Intervalle d'exposition d'un film correct.
Est l'amplitude de la gamme de gris que le film est capable
d'exprimer (7 stops)
La latitude de pose (4 stops)
Est la différence entre l'intervalle d'exposition correct et le
contraste de la scène.
Donc au total 11 stops entrelacés.
Intervalle d'exposition d'un film correct.
Est l'amplitude de la gamme de gris que le film est capable
d'exprimer (7 stops)
La latitude de pose (4 stops)
Est la différence entre l'intervalle d'exposition correct et le
contraste de la scène.
Donc au total 11 stops entrelacés.
Intervalle d'exposition d'un film correct.
Est l'amplitude de la gamme de gris que le film est capable
d'exprimer (7 stops)
La latitude de pose (4 stops)
Est la différence entre l'intervalle d'exposition correct et le
contraste de la scène.
Donc au total 11 stops entrelacés.
Charles Vassallo a écrit
( 4f85e140$0$12516$ )Tu m'expliqueras un jour la différence entre une dynamique «théorique» et
une dynamique «pratique».
Oh, facile.
La dynamique théorique, c'est celle du studio. Là ok, on a celle du
capteur.
La dynamique pratique, c'est la photo de tous les jours, dans n'importe
quelle condition, en mesure pondérée. Il y a donc des fois où c'est un peu
sur-ex, et il y a des fois où c'est un peu sous-ex.
Quand c'est sous-ex, on perd de la dynamique, obligé. Par exemple mon
boîtier sous-expose en moyenne d'au moins 1/3 EV, donc en pratique, je n'ai
quasiment jamais la dynamique théorique.
Quand c'est sur-ex, est-ce que je perds de la dynamique ? En théorie non
(ce que je perds dans les lumières je le gagne dans les ombres) mais en
pratique oui : plus je surexpose, plus mon appareil est sensible à la
diffusion, et il y a un moment où la sur-exposion ne détaille plus les
ombres, mais les voile, tout simplement.
Donc résumé : sauf en studio, il y a toujours une petite différence
entre la dynamique calculée et celle réellement obtenue.
(marrant, je pensais que c'était évident pour tout le monde)
Charles Vassallo a écrit
( 4f85e140$0$12516$ba4acef3@reader.news.orange.fr )
Tu m'expliqueras un jour la différence entre une dynamique «théorique» et
une dynamique «pratique».
Oh, facile.
La dynamique théorique, c'est celle du studio. Là ok, on a celle du
capteur.
La dynamique pratique, c'est la photo de tous les jours, dans n'importe
quelle condition, en mesure pondérée. Il y a donc des fois où c'est un peu
sur-ex, et il y a des fois où c'est un peu sous-ex.
Quand c'est sous-ex, on perd de la dynamique, obligé. Par exemple mon
boîtier sous-expose en moyenne d'au moins 1/3 EV, donc en pratique, je n'ai
quasiment jamais la dynamique théorique.
Quand c'est sur-ex, est-ce que je perds de la dynamique ? En théorie non
(ce que je perds dans les lumières je le gagne dans les ombres) mais en
pratique oui : plus je surexpose, plus mon appareil est sensible à la
diffusion, et il y a un moment où la sur-exposion ne détaille plus les
ombres, mais les voile, tout simplement.
Donc résumé : sauf en studio, il y a toujours une petite différence
entre la dynamique calculée et celle réellement obtenue.
(marrant, je pensais que c'était évident pour tout le monde)
Charles Vassallo a écrit
( 4f85e140$0$12516$ )Tu m'expliqueras un jour la différence entre une dynamique «théorique» et
une dynamique «pratique».
Oh, facile.
La dynamique théorique, c'est celle du studio. Là ok, on a celle du
capteur.
La dynamique pratique, c'est la photo de tous les jours, dans n'importe
quelle condition, en mesure pondérée. Il y a donc des fois où c'est un peu
sur-ex, et il y a des fois où c'est un peu sous-ex.
