Le 04/07/2014 10:16, jdanield a écrit :le posemètre n'est pas compliqué, il te donne directement
diaphragme, vitesse et isos.
Sauf qu'il ne tient pas compte de très nombreux paramètres : tirage,
correction de dynamique, filtre éventuel, etc.
un posemètre pourrait très bien être relié (par fil, wifi,
bluetooth...) à l'appareil photo et permettre le tout
automatique
Je ne vois franchement pas ce que peut apporter un posemètre externe sauf cas
vraiment rares (et encore) vu les performances d'un posemètre interne et les
capacités d'un capteur moderne.
Le 04/07/2014 10:16, jdanield a écrit :
le posemètre n'est pas compliqué, il te donne directement
diaphragme, vitesse et isos.
Sauf qu'il ne tient pas compte de très nombreux paramètres : tirage,
correction de dynamique, filtre éventuel, etc.
un posemètre pourrait très bien être relié (par fil, wifi,
bluetooth...) à l'appareil photo et permettre le tout
automatique
Je ne vois franchement pas ce que peut apporter un posemètre externe sauf cas
vraiment rares (et encore) vu les performances d'un posemètre interne et les
capacités d'un capteur moderne.
Le 04/07/2014 10:16, jdanield a écrit :le posemètre n'est pas compliqué, il te donne directement
diaphragme, vitesse et isos.
Sauf qu'il ne tient pas compte de très nombreux paramètres : tirage,
correction de dynamique, filtre éventuel, etc.
un posemètre pourrait très bien être relié (par fil, wifi,
bluetooth...) à l'appareil photo et permettre le tout
automatique
Je ne vois franchement pas ce que peut apporter un posemètre externe sauf cas
vraiment rares (et encore) vu les performances d'un posemètre interne et les
capacités d'un capteur moderne.
jdanield vient de nous annoncer :Le 04/07/2014 10:03, Ricco a écrit :des reflex et ils les réussiront
ans ce genre:
https://scontent-b-fra.xx.fbcdn.net/hphotos-prn2/t1.0-9/1044726_585692258120293_1341035342_n.jpg
comme réussite, pardon...
la mesure à la cellule aurait parfaitement exposé le personnage (et
complètement brulé le fond) - reste à savoir si c'était le but
jdd
puisque tu me joues les puriste, allons plus loin, la mesure n'aurait rien
fait du tout, elle aurait donné des indications, mais c'est l'appareil qui
aurait produit cet effet
décidément t'en as contre les Phot épiciers, je crois me souvenir que c'est
toi l'initiateur de cette terminologie peu flatteuse, non ?
jdanield vient de nous annoncer :
Le 04/07/2014 10:03, Ricco a écrit :
des reflex et ils les réussiront
ans ce genre:
https://scontent-b-fra.xx.fbcdn.net/hphotos-prn2/t1.0-9/1044726_585692258120293_1341035342_n.jpg
comme réussite, pardon...
la mesure à la cellule aurait parfaitement exposé le personnage (et
complètement brulé le fond) - reste à savoir si c'était le but
jdd
puisque tu me joues les puriste, allons plus loin, la mesure n'aurait rien
fait du tout, elle aurait donné des indications, mais c'est l'appareil qui
aurait produit cet effet
décidément t'en as contre les Phot épiciers, je crois me souvenir que c'est
toi l'initiateur de cette terminologie peu flatteuse, non ?
jdanield vient de nous annoncer :Le 04/07/2014 10:03, Ricco a écrit :des reflex et ils les réussiront
ans ce genre:
https://scontent-b-fra.xx.fbcdn.net/hphotos-prn2/t1.0-9/1044726_585692258120293_1341035342_n.jpg
comme réussite, pardon...
la mesure à la cellule aurait parfaitement exposé le personnage (et
complètement brulé le fond) - reste à savoir si c'était le but
jdd
puisque tu me joues les puriste, allons plus loin, la mesure n'aurait rien
fait du tout, elle aurait donné des indications, mais c'est l'appareil qui
aurait produit cet effet
décidément t'en as contre les Phot épiciers, je crois me souvenir que c'est
toi l'initiateur de cette terminologie peu flatteuse, non ?
