Pour la photo, je ne connais pas de moyen de reproduire une image avec une
finesse meilleure que le 300ppi
Il y a les Agfa D-LAB, les Durst Lambda ou encore les Lightjet qui travaillent
à 400 ppi et le gain de qualité par rapport à une machine à 300 dpi est
visible.
Pour la photo, je ne connais pas de moyen de reproduire une image avec une
finesse meilleure que le 300ppi
Il y a les Agfa D-LAB, les Durst Lambda ou encore les Lightjet qui travaillent
à 400 ppi et le gain de qualité par rapport à une machine à 300 dpi est
visible.
Pour la photo, je ne connais pas de moyen de reproduire une image avec une
finesse meilleure que le 300ppi
Il y a les Agfa D-LAB, les Durst Lambda ou encore les Lightjet qui travaillent
à 400 ppi et le gain de qualité par rapport à une machine à 300 dpi est
visible.
Pour la photo, je ne connais pas de moyen de reproduire une image avec
une finesse meilleure que le 300ppi
Il y a les Agfa D-LAB, les Durst Lambda ou encore les Lightjet qui
travaillent à 400 ppi et le gain de qualité par rapport à une machine à
300 dpi est visible.
et n'oubliez pas qu'on peut travailler en noir et blanc, les
Pour la photo, je ne connais pas de moyen de reproduire une image avec
une finesse meilleure que le 300ppi
Il y a les Agfa D-LAB, les Durst Lambda ou encore les Lightjet qui
travaillent à 400 ppi et le gain de qualité par rapport à une machine à
300 dpi est visible.
et n'oubliez pas qu'on peut travailler en noir et blanc, les
Pour la photo, je ne connais pas de moyen de reproduire une image avec
une finesse meilleure que le 300ppi
Il y a les Agfa D-LAB, les Durst Lambda ou encore les Lightjet qui
travaillent à 400 ppi et le gain de qualité par rapport à une machine à
300 dpi est visible.
et n'oubliez pas qu'on peut travailler en noir et blanc, les
Il y a les Agfa D-LAB, les Durst Lambda ou encore les Lightjet qui
travaillent à 400 ppi et le gain de qualité par rapport à une machine
à 300 dpi est visible.
C'est un matériel qui à tendance à ce populariser ?
Il y a les Agfa D-LAB, les Durst Lambda ou encore les Lightjet qui
travaillent à 400 ppi et le gain de qualité par rapport à une machine
à 300 dpi est visible.
C'est un matériel qui à tendance à ce populariser ?
Il y a les Agfa D-LAB, les Durst Lambda ou encore les Lightjet qui
travaillent à 400 ppi et le gain de qualité par rapport à une machine
à 300 dpi est visible.
C'est un matériel qui à tendance à ce populariser ?
et n'oubliez pas qu'on peut travailler en noir et blanc, les
imprimantes font alors bien mieux que 300dpi
et n'oubliez pas qu'on peut travailler en noir et blanc, les
imprimantes font alors bien mieux que 300dpi
et n'oubliez pas qu'on peut travailler en noir et blanc, les
imprimantes font alors bien mieux que 300dpi
et n'oubliez pas qu'on peut travailler en noir et blanc, les imprimantes font
alors bien mieux que 300dpi
et n'oubliez pas qu'on peut travailler en noir et blanc, les imprimantes font
alors bien mieux que 300dpi
et n'oubliez pas qu'on peut travailler en noir et blanc, les imprimantes font
alors bien mieux que 300dpi
Il me semble évident qu'entre deux tirages 20 x 30 cm d'une image
détaillée,
l'un à 150 dpi et l'autre à 300 dpi, n'importe quel amateur éclairé fait
la
différence sans pour autant être capable de «compter» les pixels. Et je
vais
plus loin : pour peu que l'on parte d'images suffisamment précises à
l'origine, je suis certain que pour ces amateurs dont je parle, il est
encore possible, même si c'est déjà plus subtil, de faire également la
différence entre des tirages à 300 dpi et les mêmes à 600 dpi.