Quand c'est sous-ex, on perd de la dynamique, obligé. Par exemple mon
boîtier sous-expose en moyenne d'au moins 1/3 EV, donc en pratique, je n'ai
quasiment jamais la dynamique théorique.
Quand c'est sur-ex, est-ce que je perds de la dynamique ? En théorie non
(ce que je perds dans les lumières je le gagne dans les ombres) mais en
pratique oui : plus je surexpose, plus mon appareil est sensible à la
diffusion, et il y a un moment où la sur-exposion ne détaille plus les
ombres, mais les voile, tout simplement.
Donc résumé : sauf en studio, il y a toujours une petite différence
entre la dynamique calculée et celle réellement obtenue.
(marrant, je pensais que c'était évident pour tout le monde)
£g avait prétendu :Intervalle d'exposition d'un film correct.
Est l'amplitude de la gamme de gris que le film est
capable d'exprimer (7 stops)
La latitude de pose (4 stops)
Est la différence entre l'intervalle d'exposition correct
et le contraste de la scène.
Donc au total 11 stops entrelacés.
Tu n'as probablement jamais fait ce type de tests...
Très en résumé on peut dire que :
- L'écart entre les coudes inférieurs et supérieurs d'une courbe de
densité/exposition dépend majoritairement du type de film.
C'est la dynamique de densité.
- La pente de la partie rectiligne de la courbe dépend majoritairement
du traitement (révélateur-dilution-température-durée).
C'est la dynamique d'exposition.
Il est pratiquement impossible de donner un seul chiffre sérieux,
concernant toutes les émulsions et tous leurs traitements.
£g avait prétendu :
Intervalle d'exposition d'un film correct.
Est l'amplitude de la gamme de gris que le film est
capable d'exprimer (7 stops)
La latitude de pose (4 stops)
Est la différence entre l'intervalle d'exposition correct
et le contraste de la scène.
Donc au total 11 stops entrelacés.
Tu n'as probablement jamais fait ce type de tests...
Très en résumé on peut dire que :
- L'écart entre les coudes inférieurs et supérieurs d'une courbe de
densité/exposition dépend majoritairement du type de film.
C'est la dynamique de densité.
- La pente de la partie rectiligne de la courbe dépend majoritairement
du traitement (révélateur-dilution-température-durée).
C'est la dynamique d'exposition.
Il est pratiquement impossible de donner un seul chiffre sérieux,
concernant toutes les émulsions et tous leurs traitements.
£g avait prétendu :Intervalle d'exposition d'un film correct.
Est l'amplitude de la gamme de gris que le film est
capable d'exprimer (7 stops)
La latitude de pose (4 stops)
Est la différence entre l'intervalle d'exposition correct
et le contraste de la scène.
Donc au total 11 stops entrelacés.
Tu n'as probablement jamais fait ce type de tests...
Très en résumé on peut dire que :
- L'écart entre les coudes inférieurs et supérieurs d'une courbe de
densité/exposition dépend majoritairement du type de film.
C'est la dynamique de densité.
- La pente de la partie rectiligne de la courbe dépend majoritairement
du traitement (révélateur-dilution-température-durée).
C'est la dynamique d'exposition.
Il est pratiquement impossible de donner un seul chiffre sérieux,
concernant toutes les émulsions et tous leurs traitements.
On conseille généralement de poser «à droite»
On conseille généralement de poser «à droite»
On conseille généralement de poser «à droite»
"Yannick Patois" a écrit
>
cette photo est magnifique. mais pour isoler le sujet je me demande s'il
pas de la retouche derrière...
du flou pour les plans, et de la luminosité pour le sujet lui même.
ça par exemple c'est bricolé à mort
"Yannick Patois" <patois@altespace.org> a écrit
>
cette photo est magnifique. mais pour isoler le sujet je me demande s'il
pas de la retouche derrière...
du flou pour les plans, et de la luminosité pour le sujet lui même.
ça par exemple c'est bricolé à mort
"Yannick Patois" a écrit
>
cette photo est magnifique. mais pour isoler le sujet je me demande s'il
pas de la retouche derrière...
du flou pour les plans, et de la luminosité pour le sujet lui même.
