l'ombre... mais bref je suppose que ça vient de la banalité de mes sujets
Dans le sens ou c'est directement issu de l'esprit de la photographie objective allemande à la fin du XXème siècle et de ses avatars ( Andreas Gursky, Axel Hütte, Candida Höfer, Klaus Mettig, Thomas Ruff, Elger Esser, Beat Streuli, Thomas Struth, Jean Marc Bustamante, etc...) C'est effectivement tout à fait banal. Par contre la soit disant "banalité" du sujet cache une furieuse volonté esthétisante du rien qui aujourd'hui à mon avis est un peu lassante.
Amitiés, albert ---------------------------------------------------------- Photographies imaginaires http://photo.imaginaire.free.fr ----------------------------------------------------------
Bonjour "truche",
"truche" <eterme@wanadoo.fr> a écrit :
--------
l'ombre... mais bref je suppose que ça vient de la banalité de mes sujets
Dans le sens ou c'est directement issu de l'esprit de la photographie
objective allemande à la fin du XXème siècle et de ses avatars ( Andreas
Gursky, Axel Hütte, Candida Höfer, Klaus Mettig, Thomas Ruff, Elger Esser,
Beat Streuli, Thomas Struth, Jean Marc Bustamante, etc...) C'est
effectivement tout à fait banal. Par contre la soit disant "banalité" du
sujet cache une furieuse volonté esthétisante du rien qui aujourd'hui à mon
avis est un peu lassante.
Amitiés,
albert
----------------------------------------------------------
Photographies imaginaires
http://photo.imaginaire.free.fr
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l'ombre... mais bref je suppose que ça vient de la banalité de mes sujets
Dans le sens ou c'est directement issu de l'esprit de la photographie objective allemande à la fin du XXème siècle et de ses avatars ( Andreas Gursky, Axel Hütte, Candida Höfer, Klaus Mettig, Thomas Ruff, Elger Esser, Beat Streuli, Thomas Struth, Jean Marc Bustamante, etc...) C'est effectivement tout à fait banal. Par contre la soit disant "banalité" du sujet cache une furieuse volonté esthétisante du rien qui aujourd'hui à mon avis est un peu lassante.
Amitiés, albert ---------------------------------------------------------- Photographies imaginaires http://photo.imaginaire.free.fr ----------------------------------------------------------
delestaque
"albert" a écrit dans le message de groupe de discussion : 4e2131f4$0$18817$
Bonjour "truche",
"truche" a écrit : --------
l'ombre... mais bref je suppose que ça vient de la banalité de mes sujets
Dans le sens ou c'est directement issu de l'esprit de la photographie objective allemande à la fin du XXème siècle et de ses avatars ( Andreas Gursky, Axel Hütte, Candida Höfer, Klaus Mettig, Thomas Ruff, Elger Esser, Beat Streuli, Thomas Struth, Jean Marc Bustamante, etc...) C'est effectivement tout à fait banal. Par contre la soit disant "banalité" du sujet cache une furieuse volonté esthétisante du rien qui aujourd'hui à mon avis est un peu lassante.
Amitiés, albert ---------------------------------------------------------- Photographies imaginaires http://photo.imaginaire.free.fr ----------------------------------------------------------
[ Par contre la soit disant "banalité" du sujet cache une furieuse volonté esthétisante du rien qui aujourd'hui à mon avis est un peu lassante. ]
qu'en des termes choisis la chose est bien dite ! Bon, avec ton autorisation expresse, et pour la deuxième fois, je vais te solliciter pour employer cette phrase. Quel art de la synthèse ! pour la série considérée, impossible de mieux dire.
-- Ricco
"albert" <albertlemoine.nospam@wanadoo.fr> a écrit dans le message de groupe de
discussion : 4e2131f4$0$18817$ba4acef3@reader.news.orange.fr...
Bonjour "truche",
"truche" <eterme@wanadoo.fr> a écrit :
--------
l'ombre... mais bref je suppose que ça vient de la banalité de mes sujets
Dans le sens ou c'est directement issu de l'esprit de la photographie
objective allemande à la fin du XXème siècle et de ses avatars ( Andreas
Gursky, Axel Hütte, Candida Höfer, Klaus Mettig, Thomas Ruff, Elger Esser,
Beat Streuli, Thomas Struth, Jean Marc Bustamante, etc...) C'est effectivement
tout à fait banal. Par contre la soit disant "banalité" du sujet cache une
furieuse volonté esthétisante du rien qui aujourd'hui à mon avis est un peu
lassante.
