Bonjour à tous
J'ai voulu envoyer des photos que j'ai sur un cd kodak qui vienne de
diapositive, elles sont en format PCD et font 4,9 Mo, je peux les visionner
à l'écran, mais pour faire des agrandissements envoyer par internet, je
suis obligé de les transformer .
J'ai essayé tout un tas de format, en JPG, cela me les réduit à 354 KO, en
TIF à 1,12 Mo, en BMP à 1,12 Mo et par image photo shop à 1,05 Mo.
N'auriez vous pas une combine ou un logiciel qui me permette de les ouvrir ,
et de pouvoir garder la taille initiale de ces photos.
Merci par avance.
Le 01/05/11 17:51, Stephane Legras-Decussy a écrit :
c'est contraignant mais c'est le seul chiffrement d'une sécurité absolue.
Il n'y a pas de sécurité absolue qui repose sur une transmission qui peut être captée. C'est à ce problème que répondent les systèmes à clé publique et clé privée. Je pense que tu es en retard de plusieurs métros.
Noëlle Adam
Le 01/05/11 17:51, Stephane Legras-Decussy a écrit :
c'est contraignant mais c'est le seul chiffrement d'une sécurité absolue.
Il n'y a pas de sécurité absolue qui repose sur une transmission qui
peut être captée.
C'est à ce problème que répondent les systèmes à clé publique et clé
privée.
Je pense que tu es en retard de plusieurs métros.
Le 01/05/11 17:51, Stephane Legras-Decussy a écrit :
c'est contraignant mais c'est le seul chiffrement d'une sécurité absolue.
Il n'y a pas de sécurité absolue qui repose sur une transmission qui peut être captée. C'est à ce problème que répondent les systèmes à clé publique et clé privée. Je pense que tu es en retard de plusieurs métros.
Noëlle Adam
Papy bernard
De Ghost-Rider typed:
Oui, en TIFF le poids du fichier obtenu est apparemment égal à 3 fois le nombre de pixels. OK, on comprend pourquoi. Mais en jpg sans perte ?
Pour que le poids du fichier *.tif d'une image soit en octets 3 (trois) fois le nombre de pixels, il faut que l'image soit en 16 millions de couleurs.
Si l'image est en 256 couleurs -1 octet par pixel-, le poids du fichier *.tiff sera -en octet- égal au nombre de pixels. --------------------------- 16 -------- 4 bits par ixel - ------------------------------------------------ au nombre de pixels divisé par deux (2) -------------------------- N&B --- 1 bit par pixel -------------------------------------------------- divisé par 8 (huit).
= = = = = = = Papy Bernard
De Ghost-Rider <Ghost-Rider@compuserve.com> typed:
Oui, en TIFF le poids du fichier obtenu est apparemment égal à 3 fois
le nombre de pixels. OK, on comprend pourquoi. Mais en jpg sans perte
?
Pour que le poids du fichier *.tif d'une image soit en octets 3 (trois)
fois le nombre de pixels, il faut que l'image soit en 16 millions de
couleurs.
Si l'image est en 256 couleurs -1 octet par pixel-, le poids du fichier
*.tiff sera -en octet- égal au nombre de pixels.
--------------------------- 16 -------- 4 bits par
ixel - ------------------------------------------------ au nombre de pixels
divisé par deux (2)
-------------------------- N&B --- 1 bit par
pixel -------------------------------------------------- divisé par 8
(huit).
Oui, en TIFF le poids du fichier obtenu est apparemment égal à 3 fois le nombre de pixels. OK, on comprend pourquoi. Mais en jpg sans perte ?
Pour que le poids du fichier *.tif d'une image soit en octets 3 (trois) fois le nombre de pixels, il faut que l'image soit en 16 millions de couleurs.
Si l'image est en 256 couleurs -1 octet par pixel-, le poids du fichier *.tiff sera -en octet- égal au nombre de pixels. --------------------------- 16 -------- 4 bits par ixel - ------------------------------------------------ au nombre de pixels divisé par deux (2) -------------------------- N&B --- 1 bit par pixel -------------------------------------------------- divisé par 8 (huit).