Il me semble évident qu'entre deux tirages 20 x 30 cm d'une image
détaillée,
l'un à 150 dpi et l'autre à 300 dpi, n'importe quel amateur éclairé fait
la
différence sans pour autant être capable de «compter» les pixels. Et je
vais
plus loin : pour peu que l'on parte d'images suffisamment précises à
l'origine, je suis certain que pour ces amateurs dont je parle, il est
encore possible, même si c'est déjà plus subtil, de faire également la
différence entre des tirages à 300 dpi et les mêmes à 600 dpi.
Il me semble évident qu'entre deux tirages 20 x 30 cm d'une image
détaillée,
l'un à 150 dpi et l'autre à 300 dpi, n'importe quel amateur éclairé fait
la
différence sans pour autant être capable de «compter» les pixels. Et je
vais
plus loin : pour peu que l'on parte d'images suffisamment précises à
l'origine, je suis certain que pour ces amateurs dont je parle, il est
encore possible, même si c'est déjà plus subtil, de faire également la
différence entre des tirages à 300 dpi et les mêmes à 600 dpi.
Ahrghhh ! Tu t'enfonces dans les confusions que tu dénonces...
Là je ne suis pas d'accord. Les dpi et autres ppi annoncés dans les
imprimantes ou les scanners sont des *définitions*, et non pas des
résolutions....
Ahrghhh ! Tu t'enfonces dans les confusions que tu dénonces...
Là je ne suis pas d'accord. Les dpi et autres ppi annoncés dans les
imprimantes ou les scanners sont des *définitions*, et non pas des
résolutions....
Ahrghhh ! Tu t'enfonces dans les confusions que tu dénonces...
Là je ne suis pas d'accord. Les dpi et autres ppi annoncés dans les
imprimantes ou les scanners sont des *définitions*, et non pas des
résolutions....
Mais attention, le pixel en lui-même est une abstraction, un simple
«point» d'image, sans aucune dimension, pas même celle de la cellule du
capteur. En sortie, avec une imprimante idéale, si on n'a pas
rééchantilloné entre temps, l'image a autant que pixels qu'au départ, ni
plus ni moins. Si on a agrandi, ces pixels sont plus espacés les uns des
autres et l'imprimante ajoute simplement des points intermédiaires sur le
papier pour qu'on passe continuement d'un «pixel» de l'image au suivant.
........
Le lecteur vigilant aura remarqué que «point» a deux sens différents dans
le paragraphe précédent : des points géométriques totalement désincarnés
pour les pixels et les «points d'imprimante» nécessaires au remplissage du
papier, correspondant à des paquets de gouttelettes suffisamment
nombreuses pour reproduire nos millions de couleurs et qui recouvrent
chacun une certaine surface sur le papier.
A ce point de la discussion, la seule quantité qui se conserverait d'un
bout à l'autre du traitement est la taille totale du fichier (la quantité
d'information qu'il contient). On se doute bien que ça ne se passe pas
tout à fait comme ça : il y a un goulot d'étranglement avec l'imprimante.
En effet, celle-ci s'exprime avec des «points d'imprimante» qui ont une
taille finie sur le papier, correspondant à une résolution effective de
l'ordre de 200-250 dpi (je dis ça au pif et je suis peut-être optimiste ;
à cause du tramage aléatoire des gouttelettes, ce point d'imprimante n'a
pas de taille bien précise). Si on essaie d'imprimer l'image avec une
résolution plus grande, cela revient à essayer de placer un ou plusieurs
pixels (abstraits) sur un point d'imprimante : celle-ci ne peut pas suivre
et on perdra de l'information.
