Ayé
J'ai craqué
mais j'ai quand même été raisonnable
du coup pas de D3 (ç'aurait été *très* con), bienvenue D300 (c'est déjà une
folie) :-)
Je m'interroge à propos d'une petite option que je n'avais pas sur le D70
(y'en a pas qu'une, hein ;-) ):
on peut choisir, en plus du jpeg, entre Raw et Tiff...
Et je me demandais quel intérêt pouvait bien avoir le Tiff par rapport au
Raw, vu qu'il prend quand même pas mal plus de place...
Merci d'avance aux spécialistes des formats en tout genre
Non pas forcément, c'est suivant l'utilisation que l'on en fait qui importe. Une image jpg ouverte trop souvent, perd de sa qualité.
Heu ???
Toujours en gros, une image jpg que l'on ouvre, est traitée par élimination des extrêmes (pixels) et refait une moyenne, donc elle se dissout (c'est pas cher ;-)) un peu à chaque ouverture.
C'est pas ton cerveau qui se dissout à chaque réveil ?
-- Jean-Claude Ghislain www.grimart.com
Non pas forcément, c'est suivant l'utilisation que l'on en fait qui
importe.
Une image jpg ouverte trop souvent, perd de sa qualité.
Heu ???
Toujours en gros, une image jpg que l'on ouvre, est traitée par
élimination des extrêmes (pixels) et refait une moyenne, donc elle se
dissout (c'est pas cher ;-)) un peu à chaque ouverture.
C'est pas ton cerveau qui se dissout à chaque réveil ?
Non pas forcément, c'est suivant l'utilisation que l'on en fait qui importe. Une image jpg ouverte trop souvent, perd de sa qualité.
Heu ???
Toujours en gros, une image jpg que l'on ouvre, est traitée par élimination des extrêmes (pixels) et refait une moyenne, donc elle se dissout (c'est pas cher ;-)) un peu à chaque ouverture.
C'est pas ton cerveau qui se dissout à chaque réveil ?
-- Jean-Claude Ghislain www.grimart.com
jpw
"LG" a écrit
voulez vous dire que vous croyez qu'il est préférable de faire ses photos en tiff qu'en raw ou jpeg ?? c'est ça ??
Non pas forcément, c'est suivant l'utilisation que l'on en fait qui
importe.
j'aimerais trouver des cas d'utilisation qui illustrerais l'intérêt de prendre des photos en tiff, je n'en vois aucun mais vous allez m'en montrer c'est sur
n'est ce pas ??
Une image jpg ouverte trop souvent, perd de sa qualité.
non c'est faux ce n'est pas de l'ouvrir souvent qui fait dégrader la qualité des jpeg
Toujours en gros, une image jpg que l'on ouvre, est traitée par élimination des extrêmes (pixels) et refait une moyenne, donc elle se dissout (c'est pas cher ;-)) un peu à chaque ouverture.
faut être neuneu pour ouvrir et réengistrer une image à chaque ouverture maintenant
jpw
"LG" <lg@busmail.net> a écrit
voulez vous dire que vous croyez qu'il est préférable de faire ses photos
en
tiff qu'en raw ou jpeg ??
c'est ça ??
Non pas forcément, c'est suivant l'utilisation que l'on en fait qui
importe.
j'aimerais trouver des cas d'utilisation qui illustrerais l'intérêt
de prendre des photos en tiff, je n'en vois aucun
mais vous allez m'en montrer c'est sur
n'est ce pas ??
Une image jpg ouverte trop souvent, perd de sa qualité.
non c'est faux ce n'est pas de l'ouvrir souvent qui fait dégrader la qualité
des jpeg
Toujours en gros, une image jpg que l'on ouvre, est traitée par
élimination des extrêmes (pixels) et refait une moyenne, donc elle se
dissout (c'est pas cher ;-)) un peu à chaque ouverture.
faut être neuneu pour ouvrir et réengistrer une image à chaque ouverture
maintenant
voulez vous dire que vous croyez qu'il est préférable de faire ses photos en tiff qu'en raw ou jpeg ?? c'est ça ??
Non pas forcément, c'est suivant l'utilisation que l'on en fait qui
importe.
j'aimerais trouver des cas d'utilisation qui illustrerais l'intérêt de prendre des photos en tiff, je n'en vois aucun mais vous allez m'en montrer c'est sur
n'est ce pas ??
