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Quand on veut s'attaquer aux insectes : on s'équipe.

92 réponses
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benoit
Bonjour,


Ayant de grosses abeilles solitaires noires dans le coin, j'ai décidé
d'attaquer ce sujet avec du focus stacking sans flinguer la bestiole. La
raison première est que lorsqu'un insecte trépasse, il se recroqueville.
Dans ce cas on peut essayer de le redresser en l'humidifiant pour
ensuite le laisser sécher dans une position « normale ». i) Je n'ai pas
de microscope ni d'aiguille assez fine pour ce faire et ii) je n'ai pas
les doigts assez précis.

Un insecte au frigo se positionne « normalement » debout et passse en
mode dodo. Si on le met dans le congélo on a une boule, si on le sort du
frigo : il se réveille en quelques secondes et se casse il faut avouer
qu'il fait chaud ces derniers temps..

Donc, le gars Benoît se lance dans le MacGyverisme :

Matériel :
1. Transormer un filet à crevette (j'ai) en filet à papillon avec du
voilage, que je n'ai pas encore, mais la boutique rouvre) ;
2. Une fois le sujet attraper, le mettre dans un bocal en verre*
retourné sur une plaque de verre anti-reflet ;
3. Faire un paquet de glaçons dans le congélo ;
4. Trouver une boîte isolante (polystyrène expansé...) ;
5. Éclairage le moins calorifique que possible.

Lieux :
1. Le jardin pour chopper la bête ;
2. Le frigo pour l'endormir ;
3. Installer le studio dans un lieu le plus frais possible (la cave) et
le moins d'aération, vent, qui soit.

Actions :
1. Choper la bête ;
2. Quelques heures au frigo ;
3. Remplir la boîte isolante de glaçons à -25°C ;
4. Poser la bête sur sa plaque au ras des glaçons ;
5. Shooter, shooter, shooter...
6. Amener le matériel dans le jardin et la bidule s'envole.

Commentaires ? Conseils à ce sacré Benoît qui réinvente l'eau chaude ?


* Plus le bocal est petit, plus l'effet est rapide puisque l'air est un
excellent isolant thermique.

--
Vie : n.f. maladie mortelle sexuellement transmissible
Benoît chez leraillez.com

10 réponses

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Alf92
efji (le 28/05/2020 à 14:41:45) :
* Pour un même cadrage du sujet (un même grandissement), à diaphragme
donné, la pdc est d'autant plus petite que l'on est loin du sujet (et
donc que l'on utilise une focale plus longue pour obtenir le même
cadrage). C'est pour cela que l'on fait des portraits avec fons flou au
200mm plutôt qu'au 20mm.

mais non voyons tu te trompes complètement : on ne fait pas des
portraits au 20mm parceque ça fait un gros nez
pfff...
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benoit
Thierry Houx wrote:
Le 28/05/2020 à 12:42, Benoît a écrit :
Thierry Houx wrote:
Avant d'en arriver là, sans torturer de bête, pourquoi pas essayer de
shooter en proxy avec un bon zoom, ça donnera un (léger) plus de
profondeur de champ ?
Sinon, le stacking ça marche bien avec les fleurs.

Le but c'est ça :
https://www.cjoint.com/doc/19_06/IFCbXASJ5Zv_2019-06-28-02-24-06.jpg
Mais « debout ».
OK, je n'envisageais pas aussi gros.
Pour y arriver, il faut une grande quantité de photos, 15 à 20 au moins.

Exactement.
Même en ayant un appareil rapide, il faut bien 2s d'immobilité: Est-ce
possible en ayant refroidi la "bête" ?

