"Stéphan Peccini" a écrit dans le message de news:
Le format Raw prend moins de place qu'un tif. C'est un avantage en terme de place mais pas en terme de perte d'information. OK.
ok nous somme d'accord.
Maintenant, les appareils photos font soit du Raw, soit du jpeg ; ceux qui font du tiff sont "anecdotiques". Toute comparaison objective devrait se faire entre le jpeg et le raw. Mais bon, continuons.
panasonic FZ7 , nikon D100... j'en vois plein...
Qu'entends tu par les données brutes : celles avant ou après la conversion en RVB ? Le tif n'étant qu'un conteneur, il peut y avoir ambiguité.
ça n'a pas d'importance. il y a plusieur manière de representer la couleur. les passages entre les representations ne changent pas la quantité d'information.
Parce que si c'est après, comment il fait pour ne pas traiter la balance des blancs dans le tif afin que l'on puisse la traiter tranquillement après ?
faire une balance des blancs c'est ajuster 3 coef sur les plans RGB. il suffit de laisser ses coef à 1.0. et voilà...
le RGB reste "brut de capteur", probablement avec une dominante, la quantité d'information est preservé, libre à chacun de faire sa soupe dans PSP.
"Stéphan Peccini" <stephan@photonature.fr> a écrit dans le message de news:
ijq9i3-p3b.ln1@photonature.fr...
Le format Raw prend moins de place qu'un tif. C'est un avantage en terme
de
place mais pas en terme de perte d'information. OK.
ok nous somme d'accord.
Maintenant, les appareils photos font soit du Raw, soit du jpeg ; ceux qui
font du tiff sont "anecdotiques". Toute comparaison objective devrait se
faire entre le jpeg et le raw. Mais bon, continuons.
panasonic FZ7 , nikon D100... j'en vois plein...
Qu'entends tu par les données brutes : celles avant ou après la conversion
en RVB ? Le tif n'étant qu'un conteneur, il peut y avoir ambiguité.
ça n'a pas d'importance. il y a plusieur manière de representer
la couleur. les passages entre les representations ne changent
pas la quantité d'information.
Parce que si c'est après, comment il fait pour ne pas traiter la balance
des
blancs dans le tif afin que l'on puisse la traiter tranquillement après ?
faire une balance des blancs c'est ajuster 3 coef sur les plans RGB. il
suffit
de laisser ses coef à 1.0. et voilà...
le RGB reste "brut de capteur", probablement avec
une dominante, la quantité d'information est preservé, libre
à chacun de faire sa soupe dans PSP.
"Stéphan Peccini" a écrit dans le message de news:
Le format Raw prend moins de place qu'un tif. C'est un avantage en terme de place mais pas en terme de perte d'information. OK.
ok nous somme d'accord.
Maintenant, les appareils photos font soit du Raw, soit du jpeg ; ceux qui font du tiff sont "anecdotiques". Toute comparaison objective devrait se faire entre le jpeg et le raw. Mais bon, continuons.
panasonic FZ7 , nikon D100... j'en vois plein...
Qu'entends tu par les données brutes : celles avant ou après la conversion en RVB ? Le tif n'étant qu'un conteneur, il peut y avoir ambiguité.
ça n'a pas d'importance. il y a plusieur manière de representer la couleur. les passages entre les representations ne changent pas la quantité d'information.
Parce que si c'est après, comment il fait pour ne pas traiter la balance des blancs dans le tif afin que l'on puisse la traiter tranquillement après ?
faire une balance des blancs c'est ajuster 3 coef sur les plans RGB. il suffit de laisser ses coef à 1.0. et voilà...
le RGB reste "brut de capteur", probablement avec une dominante, la quantité d'information est preservé, libre à chacun de faire sa soupe dans PSP.
Stephane Legras-Decussy
"Jean-Pierre Roche" a écrit dans le message de news: 4452272e$0$12860$
C'est un calcul qui va au-delà des bases théoriques simples...
ton discours, c'est toujours, "c'est pas si simple..." ou "ça va au delà..."
la technique, c'est pas de la magie et c'est moins compliqué qu'on ne le pense...
"Jean-Pierre Roche" <jpierreroche@sanspub.invalid> a écrit dans le message
de news: 4452272e$0$12860$626a54ce@news.free.fr...