Une image jpg ouverte trop souvent, perd de sa qualité.
non c'est faux ce n'est pas de l'ouvrir souvent qui fait dégrader la qualité des jpeg
Toujours en gros, une image jpg que l'on ouvre, est traitée par élimination des extrêmes (pixels) et refait une moyenne, donc elle se dissout (c'est pas cher ;-)) un peu à chaque ouverture.
faut être neuneu pour ouvrir et réengistrer une image à chaque ouverture maintenant
jpw
LG
"Octave" a écrit dans le message de news:
LG a exprimé avec précision :
Une image jpg ouverte trop souvent, perd de sa qualité. Toujours en gros, une image jpg que l'on ouvre, est traitée par élimination des extrêmes (pixels) et refait une moyenne, donc elle se dissout (c'est pas cher ;-)) un peu à chaque ouverture.
Ah bon! Quelqu'un peut confirmer ?! Je pensais qu'un jpg se dégradait à chaque nouvel enregistrement et non pas à chaque ouverture.
Exact, mais pour l'enregistrer, il faut l'ouvrir. Même problème avec l'oeuf.
Qui est le premier de l'oeuf ou la poule. Aller, blague ;-)) Lg
"Octave" <octavoctav@wanadoo.fr> a écrit dans le message de news:
mn.7c837d81d8d24f68.72551@wanadoo.fr...
LG a exprimé avec précision :
Une image jpg ouverte trop souvent, perd de sa qualité.
Toujours en gros, une image jpg que l'on ouvre, est traitée par
élimination des extrêmes (pixels) et refait une moyenne, donc elle se
dissout (c'est pas cher ;-)) un peu à chaque ouverture.
Ah bon!
Quelqu'un peut confirmer ?!
Je pensais qu'un jpg se dégradait à chaque nouvel enregistrement et non
pas à chaque ouverture.
Exact, mais pour l'enregistrer, il faut l'ouvrir. Même problème avec l'oeuf.
Qui est le premier de l'oeuf ou la poule.
Aller, blague ;-))
Lg
Une image jpg ouverte trop souvent, perd de sa qualité. Toujours en gros, une image jpg que l'on ouvre, est traitée par élimination des extrêmes (pixels) et refait une moyenne, donc elle se dissout (c'est pas cher ;-)) un peu à chaque ouverture.
Ah bon! Quelqu'un peut confirmer ?! Je pensais qu'un jpg se dégradait à chaque nouvel enregistrement et non pas à chaque ouverture.
Exact, mais pour l'enregistrer, il faut l'ouvrir. Même problème avec l'oeuf.
Qui est le premier de l'oeuf ou la poule. Aller, blague ;-)) Lg
Jean-Claude Ghislain
Je pensais qu'un jpg se dégradait à chaque nouvel enregistrement et non pas à chaque ouverture.
Le jpeg ne se dégrade évidemment pas à l'ouverture, il est peut-être temps de reposter, une fois encore, un vieillerie, et merci à Gerard Guenin dont je me suis inspiré pour la première partie de ce post.
- La compression JPEG travaille sur des blocs de 8 x 8 pixels en Y,Cb,Cr (Par rapport au RVB cela permet déjà une diminution des infos de couleur pratiquement invisible)
Phase 1: - Les 3 x 64 éléments subissent une transformation mathématique (cosinus discret) qui produit 3 x 64 coefficients.
Phase 2: - Les 3 x 64 coefficients subissent alors une opération de seuillage + quantification. C'est à ce stade que s'effectue l'éventuelle dégradation de l'image. Le but de l'opération est d'obtenir un maximum de coefficients égaux à 0. L'image est donc transformée (et éventuellement dégradée) mais occupe encore LA MÊME place que les blocs RVB d'origine ! Si, à partir de ces 3*64 coefficients ont applique la transformation inverse, on retrouve les 64 pixels, mais transformé. Les phases de seuillage et quantification n'ont pas pour but de compresser quoi que ce soit, mais de préparer la futur compression en faisant apparaître un maximum de coefficients nuls. Lorsqu'on choisit un taux de compression dans son logiciel de retouche, ce sont en fait la valeur du seuil et la précision de la quantification que l'on choisit.