ça par exemple c'est bricolé à mort
> "Yannick Patois" a écrit
>>
> cette photo est magnifique. mais pour isoler le sujet je me demande s'il
> n'y a pas de la retouche derrière...
> du flou pour les plans, et de la luminosité pour le sujet lui même.
C'est une image extraite d'un film (je pense) donc c'est peu probable
qu'il y ait eu un traitement poussé à chaque image.
> "Yannick Patois" <patois@altespace.org> a écrit
>>
> cette photo est magnifique. mais pour isoler le sujet je me demande s'il
> n'y a pas de la retouche derrière...
> du flou pour les plans, et de la luminosité pour le sujet lui même.
C'est une image extraite d'un film (je pense) donc c'est peu probable
qu'il y ait eu un traitement poussé à chaque image.
> "Yannick Patois" a écrit
>>
> cette photo est magnifique. mais pour isoler le sujet je me demande s'il
> n'y a pas de la retouche derrière...
> du flou pour les plans, et de la luminosité pour le sujet lui même.
C'est une image extraite d'un film (je pense) donc c'est peu probable
qu'il y ait eu un traitement poussé à chaque image.
> C'est cela qui ne me semble pas du tout convaincant, car outre le fait
> qu'on peut souvent faire du flou avec un petit format, "l'esthétique du
> flou" n'a rien d'obligatoire ni de supérieur à une autre.
+1
> C'est cela qui ne me semble pas du tout convaincant, car outre le fait
> qu'on peut souvent faire du flou avec un petit format, "l'esthétique du
> flou" n'a rien d'obligatoire ni de supérieur à une autre.
+1
> C'est cela qui ne me semble pas du tout convaincant, car outre le fait
> qu'on peut souvent faire du flou avec un petit format, "l'esthétique du
> flou" n'a rien d'obligatoire ni de supérieur à une autre.
+1
Personellement je dis juste que "qui peut le plus peut le moins"
Personellement je dis juste que "qui peut le plus peut le moins"
Personellement je dis juste que "qui peut le plus peut le moins"
Le 10/04/2012 22:47, ShootinG StaR a écrit :
> "Jean-Pierre Roche" a écrit :
>> Le 10/04/2012 12:27, ShootinG StaR a écrit :
>>
>>> Vous n'avez pas compris que la taille du capteur influe dramatiquement
> sur
>>> la gestion de la profondeur de champ et ça, ça n'intéresse pas que les
> pros.
>>
>> Une profondeur de champ réduite est loin d'être toujours un
>> avantage, c'est même souvent un inconvénient...
>
> C'est une contrainte, ça c'est sûr, mais c'est un réel avantage : qui
> le plus peut le moins surtout avec les boitiers modernes et leur
> extrème : quand on peut monter à 25600 ISO, on peut récupérer de la
> profondeur de champ.
Faut arrêter la moquette et les catalogues constructeur... A
25600 ISO l'image est pourrie. Selon mes critères...
> A vitesse égale fermer à f/5,6 12800 ISO fera entrer autant de lumière
> f/2.8 à 1600 ISO (a erreur de neurone fatigués près).
Oui et ? Avec une focale un peu longue la profondeur de
champ à 5,6 est bien faible. Et si on ferme "énormément" on
rencontre la diffraction.
>>> Un APS est juste moins cher et moins complexe à produire : capteur
>>> petit, pièces en mouvement plus légères et plus simple d'emploi vu sa
>>> profondeur de champ plus élevée.
Mais non c'est juste ce qu'on peut se raconter ou lire dans
les revues qui font la promo de matos. APS-C et "full frame"
sont bien des grandeurs du même ordre
> A mon avis on est loin du pinaillage, j'ai fait une sortie photo avec
> amie, moi avec le 5D + 85mm f/1.8 elle avec un 7D + 50mm f/1.8 => rendu
> équivalent, ouverture identique.
> A à la meme ouverture, même cadrage : j'avais un flou d'arrière plan
> nettement plus important qu'elle, il me fallait presque fermer de 2
> pour que ce soit similaire.