Pas 2s, mais quelques minutes. Première prise de vue bien au-dessus et
ensuite on change la mise au point par modification de la distance
appareil-sujet via le rail supportant l'objectif : un tour de molette
égalant un millimètre, j'avance par quart de tour jusqu'à ce que le fond
soit flou. Délai de 5s entre l'appui sur le bouton et la prise de vue
pour éviter tous mouvements de l'appareil.
Matériel :
- Samyang Macro 2.8-100 d'occasion monture Canon EF avec adaptateur Sony
FE (300¤) ;
- Trépied ManFroto en acier lourd, lourd, lourd ;
- Éclairage avec un kit de parapluies et ampoules :
<https://www.amazon.fr/Photography-Backdrop-Lighting-FOSITAN-Background/dp/B07PRJN5G6>.
Je remplacerai ça par des LEDs un de ces jours puisque les prix
baissent.
- Rail <https://www.aliexpress.com/item/4000722470037.html>
Éviter le <https://www.aliexpress.com/item/32998427992.html> sauf avec
un appareil faisant quelques grammes, c'est 100% plastique alors que le
précédent est en métal* ;
- Fausse batterie connectée sur le secteur.
Maintenant j'ai une vitre anti-reflet pour séparer le sujet du fond et
ne pas avoir à faire de retouches pour l'effacer, mais gérer moi-même
les ombres en post-production.
Pour garder la bête froide, l'idée est de déposer la vitre juste
au-dessus d'un paquet de glaçons sortant du congélateur. Un thermomètre
à côté du sujet pour s'assurer que la température reste au-dessus de
0°C, mais pas trop, et bosser dans la cave où il fait dans les 15°C
plutôt que dehors. En plus cela permet de mieux gérer l'éclairage en
n'ayant pas de lumière naturelle.
Sinon, aujourd'hui je regarde si avec douceur je peux déployer un
bourdon que j'ai. Technique envisagée : humidifié le bourdon en prenant
un paquet de coton bien mouillé avec un tissu très fin dessus. Puis le
jeu de pinces à échardes, les tournevis de précision et la loupe
d'horloger pour le déplier et voir ce qui va se passer quand il va
sécher.
* En fait je m'en sers pour déplacer le sujet quand je fais du focus
stacking plus pano (cf ma souris et mon crapeau). Je sais que
normalement il faut faire pivoter l'appareil, mais là, l'angle est
tellement faible entre deux images et le sujet très plat ; le logiciel
de pano ne fait pas de bouillie.
Ce qui est « drôle » c'est que pour la queue de la souris, il y a
tellement peu de repères que les logiciels de pano partent en vrille.
Solution : un joli mètre ruban jaune le long de la queue ; avec les
traits de longueurs différentes (1mm, 5mm, 1cm) et les nombres, le
logiciel a tout ce dont il a besoin.
--
Vie : n.f. maladie mortelle sexuellement transmissible
Benoît chez leraillez.com
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benoit
Almen wrote:
Les abeilles restent en ruche à la température optimale pour le couvain
d'environ 35°C ; elles ventilent avec leurs ailes s'il fait trop chaud
et contractent leurs muscles s'il fait trop froid.
Donc ce n'est pas -5/-7°C la nuit où de plus elles sont en ruche et
encore moins des -25°C des glaçons.

Je parlais de +5/7°, désolé, je l'ai mal rédigé.
Pour le focus stacking, j'en ai fait non pas sur des abeilles en vol,
bien sûr, mais sur des abeilles ou insectes posés et sans les
frigorifier ; il y a énormément de déchets de photos mais on y arrive
tout de même et sans traumatiser ces animaux bienfaisants.

Je ne sais pas faire une vingtaine de prises de vues à la main avec des
modifications micrométriques de la distance. En plus, avec mon FF et le
sujet en quasi plein cadre, il faut qu'il soit aussi au bon endroit pour
ne pas avoir à déplacer le matériel et lui faire peur.
Par curiosité, tu as quoi comme taille de capteur et optique ? Moi,
c'est un Sony A7 II + Samyang 100mm fermé à F11 ; le but étant des
tirages avec un sujet qui fait 80cm.
Ce qui est drôle, c'est que les gens n'ont pas peur d'une guêpe de cette
taille ; ils l'aiment.
--
Vie : n.f. maladie mortelle sexuellement transmissible
Benoît chez leraillez.com
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Stephane Legras-Decussy
Le 28/05/2020 09:24, efji a écrit :
Le 28/05/2020 à 08:58, Ghost-Raider a écrit :
Le but de toutes ces manœuvres compliquées semble être d'immobiliser
l'abeille sans la tuer pour pouvoir en prendre une photographie nette
en empilant plusieurs photos prises à des distances différentes.