contre pied, le posemètre était d'un emploi délicat, car comme tu le dis, il
fallait pondérer pas mal de paramètres,
et ce sera très bien, parce qu'il y aura très peu de photos ratées,
contre pied, le posemètre était d'un emploi délicat, car comme tu le dis, il
fallait pondérer pas mal de paramètres,
et ce sera très bien, parce qu'il y aura très peu de photos ratées,
contre pied, le posemètre était d'un emploi délicat, car comme tu le dis, il
fallait pondérer pas mal de paramètres,
et ce sera très bien, parce qu'il y aura très peu de photos ratées,
Le 04/07/2014 10:02, GhostRaider a écrit :Le 04/07/2014 09:55, Ricco a écrit :la photo, c'est simple, même un épicier y
arrivait au siècle dernier.
La photo c'est simple, sauf quand on veut la compliquer exprès, pour
se faire
plaisir (ce qui n'est pas un mal en soi).
le posemètre n'est pas compliqué, il te donne directement diaphragme,
vitesse et isos.
un posemètre pourrait très bien être relié (par fil, wifi, bluetooth...)
à l'appareil photo et permettre le tout automatique
Le 04/07/2014 10:02, GhostRaider a écrit :
Le 04/07/2014 09:55, Ricco a écrit :
la photo, c'est simple, même un épicier y
arrivait au siècle dernier.
La photo c'est simple, sauf quand on veut la compliquer exprès, pour
se faire
plaisir (ce qui n'est pas un mal en soi).
le posemètre n'est pas compliqué, il te donne directement diaphragme,
vitesse et isos.
un posemètre pourrait très bien être relié (par fil, wifi, bluetooth...)
à l'appareil photo et permettre le tout automatique
Le 04/07/2014 10:02, GhostRaider a écrit :Le 04/07/2014 09:55, Ricco a écrit :la photo, c'est simple, même un épicier y
arrivait au siècle dernier.
La photo c'est simple, sauf quand on veut la compliquer exprès, pour
se faire
plaisir (ce qui n'est pas un mal en soi).
le posemètre n'est pas compliqué, il te donne directement diaphragme,
vitesse et isos.
un posemètre pourrait très bien être relié (par fil, wifi, bluetooth...)
à l'appareil photo et permettre le tout automatique
Tiens, regarde, une photo que j'ai bien failli louper parce que ma
charte de gris n'était pas à la bonne température :
http://cjoint.com/14ju/DGekmaYLi0R_d90_8328-001_1.jpg
Tiens, regarde, une photo que j'ai bien failli louper parce que ma
charte de gris n'était pas à la bonne température :
http://cjoint.com/14ju/DGekmaYLi0R_d90_8328-001_1.jpg
Tiens, regarde, une photo que j'ai bien failli louper parce que ma
charte de gris n'était pas à la bonne température :
http://cjoint.com/14ju/DGekmaYLi0R_d90_8328-001_1.jpg
Le 04/07/2014 09:52, GhostRaider a écrit :La mesure de la lumière incidente ne résout pas le problème de la lumière
réfléchie. Il faut donc pondérer la mesure de la lumière incidente par la
réflexivité du sujet.
C'est ce que tu veux faire avec une charte de gris.
pas du tout.
la charte de gris réfléchit de façon moyenne et permet donc de mesurer
la lumière incidente.
le but de la mesure de lumière est de remplacer le travail de l'iris de
l'oeil par celui du diaphragme de l'appareil photo (en gros).
il faut qu'on soit d'accord pour dire que le but de la photo est de
donner une image la plus proche possible de ce que voit le photographe,
les autres usages demandant, bien sur, des méthodes différentes.
la différence de réflexion des éléments du sujet sont intrinsèquement le
sujet et ne doivent donc pas être modifiés. un sujet noir ne doit pas
être éclairci, un sujet blanc ne doit pas être noirci.