= = = = = = = Papy Bernard
Charles Vassallo
Ghost-Rider a écrit :
Objection votre honneur. Je viens de faire des essais avec la fonction convertir de XNView qui est intégrée au menu contextuel des images, pour voir, car je suis comme Saint Thomas.
Ah la la ! Ils font des choses et ils ne savent pas ce qu'ils font. Cent fois sur le métier... etc.
Reprenons (i) tu as une image de 12 Mpx, quelque chose comme 36 à 40 Mo en TIFF. Tu enregistres en JPEG haute qualité et tu obtiens un fichier de 3 Mo
(ii) Tu rouvres ton fichier JPEG. Tu te retrouves à nouveau avec une image de 12 Mx, mais pas tout à fait la même qu'au départ, précisément à cause des artefacts JPEG. En TIFF, elle redonnerait les mêmes 36 à 40 Mo. En JPEG, à cause de ces différences, il n'y a aucune raison qu'elle se recomprime avec le même poids ; en général, elle en gagne un tout petit peu, mais c'est pipeau devant les 36 à 40 Mo : le JPEG comprime toujours autant.
(iii) tu recommences encore et encore. On constate que le poids du JPEG se stabilise très vite, signe que les artefacts se stabilisent aussi, ce qui fait que certains croient qu'on ne dégrade pas une image par des sauvegardes répétées (en fermant et en rouvrant l'image à chaque fois). Pipeau encore, ce n'est vrai que si on ne fait rien sur l'image. Si on la travaille à chaque fois en agidant sur les lumières, le contraste, en jouant du tampon, etc. la dégradation se poursuivra régulièrement.
Allons ! La répétition est une grande vertu pédagogique
Charles
Ghost-Rider a écrit :
Objection votre honneur.
Je viens de faire des essais avec la fonction convertir de XNView qui
est intégrée au menu contextuel des images, pour voir, car je suis comme
Saint Thomas.
Ah la la ! Ils font des choses et ils ne savent pas ce qu'ils font.
Cent fois sur le métier...
etc.
Reprenons
(i) tu as une image de 12 Mpx, quelque chose comme 36 à 40 Mo en TIFF.
Tu enregistres en JPEG haute qualité et tu obtiens un fichier de 3 Mo
(ii) Tu rouvres ton fichier JPEG. Tu te retrouves à nouveau avec une
image de 12 Mx, mais pas tout à fait la même qu'au départ, précisément à
cause des artefacts JPEG. En TIFF, elle redonnerait les mêmes 36 à 40
Mo. En JPEG, à cause de ces différences, il n'y a aucune raison qu'elle
se recomprime avec le même poids ; en général, elle en gagne un tout
petit peu, mais c'est pipeau devant les 36 à 40 Mo : le JPEG comprime
toujours autant.
(iii) tu recommences encore et encore. On constate que le poids du JPEG
se stabilise très vite, signe que les artefacts se stabilisent aussi, ce
qui fait que certains croient qu'on ne dégrade pas une image par des
sauvegardes répétées (en fermant et en rouvrant l'image à chaque fois).
Pipeau encore, ce n'est vrai que si on ne fait rien sur l'image. Si on
la travaille à chaque fois en agidant sur les lumières, le contraste, en
jouant du tampon, etc. la dégradation se poursuivra régulièrement.
Allons ! La répétition est une grande vertu pédagogique
Objection votre honneur. Je viens de faire des essais avec la fonction convertir de XNView qui est intégrée au menu contextuel des images, pour voir, car je suis comme Saint Thomas.
Ah la la ! Ils font des choses et ils ne savent pas ce qu'ils font. Cent fois sur le métier... etc.
Reprenons (i) tu as une image de 12 Mpx, quelque chose comme 36 à 40 Mo en TIFF. Tu enregistres en JPEG haute qualité et tu obtiens un fichier de 3 Mo
(ii) Tu rouvres ton fichier JPEG. Tu te retrouves à nouveau avec une image de 12 Mx, mais pas tout à fait la même qu'au départ, précisément à cause des artefacts JPEG. En TIFF, elle redonnerait les mêmes 36 à 40 Mo. En JPEG, à cause de ces différences, il n'y a aucune raison qu'elle se recomprime avec le même poids ; en général, elle en gagne un tout petit peu, mais c'est pipeau devant les 36 à 40 Mo : le JPEG comprime toujours autant.
