Bah, ça ne prouve pas que l'écran soit bien calibré, c'est le minimum que
l'on peut demander. Au boulot j'ai un bi-écran CRT: un a une superbe dérive
verte, l'autre une adorable dérive magenta. L'horreur colorimétrique :-).
Néanmoins, les deux affichent correctement sans sourciller la gamme de
niveaux de gris (enfin, gris, il faut le dire vite).
Bah, ça ne prouve pas que l'écran soit bien calibré, c'est le minimum que
l'on peut demander. Au boulot j'ai un bi-écran CRT: un a une superbe dérive
verte, l'autre une adorable dérive magenta. L'horreur colorimétrique :-).
Néanmoins, les deux affichent correctement sans sourciller la gamme de
niveaux de gris (enfin, gris, il faut le dire vite).
Bah, ça ne prouve pas que l'écran soit bien calibré, c'est le minimum que
l'on peut demander. Au boulot j'ai un bi-écran CRT: un a une superbe dérive
verte, l'autre une adorable dérive magenta. L'horreur colorimétrique :-).
Néanmoins, les deux affichent correctement sans sourciller la gamme de
niveaux de gris (enfin, gris, il faut le dire vite).
Non, je regrette, mais c'est justement pour ça qu'ils ont été fait au
contraire. Pour pouvoir changer facilement de config sans s'emmerder à
chaque fois (il faut évidemment s'emmerder au début, pour les
élaborer).
Non, je regrette, mais c'est justement pour ça qu'ils ont été fait au
contraire. Pour pouvoir changer facilement de config sans s'emmerder à
chaque fois (il faut évidemment s'emmerder au début, pour les
élaborer).
Non, je regrette, mais c'est justement pour ça qu'ils ont été fait au
contraire. Pour pouvoir changer facilement de config sans s'emmerder à
chaque fois (il faut évidemment s'emmerder au début, pour les
élaborer).
JmG wrote:
Oui et non.
Je lui demande bien d'utiliser le profil Adobe RGB 1998 mais je laisse
l'imprimante déterminer les couleurs, avec un rendu perceptuel
Arrrggggh !!!! :-)
Ensuite, je règle le driver (et non pas le profil) de l'imprimante en
fonction du papier que j'utilise, oui, et je laisse tous les réglages
"encres", par défaut (valeurs moyennes partout).
Re-Arrrggggh !!!! :-)
Bon, je veux pas dire, mais nul besoin d'utiliser un profil ICC pour
procéder ainsi.
JmG wrote:
Oui et non.
Je lui demande bien d'utiliser le profil Adobe RGB 1998 mais je laisse
l'imprimante déterminer les couleurs, avec un rendu perceptuel
Arrrggggh !!!! :-)
Ensuite, je règle le driver (et non pas le profil) de l'imprimante en
fonction du papier que j'utilise, oui, et je laisse tous les réglages
"encres", par défaut (valeurs moyennes partout).
Re-Arrrggggh !!!! :-)
Bon, je veux pas dire, mais nul besoin d'utiliser un profil ICC pour
procéder ainsi.
JmG wrote:
Oui et non.
Je lui demande bien d'utiliser le profil Adobe RGB 1998 mais je laisse
l'imprimante déterminer les couleurs, avec un rendu perceptuel
Arrrggggh !!!! :-)
Ensuite, je règle le driver (et non pas le profil) de l'imprimante en
fonction du papier que j'utilise, oui, et je laisse tous les réglages
"encres", par défaut (valeurs moyennes partout).
Re-Arrrggggh !!!! :-)
Bon, je veux pas dire, mais nul besoin d'utiliser un profil ICC pour
procéder ainsi.
Jean-Claude Ghislain wrote:
Il y a encore du chemin à parcourir pour faire passer la bonne parole
de la gestion colorimétrique...
:-))
Quelque part je suis quand même épaté par les bricolages inattendus de notre
ami JmG :-)
Jean-Claude Ghislain wrote:
Il y a encore du chemin à parcourir pour faire passer la bonne parole
de la gestion colorimétrique...
