
Techniquement si on demande à l'imprimante de n'envoyer qu'une goutte d'une seule couleur, elle imprimera bien un point de un pouce/2400 qui ensuite se diffusera sur le papier.
Et pour les écrans ? Si je suis à la lettre cette définition, mon écran 1024x768 fait en fait du 3072 x 2304 car il est constitué de 3072 x 2304 "Élément[s] le[s] plus petit[s] d'une surface d'affichage auquel on puisse associer individuellement une couleur (ou un niveau de gris) et une intensité." Mon écran vient de faire un bond qualitatif incroyable ;)
Non, puisque tu n'as *que* 1024x768 éléments à qui tu puisses physiquement affecter une couleur. Après il est possible d'affecter à un *même* élément plusieurs couleurs qui se mélangent. Donc la définition est bonne.
Les "dimensions" d'un pixel sont fonction d'un moment, d'une surface, d'une technologie... C'est loin d'être un attribut uniquement lié au pixel, et donc ce n'est pas une propriété d'un pixel. Donc un pixel n'a pas de dimension propre, CQFD.
Un ressort au repos à une longueur donnée. Je l'étire, il change de longueur. Je le comprime, il change encore de longueur de manière différente. Les dimensions du ressort sont fonction du moment (d'ailleurs s'il fait chaud ou froid, le ressort au repos change de longueur), d'une contrainte, d'une technologie (je me vois mal compresser un ressort de suspension d'un camion par exemple). C'est loin d'être un attribut lié au ressort, et donc ce n'est pas une propriété du ressort. Donc un ressort n'a pas de dimension propre. CQFD.
-- Stephan Peccini Nature : <URL:http://nature.tesenca.info> Seurasaari : <URL:http://seurasaari.tesenca.info>
FiLH
Dark_T writes:
Richard Delorme wrote:
Conclusion : le pixel n'a pas de surface.
En pratique, si.
En pratique c'est un point, pas un pixel. Et oui, un point a une surface (enfin, à un moment donné)
Un pixel aussi : c'est ce que tous les logiciels de pao.
FiLH
-- FiLH photography. A taste of freedom in a conventional world. Web: http://www.filh.org e-mail FAQ fr.rec.photo : http://frp.parisv.com/ Sitafoto la photo a Bordeaux : http://sitafoto.free.fr/
Dark_T <Dark_T3510@hotmail.com_sans_spam> writes:
Richard Delorme wrote:
Conclusion : le pixel n'a pas de surface.
En pratique, si.
En pratique c'est un point, pas un pixel. Et oui, un point a une surface
(enfin, à un moment donné)
Un pixel aussi : c'est ce que tous les logiciels de pao.
FiLH
--
FiLH photography. A taste of freedom in a conventional world.
Web: http://www.filh.org e-mail filh@filh.org
FAQ fr.rec.photo : http://frp.parisv.com/
Sitafoto la photo a Bordeaux : http://sitafoto.free.fr/
En pratique c'est un point, pas un pixel. Et oui, un point a une surface (enfin, à un moment donné)
Un pixel aussi : c'est ce que tous les logiciels de pao.
FiLH
-- FiLH photography. A taste of freedom in a conventional world. Web: http://www.filh.org e-mail FAQ fr.rec.photo : http://frp.parisv.com/ Sitafoto la photo a Bordeaux : http://sitafoto.free.fr/
Dark_T
FiLH wrote:
En pratique c'est un point, pas un pixel. Et oui, un point a une surface (enfin, à un moment donné)
Un pixel aussi : c'est ce que tous les logiciels de pao.
ca en fait une vérité ?
Alban -- http://2ben.deviantart.com
FiLH wrote:
En pratique c'est un point, pas un pixel. Et oui, un point a une surface
(enfin, à un moment donné)
Un pixel aussi : c'est ce que tous les logiciels de pao.
En pratique c'est un point, pas un pixel. Et oui, un point a une surface (enfin, à un moment donné)
Un pixel aussi : c'est ce que tous les logiciels de pao.
ca en fait une vérité ?
