ixion martin - GdBx wrote:Bonjour, bonsoir,
Convoqué au tribunal trois semaines après une demande pour
juger d'une situation *urgente*, le juge renvoie l'audience
un mois plus tard parce que la greffière a perdu le
dossier...
Quelles sanctions peut-on demander contre cette "étourdie" ?
Ça dépend qui est "on"...
ixion martin - GdBx <ixion@martin.invalid> wrote:
Bonjour, bonsoir,
Convoqué au tribunal trois semaines après une demande pour
juger d'une situation *urgente*, le juge renvoie l'audience
un mois plus tard parce que la greffière a perdu le
dossier...
Quelles sanctions peut-on demander contre cette "étourdie" ?
Ça dépend qui est "on"...
ixion martin - GdBx wrote:Bonjour, bonsoir,
Convoqué au tribunal trois semaines après une demande pour
juger d'une situation *urgente*, le juge renvoie l'audience
un mois plus tard parce que la greffière a perdu le
dossier...
Quelles sanctions peut-on demander contre cette "étourdie" ?
Ça dépend qui est "on"...
Dominique de Corse écrivit en ce vendredi :
> ixion martin - GdBx wrote:
>
>> Bonjour, bonsoir,
>>
>> Convoqué au tribunal trois semaines après une demande pour
>> juger d'une situation *urgente*, le juge renvoie l'audience
>> un mois plus tard parce que la greffière a perdu le
>> dossier...
>>
>> Quelles sanctions peut-on demander contre cette "étourdie" ?
>
> Ça dépend qui est "on"...
C'est à la tête du client ?
Quel est le mot que vous ne comprenez pas ?
On = celui qui demanderait.
Dominique de Corse écrivit en ce vendredi :
> ixion martin - GdBx <ixion@martin.invalid> wrote:
>
>> Bonjour, bonsoir,
>>
>> Convoqué au tribunal trois semaines après une demande pour
>> juger d'une situation *urgente*, le juge renvoie l'audience
>> un mois plus tard parce que la greffière a perdu le
>> dossier...
>>
>> Quelles sanctions peut-on demander contre cette "étourdie" ?
>
> Ça dépend qui est "on"...
C'est à la tête du client ?
Quel est le mot que vous ne comprenez pas ?
On = celui qui demanderait.
Dominique de Corse écrivit en ce vendredi :
> ixion martin - GdBx wrote:
>
>> Bonjour, bonsoir,
>>
>> Convoqué au tribunal trois semaines après une demande pour
>> juger d'une situation *urgente*, le juge renvoie l'audience
>> un mois plus tard parce que la greffière a perdu le
>> dossier...
>>
>> Quelles sanctions peut-on demander contre cette "étourdie" ?
>
> Ça dépend qui est "on"...
C'est à la tête du client ?
Quel est le mot que vous ne comprenez pas ?
On = celui qui demanderait.
ixion martin - GdBx wrote:Dominique de Corse écrivit en ce vendredi :ixion martin - GdBx wrote:Bonjour, bonsoir,
Convoqué au tribunal trois semaines après une demande
pour juger d'une situation *urgente*, le juge renvoie
l'audience un mois plus tard parce que la greffière a
perdu le dossier...
Quelles sanctions peut-on demander contre cette
"étourdie" ?
Ça dépend qui est "on"...
C'est à la tête du client ?
En quelque sorte, oui.
Je soulignais juste par ma remarque l'importance de la
notion "d'intérêt à agir".
Qui est "on" est primordial pour déterminer si "on" a un
intérêt à agir. Et évidemment dans le cadre de quel branche
du droit ""on" se situe. Par exemple ci, "on" parle du
civil, du pénal ou de l'administratif?Quel est le mot que vous ne comprenez pas ?
"on" n'est pas une personne juridique.On = celui qui demanderait.
A quel titre? Selon quel principe de droit? Pour quel
motif?
Dans quel délai?
Quel est le préjudice subi et par qui?