:-))
Quelque part je suis quand même épaté par les bricolages inattendus de notre
ami JmG :-)
Jean-Claude Ghislain wrote:
Il y a encore du chemin à parcourir pour faire passer la bonne parole
de la gestion colorimétrique...
:-))
Quelque part je suis quand même épaté par les bricolages inattendus de notre
ami JmG :-)
JmG wrote:jean-daniel dodin wrote:en fait, je ne vois qu'une solution efficace: sur chaque
page insérer la mire n&b avec laquelle on a calibré ses
photos
Comme toute impression qui se respecte, en offset, par exemple.
tout à fait :-) mais en offset le client ne le voit pas :-)
JmG wrote:
jean-daniel dodin <jdanield@dodin.org> wrote:
en fait, je ne vois qu'une solution efficace: sur chaque
page insérer la mire n&b avec laquelle on a calibré ses
photos
Comme toute impression qui se respecte, en offset, par exemple.
tout à fait :-) mais en offset le client ne le voit pas :-)
JmG wrote:jean-daniel dodin wrote:en fait, je ne vois qu'une solution efficace: sur chaque
page insérer la mire n&b avec laquelle on a calibré ses
photos
Comme toute impression qui se respecte, en offset, par exemple.
tout à fait :-) mais en offset le client ne le voit pas :-)
Mon écran étant "génériquement" calé sur Adobe RGB 1998, donc.
je ne vois vraiment pas de problème...
Simplement que Adobe RGB 1998 est un espace colorimétrique de travail et
pas un profil de périphérique...
Mon écran étant "génériquement" calé sur Adobe RGB 1998, donc.
je ne vois vraiment pas de problème...
Simplement que Adobe RGB 1998 est un espace colorimétrique de travail et
pas un profil de périphérique...
Mon écran étant "génériquement" calé sur Adobe RGB 1998, donc.
je ne vois vraiment pas de problème...
Simplement que Adobe RGB 1998 est un espace colorimétrique de travail et
pas un profil de périphérique...
Sauf que, comme je l'indique depuis le début, je vois bien toutes les
photos affichées dont nous parlons,
Qu'en sais-tu ? Comment sais-tu comment l'auteur voudrait qu'elle soient
vues ? Comment sais-tu comment elles apparaissent sur l'écran de l'auteur ?
Par ailleurs, sur la gamme en niveau de gris présentée en parallèle,
je vois -aussi- toutes les nuances, sans soucis.
Bah, ça ne prouve pas que l'écran soit bien calibré,
Mon écran étant "génériquement" calé sur Adobe RGB 1998, donc.
je ne vois vraiment pas de problème...
Moi si. Un écran "génériquement calé sur Adobe RGB 1998", ça ne veut rien
dire en gestion des couleurs.
Néanmoins, pour ceux qui nous lisent, il ne faut pas occulter les
inconvénients de cette façon de faire:
-- le jour où tu voudras imprimer sur une autre imprimante ou chez un autre
imprimeur sur du matériel différent, tu devras te refaire des réglages
écrans en fonction de ce nouveau matériel
-- les fichiers que tu crées ainsi sont très dépendants de ton
périphérique-cible de sortie.
Les sortir ensuite sur un autre périphérique
peut demander une réoptimisation relativement importante.
-- si tu diffuses des images sur le web, elles ne s'afficheront pas
nécessairement correctement chez quelqu'un qui de son côté a pourtant fait
une calibration et un profilage dans les règles de l'art.
Autant de problèmes qui sont réglés en grande partie (pas totalement, c'est
vrai) si par contre on se conforme totalement à la gestion des couleurs ICC.
Enfin, comme je te l'ai déjà dit, toi tu sais peut-être ce que tu fais en
utilisant les profils de cette façon "détournée" et peu orthodoxe, mais ton
discours est parfait pour embrouiller le novice qui a déjà bien du mal à
comprendre comment fonctionne la gestion des couleurs par profils ICC et
comment l'utiliser de façon "orthodoxe" :-)
Sauf que, comme je l'indique depuis le début, je vois bien toutes les
photos affichées dont nous parlons,
Qu'en sais-tu ? Comment sais-tu comment l'auteur voudrait qu'elle soient
vues ? Comment sais-tu comment elles apparaissent sur l'écran de l'auteur ?