La seule variable
à corriger est donc l'intensité de la lumière incidente, en général
celle du soleil. c'est donc la seule chose utile à mesurer.
le problème c'est que l'appareil photo ne peut pas faire cette mesure,
il n'est pas juste devant le sujet et ne regarde pas dans la bonne
direction.
Tous les modes et intelligence de l'appareil visent donc à
deviner la mesure de la lumière incidente à partir des différents
éléments de l'image.
la cellule n'est une solution que si la source de lumière est loin, donc
au soleil pour l'essentiel, et si le sujet est assez près pour qu'on
puisse faire la mesure devant lui, ou que la lumière soit la même
partout, ce qui est le cas à la neige ou sur la plage.
Si tu vas par là, au cinéma on mesure la distance au sujet avec un
mètre à
ruban. Est-ce que ça veut dire que l'autofocus ne fonctionne pas ?
oui. Ca veut dire qu'il ne mesure pas forcément le bon endroit.
Qui plus
est il faut souvent faire varier le focus entre deux plans sans bouger
la caméra, ce qui se fait à la main.
On commence à trouver des caméras
qui permettent de stocker deux focus et de passer de l'un à l'autre
(j'en ai une).
le cinéma ne se soucie pas non plus beaucoup du réalisme de la lumière,
on filme souvent une scène de nuit pendant la journée (nuit américaine),
on utilise des réflecteurs...
Pourquoi alors avoir lâché l'argentique, purement manuel ?
le numérique a bien d'autres avantages. les automatismes existaient avant.
Le 04/07/2014 09:52, GhostRaider a écrit :
La mesure de la lumière incidente ne résout pas le problème de la lumière
réfléchie. Il faut donc pondérer la mesure de la lumière incidente par la
réflexivité du sujet.
C'est ce que tu veux faire avec une charte de gris.
pas du tout.
la charte de gris réfléchit de façon moyenne et permet donc de mesurer
la lumière incidente.
le but de la mesure de lumière est de remplacer le travail de l'iris de
l'oeil par celui du diaphragme de l'appareil photo (en gros).
il faut qu'on soit d'accord pour dire que le but de la photo est de
donner une image la plus proche possible de ce que voit le photographe,
les autres usages demandant, bien sur, des méthodes différentes.
la différence de réflexion des éléments du sujet sont intrinsèquement le
sujet et ne doivent donc pas être modifiés. un sujet noir ne doit pas
être éclairci, un sujet blanc ne doit pas être noirci.
La seule variable
à corriger est donc l'intensité de la lumière incidente, en général
celle du soleil. c'est donc la seule chose utile à mesurer.
le problème c'est que l'appareil photo ne peut pas faire cette mesure,
il n'est pas juste devant le sujet et ne regarde pas dans la bonne
direction.
Tous les modes et intelligence de l'appareil visent donc à
deviner la mesure de la lumière incidente à partir des différents
éléments de l'image.
la cellule n'est une solution que si la source de lumière est loin, donc
au soleil pour l'essentiel, et si le sujet est assez près pour qu'on
puisse faire la mesure devant lui, ou que la lumière soit la même
partout, ce qui est le cas à la neige ou sur la plage.
Si tu vas par là, au cinéma on mesure la distance au sujet avec un
mètre à
ruban. Est-ce que ça veut dire que l'autofocus ne fonctionne pas ?
oui. Ca veut dire qu'il ne mesure pas forcément le bon endroit.
Qui plus
est il faut souvent faire varier le focus entre deux plans sans bouger
la caméra, ce qui se fait à la main.
On commence à trouver des caméras
qui permettent de stocker deux focus et de passer de l'un à l'autre
(j'en ai une).
le cinéma ne se soucie pas non plus beaucoup du réalisme de la lumière,
on filme souvent une scène de nuit pendant la journée (nuit américaine),
on utilise des réflecteurs...
Pourquoi alors avoir lâché l'argentique, purement manuel ?
le numérique a bien d'autres avantages. les automatismes existaient avant.