Amitiés,
albert
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Photographies imaginaires
http://photo.imaginaire.free.fr
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[ Par contre la soit disant "banalité" du
sujet cache une furieuse volonté esthétisante du rien qui aujourd'hui à mon
avis est un peu lassante. ]
qu'en des termes choisis la chose est bien dite !
Bon, avec ton autorisation expresse, et pour la deuxième fois, je vais te
solliciter pour employer cette phrase.
Quel art de la synthèse !
pour la série considérée, impossible de mieux dire.
"albert" a écrit dans le message de groupe de discussion : 4e2131f4$0$18817$
Bonjour "truche",
"truche" a écrit : --------
l'ombre... mais bref je suppose que ça vient de la banalité de mes sujets
Dans le sens ou c'est directement issu de l'esprit de la photographie objective allemande à la fin du XXème siècle et de ses avatars ( Andreas Gursky, Axel Hütte, Candida Höfer, Klaus Mettig, Thomas Ruff, Elger Esser, Beat Streuli, Thomas Struth, Jean Marc Bustamante, etc...) C'est effectivement tout à fait banal. Par contre la soit disant "banalité" du sujet cache une furieuse volonté esthétisante du rien qui aujourd'hui à mon avis est un peu lassante.
Amitiés, albert ---------------------------------------------------------- Photographies imaginaires http://photo.imaginaire.free.fr ----------------------------------------------------------
[ Par contre la soit disant "banalité" du sujet cache une furieuse volonté esthétisante du rien qui aujourd'hui à mon avis est un peu lassante. ]
qu'en des termes choisis la chose est bien dite ! Bon, avec ton autorisation expresse, et pour la deuxième fois, je vais te solliciter pour employer cette phrase. Quel art de la synthèse ! pour la série considérée, impossible de mieux dire.
-- Ricco
Alf92
"albert" a écrit
la soit disant "banalité" du sujet cache une furieuse volonté esthétisante du rien qui aujourd'hui à mon avis est un peu lassante.
oui
-- Alf92
"albert" <albertlemoine.nospam@wanadoo.fr> a écrit
la soit disant "banalité" du sujet cache une furieuse volonté esthétisante
du
rien qui aujourd'hui à mon avis est un peu lassante.
"Alf92" a écrit dans le message de groupe de discussion : ivrr48$f30$
"albert" a écrit
la soit disant "banalité" du sujet cache une furieuse volonté esthétisante du rien qui aujourd'hui à mon avis est un peu lassante.
oui
-- Alf92
le " rien " mis au premier plan, le " loft " de la photo,
-- Ricco
filh
Alf92 wrote:
une merde sentira toujours la merde.
Bien sûr non : - les femmes de je ne sais plus quelle tribu font d'admirable décors à base de bouse de vache - la bouse de chameau permet de faire cuire sa bouffe - et Manzoni la conserve :)
en revanche il faut vraiment "en vouloir" pour trouver un quelconque intérêt aux autres.
Ou avoir une sensibilité éloignée de la tienne... ce qui n'est pas forcément « en vouloir ».
FiLH
-- Le fondement du constat bourgeois, c'est le bon sens, c'est-à-dire une vérité qui s'arrête sur l'ordre arbitraire de celui qui la parle. Roland Barthes. http://www.filh.org
Alf92 <alf921@gmail.com> wrote:
une merde sentira toujours la merde.
Bien sûr non :
- les femmes de je ne sais plus quelle tribu font d'admirable décors à
base de bouse de vache
- la bouse de chameau permet de faire cuire sa bouffe
- et Manzoni la conserve :)
en revanche il faut vraiment "en vouloir" pour trouver un quelconque
intérêt
aux autres.
Ou avoir une sensibilité éloignée de la tienne... ce qui n'est pas
forcément « en vouloir ».
FiLH
--
Le fondement du constat bourgeois, c'est le bon sens, c'est-à-dire
une vérité qui s'arrête sur l'ordre arbitraire de celui qui la parle.