Alban -- http://2ben.deviantart.com
FiLH
Dark_T writes:
FiLH wrote:
En pratique c'est un point, pas un pixel. Et oui, un point a une surface (enfin, à un moment donné)
Un pixel aussi : c'est ce que tous les logiciels de pao.
ca en fait une vérité ?
Yeps. C'est un pb de point de vue.
FiLH
-- FiLH photography. A taste of freedom in a conventional world. Web: http://www.filh.org e-mail FAQ fr.rec.photo : http://frp.parisv.com/ Sitafoto la photo a Bordeaux : http://sitafoto.free.fr/
Dark_T <Dark_T3510@hotmail.com_sans_spam> writes:
FiLH wrote:
En pratique c'est un point, pas un pixel. Et oui, un point a une surface
(enfin, à un moment donné)
Un pixel aussi : c'est ce que tous les logiciels de pao.
ca en fait une vérité ?
Yeps. C'est un pb de point de vue.
FiLH
--
FiLH photography. A taste of freedom in a conventional world.
Web: http://www.filh.org e-mail filh@filh.org
FAQ fr.rec.photo : http://frp.parisv.com/
Sitafoto la photo a Bordeaux : http://sitafoto.free.fr/
En pratique c'est un point, pas un pixel. Et oui, un point a une surface (enfin, à un moment donné)
Un pixel aussi : c'est ce que tous les logiciels de pao.
ca en fait une vérité ?
Yeps. C'est un pb de point de vue.
FiLH
-- FiLH photography. A taste of freedom in a conventional world. Web: http://www.filh.org e-mail FAQ fr.rec.photo : http://frp.parisv.com/ Sitafoto la photo a Bordeaux : http://sitafoto.free.fr/
Yann MARTINEAU
Stephan Peccini a émis l'idée suivante :
As tu lu le post où j'en parle jusqu'à ma signature :-) en bas, tout en bas
Le Tue, 21 Sep 2004 16:09:07 +0800, Dark_T a écrit :
"Élément le plus petit d'une surface d'affichage auquel on puisse associer individuellement une couleur (ou un niveau de gris) et une intensité. "
C'est pourtant la définition d'origine du picture element.
Sources ?
Techniquement si on demande à l'imprimante de n'envoyer qu'une goutte d'une seule couleur, elle imprimera bien un point de un pouce/2400 qui ensuite se diffusera sur le papier.
Comment expliques-tu alors que tu paramètres ton logiciel pour 300dpi, pour une imprimante qui envoie en pratique 2400 gouttes par pouce ?
Non, puisque tu n'as *que* 1024x768 éléments à qui tu puisses physiquement affecter une couleur.
bah non, je peux affecter une couleur (certes une seule, mais une tout de même) et une intensité à chacun des 3072 x 2304 éléments de mon écran.
Après il est possible d'affecter à un *même* élément plusieurs couleurs qui se mélangent. Donc la définition est bonne.
"Élément le plus petit d'une surface d'affichage auquel on puisse associer individuellement une couleur (ou un niveau de gris) et une intensité."
on ne parle ni de mélanges, ni de plusieurs couleurs, relis bien.
Un ressort au repos à une longueur donnée. Je l'étire, il change de longueur. Je le comprime, il change encore de longueur de manière différente. Les dimensions du ressort sont fonction du moment (d'ailleurs s'il fait chaud ou froid, le ressort au repos change de longueur), d'une contrainte, d'une technologie (je me vois mal compresser un ressort de suspension d'un camion par exemple). C'est loin d'être un attribut lié au ressort, et donc ce n'est pas une propriété du ressort. Donc un ressort n'a pas de dimension propre. CQFD.
c'est complètement exact. On apprend ça au collège en maths : sans référenciel, pas de mesure.