Etc.
ixion martin - GdBx <ixion@martin.invalid> wrote:
Dominique de Corse écrivit en ce vendredi :
ixion martin - GdBx <ixion@martin.invalid> wrote:
Bonjour, bonsoir,
Convoqué au tribunal trois semaines après une demande
pour juger d'une situation *urgente*, le juge renvoie
l'audience un mois plus tard parce que la greffière a
perdu le dossier...
Quelles sanctions peut-on demander contre cette
"étourdie" ?
Ça dépend qui est "on"...
C'est à la tête du client ?
En quelque sorte, oui.
Je soulignais juste par ma remarque l'importance de la
notion "d'intérêt à agir".
Qui est "on" est primordial pour déterminer si "on" a un
intérêt à agir. Et évidemment dans le cadre de quel branche
du droit ""on" se situe. Par exemple ci, "on" parle du
civil, du pénal ou de l'administratif?
Quel est le mot que vous ne comprenez pas ?
"on" n'est pas une personne juridique.
On = celui qui demanderait.
A quel titre? Selon quel principe de droit? Pour quel
motif?
Dans quel délai?
Quel est le préjudice subi et par qui?
Etc.
ixion martin - GdBx wrote:Dominique de Corse écrivit en ce vendredi :ixion martin - GdBx wrote:Bonjour, bonsoir,
Convoqué au tribunal trois semaines après une demande
pour juger d'une situation *urgente*, le juge renvoie
l'audience un mois plus tard parce que la greffière a
perdu le dossier...
Quelles sanctions peut-on demander contre cette
"étourdie" ?
Ça dépend qui est "on"...
C'est à la tête du client ?
En quelque sorte, oui.
Je soulignais juste par ma remarque l'importance de la
notion "d'intérêt à agir".
Qui est "on" est primordial pour déterminer si "on" a un
intérêt à agir. Et évidemment dans le cadre de quel branche
du droit ""on" se situe. Par exemple ci, "on" parle du
civil, du pénal ou de l'administratif?Quel est le mot que vous ne comprenez pas ?
"on" n'est pas une personne juridique.On = celui qui demanderait.
A quel titre? Selon quel principe de droit? Pour quel
motif?
Dans quel délai?
Quel est le préjudice subi et par qui?
Etc.
Bon.
Comme je sens qu'il y a un peu de curiosité à satisfaire, on va
expliquer un peu l'affaire.
Soit Monsieur divorcé de Madame et qui ont un fils (qui a 10
ans). Madame a la garde, Monsieur a son fils un week-end sur
deux et la moitié des vacances scolaires.
On ajoutera que Madame est à moitié tarée, mais en terme de
droit, ça n'est pas à prendre en compte, d'autant que d'aucuns
diront que ça n'est qu'une appréciation personnelle.
La veille de la rentrée de novembre, Monsieur ramène Fiston
chez Madame. Madame ne répond pas mais ils réussissent quand
même à pénétrer dans l'immeuble. A la porte de l'appartement de
Madame, qui fait l'absente, se trouvent toutes les affaires de
Fiston, y compris le chien attaché à la porte.
Certes, Madame
avait déjà dit à Fiston qu'elle finirait par le mettre dehors,
mais Madame dit tellement de bétises...
Donc Monsieur a ramené Fiston chez lui, a dû lui faire changer
d'école et tout et surtout a sollicité via son avocate une
audience en urgence pour régler le problème. A se démener,
l'avocate obtient l'audience en URGENCE trois semaines et demi
après (heureusement qu'il n'y a pas danger de mort).
Et le jour de l'audience, (avec bien sûr l'obligation de se
déplacer dans la ville de Madame, de poser une journée de
congés et tout, mais passons), Monsieur vient (ainsi que
Madame) et le juge annonce presque sans s'excuser "la greffière
ayant égaré le dossier, revenez le (...)" (quatre semaines plus
tard).
Outre le fait que du côté de Monsieur on se demande si la
greffière n'est pas de connivence avec madame,
je me demandais
quelle sanction on pouvait demander contre la greffière
défaillante (pour peu que ce soit involontaire). Après tout,
elle a fait une faute qui nuit à Monsieur.
Est-ce plus clair ?
Bon.
Comme je sens qu'il y a un peu de curiosité à satisfaire, on va
expliquer un peu l'affaire.
