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Quel posemètre acheter ?

142 réponses
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benoit
Bonjour,


J'ai vraiment envie de m'acheter un posemètre qui me permette de
mesurer la lumière incidente. Les photos de plage sont une horreur si on
se fie à la cellule de l'appareil.

J'ai regardé sur le net d'ebay au bon coin en passant par des sites
spécialisés en matériel photo et les prix vont de 20 à quelques
centaines d'euros alors je suis à la recherche de conseils.

L'autre façon de faire serait d'avoir une feuille imprimé en gris
moyen, le fameux 18% sur lequel on lit tout et son contraire. Est-ce
réalisable soi-même (ouvrir photoshop, remplir l'image de ce fameux gris
avec le RVB qui va bien) et faire imprimer sur un site photo avec une
Kodak Q60 en même temps comme souvenir.

D'avance merci

--
"La théorie, c'est quand on sait tout et que rien ne fonctionne. La
pratique, c'est quand tout fonctionne et que personne ne sait pourquoi.
Ici, nous avons réuni théorie et pratique : Rien ne fonctionne... et
personne ne sait pourquoi !" [ Albert Einstein ]

10 réponses

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jdanield
Le 04/07/2014 10:42, Jean-Pierre Roche a écrit :
Le 04/07/2014 10:16, jdanield a écrit :

le posemètre n'est pas compliqué, il te donne directement
diaphragme, vitesse et isos.



Sauf qu'il ne tient pas compte de très nombreux paramètres : tirage,
correction de dynamique, filtre éventuel, etc.



encore heureux, puisque ces corrections ne visent qu'à adapter les défauts du
posemètre interne


un posemètre pourrait très bien être relié (par fil, wifi,
bluetooth...) à l'appareil photo et permettre le tout
automatique



Je ne vois franchement pas ce que peut apporter un posemètre externe sauf cas
vraiment rares (et encore) vu les performances d'un posemètre interne et les
capacités d'un capteur moderne.



justement éviter de se casser la tête avec toutes les corrections...

jdd
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jdanield
Le 04/07/2014 10:43, Ricco a écrit :
jdanield vient de nous annoncer :
Le 04/07/2014 10:03, Ricco a écrit :

des reflex et ils les réussiront



ans ce genre:

https://scontent-b-fra.xx.fbcdn.net/hphotos-prn2/t1.0-9/1044726_585692258120293_1341035342_n.jpg


comme réussite, pardon...

la mesure à la cellule aurait parfaitement exposé le personnage (et
complètement brulé le fond) - reste à savoir si c'était le but


jdd



puisque tu me joues les puriste, allons plus loin, la mesure n'aurait rien
fait du tout, elle aurait donné des indications, mais c'est l'appareil qui
aurait produit cet effet



non, puisque tu aurai reporté exactement les indications de la cellule (en
mode manuel).

décidément t'en as contre les Phot épiciers, je crois me souvenir que c'est
toi l'initiateur de cette terminologie peu flatteuse, non ?



je ne vois pas le rapport, on parle de l'appareil photo, là. Le photographe
épicier il s'est tiré une balle dans le pied tout seul, il n'a jamais vu venir
qu'on aurait plus besoin de lui, vu que l'épicier, du coup, s'est mis à faire
de la photo.

et d'ailleurs pourquoi trouver le terme d'épicier péjoratif? s'il y a une
profession utile, c'est celle-là.

jdd
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jdanield
Le 04/07/2014 10:53, Ricco a écrit :

contre pied, le posemètre était d'un emploi délicat, car comme tu le dis, il
fallait pondérer pas mal de paramètres,



Ricco, tu te fais plus bête que tu n'es. Tu ne me fera pas croire que tu ne
connais pas la différence entre mesure de la réflexion et mesure incidente?

le posemètre qu'on dirigeait vers le sujet a été très avantageusement remplacé
par celui de l'appareil photo, évidemment.

et ce sera très bien, parce qu'il y aura très peu de photos ratées,



la plupart des photos que je vois sur facebook sont ignobles...

Mais le posemètre ne résout que certains types de photo dont j'ai déjà parlé

jdd
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GhostRaider
Le 04/07/2014 10:16, jdanield a écrit :
Le 04/07/2014 10:02, GhostRaider a écrit :
Le 04/07/2014 09:55, Ricco a écrit :

la photo, c'est simple, même un épicier y
arrivait au siècle dernier.



La photo c'est simple, sauf quand on veut la compliquer exprès, pour
se faire
plaisir (ce qui n'est pas un mal en soi).



le posemètre n'est pas compliqué, il te donne directement diaphragme,
vitesse et isos.