Alban
-- http://2ben.deviantart.com
Stephan Peccini wrote:
Le Tue, 21 Sep 2004 16:09:07 +0800, Dark_T a écrit :
"Élément le plus petit d'une surface d'affichage auquel on puisse
associer individuellement une couleur (ou un niveau de gris) et une
intensité. "
C'est pourtant la définition d'origine du picture element.
Sources ?
Techniquement si on demande à l'imprimante de n'envoyer qu'une goutte
d'une seule couleur, elle imprimera bien un point de un pouce/2400 qui
ensuite se diffusera sur le papier.
Comment expliques-tu alors que tu paramètres ton logiciel pour 300dpi, pour
une imprimante qui envoie en pratique 2400 gouttes par pouce ?
Non, puisque tu n'as *que* 1024x768 éléments à qui tu puisses
physiquement affecter une couleur.
bah non, je peux affecter une couleur (certes une seule, mais une tout de
même) et une intensité à chacun des 3072 x 2304 éléments de mon écran.
Après il est possible d'affecter à un
*même* élément plusieurs couleurs qui se mélangent. Donc la
définition est bonne.
"Élément le plus petit d'une surface d'affichage auquel on puisse
associer individuellement une couleur (ou un niveau de gris) et une
intensité."
on ne parle ni de mélanges, ni de plusieurs couleurs, relis bien.
Un ressort au repos à une longueur donnée. Je l'étire, il change de
longueur. Je le comprime, il change encore de longueur de manière
différente. Les dimensions du ressort sont fonction du moment
(d'ailleurs s'il fait chaud ou froid, le ressort au repos change de
longueur), d'une contrainte, d'une technologie (je me vois mal
compresser un ressort de suspension d'un camion par exemple).
C'est loin d'être un attribut lié au ressort, et donc ce n'est pas une
propriété du ressort. Donc un ressort n'a pas de dimension propre. CQFD.
c'est complètement exact. On apprend ça au collège en maths : sans
référenciel, pas de mesure.
Le Tue, 21 Sep 2004 16:09:07 +0800, Dark_T a écrit :
"Élément le plus petit d'une surface d'affichage auquel on puisse associer individuellement une couleur (ou un niveau de gris) et une intensité. "
C'est pourtant la définition d'origine du picture element.
Sources ?
Techniquement si on demande à l'imprimante de n'envoyer qu'une goutte d'une seule couleur, elle imprimera bien un point de un pouce/2400 qui ensuite se diffusera sur le papier.
Comment expliques-tu alors que tu paramètres ton logiciel pour 300dpi, pour une imprimante qui envoie en pratique 2400 gouttes par pouce ?
Non, puisque tu n'as *que* 1024x768 éléments à qui tu puisses physiquement affecter une couleur.
bah non, je peux affecter une couleur (certes une seule, mais une tout de même) et une intensité à chacun des 3072 x 2304 éléments de mon écran.
Après il est possible d'affecter à un *même* élément plusieurs couleurs qui se mélangent. Donc la définition est bonne.
"Élément le plus petit d'une surface d'affichage auquel on puisse associer individuellement une couleur (ou un niveau de gris) et une intensité."
on ne parle ni de mélanges, ni de plusieurs couleurs, relis bien.
Un ressort au repos à une longueur donnée. Je l'étire, il change de longueur. Je le comprime, il change encore de longueur de manière différente. Les dimensions du ressort sont fonction du moment (d'ailleurs s'il fait chaud ou froid, le ressort au repos change de longueur), d'une contrainte, d'une technologie (je me vois mal compresser un ressort de suspension d'un camion par exemple). C'est loin d'être un attribut lié au ressort, et donc ce n'est pas une propriété du ressort. Donc un ressort n'a pas de dimension propre. CQFD.
c'est complètement exact. On apprend ça au collège en maths : sans référenciel, pas de mesure.
Alban
-- http://2ben.deviantart.com
Stephan Peccini
Le Tue, 21 Sep 2004 17:53:32 +0800, Dark_T a écrit :
C'est pourtant la définition d'origine du picture element.
