N&B moyennement sensible, genre Ilford FP4 : 9 à 10 EV
Ah oui, quand même... (je pense que mon G3 tourne autour de 8,5 EV)
C'est une grosse moyenne que j'indique, portant sur des dizaines de courbes.
Ok, merci de ces renseignements.
Jean-Pierre Roche
Le 11/04/2012 16:52, Bour-Brown a écrit :
Jacques DASSIÉ a écrit ( 4f8563f9$0$1739$ )
N&B moyennement sensible, genre Ilford FP4 : 9 à 10 EV
Ah oui, quand même... (je pense que mon G3 tourne autour de 8,5 EV)
C'est une grosse moyenne que j'indique, portant sur des dizaines de courbes.
Ok, merci de ces renseignements.
En fait ce type de discussion n'a pas beaucoup de sens : dans la photo argentique, la limite n'est pas le film mais le papier... Surtout si on ne fait pas appel à un tirage sophistiqué. En revanche la dynamique *utilisable* d'un appareil numérique est très supérieure. Surtout si on travaille en raw.
-- Jean-Pierre Roche
enlever sanspub pour m'écrire...
Le 11/04/2012 16:52, Bour-Brown a écrit :
Jacques DASSIÉ a écrit
( 4f8563f9$0$1739$426a34cc@news.free.fr )
N&B moyennement sensible, genre Ilford FP4 : 9 à 10 EV
Ah oui, quand même...
(je pense que mon G3 tourne autour de 8,5 EV)
C'est une grosse moyenne que j'indique, portant sur des
dizaines de
courbes.
Ok, merci de ces renseignements.
En fait ce type de discussion n'a pas beaucoup de sens :
dans la photo argentique, la limite n'est pas le film mais
le papier... Surtout si on ne fait pas appel à un tirage
sophistiqué. En revanche la dynamique *utilisable* d'un
appareil numérique est très supérieure. Surtout si on
travaille en raw.
--
Jean-Pierre Roche
jproche@sanspubnumericable.com
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N&B moyennement sensible, genre Ilford FP4 : 9 à 10 EV
Ah oui, quand même... (je pense que mon G3 tourne autour de 8,5 EV)
C'est une grosse moyenne que j'indique, portant sur des dizaines de courbes.
Ok, merci de ces renseignements.
En fait ce type de discussion n'a pas beaucoup de sens : dans la photo argentique, la limite n'est pas le film mais le papier... Surtout si on ne fait pas appel à un tirage sophistiqué. En revanche la dynamique *utilisable* d'un appareil numérique est très supérieure. Surtout si on travaille en raw.
-- Jean-Pierre Roche
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£g
"Jean-Pierre Roche" a écrit dans le message de news: 4f859ede$0$21929$
Le 11/04/2012 16:52, Bour-Brown a écrit :
Jacques DASSIÉ a écrit ( 4f8563f9$0$1739$ )
N&B moyennement sensible, genre Ilford FP4 : 9 à 10 EV
Ah oui, quand même... (je pense que mon G3 tourne autour de 8,5 EV)
C'est une grosse moyenne que j'indique, portant sur des dizaines de courbes.
Ok, merci de ces renseignements.
En fait ce type de discussion n'a pas beaucoup de sens : dans la photo argentique, la limite n'est pas le film mais le papier... Surtout si on ne fait pas appel à un tirage sophistiqué. En revanche la dynamique *utilisable* d'un appareil numérique est très supérieure. Surtout si on travaille en raw.
Repris de mon cours photo Saint Luc (Liège)
________________________________
Le carton gris Est une norme (il réfléchi 18 % de la lumière qui le frappe) établie par le résultat d'un test portant sur une période d'une année complète de mesure de la lumière réfléchie par celui-ci.
On surexpose quand le sujet est plus clair et l'on sous-expose dans le cas inverse .
Le Contraste
Opposition de choses dont l'une fait ressortir l'autre.
Un contraste élevé est opposé aux détails d'un sujet.
Est l'écart entre deux luminances ou l'écart entre deux valeur de gris.
Le contraste de la scène est l'écart entre une valeur lumineuse basse et une élevée.
L'écart est exprimée en STOP.
Le contraste ABSOLU est la différence entre la lumière la plus élevée et la plus basse.
