Le nombre de photos que je shoote et stock ne fait que grandir bien sur.
Et en raw, ça prend même beaucoup de place! Même avec un "petit" 6MP.
Outre la sélection et passage à la poubelle des choses inintéressantes,
un autre moyen consiste à les sauvegarder dans un autre format. Ce
d'autant que je ne sais pas combien de temps je pourrai ouvrir un RAW!
La question est donc, quel est le meilleur format pour garder tout ça?
Sous-entendu, ce bon vieux jpeg n'est-il pas trop destructif? A l'oeil
comme ça, j'ai pas trop l'impression... Mais c'est mon oeil.
oui, y'a un tas de grands photographes célèbres (et moins célèbres) qui font cliclac et après c'est d'autres qui font tout le boulot... en argentique comme en numérique :)
De la même façon que tout le monde n'est pas auteur, compositeur, interprète.
-- Jean-Claude Ghislain www.grimart.com
oui, y'a un tas de grands photographes célèbres (et moins célèbres)
qui font cliclac et après c'est d'autres qui font tout le boulot... en
argentique comme en numérique :)
De la même façon que tout le monde n'est pas auteur, compositeur,
interprète.
oui, y'a un tas de grands photographes célèbres (et moins célèbres) qui font cliclac et après c'est d'autres qui font tout le boulot... en argentique comme en numérique :)
De la même façon que tout le monde n'est pas auteur, compositeur, interprète.
-- Jean-Claude Ghislain www.grimart.com
Florent
Jean-Claude Ghislain a utilisé son clavier pour écrire :
oui, y'a un tas de grands photographes célèbres (et moins célèbres) qui font cliclac et après c'est d'autres qui font tout le boulot... en argentique comme en numérique :)
De la même façon que tout le monde n'est pas auteur, compositeur, interprète.
Il ne faut pas voir de jugement de valeur dans mon message hein :-)
Jean-Claude Ghislain a utilisé son clavier pour écrire :
oui, y'a un tas de grands photographes célèbres (et moins célèbres) qui
font cliclac et après c'est d'autres qui font tout le boulot... en
argentique comme en numérique :)
De la même façon que tout le monde n'est pas auteur, compositeur, interprète.
Il ne faut pas voir de jugement de valeur dans mon message hein :-)
Jean-Claude Ghislain a utilisé son clavier pour écrire :
oui, y'a un tas de grands photographes célèbres (et moins célèbres) qui font cliclac et après c'est d'autres qui font tout le boulot... en argentique comme en numérique :)
De la même façon que tout le monde n'est pas auteur, compositeur, interprète.
Il ne faut pas voir de jugement de valeur dans mon message hein :-)
Jean-Claude Ghislain
Il ne faut pas voir de jugement de valeur dans mon message hein :-)
Ben dans le mien non plus.
Ceci dit, nous avons chacun nos points forts et nos points faibles, c'est ce qui fait que le travail d'équipe, dans une équipe composée de complémentarité, peut produire des résultats auxquels aucun membre ne pourrait prétendre seul.
Il y a aussi les exceptions, ceux qui font tout de A à Z en faisant aussi bien que l'équipe, tien, ça me fait penser à Mike Oldfield et son Tubular Bells.
-- Jean-Claude Ghislain www.grimart.com
Il ne faut pas voir de jugement de valeur dans mon message hein :-)
Ben dans le mien non plus.
Ceci dit, nous avons chacun nos points forts et nos points faibles,
c'est ce qui fait que le travail d'équipe, dans une équipe composée de
complémentarité, peut produire des résultats auxquels aucun membre ne
pourrait prétendre seul.
Il y a aussi les exceptions, ceux qui font tout de A à Z en faisant
aussi bien que l'équipe, tien, ça me fait penser à Mike Oldfield et son
Tubular Bells.
Il ne faut pas voir de jugement de valeur dans mon message hein :-)
Ben dans le mien non plus.
Ceci dit, nous avons chacun nos points forts et nos points faibles, c'est ce qui fait que le travail d'équipe, dans une équipe composée de complémentarité, peut produire des résultats auxquels aucun membre ne pourrait prétendre seul.
Il y a aussi les exceptions, ceux qui font tout de A à Z en faisant aussi bien que l'équipe, tien, ça me fait penser à Mike Oldfield et son Tubular Bells.
