Oui, du fait de l'internaute qui va chercher la page, pas de celui de Yahoo!
Jurisprudence ? D'une juridiction de 1er degré ?
Oui, du fait de l'internaute qui va chercher la page, pas de celui de Yahoo!
Jurisprudence ? D'une juridiction de 1er degré ?
Oui, du fait de l'internaute qui va chercher la page, pas de celui de Yahoo!
Jurisprudence ? D'une juridiction de 1er degré ?
L'affichage se fait bien en France, non ?
Oui, du fait de l'internaute qui va chercher la page, pas de celui de
Yahoo!
C'est déjà ça que tu admettes dans quel sens va la jurisprudence
française.
Jurisprudence ? D'une juridiction de 1er degré ? Allez, j'arrête là
sur ce point.
Si tu enlèves les pays qui ont le même droit que nous par rapport à
un cas donné,
Ah oui, quels pays ? Les modèles eux-mêmes diffèrent, notamment chez
les anglo-saxons, les allemands. Je ne te parle même pas des pays de
droit arabe, où les bases sont totalement différentes.
et si tu enlèves les sites qui
acceptent d'enlever les contenus même en cas de défaut d'ordonnance
d'exequatur,
Je pensais que nous parlions d'exequatur d'une décision de justice,
pas d'une transaction, qui n'a strictement rien à voir.
il ne reste plus grand chose. Ce n'est pas Internet qui a
inventé ce type de situations, ça existait déjà avant.
Ah oui ? Et en vertu de quels éléments lances-tu cette affirmation
totalement gratuite ? Tu as des chiffres, des données, je suppose ?
Pourrait-on en apprécier la teneur ? Rien qu'avec la Chine, cela ne
nous ferait pas près d'un milliard et demi de personnes ?
Tout à fait, et sans preuve du contraire rien ne permet donc
d'affirmer le contraire de mon argumentation comme une règle
constante et habituelle. Les cas doivent être considérés selon
l'espèce, en fonction des législations réellement applicables selon
les conventions internationales existantes et/ou la concordance des
droits nationaux.Tout-à-fait, personne n'a dit le contraire.
Bien, à quel propos contredisais-tu mon argumentation, dans ce cas ?
L'affichage se fait bien en France, non ?
Oui, du fait de l'internaute qui va chercher la page, pas de celui de
Yahoo!
C'est déjà ça que tu admettes dans quel sens va la jurisprudence
française.
Jurisprudence ? D'une juridiction de 1er degré ? Allez, j'arrête là
sur ce point.
Si tu enlèves les pays qui ont le même droit que nous par rapport à
un cas donné,
Ah oui, quels pays ? Les modèles eux-mêmes diffèrent, notamment chez
les anglo-saxons, les allemands. Je ne te parle même pas des pays de
droit arabe, où les bases sont totalement différentes.
et si tu enlèves les sites qui
acceptent d'enlever les contenus même en cas de défaut d'ordonnance
d'exequatur,
Je pensais que nous parlions d'exequatur d'une décision de justice,
pas d'une transaction, qui n'a strictement rien à voir.
il ne reste plus grand chose. Ce n'est pas Internet qui a
inventé ce type de situations, ça existait déjà avant.
Ah oui ? Et en vertu de quels éléments lances-tu cette affirmation
totalement gratuite ? Tu as des chiffres, des données, je suppose ?
Pourrait-on en apprécier la teneur ? Rien qu'avec la Chine, cela ne
nous ferait pas près d'un milliard et demi de personnes ?
Tout à fait, et sans preuve du contraire rien ne permet donc
d'affirmer le contraire de mon argumentation comme une règle
constante et habituelle. Les cas doivent être considérés selon
l'espèce, en fonction des législations réellement applicables selon
les conventions internationales existantes et/ou la concordance des
droits nationaux.
Tout-à-fait, personne n'a dit le contraire.
Bien, à quel propos contredisais-tu mon argumentation, dans ce cas ?
L'affichage se fait bien en France, non ?
Oui, du fait de l'internaute qui va chercher la page, pas de celui de
Yahoo!
C'est déjà ça que tu admettes dans quel sens va la jurisprudence
française.
Jurisprudence ? D'une juridiction de 1er degré ? Allez, j'arrête là
sur ce point.
