Ce qui étonne, c'est l'apparent bénévolat du conseil éditorial et des réviseurs anonymes. Ils ne sont même pas rémunérés par la diffusion de leurs noms.
A vérifier chez Amazon qui les vend bien comme auteurs.
Faut suivre birdy, on ne parle pas de romans auto-édités vendus sur amazon, on parle de publications scientifiques de ce genre : https://ijpam.eu/ -- F.J.
Le 17/01/2021 Í 10:57, Birdy a écrit :
Ghost-Raider a pensé très fort :
Ce qui étonne, c'est l'apparent bénévolat du conseil éditorial et des
réviseurs anonymes. Ils ne sont même pas rémunérés par la diffusion de
leurs noms.
A vérifier chez Amazon qui les vend bien comme auteurs.
Faut suivre birdy, on ne parle pas de romans auto-édités vendus sur
amazon, on parle de publications scientifiques de ce genre :
https://ijpam.eu/
Ce qui étonne, c'est l'apparent bénévolat du conseil éditorial et des réviseurs anonymes. Ils ne sont même pas rémunérés par la diffusion de leurs noms.
A vérifier chez Amazon qui les vend bien comme auteurs.
Faut suivre birdy, on ne parle pas de romans auto-édités vendus sur amazon, on parle de publications scientifiques de ce genre : https://ijpam.eu/ -- F.J.
Birdy
Après mÍ»re réflexion, efji a écrit :
Le 17/01/2021 Í 10:57, Birdy a écrit :
Ghost-Raider a pensé très fort :
Ce qui étonne, c'est l'apparent bénévolat du conseil éditorial et des réviseurs anonymes. Ils ne sont même pas rémunérés par la diffusion de leurs noms.
A vérifier chez Amazon qui les vend bien comme auteurs.
Faut suivre birdy, on ne parle pas de romans auto-édités vendus sur amazon, on parle de publications scientifiques de ce genre : https://ijpam.eu/
pardon, j'étais parti faire la queue chez le boulanger pour chercher mes tourtes...
Après mÍ»re réflexion, efji a écrit :
Le 17/01/2021 Í 10:57, Birdy a écrit :
Ghost-Raider a pensé très fort :
Ce qui étonne, c'est l'apparent bénévolat du conseil éditorial et des
réviseurs anonymes. Ils ne sont même pas rémunérés par la diffusion de
leurs noms.
A vérifier chez Amazon qui les vend bien comme auteurs.
Faut suivre birdy, on ne parle pas de romans auto-édités vendus sur amazon,
on parle de publications scientifiques de ce genre :
https://ijpam.eu/
pardon, j'étais parti faire la queue chez le boulanger pour chercher
mes tourtes...
Ce qui étonne, c'est l'apparent bénévolat du conseil éditorial et des réviseurs anonymes. Ils ne sont même pas rémunérés par la diffusion de leurs noms.
A vérifier chez Amazon qui les vend bien comme auteurs.
Faut suivre birdy, on ne parle pas de romans auto-édités vendus sur amazon, on parle de publications scientifiques de ce genre : https://ijpam.eu/
pardon, j'étais parti faire la queue chez le boulanger pour chercher mes tourtes...
Benoit
Le 17 janvier 2021, efji osa écrire :
Le 17/01/2021 Í 10:47, Ghost-Raider a écrit :
Ce qui étonne, c'est l'apparent bénévolat du conseil éditorial et des réviseurs anonymes. Ils ne sont même pas rémunérés par la diffusion de leurs noms.
Les membres des éditorial boards sont connus et ça compte dans un cv d'être éditeur d'une grande revue. Les reviewers sont anonymes par nécessité. Toute la science fonctionne de cette façon. Et encore, l'évaluation de publications, qui était l'essentiel du travail d'évaluation d'un chercheur il y a 30 ans, est devenu presque marginale par rapport au travail d'évaluation qui s'immisce partout, car la plupart des financements se font sur projet maintenant et donc on passe notre temps Í rédiger des dossiers pour demander de l'argent et Í évaluer les projets des autres, et ce Í tous les niveaux, du plus petit (projet intra-universitaire, 5 k€) au plus grand (projets européens, 5 M€).