Roland Barthes.
http://www.filh.org
Bien sûr non : - les femmes de je ne sais plus quelle tribu font d'admirable décors à base de bouse de vache - la bouse de chameau permet de faire cuire sa bouffe - et Manzoni la conserve :)
en revanche il faut vraiment "en vouloir" pour trouver un quelconque intérêt aux autres.
Ou avoir une sensibilité éloignée de la tienne... ce qui n'est pas forcément « en vouloir ».
FiLH
-- Le fondement du constat bourgeois, c'est le bon sens, c'est-à-dire une vérité qui s'arrête sur l'ordre arbitraire de celui qui la parle. Roland Barthes. http://www.filh.org
filh
Alf92 wrote:
"FiLH" a écrit dans le message de groupe de discussion : 1k4g8by.4i5yv41rm683vN% > Alf92 wrote: > >> "FiLH" a écrit
> Ensuite il n'y a pas que mélies dans la vie....
mes deux derniers (gros) coups de coeur : Dans ses yeux (Argentine, 2010) et Une séparation (Iran, 2011)
Je ne suis pas un cinéphile...
Mais peut-être : mourrir comme un homme (portugal 2009)
FiLH
-- Le fondement du constat bourgeois, c'est le bon sens, c'est-à-dire une vérité qui s'arrête sur l'ordre arbitraire de celui qui la parle. Roland Barthes. http://www.filh.org
Alf92 <alf921@gmail.com> wrote:
"FiLH" <filh@filh.orgie> a écrit dans le message de groupe de discussion :
1k4g8by.4i5yv41rm683vN%filh@filh.orgie...
> Alf92 <alf921@gmail.com> wrote:
>
>> "FiLH" <filh@filh.orgie> a écrit
> Ensuite il n'y a pas que mélies dans la vie....
mes deux derniers (gros) coups de coeur :
Dans ses yeux (Argentine, 2010)
et Une séparation (Iran, 2011)
Je ne suis pas un cinéphile...
Mais peut-être : mourrir comme un homme (portugal 2009)
FiLH
--
Le fondement du constat bourgeois, c'est le bon sens, c'est-à-dire
une vérité qui s'arrête sur l'ordre arbitraire de celui qui la parle.
Roland Barthes.
http://www.filh.org
"FiLH" a écrit dans le message de groupe de discussion : 1k4g8by.4i5yv41rm683vN% > Alf92 wrote: > >> "FiLH" a écrit
> Ensuite il n'y a pas que mélies dans la vie....
mes deux derniers (gros) coups de coeur : Dans ses yeux (Argentine, 2010) et Une séparation (Iran, 2011)
Je ne suis pas un cinéphile...
Mais peut-être : mourrir comme un homme (portugal 2009)
FiLH
-- Le fondement du constat bourgeois, c'est le bon sens, c'est-à-dire une vérité qui s'arrête sur l'ordre arbitraire de celui qui la parle. Roland Barthes. http://www.filh.org
Alf92
"YouDontNeedToKnowButItsNoëlle" a écrit
l'hypersensibilité trouble la perception.
À la limite, tu dirais que l'hypersensibilité est un trouble de la perception, je comprendrais mieux.
non non je n'ai pas employé le nom commun "trouble" (au sens problème ou pathologie), mais le verbe "troubler" (au sens modifier ou déformer).
Pas d'accord, mais compréhensible. J'ai une très bonne perception des couleurs. Pas exceptionnelle, mais je pense au dessus de la moyenne. Bien lancé, on pourrait dire hypersensible, ça ne me rendrait pas daltonienne pour autant -un trouble-. Mr. a une perception auditive assez exceptionnelle en sensibilité (pas l'oreille absolue). Hypersensible des oreilles, c'est clair. En général agréable, c'est parfois chiant mais pas un trouble. Le trouble c'est quand une allergie lui donne des acouphènes, parfois une crise d'hypersensibilité olfactive. Les odeurs restent les mêmes, mais complétement amplifiées.
nom commun / verbe.
L'hypersenbilité amplifie la perception, c'est même sa définition. Elle ne la fausse pas.
si, l'hypersensibilité sature immédiatement le signal.
Les perceptions peuvent être faussées par autre chose. Elles sont plus souvent faussées dans le sens de la perte de signal (avec l'âge ou autre) qu'avec l'amplification !
une merde sentira toujours la merde.
Certes. La merde est en somme objective. C'est assez basique, on sent avec le nez.