Si j'ai bien compris, le but n'est pas d'être gentil avec la bestiole
mais qu'elle ait un look agréable et non recroquevillé comme un cadavre.
Je n'y connais absolument rien en bestioles, mais il me semble que c'est
un peu optimiste. Personnellement, si on me met à poil dans un
congélateur, je ne pense pas garder mon port altier qui exhibe un corps
d'athlète parfait, mais plutôt me recroqueviller en boule toute moche.
il n'y a pas de raison que l'abeille n'agisse pas comme moi.

j'ai capturé des centaines d'insectes dans les 80s...
si on veut précisément un insecte, il faut un "filet à papillon',
en fait un cerceau metal avec un cone en soie.
Ensuite un bocal en verre avec au fond un disque en feutrine imbibé de
quelques gouttes d'alcool à 70° pour les tuer.
ensuite, dans la même journée, on sort les insectes et on les "étale".
Pas besoin de les humidifier.
c'est à dire avec des epingles fines on déploie les pattes / antennes /
ailes dans une jolie position, sur une plaque de polystyrène ou de
balsa... ensuite on laisse sécher 2 semaines.
on enlève les épingles et voilà.
il suffit donc à Benoit de se procurer une boite d'epingles fines,
le reste est très facile.
Avatar
Stephane Legras-Decussy
Le 28/05/2020 11:34, Thierry Houx a écrit :
Le 28/05/2020 à 08:44, efji a écrit :
Le 28/05/2020 à 08:25, Thierry Houx a écrit :
Avec un objectif macro, la profondeur de champ est extrêmement limitée.

Le mot "macro" ne modifie pas la profondeur de champ :)
Ce sont juste les lois de la physique.

Bon, je veux bien avoir la comprenette difficile, mais quand un photo
comme celle a de la profondeur de champ, je ne l'ai pas inventée:
https://www.cjoint.com/data/JECjDpUMO7i_-1003214.jpg
Avec mon objectif macro, pour faire la même il me faudra être plus
proche pour le même cadrage, mais la zone nette sera bien plus étroite.
Je sais que le µ4/3 donne plus de profondeur de champ, mais ce n'est pas
la seule cause?

la prof de champ ne dépend QUE :
taille capteur
distance du sujet
focale
diaph
tu peux inventer n'importe quelle formule optique d'objectif, ça ne
changera rien... c'est juste ces 4 paramètres
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Stephane Legras-Decussy
Le 28/05/2020 15:17, Alf92 a écrit :
mais non voyons tu te trompes complètement : on ne fait pas des
portraits au 20mm parceque ça fait un gros nez
pfff...

il a peu près impossible de convaincre un super pro de la photo vendeur
chez Fnac ou Phox, que le gros pif n'a rien à voir avec la focale, mais
juste que tu es près du pif...
Avatar
Thierry Houx
Le 28/05/2020 à 15:59, Benoît a écrit :
Thierry Houx wrote:
Le 28/05/2020 à 12:42, Benoît a écrit :
Thierry Houx wrote:
Avant d'en arriver là, sans torturer de bête, pourquoi pas essayer de
shooter en proxy avec un bon zoom, ça donnera un (léger) plus de
profondeur de champ ?
Sinon, le stacking ça marche bien avec les fleurs.

Le but c'est ça :
https://www.cjoint.com/doc/19_06/IFCbXASJ5Zv_2019-06-28-02-24-06.jpg
Mais « debout ».

OK, je n'envisageais pas aussi gros.
Pour y arriver, il faut une grande quantité de photos, 15 à 20 au moins.

Exactement.
Même en ayant un appareil rapide, il faut bien 2s d'immobilité: Est-ce
possible en ayant refroidi la "bête" ?