Par ailleurs, sur la gamme en niveau de gris présentée en parallèle,
je vois -aussi- toutes les nuances, sans soucis.
Bah, ça ne prouve pas que l'écran soit bien calibré,
Mon écran étant "génériquement" calé sur Adobe RGB 1998, donc.
je ne vois vraiment pas de problème...
Moi si. Un écran "génériquement calé sur Adobe RGB 1998", ça ne veut rien
dire en gestion des couleurs.
Néanmoins, pour ceux qui nous lisent, il ne faut pas occulter les
inconvénients de cette façon de faire:
-- le jour où tu voudras imprimer sur une autre imprimante ou chez un autre
imprimeur sur du matériel différent, tu devras te refaire des réglages
écrans en fonction de ce nouveau matériel
-- les fichiers que tu crées ainsi sont très dépendants de ton
périphérique-cible de sortie.
Les sortir ensuite sur un autre périphérique
peut demander une réoptimisation relativement importante.
-- si tu diffuses des images sur le web, elles ne s'afficheront pas
nécessairement correctement chez quelqu'un qui de son côté a pourtant fait
une calibration et un profilage dans les règles de l'art.
Autant de problèmes qui sont réglés en grande partie (pas totalement, c'est
vrai) si par contre on se conforme totalement à la gestion des couleurs ICC.
Enfin, comme je te l'ai déjà dit, toi tu sais peut-être ce que tu fais en
utilisant les profils de cette façon "détournée" et peu orthodoxe, mais ton
discours est parfait pour embrouiller le novice qui a déjà bien du mal à
comprendre comment fonctionne la gestion des couleurs par profils ICC et
comment l'utiliser de façon "orthodoxe" :-)
Sauf que, comme je l'indique depuis le début, je vois bien toutes les
photos affichées dont nous parlons,
Qu'en sais-tu ? Comment sais-tu comment l'auteur voudrait qu'elle soient
vues ? Comment sais-tu comment elles apparaissent sur l'écran de l'auteur ?
Par ailleurs, sur la gamme en niveau de gris présentée en parallèle,
je vois -aussi- toutes les nuances, sans soucis.
Bah, ça ne prouve pas que l'écran soit bien calibré,
Mon écran étant "génériquement" calé sur Adobe RGB 1998, donc.
je ne vois vraiment pas de problème...
Moi si. Un écran "génériquement calé sur Adobe RGB 1998", ça ne veut rien
dire en gestion des couleurs.
Néanmoins, pour ceux qui nous lisent, il ne faut pas occulter les
inconvénients de cette façon de faire:
-- le jour où tu voudras imprimer sur une autre imprimante ou chez un autre
imprimeur sur du matériel différent, tu devras te refaire des réglages
écrans en fonction de ce nouveau matériel
-- les fichiers que tu crées ainsi sont très dépendants de ton
périphérique-cible de sortie.
Les sortir ensuite sur un autre périphérique
peut demander une réoptimisation relativement importante.
-- si tu diffuses des images sur le web, elles ne s'afficheront pas
nécessairement correctement chez quelqu'un qui de son côté a pourtant fait
une calibration et un profilage dans les règles de l'art.
Autant de problèmes qui sont réglés en grande partie (pas totalement, c'est
vrai) si par contre on se conforme totalement à la gestion des couleurs ICC.
Enfin, comme je te l'ai déjà dit, toi tu sais peut-être ce que tu fais en
utilisant les profils de cette façon "détournée" et peu orthodoxe, mais ton
discours est parfait pour embrouiller le novice qui a déjà bien du mal à
comprendre comment fonctionne la gestion des couleurs par profils ICC et
comment l'utiliser de façon "orthodoxe" :-)
JmG wrote:
Pourquoi pas. Mais pour ne pas embrouiller un sujet déjà complexe à
la base, il faut quand même souligner qu'il s'agit là d'une
utilisation détournée des profils ICC.