(iii) tu recommences encore et encore. On constate que le poids du JPEG se stabilise très vite, signe que les artefacts se stabilisent aussi, ce qui fait que certains croient qu'on ne dégrade pas une image par des sauvegardes répétées (en fermant et en rouvrant l'image à chaque fois). Pipeau encore, ce n'est vrai que si on ne fait rien sur l'image. Si on la travaille à chaque fois en agidant sur les lumières, le contraste, en jouant du tampon, etc. la dégradation se poursuivra régulièrement.
Allons ! La répétition est une grande vertu pédagogique
Charles
Ghost-Rider
Le 02/05/2011 17:49, Charles Vassallo a écrit :
Reprenons (i) tu as une image de 12 Mpx, quelque chose comme 36 à 40 Mo en TIFF. Tu enregistres en JPEG haute qualité et tu obtiens un fichier de 3 Mo
Oui, je te suis, mais j'ai retenu que les 3MO dépendent des détails de la photo. Un ciel bleu pèsera moins qu'une dentelle de Delft. Hein, c'est bien ça ?
(ii) Tu rouvres ton fichier JPEG. Tu te retrouves à nouveau avec une image de 12 Mx, mais pas tout à fait la même qu'au départ, précisément à cause des artefacts JPEG. En TIFF, elle redonnerait les mêmes 36 à 40 Mo. En JPEG, à cause de ces différences, il n'y a aucune raison qu'elle se recomprime avec le même poids ; en général, elle en gagne un tout petit peu, mais c'est pipeau devant les 36 à 40 Mo : le JPEG comprime toujours autant.
Oui, bon, très bien... c'est conforme à mon expérience...
(iii) tu recommences encore et encore. On constate que le poids du JPEG se stabilise très vite, signe que les artefacts se stabilisent aussi, ce qui fait que certains croient qu'on ne dégrade pas une image par des sauvegardes répétées (en fermant et en rouvrant l'image à chaque fois). Pipeau encore, ce n'est vrai que si on ne fait rien sur l'image. Si on la travaille à chaque fois en agidant sur les lumières, le contraste, en jouant du tampon, etc. la dégradation se poursuivra régulièrement.
Mais c'est exactement ce que je viens de dire ! je n'avais pas précisé, mais c'était implicitement explicite, que je ne faisais rien à l'image. Donc, pour résumer, la première compression fait perdre un peu de qualité, selon le mécanisme exposé par SLD et rien si on choisit "sans perte" ou qualite 100%, et les sauvegardes ultérieures ne changent rien si on ne fait rien à la photo.
Allons ! La répétition est une grande vertu pédagogique
Il faut lire ce qu'écrivent les élèves, aussi.
-- Ghost Rider
"Aimez-vous les uns les autres". Jésus-Christ
Le 02/05/2011 17:49, Charles Vassallo a écrit :
Reprenons
(i) tu as une image de 12 Mpx, quelque chose comme 36 à 40 Mo en TIFF.
Tu enregistres en JPEG haute qualité et tu obtiens un fichier de 3 Mo
Oui, je te suis, mais j'ai retenu que les 3MO dépendent des détails de
la photo. Un ciel bleu pèsera moins qu'une dentelle de Delft. Hein,
c'est bien ça ?
(ii) Tu rouvres ton fichier JPEG. Tu te retrouves à nouveau avec une
image de 12 Mx, mais pas tout à fait la même qu'au départ, précisément à
cause des artefacts JPEG. En TIFF, elle redonnerait les mêmes 36 à 40
Mo. En JPEG, à cause de ces différences, il n'y a aucune raison qu'elle
se recomprime avec le même poids ; en général, elle en gagne un tout
petit peu, mais c'est pipeau devant les 36 à 40 Mo : le JPEG comprime
toujours autant.