J'avais un ami qui était directeur de recherche en biologie médicale qui ne faisait plus que du remplissage de formulaires pour obtenir des subventions. Il travaillait dans un bureau et non un labo. -- Vie : n. f. Maladie mortelle sexuellement transmissible benoit chez leraillez.com
Le 17 janvier 2021, efji osa écrire :
Le 17/01/2021 Í 10:47, Ghost-Raider a écrit :
Ce qui étonne, c'est l'apparent bénévolat du conseil éditorial et des
réviseurs anonymes. Ils ne sont même pas rémunérés par la diffusion de
leurs noms.
Les membres des éditorial boards sont connus et ça compte dans un cv
d'être éditeur d'une grande revue. Les reviewers sont anonymes par
nécessité. Toute la science fonctionne de cette façon. Et encore,
l'évaluation de publications, qui était l'essentiel du travail
d'évaluation d'un chercheur il y a 30 ans, est devenu presque marginale
par rapport au travail d'évaluation qui s'immisce partout, car la
plupart des financements se font sur projet maintenant et donc on passe
notre temps Í rédiger des dossiers pour demander de l'argent et Í
évaluer les projets des autres, et ce Í tous les niveaux, du plus petit
(projet intra-universitaire, 5 k€) au plus grand (projets européens, 5 M€).
J'avais un ami qui était directeur de recherche en biologie médicale qui
ne faisait plus que du remplissage de formulaires pour obtenir des
subventions. Il travaillait dans un bureau et non un labo.
--
Vie : n. f. Maladie mortelle sexuellement transmissible
benoit chez leraillez.com
Ce qui étonne, c'est l'apparent bénévolat du conseil éditorial et des réviseurs anonymes. Ils ne sont même pas rémunérés par la diffusion de leurs noms.
Les membres des éditorial boards sont connus et ça compte dans un cv d'être éditeur d'une grande revue. Les reviewers sont anonymes par nécessité. Toute la science fonctionne de cette façon. Et encore, l'évaluation de publications, qui était l'essentiel du travail d'évaluation d'un chercheur il y a 30 ans, est devenu presque marginale par rapport au travail d'évaluation qui s'immisce partout, car la plupart des financements se font sur projet maintenant et donc on passe notre temps Í rédiger des dossiers pour demander de l'argent et Í évaluer les projets des autres, et ce Í tous les niveaux, du plus petit (projet intra-universitaire, 5 k€) au plus grand (projets européens, 5 M€).
J'avais un ami qui était directeur de recherche en biologie médicale qui ne faisait plus que du remplissage de formulaires pour obtenir des subventions. Il travaillait dans un bureau et non un labo. -- Vie : n. f. Maladie mortelle sexuellement transmissible benoit chez leraillez.com
efji
Le 17/01/2021 Í 12:01, Benoit a écrit :
Le 17 janvier 2021, efji osa écrire :
Le 17/01/2021 Í 10:47, Ghost-Raider a écrit :
Ce qui étonne, c'est l'apparent bénévolat du conseil éditorial et des réviseurs anonymes. Ils ne sont même pas rémunérés par la diffusion de leurs noms.
Les membres des éditorial boards sont connus et ça compte dans un cv d'être éditeur d'une grande revue. Les reviewers sont anonymes par nécessité. Toute la science fonctionne de cette façon. Et encore, l'évaluation de publications, qui était l'essentiel du travail d'évaluation d'un chercheur il y a 30 ans, est devenu presque marginale par rapport au travail d'évaluation qui s'immisce partout, car la plupart des financements se font sur projet maintenant et donc on passe notre temps Í rédiger des dossiers pour demander de l'argent et Í évaluer les projets des autres, et ce Í tous les niveaux, du plus petit (projet intra-universitaire, 5 k€) au plus grand (projets européens, 5 M€).
J'avais un ami qui était directeur de recherche en biologie médicale qui ne faisait plus que du remplissage de formulaires pour obtenir des subventions. Il travaillait dans un bureau et non un labo.