Non, je regrette, mais c'est justement pour ça qu'ils ont été fait au
contraire.
Pour pouvoir changer facilement de config sans s'emmerder à chaque
fois (il faut évidemment s'emmerder au début, pour les élaborer).
Ah non, pas du tout, mais alors pas du tout. Et là je suis formel :-).
Ils ont été fait pour que tous les périphériques puissent "dialoguer" entre
eux de façon presque transparente pour l'utilisateur,
chacun possédant un
profil unique décrivant son espace colorimétrique et qui ne dépend des
autres périphériques.
Avec eux, je peux envoyer un fichier à n'importe qui avec une certitude
raisonnable sur ce que sera le résultat,
même si je ne sais pas précisément
sur quel matériel il va être imprimé.
chacun possédant un
profil unique décrivant son espace colorimétrique et qui ne dépend des
autres périphériques.
-----FIN DE CITATION------
Ce qui n'est pas possible avec ta
méthode.
Mais de toutes façons... une utilisation "détournée", ça ne veut rien
dire. :)
ben si.
JmG wrote:
Pourquoi pas. Mais pour ne pas embrouiller un sujet déjà complexe à
la base, il faut quand même souligner qu'il s'agit là d'une
utilisation détournée des profils ICC.
Non, je regrette, mais c'est justement pour ça qu'ils ont été fait au
contraire.
Pour pouvoir changer facilement de config sans s'emmerder à chaque
fois (il faut évidemment s'emmerder au début, pour les élaborer).
Ah non, pas du tout, mais alors pas du tout. Et là je suis formel :-).
Ils ont été fait pour que tous les périphériques puissent "dialoguer" entre
eux de façon presque transparente pour l'utilisateur,
chacun possédant un
profil unique décrivant son espace colorimétrique et qui ne dépend des
autres périphériques.
Avec eux, je peux envoyer un fichier à n'importe qui avec une certitude
raisonnable sur ce que sera le résultat,
même si je ne sais pas précisément
sur quel matériel il va être imprimé.
chacun possédant un
profil unique décrivant son espace colorimétrique et qui ne dépend des
autres périphériques.
-----FIN DE CITATION------
Ce qui n'est pas possible avec ta
méthode.
Mais de toutes façons... une utilisation "détournée", ça ne veut rien
dire. :)
ben si.
JmG wrote:
Pourquoi pas. Mais pour ne pas embrouiller un sujet déjà complexe à
la base, il faut quand même souligner qu'il s'agit là d'une
utilisation détournée des profils ICC.
Non, je regrette, mais c'est justement pour ça qu'ils ont été fait au
contraire.
Pour pouvoir changer facilement de config sans s'emmerder à chaque
fois (il faut évidemment s'emmerder au début, pour les élaborer).
Ah non, pas du tout, mais alors pas du tout. Et là je suis formel :-).
Ils ont été fait pour que tous les périphériques puissent "dialoguer" entre
eux de façon presque transparente pour l'utilisateur,
chacun possédant un
profil unique décrivant son espace colorimétrique et qui ne dépend des
autres périphériques.
Avec eux, je peux envoyer un fichier à n'importe qui avec une certitude
raisonnable sur ce que sera le résultat,
même si je ne sais pas précisément
sur quel matériel il va être imprimé.
chacun possédant un
profil unique décrivant son espace colorimétrique et qui ne dépend des
autres périphériques.
-----FIN DE CITATION------
Ce qui n'est pas possible avec ta
méthode.
Mais de toutes façons... une utilisation "détournée", ça ne veut rien
dire. :)
ben si.
Depuis le début de ma carrière professionnelle j'ai connu diverses
époques...
L'époque où il n'existait aucun type de mémoire, il fallait
régulièrement tout reconfigurer, on avait bien sûr un petit carnet où
l'on notait le plus d'infos possible.