Sources ?
Je t'en ai donné une. C'est sympa de demander les sources aux autres quand on n'en apporte pas une seule.
Comment expliques-tu alors que tu paramètres ton logiciel pour 300dpi, pour une imprimante qui envoie en pratique 2400 gouttes par pouce ?
Parce que la goutte de l'imprimante n'est pas le pixel de la photo. A ce rythme on va parler des molécules et des atomes, aussi pour démontrer ... je n'en sais rien. Cela n'a rien à voir.
"Élément le plus petit d'une surface d'affichage auquel on puisse associer individuellement une couleur (ou un niveau de gris) et une intensité."
on ne parle ni de mélanges, ni de plusieurs couleurs, relis bien.
Soit admettons que tu ais raison. Tu en déduis donc qu'ils ont bien une surface et donc une longueur. Donc déjà, premier point acquis.
Maintenant si on réfléchis comme pour les gouttes de l'imprimante, quel est la plus petite unité de ton écran sur laquelle tu puisses avoir une couleur "homogène" quelconque, si tu préfères comme cela. Mais, il suffit de lire toutes les informations données sur la page et donc les notes explicatives en dessous de la définition sur le site granddictionnaire pour la comprendre en levant toutes les ambiguïtés.
c'est complètement exact. On apprend ça au collège en maths : sans référenciel, pas de mesure.
Non, là tu confonds. A aucun moment je ne change le référentiel, je ne fais qu'appliquer une contrainte à l'objet : ressort - pression, pixel - dpi. Donc la mesure existe et comme elle est dans le même référentiel elle est donc comparable, mais elle diffère en fonction de la contrainte et c'est normal.
Sinon, quel est donc le référentiel de la photo si ce n'est une visualisation, chaque type de visualisation impliquant une contrainte différente. Avec ton type de discours plus rien n'a de dimension ! A mes yeux, très beau discours théorique, mais inutile en pratique.
-- Stephan Peccini Nature : <URL:http://nature.tesenca.info> Seurasaari : <URL:http://seurasaari.tesenca.info>
Le Tue, 21 Sep 2004 17:53:32 +0800, Dark_T a écrit :
C'est pourtant la définition d'origine du picture element.
Sources ?
Je t'en ai donné une. C'est sympa de demander les sources aux autres
quand on n'en apporte pas une seule.
Comment expliques-tu alors que tu paramètres ton logiciel pour 300dpi, pour
une imprimante qui envoie en pratique 2400 gouttes par pouce ?
Parce que la goutte de l'imprimante n'est pas le pixel de la photo. A ce
rythme on va parler des molécules et des atomes, aussi pour démontrer
... je n'en sais rien. Cela n'a rien à voir.
"Élément le plus petit d'une surface d'affichage auquel on puisse
associer individuellement une couleur (ou un niveau de gris) et une
intensité."
on ne parle ni de mélanges, ni de plusieurs couleurs, relis bien.
Soit admettons que tu ais raison. Tu en déduis donc qu'ils ont bien une
surface et donc une longueur. Donc déjà, premier point acquis.
Maintenant si on réfléchis comme pour les gouttes de l'imprimante, quel
est la plus petite unité de ton écran sur laquelle tu puisses avoir une
couleur "homogène" quelconque, si tu préfères comme cela. Mais, il
suffit de lire toutes les informations données sur la page et donc les
notes explicatives en dessous de la définition sur le site
granddictionnaire pour la comprendre en levant toutes les ambiguïtés.
c'est complètement exact. On apprend ça au collège en maths : sans
référenciel, pas de mesure.
Non, là tu confonds. A aucun moment je ne change le référentiel, je ne
fais qu'appliquer une contrainte à l'objet : ressort - pression, pixel -
dpi. Donc la mesure existe et comme elle est dans le même référentiel
elle est donc comparable, mais elle diffère en fonction de la contrainte
et c'est normal.
