Le Wed, 07 Jan 2004 12:38:04 -0500, GP écrivait:Sam Hocevar wrote:« On » ? Si ton but dans la vie est d'amener le newbie qui passe sa
journée à l'usine plutôt que devant un ordinateur à utiliser Linux, ça
n'est pas le mien.
Il ne te reste donc à apprendre à écrire tes drivers pour les cartes
vidéo et à faire du traitement de texte tout seul dans ta cave. Oui,
oui! Ça peut se faire. Il y en a qui le font pout leur Commodore
apparemment.
.... ça ne correspond pas, ni de près, ni de loin, à ce que tout
utilisateur de linux un peu « ancien » peut constater par lui-même
du chemin parcouru depuis ... disons 1996 (premières distributions
sur CD auto installables disponibles largement - en général vendues
avec un MacMillan quelconque).
Les pilotes de hardware ne sont pas
un problème : soit l'entreprise qui fabrique la puce joue, plus ou
moins contrainte et forcée, le jeu, et le pilote, plus ou moins
libre, existe. Soit le matériel n'est pas supporté. Mais c'est
comme pour windows ; j'ai une Matrox mystique 170 Mhz, excellente
carte 2D, qui n'est pas reconnue par W2K, et je ne pense pas qu'elle
soit mieux vue d'XP. En torturant affreusement le matrox.inf, j'ai
réussi à faire passer l'install, par une procédure abominable, qui
n'était bien sûr documentée nulle part. À côté, passer n'importe
quelle carte à la norme Vesa en framebuffer sous linux est un
chemin semé de pétales de roses qui suppose UNIQUEMENT de savoir
lire.
Quant au traitement de texte, la question est plutôt « quel besoin
est comblé par un tel outil ? ». Ce n'est pas parce que c'est ce
qui se fait sous windows que c'est une bonne solution. Je m'en
voudrais de parler au nom d'une quelconque collectivité, mais pour
ma seule part, le passage à Linux a été un choix naturel le jour
où windows m'a définitivement écuré par un énième crash avec
pertes de données importantes (et du jour, donc non sauvegardées).
En fait, au bout de 10 années de souffrances avec MS-DOS puis
windows, j'avais atteint, en tant qu'utilisateur, les limites de
ma patience. J'ai depuis ce moment investi autant de temps dans
l'apprentissage de Linux (et un peu d'Unix) que je n'en avais
*perdu* dans le bidouillage de windows, et je n'en ai aucun regret,
car Linux ne donne pas cette impression de mettre des sous dans
flipper : au lieu de *perdre* ses efforts à chaque version, les
connaissances s'ajoutent. Alors qu'avec windows, chaque version
nouvelle est son propre chemin de croix.
Le Wed, 07 Jan 2004 12:38:04 -0500, GP écrivait:
Sam Hocevar wrote:
« On » ? Si ton but dans la vie est d'amener le newbie qui passe sa
journée à l'usine plutôt que devant un ordinateur à utiliser Linux, ça
n'est pas le mien.
Il ne te reste donc à apprendre à écrire tes drivers pour les cartes
vidéo et à faire du traitement de texte tout seul dans ta cave. Oui,
oui! Ça peut se faire. Il y en a qui le font pout leur Commodore
apparemment.
.... ça ne correspond pas, ni de près, ni de loin, à ce que tout
utilisateur de linux un peu « ancien » peut constater par lui-même
du chemin parcouru depuis ... disons 1996 (premières distributions
sur CD auto installables disponibles largement - en général vendues
avec un MacMillan quelconque).
Les pilotes de hardware ne sont pas
un problème : soit l'entreprise qui fabrique la puce joue, plus ou
moins contrainte et forcée, le jeu, et le pilote, plus ou moins
libre, existe. Soit le matériel n'est pas supporté. Mais c'est
comme pour windows ; j'ai une Matrox mystique 170 Mhz, excellente
carte 2D, qui n'est pas reconnue par W2K, et je ne pense pas qu'elle
soit mieux vue d'XP. En torturant affreusement le matrox.inf, j'ai
réussi à faire passer l'install, par une procédure abominable, qui
n'était bien sûr documentée nulle part. À côté, passer n'importe
quelle carte à la norme Vesa en framebuffer sous linux est un
chemin semé de pétales de roses qui suppose UNIQUEMENT de savoir
lire.