Puis il y eu diverses mémoires
électroniques, je me rappelle de barrettes d'ajustables (petits
potentiomètres) qui permettaient de calibrer une machine, on disposait
de plusieurs barrettes que l'on pouvait permuter, c'était une forme
rudimentaire de mémoire, mais ça fonctionnait bien. Puis ce fut la vague
informatique et l'on pouvait sauvegarder des "Preset", c'était
bien pratique, mais il fallait toujours plus de canaux, plus de mémoire,
plus de...
Puis est arrivée la gestion avancée de la couleur
et le dialogue entre
les différents périphériques. Plus besoin de sauvegarder des "Preset" à
tour de bras, chaque périphérique a sa petite carte d'identité et peut
dire aux autres qui il est et comment il se comporte. Si le système est
bien installé et bien que les processus mis en oeuvre soient complexes,
c'est transparent pour l'utilisateur.
De ton côté, tu nous dis que tu utilises la gestion avancée de la
couleur,
mais tu fonctionnes comme à l'époque des "Preset".
En soi ce
n'est pas un problème, tu ne t'en plains d'ailleurs pas, mais ce qui me
chiffonne, c'est que tu ne sembles pas t'en rendre compte.
Depuis le début de ma carrière professionnelle j'ai connu diverses
époques...
L'époque où il n'existait aucun type de mémoire, il fallait
régulièrement tout reconfigurer, on avait bien sûr un petit carnet où
l'on notait le plus d'infos possible.
Puis il y eu diverses mémoires
électroniques, je me rappelle de barrettes d'ajustables (petits
potentiomètres) qui permettaient de calibrer une machine, on disposait
de plusieurs barrettes que l'on pouvait permuter, c'était une forme
rudimentaire de mémoire, mais ça fonctionnait bien. Puis ce fut la vague
informatique et l'on pouvait sauvegarder des "Preset", c'était
bien pratique, mais il fallait toujours plus de canaux, plus de mémoire,
plus de...
Puis est arrivée la gestion avancée de la couleur
et le dialogue entre
les différents périphériques. Plus besoin de sauvegarder des "Preset" à
tour de bras, chaque périphérique a sa petite carte d'identité et peut
dire aux autres qui il est et comment il se comporte. Si le système est
bien installé et bien que les processus mis en oeuvre soient complexes,
c'est transparent pour l'utilisateur.
De ton côté, tu nous dis que tu utilises la gestion avancée de la
couleur,
mais tu fonctionnes comme à l'époque des "Preset".
En soi ce
n'est pas un problème, tu ne t'en plains d'ailleurs pas, mais ce qui me
chiffonne, c'est que tu ne sembles pas t'en rendre compte.
Depuis le début de ma carrière professionnelle j'ai connu diverses
époques...
L'époque où il n'existait aucun type de mémoire, il fallait
régulièrement tout reconfigurer, on avait bien sûr un petit carnet où
l'on notait le plus d'infos possible.
Puis il y eu diverses mémoires
électroniques, je me rappelle de barrettes d'ajustables (petits
potentiomètres) qui permettaient de calibrer une machine, on disposait
de plusieurs barrettes que l'on pouvait permuter, c'était une forme
rudimentaire de mémoire, mais ça fonctionnait bien. Puis ce fut la vague
informatique et l'on pouvait sauvegarder des "Preset", c'était
bien pratique, mais il fallait toujours plus de canaux, plus de mémoire,
plus de...
Puis est arrivée la gestion avancée de la couleur
et le dialogue entre
les différents périphériques. Plus besoin de sauvegarder des "Preset" à
tour de bras, chaque périphérique a sa petite carte d'identité et peut
dire aux autres qui il est et comment il se comporte. Si le système est
bien installé et bien que les processus mis en oeuvre soient complexes,
c'est transparent pour l'utilisateur.
De ton côté, tu nous dis que tu utilises la gestion avancée de la
couleur,
mais tu fonctionnes comme à l'époque des "Preset".