Phase 3: - Suit alors une COMPRESSION de type RLC et un codage de Huffman. Ces deux dernières opérations sont COMPLÈTEMENT réversibles donc NON destructrices. Le codage de huffman sert à améliorer la compression. C'est un codage probabiliste à longueur variable. En gros on code sur un petit nombre de bits les valeurs dont la probabilité d'apparition est importante et sur un grand nombre de bits celles dont la probabilité d'apparition est la plus faible. (un peu comme le morse qui code le E avec un seul point et le Q avec une suite trait, trait, point, trait)
Le paradoxe de tout ça est que l'algorithme de compression utilisée dans le JPEG est non destructeur, alors que l'ensemble du processus l'est (ou peut l'être).
Aspect Pratique :
Si l'on regarde le fonctionnement de l'algo JPEG, on se rend compte que pour une image donnée et un taux de compression donné, on peut sauvegarder en .jpg une fois, dix fois, cent fois, mille fois, l'image finale est toujours strictement identique à celle de départ. Les carrés de 8x8 sur lesquels l'algo travaille auront le même contenu de départ, et le résultat en sortie sera parfaitement identique. J'invite les septiques a réaliser, comme moi, un petit script qui chargera et sauvera la même image quelques centaines de fois et de comparer avec l'originale. [ Pour les méticuleux, il y a une légère différence entre la génération 1 et la 2 puis après... ]
Maintenant, si l'on touche à l'un des facteurs, soit l'image, soit la compression, il y aura un "recalcul" et, éventuellement, une nouvelle dégradation. Voici trois cas de figure représentatifs :
1 - Changement du taux de compression. a. On compresse plus fort. Chacun sera d'accord, il va falloir éliminer d'autres détails et perdre encore un peu de qualité. b. On compresse moins fort. Super, mais on ne retrouvera jamais ce qui avait déjà été supprimé.
2 - On ouvre l'image, on retouche une vilaine poussière et on resauve avec le même soft et le même taux de compression. L'image est identique à l'exception de quelques pixels (la poussière). Cette image resauvée 10, 100, 1000 fois sera identique à celle de départ sauf pour la zone de la poussière.
3 - On ouvre l'image et on applique un filtre plus net ou on touche au contraste ou au gamma ou à la colorimétrie, ici l'entièreté de l'image a changé, si on la resauve en JPEG, l'entièreté de l'image sera recalculé en fonction de ses nouvelles caractéristiques et induira, c'est probable, une perte supplémentaire par rapport à l'originale. Une image que l'on est en train de retoucher, ne doit pas être sauvée en .jpg pendant les phases intermédiaires.
Un recadrage s'apparente au point 3 et équivaut à une nouvelle image avec une nouvelle interprétation de l'algorithme JPEG, sauf (cas hautement improbable) si le recadrage est pile poil un multiple de la matrice JPEG. Autant ne pas spéculer sur cette hypothétique possibilité. [ Sauf avec un soft prévu pour, comme "JPEGCrop"]
http://www.faqs.org/faqs/jpeg-faq/
Toutes ces considérations sont valables pour le JPEG traditionnel mais pas pour le JPEG 2000 qui utilise une toute autre technologie.
-- Jean-Claude Ghislain www.grimart.com
Je pensais qu'un jpg se dégradait à chaque nouvel enregistrement et
non pas à chaque ouverture.
Le jpeg ne se dégrade évidemment pas à l'ouverture, il est peut-être
temps de reposter, une fois encore, un vieillerie, et merci à Gerard
Guenin dont je me suis inspiré pour la première partie de ce post.
- La compression JPEG travaille sur des blocs de 8 x 8 pixels en Y,Cb,Cr
(Par rapport au RVB cela permet déjà une diminution des infos de couleur
pratiquement invisible)
Phase 1:
- Les 3 x 64 éléments subissent une transformation mathématique (cosinus
discret) qui produit 3 x 64 coefficients.
Phase 2:
- Les 3 x 64 coefficients subissent alors une opération de seuillage +
quantification. C'est à ce stade que s'effectue l'éventuelle dégradation
de l'image. Le but de l'opération est d'obtenir un maximum de
coefficients égaux à 0. L'image est donc transformée (et éventuellement
dégradée) mais occupe encore LA MÊME place que les blocs RVB d'origine !