Sinon, quel est donc le référentiel de la photo si ce n'est une
visualisation, chaque type de visualisation impliquant une
contrainte différente. Avec ton type de discours plus rien n'a de
dimension ! A mes yeux, très beau discours théorique, mais inutile en
pratique.
--
Stephan Peccini
Nature : <URL:http://nature.tesenca.info>
Seurasaari : <URL:http://seurasaari.tesenca.info>
Le Tue, 21 Sep 2004 17:53:32 +0800, Dark_T a écrit :
C'est pourtant la définition d'origine du picture element.
Sources ?
Je t'en ai donné une. C'est sympa de demander les sources aux autres quand on n'en apporte pas une seule.
Comment expliques-tu alors que tu paramètres ton logiciel pour 300dpi, pour une imprimante qui envoie en pratique 2400 gouttes par pouce ?
Parce que la goutte de l'imprimante n'est pas le pixel de la photo. A ce rythme on va parler des molécules et des atomes, aussi pour démontrer ... je n'en sais rien. Cela n'a rien à voir.
"Élément le plus petit d'une surface d'affichage auquel on puisse associer individuellement une couleur (ou un niveau de gris) et une intensité."
on ne parle ni de mélanges, ni de plusieurs couleurs, relis bien.
Soit admettons que tu ais raison. Tu en déduis donc qu'ils ont bien une surface et donc une longueur. Donc déjà, premier point acquis.
Maintenant si on réfléchis comme pour les gouttes de l'imprimante, quel est la plus petite unité de ton écran sur laquelle tu puisses avoir une couleur "homogène" quelconque, si tu préfères comme cela. Mais, il suffit de lire toutes les informations données sur la page et donc les notes explicatives en dessous de la définition sur le site granddictionnaire pour la comprendre en levant toutes les ambiguïtés.
c'est complètement exact. On apprend ça au collège en maths : sans référenciel, pas de mesure.
Non, là tu confonds. A aucun moment je ne change le référentiel, je ne fais qu'appliquer une contrainte à l'objet : ressort - pression, pixel - dpi. Donc la mesure existe et comme elle est dans le même référentiel elle est donc comparable, mais elle diffère en fonction de la contrainte et c'est normal.
Sinon, quel est donc le référentiel de la photo si ce n'est une visualisation, chaque type de visualisation impliquant une contrainte différente. Avec ton type de discours plus rien n'a de dimension ! A mes yeux, très beau discours théorique, mais inutile en pratique.
-- Stephan Peccini Nature : <URL:http://nature.tesenca.info> Seurasaari : <URL:http://seurasaari.tesenca.info>
Noëlle Adam
Dark_T wrote:
sommes entièrement constitués... Le monde repose sur une tortue elle-même sur une tortue, elle-même sur une formule mathématique... :) Absolument pas. Le monde repose sur quatre éléphants qui reposent sur
une tortue qui nage dans l'espace intersidéral. La seule vraie question inquiétante est de savoir si la tortue est une mâle ou une femelle. fu to alt.fa,.terry-pratchett
Noëlle
Dark_T wrote:
sommes entièrement constitués... Le monde repose sur une tortue elle-même
sur une tortue, elle-même sur une formule mathématique... :)
Absolument pas. Le monde repose sur quatre éléphants qui reposent sur
une tortue qui nage dans l'espace intersidéral.
La seule vraie question inquiétante est de savoir si la tortue est une
mâle ou une femelle.
fu to alt.fa,.terry-pratchett
sommes entièrement constitués... Le monde repose sur une tortue elle-même sur une tortue, elle-même sur une formule mathématique... :) Absolument pas. Le monde repose sur quatre éléphants qui reposent sur
une tortue qui nage dans l'espace intersidéral. La seule vraie question inquiétante est de savoir si la tortue est une mâle ou une femelle. fu to alt.fa,.terry-pratchett
Noëlle
Jean-Claude Ghislain
Stephan Peccini wrote:
C'est pourtant la définition d'origine du picture element.
Sources ?