-- Jean-Claude Ghislain www.grimart.com
Florent
Jean-Claude Ghislain vient de nous annoncer :
Il ne faut pas voir de jugement de valeur dans mon message hein :-)
Ben dans le mien non plus.
c'est en me relisant que j'ai cru que...
Il y a aussi les exceptions, ceux qui font tout de A à Z en faisant aussi bien que l'équipe, tien, ça me fait penser à Mike Oldfield et son Tubular Bells.
je fais tout moi-même... j'ai pas les moyens de me payer des boys :) :) :)
Jean-Claude Ghislain vient de nous annoncer :
Il ne faut pas voir de jugement de valeur dans mon message hein :-)
Ben dans le mien non plus.
c'est en me relisant que j'ai cru que...
Il y a aussi les exceptions, ceux qui font tout de A à Z en faisant
aussi bien que l'équipe, tien, ça me fait penser à Mike Oldfield et son
Tubular Bells.
je fais tout moi-même... j'ai pas les moyens de me payer des boys :) :)
:)
Il ne faut pas voir de jugement de valeur dans mon message hein :-)
Ben dans le mien non plus.
c'est en me relisant que j'ai cru que...
Il y a aussi les exceptions, ceux qui font tout de A à Z en faisant aussi bien que l'équipe, tien, ça me fait penser à Mike Oldfield et son Tubular Bells.
je fais tout moi-même... j'ai pas les moyens de me payer des boys :) :) :)
Charles VASSALLO
Jean-Pierre Roche wrote:
Oui un RAW est un fichier, un JPEG ou un TIFF aussi. Et la conclusion c'est quoi ?
Très simple : tous des codages d'image. Aucun n'est plus spécialement «image» qu'un autre
Un informaticien qui n'aurait rien de mieux à faire pourrait très facilement créer un raw à partir d'un jpeg : il suffirait pour ça de simuler une matrice de Bayer de son cru par dessus l'image reconstituée, d'en extraire les rvb lus à travers les «cellules» de la matrice et de les coller dans un fichier dans l'ordre qui lui plaira. [....]
Ca au moins c'est à mourir de rire. Ca me rappelle les gens qui veulent un logiciel qui reconstitue la partition à partir d'un MP3. Va falloir expliquer comme on crée de l'information à partir de rien...
Reprends-toi. Aurais-je dit par mégarde qu'on créait de l'information ?
Evidemment, si on passait aux actes à partir d'un JPEG 8-bit, les images obtenues à partir de ce raw de 2ème génération ne seraient pas aussi bonnes que celles obtenues à partir du vrai raw de départ, parce que la construction du jpeg a fait perdre beaucoup d'informations. Mais il n'y aurait pratiquement pas de différences si on faisait cette tambouille à partir d'un TIFF 16-bit.
Hélas pure hypothèse : le jpeg est bien 8 bits et aucun apn grand public ne fait du tiff 16 bits.
Et alors ? De toute façon, tous ces fichiers sont toujours issus de la numérisation par un capteur, que ce soit dans l'APN ou dans le derawtisateur. Mon fichier TIFF-16 bit peut très bien sortir d'une première dérawtisation. Je dis en substance que ce fichier contient potentiellement toute l'information utile du raw initial, et que ce raw n'est finalement qu'un codage (à peu près) équivalent à celui de notre TIFF hypothétique.
Amha, les différences qu'on peut voir entre un derawtiseur et un autre sont dues essentiellement à la plus ou moins grande habileté des algorithmes de dématriçage. Peu ou prou, ce dématriçage est un rééchantillonage des rvb bruts (en gros, on double la résolution), et on sait bien qu'on n'a pas tout à fait les mêmes résultats en interpolant au plus proche voisin, en bicubique, ou avec des algorithmes fractaux.
Rien à voir : il n'y a pas de rvb bruts puisque le capteur n'est pas rvb. Si ma tante en avait, etc.
Tiens donc ! Bien sûr que si, ça a à voir. Je ne sais pas ce que ta tante vient faire ici et j'ai l'impression navrante que tu ne cherches vraiment pas à comprendre.
Cette liberté [aussi bien face à un raw qu'un jpeg] n'est bridée que par les possibilités limitées des moyens à disposition. Par exemple, on n'a pas actuellement la possibilité de modifier **proprement** la température de couleur d'un JPEG, alors qu'on le peut dans un derawtiseur. C'est juste une limitation du moment. Si le besoin s'en faisait sentir assez fort, quelqu'un saurait très bien faire un filtre ad hoc.