Voilà : on ferme un peu le diaph et c'est à peu près pareil
: "du même ordre" !
> Instagram c'est totalement et uniquement des photos, reliées aux autres
> réseaux sociaux, mais c'est vraiment QUE de l'image.
> Twitpic permet de mettre en ligne des photos sur Twitter, Facebook
> monter ses photos quelles qu'elles soient, Google+ itou : pourtant
> est là et valorisé au delà de la raison...
Oui c'est du social, pas de la photo.
> L'ignorer c'est passer à coté de la réalité du monde numérique.
Rien à foutre du truc à la mode : on parle photo.
> C'est même révélateur du fait que la photo numérique, pour être
> pour le grand public, passe par l'émulation de vieux films, la
> de l'image par des routines logicielles (vignettage, virage coloré,
> désaturation, noir et blanc, flou partiel, etc.).
Disons que pour rendre attractives des photos pourries il
est indispensable de leur appliquer des styles. Fournis par
Big Brother aka "réseau social".
Le 10/04/2012 22:47, ShootinG StaR a écrit :
> "Jean-Pierre Roche"<jproche@sanspub.invalid> a écrit :
>> Le 10/04/2012 12:27, ShootinG StaR a écrit :
>>
>>> Vous n'avez pas compris que la taille du capteur influe dramatiquement
> sur
>>> la gestion de la profondeur de champ et ça, ça n'intéresse pas que les
> pros.
>>
>> Une profondeur de champ réduite est loin d'être toujours un
>> avantage, c'est même souvent un inconvénient...
>
> C'est une contrainte, ça c'est sûr, mais c'est un réel avantage : qui
> le plus peut le moins surtout avec les boitiers modernes et leur
> extrème : quand on peut monter à 25600 ISO, on peut récupérer de la
> profondeur de champ.
Faut arrêter la moquette et les catalogues constructeur... A
25600 ISO l'image est pourrie. Selon mes critères...
> A vitesse égale fermer à f/5,6 12800 ISO fera entrer autant de lumière
> f/2.8 à 1600 ISO (a erreur de neurone fatigués près).
Oui et ? Avec une focale un peu longue la profondeur de
champ à 5,6 est bien faible. Et si on ferme "énormément" on
rencontre la diffraction.
>>> Un APS est juste moins cher et moins complexe à produire : capteur
>>> petit, pièces en mouvement plus légères et plus simple d'emploi vu sa
>>> profondeur de champ plus élevée.
Mais non c'est juste ce qu'on peut se raconter ou lire dans
les revues qui font la promo de matos. APS-C et "full frame"
sont bien des grandeurs du même ordre
> A mon avis on est loin du pinaillage, j'ai fait une sortie photo avec
> amie, moi avec le 5D + 85mm f/1.8 elle avec un 7D + 50mm f/1.8 => rendu
> équivalent, ouverture identique.
> A à la meme ouverture, même cadrage : j'avais un flou d'arrière plan
> nettement plus important qu'elle, il me fallait presque fermer de 2
> pour que ce soit similaire.
Voilà : on ferme un peu le diaph et c'est à peu près pareil
: "du même ordre" !
> Instagram c'est totalement et uniquement des photos, reliées aux autres
> réseaux sociaux, mais c'est vraiment QUE de l'image.
> Twitpic permet de mettre en ligne des photos sur Twitter, Facebook
> monter ses photos quelles qu'elles soient, Google+ itou : pourtant
> est là et valorisé au delà de la raison...
Oui c'est du social, pas de la photo.
> L'ignorer c'est passer à coté de la réalité du monde numérique.
Rien à foutre du truc à la mode : on parle photo.
> C'est même révélateur du fait que la photo numérique, pour être
> pour le grand public, passe par l'émulation de vieux films, la
> de l'image par des routines logicielles (vignettage, virage coloré,
> désaturation, noir et blanc, flou partiel, etc.).
Disons que pour rendre attractives des photos pourries il
est indispensable de leur appliquer des styles. Fournis par
Big Brother aka "réseau social".