Quant au traitement de texte, la question est plutôt « quel besoin
est comblé par un tel outil ? ». Ce n'est pas parce que c'est ce
qui se fait sous windows que c'est une bonne solution. Je m'en
voudrais de parler au nom d'une quelconque collectivité, mais pour
ma seule part, le passage à Linux a été un choix naturel le jour
où windows m'a définitivement écuré par un énième crash avec
pertes de données importantes (et du jour, donc non sauvegardées).
En fait, au bout de 10 années de souffrances avec MS-DOS puis
windows, j'avais atteint, en tant qu'utilisateur, les limites de
ma patience. J'ai depuis ce moment investi autant de temps dans
l'apprentissage de Linux (et un peu d'Unix) que je n'en avais
*perdu* dans le bidouillage de windows, et je n'en ai aucun regret,
car Linux ne donne pas cette impression de mettre des sous dans
flipper : au lieu de *perdre* ses efforts à chaque version, les
connaissances s'ajoutent. Alors qu'avec windows, chaque version
nouvelle est son propre chemin de croix.
Le Wed, 07 Jan 2004 12:38:04 -0500, GP écrivait:Sam Hocevar wrote:« On » ? Si ton but dans la vie est d'amener le newbie qui passe sa
journée à l'usine plutôt que devant un ordinateur à utiliser Linux, ça
n'est pas le mien.
Il ne te reste donc à apprendre à écrire tes drivers pour les cartes
vidéo et à faire du traitement de texte tout seul dans ta cave. Oui,
oui! Ça peut se faire. Il y en a qui le font pout leur Commodore
apparemment.
.... ça ne correspond pas, ni de près, ni de loin, à ce que tout
utilisateur de linux un peu « ancien » peut constater par lui-même
du chemin parcouru depuis ... disons 1996 (premières distributions
sur CD auto installables disponibles largement - en général vendues
avec un MacMillan quelconque).
Les pilotes de hardware ne sont pas
un problème : soit l'entreprise qui fabrique la puce joue, plus ou
moins contrainte et forcée, le jeu, et le pilote, plus ou moins
libre, existe. Soit le matériel n'est pas supporté. Mais c'est
comme pour windows ; j'ai une Matrox mystique 170 Mhz, excellente
carte 2D, qui n'est pas reconnue par W2K, et je ne pense pas qu'elle
soit mieux vue d'XP. En torturant affreusement le matrox.inf, j'ai
réussi à faire passer l'install, par une procédure abominable, qui
n'était bien sûr documentée nulle part. À côté, passer n'importe
quelle carte à la norme Vesa en framebuffer sous linux est un
chemin semé de pétales de roses qui suppose UNIQUEMENT de savoir
lire.
Quant au traitement de texte, la question est plutôt « quel besoin
est comblé par un tel outil ? ». Ce n'est pas parce que c'est ce
qui se fait sous windows que c'est une bonne solution. Je m'en
voudrais de parler au nom d'une quelconque collectivité, mais pour
ma seule part, le passage à Linux a été un choix naturel le jour
où windows m'a définitivement écuré par un énième crash avec
pertes de données importantes (et du jour, donc non sauvegardées).
En fait, au bout de 10 années de souffrances avec MS-DOS puis
windows, j'avais atteint, en tant qu'utilisateur, les limites de
ma patience. J'ai depuis ce moment investi autant de temps dans
l'apprentissage de Linux (et un peu d'Unix) que je n'en avais
*perdu* dans le bidouillage de windows, et je n'en ai aucun regret,
car Linux ne donne pas cette impression de mettre des sous dans
flipper : au lieu de *perdre* ses efforts à chaque version, les
connaissances s'ajoutent. Alors qu'avec windows, chaque version
nouvelle est son propre chemin de croix.