Soit Monsieur divorcé de Madame et qui ont un fils (qui a 10
ans). Madame a la garde, Monsieur a son fils un week-end sur
deux et la moitié des vacances scolaires.
On ajoutera que Madame est à moitié tarée, mais en terme de
droit, ça n'est pas à prendre en compte, d'autant que d'aucuns
diront que ça n'est qu'une appréciation personnelle.
La veille de la rentrée de novembre, Monsieur ramène Fiston
chez Madame. Madame ne répond pas mais ils réussissent quand
même à pénétrer dans l'immeuble. A la porte de l'appartement de
Madame, qui fait l'absente, se trouvent toutes les affaires de
Fiston, y compris le chien attaché à la porte.
Certes, Madame
avait déjà dit à Fiston qu'elle finirait par le mettre dehors,
mais Madame dit tellement de bétises...
Donc Monsieur a ramené Fiston chez lui, a dû lui faire changer
d'école et tout et surtout a sollicité via son avocate une
audience en urgence pour régler le problème. A se démener,
l'avocate obtient l'audience en URGENCE trois semaines et demi
après (heureusement qu'il n'y a pas danger de mort).
Et le jour de l'audience, (avec bien sûr l'obligation de se
déplacer dans la ville de Madame, de poser une journée de
congés et tout, mais passons), Monsieur vient (ainsi que
Madame) et le juge annonce presque sans s'excuser "la greffière
ayant égaré le dossier, revenez le (...)" (quatre semaines plus
tard).
Outre le fait que du côté de Monsieur on se demande si la
greffière n'est pas de connivence avec madame,
je me demandais
quelle sanction on pouvait demander contre la greffière
défaillante (pour peu que ce soit involontaire). Après tout,
elle a fait une faute qui nuit à Monsieur.
Est-ce plus clair ?
Bon.
Comme je sens qu'il y a un peu de curiosité à satisfaire, on va
expliquer un peu l'affaire.
Soit Monsieur divorcé de Madame et qui ont un fils (qui a 10
ans). Madame a la garde, Monsieur a son fils un week-end sur
deux et la moitié des vacances scolaires.
On ajoutera que Madame est à moitié tarée, mais en terme de
droit, ça n'est pas à prendre en compte, d'autant que d'aucuns
diront que ça n'est qu'une appréciation personnelle.
La veille de la rentrée de novembre, Monsieur ramène Fiston
chez Madame. Madame ne répond pas mais ils réussissent quand
même à pénétrer dans l'immeuble. A la porte de l'appartement de
Madame, qui fait l'absente, se trouvent toutes les affaires de
Fiston, y compris le chien attaché à la porte.
Certes, Madame
avait déjà dit à Fiston qu'elle finirait par le mettre dehors,
mais Madame dit tellement de bétises...
Donc Monsieur a ramené Fiston chez lui, a dû lui faire changer
d'école et tout et surtout a sollicité via son avocate une
audience en urgence pour régler le problème. A se démener,
l'avocate obtient l'audience en URGENCE trois semaines et demi
après (heureusement qu'il n'y a pas danger de mort).
Et le jour de l'audience, (avec bien sûr l'obligation de se
déplacer dans la ville de Madame, de poser une journée de
congés et tout, mais passons), Monsieur vient (ainsi que
Madame) et le juge annonce presque sans s'excuser "la greffière
ayant égaré le dossier, revenez le (...)" (quatre semaines plus
tard).
Outre le fait que du côté de Monsieur on se demande si la
greffière n'est pas de connivence avec madame,
je me demandais
quelle sanction on pouvait demander contre la greffière
défaillante (pour peu que ce soit involontaire). Après tout,
elle a fait une faute qui nuit à Monsieur.
Est-ce plus clair ?
Ce paragraphe est inutile et tu le sais.
... avec ton smartphone à 600 euros.
Paranoïa inutile.
Très clair. Tu devrais t'inscrire à l'émission qui met les politique en
"immersion" dans la vraie vie.
Ce paragraphe est inutile et tu le sais.
... avec ton smartphone à 600 euros.
Paranoïa inutile.