Une image est une représentation et une forme. C'est nettement moins basique, on perçoit avec sa culture, sa personnalité, son passé etc.
oui c'est une évidence. mais on partage tous un fond commun de culture et des codes communs de communication qui nous permettent de nous comprendre et de discuter. il faut bien admettre que ce que nous présente Truche dans ça série Sèvres ne correspond à grand chose de commun.
je ne dis pas que les photos de Tuche sont de la merde (j'en trouve d'ailleurs deux assez sympa dans un style graphique très "Pallierien", les deux dernières). en revanche il faut vraiment "en vouloir" pour trouver un quelconque intérêt aux autres.
J'ai perçu ça comme une série. Un tout petit voyage qui tourne en rond. Un univers propret et flippant sans une once d'humanité, à part les voitures. Quelque chose de bien dépersonnalisé, et les humains qui ne sont pas répresentés on les imagine assortis. Des sims qui parlent en yaourt peut-être. Ce qui force cet effet c'est je crois justement la forme plutôt bien équilibrée, avec bonnes couleurs et bonne lumière.
Albert a bien résumé la chose : "la soit disant "banalité" du sujet cache une furieuse volonté esthétisante du rien qui aujourd'hui à mon avis est un peu lassante."
des bâtiments de banlieue...
Ben oui, t'es insensible à l'horreur des banlieues. Tiens cet am on causait (ma sœur et moi) du "Droit de fenêtre" proposé par Hunterwasser comme un droit humain de base. Celui de peindre, arranger, décorer à son idée autour de sa fenêtre aussi loin que le bras peut s'allonger.
Tant pis. Un jour, on t'annonceras : vous êtes muté à Niort. (Je ne sais pas si on peut être muté à Sèvres).
impossible !
-- Alf92
"YouDontNeedToKnowButItsNoëlle" <FautLaDemander@simple.org> a écrit
l'hypersensibilité trouble la perception.
À la limite, tu dirais que l'hypersensibilité est un trouble de la
perception, je comprendrais mieux.
non non
je n'ai pas employé le nom commun "trouble" (au sens problème ou
pathologie), mais le verbe "troubler" (au sens modifier ou déformer).
Pas d'accord, mais compréhensible.
J'ai une très bonne perception des couleurs. Pas exceptionnelle, mais je
pense au dessus de la moyenne. Bien lancé, on pourrait dire hypersensible,
ça ne me rendrait pas daltonienne pour autant -un trouble-.
Mr. a une perception auditive assez exceptionnelle en sensibilité (pas
l'oreille absolue). Hypersensible des oreilles, c'est clair. En général
agréable, c'est parfois chiant mais pas un trouble. Le trouble c'est quand
une allergie lui donne des acouphènes, parfois une crise
d'hypersensibilité olfactive. Les odeurs restent les mêmes, mais
complétement amplifiées.
nom commun / verbe.
L'hypersenbilité amplifie la perception, c'est même sa définition. Elle ne
la fausse pas.
si, l'hypersensibilité sature immédiatement le signal.
Les perceptions peuvent être faussées par autre chose. Elles sont plus
souvent faussées dans le sens de la perte de signal (avec l'âge ou autre)
qu'avec l'amplification !
une merde sentira toujours la merde.
Certes. La merde est en somme objective. C'est assez basique, on sent avec
le nez.
Une image est une représentation et une forme. C'est nettement moins
basique, on perçoit avec sa culture, sa personnalité, son passé etc.
oui c'est une évidence.
mais on partage tous un fond commun de culture et des codes communs de
communication qui nous permettent de nous comprendre et de discuter.
il faut bien admettre que ce que nous présente Truche dans ça série Sèvres
ne correspond à grand chose de commun.
je ne dis pas que les photos de Tuche sont de la merde (j'en trouve
d'ailleurs deux assez sympa dans un style graphique très "Pallierien",
les deux dernières).
en revanche il faut vraiment "en vouloir" pour trouver un quelconque
intérêt aux autres.
J'ai perçu ça comme une série. Un tout petit voyage qui tourne en rond. Un
univers propret et flippant sans une once d'humanité, à part les voitures.
Quelque chose de bien dépersonnalisé, et les humains qui ne sont pas
répresentés on les imagine assortis. Des sims qui parlent en yaourt
peut-être.
Ce qui force cet effet c'est je crois justement la forme plutôt bien
équilibrée, avec bonnes couleurs et bonne lumière.