Pas du tout. Ou alors il faut inventer des données.
Là encore, ton affirmation péremptoire n'est pas recevable. Tu ne devrais pas t'avancer sur des domaines que tu connais mal. Je m'incline volontiers devant tes 40 ans de photographe et ta grande expérience pratique sur une foule d'appareils et de logiciels, mais je me redresse aussi sec quand tu sors de tes pompes. Cette dernière réponse laisse entrevoir quelques lacunes du côté des mathématiques de la couleur.
Charles
Jean-Pierre Roche wrote:
Oui un RAW est un fichier, un JPEG ou un TIFF aussi. Et la conclusion
c'est quoi ?
Très simple : tous des codages d'image. Aucun n'est plus spécialement
«image» qu'un autre
Un informaticien qui n'aurait rien de mieux à faire pourrait très
facilement créer un raw à partir d'un jpeg : il suffirait pour ça de
simuler une matrice de Bayer de son cru par dessus l'image
reconstituée, d'en extraire les rvb lus à travers les «cellules» de la
matrice et de les coller dans un fichier dans l'ordre qui lui plaira.
[....]
Ca au moins c'est à mourir de rire. Ca me rappelle les gens qui veulent
un logiciel qui reconstitue la partition à partir d'un MP3. Va falloir
expliquer comme on crée de l'information à partir de rien...
Reprends-toi. Aurais-je dit par mégarde qu'on créait de l'information ?
Evidemment, si on passait aux actes à partir d'un JPEG 8-bit, les
images obtenues à partir de ce raw de 2ème génération ne seraient pas
aussi bonnes que celles obtenues à partir du vrai raw de départ, parce
que la construction du jpeg a fait perdre beaucoup d'informations.
Mais il n'y aurait pratiquement pas de différences si on faisait
cette tambouille à partir d'un TIFF 16-bit.
Hélas pure hypothèse : le jpeg est bien 8 bits et aucun apn grand public
ne fait du tiff 16 bits.
Et alors ? De toute façon, tous ces fichiers sont toujours issus de la
numérisation par un capteur, que ce soit dans l'APN ou dans le
derawtisateur. Mon fichier TIFF-16 bit peut très bien sortir d'une
première dérawtisation. Je dis en substance que ce fichier contient
potentiellement toute l'information utile du raw initial, et que ce raw
n'est finalement qu'un codage (à peu près) équivalent à celui de notre
TIFF hypothétique.
Amha, les différences qu'on peut voir entre un derawtiseur et un autre
sont dues essentiellement à la plus ou moins grande habileté des
algorithmes de dématriçage. Peu ou prou, ce dématriçage est un
rééchantillonage des rvb bruts (en gros, on double la résolution), et
on sait bien qu'on n'a pas tout à fait les mêmes résultats en
interpolant au plus proche voisin, en bicubique, ou avec des
algorithmes fractaux.
Rien à voir : il n'y a pas de rvb bruts puisque le capteur n'est pas
rvb. Si ma tante en avait, etc.
Tiens donc ! Bien sûr que si, ça a à voir. Je ne sais pas ce que ta
tante vient faire ici et j'ai l'impression navrante que tu ne cherches
vraiment pas à comprendre.
Cette liberté [aussi bien face à un raw qu'un jpeg]
n'est bridée que par les possibilités limitées des
moyens à disposition. Par exemple, on n'a pas actuellement la
possibilité de modifier **proprement** la température de couleur d'un
JPEG, alors qu'on le peut dans un derawtiseur. C'est juste une
limitation du moment. Si le besoin s'en faisait sentir assez fort,
quelqu'un saurait très bien faire un filtre ad hoc.
Pas du tout. Ou alors il faut inventer des données.
Là encore, ton affirmation péremptoire n'est pas recevable. Tu ne
devrais pas t'avancer sur des domaines que tu connais mal. Je m'incline
volontiers devant tes 40 ans de photographe et ta grande expérience
pratique sur une foule d'appareils et de logiciels, mais je me redresse
aussi sec quand tu sors de tes pompes. Cette dernière réponse laisse
entrevoir quelques lacunes du côté des mathématiques de la couleur.