C'est un calcul qui va au-delà des bases théoriques simples...
ton discours, c'est toujours, "c'est pas si simple..."
ou "ça va au delà..."
la technique, c'est pas de la magie et c'est
moins compliqué qu'on ne le pense...
"Jean-Pierre Roche" a écrit dans le message de news: 4452272e$0$12860$
C'est un calcul qui va au-delà des bases théoriques simples...
ton discours, c'est toujours, "c'est pas si simple..." ou "ça va au delà..."
la technique, c'est pas de la magie et c'est moins compliqué qu'on ne le pense...
Jean-Pierre Roche
ça ne veut absolument rien dire ça... un tiff compressé en LZW, c'est "comprehensible pour un cerveau" ?
Non mais c'est *affichable* de façon *identique* par n'importe quel logiciel basique... D'ailleurs si tu vas par là aucune donnée informatique n'est compréhensible par le cerveau humain. Ou si laborieusement que c'est pas la peine d'en parler.
et un tiff en CMYK au lieu de RGB, c'est comprehensible ?
Tu sais une plaque offset ou même un négatif couleur... Tu veux démontrer quoi ?
tu n'a rien compris.
Vu ce que tu as écrit plus haut je te renvoie le compliment...
tu vois le raw comme un objet magique dont tu n'as compris que les conséquences pratiques.
??? non : je sais exactement de quoi il s'agit et comment ça s'utilise avec quelles possibilités...
il faut raisonner en entropie d'information. le capteur te délivre 14 bit par pixel. pour ne rien perdre, il faut un fichier contenant ces 14 bit par pixel.
pas 14 mais 12 dans le cas général : tu as du mal à voir les choses telles quelles sont... et c'est moi qui aurait une pensée magique...
en format standard, il faudrait donc reconstruire en RGB dans un tiff 16 bit.
Cette phrase montre clairement que tu ne comprends rien au procédé ni au principe : dès que tu quittes les données brutes pour le RGB tu as figé quelque chose. Sans compter que 10 Mpixels sur du RGB 16 bits : 60 Mo... Je prendrais donc quelques cartes de quelques terraoctets pour aller photographier... Et vous mettrez aussi quelques piles de disques durs. Alors que tout ça est contenu (en mieux) dans un raw tellement plus petit...
comme la place est compté dans un apn, on ne le fait pas et on se fait chier avec un format proprio.
mais si on le fait : c'est du jpeg... on pourrait aussi sortir du tiff et d'ailleurs on le faisait chez les ancêtres de la photo numérique...
le tiff 16bit est tout autant un "negatif numerique" (super vague et confusant) qu'un raw...
Alors fait moi passer un tiff de 2500 K à 9000 K d'un clic de souris qu'on rigole...
quand aux "calculs magiques" pour obtenir du RGB à partir du raw, sache que dans un brave jpeg, la couleur est sous-echantillonée aussi le plus souvent et que le viewer interpole aussi un peu comme si tu avais une matrice de bayer dans un jpeg. rien n'empêche un viewer d' interpoler à sa sauce...
Quel rapport ? c'est pas l'interpolation qui est intéressante... Et ce ne sont pas des calculs magiques mais des algos mis au point par des gens qui s'intéressent à la question.
-- Jean-Pierre Roche
enlever sanspub pour m'écrire...
http://jpierreroche.free.fr/
ça ne veut absolument rien dire ça...
un tiff compressé en LZW, c'est "comprehensible pour un cerveau" ?
Non mais c'est *affichable* de façon *identique* par
n'importe quel logiciel basique... D'ailleurs si tu vas par
là aucune donnée informatique n'est compréhensible par le
cerveau humain. Ou si laborieusement que c'est pas la peine
d'en parler.
et un tiff en CMYK au lieu de RGB, c'est comprehensible ?
Tu sais une plaque offset ou même un négatif couleur...
Tu veux démontrer quoi ?
tu n'a rien compris.
Vu ce que tu as écrit plus haut je te renvoie le compliment...
tu vois le raw comme un objet magique dont tu n'as compris que
les conséquences pratiques.
??? non : je sais exactement de quoi il s'agit et comment ça
s'utilise avec quelles possibilités...
il faut raisonner en entropie d'information. le capteur te délivre
14 bit par pixel. pour ne rien perdre, il faut un fichier contenant ces 14
bit par pixel.
pas 14 mais 12 dans le cas général : tu as du mal à voir les
choses telles quelles sont... et c'est moi qui aurait une
pensée magique...
en format standard, il faudrait donc reconstruire en RGB dans un tiff 16
bit.
