C'est une évidence. Il suffit de voir "en vrai" certaines photos célèbres pour constater que leur "qualité technique" est souvent assez pauvre. Leur célébrité ayant été acquise par leur publication dans des journaux ou magazines où la chose n'était pas le souci principal.
Drôle de façon de voir les choses. Comme si les oeuvres d'art n'avaient de valeur que par leur notoriété. Un peu comme un people kleenex qui est connu pour passer à la télé ou dans les magazines people.
Il n'est pas possible que leur célébrité soit simplement due à leur qualité esthétique, qui n'a rien à voir avec leur qualité technique ?
C'est bien ce que je voulais dire : que la notoriété et l'éventuel intérêt artistique d'une image n'a que peu de rapport avec sa qualité technique si prisée sur les forums... Et aussi que cette qualité technique médiocre n'était pas évidente dans la plupart des publications de ces images ce qui les protégeaient en quelque sorte des "critiques techniques".
-- Jean-Pierre Roche
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Le 11/04/2012 10:26, efji a écrit :
C'est une évidence. Il suffit de voir "en vrai" certaines
photos
célèbres pour constater que leur "qualité technique" est
souvent assez
pauvre. Leur célébrité ayant été acquise par leur
publication dans des
journaux ou magazines où la chose n'était pas le souci
principal.
Drôle de façon de voir les choses.
Comme si les oeuvres d'art n'avaient de valeur que
par leur notoriété. Un peu comme un people kleenex qui
est connu pour passer à la télé ou dans les magazines people.
Il n'est pas possible que leur célébrité soit simplement due
à leur qualité esthétique, qui n'a rien à voir avec leur
qualité
technique ?
C'est bien ce que je voulais dire : que la notoriété et
l'éventuel intérêt artistique d'une image n'a que peu de
rapport avec sa qualité technique si prisée sur les forums...
Et aussi que cette qualité technique médiocre n'était pas
évidente dans la plupart des publications de ces images ce
qui les protégeaient en quelque sorte des "critiques
techniques".
--
Jean-Pierre Roche
jproche@sanspubnumericable.com
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C'est une évidence. Il suffit de voir "en vrai" certaines photos célèbres pour constater que leur "qualité technique" est souvent assez pauvre. Leur célébrité ayant été acquise par leur publication dans des journaux ou magazines où la chose n'était pas le souci principal.
Drôle de façon de voir les choses. Comme si les oeuvres d'art n'avaient de valeur que par leur notoriété. Un peu comme un people kleenex qui est connu pour passer à la télé ou dans les magazines people.
Il n'est pas possible que leur célébrité soit simplement due à leur qualité esthétique, qui n'a rien à voir avec leur qualité technique ?
C'est bien ce que je voulais dire : que la notoriété et l'éventuel intérêt artistique d'une image n'a que peu de rapport avec sa qualité technique si prisée sur les forums... Et aussi que cette qualité technique médiocre n'était pas évidente dans la plupart des publications de ces images ce qui les protégeaient en quelque sorte des "critiques techniques".
-- Jean-Pierre Roche
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£g
"efji" a écrit dans le message de news: jm3f8f$1p8$
Le 04/11/2012 09:30 AM, Jean-Pierre Roche a écrit :
C'est une évidence. Il suffit de voir "en vrai" certaines photos célèbres pour constater que leur "qualité technique" est souvent assez pauvre. Leur célébrité ayant été acquise par leur publication dans des journaux ou magazines où la chose n'était pas le souci principal.
Drôle de façon de voir les choses. Comme si les oeuvres d'art n'avaient de valeur que par leur notoriété. Un peu comme un people kleenex qui est connu pour passer à la télé ou dans les magazines people.
Il n'est pas possible que leur célébrité soit simplement due à leur qualité esthétique, qui n'a rien à voir avec leur qualité technique ?
Je suis assez d'accord avec JPR, il y a des "oeuvres" qui deviennent de "l'art" de par leur notoriété, ainsi que certaines personnes (photographes)
-- £g
"efji" <efji@efji.efji> a écrit dans le message de news:
jm3f8f$1p8$1@speranza.aioe.org...
Le 04/11/2012 09:30 AM, Jean-Pierre Roche a écrit :
C'est une évidence. Il suffit de voir "en vrai" certaines photos
célèbres pour constater que leur "qualité technique" est souvent
assez
pauvre. Leur célébrité ayant été acquise par leur publication dans
des
journaux ou magazines où la chose n'était pas le souci principal.