Quant aux dpi des constructeurs d'imprimantes, ils n'ont aucune
signification directe pour le traitement de l'image et on peut donc les
passer rapidement à la trappe. Ils n'ont de signification que si on
s'intéresse à la façon dont les imprimantes cuisinent leurs «points
d'imprimante» et je doute que vous soyez nombreux à vous pencher
là-dessus. Simplement, plus on a de "dpi" constructeur, plus le point
d'imprimante doit être petit, encore que la possibilité de taille variable
des gouttes doit être également beaucoup jouer.
Mais attention, le pixel en lui-même est une abstraction, un simple
«point» d'image, sans aucune dimension, pas même celle de la cellule du
capteur. En sortie, avec une imprimante idéale, si on n'a pas
rééchantilloné entre temps, l'image a autant que pixels qu'au départ, ni
plus ni moins. Si on a agrandi, ces pixels sont plus espacés les uns des
autres et l'imprimante ajoute simplement des points intermédiaires sur le
papier pour qu'on passe continuement d'un «pixel» de l'image au suivant.
........
Le lecteur vigilant aura remarqué que «point» a deux sens différents dans
le paragraphe précédent : des points géométriques totalement désincarnés
pour les pixels et les «points d'imprimante» nécessaires au remplissage du
papier, correspondant à des paquets de gouttelettes suffisamment
nombreuses pour reproduire nos millions de couleurs et qui recouvrent
chacun une certaine surface sur le papier.
A ce point de la discussion, la seule quantité qui se conserverait d'un
bout à l'autre du traitement est la taille totale du fichier (la quantité
d'information qu'il contient). On se doute bien que ça ne se passe pas
tout à fait comme ça : il y a un goulot d'étranglement avec l'imprimante.
En effet, celle-ci s'exprime avec des «points d'imprimante» qui ont une
taille finie sur le papier, correspondant à une résolution effective de
l'ordre de 200-250 dpi (je dis ça au pif et je suis peut-être optimiste ;
à cause du tramage aléatoire des gouttelettes, ce point d'imprimante n'a
pas de taille bien précise). Si on essaie d'imprimer l'image avec une
résolution plus grande, cela revient à essayer de placer un ou plusieurs
pixels (abstraits) sur un point d'imprimante : celle-ci ne peut pas suivre
et on perdra de l'information.
Quant aux dpi des constructeurs d'imprimantes, ils n'ont aucune
signification directe pour le traitement de l'image et on peut donc les
passer rapidement à la trappe. Ils n'ont de signification que si on
s'intéresse à la façon dont les imprimantes cuisinent leurs «points
d'imprimante» et je doute que vous soyez nombreux à vous pencher
là-dessus. Simplement, plus on a de "dpi" constructeur, plus le point
d'imprimante doit être petit, encore que la possibilité de taille variable
des gouttes doit être également beaucoup jouer.
Mais attention, le pixel en lui-même est une abstraction, un simple
«point» d'image, sans aucune dimension, pas même celle de la cellule du
capteur. En sortie, avec une imprimante idéale, si on n'a pas
rééchantilloné entre temps, l'image a autant que pixels qu'au départ, ni
plus ni moins. Si on a agrandi, ces pixels sont plus espacés les uns des
autres et l'imprimante ajoute simplement des points intermédiaires sur le
papier pour qu'on passe continuement d'un «pixel» de l'image au suivant.
........
Le lecteur vigilant aura remarqué que «point» a deux sens différents dans
le paragraphe précédent : des points géométriques totalement désincarnés
pour les pixels et les «points d'imprimante» nécessaires au remplissage du
papier, correspondant à des paquets de gouttelettes suffisamment
nombreuses pour reproduire nos millions de couleurs et qui recouvrent
chacun une certaine surface sur le papier.
A ce point de la discussion, la seule quantité qui se conserverait d'un
bout à l'autre du traitement est la taille totale du fichier (la quantité
d'information qu'il contient). On se doute bien que ça ne se passe pas
tout à fait comme ça : il y a un goulot d'étranglement avec l'imprimante.