Albert a bien résumé la chose :
"la soit disant "banalité" du sujet cache une furieuse volonté esthétisante
du rien qui aujourd'hui à mon avis est un peu lassante."
des bâtiments de banlieue...
Ben oui, t'es insensible à l'horreur des banlieues.
Tiens cet am on causait (ma sœur et moi) du "Droit de fenêtre" proposé par
Hunterwasser comme un droit humain de base. Celui de peindre, arranger,
décorer à son idée autour de sa fenêtre aussi loin que le bras peut
s'allonger.
Tant pis. Un jour, on t'annonceras : vous êtes muté à Niort. (Je ne sais
pas si on peut être muté à Sèvres).
À la limite, tu dirais que l'hypersensibilité est un trouble de la perception, je comprendrais mieux.
non non je n'ai pas employé le nom commun "trouble" (au sens problème ou pathologie), mais le verbe "troubler" (au sens modifier ou déformer).
Pas d'accord, mais compréhensible. J'ai une très bonne perception des couleurs. Pas exceptionnelle, mais je pense au dessus de la moyenne. Bien lancé, on pourrait dire hypersensible, ça ne me rendrait pas daltonienne pour autant -un trouble-. Mr. a une perception auditive assez exceptionnelle en sensibilité (pas l'oreille absolue). Hypersensible des oreilles, c'est clair. En général agréable, c'est parfois chiant mais pas un trouble. Le trouble c'est quand une allergie lui donne des acouphènes, parfois une crise d'hypersensibilité olfactive. Les odeurs restent les mêmes, mais complétement amplifiées.
nom commun / verbe.
L'hypersenbilité amplifie la perception, c'est même sa définition. Elle ne la fausse pas.
si, l'hypersensibilité sature immédiatement le signal.
Les perceptions peuvent être faussées par autre chose. Elles sont plus souvent faussées dans le sens de la perte de signal (avec l'âge ou autre) qu'avec l'amplification !
une merde sentira toujours la merde.
Certes. La merde est en somme objective. C'est assez basique, on sent avec le nez.
Une image est une représentation et une forme. C'est nettement moins basique, on perçoit avec sa culture, sa personnalité, son passé etc.
oui c'est une évidence. mais on partage tous un fond commun de culture et des codes communs de communication qui nous permettent de nous comprendre et de discuter. il faut bien admettre que ce que nous présente Truche dans ça série Sèvres ne correspond à grand chose de commun.
je ne dis pas que les photos de Tuche sont de la merde (j'en trouve d'ailleurs deux assez sympa dans un style graphique très "Pallierien", les deux dernières). en revanche il faut vraiment "en vouloir" pour trouver un quelconque intérêt aux autres.
J'ai perçu ça comme une série. Un tout petit voyage qui tourne en rond. Un univers propret et flippant sans une once d'humanité, à part les voitures. Quelque chose de bien dépersonnalisé, et les humains qui ne sont pas répresentés on les imagine assortis. Des sims qui parlent en yaourt peut-être. Ce qui force cet effet c'est je crois justement la forme plutôt bien équilibrée, avec bonnes couleurs et bonne lumière.
Albert a bien résumé la chose : "la soit disant "banalité" du sujet cache une furieuse volonté esthétisante du rien qui aujourd'hui à mon avis est un peu lassante."
des bâtiments de banlieue...
Ben oui, t'es insensible à l'horreur des banlieues. Tiens cet am on causait (ma sœur et moi) du "Droit de fenêtre" proposé par Hunterwasser comme un droit humain de base. Celui de peindre, arranger, décorer à son idée autour de sa fenêtre aussi loin que le bras peut s'allonger.
Tant pis. Un jour, on t'annonceras : vous êtes muté à Niort. (Je ne sais pas si on peut être muté à Sèvres).
impossible !
-- Alf92
Alf92
"FiLH" a écrit
en revanche il faut vraiment "en vouloir" pour trouver un quelconque intérêt aux autres.
Ou avoir une sensibilité éloignée de la tienne... ce qui n'est pas forcément « en vouloir ».
je comprends bien. mais il faut bien admettre l'effort à fournir pour apprécier (en bien comme en mal) ces photos est important. soit parce que c'est du déjà vu (cf l'intervention d'Albert), soit parce que ces photos ont peu de "matériel émotionnel".