Oui un RAW est un fichier, un JPEG ou un TIFF aussi. Et la conclusion c'est quoi ?
Très simple : tous des codages d'image. Aucun n'est plus spécialement «image» qu'un autre
Un informaticien qui n'aurait rien de mieux à faire pourrait très facilement créer un raw à partir d'un jpeg : il suffirait pour ça de simuler une matrice de Bayer de son cru par dessus l'image reconstituée, d'en extraire les rvb lus à travers les «cellules» de la matrice et de les coller dans un fichier dans l'ordre qui lui plaira. [....]
Ca au moins c'est à mourir de rire. Ca me rappelle les gens qui veulent un logiciel qui reconstitue la partition à partir d'un MP3. Va falloir expliquer comme on crée de l'information à partir de rien...
Reprends-toi. Aurais-je dit par mégarde qu'on créait de l'information ?
Evidemment, si on passait aux actes à partir d'un JPEG 8-bit, les images obtenues à partir de ce raw de 2ème génération ne seraient pas aussi bonnes que celles obtenues à partir du vrai raw de départ, parce que la construction du jpeg a fait perdre beaucoup d'informations. Mais il n'y aurait pratiquement pas de différences si on faisait cette tambouille à partir d'un TIFF 16-bit.
Hélas pure hypothèse : le jpeg est bien 8 bits et aucun apn grand public ne fait du tiff 16 bits.
Et alors ? De toute façon, tous ces fichiers sont toujours issus de la numérisation par un capteur, que ce soit dans l'APN ou dans le derawtisateur. Mon fichier TIFF-16 bit peut très bien sortir d'une première dérawtisation. Je dis en substance que ce fichier contient potentiellement toute l'information utile du raw initial, et que ce raw n'est finalement qu'un codage (à peu près) équivalent à celui de notre TIFF hypothétique.
Amha, les différences qu'on peut voir entre un derawtiseur et un autre sont dues essentiellement à la plus ou moins grande habileté des algorithmes de dématriçage. Peu ou prou, ce dématriçage est un rééchantillonage des rvb bruts (en gros, on double la résolution), et on sait bien qu'on n'a pas tout à fait les mêmes résultats en interpolant au plus proche voisin, en bicubique, ou avec des algorithmes fractaux.
Rien à voir : il n'y a pas de rvb bruts puisque le capteur n'est pas rvb. Si ma tante en avait, etc.
Tiens donc ! Bien sûr que si, ça a à voir. Je ne sais pas ce que ta tante vient faire ici et j'ai l'impression navrante que tu ne cherches vraiment pas à comprendre.
Cette liberté [aussi bien face à un raw qu'un jpeg] n'est bridée que par les possibilités limitées des moyens à disposition. Par exemple, on n'a pas actuellement la possibilité de modifier **proprement** la température de couleur d'un JPEG, alors qu'on le peut dans un derawtiseur. C'est juste une limitation du moment. Si le besoin s'en faisait sentir assez fort, quelqu'un saurait très bien faire un filtre ad hoc.
Pas du tout. Ou alors il faut inventer des données.
Là encore, ton affirmation péremptoire n'est pas recevable. Tu ne devrais pas t'avancer sur des domaines que tu connais mal. Je m'incline volontiers devant tes 40 ans de photographe et ta grande expérience pratique sur une foule d'appareils et de logiciels, mais je me redresse aussi sec quand tu sors de tes pompes. Cette dernière réponse laisse entrevoir quelques lacunes du côté des mathématiques de la couleur.
Charles
Jean-Pierre Gallou
Un raw c'est un peu comme les infos de modélisation d'un logiciel 3D, il y a les infos nécessaires pour modéliser ce bidet, mais il faut encore tout calculer.