Bonsoir,
comme diebianiais coriace et têtu, je donnerais juste le lien à un
article du jour:
http://desktops.linux.com/article.pl?sid/01/06/2224232
Juste pour dire , il y a 47 distribs sur les 200 de distrowatch qui sont
basées sur debian, alors parler de la difficulté d'installation de
débian, c'est pas clair ... laquelle de ces 47 ??
Bonsoir,
comme diebianiais coriace et têtu, je donnerais juste le lien à un
article du jour:
http://desktops.linux.com/article.pl?sid/01/06/2224232
Juste pour dire , il y a 47 distribs sur les 200 de distrowatch qui sont
basées sur debian, alors parler de la difficulté d'installation de
débian, c'est pas clair ... laquelle de ces 47 ??
Bonsoir,
comme diebianiais coriace et têtu, je donnerais juste le lien à un
article du jour:
http://desktops.linux.com/article.pl?sid/01/06/2224232
Juste pour dire , il y a 47 distribs sur les 200 de distrowatch qui sont
basées sur debian, alors parler de la difficulté d'installation de
débian, c'est pas clair ... laquelle de ces 47 ??
Manuel Viet wrote:
.... ça ne correspond pas, ni de près, ni de loin, à ce que tout
utilisateur de linux un peu « ancien » peut constater par lui-même
du chemin parcouru depuis ... disons 1996 (premières distributions
sur CD auto installables disponibles largement - en général vendues
avec un MacMillan quelconque).
Oh, Seigneur! Da mihi potum! Je vais encore devoir répéter ce que j'ai
dit mille fois. L'enjeu, actuellement, ce n'est d'avoir un traitement
de texte équivalent à Word. L'enjeu, ce sont les banques de données
(Corba pour les photos, les images du Vatican, acquis par MS), ce sont
les réseaux que Paul Allan acquiert à qui mieux mieux, se sont les
services de vente et de réservation en ligne, la domotique et
l'équivalent pour la voiture, etc.
Les pilotes de hardware ne sont pas
un problème : soit l'entreprise qui fabrique la puce joue, plus ou
moins contrainte et forcée, le jeu, et le pilote, plus ou moins
libre, existe. Soit le matériel n'est pas supporté. Mais c'est
comme pour windows ; j'ai une Matrox mystique 170 Mhz, excellente
carte 2D, qui n'est pas reconnue par W2K, et je ne pense pas qu'elle
soit mieux vue d'XP. En torturant affreusement le matrox.inf, j'ai
réussi à faire passer l'install, par une procédure abominable, qui
n'était bien sûr documentée nulle part. À côté, passer n'importe
quelle carte à la norme Vesa en framebuffer sous linux est un
chemin semé de pétales de roses qui suppose UNIQUEMENT de savoir
lire.
Que tu aies réussi à le faire, ne change rien. Le neu, il va tour
simplement changer de carte. À 20 Euros, de nos jours, tu dois trouver
mieux. Le temps que tu as passé là-dessus ne t'aura pas donné le smic.
J'ai depuis ce moment investi autant de temps dans
l'apprentissage de Linux (et un peu d'Unix) que je n'en avais
*perdu* dans le bidouillage de windows, et je n'en ai aucun regret,
car Linux ne donne pas cette impression de mettre des sous dans
flipper : au lieu de *perdre* ses efforts à chaque version, les
connaissances s'ajoutent. Alors qu'avec windows, chaque version
nouvelle est son propre chemin de croix.
Relatif, oui! Il faut apprendre à reconnaître l'interface. D'autre
part, à moins qu'on ne se mette à programmer, on n'apprend pas tant de
choses /de plus/ que ça avec Linux.
Je t'invite à relire ce que disaient les utilisateurs d'OS2 il y a
quelques années. C'est vrai qu'ils n'avaient pas le code, mais ce
qu'ils apprenaient des choses, c'était incroyable! Ce que OS2 pouvait
donc se configurer plus facilement (ouille!), Il pouvait même rouler
les applications Windows plus rapidement que Windows. Ça avançait, ça
avait le vent dans les voiles. Les Caisses Populaires, les banques,
plusieurs grandes entreprises adoptaient OS2.
Aujourd'hui? Aujourd'hui, plus rien. Sans le code, on ne peut même pas
le bidouiller dans sa cave. Le marché, qui réclame une informatique
simple, a fait son choix.