En soi ce
n'est pas un problème, tu ne t'en plains d'ailleurs pas, mais ce qui me
chiffonne, c'est que tu ne sembles pas t'en rendre compte.
j'ai quelques doutes sur le fait qu'il ait un gamut plus large
que sRGB, en tous cas au point que ça voit clairement.
Je t'assure que c'est flagrant, pourtant!
Ya aucun doute, si je change le profil, on voit nettement l'écart.
Que l'image
change significativement quand tu bascules le profil écran de sRGB à
Adobe98 est normal et ne dit rien sur le gamut réel de l'écran.
???
Le gamut, c'est la table de couleurs.
de
mélanger la méthode du circuit fermé avec un système de gestion des
couleurs (profils ICC).
Mon circuit n'est pas fermé, non... justement!
Sinon, en effet, je n'aurais pas besoin de changer de profil (je parle
pour la quadri, là, pas pour les jeux) selon les besoins évidemment!
Le circuit fermé peut se passer totalement
d'un tel système, et je ne vois pas ce que ça t'apporte, à part
comme je l'ai dit l'utilisation détournée des profils afin de pouvo ir
modifier l'apparence de l'affichage écran par une simple manip
logicielle sans toucher les réglages.
Ben oui... c'est bien ça que je fais.
Je ne sais pas pourquoi tu focalises sur mon circuit qui serait fermé:
il ne l'est pas et je n'ai jamais dit qu'il l'était, ou quoi...
j'ai quelques doutes sur le fait qu'il ait un gamut plus large
que sRGB, en tous cas au point que ça voit clairement.
Je t'assure que c'est flagrant, pourtant!
Ya aucun doute, si je change le profil, on voit nettement l'écart.
Que l'image
change significativement quand tu bascules le profil écran de sRGB à
Adobe98 est normal et ne dit rien sur le gamut réel de l'écran.
???
Le gamut, c'est la table de couleurs.
de
mélanger la méthode du circuit fermé avec un système de gestion des
couleurs (profils ICC).
Mon circuit n'est pas fermé, non... justement!
Sinon, en effet, je n'aurais pas besoin de changer de profil (je parle
pour la quadri, là, pas pour les jeux) selon les besoins évidemment!
Le circuit fermé peut se passer totalement
d'un tel système, et je ne vois pas ce que ça t'apporte, à part
comme je l'ai dit l'utilisation détournée des profils afin de pouvo ir
modifier l'apparence de l'affichage écran par une simple manip
logicielle sans toucher les réglages.
Ben oui... c'est bien ça que je fais.
Je ne sais pas pourquoi tu focalises sur mon circuit qui serait fermé:
il ne l'est pas et je n'ai jamais dit qu'il l'était, ou quoi...
j'ai quelques doutes sur le fait qu'il ait un gamut plus large
que sRGB, en tous cas au point que ça voit clairement.
Je t'assure que c'est flagrant, pourtant!
Ya aucun doute, si je change le profil, on voit nettement l'écart.
Que l'image
change significativement quand tu bascules le profil écran de sRGB à
Adobe98 est normal et ne dit rien sur le gamut réel de l'écran.
???
Le gamut, c'est la table de couleurs.
de
mélanger la méthode du circuit fermé avec un système de gestion des
couleurs (profils ICC).
Mon circuit n'est pas fermé, non... justement!
Sinon, en effet, je n'aurais pas besoin de changer de profil (je parle
pour la quadri, là, pas pour les jeux) selon les besoins évidemment!
Le circuit fermé peut se passer totalement
d'un tel système, et je ne vois pas ce que ça t'apporte, à part
comme je l'ai dit l'utilisation détournée des profils afin de pouvo ir
modifier l'apparence de l'affichage écran par une simple manip
logicielle sans toucher les réglages.
Ben oui... c'est bien ça que je fais.
Je ne sais pas pourquoi tu focalises sur mon circuit qui serait fermé:
il ne l'est pas et je n'ai jamais dit qu'il l'était, ou quoi...