Si, à partir de ces 3*64 coefficients ont applique la transformation
inverse, on retrouve les 64 pixels, mais transformé. Les phases de
seuillage et quantification n'ont pas pour but de compresser quoi que ce
soit, mais de préparer la futur compression en faisant apparaître un
maximum de coefficients nuls. Lorsqu'on choisit un taux de compression
dans son logiciel de retouche, ce sont en fait la valeur du seuil et la
précision de la quantification que l'on choisit.
Phase 3:
- Suit alors une COMPRESSION de type RLC et un codage de Huffman. Ces
deux dernières opérations sont COMPLÈTEMENT réversibles donc NON
destructrices. Le codage de huffman sert à améliorer la compression.
C'est un codage probabiliste à longueur variable. En gros on code sur un
petit nombre de bits les valeurs dont la probabilité d'apparition est
importante et sur un grand nombre de bits celles dont la probabilité
d'apparition est la plus faible. (un peu comme le morse qui code le E
avec un seul point et le Q avec une suite trait, trait, point, trait)
Le paradoxe de tout ça est que l'algorithme de compression utilisée dans
le JPEG est non destructeur, alors que l'ensemble du processus l'est (ou
peut l'être).
Aspect Pratique :
Si l'on regarde le fonctionnement de l'algo JPEG, on se rend compte que
pour une image donnée et un taux de compression donné, on peut
sauvegarder en .jpg une fois, dix fois, cent fois, mille fois, l'image
finale est toujours strictement identique à celle de départ. Les carrés
de 8x8 sur lesquels l'algo travaille auront le même contenu de départ,
et le résultat en sortie sera parfaitement identique. J'invite les
septiques a réaliser, comme moi, un petit script qui chargera et sauvera
la même image quelques centaines de fois et de comparer avec
l'originale. [ Pour les méticuleux, il y a une légère différence entre
la génération 1 et la 2 puis après... ]
Maintenant, si l'on touche à l'un des facteurs, soit l'image, soit la
compression, il y aura un "recalcul" et, éventuellement, une nouvelle
dégradation. Voici trois cas de figure représentatifs :
1 - Changement du taux de compression.
a. On compresse plus fort. Chacun sera d'accord, il va falloir éliminer
d'autres détails et perdre encore un peu de qualité.
b. On compresse moins fort. Super, mais on ne retrouvera jamais ce qui
avait déjà été supprimé.
2 - On ouvre l'image, on retouche une vilaine poussière et on resauve
avec le même soft et le même taux de compression. L'image est identique
à l'exception de quelques pixels (la poussière). Cette image resauvée
10, 100, 1000 fois sera identique à celle de départ sauf pour la zone de
la poussière.
3 - On ouvre l'image et on applique un filtre plus net ou on touche au
contraste ou au gamma ou à la colorimétrie, ici l'entièreté de l'image a
changé, si on la resauve en JPEG, l'entièreté de l'image sera recalculé
en fonction de ses nouvelles caractéristiques et induira, c'est
probable, une perte supplémentaire par rapport à l'originale. Une image
que l'on est en train de retoucher, ne doit pas être sauvée en .jpg
pendant les phases intermédiaires.
Un recadrage s'apparente au point 3 et équivaut à une nouvelle image
avec une nouvelle interprétation de l'algorithme JPEG, sauf (cas
hautement improbable) si le recadrage est pile poil un multiple de la
matrice JPEG. Autant ne pas spéculer sur cette hypothétique possibilité.
[ Sauf avec un soft prévu pour, comme "JPEGCrop"]
http://www.faqs.org/faqs/jpeg-faq/
Toutes ces considérations sont valables pour le JPEG traditionnel mais
pas pour le JPEG 2000 qui utilise une toute autre technologie.
Je pensais qu'un jpg se dégradait à chaque nouvel enregistrement et non pas à chaque ouverture.
Le jpeg ne se dégrade évidemment pas à l'ouverture, il est peut-être temps de reposter, une fois encore, un vieillerie, et merci à Gerard Guenin dont je me suis inspiré pour la première partie de ce post.
- La compression JPEG travaille sur des blocs de 8 x 8 pixels en Y,Cb,Cr (Par rapport au RVB cela permet déjà une diminution des infos de couleur pratiquement invisible)
Phase 1: - Les 3 x 64 éléments subissent une transformation mathématique (cosinus discret) qui produit 3 x 64 coefficients.