Cette comparaison est excessive. Passer des données raw à une image rvb est simple sur le principe, tant qu'on ne se préoccupe pas d'optimiser. Les données raw contiennent des mesures de luminosité de capteurs monochromes répartis sur une matrice de lignes et de colonnes. Chaque capteur élémentaire, derrière un filtre coloré, capte une partie du spectre lumineux R, V ou B. Les capteurs sont, dans le cas fréquent du filtre de Bayer, groupés par 4. On peut donc obtenir simplement une image RVB, mais d'une définition faible (4 fois moins que le nombre de photosites) en applicant des coefficients sur les quatre valeurs VRBV d'un quadruplet. Appliquer une balance des blancs, changer d'espace de couleur, consiste à changer la valeur des coefficients, qui sont déterminés par le fabricant en fonction des caractéristiques du capteur et des filtres. Le véritable enjeu est d'obtenir une image mieux définie par interpolation, ce qui est plus complexe mais n'a rien de mystérieux. La difficulté est d'éviter les artefacts (franges colorées, moiré, etc.) dûs à l'interpolation et c'est là que les différents algorithmes vont faire la différence. Mais tout ça est moins complexe que les algorithmes qui permettent de faire un codage JPEG! Le principe général est expliqué ici (en anglais): <http://en.wikipedia.org/wiki/Bayer_filter> et les algorithmes d'interpolation là: <http://en.wikipedia.org/wiki/Demosaicing>
-- Ceci est une signature automatique de MesNews. Site : http://www.mesnews.net
Un raw c'est un peu comme les
infos de modélisation d'un logiciel 3D, il y a les infos nécessaires
pour modéliser ce bidet, mais il faut encore tout calculer.
Cette comparaison est excessive. Passer des données raw à une image rvb
est simple sur le principe, tant qu'on ne se préoccupe pas d'optimiser.
Les données raw contiennent des mesures de luminosité de capteurs
monochromes répartis sur une matrice de lignes et de colonnes. Chaque
capteur élémentaire, derrière un filtre coloré, capte une partie du
spectre lumineux R, V ou B. Les capteurs sont, dans le cas fréquent du
filtre de Bayer, groupés par 4. On peut donc obtenir simplement une
image RVB, mais d'une définition faible (4 fois moins que le nombre de
photosites) en applicant des coefficients sur les quatre valeurs VRBV
d'un quadruplet. Appliquer une balance des blancs, changer d'espace de
couleur, consiste à changer la valeur des coefficients, qui sont
déterminés par le fabricant en fonction des caractéristiques du capteur
et des filtres. Le véritable enjeu est d'obtenir une image mieux
définie par interpolation, ce qui est plus complexe mais n'a rien de
mystérieux. La difficulté est d'éviter les artefacts (franges colorées,
moiré, etc.) dûs à l'interpolation et c'est là que les différents
algorithmes vont faire la différence. Mais tout ça est moins complexe
que les algorithmes qui permettent de faire un codage JPEG!
Le principe général est expliqué ici (en anglais):
<http://en.wikipedia.org/wiki/Bayer_filter>
et les algorithmes d'interpolation là:
<http://en.wikipedia.org/wiki/Demosaicing>
--
Ceci est une signature automatique de MesNews.
Site : http://www.mesnews.net
Un raw c'est un peu comme les infos de modélisation d'un logiciel 3D, il y a les infos nécessaires pour modéliser ce bidet, mais il faut encore tout calculer.
Cette comparaison est excessive. Passer des données raw à une image rvb est simple sur le principe, tant qu'on ne se préoccupe pas d'optimiser. Les données raw contiennent des mesures de luminosité de capteurs monochromes répartis sur une matrice de lignes et de colonnes. Chaque capteur élémentaire, derrière un filtre coloré, capte une partie du spectre lumineux R, V ou B. Les capteurs sont, dans le cas fréquent du filtre de Bayer, groupés par 4. On peut donc obtenir simplement une image RVB, mais d'une définition faible (4 fois moins que le nombre de photosites) en applicant des coefficients sur les quatre valeurs VRBV d'un quadruplet. Appliquer une balance des blancs, changer d'espace de couleur, consiste à changer la valeur des coefficients, qui sont déterminés par le fabricant en fonction des caractéristiques du capteur et des filtres. Le véritable enjeu est d'obtenir une image mieux définie par interpolation, ce qui est plus complexe mais n'a rien de mystérieux. La difficulté est d'éviter les artefacts (franges colorées, moiré, etc.) dûs à l'interpolation et c'est là que les différents algorithmes vont faire la différence. Mais tout ça est moins complexe que les algorithmes qui permettent de faire un codage JPEG! Le principe général est expliqué ici (en anglais): <http://en.wikipedia.org/wiki/Bayer_filter> et les algorithmes d'interpolation là: <http://en.wikipedia.org/wiki/Demosaicing>
-- Ceci est une signature automatique de MesNews. Site : http://www.mesnews.net
Jean-Claude Ghislain
Cette comparaison est excessive.