Si tu enlèves les pays qui ont le même droit que nous par rapport à
un cas donné,
Ah oui, quels pays ? Les modèles eux-mêmes diffèrent, notamment chez
les anglo-saxons, les allemands. Je ne te parle même pas des pays de
droit arabe, où les bases sont totalement différentes.
et si tu enlèves les sites qui
acceptent d'enlever les contenus même en cas de défaut d'ordonnance
d'exequatur,
Je pensais que nous parlions d'exequatur d'une décision de justice,
pas d'une transaction, qui n'a strictement rien à voir.
il ne reste plus grand chose. Ce n'est pas Internet qui a
inventé ce type de situations, ça existait déjà avant.
Ah oui ? Et en vertu de quels éléments lances-tu cette affirmation
totalement gratuite ? Tu as des chiffres, des données, je suppose ?
Pourrait-on en apprécier la teneur ? Rien qu'avec la Chine, cela ne
nous ferait pas près d'un milliard et demi de personnes ?
Tout à fait, et sans preuve du contraire rien ne permet donc
d'affirmer le contraire de mon argumentation comme une règle
constante et habituelle. Les cas doivent être considérés selon
l'espèce, en fonction des législations réellement applicables selon
les conventions internationales existantes et/ou la concordance des
droits nationaux.Tout-à-fait, personne n'a dit le contraire.
Bien, à quel propos contredisais-tu mon argumentation, dans ce cas ?
Pour ma culture personnelle, pouvez vous m'indiquer votre niveau de
droit au niveau diplome en France ?
Pour ma culture personnelle, pouvez vous m'indiquer votre niveau de
droit au niveau diplome en France ?
Pour ma culture personnelle, pouvez vous m'indiquer votre niveau de
droit au niveau diplome en France ?
In article <cfu0g6$28n$,
says...
> "Brina" a écrit...
> > > meilleure coopération judiciaire. Toutefois, le juge français peut
> > > aux fournisseurs d'accès le filtrage d'un site, et s'il
> > > possible d'y passer outre, pratiquement la plupart des internautes
> > > français n'y auront pas accès.
> > Est-ce que tu as un seul exemple où il a été demandé à tous les
> > fournisseurs d'accès à Internet (pas seulement les FAI publics mais
> > tous les autres) d'empêcher l'accès à un site ?
> Non, puisque c'est une loi nouvelle du 21 juin 2004 qui en dispose
> explicitement :-)
Quelle diposition ? (j'ai pas la loi sous les yeux là)
In article <cfu0g6$28n$1@apollon.grec.isp.9tel.net>,
bruno.antispam@lexretis.com says...
> "Brina" <brina@alussinan.org> a écrit...
> > > meilleure coopération judiciaire. Toutefois, le juge français peut
> > > aux fournisseurs d'accès le filtrage d'un site, et s'il
> > > possible d'y passer outre, pratiquement la plupart des internautes
> > > français n'y auront pas accès.
> > Est-ce que tu as un seul exemple où il a été demandé à tous les
> > fournisseurs d'accès à Internet (pas seulement les FAI publics mais
> > tous les autres) d'empêcher l'accès à un site ?
> Non, puisque c'est une loi nouvelle du 21 juin 2004 qui en dispose
> explicitement :-)
Quelle diposition ? (j'ai pas la loi sous les yeux là)
In article <cfu0g6$28n$,
says...
> "Brina" a écrit...
> > > meilleure coopération judiciaire. Toutefois, le juge français peut
> > > aux fournisseurs d'accès le filtrage d'un site, et s'il
> > > possible d'y passer outre, pratiquement la plupart des internautes
> > > français n'y auront pas accès.
> > Est-ce que tu as un seul exemple où il a été demandé à tous les
> > fournisseurs d'accès à Internet (pas seulement les FAI publics mais
> > tous les autres) d'empêcher l'accès à un site ?
> Non, puisque c'est une loi nouvelle du 21 juin 2004 qui en dispose
> explicitement :-)
Quelle diposition ? (j'ai pas la loi sous les yeux là)
"Brina" a écrit dans le message de
news:
> In article <cfu0g6$28n$,
> says...
> > "Brina" a écrit...
> > > > meilleure coopération judiciaire. Toutefois, le juge français peut
demander
> > > > aux fournisseurs d'accès le filtrage d'un site, et s'il
techniquement il est
> > > > possible d'y passer outre, pratiquement la plupart des internautes
> > > > français n'y auront pas accès.