Cette phrase montre clairement que tu ne comprends rien au
procédé ni au principe : dès que tu quittes les données
brutes pour le RGB tu as figé quelque chose.
Sans compter que 10 Mpixels sur du RGB 16 bits : 60 Mo...
Je prendrais donc quelques cartes de quelques terraoctets
pour aller photographier... Et vous mettrez aussi quelques
piles de disques durs.
Alors que tout ça est contenu (en mieux) dans un raw
tellement plus petit...
comme la place est compté dans un apn, on ne le fait pas et on
se fait chier avec un format proprio.
mais si on le fait : c'est du jpeg... on pourrait aussi
sortir du tiff et d'ailleurs on le faisait chez les ancêtres
de la photo numérique...
le tiff 16bit est tout autant un "negatif numerique" (super vague et
confusant)
qu'un raw...
Alors fait moi passer un tiff de 2500 K à 9000 K d'un clic
de souris qu'on rigole...
quand aux "calculs magiques" pour obtenir du RGB à partir du raw,
sache que dans un brave jpeg, la couleur est sous-echantillonée aussi
le plus souvent et que le viewer interpole aussi un peu comme si tu avais
une matrice de bayer dans un jpeg.
rien n'empêche un viewer d' interpoler à sa sauce...
Quel rapport ? c'est pas l'interpolation qui est
intéressante... Et ce ne sont pas des calculs magiques mais
des algos mis au point par des gens qui s'intéressent à la
question.
--
Jean-Pierre Roche
jproche@sanspubchello.fr
enlever sanspub pour m'écrire...
ça ne veut absolument rien dire ça... un tiff compressé en LZW, c'est "comprehensible pour un cerveau" ?
Non mais c'est *affichable* de façon *identique* par n'importe quel logiciel basique... D'ailleurs si tu vas par là aucune donnée informatique n'est compréhensible par le cerveau humain. Ou si laborieusement que c'est pas la peine d'en parler.
et un tiff en CMYK au lieu de RGB, c'est comprehensible ?
Tu sais une plaque offset ou même un négatif couleur... Tu veux démontrer quoi ?
tu n'a rien compris.
Vu ce que tu as écrit plus haut je te renvoie le compliment...
tu vois le raw comme un objet magique dont tu n'as compris que les conséquences pratiques.
??? non : je sais exactement de quoi il s'agit et comment ça s'utilise avec quelles possibilités...
il faut raisonner en entropie d'information. le capteur te délivre 14 bit par pixel. pour ne rien perdre, il faut un fichier contenant ces 14 bit par pixel.
pas 14 mais 12 dans le cas général : tu as du mal à voir les choses telles quelles sont... et c'est moi qui aurait une pensée magique...
en format standard, il faudrait donc reconstruire en RGB dans un tiff 16 bit.
Cette phrase montre clairement que tu ne comprends rien au procédé ni au principe : dès que tu quittes les données brutes pour le RGB tu as figé quelque chose. Sans compter que 10 Mpixels sur du RGB 16 bits : 60 Mo... Je prendrais donc quelques cartes de quelques terraoctets pour aller photographier... Et vous mettrez aussi quelques piles de disques durs. Alors que tout ça est contenu (en mieux) dans un raw tellement plus petit...
comme la place est compté dans un apn, on ne le fait pas et on se fait chier avec un format proprio.
mais si on le fait : c'est du jpeg... on pourrait aussi sortir du tiff et d'ailleurs on le faisait chez les ancêtres de la photo numérique...
le tiff 16bit est tout autant un "negatif numerique" (super vague et confusant) qu'un raw...
Alors fait moi passer un tiff de 2500 K à 9000 K d'un clic de souris qu'on rigole...
quand aux "calculs magiques" pour obtenir du RGB à partir du raw, sache que dans un brave jpeg, la couleur est sous-echantillonée aussi le plus souvent et que le viewer interpole aussi un peu comme si tu avais une matrice de bayer dans un jpeg. rien n'empêche un viewer d' interpoler à sa sauce...
Quel rapport ? c'est pas l'interpolation qui est intéressante... Et ce ne sont pas des calculs magiques mais des algos mis au point par des gens qui s'intéressent à la question.