Le contraste UTILE est la différence entre le visage et le vêtement d'un sujet.
Intervalle d'exposition d'un film correct.
Est l'amplitude de la gamme de gris que le film est capable d'exprimer (7 stops)
Un film sous exposé donnerait plus de détail.
La latitude de pose (4 stops)
Est la différence entre l'intervalle d'exposition correct et le contraste de la scène.
________________________________
Donc au total 11 stops entrelacés.
--
£g
"Jean-Pierre Roche" <jproche@sanspub.invalid> a écrit dans le message de
news: 4f859ede$0$21929$426a34cc@news.free.fr...
Le 11/04/2012 16:52, Bour-Brown a écrit :
Jacques DASSIÉ a écrit
( 4f8563f9$0$1739$426a34cc@news.free.fr )
N&B moyennement sensible, genre Ilford FP4 : 9 à 10 EV
Ah oui, quand même...
(je pense que mon G3 tourne autour de 8,5 EV)
C'est une grosse moyenne que j'indique, portant sur des
dizaines de
courbes.
Ok, merci de ces renseignements.
En fait ce type de discussion n'a pas beaucoup de sens : dans la photo
argentique, la limite n'est pas le film mais le papier... Surtout si
on ne fait pas appel à un tirage sophistiqué. En revanche la dynamique
*utilisable* d'un appareil numérique est très supérieure. Surtout si
on travaille en raw.
Repris de mon cours photo Saint Luc (Liège)
________________________________
Le carton gris
Est une norme (il réfléchi 18 % de la lumière qui le frappe) établie par
le résultat d'un test portant sur une période d'une année complète de
mesure de la lumière réfléchie par celui-ci.
On surexpose quand le sujet est plus clair et l'on
sous-expose dans le cas inverse .
Le Contraste
Opposition de choses dont l'une fait ressortir l'autre.
Un contraste élevé est opposé aux détails d'un sujet.
Est l'écart entre deux luminances ou l'écart entre deux
valeur de gris.
Le contraste de la scène est l'écart entre une valeur lumineuse basse
et une élevée.
L'écart est exprimée en STOP.
Le contraste ABSOLU est la différence entre la lumière la plus élevée et
la plus basse.
Le contraste UTILE est la différence entre le visage et le vêtement d'un
sujet.
Intervalle d'exposition d'un film correct.
Est l'amplitude de la gamme de gris que le film est capable
d'exprimer (7 stops)
Un film sous exposé donnerait plus de détail.
La latitude de pose (4 stops)
Est la différence entre l'intervalle d'exposition correct et
le contraste de la scène.
"Jean-Pierre Roche" a écrit dans le message de news: 4f859ede$0$21929$
Le 11/04/2012 16:52, Bour-Brown a écrit :
Jacques DASSIÉ a écrit ( 4f8563f9$0$1739$ )
N&B moyennement sensible, genre Ilford FP4 : 9 à 10 EV
Ah oui, quand même... (je pense que mon G3 tourne autour de 8,5 EV)
C'est une grosse moyenne que j'indique, portant sur des dizaines de courbes.
Ok, merci de ces renseignements.
En fait ce type de discussion n'a pas beaucoup de sens : dans la photo argentique, la limite n'est pas le film mais le papier... Surtout si on ne fait pas appel à un tirage sophistiqué. En revanche la dynamique *utilisable* d'un appareil numérique est très supérieure. Surtout si on travaille en raw.
Repris de mon cours photo Saint Luc (Liège)
________________________________
Le carton gris Est une norme (il réfléchi 18 % de la lumière qui le frappe) établie par le résultat d'un test portant sur une période d'une année complète de mesure de la lumière réfléchie par celui-ci.
On surexpose quand le sujet est plus clair et l'on sous-expose dans le cas inverse .
Le Contraste
Opposition de choses dont l'une fait ressortir l'autre.
Un contraste élevé est opposé aux détails d'un sujet.
Est l'écart entre deux luminances ou l'écart entre deux valeur de gris.
Le contraste de la scène est l'écart entre une valeur lumineuse basse et une élevée.
L'écart est exprimée en STOP.
Le contraste ABSOLU est la différence entre la lumière la plus élevée et la plus basse.