Très clair. Tu devrais t'inscrire à l'émission qui met les politique en
"immersion" dans la vraie vie.
Ce paragraphe est inutile et tu le sais.
... avec ton smartphone à 600 euros.
Paranoïa inutile.
Très clair. Tu devrais t'inscrire à l'émission qui met les politique en
"immersion" dans la vraie vie.
Ce paragraphe est inutile et tu le sais.
La veille de la rentrée de novembre, Monsieur ramène Fiston
chez Madame. Madame ne répond pas mais ils réussissent quand
même à pénétrer dans l'immeuble. A la porte de l'appartement
de Madame, qui fait l'absente, se trouvent toutes les
affaires de Fiston, y compris le chien attaché à la porte.
Et bien sûr tu as fait des photos de la scène avec ton
smartphone à 600 euros. Et quelques vidéos ? Non ?
Certes, Madame
avait déjà dit à Fiston qu'elle finirait par le mettre
dehors, mais Madame dit tellement de bétises...
Mais là elle le fait et tu ne fais aucun photo ni aucune
vidéo avec le journal du jour et l'interpellation d'un voisin
qui constate aussi les faits et qui accepte de témoigner sur
la vidéo et pour le tribunal par écrit ?
Outre le fait que du côté de Monsieur on se demande si la
greffière n'est pas de connivence avec madame,
Paranoïa inutile.
Est-ce plus clair ?
Très clair. Tu devrais t'inscrire à l'émission qui met les
politique en "immersion" dans la vraie vie. Mais tu ne peux
pas tu n'es pas parlementaire. Tu peux aussi saisir la
justice pour qu'elle sanctionne la greffière, demande conseil
à ton avocat, tu en as déjà un.
Ce paragraphe est inutile et tu le sais.
La veille de la rentrée de novembre, Monsieur ramène Fiston
chez Madame. Madame ne répond pas mais ils réussissent quand
même à pénétrer dans l'immeuble. A la porte de l'appartement
de Madame, qui fait l'absente, se trouvent toutes les
affaires de Fiston, y compris le chien attaché à la porte.
Et bien sûr tu as fait des photos de la scène avec ton
smartphone à 600 euros. Et quelques vidéos ? Non ?
Certes, Madame
avait déjà dit à Fiston qu'elle finirait par le mettre
dehors, mais Madame dit tellement de bétises...
Mais là elle le fait et tu ne fais aucun photo ni aucune
vidéo avec le journal du jour et l'interpellation d'un voisin
qui constate aussi les faits et qui accepte de témoigner sur
la vidéo et pour le tribunal par écrit ?
Outre le fait que du côté de Monsieur on se demande si la
greffière n'est pas de connivence avec madame,
Paranoïa inutile.
Est-ce plus clair ?
Très clair. Tu devrais t'inscrire à l'émission qui met les
politique en "immersion" dans la vraie vie. Mais tu ne peux
pas tu n'es pas parlementaire. Tu peux aussi saisir la
justice pour qu'elle sanctionne la greffière, demande conseil
à ton avocat, tu en as déjà un.
Ce paragraphe est inutile et tu le sais.
La veille de la rentrée de novembre, Monsieur ramène Fiston
chez Madame. Madame ne répond pas mais ils réussissent quand
même à pénétrer dans l'immeuble. A la porte de l'appartement
de Madame, qui fait l'absente, se trouvent toutes les
affaires de Fiston, y compris le chien attaché à la porte.
Et bien sûr tu as fait des photos de la scène avec ton
smartphone à 600 euros. Et quelques vidéos ? Non ?
Certes, Madame
avait déjà dit à Fiston qu'elle finirait par le mettre
dehors, mais Madame dit tellement de bétises...
Mais là elle le fait et tu ne fais aucun photo ni aucune
vidéo avec le journal du jour et l'interpellation d'un voisin
qui constate aussi les faits et qui accepte de témoigner sur
la vidéo et pour le tribunal par écrit ?
Outre le fait que du côté de Monsieur on se demande si la
greffière n'est pas de connivence avec madame,
Paranoïa inutile.
Est-ce plus clair ?