Pas les isos.

un posemètre pourrait très bien être relié (par fil, wifi, bluetooth...)
à l'appareil photo et permettre le tout automatique



Et même, tiens-toi bien, certains constructeurs ont réussi l'exploit de
mettre le posemètre DANS l'APN !!!
Finis les câbles et les problèmes de connexion !
Voilà le progrès en marche !
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Jacques L'helgoualc'h
Le 04-07-2014, GhostRaider a écrit :
[...]
Tiens, regarde, une photo que j'ai bien failli louper parce que ma
charte de gris n'était pas à la bonne température :



Il faut mettre ta charte de gris au congélateur avec tes pellicules.

http://cjoint.com/14ju/DGekmaYLi0R_d90_8328-001_1.jpg


(non disponible (12h36))
--
Jacques L'helgoualc'h
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GhostRaider
Le 04/07/2014 10:14, jdanield a écrit :
Le 04/07/2014 09:52, GhostRaider a écrit :

La mesure de la lumière incidente ne résout pas le problème de la lumière
réfléchie. Il faut donc pondérer la mesure de la lumière incidente par la
réflexivité du sujet.
C'est ce que tu veux faire avec une charte de gris.



pas du tout.

la charte de gris réfléchit de façon moyenne et permet donc de mesurer
la lumière incidente.



Oui, oui, mais on doit pondérer la réflexivité du sujet par rapport à la
réflexivité de la charte de gris. C'est ce que j'ai voulu (mal) dire.

le but de la mesure de lumière est de remplacer le travail de l'iris de
l'oeil par celui du diaphragme de l'appareil photo (en gros).

il faut qu'on soit d'accord pour dire que le but de la photo est de
donner une image la plus proche possible de ce que voit le photographe,
les autres usages demandant, bien sur, des méthodes différentes.



Et c'est ce que font magnifiquement les APN tout autos.

la différence de réflexion des éléments du sujet sont intrinsèquement le
sujet et ne doivent donc pas être modifiés. un sujet noir ne doit pas
être éclairci, un sujet blanc ne doit pas être noirci.



Sauf si l'APN ne peut pas absorber les écarts trop grands.

La seule variable
à corriger est donc l'intensité de la lumière incidente, en général
celle du soleil. c'est donc la seule chose utile à mesurer.



Tu es sûr qu'on cherche à "corriger" la lumière du soleil ?
Ou bien plutôt à adapter les réglages pour que son rendu soit celui
recherché.

le problème c'est que l'appareil photo ne peut pas faire cette mesure,
il n'est pas juste devant le sujet et ne regarde pas dans la bonne
direction.



L'APN regarde dans la bonne direction, celle du sujet, et il limite sa
mesure à celle du sujet. C'est parfait.

Tous les modes et intelligence de l'appareil visent donc à
deviner la mesure de la lumière incidente à partir des différents
éléments de l'image.



Donc d'après toi, l'appareil photo fait un double mouvement :
- dans un premier temps, il reçoit la lumière réfléchie du sujet et en
calcule la lumière incidente
- puis il reprend cette mesure de lumière incidente et en modifie les
données pour obtenir la lumière réfléchie.
Ça paraît un peu compliqué, non ?

la cellule n'est une solution que si la source de lumière est loin, donc
au soleil pour l'essentiel, et si le sujet est assez près pour qu'on
puisse faire la mesure devant lui, ou que la lumière soit la même
partout, ce qui est le cas à la neige ou sur la plage.



Donc, pour toi, la solution au calcul de l'exposition d'un sujet, c'est
l'utilisation d'une cellule devant le sujet pour la lumière incidente,
l'interprétation/modification de la mesure pour passer de lumière
incidente à lumière réfléchie, puis le report de cette interprétation
sur l'APN ?

Si tu vas par là, au cinéma on mesure la distance au sujet avec un
mètre à
ruban. Est-ce que ça veut dire que l'autofocus ne fonctionne pas ?



oui. Ca veut dire qu'il ne mesure pas forcément le bon endroit.



Le collimateur, s'il existe, se met où on veut.

Qui plus
est il faut souvent faire varier le focus entre deux plans sans bouger
la caméra, ce qui se fait à la main.



C'est là la raison en fait, de la mesure au mètre.

On commence à trouver des caméras
qui permettent de stocker deux focus et de passer de l'un à l'autre
(j'en ai une).

le cinéma ne se soucie pas non plus beaucoup du réalisme de la lumière,
on filme souvent une scène de nuit pendant la journée (nuit américaine),
on utilise des réflecteurs...



Tu veux dire qu'on ne se soucie pas de la "réalité" de la lumière, on la
modifie pour obtenir le "réalisme" recherché.

Pourquoi alors avoir lâché l'argentique, purement manuel ?



le numérique a bien d'autres avantages. les automatismes existaient avant.