Pas 2s, mais quelques minutes. Première prise de vue bien au-dessus et
ensuite on change la mise au point par modification de la distance
appareil-sujet via le rail supportant l'objectif : un tour de molette
égalant un millimètre, j'avance par quart de tour jusqu'à ce que le fond
soit flou. Délai de 5s entre l'appui sur le bouton et la prise de vue
pour éviter tous mouvements de l'appareil.
Matériel :
- Samyang Macro 2.8-100 d'occasion monture Canon EF avec adaptateur Sony
FE (300¤) ;
- Trépied ManFroto en acier lourd, lourd, lourd ;
- Éclairage avec un kit de parapluies et ampoules :
<https://www.amazon.fr/Photography-Backdrop-Lighting-FOSITAN-Background/dp/B07PRJN5G6>.
Je remplacerai ça par des LEDs un de ces jours puisque les prix
baissent.
- Rail <https://www.aliexpress.com/item/4000722470037.html>
Éviter le <https://www.aliexpress.com/item/32998427992.html> sauf avec
un appareil faisant quelques grammes, c'est 100% plastique alors que le
précédent est en métal* ;
- Fausse batterie connectée sur le secteur.
Maintenant j'ai une vitre anti-reflet pour séparer le sujet du fond et
ne pas avoir à faire de retouches pour l'effacer, mais gérer moi-même
les ombres en post-production.
Pour garder la bête froide, l'idée est de déposer la vitre juste
au-dessus d'un paquet de glaçons sortant du congélateur. Un thermomètre
à côté du sujet pour s'assurer que la température reste au-dessus de
0°C, mais pas trop, et bosser dans la cave où il fait dans les 15°C
plutôt que dehors. En plus cela permet de mieux gérer l'éclairage en
n'ayant pas de lumière naturelle.
Sinon, aujourd'hui je regarde si avec douceur je peux déployer un
bourdon que j'ai. Technique envisagée : humidifié le bourdon en prenant
un paquet de coton bien mouillé avec un tissu très fin dessus. Puis le
jeu de pinces à échardes, les tournevis de précision et la loupe
d'horloger pour le déplier et voir ce qui va se passer quand il va
sécher.
* En fait je m'en sers pour déplacer le sujet quand je fais du focus
stacking plus pano (cf ma souris et mon crapeau). Je sais que
normalement il faut faire pivoter l'appareil, mais là, l'angle est
tellement faible entre deux images et le sujet très plat ; le logiciel
de pano ne fait pas de bouillie.
Ce qui est « drôle » c'est que pour la queue de la souris, il y a
tellement peu de repères que les logiciels de pano partent en vrille.
Solution : un joli mètre ruban jaune le long de la queue ; avec les
traits de longueurs différentes (1mm, 5mm, 1cm) et les nombres, le
logiciel a tout ce dont il a besoin.

Je proposais en secondes parce que le boitier (tout du moins les miens)
fait cela automatiquement il suffit de lui dire le pas et le nombre de
clichés que tu veux.
Effectivement, en tout manuel, c'est bien plus long.
Par contre du stacking sur de très gros sujets comme les souris, j'ai
jamais fait, aucune expérience. Vu le matos que tu mets en oeuvre pour
réaliser ça, je doute un jour m'y confronter, mais bravo pour ce travail.
Par contre, une vitre sur des glaçon te causera automatiquement un
problème de condensation.
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efji
Le 28/05/2020 à 16:37, Stephane Legras-Decussy a écrit :
Le 28/05/2020 15:17, Alf92 a écrit :
mais non voyons tu te trompes complètement : on ne fait pas des
portraits au 20mm parceque ça fait un gros nez
pfff...

il a peu près impossible de convaincre un super pro de la photo vendeur
chez Fnac ou Phox, que le gros pif n'a rien à voir avec la focale, mais
juste que tu es près du pif...