Drôle de façon de voir les choses.
Comme si les oeuvres d'art n'avaient de valeur que
par leur notoriété. Un peu comme un people kleenex qui
est connu pour passer à la télé ou dans les magazines people.
Il n'est pas possible que leur célébrité soit simplement due
à leur qualité esthétique, qui n'a rien à voir avec leur qualité
technique ?
Je suis assez d'accord avec JPR, il y a des "oeuvres" qui deviennent de
"l'art" de par leur notoriété, ainsi que certaines personnes
(photographes)
"efji" a écrit dans le message de news: jm3f8f$1p8$
Le 04/11/2012 09:30 AM, Jean-Pierre Roche a écrit :
C'est une évidence. Il suffit de voir "en vrai" certaines photos célèbres pour constater que leur "qualité technique" est souvent assez pauvre. Leur célébrité ayant été acquise par leur publication dans des journaux ou magazines où la chose n'était pas le souci principal.
Drôle de façon de voir les choses. Comme si les oeuvres d'art n'avaient de valeur que par leur notoriété. Un peu comme un people kleenex qui est connu pour passer à la télé ou dans les magazines people.
Il n'est pas possible que leur célébrité soit simplement due à leur qualité esthétique, qui n'a rien à voir avec leur qualité technique ?
Je suis assez d'accord avec JPR, il y a des "oeuvres" qui deviennent de "l'art" de par leur notoriété, ainsi que certaines personnes (photographes)
-- £g
Bour-Brown
Stephane Legras-Decussy a écrit ( jm2fg2$vaq$ )
comment je me serais fait foutre de ma gueule !!!
Faut reconnaître...
Ici on a le concept « l'objectif fait la photo » et tout ce qu'il y a derrière peut se réduire.
L'inverse est tout aussi vrai : http://www.photoxels.com/images/Nikon/d4/nikon-d4-fr-800.jpg http://www.imaging-resource.com/PRODS/E1DMK4/ZBEAUTY.JPG
Yé !
Stephane Legras-Decussy a écrit
( jm2fg2$vaq$1@speranza.aioe.org )
comment je me serais fait foutre de ma gueule !!!
Faut reconnaître...
Ici on a le concept « l'objectif fait la photo » et tout ce qu'il y a
derrière peut se réduire.
L'inverse est tout aussi vrai :
http://www.photoxels.com/images/Nikon/d4/nikon-d4-fr-800.jpg
http://www.imaging-resource.com/PRODS/E1DMK4/ZBEAUTY.JPG
Il n'est pas possible que leur célébrité soit simplement due à leur qualité esthétique
Non, aucune chance. La célébrité, c'est un ensemble de facteurs parmi lesquels l'esthétique ne joue qu'un petit rôle...
Jean-Pierre Roche
Le 11/04/2012 10:05, Yannick Patois a écrit :
Si c'est très classique, comme tu dis, ce n'est pas *ma* vision, c'est une vision très partagée (sinon elle ne peut être vue comme "classique").
Par classique, j'entends aussi appartenant au passé. Il te suffirait de lire des débats entre les tenants de la chambre photographique et ceux du "petit format" (le 24X36...). Au siècle dernier bien sûr...
C'est donc *la* vision *classique* de la photo, en d'autres termes, à la base du code de lecture photographique et cinématographique.
Il y a d'autres codes de construction de l'image... Même s'ils sont moins connus. Et surtout moins évidents.
On peut jouer avec les codes, bien sûr, mais seulement s'ils sont déjà bien encrés.
Justement l'encre s'efface :-))) Surtout aujourd'hui avec les capteurs minuscules.
On peut, mais c'est loin d'être la norme.
De très nombreux photographes travaillent ou ont travaillé ainsi...
Bien sûr que si; les codes de l'image y sont les mêmes. C'est même encore plus flagrant, car l'image étant construite entièrement, et le calcul le plus simple produisant une MAP à l'infini, il faut *forcer* le système pour obtenir du flou de MAP; c'est donc une action consciente et couteuse. Le fait qu'elle soit *toujours* effectuée exprime bien la nécessité de cette opération pour obtenir une image lisible. En particulier parce que sinon l'image est "irréalistement" nette, et que l'effet de profondeur dans une image 2D doit beaucoup à ces effets de flou.