C'est effectivement un peu excessif, mais c'est pour faire comprendre que pour passer d'un brut de capteur à l'image définitive, il y a pas mal de calcul à faire.
Le principe général est expliqué ici (en anglais): <http://en.wikipedia.org/wiki/Bayer_filter> et les algorithmes d'interpolation là: <http://en.wikipedia.org/wiki/Demosaicing>
Un autre lien pour les matheux : http://lcavwww.epfl.ch/~alleysso/Publication/paperGretsi.pdf
-- Jean-Claude Ghislain www.grimart.com
Cette comparaison est excessive.
C'est effectivement un peu excessif, mais c'est pour faire comprendre
que pour passer d'un brut de capteur à l'image définitive, il y a pas
mal de calcul à faire.
Le principe général est expliqué ici (en anglais):
<http://en.wikipedia.org/wiki/Bayer_filter>
et les algorithmes d'interpolation là:
<http://en.wikipedia.org/wiki/Demosaicing>
Un autre lien pour les matheux :
http://lcavwww.epfl.ch/~alleysso/Publication/paperGretsi.pdf
C'est effectivement un peu excessif, mais c'est pour faire comprendre que pour passer d'un brut de capteur à l'image définitive, il y a pas mal de calcul à faire.
Le principe général est expliqué ici (en anglais): <http://en.wikipedia.org/wiki/Bayer_filter> et les algorithmes d'interpolation là: <http://en.wikipedia.org/wiki/Demosaicing>
Un autre lien pour les matheux : http://lcavwww.epfl.ch/~alleysso/Publication/paperGretsi.pdf
-- Jean-Claude Ghislain www.grimart.com
JPW
"Charles VASSALLO" a écrit
Très simple : tous des codages d'image. Aucun n'est plus spécialement «image» qu'un autre
non, un raw de 6 MP est un fichier avec 1500 points rouges 1500 points bleus 3000 points verts afficher cette image ne ferait pas zouli oulis
Reprends-toi. Aurais-je dit par mégarde qu'on créait de l'information ?
ben oui pour créer un raw à partir d'un jpeg il faut créer de l'information
Et alors ? De toute façon, tous ces fichiers sont toujours issus de la numérisation par un capteur, que ce soit dans l'APN ou dans le derawtisateur. Mon fichier TIFF-16 bit peut très bien sortir d'une première dérawtisation. Je dis en substance que ce fichier contient potentiellement toute l'information utile du raw initial,
non,
et que ce raw n'est finalement qu'un codage (à peu près) équivalent à celui de notre TIFF hypothétique.
non
Tiens donc ! Bien sûr que si, ça a à voir. Je ne sais pas ce que ta tante vient faire ici et j'ai l'impression navrante que tu ne cherches vraiment pas à comprendre.
ne serait pas l'inverse ???
Pas du tout. Ou alors il faut inventer des données. Là encore, ton affirmation péremptoire n'est pas recevable.
ce n'est pas peremptoire c'est évident
jpw
"Charles VASSALLO" <charles.rosemarie.vassallo@waoo.fr> a écrit
Très simple : tous des codages d'image. Aucun n'est plus spécialement
«image» qu'un autre
non,
un raw de 6 MP est un fichier avec 1500 points rouges
1500 points bleus 3000 points verts
afficher cette image ne ferait pas zouli oulis
Reprends-toi. Aurais-je dit par mégarde qu'on créait de l'information ?
ben oui pour créer un raw à partir d'un jpeg il faut créer de l'information
Et alors ? De toute façon, tous ces fichiers sont toujours issus de la
numérisation par un capteur, que ce soit dans l'APN ou dans le
derawtisateur. Mon fichier TIFF-16 bit peut très bien sortir d'une
première dérawtisation. Je dis en substance que ce fichier contient
potentiellement toute l'information utile du raw initial,
non,
et que ce raw n'est finalement qu'un codage (à peu près) équivalent à celui
de notre TIFF hypothétique.
non
Tiens donc ! Bien sûr que si, ça a à voir. Je ne sais pas ce que ta tante
vient faire ici et j'ai l'impression navrante que tu ne cherches vraiment
pas à comprendre.
ne serait pas l'inverse ???
Pas du tout. Ou alors il faut inventer des données.
Là encore, ton affirmation péremptoire n'est pas recevable.