-- Jean-Pierre Roche
enlever sanspub pour m'écrire...
http://jpierreroche.free.fr/
Stephane Legras-Decussy
"Francois Jouve" a écrit dans le message de news: 44522298$0$12382$
Le capteur a une dynamique qui lui est propre. Il est capable d'enregistrer un certain contraste maximum. Ceci est *indépendant* du codage numérique en nombre de bits.
parfaitement.
Ensuite on passe à l'échantillonnage. Le fait de travailler sur le raw 12 bits permet d'avoir une meilleure résolution de nuances de tons dans les zones sur-exposées ou sous-exposées par exemple, et de pouvoir recupérer de l'information en rajoutant du contraste, sans obtenir les zones d'à-plat (histogramme "en peigne") que l'on aurait eues à partir d'une image 8 bits.
parfaitement.
merci. ouf...
"Francois Jouve" <francois.jouve_HALTEAUSPAM@polytechnique.fr> a écrit dans
le message de news: 44522298$0$12382$79c14f64@nan-newsreader-05.noos.net...
Le capteur a une dynamique qui lui est propre. Il est capable
d'enregistrer un certain contraste maximum. Ceci est *indépendant*
du codage numérique en nombre de bits.
parfaitement.
Ensuite on passe à l'échantillonnage. Le fait de travailler
sur le raw 12 bits permet d'avoir une meilleure résolution
de nuances de tons dans les zones sur-exposées ou sous-exposées
par exemple, et de pouvoir recupérer de l'information en rajoutant du
contraste, sans obtenir les zones d'à-plat (histogramme "en peigne") que
l'on aurait eues à partir d'une image 8 bits.
"Francois Jouve" a écrit dans le message de news: 44522298$0$12382$
Le capteur a une dynamique qui lui est propre. Il est capable d'enregistrer un certain contraste maximum. Ceci est *indépendant* du codage numérique en nombre de bits.
parfaitement.
Ensuite on passe à l'échantillonnage. Le fait de travailler sur le raw 12 bits permet d'avoir une meilleure résolution de nuances de tons dans les zones sur-exposées ou sous-exposées par exemple, et de pouvoir recupérer de l'information en rajoutant du contraste, sans obtenir les zones d'à-plat (histogramme "en peigne") que l'on aurait eues à partir d'une image 8 bits.
parfaitement.
merci. ouf...
Jean-Pierre Roche
ton discours, c'est toujours, "c'est pas si simple..." ou "ça va au delà..."
la technique, c'est pas de la magie et c'est moins compliqué qu'on ne le pense...
Ben oui c'est sûr tout le monde est capable de fabriquer de ses mains le meilleur lecteur de CD du monde par exemple. Mais c'est bizarre ils ne le font pas. Sans doute la magie ? de mauvaises ondes ? A part ça j'ai donné la référence de ma source : tu peux t'y reporter.
-- Jean-Pierre Roche
enlever sanspub pour m'écrire...
http://jpierreroche.free.fr/
ton discours, c'est toujours, "c'est pas si simple..."
ou "ça va au delà..."
la technique, c'est pas de la magie et c'est
moins compliqué qu'on ne le pense...
Ben oui c'est sûr tout le monde est capable de fabriquer de
ses mains le meilleur lecteur de CD du monde par exemple.
Mais c'est bizarre ils ne le font pas.
Sans doute la magie ? de mauvaises ondes ?
A part ça j'ai donné la référence de ma source : tu peux t'y
reporter.
--
Jean-Pierre Roche
jproche@sanspubchello.fr
enlever sanspub pour m'écrire...
ton discours, c'est toujours, "c'est pas si simple..." ou "ça va au delà..."
la technique, c'est pas de la magie et c'est moins compliqué qu'on ne le pense...
Ben oui c'est sûr tout le monde est capable de fabriquer de ses mains le meilleur lecteur de CD du monde par exemple. Mais c'est bizarre ils ne le font pas. Sans doute la magie ? de mauvaises ondes ? A part ça j'ai donné la référence de ma source : tu peux t'y reporter.