Le 04/07/2014 09:52, GhostRaider a écrit :La mesure de la lumière incidente ne résout pas le problème de la lumière
réfléchie. Il faut donc pondérer la mesure de la lumière incidente par la
réflexivité du sujet.
C'est ce que tu veux faire avec une charte de gris.
pas du tout.
la charte de gris réfléchit de façon moyenne et permet donc de mesurer
la lumière incidente.
le but de la mesure de lumière est de remplacer le travail de l'iris de
l'oeil par celui du diaphragme de l'appareil photo (en gros).
il faut qu'on soit d'accord pour dire que le but de la photo est de
donner une image la plus proche possible de ce que voit le photographe,
les autres usages demandant, bien sur, des méthodes différentes.
la différence de réflexion des éléments du sujet sont intrinsèquement le
sujet et ne doivent donc pas être modifiés. un sujet noir ne doit pas
être éclairci, un sujet blanc ne doit pas être noirci.
La seule variable
à corriger est donc l'intensité de la lumière incidente, en général
celle du soleil. c'est donc la seule chose utile à mesurer.
le problème c'est que l'appareil photo ne peut pas faire cette mesure,
il n'est pas juste devant le sujet et ne regarde pas dans la bonne
direction.
Tous les modes et intelligence de l'appareil visent donc à
deviner la mesure de la lumière incidente à partir des différents
éléments de l'image.
la cellule n'est une solution que si la source de lumière est loin, donc
au soleil pour l'essentiel, et si le sujet est assez près pour qu'on
puisse faire la mesure devant lui, ou que la lumière soit la même
partout, ce qui est le cas à la neige ou sur la plage.
Si tu vas par là, au cinéma on mesure la distance au sujet avec un
mètre à
ruban. Est-ce que ça veut dire que l'autofocus ne fonctionne pas ?
oui. Ca veut dire qu'il ne mesure pas forcément le bon endroit.
Qui plus
est il faut souvent faire varier le focus entre deux plans sans bouger
la caméra, ce qui se fait à la main.
On commence à trouver des caméras
qui permettent de stocker deux focus et de passer de l'un à l'autre
(j'en ai une).
le cinéma ne se soucie pas non plus beaucoup du réalisme de la lumière,
on filme souvent une scène de nuit pendant la journée (nuit américaine),
on utilise des réflecteurs...
Pourquoi alors avoir lâché l'argentique, purement manuel ?
le numérique a bien d'autres avantages. les automatismes existaient avant.
Le 04-07-2014, GhostRaider a écrit :
[...]Tiens, regarde, une photo que j'ai bien failli louper parce que ma
charte de gris n'était pas à la bonne température :
Il faut mettre ta charte de gris au congélateur avec tes pellicules.http://cjoint.com/14ju/DGekmaYLi0R_d90_8328-001_1.jpg
(non disponible (12h36))
Le 04-07-2014, GhostRaider a écrit :
[...]
Tiens, regarde, une photo que j'ai bien failli louper parce que ma
charte de gris n'était pas à la bonne température :
Il faut mettre ta charte de gris au congélateur avec tes pellicules.
http://cjoint.com/14ju/DGekmaYLi0R_d90_8328-001_1.jpg
(non disponible (12h36))
Le 04-07-2014, GhostRaider a écrit :
[...]Tiens, regarde, une photo que j'ai bien failli louper parce que ma
charte de gris n'était pas à la bonne température :
Il faut mettre ta charte de gris au congélateur avec tes pellicules.http://cjoint.com/14ju/DGekmaYLi0R_d90_8328-001_1.jpg
(non disponible (12h36))
Le 04/07/2014 10:14, jdanield a écrit :la charte de gris réfléchit de façon moyenne et permet donc de mesurer
la lumière incidente.
Oui, oui, mais on doit pondérer la réflexivité du sujet par rapport à la
réflexivité de la charte de gris. C'est ce que j'ai voulu (mal) dire.
la différence de réflexion des éléments du sujet sont intrinsèquement le
sujet et ne doivent donc pas être modifiés. un sujet noir ne doit pas
être éclairci, un sujet blanc ne doit pas être noirci.