Très clair. Tu devrais t'inscrire à l'émission qui met les
politique en "immersion" dans la vraie vie. Mais tu ne peux
pas tu n'es pas parlementaire. Tu peux aussi saisir la
justice pour qu'elle sanctionne la greffière, demande conseil
à ton avocat, tu en as déjà un.
Après mûre réflexion, Dominique de Corse a écrit :
> ixion martin - GdBx wrote:
>
>> Dominique de Corse écrivit en ce vendredi :
>>> ixion martin - GdBx wrote:
>>>
>>>> Bonjour, bonsoir,
>>>>
>>>> Convoqué au tribunal trois semaines après une demande
>>>> pour juger d'une situation *urgente*, le juge renvoie
>>>> l'audience un mois plus tard parce que la greffière a
>>>> perdu le dossier...
>>>>
>>>> Quelles sanctions peut-on demander contre cette
>>>> "étourdie" ?
>>>
>>> Ça dépend qui est "on"...
>>
>> C'est à la tête du client ?
>
> En quelque sorte, oui.
>
> Je soulignais juste par ma remarque l'importance de la
> notion "d'intérêt à agir".
On se fiche de l'intérêt à agir.
Si je demande "machin vole un
scooter, quels sanctions peut-on demander contre le voleur",
vous allez me demandez quel est l'intérêt d'agir ?
> Qui est "on" est primordial pour déterminer si "on" a un
> intérêt à agir. Et évidemment dans le cadre de quel branche
> du droit ""on" se situe. Par exemple ci, "on" parle du
> civil, du pénal ou de l'administratif?
>
>> Quel est le mot que vous ne comprenez pas ?
>
> "on" n'est pas une personne juridique.
>
>> On = celui qui demanderait.
>
> A quel titre? Selon quel principe de droit? Pour quel
> motif?
> Dans quel délai?
> Quel est le préjudice subi et par qui?
> Etc.
Bon.
Comme je sens qu'il y a un peu de curiosité à satisfaire, on va
expliquer un peu l'affaire.
Soit Monsieur divorcé de Madame et qui ont un fils (qui a 10
ans). Madame a la garde,
Monsieur a son fils un week-end sur
deux et la moitié des vacances scolaires.
La veille de la rentrée de novembre, Monsieur ramène Fiston
chez Madame. Madame ne répond pas mais ils réussissent quand
même à pénétrer dans l'immeuble. A la porte de l'appartement de
Madame, qui fait l'absente, se trouvent toutes les affaires de
Fiston, y compris le chien attaché à la porte. Certes, Madame
avait déjà dit à Fiston qu'elle finirait par le mettre dehors,
mais Madame dit tellement de bétises...
Donc Monsieur a ramené Fiston chez lui, a dû lui faire changer
d'école et tout et surtout a sollicité via son avocate une
audience en urgence pour régler le problème.
A se démener, l'avocate obtient l'audience en URGENCE trois semaines et
demi après (heureusement qu'il n'y a pas danger de mort).
Et le jour de l'audience, (avec bien sûr l'obligation de se
déplacer dans la ville de Madame, de poser une journée de
congés et tout, mais passons), Monsieur vient (ainsi que
Madame) et le juge annonce presque sans s'excuser "la greffière
ayant égaré le dossier, revenez le (...)" (quatre semaines plus
tard).
Outre le fait que du côté de Monsieur on se demande si la
greffière n'est pas de connivence avec madame,
je me demandais
quelle sanction on pouvait demander contre la greffière
défaillante (pour peu que ce soit involontaire).
Après tout,
elle a fait une faute qui nuit à Monsieur.
Est-ce plus clair ?
Après mûre réflexion, Dominique de Corse a écrit :
> ixion martin - GdBx <ixion@martin.invalid> wrote:
>
>> Dominique de Corse écrivit en ce vendredi :
>>> ixion martin - GdBx <ixion@martin.invalid> wrote:
>>>
>>>> Bonjour, bonsoir,
>>>>
>>>> Convoqué au tribunal trois semaines après une demande
>>>> pour juger d'une situation *urgente*, le juge renvoie
>>>> l'audience un mois plus tard parce que la greffière a
>>>> perdu le dossier...