En effet, celle-ci s'exprime avec des «points d'imprimante» qui ont une
taille finie sur le papier, correspondant à une résolution effective de
l'ordre de 200-250 dpi (je dis ça au pif et je suis peut-être optimiste ;
à cause du tramage aléatoire des gouttelettes, ce point d'imprimante n'a
pas de taille bien précise). Si on essaie d'imprimer l'image avec une
résolution plus grande, cela revient à essayer de placer un ou plusieurs
pixels (abstraits) sur un point d'imprimante : celle-ci ne peut pas suivre
et on perdra de l'information.
Quant aux dpi des constructeurs d'imprimantes, ils n'ont aucune
signification directe pour le traitement de l'image et on peut donc les
passer rapidement à la trappe. Ils n'ont de signification que si on
s'intéresse à la façon dont les imprimantes cuisinent leurs «points
d'imprimante» et je doute que vous soyez nombreux à vous pencher
là-dessus. Simplement, plus on a de "dpi" constructeur, plus le point
d'imprimante doit être petit, encore que la possibilité de taille variable
des gouttes doit être également beaucoup jouer.
Toute cette discussion montre bien qu'il y a un problème de
compréhension,
La numérisation d'un objet conduit à un fichier qui a une certaine
taille (produit du nombre total d'échantillons x nombre d'octets par
échantillon), mais la fidélité, la qualité, de cette numérisati on dépend
de la densité de cette numérisation, c.à.d. le nombre d'échantill ons par
unité de longueur ou de temps. Ces deux notions, taille totale et
densité de numérisation, sont les deux notions fondamentales.
Dans le cas des images (en admettant que l'objectif ne dégrade rien), on
peut dire que l'objet de départ est l'image sur le capteur. Chaque
cellule du capteur fournit un échantillon, un point d'image, un pixel.
La densité d'information initiale correspond au nombre de pixels par
pouce ou par cm et je ne vois pas aucune objection à l'exprimer en dpi,
le «dot« de dpi étant alors le point d'image -- le pixel. Si on pr éfère,
on parlera en ppi, avec p pour point ou pour pixel ; pour moi, c'est la
même chose.
Quant à donner un nom français à cette densité d'information,
«résolution» me paraît le terme le plus adapté ; «définitio n» est aussi
très bien ; finalement, je ne comprends plus pourquoi en quoi tu opposes
les deux termes -- ou j'avais cru que tu les opposais.
Mais attention, le pixel en lui-même est une abstraction, un simple
«point» d'image, sans aucune dimension, pas même celle de la cellul e du
capteur. En sortie, avec une imprimante idéale,
si on n'a pas
rééchantilloné entre temps, l'image a autant que pixels qu'au dép art, ni
plus ni moins. Si on a agrandi, ces pixels sont plus espacés les uns des
autres et l'imprimante ajoute simplement des points intermédiaires sur
le papier pour qu'on passe continuement d'un «pixel» de l'image au su ivant.
A ce point de la discussion, la seule quantité qui se conserverait d'un
bout à l'autre du traitement est la taille totale du fichier (la
quantité d'information qu'il contient).
On se doute bien que ça ne se
passe pas tout à fait comme ça : il y a un goulot d'étranglement av ec
l'imprimante. En effet, celle-ci s'exprime avec des «points
d'imprimante» qui ont une taille finie sur le papier, correspondant à
une résolution effective de l'ordre de 200-250 dpi (je dis ça au pif et
je suis peut-être optimiste ; à cause du tramage aléatoire des
gouttelettes, ce point d'imprimante n'a pas de taille bien précise). Si
on essaie d'imprimer l'image avec une résolution plus grande, cela
revient à essayer de placer un ou plusieurs pixels (abstraits) sur un
point d'imprimante : celle-ci ne peut pas suivre et on perdra de
l'information.