Je ne sais pas trop de quoi tu parles, l'hyper-réalisme existe et toutes les images de synthèse sont loin de faire appel au flou.
Si je veux vraiment isoler un élément je prends un gros télé.
Cela n'a rien à voir et tu le sais bien.
Mais si, absolument. La base technique est identique.
-- Jean-Pierre Roche
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Le 11/04/2012 10:05, Yannick Patois a écrit :
Si c'est très classique, comme tu dis, ce n'est pas *ma* vision, c'est
une vision très partagée (sinon elle ne peut être vue comme "classique").
Par classique, j'entends aussi appartenant au passé. Il te
suffirait de lire des débats entre les tenants de la chambre
photographique et ceux du "petit format" (le 24X36...). Au
siècle dernier bien sûr...
C'est donc *la* vision *classique* de la photo, en d'autres termes, à la
base du code de lecture photographique et cinématographique.
Il y a d'autres codes de construction de l'image... Même
s'ils sont moins connus. Et surtout moins évidents.
On peut jouer avec les codes, bien sûr, mais seulement s'ils sont déjà
bien encrés.
Justement l'encre s'efface :-))) Surtout aujourd'hui avec
les capteurs minuscules.
On peut, mais c'est loin d'être la norme.
De très nombreux photographes travaillent ou ont travaillé
ainsi...
Bien sûr que si; les codes de l'image y sont les mêmes. C'est même
encore plus flagrant, car l'image étant construite entièrement, et le
calcul le plus simple produisant une MAP à l'infini, il faut *forcer* le
système pour obtenir du flou de MAP; c'est donc une action consciente et
couteuse. Le fait qu'elle soit *toujours* effectuée exprime bien la
nécessité de cette opération pour obtenir une image lisible. En
particulier parce que sinon l'image est "irréalistement" nette, et que
l'effet de profondeur dans une image 2D doit beaucoup à ces effets de flou.
Je ne sais pas trop de quoi tu parles, l'hyper-réalisme
existe et toutes les images de synthèse sont loin de faire
appel au flou.
Si je veux vraiment isoler un élément je prends un gros télé.
Cela n'a rien à voir et tu le sais bien.
Mais si, absolument. La base technique est identique.
--
Jean-Pierre Roche
jproche@sanspubnumericable.com
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Si c'est très classique, comme tu dis, ce n'est pas *ma* vision, c'est une vision très partagée (sinon elle ne peut être vue comme "classique").
Par classique, j'entends aussi appartenant au passé. Il te suffirait de lire des débats entre les tenants de la chambre photographique et ceux du "petit format" (le 24X36...). Au siècle dernier bien sûr...
C'est donc *la* vision *classique* de la photo, en d'autres termes, à la base du code de lecture photographique et cinématographique.
Il y a d'autres codes de construction de l'image... Même s'ils sont moins connus. Et surtout moins évidents.
On peut jouer avec les codes, bien sûr, mais seulement s'ils sont déjà bien encrés.
Justement l'encre s'efface :-))) Surtout aujourd'hui avec les capteurs minuscules.
On peut, mais c'est loin d'être la norme.
De très nombreux photographes travaillent ou ont travaillé ainsi...
Bien sûr que si; les codes de l'image y sont les mêmes. C'est même encore plus flagrant, car l'image étant construite entièrement, et le calcul le plus simple produisant une MAP à l'infini, il faut *forcer* le système pour obtenir du flou de MAP; c'est donc une action consciente et couteuse. Le fait qu'elle soit *toujours* effectuée exprime bien la nécessité de cette opération pour obtenir une image lisible. En particulier parce que sinon l'image est "irréalistement" nette, et que l'effet de profondeur dans une image 2D doit beaucoup à ces effets de flou.
Je ne sais pas trop de quoi tu parles, l'hyper-réalisme existe et toutes les images de synthèse sont loin de faire appel au flou.
Si je veux vraiment isoler un élément je prends un gros télé.
Cela n'a rien à voir et tu le sais bien.
Mais si, absolument. La base technique est identique.