Par exemple : http://burks.brighton.ac.uk/burks/foldoc/30/89.htm http://www.presse-francophone.org/apfa/Defi/P/PIXEL.htm
Techniquement si on demande à l'imprimante de n'envoyer qu'une goutte d'une seule couleur, elle imprimera bien un point de un pouce/2400 qui ensuite se diffusera sur le papier. Comment expliques-tu alors que tu paramètres ton logiciel pour 300dpi, pour une imprimante qui envoie en pratique 2400 gouttes par pouce ?
Parce qu'une imprimante n'imprime pas en ton continu. Une tireuse photo qui imprime en 400 dpi (Agfa utilise ici ppi - pixels per inch, Fuji et Noritsu garde dpi), insole effectivement 400 pixels sur un pouce de distance. Car chaque point peut prendre n'importe quelle valeur dans les 16 millions possible en 24 bits. Une imprimante n'ayant que quelques encres/couleurs doit tramer pour simuler les différentes teintes, il lui faut donc une résolution d'impression très supérieure à celle de l'image.
Dpi est une expression qui a plus d'un sens, lorsque je parle avec les techniciens de chez Agfa, avec mes clients, avec les imprimeurs, on parle toujours de dpi pour exprimer des choses très différentes, c'est le contexte qui donne le sens entre "Point par pouce" et "Pixel par pouce".
-- Jean-Claude Ghislain www.grimart.com
Stephan Peccini wrote:
C'est pourtant la définition d'origine du picture element.
Sources ?
Par exemple :
http://burks.brighton.ac.uk/burks/foldoc/30/89.htm
http://www.presse-francophone.org/apfa/Defi/P/PIXEL.htm
Techniquement si on demande à l'imprimante de n'envoyer qu'une goutte
d'une seule couleur, elle imprimera bien un point de un pouce/2400 qui
ensuite se diffusera sur le papier.
Comment expliques-tu alors que tu paramètres ton logiciel pour 300dpi,
pour une imprimante qui envoie en pratique 2400 gouttes par pouce ?
Parce qu'une imprimante n'imprime pas en ton continu. Une tireuse photo qui
imprime en 400 dpi (Agfa utilise ici ppi - pixels per inch, Fuji et Noritsu
garde dpi), insole effectivement 400 pixels sur un pouce de distance. Car
chaque point peut prendre n'importe quelle valeur dans les 16 millions
possible en 24 bits. Une imprimante n'ayant que quelques encres/couleurs
doit tramer pour simuler les différentes teintes, il lui faut donc une
résolution d'impression très supérieure à celle de l'image.
Dpi est une expression qui a plus d'un sens, lorsque je parle avec les
techniciens de chez Agfa, avec mes clients, avec les imprimeurs, on parle
toujours de dpi pour exprimer des choses très différentes, c'est le contexte
qui donne le sens entre "Point par pouce" et "Pixel par pouce".
C'est pourtant la définition d'origine du picture element.
Sources ?
Par exemple : http://burks.brighton.ac.uk/burks/foldoc/30/89.htm http://www.presse-francophone.org/apfa/Defi/P/PIXEL.htm
Techniquement si on demande à l'imprimante de n'envoyer qu'une goutte d'une seule couleur, elle imprimera bien un point de un pouce/2400 qui ensuite se diffusera sur le papier. Comment expliques-tu alors que tu paramètres ton logiciel pour 300dpi, pour une imprimante qui envoie en pratique 2400 gouttes par pouce ?
Parce qu'une imprimante n'imprime pas en ton continu. Une tireuse photo qui imprime en 400 dpi (Agfa utilise ici ppi - pixels per inch, Fuji et Noritsu garde dpi), insole effectivement 400 pixels sur un pouce de distance. Car chaque point peut prendre n'importe quelle valeur dans les 16 millions possible en 24 bits. Une imprimante n'ayant que quelques encres/couleurs doit tramer pour simuler les différentes teintes, il lui faut donc une résolution d'impression très supérieure à celle de l'image.