-- Jean-Pierre Roche
enlever sanspub pour m'écrire...
http://jpierreroche.free.fr/
Stephane Legras-Decussy
"Jean-Pierre Roche" a écrit dans le message de news: 445228d7$0$12869$
Et ça change quoi ? Il faut bien un nombre de bits suffisant pour encoder cette échelle de valeurs avec une finesse suffisante...
oui ok
Sinon c'est la différence connue depuis longtemps par exemple pour les scanners entre Dmax théorique (basé sur le nombre de bits du convertisseur) et Dmax réel (résultant de la dynamique du capteur, de la qualité du convertisseur et du nombre de bits).
c'est difference entre la dynamique de quantification (ou resolution si tu preferes) et la dynamique du phenomene analogique qui tiens compte aussi du bruit analogique.
donc oui ya une difference entre le theorique et le pratique mesuré.
"Jean-Pierre Roche" <jpierreroche@sanspub.invalid> a écrit dans le message
de news: 445228d7$0$12869$626a54ce@news.free.fr...
Et ça change quoi ? Il faut bien un nombre de bits suffisant pour encoder
cette échelle de valeurs avec une finesse suffisante...
oui ok
Sinon c'est la différence connue depuis longtemps par exemple pour les
scanners entre Dmax théorique (basé sur le nombre de bits du
convertisseur) et Dmax réel (résultant de la dynamique du capteur, de la
qualité du convertisseur et du nombre de bits).
c'est difference entre la dynamique de quantification (ou
resolution si tu preferes) et la dynamique du phenomene
analogique qui tiens compte aussi du bruit analogique.
donc oui ya une difference entre le theorique et
le pratique mesuré.
"Jean-Pierre Roche" a écrit dans le message de news: 445228d7$0$12869$
Et ça change quoi ? Il faut bien un nombre de bits suffisant pour encoder cette échelle de valeurs avec une finesse suffisante...
oui ok
Sinon c'est la différence connue depuis longtemps par exemple pour les scanners entre Dmax théorique (basé sur le nombre de bits du convertisseur) et Dmax réel (résultant de la dynamique du capteur, de la qualité du convertisseur et du nombre de bits).
c'est difference entre la dynamique de quantification (ou resolution si tu preferes) et la dynamique du phenomene analogique qui tiens compte aussi du bruit analogique.
donc oui ya une difference entre le theorique et le pratique mesuré.
DoLooP
=?ISO-8859-15?Q?Stéphan?= Peccini wrote in news::
(que, personnellement, je prends comme étant l'écart entre la lumière maximum et la lumière minimum qu'un capteur peut restituer)
Voila comme je l'avais compris et défendu *à tord*. Je résonnais en terme de "plage de luminosité couverte", qui elle ne dépend pas du nombre de bits.
-- Grand Vé ! DoLooP
=?ISO-8859-15?Q?Stéphan?= Peccini <stephan@photonature.fr> wrote in
news:a93ai3-9cg.ln1@photonature.fr:
(que, personnellement, je prends comme étant
l'écart entre la lumière maximum et la lumière minimum qu'un capteur peut
restituer)
Voila comme je l'avais compris et défendu *à tord*. Je résonnais en terme
de "plage de luminosité couverte", qui elle ne dépend pas du nombre de
bits.
(que, personnellement, je prends comme étant l'écart entre la lumière maximum et la lumière minimum qu'un capteur peut restituer)
Voila comme je l'avais compris et défendu *à tord*. Je résonnais en terme de "plage de luminosité couverte", qui elle ne dépend pas du nombre de bits.
-- Grand Vé ! DoLooP
Jean-Pierre Roche
Tu comprends mon problème à lire et "accepter" ce qui se dit dans ce fil, à savoir que la dynamique (que, personnellement, je prends comme étant l'écart entre la lumière maximum et la lumière minimum qu'un capteur peut restituer) dépend *uniquement* du niveau d'échantillonnage.
Ah mais pour ma part je n'ai jamais prétendu ça ! Ca dépend avant tout du capteur et ensuite du nombre de bits qui en sort. Certains sortent plus de bits qu'ils ne savent en utiliser. Comme les scanners...
-- Jean-Pierre Roche
enlever sanspub pour m'écrire...
http://jpierreroche.free.fr/
Tu comprends mon problème à lire et "accepter" ce qui se dit dans ce fil, à
savoir que la dynamique (que, personnellement, je prends comme étant
l'écart entre la lumière maximum et la lumière minimum qu'un capteur peut
restituer) dépend *uniquement* du niveau d'échantillonnage.