Sauf si l'APN ne peut pas absorber les écarts trop grands.
L'APN regarde dans la bonne direction, celle du sujet, et il limite sa mesure
à celle du sujet. C'est parfait.
Donc d'après toi, l'appareil photo fait un double mouvement :
- dans un premier temps, il reçoit la lumière réfléchie du sujet et en calcule
la lumière incidente
- puis il reprend cette mesure de lumière incidente et en modifie les données
pour obtenir la lumière réfléchie.
Ça paraît un peu compliqué, non ?
Donc, pour toi, la solution au calcul de l'exposition d'un sujet, c'est
l'utilisation d'une cellule devant le sujet pour la lumière incidente,
l'interprétation/modification de la mesure pour passer de lumière incidente à
lumière réfléchie, puis le report de cette interprétation sur l'APN ?
oui. Ca veut dire qu'il ne mesure pas forcément le bon endroit.
Le collimateur, s'il existe, se met où on veut.
Tu veux dire qu'on ne se soucie pas de la "réalité" de la lumière, on la
modifie pour obtenir le "réalisme" recherché.
Si effectivement il travaillait avec un Pentax 645, je conçois que les
automatismes des APN actuels le perturbent quelque peu et qu'il ait
l'impression de perdre son autonomie.
Le 04/07/2014 10:14, jdanield a écrit :
la charte de gris réfléchit de façon moyenne et permet donc de mesurer
la lumière incidente.
Oui, oui, mais on doit pondérer la réflexivité du sujet par rapport à la
réflexivité de la charte de gris. C'est ce que j'ai voulu (mal) dire.
la différence de réflexion des éléments du sujet sont intrinsèquement le
sujet et ne doivent donc pas être modifiés. un sujet noir ne doit pas
être éclairci, un sujet blanc ne doit pas être noirci.
Sauf si l'APN ne peut pas absorber les écarts trop grands.
L'APN regarde dans la bonne direction, celle du sujet, et il limite sa mesure
à celle du sujet. C'est parfait.
Donc d'après toi, l'appareil photo fait un double mouvement :
- dans un premier temps, il reçoit la lumière réfléchie du sujet et en calcule
la lumière incidente
- puis il reprend cette mesure de lumière incidente et en modifie les données
pour obtenir la lumière réfléchie.
Ça paraît un peu compliqué, non ?
Donc, pour toi, la solution au calcul de l'exposition d'un sujet, c'est
l'utilisation d'une cellule devant le sujet pour la lumière incidente,
l'interprétation/modification de la mesure pour passer de lumière incidente à
lumière réfléchie, puis le report de cette interprétation sur l'APN ?
oui. Ca veut dire qu'il ne mesure pas forcément le bon endroit.
Le collimateur, s'il existe, se met où on veut.
Tu veux dire qu'on ne se soucie pas de la "réalité" de la lumière, on la
modifie pour obtenir le "réalisme" recherché.
Si effectivement il travaillait avec un Pentax 645, je conçois que les
automatismes des APN actuels le perturbent quelque peu et qu'il ait
l'impression de perdre son autonomie.
Le 04/07/2014 10:14, jdanield a écrit :la charte de gris réfléchit de façon moyenne et permet donc de mesurer
la lumière incidente.
Oui, oui, mais on doit pondérer la réflexivité du sujet par rapport à la
réflexivité de la charte de gris. C'est ce que j'ai voulu (mal) dire.
la différence de réflexion des éléments du sujet sont intrinsèquement le
sujet et ne doivent donc pas être modifiés. un sujet noir ne doit pas
être éclairci, un sujet blanc ne doit pas être noirci.
Sauf si l'APN ne peut pas absorber les écarts trop grands.
L'APN regarde dans la bonne direction, celle du sujet, et il limite sa mesure
à celle du sujet. C'est parfait.
Donc d'après toi, l'appareil photo fait un double mouvement :
- dans un premier temps, il reçoit la lumière réfléchie du sujet et en calcule
la lumière incidente
- puis il reprend cette mesure de lumière incidente et en modifie les données
pour obtenir la lumière réfléchie.