C'était une question pour Benoît.
Si effectivement il travaillait avec un Pentax 645, je conçois que les
automatismes des APN actuels le perturbent quelque peu et qu'il ait
l'impression de perdre son autonomie.
Avatar
GhostRaider
Le 04/07/2014 12:38, Jacques L'helgoualc'h a écrit :
Le 04-07-2014, GhostRaider a écrit :
[...]
Tiens, regarde, une photo que j'ai bien failli louper parce que ma
charte de gris n'était pas à la bonne température :



Il faut mettre ta charte de gris au congélateur avec tes pellicules.

http://cjoint.com/14ju/DGekmaYLi0R_d90_8328-001_1.jpg


(non disponible (12h36))



Elle a été vite censurée : une femme poitrine à l'air et un homme en
train d'enfiler son slip de bain (on voit juste ses fesses), sur une
plage et ils sont fort peur reconnaissables.
Pourtant je l'avais déjà passée ici et elle est tout-à-fait "familiale",
pas du tout érotique.
Ça doit être le syndrome FaceBook.
Je ne le conteste pas d'ailleurs, le responsable de cjoint fait ce qu'il
veut sur son site.
C'est la deuxième fois qu'une de mes photos est censurée sur cjoint. La
fois précédente, c'était un garçonnet en train d'uriner, vu de loin.
Bon, j'en repasse une autre intitulée "Charte de gris au bord de la mer"
qui devrait passer les ciseaux d'Anastasie :
http://cjoint.com/14ju/DGenm06jF7F_pa293041.jpg
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jdanield
Le 04/07/2014 12:56, GhostRaider a écrit :
Le 04/07/2014 10:14, jdanield a écrit :


la charte de gris réfléchit de façon moyenne et permet donc de mesurer
la lumière incidente.



Oui, oui, mais on doit pondérer la réflexivité du sujet par rapport à la
réflexivité de la charte de gris. C'est ce que j'ai voulu (mal) dire.



justement non

la différence de réflexion des éléments du sujet sont intrinsèquement le
sujet et ne doivent donc pas être modifiés. un sujet noir ne doit pas
être éclairci, un sujet blanc ne doit pas être noirci.



Sauf si l'APN ne peut pas absorber les écarts trop grands.



je croyais qu'il pouvait tout faire :-)

L'APN regarde dans la bonne direction, celle du sujet, et il limite sa mesure
à celle du sujet. C'est parfait.



justement non. Si il s'occupe juste du sujet il va exposer la neige grise et
le corbeau gris aussi. La bonne direction c'est celle de la source de lumière!

Donc d'après toi, l'appareil photo fait un double mouvement :
- dans un premier temps, il reçoit la lumière réfléchie du sujet et en calcule
la lumière incidente
- puis il reprend cette mesure de lumière incidente et en modifie les données
pour obtenir la lumière réfléchie.
Ça paraît un peu compliqué, non ?



c'est à peu près ça. Il mesure la lumière un peu partout et essaie d'en
déduire le bon éclairage. Il essaie de se mettre à la place de l'opérateur et
de deviner ce qu'il veut. Ca marche dans beaucoup de cas pas trop extrêmes,
mais dans l'ensemble pas si bien que ca.

Donc, pour toi, la solution au calcul de l'exposition d'un sujet, c'est
l'utilisation d'une cellule devant le sujet pour la lumière incidente,



et son usage sans aucune interprétation, si le but est de rendre la même chose
que ce que voit le photographe.

l'interprétation/modification de la mesure pour passer de lumière incidente à
lumière réfléchie, puis le report de cette interprétation sur l'APN ?



justement non, aucune interprétation.

oui. Ca veut dire qu'il ne mesure pas forcément le bon endroit.



Le collimateur, s'il existe, se met où on veut.



ben non, le cadrage ne dépends pas du collimateur et ce dernbier est rarement
mobile (encore que ca vient)

Tu veux dire qu'on ne se soucie pas de la "réalité" de la lumière, on la
modifie pour obtenir le "réalisme" recherché.



exactement. C'est d'ailleurs très souvent la même chose en photo, et là le
posemètre n'est plus qu'un outil parmi d'autres

Si effectivement il travaillait avec un Pentax 645, je conçois que les
automatismes des APN actuels le perturbent quelque peu et qu'il ait
l'impression de perdre son autonomie.



sans doute Stéphane est passé du moyen format au Nikon 800 (je crois), mais je
n'ai pas l'impression que son usage soit standard.

et, bien sûr, le posemètre a l'inconvénient majeur de demander du temps. Le
cas de la plage (ou de la neige) étant le cas idéal pour lui car la mesure
varie peu ou lentement, mais il est assez facile de s'en passer en faisant un
test sur une zone d'ombre moyenne, par exemple (mais en se mettant en manuel
ensuite)

jdd
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GhostRaider
Le 04/07/2014 13:21, jdanield a écrit :
Le 04/07/2014 12:56, GhostRaider a écrit :
Le 04/07/2014 10:14, jdanield a écrit :



la charte de gris réfléchit de façon moyenne et permet donc de mesurer
la lumière incidente.