Le contraste UTILE est la différence entre le visage et le vêtement d'un sujet.
Intervalle d'exposition d'un film correct.
Est l'amplitude de la gamme de gris que le film est capable d'exprimer (7 stops)
Un film sous exposé donnerait plus de détail.
La latitude de pose (4 stops)
Est la différence entre l'intervalle d'exposition correct et le contraste de la scène.
cette photo est magnifique. mais pour isoler le sujet je me demande s'il n'y a pas de la retouche derrière... du flou pour les plans, et de la luminosité pour le sujet lui même.
C'est une image extraite d'un film (je pense) donc c'est peu probable qu'il y ait eu un traitement poussé à chaque image.
certes mais rien n'empêche de retravailler une image extraite d'un film...
cette photo est magnifique. mais pour isoler le sujet je me demande s'il
n'y a pas de la retouche derrière...
du flou pour les plans, et de la luminosité pour le sujet lui même.
C'est une image extraite d'un film (je pense) donc c'est peu probable
qu'il y ait eu un traitement poussé à chaque image.
certes mais rien n'empêche de retravailler une image extraite d'un film...
cette photo est magnifique. mais pour isoler le sujet je me demande s'il n'y a pas de la retouche derrière... du flou pour les plans, et de la luminosité pour le sujet lui même.
C'est une image extraite d'un film (je pense) donc c'est peu probable qu'il y ait eu un traitement poussé à chaque image.
certes mais rien n'empêche de retravailler une image extraite d'un film...
Jean-Pierre Roche
Le 11/04/2012 15:56, Yannick Patois a écrit :
Je viens de te montrer une succession de plan de ciné dans lequel le flou est un avantage en terme de lecture de l'image. As-tu une critique inverse à faire sur ces images? Non. Alors pourquoi la "démonstration ne me semble pas du tout convaincante" ?
J'ai la flemme de chercher mais on trouverait très facilement des plans étagés nets du premier plan à l'infini... Le sujet de départ était l'impossibilité d'avoir du flou à partir d'un petit format et la supposée supériorité intrinsèque des grands formats. C'est cela qui ne me semble pas du tout convaincant, car outre le fait qu'on peut souvent faire du flou avec un petit format, "l'esthétique du flou" n'a rien d'obligatoire ni de supérieur à une autre.
-- Jean-Pierre Roche
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Le 11/04/2012 15:56, Yannick Patois a écrit :
Je viens de te montrer une succession de plan de ciné dans lequel le
flou est un avantage en terme de lecture de l'image. As-tu une critique
inverse à faire sur ces images? Non. Alors pourquoi la "démonstration ne
me semble pas du tout convaincante" ?
J'ai la flemme de chercher mais on trouverait très
facilement des plans étagés nets du premier plan à l'infini...
Le sujet de départ était l'impossibilité d'avoir du flou à
partir d'un petit format et la supposée supériorité
intrinsèque des grands formats. C'est cela qui ne me semble
pas du tout convaincant, car outre le fait qu'on peut
souvent faire du flou avec un petit format, "l'esthétique du
flou" n'a rien d'obligatoire ni de supérieur à une autre.
--
Jean-Pierre Roche
jproche@sanspubnumericable.com
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Je viens de te montrer une succession de plan de ciné dans lequel le flou est un avantage en terme de lecture de l'image. As-tu une critique inverse à faire sur ces images? Non. Alors pourquoi la "démonstration ne me semble pas du tout convaincante" ?
J'ai la flemme de chercher mais on trouverait très facilement des plans étagés nets du premier plan à l'infini... Le sujet de départ était l'impossibilité d'avoir du flou à partir d'un petit format et la supposée supériorité intrinsèque des grands formats. C'est cela qui ne me semble pas du tout convaincant, car outre le fait qu'on peut souvent faire du flou avec un petit format, "l'esthétique du flou" n'a rien d'obligatoire ni de supérieur à une autre.
-- Jean-Pierre Roche
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efji
Le 04/11/2012 05:37 PM, Jean-Pierre Roche a écrit :
Le 11/04/2012 15:56, Yannick Patois a écrit :
Je viens de te montrer une succession de plan de ciné dans lequel le flou est un avantage en terme de lecture de l'image. As-tu une critique inverse à faire sur ces images? Non. Alors pourquoi la "démonstration ne me semble pas du tout convaincante" ?