Oui, bon, très bien... c'est conforme à mon expérience...
(iii) tu recommences encore et encore. On constate que le poids du JPEG
se stabilise très vite, signe que les artefacts se stabilisent aussi, ce
qui fait que certains croient qu'on ne dégrade pas une image par des
sauvegardes répétées (en fermant et en rouvrant l'image à chaque fois).
Pipeau encore, ce n'est vrai que si on ne fait rien sur l'image. Si on
la travaille à chaque fois en agidant sur les lumières, le contraste, en
jouant du tampon, etc. la dégradation se poursuivra régulièrement.
Mais c'est exactement ce que je viens de dire !
je n'avais pas précisé, mais c'était implicitement explicite, que je ne
faisais rien à l'image.
Donc, pour résumer, la première compression fait perdre un peu de
qualité, selon le mécanisme exposé par SLD et rien si on choisit "sans
perte" ou qualite 100%, et les sauvegardes ultérieures ne changent rien
si on ne fait rien à la photo.
Allons ! La répétition est une grande vertu pédagogique
Reprenons (i) tu as une image de 12 Mpx, quelque chose comme 36 à 40 Mo en TIFF. Tu enregistres en JPEG haute qualité et tu obtiens un fichier de 3 Mo
Oui, je te suis, mais j'ai retenu que les 3MO dépendent des détails de la photo. Un ciel bleu pèsera moins qu'une dentelle de Delft. Hein, c'est bien ça ?
(ii) Tu rouvres ton fichier JPEG. Tu te retrouves à nouveau avec une image de 12 Mx, mais pas tout à fait la même qu'au départ, précisément à cause des artefacts JPEG. En TIFF, elle redonnerait les mêmes 36 à 40 Mo. En JPEG, à cause de ces différences, il n'y a aucune raison qu'elle se recomprime avec le même poids ; en général, elle en gagne un tout petit peu, mais c'est pipeau devant les 36 à 40 Mo : le JPEG comprime toujours autant.
Oui, bon, très bien... c'est conforme à mon expérience...
(iii) tu recommences encore et encore. On constate que le poids du JPEG se stabilise très vite, signe que les artefacts se stabilisent aussi, ce qui fait que certains croient qu'on ne dégrade pas une image par des sauvegardes répétées (en fermant et en rouvrant l'image à chaque fois). Pipeau encore, ce n'est vrai que si on ne fait rien sur l'image. Si on la travaille à chaque fois en agidant sur les lumières, le contraste, en jouant du tampon, etc. la dégradation se poursuivra régulièrement.
Mais c'est exactement ce que je viens de dire ! je n'avais pas précisé, mais c'était implicitement explicite, que je ne faisais rien à l'image. Donc, pour résumer, la première compression fait perdre un peu de qualité, selon le mécanisme exposé par SLD et rien si on choisit "sans perte" ou qualite 100%, et les sauvegardes ultérieures ne changent rien si on ne fait rien à la photo.
Allons ! La répétition est une grande vertu pédagogique
Il faut lire ce qu'écrivent les élèves, aussi.
-- Ghost Rider
"Aimez-vous les uns les autres". Jésus-Christ
filh
Charles Vassallo wrote:
(iii) tu recommences encore et encore. On constate que le poids du JPEG se stabilise très vite, signe que les artefacts se stabilisent aussi, ce qui fait que certains croient qu'on ne dégrade pas une image par des sauvegardes répétées (en fermant et en rouvrant l'image à chaque fois). Pipeau encore, ce n'est vrai que si on ne fait rien sur l'image. Si on la travaille à chaque fois en agidant sur les lumières, le contraste, en jouant du tampon, etc. la dégradation se poursuivra régulièrement.
Tout dépend précisément des modifications apportées : si on ne touche qu'à un bloc de 8x8 alligné sur une frontière de 8 bits alors il n'y aura modification de la compression que sur ce bloc.