-- Jean-Pierre Roche
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Alf92
"YouDontNeedToKnowButItsNoëlle" a écrit
En ce qui me concerne, ça fait un mélange d'amusement et d'agacement comme tout ce qui est pur procédé. Certains procédés en vogue comme le pano (parce que c'est possible) ou le HDR (parce que c'est possible) me font le même effet d'ailleurs. Dans 99% des cas ça ne rime à rien -mais on peut en dire autant de n'importe quoi.
dans 99% des cas lorsque je fais un pano c'est pour étendre le champ : il se limite à 2 voir 3 images assemblées. c'est super pratique pour émuler un GA de 15mm équiv par exemple. pareil pour le HDR (que j'utilise très peu) : pouvoir prendre une scène imprenable autrement tellement elle la dynamique est grande. avec ces deux techniques on peut, grâce à un procédé simple, faire rentrer dans une photos des trucs encore impossibles il y a 10 ans pour le commun des mortels. je ne comprends pas ton agacement. peut être le fait que ce genre d'images se démocratise ?
Une photo peut être attractive par ses effets de matière, son graphisme, sa composition, ses teintes, ses contrastes, le sujet ou l'histoire qu'elle raconte, et bien sûr les références qu'elle provoque.
c'est le coté béquille technologique qui te gène ?
Et si ces producteurs de photos pourries étaient justement ceux qui ont compris ce quelque chose important de la photo ? L'image au delà de sa production technique élaborée, la relation à l'image non seulement vue, mais interprétée, ré-imaginée en somme, comme un mode de relation à l'autre ? Comme un jeu sans règles précises, mais plein de plaisir ?
ha bin voilà ce que je voulais lire ! :-)
La photo souvenir est presque passée à l'état de souvenir ; la photo document se porte toujours bien, mais qu'est-ce qui est documenté, pour quelle consommation immédiate ? Je trouve magnifique moi le mouvement de fond de la photographie au présent, qui est dégagée de sa gangue de technicité, et qui permet de partager des images avec un téléphone et un filtre, des images qui sont comme des pensées. Et vive le vagabondage. L'avenir de la photo est dans les images prises au présent, trafiquées, partagées, sans poids, il est relié à un passé plus ou moins fantasmé, presque uchronique mais aussi à tout ce qui se vit aujourd'hui. C'est dans ces turbulences que ça se passe, pas dans les considérations sur la taille des capteurs.
certes. la contrepartie (évidente) c'est que le nombre (la masse) d'images produites enlève de la valeur (et donc du sens) au message.
Qui ont un intérêt certainement ...mais pas sur le plan "image" car sinon, il n'y aurait rien de plus attractif qu'une photo de mire prise sur pied en studio dans les conditions idéales avec un objectif de qualité fermé à son meilleur point. Hors quelques cas pathologiques, qui ne sont attirés que par cela, en général ça se passe ailleurs.
Ceux qui l'on compris sont nombreux.
"YouDontNeedToKnowButItsNoëlle" <FautLaDemander@simple.org> a écrit
En ce qui me concerne, ça fait un mélange d'amusement et d'agacement comme
tout ce qui est pur procédé. Certains procédés en vogue comme le pano (parce
que c'est possible) ou le HDR (parce que c'est possible) me font le même effet
d'ailleurs. Dans 99% des cas ça ne rime à rien -mais on peut en dire autant de
n'importe quoi.
dans 99% des cas lorsque je fais un pano c'est pour étendre le champ : il se
limite à 2 voir 3 images assemblées.
c'est super pratique pour émuler un GA de 15mm équiv par exemple.
pareil pour le HDR (que j'utilise très peu) : pouvoir prendre une scène
imprenable autrement tellement elle la dynamique est grande.
avec ces deux techniques on peut, grâce à un procédé simple, faire rentrer dans
une photos des trucs encore impossibles il y a 10 ans pour le commun des
mortels.
je ne comprends pas ton agacement.
peut être le fait que ce genre d'images se démocratise ?
Une photo peut être attractive par ses effets de matière, son graphisme, sa
composition, ses teintes, ses contrastes, le sujet ou l'histoire qu'elle
raconte, et bien sûr les références qu'elle provoque.
c'est le coté béquille technologique qui te gène ?