Sauf que ce ne sont pas des "formulaires" :) Ce sont des dossiers avec une partie scientifique et une partie financière. Typiquement une vingtaine de pages. -- F.J.
Le 17/01/2021 Í 12:01, Benoit a écrit :
Le 17 janvier 2021, efji osa écrire :
Le 17/01/2021 Í 10:47, Ghost-Raider a écrit :
Ce qui étonne, c'est l'apparent bénévolat du conseil éditorial et des
réviseurs anonymes. Ils ne sont même pas rémunérés par la diffusion de
leurs noms.
Les membres des éditorial boards sont connus et ça compte dans un cv
d'être éditeur d'une grande revue. Les reviewers sont anonymes par
nécessité. Toute la science fonctionne de cette façon. Et encore,
l'évaluation de publications, qui était l'essentiel du travail
d'évaluation d'un chercheur il y a 30 ans, est devenu presque marginale
par rapport au travail d'évaluation qui s'immisce partout, car la
plupart des financements se font sur projet maintenant et donc on passe
notre temps Í rédiger des dossiers pour demander de l'argent et Í
évaluer les projets des autres, et ce Í tous les niveaux, du plus petit
(projet intra-universitaire, 5 k€) au plus grand (projets européens, 5 M€).
J'avais un ami qui était directeur de recherche en biologie médicale qui
ne faisait plus que du remplissage de formulaires pour obtenir des
subventions. Il travaillait dans un bureau et non un labo.
Sauf que ce ne sont pas des "formulaires" :) Ce sont des dossiers avec
une partie scientifique et une partie financière. Typiquement une
vingtaine de pages.
Ce qui étonne, c'est l'apparent bénévolat du conseil éditorial et des réviseurs anonymes. Ils ne sont même pas rémunérés par la diffusion de leurs noms.
Les membres des éditorial boards sont connus et ça compte dans un cv d'être éditeur d'une grande revue. Les reviewers sont anonymes par nécessité. Toute la science fonctionne de cette façon. Et encore, l'évaluation de publications, qui était l'essentiel du travail d'évaluation d'un chercheur il y a 30 ans, est devenu presque marginale par rapport au travail d'évaluation qui s'immisce partout, car la plupart des financements se font sur projet maintenant et donc on passe notre temps Í rédiger des dossiers pour demander de l'argent et Í évaluer les projets des autres, et ce Í tous les niveaux, du plus petit (projet intra-universitaire, 5 k€) au plus grand (projets européens, 5 M€).
J'avais un ami qui était directeur de recherche en biologie médicale qui ne faisait plus que du remplissage de formulaires pour obtenir des subventions. Il travaillait dans un bureau et non un labo.
Sauf que ce ne sont pas des "formulaires" :) Ce sont des dossiers avec une partie scientifique et une partie financière. Typiquement une vingtaine de pages. -- F.J.
Benoit
Le 17 janvier 2021, efji d'un élan de joie s'exprima ainsi :
J'avais un ami qui était directeur de recherche en biologie médicale qui ne faisait plus que du remplissage de formulaires pour obtenir des subventions. Il travaillait dans un bureau et non un labo.
Sauf que ce ne sont pas des "formulaires" :) Ce sont des dossiers avec une partie scientifique et une partie financière. Typiquement une vingtaine de pages.
Combien de temps pour en remplir un ? Combien par an ? À ça il faut ajouter la rédaction d'un maximum d'articles pour exister dans le bruit médiatique de la recherche. -- Vie : n. f. Maladie mortelle sexuellement transmissible benoit chez leraillez.com
Le 17 janvier 2021, efji d'un élan de joie s'exprima ainsi :
J'avais un ami qui était directeur de recherche en biologie médicale qui
ne faisait plus que du remplissage de formulaires pour obtenir des
subventions. Il travaillait dans un bureau et non un labo.
Sauf que ce ne sont pas des "formulaires" :) Ce sont des dossiers avec
une partie scientifique et une partie financière. Typiquement une
vingtaine de pages.
Combien de temps pour en remplir un ? Combien par an ?