Manuel Viet wrote:
.... ça ne correspond pas, ni de près, ni de loin, à ce que tout
utilisateur de linux un peu « ancien » peut constater par lui-même
du chemin parcouru depuis ... disons 1996 (premières distributions
sur CD auto installables disponibles largement - en général vendues
avec un MacMillan quelconque).
Oh, Seigneur! Da mihi potum! Je vais encore devoir répéter ce que j'ai
dit mille fois. L'enjeu, actuellement, ce n'est d'avoir un traitement
de texte équivalent à Word. L'enjeu, ce sont les banques de données
(Corba pour les photos, les images du Vatican, acquis par MS), ce sont
les réseaux que Paul Allan acquiert à qui mieux mieux, se sont les
services de vente et de réservation en ligne, la domotique et
l'équivalent pour la voiture, etc.
Les pilotes de hardware ne sont pas
un problème : soit l'entreprise qui fabrique la puce joue, plus ou
moins contrainte et forcée, le jeu, et le pilote, plus ou moins
libre, existe. Soit le matériel n'est pas supporté. Mais c'est
comme pour windows ; j'ai une Matrox mystique 170 Mhz, excellente
carte 2D, qui n'est pas reconnue par W2K, et je ne pense pas qu'elle
soit mieux vue d'XP. En torturant affreusement le matrox.inf, j'ai
réussi à faire passer l'install, par une procédure abominable, qui
n'était bien sûr documentée nulle part. À côté, passer n'importe
quelle carte à la norme Vesa en framebuffer sous linux est un
chemin semé de pétales de roses qui suppose UNIQUEMENT de savoir
lire.
Que tu aies réussi à le faire, ne change rien. Le neu, il va tour
simplement changer de carte. À 20 Euros, de nos jours, tu dois trouver
mieux. Le temps que tu as passé là-dessus ne t'aura pas donné le smic.
J'ai depuis ce moment investi autant de temps dans
l'apprentissage de Linux (et un peu d'Unix) que je n'en avais
*perdu* dans le bidouillage de windows, et je n'en ai aucun regret,
car Linux ne donne pas cette impression de mettre des sous dans
flipper : au lieu de *perdre* ses efforts à chaque version, les
connaissances s'ajoutent. Alors qu'avec windows, chaque version
nouvelle est son propre chemin de croix.
Relatif, oui! Il faut apprendre à reconnaître l'interface. D'autre
part, à moins qu'on ne se mette à programmer, on n'apprend pas tant de
choses /de plus/ que ça avec Linux.
Je t'invite à relire ce que disaient les utilisateurs d'OS2 il y a
quelques années. C'est vrai qu'ils n'avaient pas le code, mais ce
qu'ils apprenaient des choses, c'était incroyable! Ce que OS2 pouvait
donc se configurer plus facilement (ouille!), Il pouvait même rouler
les applications Windows plus rapidement que Windows. Ça avançait, ça
avait le vent dans les voiles. Les Caisses Populaires, les banques,
plusieurs grandes entreprises adoptaient OS2.
Aujourd'hui? Aujourd'hui, plus rien. Sans le code, on ne peut même pas
le bidouiller dans sa cave. Le marché, qui réclame une informatique
simple, a fait son choix.
Manuel Viet wrote:
.... ça ne correspond pas, ni de près, ni de loin, à ce que tout
utilisateur de linux un peu « ancien » peut constater par lui-même
du chemin parcouru depuis ... disons 1996 (premières distributions
sur CD auto installables disponibles largement - en général vendues
avec un MacMillan quelconque).
Oh, Seigneur! Da mihi potum! Je vais encore devoir répéter ce que j'ai
dit mille fois. L'enjeu, actuellement, ce n'est d'avoir un traitement
de texte équivalent à Word. L'enjeu, ce sont les banques de données
(Corba pour les photos, les images du Vatican, acquis par MS), ce sont
les réseaux que Paul Allan acquiert à qui mieux mieux, se sont les
services de vente et de réservation en ligne, la domotique et
l'équivalent pour la voiture, etc.