> > > Est-ce que tu as un seul exemple où il a été demandé à tous les
> > > fournisseurs d'accès à Internet (pas seulement les FAI publics mais
aussi
> > > tous les autres) d'empêcher l'accès à un site ?
> > Non, puisque c'est une loi nouvelle du 21 juin 2004 qui en dispose
> > explicitement :-)
> Quelle diposition ? (j'ai pas la loi sous les yeux là)
C'était l'article 2bis.8 de la loi pour la confiance dans l'économie
numérique (Loi n° 2004-575 du 21 juin 2004).
L'article est question était:
"L'autorité judiciaire peut prescrire en référé ou sur requête, à toute
personne mentionnée aux 1 et 2, toutes mesures propres à faire cesser un
dommage occasionné par le contenu d'un service de communication publique en
ligne, telles que celles visant à cesser de stocker ce contenu ou, à défaut,
à cesser d'en permettre l'accès"
Je dis "était" car je ne retrouve plus cette article comme telle sur la loi
pour la confiance dans l'économie numérique parus au journal officiel (donc
celle applicable actuellement).
"Brina" <brina@alussinan.org> a écrit dans le message de
news:MPG.1b903daba5cf673a99b06c@LOCALHOST...
> In article <cfu0g6$28n$1@apollon.grec.isp.9tel.net>,
> bruno.antispam@lexretis.com says...
> > "Brina" <brina@alussinan.org> a écrit...
> > > > meilleure coopération judiciaire. Toutefois, le juge français peut
demander
> > > > aux fournisseurs d'accès le filtrage d'un site, et s'il
techniquement il est
> > > > possible d'y passer outre, pratiquement la plupart des internautes
> > > > français n'y auront pas accès.
> > > Est-ce que tu as un seul exemple où il a été demandé à tous les
> > > fournisseurs d'accès à Internet (pas seulement les FAI publics mais
aussi
> > > tous les autres) d'empêcher l'accès à un site ?
> > Non, puisque c'est une loi nouvelle du 21 juin 2004 qui en dispose
> > explicitement :-)
> Quelle diposition ? (j'ai pas la loi sous les yeux là)
C'était l'article 2bis.8 de la loi pour la confiance dans l'économie
numérique (Loi n° 2004-575 du 21 juin 2004).
L'article est question était:
"L'autorité judiciaire peut prescrire en référé ou sur requête, à toute
personne mentionnée aux 1 et 2, toutes mesures propres à faire cesser un
dommage occasionné par le contenu d'un service de communication publique en
ligne, telles que celles visant à cesser de stocker ce contenu ou, à défaut,
à cesser d'en permettre l'accès"
Je dis "était" car je ne retrouve plus cette article comme telle sur la loi
pour la confiance dans l'économie numérique parus au journal officiel (donc
celle applicable actuellement).
"Brina" a écrit dans le message de
news:
> In article <cfu0g6$28n$,
> says...
> > "Brina" a écrit...
> > > > meilleure coopération judiciaire. Toutefois, le juge français peut
demander
> > > > aux fournisseurs d'accès le filtrage d'un site, et s'il
techniquement il est
> > > > possible d'y passer outre, pratiquement la plupart des internautes
> > > > français n'y auront pas accès.
> > > Est-ce que tu as un seul exemple où il a été demandé à tous les
> > > fournisseurs d'accès à Internet (pas seulement les FAI publics mais
aussi
> > > tous les autres) d'empêcher l'accès à un site ?
> > Non, puisque c'est une loi nouvelle du 21 juin 2004 qui en dispose
> > explicitement :-)
> Quelle diposition ? (j'ai pas la loi sous les yeux là)
C'était l'article 2bis.8 de la loi pour la confiance dans l'économie
numérique (Loi n° 2004-575 du 21 juin 2004).
L'article est question était:
"L'autorité judiciaire peut prescrire en référé ou sur requête, à toute
personne mentionnée aux 1 et 2, toutes mesures propres à faire cesser un
dommage occasionné par le contenu d'un service de communication publique en
ligne, telles que celles visant à cesser de stocker ce contenu ou, à défaut,
à cesser d'en permettre l'accès"
Je dis "était" car je ne retrouve plus cette article comme telle sur la loi
pour la confiance dans l'économie numérique parus au journal officiel (donc
celle applicable actuellement).
> > Je dis "était" car je ne retrouve plus cette article comme telle sur la
> pour la confiance dans l'économie numérique parus au journal officiel
> celle applicable actuellement).