À ça il faut ajouter la rédaction d'un maximum d'articles pour exister
dans le bruit médiatique de la recherche.
--
Vie : n. f. Maladie mortelle sexuellement transmissible
benoit chez leraillez.com
Le 17 janvier 2021, efji d'un élan de joie s'exprima ainsi :
J'avais un ami qui était directeur de recherche en biologie médicale qui ne faisait plus que du remplissage de formulaires pour obtenir des subventions. Il travaillait dans un bureau et non un labo.
Sauf que ce ne sont pas des "formulaires" :) Ce sont des dossiers avec une partie scientifique et une partie financière. Typiquement une vingtaine de pages.
Combien de temps pour en remplir un ? Combien par an ? À ça il faut ajouter la rédaction d'un maximum d'articles pour exister dans le bruit médiatique de la recherche. -- Vie : n. f. Maladie mortelle sexuellement transmissible benoit chez leraillez.com
Ghost-Raider
Le 17/01/2021 Í 10:49, Birdy a écrit :
Le 17/01/2021, Ghost-Raider a supposé :
Le 17/01/2021 Í 10:14, Birdy a écrit :
Benoit a formulé ce samedi :
Le 16 janvier 2021, Birdy a raconté :
efji a émis l'idée suivante :
Le 16/01/2021 Í 09:46, Birdy a écrit :
la proposition de droits était dérisoire.
Sauf si on s'appelle Houellebecq ou Nothomb, les droits sont toujours dérisoires. Genre 4% sur un roman.
C'est une anomalie les droits doivent toujours être supérieurs.Ami d'éditeurs comme J.D.Belfond, je connais quand même les prix. Il reste qu'effectivement les pratiques modernes du copyright des anglo saxons confortées par les réseaux, les GAFA et la débandade de la presse écrite ont furieusement affaibli la propriété morale des oeuvres.
Quand les droits restent aux héritiers 70 ans après la mort de l'auteur, je n'appelle pas ça un affaiblissement.
C'est ce que je disais plus haut. Sauf que mes photos de la guerre d'Algérie étaient distribuées par Rapho, revendu Í Hachette, ayant eux-même cédé Í ... Moralité : quand je vois par exemple comme il y a quelques années une photo signée dans Jeune Afrique. Pas touché les droits, et impossoble de savoir Í quel éditeur s'adresser...bien qu'Hachette a un dépÍ´t d'archives rue d'Enghien.
Tu t'adresses Í Jeune Afrique, c'est tout.
Bon c'était il y a longtemps...et ils ont probablement payés la, photo Í l'agence.
A quelle agence ? Tu remontes jusqu'Í la source comme ça. -- Et c'est ainsi que MELMOTH est infiniment Grand !
Le 17/01/2021 Í 10:49, Birdy a écrit :
Le 17/01/2021, Ghost-Raider a supposé :
Le 17/01/2021 Í 10:14, Birdy a écrit :
Benoit a formulé ce samedi :
Le 16 janvier 2021, Birdy a raconté :
efji a émis l'idée suivante :
Le 16/01/2021 Í 09:46, Birdy a écrit :
la proposition de droits était dérisoire.
Sauf si on s'appelle Houellebecq ou Nothomb, les droits sont toujours
dérisoires. Genre 4% sur un roman.
C'est une anomalie les droits doivent toujours être supérieurs.Ami
d'éditeurs comme J.D.Belfond, je connais quand même les prix. Il reste
qu'effectivement les pratiques modernes du copyright des anglo saxons
confortées par les réseaux, les GAFA et la débandade de la presse
écrite ont furieusement affaibli la propriété morale des oeuvres.
Quand les droits restent aux héritiers 70 ans après la mort de l'auteur,
je n'appelle pas ça un affaiblissement.
C'est ce que je disais plus haut. Sauf que mes photos de la guerre
d'Algérie étaient distribuées par Rapho, revendu Í Hachette, ayant
eux-même cédé Í ... Moralité : quand je vois par exemple comme il y a
quelques années une photo signée dans Jeune Afrique. Pas touché les
droits, et impossoble de savoir Í quel éditeur s'adresser...bien
qu'Hachette a un dépÍ´t d'archives rue d'Enghien.