J'ai la flemme de chercher mais on trouverait très facilement des plans étagés nets du premier plan à l'infini...
Pas la peine de chercher très loin. De nombreux grands cinéastes on joué sur la profondeur du plan en cherchant une pdc maximale, soit par l'emploi de très courtes focales, soit par des artifices comme le split screen. Un des meilleurs exemples est Orson Welles.
Ce genre de mise en scène est beaucoup plus courant dans l'histoire du cinéma que la recherche d'une pdc minimale.
En fait, à part pour les gros plans de visages ou d'objets, la pdc au cinéma est la plupart du temps assez grande.
L'esthétique de l'ultra faible pdc est en fait très récente et nous vient plutôt de la pub et du clip. Elle est aidée par l'emploi actuel d'appareils photos du type Canon 5D pour les tournages numériques. Ces appareils ont des capteurs plus grands que le cinéma 35mm traditionnel et on peut y monter des optiques à très grandes ouvertures.
-- F.J.
Le 04/11/2012 05:37 PM, Jean-Pierre Roche a écrit :
Le 11/04/2012 15:56, Yannick Patois a écrit :
Je viens de te montrer une succession de plan de ciné dans lequel le
flou est un avantage en terme de lecture de l'image. As-tu une critique
inverse à faire sur ces images? Non. Alors pourquoi la "démonstration ne
me semble pas du tout convaincante" ?
J'ai la flemme de chercher mais on trouverait très facilement des plans
étagés nets du premier plan à l'infini...
Pas la peine de chercher très loin.
De nombreux grands cinéastes on joué sur la profondeur du plan en
cherchant une pdc maximale, soit par l'emploi de très courtes
focales, soit par des artifices comme le split screen.
Un des meilleurs exemples est Orson Welles.
Ce genre de mise en scène est beaucoup plus courant dans l'histoire
du cinéma que la recherche d'une pdc minimale.
En fait, à part pour les gros plans de visages ou d'objets, la pdc au
cinéma est la plupart du temps assez grande.
L'esthétique de l'ultra faible pdc est en fait très récente et nous
vient plutôt de la pub et du clip. Elle est aidée par l'emploi actuel
d'appareils photos du type Canon 5D pour les tournages
numériques. Ces appareils ont des capteurs plus grands que le cinéma
35mm traditionnel et on peut y monter des optiques à très grandes
ouvertures.
Le 04/11/2012 05:37 PM, Jean-Pierre Roche a écrit :
Le 11/04/2012 15:56, Yannick Patois a écrit :
Je viens de te montrer une succession de plan de ciné dans lequel le flou est un avantage en terme de lecture de l'image. As-tu une critique inverse à faire sur ces images? Non. Alors pourquoi la "démonstration ne me semble pas du tout convaincante" ?
J'ai la flemme de chercher mais on trouverait très facilement des plans étagés nets du premier plan à l'infini...
Pas la peine de chercher très loin. De nombreux grands cinéastes on joué sur la profondeur du plan en cherchant une pdc maximale, soit par l'emploi de très courtes focales, soit par des artifices comme le split screen. Un des meilleurs exemples est Orson Welles.
Ce genre de mise en scène est beaucoup plus courant dans l'histoire du cinéma que la recherche d'une pdc minimale.
En fait, à part pour les gros plans de visages ou d'objets, la pdc au cinéma est la plupart du temps assez grande.
L'esthétique de l'ultra faible pdc est en fait très récente et nous vient plutôt de la pub et du clip. Elle est aidée par l'emploi actuel d'appareils photos du type Canon 5D pour les tournages numériques. Ces appareils ont des capteurs plus grands que le cinéma 35mm traditionnel et on peut y monter des optiques à très grandes ouvertures.
-- F.J.
Yannick Patois
On 04/11/2012 05:37 PM, Jean-Pierre Roche wrote:
Le 11/04/2012 15:56, Yannick Patois a écrit :
Je viens de te montrer une succession de plan de ciné dans lequel le flou est un avantage en terme de lecture de l'image. As-tu une critique inverse à faire sur ces images? Non. Alors pourquoi la "démonstration ne me semble pas du tout convaincante" ?