Les pilotes de hardware ne sont pas
un problème : soit l'entreprise qui fabrique la puce joue, plus ou
moins contrainte et forcée, le jeu, et le pilote, plus ou moins
libre, existe. Soit le matériel n'est pas supporté. Mais c'est
comme pour windows ; j'ai une Matrox mystique 170 Mhz, excellente
carte 2D, qui n'est pas reconnue par W2K, et je ne pense pas qu'elle
soit mieux vue d'XP. En torturant affreusement le matrox.inf, j'ai
réussi à faire passer l'install, par une procédure abominable, qui
n'était bien sûr documentée nulle part. À côté, passer n'importe
quelle carte à la norme Vesa en framebuffer sous linux est un
chemin semé de pétales de roses qui suppose UNIQUEMENT de savoir
lire.
Que tu aies réussi à le faire, ne change rien. Le neu, il va tour
simplement changer de carte. À 20 Euros, de nos jours, tu dois trouver
mieux. Le temps que tu as passé là-dessus ne t'aura pas donné le smic.
J'ai depuis ce moment investi autant de temps dans
l'apprentissage de Linux (et un peu d'Unix) que je n'en avais
*perdu* dans le bidouillage de windows, et je n'en ai aucun regret,
car Linux ne donne pas cette impression de mettre des sous dans
flipper : au lieu de *perdre* ses efforts à chaque version, les
connaissances s'ajoutent. Alors qu'avec windows, chaque version
nouvelle est son propre chemin de croix.
Relatif, oui! Il faut apprendre à reconnaître l'interface. D'autre
part, à moins qu'on ne se mette à programmer, on n'apprend pas tant de
choses /de plus/ que ça avec Linux.
Je t'invite à relire ce que disaient les utilisateurs d'OS2 il y a
quelques années. C'est vrai qu'ils n'avaient pas le code, mais ce
qu'ils apprenaient des choses, c'était incroyable! Ce que OS2 pouvait
donc se configurer plus facilement (ouille!), Il pouvait même rouler
les applications Windows plus rapidement que Windows. Ça avançait, ça
avait le vent dans les voiles. Les Caisses Populaires, les banques,
plusieurs grandes entreprises adoptaient OS2.
Aujourd'hui? Aujourd'hui, plus rien. Sans le code, on ne peut même pas
le bidouiller dans sa cave. Le marché, qui réclame une informatique
simple, a fait son choix.
Ça va faire de moins en moins glamour de travailler pour
Debian. (C'était le commentaire d'un chroniqueur dernièrement, et je
suis bien d'accord.)
[quoted text muted]sans compter l'adaptation à 36 plates-formes.
Les scripts de boot et d'install de Knoppix sont en pur shell, ça ne doit
vraiment pas être si méchant à porter!
??? Je suppose. Nos grands Débianiais vont nous expliquer pourquoi
c'est si difficile à porter.
Ça va faire de moins en moins glamour de travailler pour
Debian. (C'était le commentaire d'un chroniqueur dernièrement, et je
suis bien d'accord.)
[quoted text muted]
sans compter l'adaptation à 36 plates-formes.
Les scripts de boot et d'install de Knoppix sont en pur shell, ça ne doit
vraiment pas être si méchant à porter!
??? Je suppose. Nos grands Débianiais vont nous expliquer pourquoi
c'est si difficile à porter.
Ça va faire de moins en moins glamour de travailler pour
Debian. (C'était le commentaire d'un chroniqueur dernièrement, et je
suis bien d'accord.)
[quoted text muted]sans compter l'adaptation à 36 plates-formes.
Les scripts de boot et d'install de Knoppix sont en pur shell, ça ne doit
vraiment pas être si méchant à porter!
??? Je suppose. Nos grands Débianiais vont nous expliquer pourquoi
c'est si difficile à porter.
Les scripts de boot et d'install de Knoppix sont en pur shell, ça ne doit
vraiment pas être si méchant à porter!
??? Je suppose. Nos grands Débianiais vont nous expliquer pourquoi
c'est si difficile à porter.
Personnellement je ne suis pas un gourou du shell, et j'ai bricolé ces
scripts sans dificulté particulière.