Mais c'est du pinailage :)
FiLH
-- Le fondement du constat bourgeois, c'est le bon sens, c'est-à-dire une vérité qui s'arrête sur l'ordre arbitraire de celui qui la parle. Roland Barthes. http://www.filh.org
Charles Vassallo <cv@waou.fr> wrote:
(iii) tu recommences encore et encore. On constate que le poids du JPEG
se stabilise très vite, signe que les artefacts se stabilisent aussi, ce
qui fait que certains croient qu'on ne dégrade pas une image par des
sauvegardes répétées (en fermant et en rouvrant l'image à chaque fois).
Pipeau encore, ce n'est vrai que si on ne fait rien sur l'image. Si on
la travaille à chaque fois en agidant sur les lumières, le contraste, en
jouant du tampon, etc. la dégradation se poursuivra régulièrement.
Tout dépend précisément des modifications apportées : si on ne touche
qu'à un bloc de 8x8 alligné sur une frontière de 8 bits alors il n'y
aura modification de la compression que sur ce bloc.
Mais c'est du pinailage :)
FiLH
--
Le fondement du constat bourgeois, c'est le bon sens, c'est-à-dire
une vérité qui s'arrête sur l'ordre arbitraire de celui qui la parle.
Roland Barthes.
http://www.filh.org
(iii) tu recommences encore et encore. On constate que le poids du JPEG se stabilise très vite, signe que les artefacts se stabilisent aussi, ce qui fait que certains croient qu'on ne dégrade pas une image par des sauvegardes répétées (en fermant et en rouvrant l'image à chaque fois). Pipeau encore, ce n'est vrai que si on ne fait rien sur l'image. Si on la travaille à chaque fois en agidant sur les lumières, le contraste, en jouant du tampon, etc. la dégradation se poursuivra régulièrement.
Tout dépend précisément des modifications apportées : si on ne touche qu'à un bloc de 8x8 alligné sur une frontière de 8 bits alors il n'y aura modification de la compression que sur ce bloc.
Mais c'est du pinailage :)
FiLH
-- Le fondement du constat bourgeois, c'est le bon sens, c'est-à-dire une vérité qui s'arrête sur l'ordre arbitraire de celui qui la parle. Roland Barthes. http://www.filh.org
filh
Papy bernard wrote:
De Ghost-Rider typed:
> Oui, en TIFF le poids du fichier obtenu est apparemment égal à 3 fois > le nombre de pixels. OK, on comprend pourquoi. Mais en jpg sans perte > ?
Pour que le poids du fichier *.tif d'une image soit en octets 3 (trois) fois le nombre de pixels, il faut que l'image soit en 16 millions de couleurs.
Et que en plus il n'y ait pas de compression au niveau du Tiff. Tiff supporte au moins les compressions sans perte LZW et ZIP.
FiLH
-- Le fondement du constat bourgeois, c'est le bon sens, c'est-à-dire une vérité qui s'arrête sur l'ordre arbitraire de celui qui la parle. Roland Barthes. http://www.filh.org
Papy bernard <lenichoir@aol.com> wrote:
De Ghost-Rider <Ghost-Rider@compuserve.com> typed:
> Oui, en TIFF le poids du fichier obtenu est apparemment égal à 3 fois
> le nombre de pixels. OK, on comprend pourquoi. Mais en jpg sans perte
> ?
Pour que le poids du fichier *.tif d'une image soit en octets 3 (trois)
fois le nombre de pixels, il faut que l'image soit en 16 millions de
couleurs.
Et que en plus il n'y ait pas de compression au niveau du Tiff. Tiff
supporte au moins les compressions sans perte LZW et ZIP.
FiLH
--
Le fondement du constat bourgeois, c'est le bon sens, c'est-à-dire
une vérité qui s'arrête sur l'ordre arbitraire de celui qui la parle.
Roland Barthes.
http://www.filh.org
> Oui, en TIFF le poids du fichier obtenu est apparemment égal à 3 fois > le nombre de pixels. OK, on comprend pourquoi. Mais en jpg sans perte > ?
Pour que le poids du fichier *.tif d'une image soit en octets 3 (trois) fois le nombre de pixels, il faut que l'image soit en 16 millions de couleurs.