J'ai la flemme de chercher mais on trouverait très facilement des plans étagés nets du premier plan à l'infini...
Bien sûr, il y en a.
Le sujet de départ était l'impossibilité d'avoir du flou à partir d'un petit format et la supposée supériorité intrinsèque des grands formats. C'est cela qui ne me semble pas du tout convaincant, car outre le fait qu'on peut souvent faire du flou avec un petit format
Là, je ne sais pas; il m'est en tout cas impossible de faire du flou correct avec mon compact; un compact expert qui ouvre à 1.8 commence à pouvoir le faire, il me semble.
Je ne réponds pas sur ce point car je n'en sais rien (donc pas la peine de m'attaquer là dessus ;)
"l'esthétique du flou" n'a rien d'obligatoire ni de supérieur à une autre.
Là, par contre, j'ai répondu très clairement: en tout cas en image animée, même là ou il serait techniquement possible de ne pas en faire, on en fait.
Trouve moi un seul film long métrage non trop amateur ou expérimental, dans lequel il n'y a pas au moins une scène dans laquelle le flou est utilisé pour ses qualités esthétiques. En cherchant bien, tu en trouveras peut être un, sur des milliers d'autres.
En image fixe, actuellement, il y aune tendance au net partout, une esthétique peut être lié à la pub (le flou, c'est la non-certitude, pas bien en pub, sauf exception), mais les effets de profondeurs de champs sont régulièrement utilisés.
D'autant qu'il y a aussi une construction sociologique de l'esthétique; si les amateurs n'ont pas accès au flou mais les pros si, alors le flou sera une marque du pro que les autres voudront imiter et donc une valeur en soi.
(marrant, efji vient d'écrire presque l'inverse juste à coté ;)
Yannick
-- _/ Yannick Patois ___________________________________________________ | web: http://feelingsurfer.net/garp/ | Garp sur irc undernet | | email: | | | http://www.jean-luc-melenchon.fr/ Le blog de campagne de Mélenchon |
On 04/11/2012 05:37 PM, Jean-Pierre Roche wrote:
Le 11/04/2012 15:56, Yannick Patois a écrit :
Je viens de te montrer une succession de plan de ciné dans lequel le
flou est un avantage en terme de lecture de l'image. As-tu une critique
inverse à faire sur ces images? Non. Alors pourquoi la "démonstration ne
me semble pas du tout convaincante" ?
J'ai la flemme de chercher mais on trouverait très facilement des plans
étagés nets du premier plan à l'infini...
Bien sûr, il y en a.
Le sujet de départ était l'impossibilité d'avoir du flou à partir d'un
petit format et la supposée supériorité intrinsèque des grands formats.
C'est cela qui ne me semble pas du tout convaincant, car outre le fait
qu'on peut souvent faire du flou avec un petit format
Là, je ne sais pas; il m'est en tout cas impossible de faire du flou
correct avec mon compact; un compact expert qui ouvre à 1.8 commence à
pouvoir le faire, il me semble.
Je ne réponds pas sur ce point car je n'en sais rien (donc pas la peine
de m'attaquer là dessus ;)
"l'esthétique du
flou" n'a rien d'obligatoire ni de supérieur à une autre.
Là, par contre, j'ai répondu très clairement: en tout cas en image
animée, même là ou il serait techniquement possible de ne pas en faire,
on en fait.
Trouve moi un seul film long métrage non trop amateur ou expérimental,
dans lequel il n'y a pas au moins une scène dans laquelle le flou est
utilisé pour ses qualités esthétiques. En cherchant bien, tu en
trouveras peut être un, sur des milliers d'autres.
En image fixe, actuellement, il y aune tendance au net partout, une
esthétique peut être lié à la pub (le flou, c'est la non-certitude, pas
bien en pub, sauf exception), mais les effets de profondeurs de champs
sont régulièrement utilisés.
D'autant qu'il y a aussi une construction sociologique de l'esthétique;
si les amateurs n'ont pas accès au flou mais les pros si, alors le flou
sera une marque du pro que les autres voudront imiter et donc une valeur
en soi.