Tu t'adresses Í Jeune Afrique, c'est tout.
Bon c'était il y a longtemps...et ils ont probablement payés la, photo
Í l'agence.
A quelle agence ? Tu remontes jusqu'Í la source comme ça.
--
Et c'est ainsi que MELMOTH est infiniment Grand !
Sauf si on s'appelle Houellebecq ou Nothomb, les droits sont toujours dérisoires. Genre 4% sur un roman.
C'est une anomalie les droits doivent toujours être supérieurs.Ami d'éditeurs comme J.D.Belfond, je connais quand même les prix. Il reste qu'effectivement les pratiques modernes du copyright des anglo saxons confortées par les réseaux, les GAFA et la débandade de la presse écrite ont furieusement affaibli la propriété morale des oeuvres.
Quand les droits restent aux héritiers 70 ans après la mort de l'auteur, je n'appelle pas ça un affaiblissement.
C'est ce que je disais plus haut. Sauf que mes photos de la guerre d'Algérie étaient distribuées par Rapho, revendu Í Hachette, ayant eux-même cédé Í ... Moralité : quand je vois par exemple comme il y a quelques années une photo signée dans Jeune Afrique. Pas touché les droits, et impossoble de savoir Í quel éditeur s'adresser...bien qu'Hachette a un dépÍ´t d'archives rue d'Enghien.
Tu t'adresses Í Jeune Afrique, c'est tout.
Bon c'était il y a longtemps...et ils ont probablement payés la, photo Í l'agence.
A quelle agence ? Tu remontes jusqu'Í la source comme ça. -- Et c'est ainsi que MELMOTH est infiniment Grand !
Ghost-Raider
Le 17/01/2021 Í 10:55, Birdy a écrit :
Ghost-Raider a utilisé son clavier pour écrire :
Le 17/01/2021 Í 10:19, Birdy a écrit :
Ghost-Raider avait énoncé :
Le 16/01/2021 Í 10:41, Birdy a écrit :
efji a émis l'idée suivante :
Le 16/01/2021 Í 09:46, Birdy a écrit :
la proposition de droits était dérisoire.
Sauf si on s'appelle Houellebecq ou Nothomb, les droits sont toujours dérisoires. Genre 4% sur un roman.
C'est une anomalie les droits doivent toujours être supérieurs.Ami d'éditeurs comme J.D.Belfond, je connais quand même les prix. Il reste qu'effectivement les pratiques modernes du copyright des anglo saxons confortées par les réseaux, les GAFA et la débandade de la presse écrite ont furieusement affaibli la propriété morale des oeuvres. C'est politique : la multiplication incontrÍ´lée actuelle est une source de désinformation totale des sociétés. Vite relire Orwell...
Je ne comprends pas qu'un ardent situationniste comme Toi défende la propriété intellectuelle. Ou faut-il y avoir une inconséquence du Situationnisme ?
Coquin ! je t'ai parlé de pratiques situationnistes pas d'inscription d'adhérent qui n'existe pas !
Heureusement, c'est par essence impossible.
Ne pas faire de confusion, il n'est nulle part considéré que la propriété intellectuelle est passible de "table rase" comme diraient d'autres que je ne cite pas. Tu m'attaquerais. :-))
Wikipedia : https://fr.wikipedia.org/wiki/Internationale_situationniste#cite_ref-Marelli1998345_7-0 " Les situationnistes ne reconnaissent pas non plus la propriété intellectuelle. Selon la formule qui figure en deuxième de couverture de chaque numéro de la revue : « Tous les textes publiés dans Internationale situationniste peuvent être librement reproduits, traduits ou adaptés, même sans indication d'origine. " Mais évidemment, avant l'avènement du situationnisme, il faut bien faire des concessions Í la bourgeoisie.
Curieux laisserais-tu entendre que Debord ne touchait pas les droits d'auteur pour son livre ?
Je n'en sais rien, mais il faut bien vivre et pour cela, trahir la Cause, hélas !