Et que en plus il n'y ait pas de compression au niveau du Tiff. Tiff supporte au moins les compressions sans perte LZW et ZIP.
FiLH
-- Le fondement du constat bourgeois, c'est le bon sens, c'est-à-dire une vérité qui s'arrête sur l'ordre arbitraire de celui qui la parle. Roland Barthes. http://www.filh.org
filh
£g wrote:
Oui, d'accord mais est-ce des données (+/- bidons) que PS rajoute
Pourquoi cette suspiscion ? Ce serait particulièrement crétin pour adobe de jouer à ça.
FiLH
-- Le fondement du constat bourgeois, c'est le bon sens, c'est-à-dire une vérité qui s'arrête sur l'ordre arbitraire de celui qui la parle. Roland Barthes. http://www.filh.org
£g <l.gilbert@skynet.be> wrote:
Oui, d'accord mais est-ce des données (+/- bidons) que PS rajoute
Pourquoi cette suspiscion ? Ce serait particulièrement crétin pour adobe
de jouer à ça.
FiLH
--
Le fondement du constat bourgeois, c'est le bon sens, c'est-à-dire
une vérité qui s'arrête sur l'ordre arbitraire de celui qui la parle.
Roland Barthes.
http://www.filh.org
Oui, d'accord mais est-ce des données (+/- bidons) que PS rajoute
Pourquoi cette suspiscion ? Ce serait particulièrement crétin pour adobe de jouer à ça.
FiLH
-- Le fondement du constat bourgeois, c'est le bon sens, c'est-à-dire une vérité qui s'arrête sur l'ordre arbitraire de celui qui la parle. Roland Barthes. http://www.filh.org
Ofnuts
On 05/02/2011 05:35 PM, YouDontNeedToKnowButItsNoëlle wrote:
Le 01/05/11 17:51, Stephane Legras-Decussy a écrit :
c'est contraignant mais c'est le seul chiffrement d'une sécurité absolue.
Il n'y a pas de sécurité absolue qui repose sur une transmission qui peut être captée. C'est à ce problème que répondent les systèmes à clé publique et clé privée. Je pense que tu es en retard de plusieurs métros.
Pour l'instant les transmissions avec chiffrement asymétrique fonctionnent reéllement en générant une clé aléatoire pour un chiffrement symétrique, chiffrent les données avec, et transmettent la clé chiffrée avec le chiffrement asymétrique.
-- Bertrand
On 05/02/2011 05:35 PM, YouDontNeedToKnowButItsNoëlle wrote:
Le 01/05/11 17:51, Stephane Legras-Decussy a écrit :
c'est contraignant mais c'est le seul chiffrement d'une sécurité absolue.
Il n'y a pas de sécurité absolue qui repose sur une transmission qui
peut être captée.
C'est à ce problème que répondent les systèmes à clé publique et clé
privée.
Je pense que tu es en retard de plusieurs métros.
Pour l'instant les transmissions avec chiffrement asymétrique
fonctionnent reéllement en générant une clé aléatoire pour un
chiffrement symétrique, chiffrent les données avec, et transmettent la
clé chiffrée avec le chiffrement asymétrique.
On 05/02/2011 05:35 PM, YouDontNeedToKnowButItsNoëlle wrote:
Le 01/05/11 17:51, Stephane Legras-Decussy a écrit :
c'est contraignant mais c'est le seul chiffrement d'une sécurité absolue.
Il n'y a pas de sécurité absolue qui repose sur une transmission qui peut être captée. C'est à ce problème que répondent les systèmes à clé publique et clé privée. Je pense que tu es en retard de plusieurs métros.
Pour l'instant les transmissions avec chiffrement asymétrique fonctionnent reéllement en générant une clé aléatoire pour un chiffrement symétrique, chiffrent les données avec, et transmettent la clé chiffrée avec le chiffrement asymétrique.