Phase 2: - Les 3 x 64 coefficients subissent alors une opération de seuillage + quantification. C'est à ce stade que s'effectue l'éventuelle dégradation de l'image. Le but de l'opération est d'obtenir un maximum de coefficients égaux à 0. L'image est donc transformée (et éventuellement dégradée) mais occupe encore LA MÊME place que les blocs RVB d'origine ! Si, à partir de ces 3*64 coefficients ont applique la transformation inverse, on retrouve les 64 pixels, mais transformé. Les phases de seuillage et quantification n'ont pas pour but de compresser quoi que ce soit, mais de préparer la futur compression en faisant apparaître un maximum de coefficients nuls. Lorsqu'on choisit un taux de compression dans son logiciel de retouche, ce sont en fait la valeur du seuil et la précision de la quantification que l'on choisit.
Phase 3: - Suit alors une COMPRESSION de type RLC et un codage de Huffman. Ces deux dernières opérations sont COMPLÈTEMENT réversibles donc NON destructrices. Le codage de huffman sert à améliorer la compression. C'est un codage probabiliste à longueur variable. En gros on code sur un petit nombre de bits les valeurs dont la probabilité d'apparition est importante et sur un grand nombre de bits celles dont la probabilité d'apparition est la plus faible. (un peu comme le morse qui code le E avec un seul point et le Q avec une suite trait, trait, point, trait)
Le paradoxe de tout ça est que l'algorithme de compression utilisée dans le JPEG est non destructeur, alors que l'ensemble du processus l'est (ou peut l'être).
Aspect Pratique :
Si l'on regarde le fonctionnement de l'algo JPEG, on se rend compte que pour une image donnée et un taux de compression donné, on peut sauvegarder en .jpg une fois, dix fois, cent fois, mille fois, l'image finale est toujours strictement identique à celle de départ. Les carrés de 8x8 sur lesquels l'algo travaille auront le même contenu de départ, et le résultat en sortie sera parfaitement identique. J'invite les septiques a réaliser, comme moi, un petit script qui chargera et sauvera la même image quelques centaines de fois et de comparer avec l'originale. [ Pour les méticuleux, il y a une légère différence entre la génération 1 et la 2 puis après... ]
Maintenant, si l'on touche à l'un des facteurs, soit l'image, soit la compression, il y aura un "recalcul" et, éventuellement, une nouvelle dégradation. Voici trois cas de figure représentatifs :
1 - Changement du taux de compression. a. On compresse plus fort. Chacun sera d'accord, il va falloir éliminer d'autres détails et perdre encore un peu de qualité. b. On compresse moins fort. Super, mais on ne retrouvera jamais ce qui avait déjà été supprimé.
2 - On ouvre l'image, on retouche une vilaine poussière et on resauve avec le même soft et le même taux de compression. L'image est identique à l'exception de quelques pixels (la poussière). Cette image resauvée 10, 100, 1000 fois sera identique à celle de départ sauf pour la zone de la poussière.
3 - On ouvre l'image et on applique un filtre plus net ou on touche au contraste ou au gamma ou à la colorimétrie, ici l'entièreté de l'image a changé, si on la resauve en JPEG, l'entièreté de l'image sera recalculé en fonction de ses nouvelles caractéristiques et induira, c'est probable, une perte supplémentaire par rapport à l'originale. Une image que l'on est en train de retoucher, ne doit pas être sauvée en .jpg pendant les phases intermédiaires.
Un recadrage s'apparente au point 3 et équivaut à une nouvelle image avec une nouvelle interprétation de l'algorithme JPEG, sauf (cas hautement improbable) si le recadrage est pile poil un multiple de la matrice JPEG. Autant ne pas spéculer sur cette hypothétique possibilité. [ Sauf avec un soft prévu pour, comme "JPEGCrop"]
http://www.faqs.org/faqs/jpeg-faq/
Toutes ces considérations sont valables pour le JPEG traditionnel mais pas pour le JPEG 2000 qui utilise une toute autre technologie.
-- Jean-Claude Ghislain www.grimart.com
LG
"jpw" a écrit dans le message de news: 478cf89a$0$24184$
"LG" a écrit
voulez vous dire que vous croyez qu'il est préférable de faire ses photos en tiff qu'en raw ou jpeg ?? c'est ça ??