Et si ces producteurs de photos pourries étaient justement ceux qui ont
compris ce quelque chose important de la photo ? L'image au delà de sa
production technique élaborée, la relation à l'image non seulement vue, mais
interprétée, ré-imaginée en somme, comme un mode de relation à l'autre ? Comme
un jeu sans règles précises, mais plein de plaisir ?
ha bin voilà ce que je voulais lire ! :-)
La photo souvenir est presque passée à l'état de souvenir ; la photo document
se porte toujours bien, mais qu'est-ce qui est documenté, pour quelle
consommation immédiate ? Je trouve magnifique moi le mouvement de fond de la
photographie au présent, qui est dégagée de sa gangue de technicité, et qui
permet de partager des images avec un téléphone et un filtre, des images qui
sont comme des pensées. Et vive le vagabondage. L'avenir de la photo est dans
les images prises au présent, trafiquées, partagées, sans poids, il est relié
à un passé plus ou moins fantasmé, presque uchronique mais aussi à tout ce qui
se vit aujourd'hui. C'est dans ces turbulences que ça se passe, pas dans les
considérations sur la taille des capteurs.
certes.
la contrepartie (évidente) c'est que le nombre (la masse) d'images produites
enlève de la valeur (et donc du sens) au message.
Qui ont un intérêt certainement ...mais pas sur le plan "image" car sinon, il
n'y aurait rien de plus attractif qu'une photo de mire prise sur pied en
studio dans les conditions idéales avec un objectif de qualité fermé à son
meilleur point. Hors quelques cas pathologiques, qui ne sont attirés que par
cela, en général ça se passe ailleurs.
En ce qui me concerne, ça fait un mélange d'amusement et d'agacement comme tout ce qui est pur procédé. Certains procédés en vogue comme le pano (parce que c'est possible) ou le HDR (parce que c'est possible) me font le même effet d'ailleurs. Dans 99% des cas ça ne rime à rien -mais on peut en dire autant de n'importe quoi.
dans 99% des cas lorsque je fais un pano c'est pour étendre le champ : il se limite à 2 voir 3 images assemblées. c'est super pratique pour émuler un GA de 15mm équiv par exemple. pareil pour le HDR (que j'utilise très peu) : pouvoir prendre une scène imprenable autrement tellement elle la dynamique est grande. avec ces deux techniques on peut, grâce à un procédé simple, faire rentrer dans une photos des trucs encore impossibles il y a 10 ans pour le commun des mortels. je ne comprends pas ton agacement. peut être le fait que ce genre d'images se démocratise ?
Une photo peut être attractive par ses effets de matière, son graphisme, sa composition, ses teintes, ses contrastes, le sujet ou l'histoire qu'elle raconte, et bien sûr les références qu'elle provoque.
c'est le coté béquille technologique qui te gène ?
Et si ces producteurs de photos pourries étaient justement ceux qui ont compris ce quelque chose important de la photo ? L'image au delà de sa production technique élaborée, la relation à l'image non seulement vue, mais interprétée, ré-imaginée en somme, comme un mode de relation à l'autre ? Comme un jeu sans règles précises, mais plein de plaisir ?
ha bin voilà ce que je voulais lire ! :-)
La photo souvenir est presque passée à l'état de souvenir ; la photo document se porte toujours bien, mais qu'est-ce qui est documenté, pour quelle consommation immédiate ? Je trouve magnifique moi le mouvement de fond de la photographie au présent, qui est dégagée de sa gangue de technicité, et qui permet de partager des images avec un téléphone et un filtre, des images qui sont comme des pensées. Et vive le vagabondage. L'avenir de la photo est dans les images prises au présent, trafiquées, partagées, sans poids, il est relié à un passé plus ou moins fantasmé, presque uchronique mais aussi à tout ce qui se vit aujourd'hui. C'est dans ces turbulences que ça se passe, pas dans les considérations sur la taille des capteurs.
certes. la contrepartie (évidente) c'est que le nombre (la masse) d'images produites enlève de la valeur (et donc du sens) au message.
Qui ont un intérêt certainement ...mais pas sur le plan "image" car sinon, il n'y aurait rien de plus attractif qu'une photo de mire prise sur pied en studio dans les conditions idéales avec un objectif de qualité fermé à son meilleur point. Hors quelques cas pathologiques, qui ne sont attirés que par cela, en général ça se passe ailleurs.
Ceux qui l'on compris sont nombreux.
Alf92
"efji" a écrit
Comme si les oeuvres d'art n'avaient de valeur que par leur notoriété.
question 1000 fois posées (ici ou ailleurs). il n'y a pas de réponse tranchée.
Il n'est pas possible que leur célébrité soit simplement due à leur qualité esthétique, qui n'a rien à voir avec leur qualité technique ?