(marrant, efji vient d'écrire presque l'inverse juste à coté ;)
Yannick
--
_/ Yannick Patois ___________________________________________________
| web: http://feelingsurfer.net/garp/ | Garp sur irc undernet |
| email: patois@altespace.org | |
| http://www.jean-luc-melenchon.fr/ Le blog de campagne de Mélenchon |
Je viens de te montrer une succession de plan de ciné dans lequel le flou est un avantage en terme de lecture de l'image. As-tu une critique inverse à faire sur ces images? Non. Alors pourquoi la "démonstration ne me semble pas du tout convaincante" ?
J'ai la flemme de chercher mais on trouverait très facilement des plans étagés nets du premier plan à l'infini...
Bien sûr, il y en a.
Le sujet de départ était l'impossibilité d'avoir du flou à partir d'un petit format et la supposée supériorité intrinsèque des grands formats. C'est cela qui ne me semble pas du tout convaincant, car outre le fait qu'on peut souvent faire du flou avec un petit format
Là, je ne sais pas; il m'est en tout cas impossible de faire du flou correct avec mon compact; un compact expert qui ouvre à 1.8 commence à pouvoir le faire, il me semble.
Je ne réponds pas sur ce point car je n'en sais rien (donc pas la peine de m'attaquer là dessus ;)
"l'esthétique du flou" n'a rien d'obligatoire ni de supérieur à une autre.
Là, par contre, j'ai répondu très clairement: en tout cas en image animée, même là ou il serait techniquement possible de ne pas en faire, on en fait.
Trouve moi un seul film long métrage non trop amateur ou expérimental, dans lequel il n'y a pas au moins une scène dans laquelle le flou est utilisé pour ses qualités esthétiques. En cherchant bien, tu en trouveras peut être un, sur des milliers d'autres.
En image fixe, actuellement, il y aune tendance au net partout, une esthétique peut être lié à la pub (le flou, c'est la non-certitude, pas bien en pub, sauf exception), mais les effets de profondeurs de champs sont régulièrement utilisés.
D'autant qu'il y a aussi une construction sociologique de l'esthétique; si les amateurs n'ont pas accès au flou mais les pros si, alors le flou sera une marque du pro que les autres voudront imiter et donc une valeur en soi.
(marrant, efji vient d'écrire presque l'inverse juste à coté ;)
Yannick
-- _/ Yannick Patois ___________________________________________________ | web: http://feelingsurfer.net/garp/ | Garp sur irc undernet | | email: | | | http://www.jean-luc-melenchon.fr/ Le blog de campagne de Mélenchon |
Alf92
"efji" a écrit
des artifices comme le split screen. Un des meilleurs exemples est Orson Welles.
dans le genre parfait : L'affaire Thomas Crown (passé il y a 2 jours à la télé) il film super esthétique, qui aurait été un chef d'oeuvre si le scenario avait suivi.
"efji" <efji@efji.efji> a écrit
des artifices comme le split screen.
Un des meilleurs exemples est Orson Welles.
dans le genre parfait : L'affaire Thomas Crown
(passé il y a 2 jours à la télé)
il film super esthétique, qui aurait été un chef d'oeuvre si le scenario avait
suivi.
des artifices comme le split screen. Un des meilleurs exemples est Orson Welles.
dans le genre parfait : L'affaire Thomas Crown (passé il y a 2 jours à la télé) il film super esthétique, qui aurait été un chef d'oeuvre si le scenario avait suivi.
Ghost-Rider
Le 11/04/2012 18:28, Alf92 a écrit :
"efji" a écrit
des artifices comme le split screen. Un des meilleurs exemples est Orson Welles.
dans le genre parfait : L'affaire Thomas Crown (passé il y a 2 jours à la télé) il film super esthétique, qui aurait été un chef d'oeuvre si le scenario avait suivi.
Je recommande chaudement ce film : on y voit un policier à cheval dans les rues de Boston et un match de polo qui passe du flou au net où on peut voir que Steve Mc Queen savait frapper la balle à revers au galop, ce qui n'est pas du tout évident.
-- Ghost Rider
Le 11/04/2012 18:28, Alf92 a écrit :
"efji" <efji@efji.efji> a écrit
des artifices comme le split screen.