Non pas forcément, c'est suivant l'utilisation que l'on en fait qui
importe.
j'aimerais trouver des cas d'utilisation qui illustrerais l'intérêt de prendre des photos en tiff, je n'en vois aucun mais vous allez m'en montrer c'est sur
n'est ce pas ??
Une image jpg ouverte trop souvent, perd de sa qualité.
non c'est faux ce n'est pas de l'ouvrir souvent qui fait dégrader la qualité des jpeg
Toujours en gros, une image jpg que l'on ouvre, est traitée par élimination des extrêmes (pixels) et refait une moyenne, donc elle se dissout (c'est pas cher ;-)) un peu à chaque ouverture.
faut être neuneu pour ouvrir et réengistrer une image à chaque ouverture maintenant
jpw
Le neuneu te remercie pour ta compréhension du problème.
Pour moi, ouvrir une image, n'est pas égal à visionner une image. Je n'enregistre pas après avoir visionner une image et personne ne le fait. La différence est dans la terminologie, alors, si tu ne peut comprendre, n'insulte pas, demande des précisions. Lg
"jpw" <jprafarin@jpw.fr> a écrit dans le message de news:
478cf89a$0$24184$426a74cc@news.free.fr...
"LG" <lg@busmail.net> a écrit
voulez vous dire que vous croyez qu'il est préférable de faire ses
photos en
tiff qu'en raw ou jpeg ??
c'est ça ??
Non pas forcément, c'est suivant l'utilisation que l'on en fait qui
importe.
j'aimerais trouver des cas d'utilisation qui illustrerais l'intérêt
de prendre des photos en tiff, je n'en vois aucun
mais vous allez m'en montrer c'est sur
n'est ce pas ??
Une image jpg ouverte trop souvent, perd de sa qualité.
non c'est faux ce n'est pas de l'ouvrir souvent qui fait dégrader la
qualité des jpeg
Toujours en gros, une image jpg que l'on ouvre, est traitée par
élimination des extrêmes (pixels) et refait une moyenne, donc elle se
dissout (c'est pas cher ;-)) un peu à chaque ouverture.
faut être neuneu pour ouvrir et réengistrer une image à chaque ouverture
maintenant
jpw
Le neuneu te remercie pour ta compréhension du problème.
Pour moi, ouvrir une image, n'est pas égal à visionner une image.
Je n'enregistre pas après avoir visionner une image et personne ne le fait.
La différence est dans la terminologie, alors, si tu ne peut comprendre,
n'insulte pas, demande des précisions.
Lg
"jpw" a écrit dans le message de news: 478cf89a$0$24184$
"LG" a écrit
voulez vous dire que vous croyez qu'il est préférable de faire ses photos en tiff qu'en raw ou jpeg ?? c'est ça ??
Non pas forcément, c'est suivant l'utilisation que l'on en fait qui
importe.
j'aimerais trouver des cas d'utilisation qui illustrerais l'intérêt de prendre des photos en tiff, je n'en vois aucun mais vous allez m'en montrer c'est sur
n'est ce pas ??
Une image jpg ouverte trop souvent, perd de sa qualité.
non c'est faux ce n'est pas de l'ouvrir souvent qui fait dégrader la qualité des jpeg
Toujours en gros, une image jpg que l'on ouvre, est traitée par élimination des extrêmes (pixels) et refait une moyenne, donc elle se dissout (c'est pas cher ;-)) un peu à chaque ouverture.
faut être neuneu pour ouvrir et réengistrer une image à chaque ouverture maintenant
jpw
Le neuneu te remercie pour ta compréhension du problème.
Pour moi, ouvrir une image, n'est pas égal à visionner une image. Je n'enregistre pas après avoir visionner une image et personne ne le fait. La différence est dans la terminologie, alors, si tu ne peut comprendre, n'insulte pas, demande des précisions. Lg
Bruno
markorki wrote:
non, juste qu'avant dématriçage il y a 2 verts pour un rouge et un bleu, soit bien 4 matrices de points dans le raw (sauf dans un foveon)
Nein, juste 3 matrices. Simplement la matrice pour le vert comporte deux fois plus d'éléments que les matrices pour le bleu et pour le rouge.
Charles et concernant le foveon sigma 14mpx en fait 3 fois moins ?
markorki wrote:
non, juste qu'avant dématriçage il y a 2 verts pour un rouge et un
bleu, soit bien 4 matrices de points dans le raw (sauf dans un foveon)
Nein, juste 3 matrices. Simplement la matrice pour le vert comporte deux
fois plus d'éléments que les matrices pour le bleu et pour le rouge.