Oui, oui, mais on doit pondérer la réflexivité du sujet par rapport à la
réflexivité de la charte de gris. C'est ce que j'ai voulu (mal) dire.



justement non



Flûte, je n'ai décidément rien compris.

la différence de réflexion des éléments du sujet sont intrinsèquement le
sujet et ne doivent donc pas être modifiés. un sujet noir ne doit pas
être éclairci, un sujet blanc ne doit pas être noirci.



Sauf si l'APN ne peut pas absorber les écarts trop grands.



je croyais qu'il pouvait tout faire :-)



Ah ben oui, j'ai tout faux.

L'APN regarde dans la bonne direction, celle du sujet, et il limite sa
mesure
à celle du sujet. C'est parfait.



justement non. Si il s'occupe juste du sujet il va exposer la neige
grise et le corbeau gris aussi. La bonne direction c'est celle de la
source de lumière!



Quand on pense que tous les APN fonctionnent sur des principes
radicalement erronés, même en modes scènes évidemment, ça fait froid
dans le dos.

Donc d'après toi, l'appareil photo fait un double mouvement :
- dans un premier temps, il reçoit la lumière réfléchie du sujet et en
calcule
la lumière incidente
- puis il reprend cette mesure de lumière incidente et en modifie les
données
pour obtenir la lumière réfléchie.
Ça paraît un peu compliqué, non ?



c'est à peu près ça. Il mesure la lumière un peu partout et essaie d'en
déduire le bon éclairage. Il essaie de se mettre à la place de
l'opérateur et de deviner ce qu'il veut. Ca marche dans beaucoup de cas
pas trop extrêmes, mais dans l'ensemble pas si bien que ca.



Va falloir quand même que j'explore les modes extrêmes de mon D7000 :
High Key, Low Key, pour voir si je peux coincer Nikon.

Donc, pour toi, la solution au calcul de l'exposition d'un sujet, c'est
l'utilisation d'une cellule devant le sujet pour la lumière incidente,



et son usage sans aucune interprétation, si le but est de rendre la même
chose que ce que voit le photographe.



Oui, mais les plumes de ma corneille, on ne les voit plus, là...

l'interprétation/modification de la mesure pour passer de lumière
incidente à
lumière réfléchie, puis le report de cette interprétation sur l'APN ?



justement non, aucune interprétation.



Aïe, encore faux !

oui. Ca veut dire qu'il ne mesure pas forcément le bon endroit.



Le collimateur, s'il existe, se met où on veut.



ben non, le cadrage ne dépends pas du collimateur et ce dernbier est
rarement mobile (encore que ca vient)



Et encore une bêtise à mon passif, ça devient inquiétant.

Tu veux dire qu'on ne se soucie pas de la "réalité" de la lumière, on la
modifie pour obtenir le "réalisme" recherché.



exactement. C'est d'ailleurs très souvent la même chose en photo, et là
le posemètre n'est plus qu'un outil parmi d'autres



Ouf, je me rattrape aux branches.

Si effectivement il travaillait avec un Pentax 645, je conçois que les
automatismes des APN actuels le perturbent quelque peu et qu'il ait
l'impression de perdre son autonomie.



sans doute Stéphane est passé du moyen format au Nikon 800 (je crois),
mais je n'ai pas l'impression que son usage soit standard.



Ben il n'en dit rien, sauf pour la plage, alors on se perd en conjectures.
D'ailleurs, il doit avoir raison, il n'y a certainement pas de modes
scènes sur le D800.

et, bien sûr, le posemètre a l'inconvénient majeur de demander du temps.
Le cas de la plage (ou de la neige) étant le cas idéal pour lui car la
mesure varie peu ou lentement, mais il est assez facile de s'en passer
en faisant un test sur une zone d'ombre moyenne, par exemple (mais en se
mettant en manuel ensuite)



Ah là là, je repars à zéro, moi.
Je ressors ma Lunasix, injustement placardisée.
Avatar
Ricco
jdanield avait prétendu :
Le 04/07/2014 10:40, Ricco a écrit :

alors puisque tu me reprends en faisant le savant pour me " bâcher " le
posemètre, il fut lui indiquer les ISO quand même ?
n'est ce pas " ZIZOu " ?



non.

il te donne une mesure de luminance.

avec cette mesure tu peux, mais c'est évidemment facultatif, avoir les
valeurs qui correspondent de diaphragme/vitesse/isos - la photo n''est rien
d'autre

jdd



décidément, tu en veux à ton épicier, mais bon, tout ce que tu veux, tu
me fatigues

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ricco
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