Tu me fais aussi penser, comme ancien membre de la commission du FSER qui donne encore des subventions aux radios associatives, que depuis 40 ans Radio Libertaire diffuse un spot attribuant ses seules ressources Í ses auditeurs... mais touche le fond de soutien, cet argent sale capitaliste. 8-o
Ce n'est pas l'argent sale capitaliste, Camarade, c'est la réappropriation par les Prolétaires de la plus-value que la bourgeoisie lui extorque. -- Et c'est ainsi que MELMOTH est infiniment Grand !
Le 17/01/2021 Í 10:55, Birdy a écrit :
Ghost-Raider a utilisé son clavier pour écrire :
Le 17/01/2021 Í 10:19, Birdy a écrit :
Ghost-Raider avait énoncé :
Le 16/01/2021 Í 10:41, Birdy a écrit :
efji a émis l'idée suivante :
Le 16/01/2021 Í 09:46, Birdy a écrit :
la proposition de droits était dérisoire.
Sauf si on s'appelle Houellebecq ou Nothomb, les droits sont toujours
dérisoires. Genre 4% sur un roman.
C'est une anomalie les droits doivent toujours être supérieurs.Ami
d'éditeurs comme J.D.Belfond, je connais quand même les prix. Il reste
qu'effectivement les pratiques modernes du copyright des anglo saxons
confortées par les réseaux, les GAFA et la débandade de la presse
écrite ont furieusement affaibli la propriété morale des oeuvres.
C'est politique : la multiplication incontrÍ´lée actuelle est une source
de désinformation totale des sociétés. Vite relire Orwell...
Je ne comprends pas qu'un ardent situationniste comme Toi défende la
propriété intellectuelle.
Ou faut-il y avoir une inconséquence du Situationnisme ?
Coquin ! je t'ai parlé de pratiques situationnistes pas d'inscription
d'adhérent qui n'existe pas !
Heureusement, c'est par essence impossible.
Ne pas faire de confusion, il n'est nulle part considéré que la
propriété intellectuelle est passible de "table rase" comme diraient
d'autres que je ne cite pas. Tu m'attaquerais. :-))
Wikipedia :
https://fr.wikipedia.org/wiki/Internationale_situationniste#cite_ref-Marelli1998345_7-0
" Les situationnistes ne reconnaissent pas non plus la propriété
intellectuelle. Selon la formule qui figure en deuxième de couverture de
chaque numéro de la revue : « Tous les textes publiés dans Internationale
situationniste peuvent être librement reproduits, traduits ou adaptés, même
sans indication d'origine. "
Mais évidemment, avant l'avènement du situationnisme, il faut bien faire
des concessions Í la bourgeoisie.
Curieux laisserais-tu entendre que Debord ne touchait pas les droits
d'auteur pour son livre ?
Je n'en sais rien, mais il faut bien vivre et pour cela, trahir la
Cause, hélas !
Tu me fais aussi penser, comme ancien membre de la commission du FSER
qui donne encore des subventions aux radios associatives, que depuis 40
ans Radio Libertaire diffuse un spot attribuant ses seules ressources Í
ses auditeurs... mais touche le fond de soutien, cet argent sale
capitaliste. 8-o
Ce n'est pas l'argent sale capitaliste, Camarade, c'est la
réappropriation par les Prolétaires de la plus-value que la bourgeoisie
lui extorque.
--
Et c'est ainsi que MELMOTH est infiniment Grand !
Sauf si on s'appelle Houellebecq ou Nothomb, les droits sont toujours dérisoires. Genre 4% sur un roman.
C'est une anomalie les droits doivent toujours être supérieurs.Ami d'éditeurs comme J.D.Belfond, je connais quand même les prix. Il reste qu'effectivement les pratiques modernes du copyright des anglo saxons confortées par les réseaux, les GAFA et la débandade de la presse écrite ont furieusement affaibli la propriété morale des oeuvres. C'est politique : la multiplication incontrÍ´lée actuelle est une source de désinformation totale des sociétés. Vite relire Orwell...
Je ne comprends pas qu'un ardent situationniste comme Toi défende la propriété intellectuelle. Ou faut-il y avoir une inconséquence du Situationnisme ?