-- Bertrand
Ofnuts
On 05/02/2011 11:17 AM, Charles Vassallo wrote:
Il faut chercher les nuisances du jpeg sur quelque chose qui ressemble à une photographie, ou mieux encore, qui soit une photographie. Et on cherche les différences avant et après sauvegarde. C'est facile avec les logiciels à calques : on duplique l'image, on enregistre la copie en jpeg dans la qualité qui plaira, on la ferme, on réouvre le jpeg et on le superpose à l'original dans un nouveau calque. On le désactive, on le réactive, ad libitum. Si on voit quelque chose qui clignote, oui, l'image a changé. Si ça ne clignote pas, basta ! C'est que les artefacts du JPEG ne se voient pas. Que demander de plus ?
Encore plus efficace, passer le calque en mode différence... tout les pixels identiques vont donné du noir complet. Avec un outil de seuillage, on trouve vite les pixels avec une valeur supérieure à 0.
Sinon, l'outil "compare" de Imagemagick montre bien les différences graphiquement.
-- Bertrand
On 05/02/2011 11:17 AM, Charles Vassallo wrote:
Il faut chercher les nuisances du jpeg sur quelque chose qui ressemble à
une photographie, ou mieux encore, qui soit une photographie. Et on
cherche les différences avant et après sauvegarde. C'est facile avec les
logiciels à calques : on duplique l'image, on enregistre la copie en
jpeg dans la qualité qui plaira, on la ferme, on réouvre le jpeg et on
le superpose à l'original dans un nouveau calque. On le désactive, on le
réactive, ad libitum. Si on voit quelque chose qui clignote, oui,
l'image a changé. Si ça ne clignote pas, basta ! C'est que les artefacts
du JPEG ne se voient pas. Que demander de plus ?
Encore plus efficace, passer le calque en mode différence... tout les
pixels identiques vont donné du noir complet. Avec un outil de
seuillage, on trouve vite les pixels avec une valeur supérieure à 0.
Sinon, l'outil "compare" de Imagemagick montre bien les différences
graphiquement.
Il faut chercher les nuisances du jpeg sur quelque chose qui ressemble à une photographie, ou mieux encore, qui soit une photographie. Et on cherche les différences avant et après sauvegarde. C'est facile avec les logiciels à calques : on duplique l'image, on enregistre la copie en jpeg dans la qualité qui plaira, on la ferme, on réouvre le jpeg et on le superpose à l'original dans un nouveau calque. On le désactive, on le réactive, ad libitum. Si on voit quelque chose qui clignote, oui, l'image a changé. Si ça ne clignote pas, basta ! C'est que les artefacts du JPEG ne se voient pas. Que demander de plus ?
Encore plus efficace, passer le calque en mode différence... tout les pixels identiques vont donné du noir complet. Avec un outil de seuillage, on trouve vite les pixels avec une valeur supérieure à 0.
Sinon, l'outil "compare" de Imagemagick montre bien les différences graphiquement.
-- Bertrand
René
Bonjour Charles
Je n'ai nullement envie de défendre le TIF ou quoi que ce soit. Mais le JPG sans perte n'existe pas.
Je désire rappeler l'origine de mon intervention: je ne conseillerais pas à quelqu'un que je ne connais pas et qui semble peu familier avec ces questions de traduire ses fichiers KODAK PCD en JPG, surtout qu'il risque de le faire avec une perte plus grande qu'il ne le croit et donc de se retrouver avec des "originaux" de moins bonne qualité. Le point est là. Point que par ailleurs tu confirmes dans ton dernier paragraphe quoique les gens ne travaillent pas tous sérieusement avec les meilleurs logiciels.
Évidemment sur une partie de forêt touffue la détection des différences sur les pixels aurait été difficile. Mon exemple ne servait qu'à illustrer de manière évidente les effets de la compression JPG, effets qui se produisent toujours même si souvent ils sont peu visible et parfois même utiles. J'ai volontairement choisi de placer une lettre comme il pourrait y en avoir à la porte d'un commerce dans une vraie photo! Je ne doute pas du tout que tu sais très bien ce que tu fais - et à ce que j'ai vu tu le fais très bien - et que tu ne le fais pas lorsque ce n'est pas adéquat sur certaines parties des tes images.
Chacun fait comme il le désire, comme il le voit, et selon ses besoins.