Grand classique. De même qu'ils ne veulent pas croire qu'un crop d'un
20mm donne exactement la même perspective qu'un 200mm, et que la notion
"d'aplatissement des plans" n'existe pas.
--
F.J.
Avatar
Pierre Maurette
Stephane Legras-Decussy :
Le 28/05/2020 09:24, efji a écrit :
Le 28/05/2020 à 08:58, Ghost-Raider a écrit :
Le but de toutes ces man½uvres compliquées semble être d'immobiliser
l'abeille sans la tuer pour pouvoir en prendre une photographie nette
en empilant plusieurs photos prises à des distances différentes.

Si j'ai bien compris, le but n'est pas d'être gentil avec la bestiole
mais qu'elle ait un look agréable et non recroquevillé comme un cadavre.
Je n'y connais absolument rien en bestioles, mais il me semble que c'est
un peu optimiste. Personnellement, si on me met à poil dans un
congélateur, je ne pense pas garder mon port altier qui exhibe un corps
d'athlète parfait, mais plutôt me recroqueviller en boule toute moche.
il n'y a pas de raison que l'abeille n'agisse pas comme moi.

j'ai capturé des centaines d'insectes dans les 80s...
si on veut précisément un insecte, il faut un "filet à papillon',
en fait un cerceau metal avec un cone en soie.
Ensuite un bocal en verre avec au fond un disque en feutrine imbibé de
quelques gouttes d'alcool à 70° pour les tuer.

Coma éthylique.
Les Michu savent, eux. Ils utilisent de l'éther occasionnellement, et
de l'acétate d'éthyle s'ils sont motivés.
ensuite, dans la même journée, on sort les insectes et on les "étale".
Pas besoin de les humidifier.
c'est à dire avec des epingles fines on déploie les pattes / antennes /
ailes dans une jolie position, sur une plaque de polystyrène ou de balsa...
ensuite on laisse sécher 2 semaines.
on enlève les épingles et voilà.
il suffit donc à Benoit de se procurer une boite d'epingles fines,
le reste est très facile.

--
Pierre Maurette
Avatar
Ghost-Raider
Le 28/05/2020 à 13:33, Thierry Houx a écrit :
Le 28/05/2020 à 12:42, Benoît a écrit :
Le but c'est ça :
https://www.cjoint.com/doc/19_06/IFCbXASJ5Zv_2019-06-28-02-24-06.jpg
Mais « debout ».

OK, je n'envisageais pas aussi gros.
Pour y arriver, il faut une grande quantité de photos, 15 à 20 au moins.
Même en ayant un appareil rapide, il faut bien 2s d'immobilité: Est-ce
possible en ayant refroidi la "bête" ?

Il court beaucoup de légendes urbaines sur l'empilage.
- il faut des dizaines de photos.
Faux : 3 ou 4 photos suffisent pour un insecte pris en perspective.
- il faut immobiliser l'appareil photo.
Faux : on peut faire des empilages à main levée.
- il faut que les images soient presque identiques.
Faux, les logiciels d'empilage rattrapent des différences de tailles et
de cadrages importantes.
- l'insecte doit être parfaitement immobile.
Faux, le logiciel d'empilage retiendra l'image la plus nette et
négligera les autres.
A titre d'exemple : une araignée bien vivante et bien vive, en empilage
dans son milieu : 4 photos à main levée, très décalées, non recadrées,
et le résultat en haut à droite, non recadré.
https://www.cjoint.com/doc/20_05/JECq4pbZCV6_Araign%C3%A9e-empil%C3%A9e-2.jpg
Nikon D90, 18/200 à 120, 1/200, F8, 400 iso, flash interne en auto,
bonnette Olympus 2,85 dioptries, variation manuelle de mise au point,
logiciel Combine ZP (le meilleur selon moi).
Donc, inutile d'inventer des dispositifs compliqués, d'anesthésier
l'insecte, d'acheter un pied de 10 kilos, un congélateur, un objectif
macro à 2000 euros, sur un boîtier de même prix. Il faut juste faire un
peu attention à ce qu'on fait quand on tourne la bague de mise au point
manuelle avant d'actionner le déclencheur.
--
Et c'est ainsi que MELMOTH est infiniment Grand !
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