Ça paraît un peu compliqué, non ?
Donc, pour toi, la solution au calcul de l'exposition d'un sujet, c'est
l'utilisation d'une cellule devant le sujet pour la lumière incidente,
l'interprétation/modification de la mesure pour passer de lumière incidente à
lumière réfléchie, puis le report de cette interprétation sur l'APN ?
oui. Ca veut dire qu'il ne mesure pas forcément le bon endroit.
Le collimateur, s'il existe, se met où on veut.
Tu veux dire qu'on ne se soucie pas de la "réalité" de la lumière, on la
modifie pour obtenir le "réalisme" recherché.
Si effectivement il travaillait avec un Pentax 645, je conçois que les
automatismes des APN actuels le perturbent quelque peu et qu'il ait
l'impression de perdre son autonomie.
Le 04/07/2014 12:56, GhostRaider a écrit :Le 04/07/2014 10:14, jdanield a écrit :la charte de gris réfléchit de façon moyenne et permet donc de mesurer
la lumière incidente.
Oui, oui, mais on doit pondérer la réflexivité du sujet par rapport à la
réflexivité de la charte de gris. C'est ce que j'ai voulu (mal) dire.
justement non
la différence de réflexion des éléments du sujet sont intrinsèquement le
sujet et ne doivent donc pas être modifiés. un sujet noir ne doit pas
être éclairci, un sujet blanc ne doit pas être noirci.
Sauf si l'APN ne peut pas absorber les écarts trop grands.
je croyais qu'il pouvait tout faire :-)
L'APN regarde dans la bonne direction, celle du sujet, et il limite sa
mesure
à celle du sujet. C'est parfait.
justement non. Si il s'occupe juste du sujet il va exposer la neige
grise et le corbeau gris aussi. La bonne direction c'est celle de la
source de lumière!
Donc d'après toi, l'appareil photo fait un double mouvement :
- dans un premier temps, il reçoit la lumière réfléchie du sujet et en
calcule
la lumière incidente
- puis il reprend cette mesure de lumière incidente et en modifie les
données
pour obtenir la lumière réfléchie.
Ça paraît un peu compliqué, non ?
c'est à peu près ça. Il mesure la lumière un peu partout et essaie d'en
déduire le bon éclairage. Il essaie de se mettre à la place de
l'opérateur et de deviner ce qu'il veut. Ca marche dans beaucoup de cas
pas trop extrêmes, mais dans l'ensemble pas si bien que ca.
Donc, pour toi, la solution au calcul de l'exposition d'un sujet, c'est
l'utilisation d'une cellule devant le sujet pour la lumière incidente,
et son usage sans aucune interprétation, si le but est de rendre la même
chose que ce que voit le photographe.
l'interprétation/modification de la mesure pour passer de lumière
incidente à
lumière réfléchie, puis le report de cette interprétation sur l'APN ?
justement non, aucune interprétation.
oui. Ca veut dire qu'il ne mesure pas forcément le bon endroit.
Le collimateur, s'il existe, se met où on veut.
ben non, le cadrage ne dépends pas du collimateur et ce dernbier est
rarement mobile (encore que ca vient)
Tu veux dire qu'on ne se soucie pas de la "réalité" de la lumière, on la
modifie pour obtenir le "réalisme" recherché.
exactement. C'est d'ailleurs très souvent la même chose en photo, et là
le posemètre n'est plus qu'un outil parmi d'autres
Si effectivement il travaillait avec un Pentax 645, je conçois que les
automatismes des APN actuels le perturbent quelque peu et qu'il ait
l'impression de perdre son autonomie.
sans doute Stéphane est passé du moyen format au Nikon 800 (je crois),
mais je n'ai pas l'impression que son usage soit standard.
et, bien sûr, le posemètre a l'inconvénient majeur de demander du temps.