Le 10/04/2012 22:47, ShootinG StaR a écrit :
> "Jean-Pierre Roche" a écrit :
>> Le 10/04/2012 12:27, ShootinG StaR a écrit :
>>
>>> Vous n'avez pas compris que la taille du capteur influe dramatiquement
> sur
>>> la gestion de la profondeur de champ et ça, ça n'intéresse pas que les
> pros.
>>
>> Une profondeur de champ réduite est loin d'être toujours un
>> avantage, c'est même souvent un inconvénient...
>
> C'est une contrainte, ça c'est sûr, mais c'est un réel avantage : qui
> le plus peut le moins surtout avec les boitiers modernes et leur
> extrème : quand on peut monter à 25600 ISO, on peut récupérer de la
> profondeur de champ.
Faut arrêter la moquette et les catalogues constructeur... A
25600 ISO l'image est pourrie. Selon mes critères...
> A vitesse égale fermer à f/5,6 12800 ISO fera entrer autant de lumière
> f/2.8 à 1600 ISO (a erreur de neurone fatigués près).
Oui et ? Avec une focale un peu longue la profondeur de
champ à 5,6 est bien faible. Et si on ferme "énormément" on
rencontre la diffraction.
>>> Un APS est juste moins cher et moins complexe à produire : capteur
>>> petit, pièces en mouvement plus légères et plus simple d'emploi vu sa
>>> profondeur de champ plus élevée.
Mais non c'est juste ce qu'on peut se raconter ou lire dans
les revues qui font la promo de matos. APS-C et "full frame"
sont bien des grandeurs du même ordre
> A mon avis on est loin du pinaillage, j'ai fait une sortie photo avec
> amie, moi avec le 5D + 85mm f/1.8 elle avec un 7D + 50mm f/1.8 => rendu
> équivalent, ouverture identique.
> A à la meme ouverture, même cadrage : j'avais un flou d'arrière plan
> nettement plus important qu'elle, il me fallait presque fermer de 2
> pour que ce soit similaire.
Voilà : on ferme un peu le diaph et c'est à peu près pareil
: "du même ordre" !
> Instagram c'est totalement et uniquement des photos, reliées aux autres
> réseaux sociaux, mais c'est vraiment QUE de l'image.
> Twitpic permet de mettre en ligne des photos sur Twitter, Facebook
> monter ses photos quelles qu'elles soient, Google+ itou : pourtant
> est là et valorisé au delà de la raison...
Oui c'est du social, pas de la photo.
> L'ignorer c'est passer à coté de la réalité du monde numérique.
Rien à foutre du truc à la mode : on parle photo.
> C'est même révélateur du fait que la photo numérique, pour être
> pour le grand public, passe par l'émulation de vieux films, la
> de l'image par des routines logicielles (vignettage, virage coloré,
> désaturation, noir et blanc, flou partiel, etc.).
Disons que pour rendre attractives des photos pourries il
est indispensable de leur appliquer des styles. Fournis par
Big Brother aka "réseau social".
Le 11/04/12 07:27, Jean-Pierre Roche a écrit :
> Disons que pour rendre attractives des photos pourries il est
> indispensable de leur appliquer des styles.
C'est quand même intéressant comme réflexion, ça tend à montrer que
l'attractivité d'une photo ne se résume pas à sa qualité technique.
Voire même, que celle-ci est souvent superfétatoire.
Le 11/04/12 07:27, Jean-Pierre Roche a écrit :
> Disons que pour rendre attractives des photos pourries il est
> indispensable de leur appliquer des styles.
C'est quand même intéressant comme réflexion, ça tend à montrer que
l'attractivité d'une photo ne se résume pas à sa qualité technique.
Voire même, que celle-ci est souvent superfétatoire.
Le 11/04/12 07:27, Jean-Pierre Roche a écrit :
> Disons que pour rendre attractives des photos pourries il est
> indispensable de leur appliquer des styles.
C'est quand même intéressant comme réflexion, ça tend à montrer que
l'attractivité d'une photo ne se résume pas à sa qualité technique.
Voire même, que celle-ci est souvent superfétatoire.