Dpi est une expression qui a plus d'un sens, lorsque je parle avec les techniciens de chez Agfa, avec mes clients, avec les imprimeurs, on parle toujours de dpi pour exprimer des choses très différentes, c'est le contexte qui donne le sens entre "Point par pouce" et "Pixel par pouce".
-- Jean-Claude Ghislain www.grimart.com
Papy Bernard
Slt,
De "Dark_T"
Comment expliques-tu alors que tu paramètres ton logiciel pour 300dpi, pour
une imprimante qui envoie en pratique 2400 gouttes par pouce ?
Trois définitions du "dpi"
1/ résolution de numérisation 2/ résolution d'une image 3/ configuration d'imprimante
1/ Plus le nombre de pixels par unité de longueur du document à numériser sera important, plus l'image numérique sera précise. Pour de l'OCR, à partir d'un document standard de bonne qualité, une résolution de 300 dpi suffit. Pour de la numérisation de photo/diapo/négatif, la résolution dépend de la destination de l'image numérique : affichage ou impression.
2/ La résolution d'une image numérique est une information qui fait partie intégrante de l'entête du fichier. 72 dpi* par défaut ou la valeur de la résolution de la numérisation. Cette résolution détermine, sauf rééchantillonnage, les dimensions du document imprimé.
La qualité de l'impression, pour des dimensions données, est liée aux dimensions en pixels de l'image. Dans un sens comme dans l'autre. Pour cela, il faut tester son imprimante pour en connaître ses capacités de reproduction : un pixel affiché = un point imprimé. sur une Epson 440 par exemple, une mire de paires traits N&B n'est imprimé correctement que sous une résolution de 180 dpi (et encore, pas dans les deux sens). Au-dessous ou au-dessus de 180 dpi, il y a des interférences.
Cette résolution, déterminant les dimensions d'impression, appliquée au fichier est reprise en général par les programme de PAO. En général parce que cela peut dépendre du format du fichier et du programme de PAO.
Cette information ne nuit en rien à la qualité intrinsèque de l'image. On peut lui donner n'importe quelle valeur sauf quarante-treize.
3/ Config d'imprimante : 360 dpi (standard pour du texte), 720, 1440 dpi etc.... Déterminée dans les options de programme de l'imprimante. Elle détermine la quantité d'encre (en picolitre) envoyée sur le papier par unité de longueur et le nombre de passages des têtes devant le papier pour transcrire les pixels de l'image numérique recalculés en fonction de 2/
A savoir : Plus la congif d'imprimante sera élevée, plus les producteurs/fabricants de consommables seront contents. En passant du simple au double, la consommation se trouve multipliée par 4. Youppie. Pour un résultat qui reste à prouver !!!!!
-- A+ Papy Bernard (RTCien malgré lui)
72 dpi* : un héritage Adobe dont il faut se départir une bonne fois pour toutes.
Slt,
De "Dark_T"
Comment expliques-tu alors que tu paramètres ton logiciel pour 300dpi,
pour
une imprimante qui envoie en pratique 2400 gouttes par pouce ?
Trois définitions du "dpi"
1/ résolution de numérisation
2/ résolution d'une image
3/ configuration d'imprimante
1/ Plus le nombre de pixels par unité de longueur du document à numériser
sera important, plus l'image numérique sera précise. Pour de l'OCR, à partir
d'un document standard de bonne qualité, une résolution de 300 dpi suffit.
Pour de la numérisation de photo/diapo/négatif, la résolution dépend de la
destination de l'image numérique : affichage ou impression.
2/ La résolution d'une image numérique est une information qui fait
partie intégrante de l'entête du fichier. 72 dpi* par défaut ou la valeur de
la résolution de la numérisation.
Cette résolution détermine, sauf rééchantillonnage, les dimensions du
document imprimé.