Le cas de la plage (ou de la neige) étant le cas idéal pour lui car la
mesure varie peu ou lentement, mais il est assez facile de s'en passer
en faisant un test sur une zone d'ombre moyenne, par exemple (mais en se
mettant en manuel ensuite)
Le 04/07/2014 12:56, GhostRaider a écrit :
Le 04/07/2014 10:14, jdanield a écrit :
la charte de gris réfléchit de façon moyenne et permet donc de mesurer
la lumière incidente.
Oui, oui, mais on doit pondérer la réflexivité du sujet par rapport à la
réflexivité de la charte de gris. C'est ce que j'ai voulu (mal) dire.
justement non
la différence de réflexion des éléments du sujet sont intrinsèquement le
sujet et ne doivent donc pas être modifiés. un sujet noir ne doit pas
être éclairci, un sujet blanc ne doit pas être noirci.
Sauf si l'APN ne peut pas absorber les écarts trop grands.
je croyais qu'il pouvait tout faire :-)
L'APN regarde dans la bonne direction, celle du sujet, et il limite sa
mesure
à celle du sujet. C'est parfait.
justement non. Si il s'occupe juste du sujet il va exposer la neige
grise et le corbeau gris aussi. La bonne direction c'est celle de la
source de lumière!
Donc d'après toi, l'appareil photo fait un double mouvement :
- dans un premier temps, il reçoit la lumière réfléchie du sujet et en
calcule
la lumière incidente
- puis il reprend cette mesure de lumière incidente et en modifie les
données
pour obtenir la lumière réfléchie.
Ça paraît un peu compliqué, non ?
c'est à peu près ça. Il mesure la lumière un peu partout et essaie d'en
déduire le bon éclairage. Il essaie de se mettre à la place de
l'opérateur et de deviner ce qu'il veut. Ca marche dans beaucoup de cas
pas trop extrêmes, mais dans l'ensemble pas si bien que ca.
Donc, pour toi, la solution au calcul de l'exposition d'un sujet, c'est
l'utilisation d'une cellule devant le sujet pour la lumière incidente,
et son usage sans aucune interprétation, si le but est de rendre la même
chose que ce que voit le photographe.
l'interprétation/modification de la mesure pour passer de lumière
incidente à
lumière réfléchie, puis le report de cette interprétation sur l'APN ?
justement non, aucune interprétation.
oui. Ca veut dire qu'il ne mesure pas forcément le bon endroit.
Le collimateur, s'il existe, se met où on veut.
ben non, le cadrage ne dépends pas du collimateur et ce dernbier est
rarement mobile (encore que ca vient)
Tu veux dire qu'on ne se soucie pas de la "réalité" de la lumière, on la
modifie pour obtenir le "réalisme" recherché.
exactement. C'est d'ailleurs très souvent la même chose en photo, et là
le posemètre n'est plus qu'un outil parmi d'autres
Si effectivement il travaillait avec un Pentax 645, je conçois que les
automatismes des APN actuels le perturbent quelque peu et qu'il ait
l'impression de perdre son autonomie.
sans doute Stéphane est passé du moyen format au Nikon 800 (je crois),
mais je n'ai pas l'impression que son usage soit standard.
et, bien sûr, le posemètre a l'inconvénient majeur de demander du temps.
Le cas de la plage (ou de la neige) étant le cas idéal pour lui car la
mesure varie peu ou lentement, mais il est assez facile de s'en passer
en faisant un test sur une zone d'ombre moyenne, par exemple (mais en se
mettant en manuel ensuite)
Le 04/07/2014 12:56, GhostRaider a écrit :Le 04/07/2014 10:14, jdanield a écrit :la charte de gris réfléchit de façon moyenne et permet donc de mesurer
la lumière incidente.
Oui, oui, mais on doit pondérer la réflexivité du sujet par rapport à la
réflexivité de la charte de gris. C'est ce que j'ai voulu (mal) dire.
justement non
la différence de réflexion des éléments du sujet sont intrinsèquement le
sujet et ne doivent donc pas être modifiés. un sujet noir ne doit pas
être éclairci, un sujet blanc ne doit pas être noirci.