Très simple : tous des codages d'image. Aucun n'est plus spécialement «image» qu'un autre
non, un raw de 6 MP est un fichier avec 1500 points rouges 1500 points bleus 3000 points verts afficher cette image ne ferait pas zouli oulis
Reprends-toi. Aurais-je dit par mégarde qu'on créait de l'information ?
ben oui pour créer un raw à partir d'un jpeg il faut créer de l'information
Et alors ? De toute façon, tous ces fichiers sont toujours issus de la numérisation par un capteur, que ce soit dans l'APN ou dans le derawtisateur. Mon fichier TIFF-16 bit peut très bien sortir d'une première dérawtisation. Je dis en substance que ce fichier contient potentiellement toute l'information utile du raw initial,
non,
et que ce raw n'est finalement qu'un codage (à peu près) équivalent à celui de notre TIFF hypothétique.
non
Tiens donc ! Bien sûr que si, ça a à voir. Je ne sais pas ce que ta tante vient faire ici et j'ai l'impression navrante que tu ne cherches vraiment pas à comprendre.
ne serait pas l'inverse ???
Pas du tout. Ou alors il faut inventer des données. Là encore, ton affirmation péremptoire n'est pas recevable.
ce n'est pas peremptoire c'est évident
jpw
JPW
"Jean-Pierre Roche" a écrit
Pas du tout. Le but d'un photographe n'est pas de produire des images écran.
ça ça se discute ça pour moi Moins de 1% de mes images ont une destination papier
L'écran n'est qu'un outil de travail.
ben pas seulement l'écran a toujours été la façon de montrer mes photos avant c'était un écran perlé maintenant c'est un écran d'ordi de télé.....
et pourtant je trouve avantage à me servir de raw..
jpw
"Jean-Pierre Roche" <jpierreroche@sanspub.invalid> a écrit
Pas du tout. Le but d'un photographe n'est pas de produire des images
écran.
ça ça se discute ça pour moi
Moins de 1% de mes images ont une destination papier
L'écran n'est qu'un outil de travail.
ben pas seulement
l'écran a toujours été la façon de montrer mes photos
avant c'était un écran perlé maintenant c'est un écran d'ordi
de télé.....
et pourtant je trouve avantage à me servir de raw..
Pas du tout. Le but d'un photographe n'est pas de produire des images écran.
ça ça se discute ça pour moi Moins de 1% de mes images ont une destination papier
L'écran n'est qu'un outil de travail.
ben pas seulement l'écran a toujours été la façon de montrer mes photos avant c'était un écran perlé maintenant c'est un écran d'ordi de télé.....
et pourtant je trouve avantage à me servir de raw..
jpw
JPW
"Jean-Pierre Gallou" a écrit
Un raw c'est un peu comme les infos de modélisation d'un logiciel 3D, il y a les infos nécessaires pour modéliser ce bidet, mais il faut encore tout calculer. Cette comparaison est excessive.
à peine....
à peine ...
les moteurs de rendu ont évolué avec le temps
Passer des données raw à une image rvb est simple sur le principe
oui ?? ne serait ce pas parce que vous avez une vision simpliste de la chose ?? si l'on intègre des données sur l'optique utilisée celà devient nettement moins simple non ??
jpw
"Jean-Pierre Gallou" <gallou@reply.to.invalid> a écrit
Un raw c'est un peu comme les
infos de modélisation d'un logiciel 3D, il y a les infos nécessaires
pour modéliser ce bidet, mais il faut encore tout calculer.
Cette comparaison est excessive.
à peine....
à peine ...
les moteurs de rendu ont évolué avec le temps
Passer des données raw à une image rvb est simple sur le principe
oui ?? ne serait ce pas parce que vous avez
une vision simpliste de la chose ??
si l'on intègre des données sur l'optique utilisée
celà devient nettement moins simple non ??
Un raw c'est un peu comme les infos de modélisation d'un logiciel 3D, il y a les infos nécessaires pour modéliser ce bidet, mais il faut encore tout calculer. Cette comparaison est excessive.
à peine....
à peine ...
les moteurs de rendu ont évolué avec le temps
Passer des données raw à une image rvb est simple sur le principe
oui ?? ne serait ce pas parce que vous avez une vision simpliste de la chose ?? si l'on intègre des données sur l'optique utilisée celà devient nettement moins simple non ??