éternel débat de la supériorité du subjectif sur l'objectif. j'ai arrêté de me poser la question en terminal quand j'ai envoyé chier mon prof de philo.
"efji" <efji@efji.efji> a écrit
Comme si les oeuvres d'art n'avaient de valeur que
par leur notoriété.
question 1000 fois posées (ici ou ailleurs).
il n'y a pas de réponse tranchée.
Il n'est pas possible que leur célébrité soit simplement due
à leur qualité esthétique, qui n'a rien à voir avec leur qualité
technique ?
éternel débat de la supériorité du subjectif sur l'objectif.
j'ai arrêté de me poser la question en terminal quand j'ai envoyé chier mon prof
de philo.
Comme si les oeuvres d'art n'avaient de valeur que par leur notoriété.
question 1000 fois posées (ici ou ailleurs). il n'y a pas de réponse tranchée.
Il n'est pas possible que leur célébrité soit simplement due à leur qualité esthétique, qui n'a rien à voir avec leur qualité technique ?
éternel débat de la supériorité du subjectif sur l'objectif. j'ai arrêté de me poser la question en terminal quand j'ai envoyé chier mon prof de philo.
Jacques DASSIÉ
Bour-Brown a présenté l'énoncé suivant :
Combien de stops, une pelloche N&B ?
D'après mes essais personnels et les courbes mesurées et tracées, j'obtenais (il y a bien 30 ans...) :
Diapo basse sensibilité : 5 à 6 EV (Traitement Kodak)
N&B basse sensibilité, genre Adox 50 ASA : 7 à 8 EV
N&B moyennement sensible, genre Ilford FP4 : 9 à 10 EV
Bien entendu, cela dépendait des données film/révélateur/taux de dilution/température/durée.
C'est une grosse moyenne que j'indique, portant sur des dizaines de courbes. Cela me permettait, en examinant une scène au spotmètre Soligor, de connaitre instantanément sa dynamique, l'exposition correspondante et le couple film/traitement le mieux adapté.
Maintenant, Canon (ou Nikon) ((ou Lumix G3 !) se démerdent ! C'est un énorme progrès.
-- Jacques DASSIÉ http://archaero.com/
Bour-Brown a présenté l'énoncé suivant :
Combien de stops, une pelloche N&B ?
D'après mes essais personnels et les courbes mesurées et tracées,
j'obtenais (il y a bien 30 ans...) :
Diapo basse sensibilité : 5 à 6 EV (Traitement Kodak)
N&B basse sensibilité, genre Adox 50 ASA : 7 à 8 EV
N&B moyennement sensible, genre Ilford FP4 : 9 à 10 EV
Bien entendu, cela dépendait des données
film/révélateur/taux de dilution/température/durée.
C'est une grosse moyenne que j'indique, portant sur des dizaines de
courbes. Cela me permettait, en examinant une scène au spotmètre
Soligor, de connaitre instantanément sa dynamique, l'exposition
correspondante et le couple film/traitement le mieux adapté.
Maintenant, Canon (ou Nikon) ((ou Lumix G3 !) se démerdent !
C'est un énorme progrès.
D'après mes essais personnels et les courbes mesurées et tracées, j'obtenais (il y a bien 30 ans...) :
Diapo basse sensibilité : 5 à 6 EV (Traitement Kodak)
N&B basse sensibilité, genre Adox 50 ASA : 7 à 8 EV
N&B moyennement sensible, genre Ilford FP4 : 9 à 10 EV
Bien entendu, cela dépendait des données film/révélateur/taux de dilution/température/durée.
C'est une grosse moyenne que j'indique, portant sur des dizaines de courbes. Cela me permettait, en examinant une scène au spotmètre Soligor, de connaitre instantanément sa dynamique, l'exposition correspondante et le couple film/traitement le mieux adapté.
Maintenant, Canon (ou Nikon) ((ou Lumix G3 !) se démerdent ! C'est un énorme progrès.
-- Jacques DASSIÉ http://archaero.com/
Stephane Legras-Decussy
Le 11/04/2012 09:08, Bour-Brown a écrit :
Quand je parlais de petit format, je parlais de boîtier.
ah ok,
Donc 12 Mpx vrais.
yep
Le 11/04/2012 09:08, Bour-Brown a écrit :
Quand je parlais de petit format, je parlais de boîtier.