Sauf si l'APN ne peut pas absorber les écarts trop grands.
je croyais qu'il pouvait tout faire :-)
L'APN regarde dans la bonne direction, celle du sujet, et il limite sa
mesure
à celle du sujet. C'est parfait.
justement non. Si il s'occupe juste du sujet il va exposer la neige
grise et le corbeau gris aussi. La bonne direction c'est celle de la
source de lumière!
Donc d'après toi, l'appareil photo fait un double mouvement :
- dans un premier temps, il reçoit la lumière réfléchie du sujet et en
calcule
la lumière incidente
- puis il reprend cette mesure de lumière incidente et en modifie les
données
pour obtenir la lumière réfléchie.
Ça paraît un peu compliqué, non ?
c'est à peu près ça. Il mesure la lumière un peu partout et essaie d'en
déduire le bon éclairage. Il essaie de se mettre à la place de
l'opérateur et de deviner ce qu'il veut. Ca marche dans beaucoup de cas
pas trop extrêmes, mais dans l'ensemble pas si bien que ca.
Donc, pour toi, la solution au calcul de l'exposition d'un sujet, c'est
l'utilisation d'une cellule devant le sujet pour la lumière incidente,
et son usage sans aucune interprétation, si le but est de rendre la même
chose que ce que voit le photographe.
l'interprétation/modification de la mesure pour passer de lumière
incidente à
lumière réfléchie, puis le report de cette interprétation sur l'APN ?
justement non, aucune interprétation.
oui. Ca veut dire qu'il ne mesure pas forcément le bon endroit.
Le collimateur, s'il existe, se met où on veut.
ben non, le cadrage ne dépends pas du collimateur et ce dernbier est
rarement mobile (encore que ca vient)
Tu veux dire qu'on ne se soucie pas de la "réalité" de la lumière, on la
modifie pour obtenir le "réalisme" recherché.
exactement. C'est d'ailleurs très souvent la même chose en photo, et là
le posemètre n'est plus qu'un outil parmi d'autres
Si effectivement il travaillait avec un Pentax 645, je conçois que les
automatismes des APN actuels le perturbent quelque peu et qu'il ait
l'impression de perdre son autonomie.
sans doute Stéphane est passé du moyen format au Nikon 800 (je crois),
mais je n'ai pas l'impression que son usage soit standard.
et, bien sûr, le posemètre a l'inconvénient majeur de demander du temps.
Le cas de la plage (ou de la neige) étant le cas idéal pour lui car la
mesure varie peu ou lentement, mais il est assez facile de s'en passer
en faisant un test sur une zone d'ombre moyenne, par exemple (mais en se
mettant en manuel ensuite)
Le 04/07/2014 10:40, Ricco a écrit :alors puisque tu me reprends en faisant le savant pour me " bâcher " le
posemètre, il fut lui indiquer les ISO quand même ?
n'est ce pas " ZIZOu " ?
non.
il te donne une mesure de luminance.
avec cette mesure tu peux, mais c'est évidemment facultatif, avoir les
valeurs qui correspondent de diaphragme/vitesse/isos - la photo n''est rien
d'autre
jdd
Le 04/07/2014 10:40, Ricco a écrit :
alors puisque tu me reprends en faisant le savant pour me " bâcher " le
posemètre, il fut lui indiquer les ISO quand même ?
n'est ce pas " ZIZOu " ?
non.
il te donne une mesure de luminance.
avec cette mesure tu peux, mais c'est évidemment facultatif, avoir les
valeurs qui correspondent de diaphragme/vitesse/isos - la photo n''est rien
d'autre
jdd
Le 04/07/2014 10:40, Ricco a écrit :alors puisque tu me reprends en faisant le savant pour me " bâcher " le
posemètre, il fut lui indiquer les ISO quand même ?
n'est ce pas " ZIZOu " ?
non.
il te donne une mesure de luminance.
avec cette mesure tu peux, mais c'est évidemment facultatif, avoir les
valeurs qui correspondent de diaphragme/vitesse/isos - la photo n''est rien
d'autre
jdd