Les scripts de boot et d'install de Knoppix sont en pur shell, ça ne doit
vraiment pas être si méchant à porter!
??? Je suppose. Nos grands Débianiais vont nous expliquer pourquoi
c'est si difficile à porter.
Personnellement je ne suis pas un gourou du shell, et j'ai bricolé ces
scripts sans dificulté particulière.
Les scripts de boot et d'install de Knoppix sont en pur shell, ça ne doit
vraiment pas être si méchant à porter!
??? Je suppose. Nos grands Débianiais vont nous expliquer pourquoi
c'est si difficile à porter.
Personnellement je ne suis pas un gourou du shell, et j'ai bricolé ces
scripts sans dificulté particulière.
Eric Streit wrote:Bonsoir,
comme diebianiais coriace et têtu, je donnerais juste le lien à un
article du jour:
http://desktops.linux.com/article.pl?sid/01/06/2224232
Juste pour dire , il y a 47 distribs sur les 200 de distrowatch qui sont
basées sur debian, alors parler de la difficulté d'installation de
débian, c'est pas clair ... laquelle de ces 47 ??
Tu penses que c'est une bonne chose qu'il y ait 47 distros basées sur
Debian qui -- à part celles basées sur Knoppix, probablement la
majorité, remarque -- viennent merdouiller à quelques dollars de plus
pour proposer leurs petites interfaces tellement plus conviviales?
Tout ça parce que Debian n'a pas été foutu de faire un programme
d'installation décent... le reste des interfaces développées par des
bénévoles étant amplement suffisantes pour le newbie moyen.
Maintenant, ça devient presque gênant d'aller couper l'herbe sous les
pieds des compagnies qui ont, bien sûr, cherché à faire évoluer Linux
à leur manière.
Génial! Vive Lindows! Vive Lycoris! Vive les banques de logiciels
payantes! Vive le retour à la bêtise!
GP
Eric Streit wrote:
Bonsoir,
comme diebianiais coriace et têtu, je donnerais juste le lien à un
article du jour:
http://desktops.linux.com/article.pl?sid/01/06/2224232
Juste pour dire , il y a 47 distribs sur les 200 de distrowatch qui sont
basées sur debian, alors parler de la difficulté d'installation de
débian, c'est pas clair ... laquelle de ces 47 ??
Tu penses que c'est une bonne chose qu'il y ait 47 distros basées sur
Debian qui -- à part celles basées sur Knoppix, probablement la
majorité, remarque -- viennent merdouiller à quelques dollars de plus
pour proposer leurs petites interfaces tellement plus conviviales?
Tout ça parce que Debian n'a pas été foutu de faire un programme
d'installation décent... le reste des interfaces développées par des
bénévoles étant amplement suffisantes pour le newbie moyen.
Maintenant, ça devient presque gênant d'aller couper l'herbe sous les
pieds des compagnies qui ont, bien sûr, cherché à faire évoluer Linux
à leur manière.
Génial! Vive Lindows! Vive Lycoris! Vive les banques de logiciels
payantes! Vive le retour à la bêtise!
GP
Eric Streit wrote:Bonsoir,
comme diebianiais coriace et têtu, je donnerais juste le lien à un
article du jour:
http://desktops.linux.com/article.pl?sid/01/06/2224232
Juste pour dire , il y a 47 distribs sur les 200 de distrowatch qui sont
basées sur debian, alors parler de la difficulté d'installation de
débian, c'est pas clair ... laquelle de ces 47 ??
Tu penses que c'est une bonne chose qu'il y ait 47 distros basées sur
Debian qui -- à part celles basées sur Knoppix, probablement la
majorité, remarque -- viennent merdouiller à quelques dollars de plus
pour proposer leurs petites interfaces tellement plus conviviales?
Tout ça parce que Debian n'a pas été foutu de faire un programme
d'installation décent... le reste des interfaces développées par des
bénévoles étant amplement suffisantes pour le newbie moyen.
Maintenant, ça devient presque gênant d'aller couper l'herbe sous les
pieds des compagnies qui ont, bien sûr, cherché à faire évoluer Linux
à leur manière.