Quant aux dpi des constructeurs d'imprimantes, ils n'ont aucune
signification directe pour le traitement de l'image et on peut donc les
passer rapidement à la trappe. Ils n'ont de signification que si on
s'intéresse à la façon dont les imprimantes cuisinent leurs «poin ts
d'imprimante» et je doute que vous soyez nombreux à vous pencher
là-dessus. Simplement, plus on a de "dpi" constructeur, plus le point
d'imprimante doit être petit, encore que la possibilité de taille
variable des gouttes doit être également beaucoup jouer.
Un dernier mot à propos des pl/mm. Pehache et moi-même avions introdu it
un peu trop vite les "lpi" en alternative aux dpi ; Dalbera et Ghislain
ont tiqué à juste titre. OK. J'ai lu des papiers rédigés en pl/mm ou je
retrouvais mes petits en comprenant 1 pl/mm = 2 pixels/mm. Ça paraît
évident : dans le tableau des pixels, on met alternativement une ligne
horizontale à 0 et la suivante à 255 et on a ainsi des paires de lign es
blanc/noir. Cela peut se faire concrètement en traçant ces lignes sur un
papier dont on focalisera l'image sur un capteur. Maintenant, déplacez
l'image de la demi-distance entre deux rangées de cellules : chaque
cellule voyant une demi ligne noire et une demi ligne blanche conclura à
un pixel gris moyen et l'image numérisée sera uniformément grise. C 'est
le début des histoires de moirage ; aussi de complications mathématiq ues
(l'ombre de Shannon) qu'on voulait éviter en démarrant la discussion,
voire de confusions supplémentaires selon qu'on parle de paires de
lignes qu'on peut séparer si on vise bien (1 pl/mm pour 2px/mm) ou qu'on
peut séparer dans tous les cas (1pl/mm pour 4 px/mm). Donc, mieux vaut
éviter les pl/mm pour commencer.
Toute cette discussion montre bien qu'il y a un problème de
compréhension,
La numérisation d'un objet conduit à un fichier qui a une certaine
taille (produit du nombre total d'échantillons x nombre d'octets par
échantillon), mais la fidélité, la qualité, de cette numérisati on dépend
de la densité de cette numérisation, c.à.d. le nombre d'échantill ons par
unité de longueur ou de temps. Ces deux notions, taille totale et
densité de numérisation, sont les deux notions fondamentales.
Dans le cas des images (en admettant que l'objectif ne dégrade rien), on
peut dire que l'objet de départ est l'image sur le capteur. Chaque
cellule du capteur fournit un échantillon, un point d'image, un pixel.
La densité d'information initiale correspond au nombre de pixels par
pouce ou par cm et je ne vois pas aucune objection à l'exprimer en dpi,
le «dot« de dpi étant alors le point d'image -- le pixel. Si on pr éfère,
on parlera en ppi, avec p pour point ou pour pixel ; pour moi, c'est la
même chose.
Quant à donner un nom français à cette densité d'information,
«résolution» me paraît le terme le plus adapté ; «définitio n» est aussi
très bien ; finalement, je ne comprends plus pourquoi en quoi tu opposes
les deux termes -- ou j'avais cru que tu les opposais.
Mais attention, le pixel en lui-même est une abstraction, un simple
«point» d'image, sans aucune dimension, pas même celle de la cellul e du
capteur. En sortie, avec une imprimante idéale,
si on n'a pas
rééchantilloné entre temps, l'image a autant que pixels qu'au dép art, ni
plus ni moins. Si on a agrandi, ces pixels sont plus espacés les uns des
autres et l'imprimante ajoute simplement des points intermédiaires sur
le papier pour qu'on passe continuement d'un «pixel» de l'image au su ivant.
A ce point de la discussion, la seule quantité qui se conserverait d'un
bout à l'autre du traitement est la taille totale du fichier (la
quantité d'information qu'il contient).