Charles
et concernant le foveon sigma 14mpx en fait 3 fois moins ?
non, juste qu'avant dématriçage il y a 2 verts pour un rouge et un bleu, soit bien 4 matrices de points dans le raw (sauf dans un foveon)
Nein, juste 3 matrices. Simplement la matrice pour le vert comporte deux fois plus d'éléments que les matrices pour le bleu et pour le rouge.
Charles et concernant le foveon sigma 14mpx en fait 3 fois moins ?
jpw
"LG" a écrit
j'aimerais trouver des cas d'utilisation qui illustrerais l'intérêt de prendre des photos en tiff, je n'en vois aucun mais vous allez m'en montrer c'est sur
n'est ce pas ??
Une image jpg ouverte trop souvent, perd de sa qualité. non c'est faux ce n'est pas de l'ouvrir souvent qui fait dégrader la
qualité des jpeg
Toujours en gros, une image jpg que l'on ouvre, est traitée par élimination des extrêmes (pixels) et refait une moyenne, donc elle se dissout (c'est pas cher ;-)) un peu à chaque ouverture.
faut être neuneu pour ouvrir et réengistrer une image à chaque ouverture maintenant
Le neuneu te remercie pour ta compréhension du problème.
mais je ne te considère pas comme un neuneu je pense que tu t'es mal exprimé c'est tout
Pour moi, ouvrir une image, n'est pas égal à visionner une image.
???????
Je n'enregistre pas après avoir visionner une image et personne ne le fait.
donc l'image jpeg ne se dégrade pas dans ces conditions n'est ce pas ??
La différence est dans la terminologie, alors, si tu ne peut comprendre, n'insulte pas, demande des précisions.
mais je comprend fort bien je pense que c'est un sujet que je maîtrise à peu près mais comme je ne suis pas d'accord avec ton affirmation j'ai demandé des précisions reporte toi au début de post il ya une question qui attend ta réponse.
merci d'avance.
jpw
"LG" <lg@busmail.net> a écrit
j'aimerais trouver des cas d'utilisation qui illustrerais l'intérêt
de prendre des photos en tiff, je n'en vois aucun
mais vous allez m'en montrer c'est sur
n'est ce pas ??
Une image jpg ouverte trop souvent, perd de sa qualité.
non c'est faux ce n'est pas de l'ouvrir souvent qui fait dégrader la
qualité des jpeg
Toujours en gros, une image jpg que l'on ouvre, est traitée par
élimination des extrêmes (pixels) et refait une moyenne, donc elle se
dissout (c'est pas cher ;-)) un peu à chaque ouverture.
faut être neuneu pour ouvrir et réengistrer une image à chaque ouverture
maintenant
Le neuneu te remercie pour ta compréhension du problème.
mais je ne te considère pas comme un neuneu
je pense que tu t'es mal exprimé c'est tout
Pour moi, ouvrir une image, n'est pas égal à visionner une image.
???????
Je n'enregistre pas après avoir visionner une image et personne ne le
fait.
donc l'image jpeg ne se dégrade pas dans ces conditions
n'est ce pas ??
La différence est dans la terminologie, alors, si tu ne peut comprendre,
n'insulte pas, demande des précisions.
mais je comprend fort bien
je pense que c'est un sujet que je maîtrise à peu près
mais comme je ne suis pas d'accord avec ton affirmation
j'ai demandé des précisions
reporte toi au début de post
il ya une question qui attend ta réponse.
j'aimerais trouver des cas d'utilisation qui illustrerais l'intérêt de prendre des photos en tiff, je n'en vois aucun mais vous allez m'en montrer c'est sur
n'est ce pas ??
Une image jpg ouverte trop souvent, perd de sa qualité. non c'est faux ce n'est pas de l'ouvrir souvent qui fait dégrader la
qualité des jpeg
Toujours en gros, une image jpg que l'on ouvre, est traitée par élimination des extrêmes (pixels) et refait une moyenne, donc elle se dissout (c'est pas cher ;-)) un peu à chaque ouverture.
faut être neuneu pour ouvrir et réengistrer une image à chaque ouverture maintenant
Le neuneu te remercie pour ta compréhension du problème.
mais je ne te considère pas comme un neuneu je pense que tu t'es mal exprimé c'est tout
Pour moi, ouvrir une image, n'est pas égal à visionner une image.