Coquin ! je t'ai parlé de pratiques situationnistes pas d'inscription d'adhérent qui n'existe pas !
Heureusement, c'est par essence impossible.
Ne pas faire de confusion, il n'est nulle part considéré que la propriété intellectuelle est passible de "table rase" comme diraient d'autres que je ne cite pas. Tu m'attaquerais. :-))
Wikipedia : https://fr.wikipedia.org/wiki/Internationale_situationniste#cite_ref-Marelli1998345_7-0 " Les situationnistes ne reconnaissent pas non plus la propriété intellectuelle. Selon la formule qui figure en deuxième de couverture de chaque numéro de la revue : « Tous les textes publiés dans Internationale situationniste peuvent être librement reproduits, traduits ou adaptés, même sans indication d'origine. " Mais évidemment, avant l'avènement du situationnisme, il faut bien faire des concessions Í la bourgeoisie.
Curieux laisserais-tu entendre que Debord ne touchait pas les droits d'auteur pour son livre ?
Je n'en sais rien, mais il faut bien vivre et pour cela, trahir la Cause, hélas !
Tu me fais aussi penser, comme ancien membre de la commission du FSER qui donne encore des subventions aux radios associatives, que depuis 40 ans Radio Libertaire diffuse un spot attribuant ses seules ressources Í ses auditeurs... mais touche le fond de soutien, cet argent sale capitaliste. 8-o
Ce n'est pas l'argent sale capitaliste, Camarade, c'est la réappropriation par les Prolétaires de la plus-value que la bourgeoisie lui extorque. -- Et c'est ainsi que MELMOTH est infiniment Grand !
jdd
Le 17/01/2021 Í 12:16, Benoit a écrit :
À ça il faut ajouter la rédaction d'un maximum d'articles pour exister dans le bruit médiatique de la recherche.
Raoult, sort de ce corps :-)) jdd -- http://dodin.org
Le 17/01/2021 Í 12:16, Benoit a écrit :
À ça il faut ajouter la rédaction d'un maximum d'articles pour exister
dans le bruit médiatique de la recherche.
À ça il faut ajouter la rédaction d'un maximum d'articles pour exister dans le bruit médiatique de la recherche.
Raoult, sort de ce corps :-)) jdd -- http://dodin.org
efji
Le 17/01/2021 Í 12:16, Benoit a écrit :
Le 17 janvier 2021, efji d'un élan de joie s'exprima ainsi :
J'avais un ami qui était directeur de recherche en biologie médicale qui ne faisait plus que du remplissage de formulaires pour obtenir des subventions. Il travaillait dans un bureau et non un labo.
Sauf que ce ne sont pas des "formulaires" :) Ce sont des dossiers avec une partie scientifique et une partie financière. Typiquement une vingtaine de pages.
Combien de temps pour en remplir un ? Combien par an ?
Ce n'est pas "remplir". Il n'y a pas de cases :) Il faut construire un dossier qui répond Í un appel d'offre quelconque, sur un sujet précis ou bien sur pas de sujet (appels dit "blancs"). Combien de temps ? Ca dépend, évidemment on recycle toujours des choses passées. Un bon moment de toute façon. Dans le genre "évaluations" j'ai aussi oublié de parler des évaluations pour des promotions ou des primes, ou pour l'évaluation régulière (tous les 2 ans pour les chercheurs du CNRS). Plus les rapports sur les thèses et les HDR ("Habilitation Í Diriger des Recherches", pas "high dynamic range"...).
À ça il faut ajouter la rédaction d'un maximum d'articles pour exister dans le bruit médiatique de la recherche.
Et pas que la rédaction. Avant de rédiger il faut faire la recherche... -- F.J.
Le 17/01/2021 Í 12:16, Benoit a écrit :
Le 17 janvier 2021, efji d'un élan de joie s'exprima ainsi :
J'avais un ami qui était directeur de recherche en biologie médicale qui
ne faisait plus que du remplissage de formulaires pour obtenir des
subventions. Il travaillait dans un bureau et non un labo.