>>>>
>>>> Quelles sanctions peut-on demander contre cette
>>>> "étourdie" ?
>>>
>>> Ça dépend qui est "on"...
>>
>> C'est à la tête du client ?
>
> En quelque sorte, oui.
>
> Je soulignais juste par ma remarque l'importance de la
> notion "d'intérêt à agir".
On se fiche de l'intérêt à agir.
Si je demande "machin vole un
scooter, quels sanctions peut-on demander contre le voleur",
vous allez me demandez quel est l'intérêt d'agir ?
> Qui est "on" est primordial pour déterminer si "on" a un
> intérêt à agir. Et évidemment dans le cadre de quel branche
> du droit ""on" se situe. Par exemple ci, "on" parle du
> civil, du pénal ou de l'administratif?
>
>> Quel est le mot que vous ne comprenez pas ?
>
> "on" n'est pas une personne juridique.
>
>> On = celui qui demanderait.
>
> A quel titre? Selon quel principe de droit? Pour quel
> motif?
> Dans quel délai?
> Quel est le préjudice subi et par qui?
> Etc.
Bon.
Comme je sens qu'il y a un peu de curiosité à satisfaire, on va
expliquer un peu l'affaire.
Soit Monsieur divorcé de Madame et qui ont un fils (qui a 10
ans). Madame a la garde,
Monsieur a son fils un week-end sur
deux et la moitié des vacances scolaires.
La veille de la rentrée de novembre, Monsieur ramène Fiston
chez Madame. Madame ne répond pas mais ils réussissent quand
même à pénétrer dans l'immeuble. A la porte de l'appartement de
Madame, qui fait l'absente, se trouvent toutes les affaires de
Fiston, y compris le chien attaché à la porte. Certes, Madame
avait déjà dit à Fiston qu'elle finirait par le mettre dehors,
mais Madame dit tellement de bétises...
Donc Monsieur a ramené Fiston chez lui, a dû lui faire changer
d'école et tout et surtout a sollicité via son avocate une
audience en urgence pour régler le problème.
A se démener, l'avocate obtient l'audience en URGENCE trois semaines et
demi après (heureusement qu'il n'y a pas danger de mort).
Et le jour de l'audience, (avec bien sûr l'obligation de se
déplacer dans la ville de Madame, de poser une journée de
congés et tout, mais passons), Monsieur vient (ainsi que
Madame) et le juge annonce presque sans s'excuser "la greffière
ayant égaré le dossier, revenez le (...)" (quatre semaines plus
tard).
Outre le fait que du côté de Monsieur on se demande si la
greffière n'est pas de connivence avec madame,
je me demandais
quelle sanction on pouvait demander contre la greffière
défaillante (pour peu que ce soit involontaire).
Après tout,
elle a fait une faute qui nuit à Monsieur.
Est-ce plus clair ?
Après mûre réflexion, Dominique de Corse a écrit :
> ixion martin - GdBx wrote:
>
>> Dominique de Corse écrivit en ce vendredi :
>>> ixion martin - GdBx wrote:
>>>
>>>> Bonjour, bonsoir,
>>>>
>>>> Convoqué au tribunal trois semaines après une demande
>>>> pour juger d'une situation *urgente*, le juge renvoie
>>>> l'audience un mois plus tard parce que la greffière a
>>>> perdu le dossier...
>>>>
>>>> Quelles sanctions peut-on demander contre cette
>>>> "étourdie" ?
>>>
>>> Ça dépend qui est "on"...
>>
>> C'est à la tête du client ?
>
> En quelque sorte, oui.
>
> Je soulignais juste par ma remarque l'importance de la
> notion "d'intérêt à agir".
On se fiche de l'intérêt à agir.
Si je demande "machin vole un
scooter, quels sanctions peut-on demander contre le voleur",
vous allez me demandez quel est l'intérêt d'agir ?
> Qui est "on" est primordial pour déterminer si "on" a un
> intérêt à agir. Et évidemment dans le cadre de quel branche
> du droit ""on" se situe. Par exemple ci, "on" parle du
> civil, du pénal ou de l'administratif?