???????
Je n'enregistre pas après avoir visionner une image et personne ne le fait.
donc l'image jpeg ne se dégrade pas dans ces conditions n'est ce pas ??
La différence est dans la terminologie, alors, si tu ne peut comprendre, n'insulte pas, demande des précisions.
mais je comprend fort bien je pense que c'est un sujet que je maîtrise à peu près mais comme je ne suis pas d'accord avec ton affirmation j'ai demandé des précisions reporte toi au début de post il ya une question qui attend ta réponse.
merci d'avance.
jpw
jpw
"Bruno" a écrit dans le message de news: fmivfk$j9t$
markorki wrote:
non, juste qu'avant dématriçage il y a 2 verts pour un rouge et un bleu, soit bien 4 matrices de points dans le raw (sauf dans un foveon)
Nein, juste 3 matrices. Simplement la matrice pour le vert comporte deux fois plus d'éléments que les matrices pour le bleu et pour le rouge.
Charles et concernant le foveon sigma 14mpx en fait 3 fois moins ?
exact
jpw
"Bruno" <bruno@latatarque.org> a écrit dans le message de news:
fmivfk$j9t$1@aioe.org...
markorki wrote:
non, juste qu'avant dématriçage il y a 2 verts pour un rouge et un bleu,
soit bien 4 matrices de points dans le raw (sauf dans un foveon)
Nein, juste 3 matrices. Simplement la matrice pour le vert comporte deux
fois plus d'éléments que les matrices pour le bleu et pour le rouge.
Charles
et concernant le foveon sigma 14mpx en fait 3 fois moins ?
"jpw" a écrit dans le message de news: 478d01a7$0$24731$
"LG" a écrit
Pour moi, ouvrir une image, n'est pas égal à visionner une image.
???????
Je m'explique donc, toujours en gros : ton post dans ce forum, je le lis,
pour y répondre, je doit l'ouvrir, le modifier si nécessaire, puis l'enregistrer-envoyer. ;-) Lg
Stephane Legras-Decussy
"LG" a écrit dans le message de news: 478cf168$0$29256$
Manque le noir, C + M + Y + N soit quatre images.
?? euh non... à part les photosites masqués au bord du capteur pour le niveau de noir.... ya pas de noir...
Cela reste dit pour schématiser, sans rentrer dans le détail et autres chipoteries. Comme dit plus haut, le raw n'est pas portable. Le tif est un fichier garantissant une portabilité et une longévité d'utilisation contrairement au jpg.
le jpeg n'est pas portable ? le jour ou un soft ne saura plus ouvrir du jpeg, c'est que la planète aura explosé...
au contraire, j'ai des souçis de portabilité avec du tiff.... surtout en version tiff compréssé...
"LG" <lg@busmail.net> a écrit dans le message de news:
478cf168$0$29256$ba620e4c@news.skynet.be...
Manque le noir, C + M + Y + N soit quatre images.
?? euh non... à part les photosites masqués au bord
du capteur pour le niveau de noir.... ya pas de noir...
Cela reste dit pour schématiser, sans rentrer dans le détail et autres
chipoteries.
Comme dit plus haut, le raw n'est pas portable. Le tif est un fichier
garantissant une portabilité et une longévité d'utilisation contrairement
au jpg.
le jpeg n'est pas portable ?
le jour ou un soft ne saura plus ouvrir du jpeg, c'est
que la planète aura explosé...
au contraire, j'ai des souçis de portabilité avec
du tiff.... surtout en version tiff compréssé...
"LG" a écrit dans le message de news: 478cf168$0$29256$
Manque le noir, C + M + Y + N soit quatre images.
?? euh non... à part les photosites masqués au bord du capteur pour le niveau de noir.... ya pas de noir...
Cela reste dit pour schématiser, sans rentrer dans le détail et autres chipoteries. Comme dit plus haut, le raw n'est pas portable. Le tif est un fichier garantissant une portabilité et une longévité d'utilisation contrairement au jpg.
le jpeg n'est pas portable ? le jour ou un soft ne saura plus ouvrir du jpeg, c'est que la planète aura explosé...
au contraire, j'ai des souçis de portabilité avec du tiff.... surtout en version tiff compréssé...