Génial! Vive Lindows! Vive Lycoris! Vive les banques de logiciels
payantes! Vive le retour à la bêtise!
GP
Et puis, si tu peux me dire en deux phrases comment prendre un script
Slackware et l'installer dans Debian, je suis preneur.
Le mien là, juste pour vérifier les fichiers, il fait 3 lignes. Et,
passser de 1200 à 3 lignes, parfois, c'est long, surtout quand les
Start sont en fait des Stops :)
Et puis, si tu peux me dire en deux phrases comment prendre un script
Slackware et l'installer dans Debian, je suis preneur.
Le mien là, juste pour vérifier les fichiers, il fait 3 lignes. Et,
passser de 1200 à 3 lignes, parfois, c'est long, surtout quand les
Start sont en fait des Stops :)
Et puis, si tu peux me dire en deux phrases comment prendre un script
Slackware et l'installer dans Debian, je suis preneur.
Le mien là, juste pour vérifier les fichiers, il fait 3 lignes. Et,
passser de 1200 à 3 lignes, parfois, c'est long, surtout quand les
Start sont en fait des Stops :)
... ça ne correspond pas, ni de près, ni de loin, à ce que tout
utilisateur de linux un peu « ancien » peut constater par lui-même
du chemin parcouru depuis ... disons 1996 (premières distributions
sur CD auto installables disponibles largement - en général vendues
avec un MacMillan quelconque). Les pilotes de hardware ne sont pas
... ça ne correspond pas, ni de près, ni de loin, à ce que tout
utilisateur de linux un peu « ancien » peut constater par lui-même
du chemin parcouru depuis ... disons 1996 (premières distributions
sur CD auto installables disponibles largement - en général vendues
avec un MacMillan quelconque). Les pilotes de hardware ne sont pas
... ça ne correspond pas, ni de près, ni de loin, à ce que tout
utilisateur de linux un peu « ancien » peut constater par lui-même
du chemin parcouru depuis ... disons 1996 (premières distributions
sur CD auto installables disponibles largement - en général vendues
avec un MacMillan quelconque). Les pilotes de hardware ne sont pas
Et après dire qu'il y en a qui s'étonnent de recevoir des réponses
désagréables. Après "morveux", voici les utilisateurs de Debian "niais".
Ça fait toujours plaisir.
Et après dire qu'il y en a qui s'étonnent de recevoir des réponses
désagréables. Après "morveux", voici les utilisateurs de Debian "niais".
Ça fait toujours plaisir.
Et après dire qu'il y en a qui s'étonnent de recevoir des réponses
désagréables. Après "morveux", voici les utilisateurs de Debian "niais".
Ça fait toujours plaisir.
Manuel Viet writes:... ça ne correspond pas, ni de près, ni de loin, à ce que tout
utilisateur de linux un peu « ancien » peut constater par lui-même
du chemin parcouru depuis ... disons 1996 (premières distributions
sur CD auto installables disponibles largement - en général vendues
avec un MacMillan quelconque). Les pilotes de hardware ne sont pas
MacMilan, tu veux rire ? C'est la grande époque de MNIS et des
Logiciels du Soleil...
Manuel Viet <manuel@cette.adresse.est.invalid> writes:
... ça ne correspond pas, ni de près, ni de loin, à ce que tout
utilisateur de linux un peu « ancien » peut constater par lui-même
du chemin parcouru depuis ... disons 1996 (premières distributions
sur CD auto installables disponibles largement - en général vendues
avec un MacMillan quelconque). Les pilotes de hardware ne sont pas
MacMilan, tu veux rire ? C'est la grande époque de MNIS et des
Logiciels du Soleil...
Manuel Viet writes:... ça ne correspond pas, ni de près, ni de loin, à ce que tout
utilisateur de linux un peu « ancien » peut constater par lui-même
du chemin parcouru depuis ... disons 1996 (premières distributions
sur CD auto installables disponibles largement - en général vendues
avec un MacMillan quelconque). Les pilotes de hardware ne sont pas
MacMilan, tu veux rire ? C'est la grande époque de MNIS et des
Logiciels du Soleil...