Un des meilleurs exemples est Orson Welles.
dans le genre parfait : L'affaire Thomas Crown
(passé il y a 2 jours à la télé)
il film super esthétique, qui aurait été un chef d'oeuvre si le scenario
avait suivi.
Je recommande chaudement ce film : on y voit un policier à cheval dans
les rues de Boston et un match de polo qui passe du flou au net où on
peut voir que Steve Mc Queen savait frapper la balle à revers au galop,
ce qui n'est pas du tout évident.
des artifices comme le split screen. Un des meilleurs exemples est Orson Welles.
dans le genre parfait : L'affaire Thomas Crown (passé il y a 2 jours à la télé) il film super esthétique, qui aurait été un chef d'oeuvre si le scenario avait suivi.
Je recommande chaudement ce film : on y voit un policier à cheval dans les rues de Boston et un match de polo qui passe du flou au net où on peut voir que Steve Mc Queen savait frapper la balle à revers au galop, ce qui n'est pas du tout évident.
-- Ghost Rider
Charles Vassallo
Bour-Brown a écrit :
Jacques DASSIÉ a écrit N&B moyennement sensible, genre Ilford FP4 : 9 à 10 EV
Ah oui, quand même... (je pense que mon G3 tourne autour de 8,5 EV)
C'est une grosse moyenne que j'indique, portant sur des dizaines de courbes.
Ok, merci de ces renseignements.
J'ai trouvé un lien (apparemment) assez détaillé http://archive.bigben.id.au/tutorials/360/technical/hdri/what.html qui propose à un chiffre nettement plus élevé, à savoir 15EV pour un film Fuji Reala 100 ISO. Chiffre que j'ai vu repris dans divers forums sans discussion... mais auquel je ne crois guère. Au vu des courbes dans l'une des pages http://archive.bigben.id.au/tutorials/360/technical/hdri/results.html je dirais une dizaine de EV, rejoignant les chiffres de J. Dassié.
Quant au Pana G3, il est crédité d'une dynamique de 10,6 EV par DxOMark... mais ce chiffre est sans doute très optimiste, pour cause de plancher S/B trop bas.
Charles
Bour-Brown a écrit :
Jacques DASSIÉ a écrit
N&B moyennement sensible, genre Ilford FP4 : 9 à 10 EV
Ah oui, quand même...
(je pense que mon G3 tourne autour de 8,5 EV)
C'est une grosse moyenne que j'indique, portant sur des dizaines de
courbes.
Ok, merci de ces renseignements.
J'ai trouvé un lien (apparemment) assez détaillé
http://archive.bigben.id.au/tutorials/360/technical/hdri/what.html
qui propose à un chiffre nettement plus élevé, à savoir 15EV pour
un film Fuji Reala 100 ISO. Chiffre que j'ai vu repris dans divers
forums sans discussion... mais auquel je ne crois guère. Au vu des
courbes dans l'une des pages
http://archive.bigben.id.au/tutorials/360/technical/hdri/results.html
je dirais une dizaine de EV, rejoignant les chiffres de J. Dassié.
Quant au Pana G3, il est crédité d'une dynamique de 10,6 EV par
DxOMark... mais ce chiffre est sans doute très optimiste, pour cause de
plancher S/B trop bas.
Jacques DASSIÉ a écrit N&B moyennement sensible, genre Ilford FP4 : 9 à 10 EV
Ah oui, quand même... (je pense que mon G3 tourne autour de 8,5 EV)
C'est une grosse moyenne que j'indique, portant sur des dizaines de courbes.
Ok, merci de ces renseignements.
J'ai trouvé un lien (apparemment) assez détaillé http://archive.bigben.id.au/tutorials/360/technical/hdri/what.html qui propose à un chiffre nettement plus élevé, à savoir 15EV pour un film Fuji Reala 100 ISO. Chiffre que j'ai vu repris dans divers forums sans discussion... mais auquel je ne crois guère. Au vu des courbes dans l'une des pages http://archive.bigben.id.au/tutorials/360/technical/hdri/results.html je dirais une dizaine de EV, rejoignant les chiffres de J. Dassié.
Quant au Pana G3, il est crédité d'une dynamique de 10,6 EV par DxOMark... mais ce chiffre est sans doute très optimiste, pour cause de plancher S/B trop bas.