Ah mais pour ma part je n'ai jamais prétendu ça ! Ca dépend
avant tout du capteur et ensuite du nombre de bits qui en
sort. Certains sortent plus de bits qu'ils ne savent en
utiliser. Comme les scanners...
--
Jean-Pierre Roche
jproche@sanspubchello.fr
enlever sanspub pour m'écrire...
Tu comprends mon problème à lire et "accepter" ce qui se dit dans ce fil, à savoir que la dynamique (que, personnellement, je prends comme étant l'écart entre la lumière maximum et la lumière minimum qu'un capteur peut restituer) dépend *uniquement* du niveau d'échantillonnage.
Ah mais pour ma part je n'ai jamais prétendu ça ! Ca dépend avant tout du capteur et ensuite du nombre de bits qui en sort. Certains sortent plus de bits qu'ils ne savent en utiliser. Comme les scanners...
-- Jean-Pierre Roche
enlever sanspub pour m'écrire...
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Stephane Legras-Decussy
"Stéphan Peccini" a écrit dans le message de news:
Maintenant, si un capteur a une capacité à supporter 6 IL, que j'échantillonne sur 2 bits ou sur 8 bits ou sur 64 bits, il y aura toujours 6 IL entre la valeur la plus basse et la valeur la plus haute qui sortira de l'échantillonnage. Enfin, c'est ce qui me semble.
non.
un exemple simple : tu as un thermometre capable de mesurer de 0° à 100°C, (c'est tes 6IL), ça fait une difference si il est gradué en dizaines de degrés (8Bit) ou si il est gradué en demi-degrés (16 Bit).
c'est plus clair ?
"Stéphan Peccini" <stephan@photonature.fr> a écrit dans le message de news:
6q1ai3-d6g.ln1@photonature.fr...
Maintenant, si un capteur a une capacité à supporter 6 IL, que
j'échantillonne sur 2 bits ou sur 8 bits ou sur 64 bits, il y aura
toujours
6 IL entre la valeur la plus basse et la valeur la plus haute qui sortira
de l'échantillonnage. Enfin, c'est ce qui me semble.
non.
un exemple simple :
tu as un thermometre capable de mesurer de
0° à 100°C, (c'est tes 6IL), ça fait une difference
si il est gradué en dizaines de degrés (8Bit) ou si il est gradué
en demi-degrés (16 Bit).
"Stéphan Peccini" a écrit dans le message de news:
Maintenant, si un capteur a une capacité à supporter 6 IL, que j'échantillonne sur 2 bits ou sur 8 bits ou sur 64 bits, il y aura toujours 6 IL entre la valeur la plus basse et la valeur la plus haute qui sortira de l'échantillonnage. Enfin, c'est ce qui me semble.
non.
un exemple simple : tu as un thermometre capable de mesurer de 0° à 100°C, (c'est tes 6IL), ça fait une difference si il est gradué en dizaines de degrés (8Bit) ou si il est gradué en demi-degrés (16 Bit).
c'est plus clair ?
Jean-Pierre Roche
c'est difference entre la dynamique de quantification (ou resolution si tu preferes) et la dynamique du phenomene analogique qui tiens compte aussi du bruit analogique.
la dynamique du phénomène elle est donnée, ce qui compte c'est la capacité du capteur à en rendre compte...
donc oui ya une difference entre le theorique et le pratique mesuré.
Pas nouveau :-)
-- Jean-Pierre Roche
enlever sanspub pour m'écrire...
http://jpierreroche.free.fr/
c'est difference entre la dynamique de quantification (ou
resolution si tu preferes) et la dynamique du phenomene
analogique qui tiens compte aussi du bruit analogique.
la dynamique du phénomène elle est donnée, ce qui compte
c'est la capacité du capteur à en rendre compte...
donc oui ya une difference entre le theorique et
le pratique mesuré.
Pas nouveau :-)
--
Jean-Pierre Roche
jproche@sanspubchello.fr
enlever sanspub pour m'écrire...
c'est difference entre la dynamique de quantification (ou resolution si tu preferes) et la dynamique du phenomene analogique qui tiens compte aussi du bruit analogique.
la dynamique du phénomène elle est donnée, ce qui compte c'est la capacité du capteur à en rendre compte...
donc oui ya une difference entre le theorique et le pratique mesuré.