-- Alf92
"FiLH" <filh@filh.orgie> a écrit
en revanche il faut vraiment "en vouloir" pour trouver un quelconque
intérêt aux autres.
Ou avoir une sensibilité éloignée de la tienne... ce qui n'est pas
forcément « en vouloir ».
je comprends bien.
mais il faut bien admettre l'effort à fournir pour apprécier (en bien comme
en mal) ces photos est important.
soit parce que c'est du déjà vu (cf l'intervention d'Albert), soit parce que
ces photos ont peu de "matériel émotionnel".
en revanche il faut vraiment "en vouloir" pour trouver un quelconque intérêt aux autres.
Ou avoir une sensibilité éloignée de la tienne... ce qui n'est pas forcément « en vouloir ».
je comprends bien. mais il faut bien admettre l'effort à fournir pour apprécier (en bien comme en mal) ces photos est important. soit parce que c'est du déjà vu (cf l'intervention d'Albert), soit parce que ces photos ont peu de "matériel émotionnel".
-- Alf92
filh
Alf92 wrote:
"FiLH" a écrit
>>en revanche il faut vraiment "en vouloir" pour trouver un quelconque >>intérêt aux autres. > > Ou avoir une sensibilité éloignée de la tienne... ce qui n'est pas > forcément « en vouloir ».
je comprends bien. mais il faut bien admettre l'effort à fournir pour apprécier (en bien comme en mal) ces photos est important. soit parce que c'est du déjà vu (cf l'intervention d'Albert), soit parce que ces photos ont peu de "matériel émotionnel".
Je ne sais pas, pour moi aucun effort...
FiLH
-- Le fondement du constat bourgeois, c'est le bon sens, c'est-à-dire une vérité qui s'arrête sur l'ordre arbitraire de celui qui la parle. Roland Barthes. http://www.filh.org
Alf92 <alf921@gmail.com> wrote:
"FiLH" <filh@filh.orgie> a écrit
>>en revanche il faut vraiment "en vouloir" pour trouver un quelconque
>>intérêt aux autres.
>
> Ou avoir une sensibilité éloignée de la tienne... ce qui n'est pas
> forcément « en vouloir ».
je comprends bien.
mais il faut bien admettre l'effort à fournir pour apprécier (en bien comme
en mal) ces photos est important.
soit parce que c'est du déjà vu (cf l'intervention d'Albert), soit parce que
ces photos ont peu de "matériel émotionnel".
Je ne sais pas, pour moi aucun effort...
FiLH
--
Le fondement du constat bourgeois, c'est le bon sens, c'est-à-dire
une vérité qui s'arrête sur l'ordre arbitraire de celui qui la parle.
Roland Barthes.
http://www.filh.org
>>en revanche il faut vraiment "en vouloir" pour trouver un quelconque >>intérêt aux autres. > > Ou avoir une sensibilité éloignée de la tienne... ce qui n'est pas > forcément « en vouloir ».
je comprends bien. mais il faut bien admettre l'effort à fournir pour apprécier (en bien comme en mal) ces photos est important. soit parce que c'est du déjà vu (cf l'intervention d'Albert), soit parce que ces photos ont peu de "matériel émotionnel".
Je ne sais pas, pour moi aucun effort...
FiLH
-- Le fondement du constat bourgeois, c'est le bon sens, c'est-à-dire une vérité qui s'arrête sur l'ordre arbitraire de celui qui la parle. Roland Barthes. http://www.filh.org
delestaque
"Alf92" a écrit dans le message de groupe de discussion : ivrs9u$ldo$
Tant pis. Un jour, on t'annonceras : vous êtes muté à Niort. (Je ne sais pas si on peut être muté à Sèvres).
impossible !
remarque, ça te fait un pont à traverser à pinces, si tu es muté à Sèvres, " muté " comme les militaires et le fonctionnaires ! -- Ricco
"Alf92" <alf921@gmail.com> a écrit dans le message de groupe de discussion :
ivrs9u$ldo$1@dont-email.me...
Tant pis. Un jour, on t'annonceras : vous êtes muté à Niort. (Je ne sais pas
si on peut être muté à Sèvres).
impossible !
remarque, ça te fait un pont à traverser à pinces, si tu es muté à Sèvres, "
muté " comme les militaires et le fonctionnaires !
--
Ricco