La qualité de l'impression, pour des dimensions données, est liée aux
dimensions en pixels de l'image. Dans un sens comme dans l'autre. Pour cela,
il faut tester son imprimante pour en connaître ses capacités de
reproduction : un pixel affiché = un point imprimé. sur une Epson 440 par
exemple, une mire de paires traits N&B n'est imprimé correctement que sous
une résolution de 180 dpi (et encore, pas dans les deux sens). Au-dessous ou
au-dessus de 180 dpi, il y a des interférences.
Cette résolution, déterminant les dimensions d'impression, appliquée au
fichier est reprise en général par les programme de PAO. En général parce
que cela peut dépendre du format du fichier et du programme de PAO.
Cette information ne nuit en rien à la qualité intrinsèque de l'image. On
peut lui donner n'importe quelle valeur sauf quarante-treize.
3/ Config d'imprimante : 360 dpi (standard pour du texte), 720, 1440 dpi
etc.... Déterminée dans les options de programme de l'imprimante. Elle
détermine la quantité d'encre (en picolitre) envoyée sur le papier par
unité de longueur et le nombre de passages des têtes devant le papier pour
transcrire les pixels de l'image numérique recalculés en fonction de 2/
A savoir : Plus la congif d'imprimante sera élevée, plus les
producteurs/fabricants de consommables seront contents. En passant du simple
au double, la consommation se trouve multipliée par 4. Youppie. Pour un
résultat qui reste à prouver !!!!!
--
A+
Papy Bernard (RTCien malgré lui)
72 dpi* : un héritage Adobe dont il faut se départir une bonne fois pour
toutes.
Comment expliques-tu alors que tu paramètres ton logiciel pour 300dpi, pour
une imprimante qui envoie en pratique 2400 gouttes par pouce ?
Trois définitions du "dpi"
1/ résolution de numérisation 2/ résolution d'une image 3/ configuration d'imprimante
1/ Plus le nombre de pixels par unité de longueur du document à numériser sera important, plus l'image numérique sera précise. Pour de l'OCR, à partir d'un document standard de bonne qualité, une résolution de 300 dpi suffit. Pour de la numérisation de photo/diapo/négatif, la résolution dépend de la destination de l'image numérique : affichage ou impression.
2/ La résolution d'une image numérique est une information qui fait partie intégrante de l'entête du fichier. 72 dpi* par défaut ou la valeur de la résolution de la numérisation. Cette résolution détermine, sauf rééchantillonnage, les dimensions du document imprimé.
La qualité de l'impression, pour des dimensions données, est liée aux dimensions en pixels de l'image. Dans un sens comme dans l'autre. Pour cela, il faut tester son imprimante pour en connaître ses capacités de reproduction : un pixel affiché = un point imprimé. sur une Epson 440 par exemple, une mire de paires traits N&B n'est imprimé correctement que sous une résolution de 180 dpi (et encore, pas dans les deux sens). Au-dessous ou au-dessus de 180 dpi, il y a des interférences.
Cette résolution, déterminant les dimensions d'impression, appliquée au fichier est reprise en général par les programme de PAO. En général parce que cela peut dépendre du format du fichier et du programme de PAO.
Cette information ne nuit en rien à la qualité intrinsèque de l'image. On peut lui donner n'importe quelle valeur sauf quarante-treize.
3/ Config d'imprimante : 360 dpi (standard pour du texte), 720, 1440 dpi etc.... Déterminée dans les options de programme de l'imprimante. Elle détermine la quantité d'encre (en picolitre) envoyée sur le papier par unité de longueur et le nombre de passages des têtes devant le papier pour transcrire les pixels de l'image numérique recalculés en fonction de 2/
A savoir : Plus la congif d'imprimante sera élevée, plus les producteurs/fabricants de consommables seront contents. En passant du simple au double, la consommation se trouve multipliée par 4. Youppie. Pour un résultat qui reste à prouver !!!!!
-- A+ Papy Bernard (RTCien malgré lui)
72 dpi* : un héritage Adobe dont il faut se départir une bonne fois pour toutes.