On se doute bien que ça ne se
passe pas tout à fait comme ça : il y a un goulot d'étranglement av ec
l'imprimante. En effet, celle-ci s'exprime avec des «points
d'imprimante» qui ont une taille finie sur le papier, correspondant à
une résolution effective de l'ordre de 200-250 dpi (je dis ça au pif et
je suis peut-être optimiste ; à cause du tramage aléatoire des
gouttelettes, ce point d'imprimante n'a pas de taille bien précise). Si
on essaie d'imprimer l'image avec une résolution plus grande, cela
revient à essayer de placer un ou plusieurs pixels (abstraits) sur un
point d'imprimante : celle-ci ne peut pas suivre et on perdra de
l'information.
Quant aux dpi des constructeurs d'imprimantes, ils n'ont aucune
signification directe pour le traitement de l'image et on peut donc les
passer rapidement à la trappe. Ils n'ont de signification que si on
s'intéresse à la façon dont les imprimantes cuisinent leurs «poin ts
d'imprimante» et je doute que vous soyez nombreux à vous pencher
là-dessus. Simplement, plus on a de "dpi" constructeur, plus le point
d'imprimante doit être petit, encore que la possibilité de taille
variable des gouttes doit être également beaucoup jouer.
Un dernier mot à propos des pl/mm. Pehache et moi-même avions introdu it
un peu trop vite les "lpi" en alternative aux dpi ; Dalbera et Ghislain
ont tiqué à juste titre. OK. J'ai lu des papiers rédigés en pl/mm ou je
retrouvais mes petits en comprenant 1 pl/mm = 2 pixels/mm. Ça paraît
évident : dans le tableau des pixels, on met alternativement une ligne
horizontale à 0 et la suivante à 255 et on a ainsi des paires de lign es
blanc/noir. Cela peut se faire concrètement en traçant ces lignes sur un
papier dont on focalisera l'image sur un capteur. Maintenant, déplacez
l'image de la demi-distance entre deux rangées de cellules : chaque
cellule voyant une demi ligne noire et une demi ligne blanche conclura à
un pixel gris moyen et l'image numérisée sera uniformément grise. C 'est
le début des histoires de moirage ; aussi de complications mathématiq ues
(l'ombre de Shannon) qu'on voulait éviter en démarrant la discussion,
voire de confusions supplémentaires selon qu'on parle de paires de
lignes qu'on peut séparer si on vise bien (1 pl/mm pour 2px/mm) ou qu'on
peut séparer dans tous les cas (1pl/mm pour 4 px/mm). Donc, mieux vaut
éviter les pl/mm pour commencer.
Toute cette discussion montre bien qu'il y a un problème de
compréhension,
La numérisation d'un objet conduit à un fichier qui a une certaine
taille (produit du nombre total d'échantillons x nombre d'octets par
échantillon), mais la fidélité, la qualité, de cette numérisati on dépend
de la densité de cette numérisation, c.à.d. le nombre d'échantill ons par
unité de longueur ou de temps. Ces deux notions, taille totale et
densité de numérisation, sont les deux notions fondamentales.
Dans le cas des images (en admettant que l'objectif ne dégrade rien), on
peut dire que l'objet de départ est l'image sur le capteur. Chaque
cellule du capteur fournit un échantillon, un point d'image, un pixel.
La densité d'information initiale correspond au nombre de pixels par
pouce ou par cm et je ne vois pas aucune objection à l'exprimer en dpi,
le «dot« de dpi étant alors le point d'image -- le pixel. Si on pr éfère,
on parlera en ppi, avec p pour point ou pour pixel ; pour moi, c'est la
même chose.
Quant à donner un nom français à cette densité d'information,
«résolution» me paraît le terme le plus adapté ; «définitio n» est aussi
très bien ; finalement, je ne comprends plus pourquoi en quoi tu opposes
les deux termes -- ou j'avais cru que tu les opposais.