René
"Charles Vassallo" a écrit dans le message de groupe de discussion : 4dbe76c4$0$30794$
coupé .............
Il est aussi bien entendu qu'on n'utilisera pas le jpeg comme un format d'enregistrement pour un travail de longue durée. D'abord, ce n'est pas possible si on travaille sérieusement (les calques, retouches non destructives, tout ça...) et puis les cumuls de dégradations, même petites, finiraient par se faire sentir.
Charles
Bonjour Charles
Je n'ai nullement envie de défendre le TIF ou quoi que ce soit.
Mais le JPG sans perte n'existe pas.
Je désire rappeler l'origine de mon intervention: je ne conseillerais pas à
quelqu'un que je ne connais pas et qui semble peu familier avec ces
questions de traduire ses fichiers KODAK PCD en JPG, surtout qu'il risque de
le faire avec une perte plus grande qu'il ne le croit et donc de se
retrouver avec des "originaux" de moins bonne qualité. Le point est là.
Point que par ailleurs tu confirmes dans ton dernier paragraphe quoique les
gens ne travaillent pas tous sérieusement avec les meilleurs logiciels.
Évidemment sur une partie de forêt touffue la détection des différences sur
les pixels aurait été difficile. Mon exemple ne servait qu'à illustrer de
manière évidente les effets de la compression JPG, effets qui se produisent
toujours même si souvent ils sont peu visible et parfois même utiles. J'ai
volontairement choisi de placer une lettre comme il pourrait y en avoir à la
porte d'un commerce dans une vraie photo! Je ne doute pas du tout que tu
sais très bien ce que tu fais - et à ce que j'ai vu tu le fais très bien -
et que tu ne le fais pas lorsque ce n'est pas adéquat sur certaines parties
des tes images.
Chacun fait comme il le désire, comme il le voit, et selon ses besoins.
René
"Charles Vassallo" a écrit dans le message de groupe de discussion :
4dbe76c4$0$30794$ba4acef3@reader.news.orange.fr...
coupé .............
Il est aussi bien entendu qu'on n'utilisera pas le jpeg comme un format
d'enregistrement pour un travail de longue durée. D'abord, ce n'est pas
possible si on travaille sérieusement (les calques, retouches non
destructives, tout ça...) et puis les cumuls de dégradations, même petites,
finiraient par se faire sentir.
Je n'ai nullement envie de défendre le TIF ou quoi que ce soit. Mais le JPG sans perte n'existe pas.
Je désire rappeler l'origine de mon intervention: je ne conseillerais pas à quelqu'un que je ne connais pas et qui semble peu familier avec ces questions de traduire ses fichiers KODAK PCD en JPG, surtout qu'il risque de le faire avec une perte plus grande qu'il ne le croit et donc de se retrouver avec des "originaux" de moins bonne qualité. Le point est là. Point que par ailleurs tu confirmes dans ton dernier paragraphe quoique les gens ne travaillent pas tous sérieusement avec les meilleurs logiciels.
Évidemment sur une partie de forêt touffue la détection des différences sur les pixels aurait été difficile. Mon exemple ne servait qu'à illustrer de manière évidente les effets de la compression JPG, effets qui se produisent toujours même si souvent ils sont peu visible et parfois même utiles. J'ai volontairement choisi de placer une lettre comme il pourrait y en avoir à la porte d'un commerce dans une vraie photo! Je ne doute pas du tout que tu sais très bien ce que tu fais - et à ce que j'ai vu tu le fais très bien - et que tu ne le fais pas lorsque ce n'est pas adéquat sur certaines parties des tes images.
Chacun fait comme il le désire, comme il le voit, et selon ses besoins.
René
"Charles Vassallo" a écrit dans le message de groupe de discussion : 4dbe76c4$0$30794$
coupé .............
Il est aussi bien entendu qu'on n'utilisera pas le jpeg comme un format d'enregistrement pour un travail de longue durée. D'abord, ce n'est pas possible si on travaille sérieusement (les calques, retouches non destructives, tout ça...) et puis les cumuls de dégradations, même petites, finiraient par se faire sentir.