>
>> Quel est le mot que vous ne comprenez pas ?
>
> "on" n'est pas une personne juridique.
>
>> On = celui qui demanderait.
>
> A quel titre? Selon quel principe de droit? Pour quel
> motif?
> Dans quel délai?
> Quel est le préjudice subi et par qui?
> Etc.
Bon.
Comme je sens qu'il y a un peu de curiosité à satisfaire, on va
expliquer un peu l'affaire.
Soit Monsieur divorcé de Madame et qui ont un fils (qui a 10
ans). Madame a la garde,
Monsieur a son fils un week-end sur
deux et la moitié des vacances scolaires.
La veille de la rentrée de novembre, Monsieur ramène Fiston
chez Madame. Madame ne répond pas mais ils réussissent quand
même à pénétrer dans l'immeuble. A la porte de l'appartement de
Madame, qui fait l'absente, se trouvent toutes les affaires de
Fiston, y compris le chien attaché à la porte. Certes, Madame
avait déjà dit à Fiston qu'elle finirait par le mettre dehors,
mais Madame dit tellement de bétises...
Donc Monsieur a ramené Fiston chez lui, a dû lui faire changer
d'école et tout et surtout a sollicité via son avocate une
audience en urgence pour régler le problème.
A se démener, l'avocate obtient l'audience en URGENCE trois semaines et
demi après (heureusement qu'il n'y a pas danger de mort).
Et le jour de l'audience, (avec bien sûr l'obligation de se
déplacer dans la ville de Madame, de poser une journée de
congés et tout, mais passons), Monsieur vient (ainsi que
Madame) et le juge annonce presque sans s'excuser "la greffière
ayant égaré le dossier, revenez le (...)" (quatre semaines plus
tard).
Outre le fait que du côté de Monsieur on se demande si la
greffière n'est pas de connivence avec madame,
je me demandais
quelle sanction on pouvait demander contre la greffière
défaillante (pour peu que ce soit involontaire).
Après tout,
elle a fait une faute qui nuit à Monsieur.
Est-ce plus clair ?
Je ne vois strictement aucune nuisance envers Monsieur.
Je ne vois strictement aucune nuisance envers Monsieur.
Je ne vois strictement aucune nuisance envers Monsieur.
Dominique de Corse wrote:Je ne vois strictement aucune nuisance envers Monsieur.
En outre, sauf grosse bêtise de ma part, l'erreur de la greffière
appartient me semble-t-il à la catégorie des fautes professsionnelles,
et dans ce cas, seul son supérieur hiérarchique est fondé à lui infliger
une sanction. Non ?
Si un justiciable a été lésé par son erreur, c'est à l'institution
judiciaire qu'il doit demander des comptes et non à la personne de la
greffière.
Dominique de Corse <dmkgbt@free.invalid> wrote:
Je ne vois strictement aucune nuisance envers Monsieur.
En outre, sauf grosse bêtise de ma part, l'erreur de la greffière
appartient me semble-t-il à la catégorie des fautes professsionnelles,
et dans ce cas, seul son supérieur hiérarchique est fondé à lui infliger
une sanction. Non ?
Si un justiciable a été lésé par son erreur, c'est à l'institution
judiciaire qu'il doit demander des comptes et non à la personne de la
greffière.
Dominique de Corse wrote:Je ne vois strictement aucune nuisance envers Monsieur.
En outre, sauf grosse bêtise de ma part, l'erreur de la greffière
appartient me semble-t-il à la catégorie des fautes professsionnelles,
et dans ce cas, seul son supérieur hiérarchique est fondé à lui infliger
une sanction. Non ?
Si un justiciable a été lésé par son erreur, c'est à l'institution
judiciaire qu'il doit demander des comptes et non à la personne de la
greffière.
Sans doute quelqu'un qui n'a _jamais_ commis une seule erreur de toute
sa vie.
Sans doute quelqu'un qui n'a _jamais_ commis une seule erreur de toute
sa vie.
Sans doute quelqu'un qui n'a _jamais_ commis une seule erreur de toute
sa vie.