Mais attention, le pixel en lui-même est une abstraction, un simple
«point» d'image, sans aucune dimension, pas même celle de la cellul e du
capteur. En sortie, avec une imprimante idéale,
si on n'a pas
rééchantilloné entre temps, l'image a autant que pixels qu'au dép art, ni
plus ni moins. Si on a agrandi, ces pixels sont plus espacés les uns des
autres et l'imprimante ajoute simplement des points intermédiaires sur
le papier pour qu'on passe continuement d'un «pixel» de l'image au su ivant.
A ce point de la discussion, la seule quantité qui se conserverait d'un
bout à l'autre du traitement est la taille totale du fichier (la
quantité d'information qu'il contient).
On se doute bien que ça ne se
passe pas tout à fait comme ça : il y a un goulot d'étranglement av ec
l'imprimante. En effet, celle-ci s'exprime avec des «points
d'imprimante» qui ont une taille finie sur le papier, correspondant à
une résolution effective de l'ordre de 200-250 dpi (je dis ça au pif et
je suis peut-être optimiste ; à cause du tramage aléatoire des
gouttelettes, ce point d'imprimante n'a pas de taille bien précise). Si
on essaie d'imprimer l'image avec une résolution plus grande, cela
revient à essayer de placer un ou plusieurs pixels (abstraits) sur un
point d'imprimante : celle-ci ne peut pas suivre et on perdra de
l'information.
Quant aux dpi des constructeurs d'imprimantes, ils n'ont aucune
signification directe pour le traitement de l'image et on peut donc les
passer rapidement à la trappe. Ils n'ont de signification que si on
s'intéresse à la façon dont les imprimantes cuisinent leurs «poin ts
d'imprimante» et je doute que vous soyez nombreux à vous pencher
là-dessus. Simplement, plus on a de "dpi" constructeur, plus le point
d'imprimante doit être petit, encore que la possibilité de taille
variable des gouttes doit être également beaucoup jouer.
Un dernier mot à propos des pl/mm. Pehache et moi-même avions introdu it
un peu trop vite les "lpi" en alternative aux dpi ; Dalbera et Ghislain
ont tiqué à juste titre. OK. J'ai lu des papiers rédigés en pl/mm ou je
retrouvais mes petits en comprenant 1 pl/mm = 2 pixels/mm. Ça paraît
évident : dans le tableau des pixels, on met alternativement une ligne
horizontale à 0 et la suivante à 255 et on a ainsi des paires de lign es
blanc/noir. Cela peut se faire concrètement en traçant ces lignes sur un
papier dont on focalisera l'image sur un capteur. Maintenant, déplacez
l'image de la demi-distance entre deux rangées de cellules : chaque
cellule voyant une demi ligne noire et une demi ligne blanche conclura à
un pixel gris moyen et l'image numérisée sera uniformément grise. C 'est
le début des histoires de moirage ; aussi de complications mathématiq ues
(l'ombre de Shannon) qu'on voulait éviter en démarrant la discussion,
voire de confusions supplémentaires selon qu'on parle de paires de
lignes qu'on peut séparer si on vise bien (1 pl/mm pour 2px/mm) ou qu'on
peut séparer dans tous les cas (1pl/mm pour 4 px/mm). Donc, mieux vaut
éviter les pl/mm pour commencer.
En parlant de finesse, de taille de pixel... quelqu'un aurait-il des
renseignement sur la finesse du grain photosensible des pellicules 35mm
pour pouvoir comparer avec les capteurs ?
En parlant de finesse, de taille de pixel... quelqu'un aurait-il des
renseignement sur la finesse du grain photosensible des pellicules 35mm
pour pouvoir comparer avec les capteurs ?
En parlant de finesse, de taille de pixel... quelqu'un aurait-il des
renseignement sur la finesse du grain photosensible des pellicules 35mm
pour pouvoir comparer avec les capteurs ?