Sauf que ce ne sont pas des "formulaires" :) Ce sont des dossiers avec
une partie scientifique et une partie financière. Typiquement une
vingtaine de pages.
Combien de temps pour en remplir un ? Combien par an ?
Ce n'est pas "remplir". Il n'y a pas de cases :)
Il faut construire un dossier qui répond Í un appel d'offre quelconque,
sur un sujet précis ou bien sur pas de sujet (appels dit "blancs").
Combien de temps ? Ca dépend, évidemment on recycle toujours des choses
passées. Un bon moment de toute façon.
Dans le genre "évaluations" j'ai aussi oublié de parler des évaluations
pour des promotions ou des primes, ou pour l'évaluation régulière (tous
les 2 ans pour les chercheurs du CNRS). Plus les rapports sur les thèses
et les HDR ("Habilitation Í Diriger des Recherches", pas "high dynamic
range"...).
À ça il faut ajouter la rédaction d'un maximum d'articles pour exister
dans le bruit médiatique de la recherche.
Et pas que la rédaction. Avant de rédiger il faut faire la recherche...
Le 17 janvier 2021, efji d'un élan de joie s'exprima ainsi :
J'avais un ami qui était directeur de recherche en biologie médicale qui ne faisait plus que du remplissage de formulaires pour obtenir des subventions. Il travaillait dans un bureau et non un labo.
Sauf que ce ne sont pas des "formulaires" :) Ce sont des dossiers avec une partie scientifique et une partie financière. Typiquement une vingtaine de pages.
Combien de temps pour en remplir un ? Combien par an ?
Ce n'est pas "remplir". Il n'y a pas de cases :) Il faut construire un dossier qui répond Í un appel d'offre quelconque, sur un sujet précis ou bien sur pas de sujet (appels dit "blancs"). Combien de temps ? Ca dépend, évidemment on recycle toujours des choses passées. Un bon moment de toute façon. Dans le genre "évaluations" j'ai aussi oublié de parler des évaluations pour des promotions ou des primes, ou pour l'évaluation régulière (tous les 2 ans pour les chercheurs du CNRS). Plus les rapports sur les thèses et les HDR ("Habilitation Í Diriger des Recherches", pas "high dynamic range"...).
À ça il faut ajouter la rédaction d'un maximum d'articles pour exister dans le bruit médiatique de la recherche.
Et pas que la rédaction. Avant de rédiger il faut faire la recherche... -- F.J.
efji
Le 17/01/2021 Í 12:37, jdd a écrit :
Le 17/01/2021 Í 12:16, Benoit a écrit :
À ça il faut ajouter la rédaction d'un maximum d'articles pour exister dans le bruit médiatique de la recherche.
Raoult, sort de ce corps :-))
C'est exactement pour ça qu'il n'y a pas besoin d'être spécialiste de la question pour savoir que c'est un escroc : il est matériellement impossible d'avoir 3200 publications de façon honnête. Dans un dossier d'évaluation, quand on voit plus de 200 publis on trouve déjÍ ça louche. -- F.J.
Le 17/01/2021 Í 12:37, jdd a écrit :
Le 17/01/2021 Í 12:16, Benoit a écrit :
À ça il faut ajouter la rédaction d'un maximum d'articles pour exister
dans le bruit médiatique de la recherche.
Raoult, sort de ce corps :-))
C'est exactement pour ça qu'il n'y a pas besoin d'être spécialiste de la
question pour savoir que c'est un escroc : il est matériellement
impossible d'avoir 3200 publications de façon honnête. Dans un dossier
d'évaluation, quand on voit plus de 200 publis on trouve déjÍ ça louche.
À ça il faut ajouter la rédaction d'un maximum d'articles pour exister dans le bruit médiatique de la recherche.
Raoult, sort de ce corps :-))
C'est exactement pour ça qu'il n'y a pas besoin d'être spécialiste de la question pour savoir que c'est un escroc : il est matériellement impossible d'avoir 3200 publications de façon honnête. Dans un dossier d'évaluation, quand on voit plus de 200 publis on trouve déjÍ ça louche. -- F.J.