Même en l'état, je l'avais compris comme l'arrêt de la mise à disposition
du public donc par ex, que le contenu soit toujours stocké dans les
machines de l'hébergeur mais que l'hébergeur rende le site non
consultable le temps de la procédure éventuelle
> > Je dis "était" car je ne retrouve plus cette article comme telle sur la
> pour la confiance dans l'économie numérique parus au journal officiel
> celle applicable actuellement).
Même en l'état, je l'avais compris comme l'arrêt de la mise à disposition
du public donc par ex, que le contenu soit toujours stocké dans les
machines de l'hébergeur mais que l'hébergeur rende le site non
consultable le temps de la procédure éventuelle
> > Je dis "était" car je ne retrouve plus cette article comme telle sur la
> pour la confiance dans l'économie numérique parus au journal officiel
> celle applicable actuellement).
Même en l'état, je l'avais compris comme l'arrêt de la mise à disposition
du public donc par ex, que le contenu soit toujours stocké dans les
machines de l'hébergeur mais que l'hébergeur rende le site non
consultable le temps de la procédure éventuelle
Donc, c'était le filtrage chez l'hebergeur, et dans le cas où ce n'était
possible, le filtrage chez les providers.
Enfin, c'est ce que j'ai compris. Mais de toute façon, je me base selon
l'ancien article (enfin, il n'apparait plus en l'état sur la loi).
Donc, c'était le filtrage chez l'hebergeur, et dans le cas où ce n'était
possible, le filtrage chez les providers.
Enfin, c'est ce que j'ai compris. Mais de toute façon, je me base selon
l'ancien article (enfin, il n'apparait plus en l'état sur la loi).
Donc, c'était le filtrage chez l'hebergeur, et dans le cas où ce n'était
possible, le filtrage chez les providers.
Enfin, c'est ce que j'ai compris. Mais de toute façon, je me base selon
l'ancien article (enfin, il n'apparait plus en l'état sur la loi).
GraphSeb wrote:Oui, du fait de l'internaute qui va chercher la page, pas de celui
de Yahoo!
Et si on va chercher son journal au kiosque, le directeur de
publication n'a rien à se reprocher, il a rien publié, na.
Jurisprudence ? D'une juridiction de 1er degré ?
Y'en a d'autres ? Non ? Bon, alors c'est une jurisprudence.
GraphSeb <seb@graphavirer-z.net> wrote:
Oui, du fait de l'internaute qui va chercher la page, pas de celui
de Yahoo!
Et si on va chercher son journal au kiosque, le directeur de
publication n'a rien à se reprocher, il a rien publié, na.
Jurisprudence ? D'une juridiction de 1er degré ?
Y'en a d'autres ? Non ? Bon, alors c'est une jurisprudence.
GraphSeb wrote:Oui, du fait de l'internaute qui va chercher la page, pas de celui
de Yahoo!
Et si on va chercher son journal au kiosque, le directeur de
publication n'a rien à se reprocher, il a rien publié, na.
Jurisprudence ? D'une juridiction de 1er degré ?
Y'en a d'autres ? Non ? Bon, alors c'est une jurisprudence.
Oui, du fait de l'internaute qui va chercher la page, pas de celui de
Yahoo!
Tu peux formuler clairement là où tu veux en venir ?
Jurisprudence ? D'une juridiction de 1er degré ? Allez, j'arrête là
sur ce point.
Pourtant retenue et répétée par la doctrine.
Ça existe aussi des
jurisprudences hors cour de cassation, tu sais.
[...] Et concernant l'atteinte
matérialisée par la seule accessibilité en France, ce n'est pas la
seule, et ne concerne pas seulement le droi pénal.
Ah oui, quels pays ? Les modèles eux-mêmes diffèrent, notamment chez
les anglo-saxons, les allemands. Je ne te parle même pas des pays de
droit arabe, où les bases sont totalement différentes.
Je parle par rapport à un cas donné, j'ai dit. Ça ne veut pas dire que
tous les pays ont des droits identiques, ça ne veut pas dire non plus
que les pays ont des droits complétement différents.
Donc, je répète, à voir selon les cas.
Je parle quant à la suppression du contenu du site. Cela ne veut pas
dire comdamnation du délinquant, mais je pense que ce n'est pas
négligeable non plus.
il ne reste plus grand chose. Ce n'est pas Internet qui a
inventé ce type de situations, ça existait déjà avant.
Ah oui ? Et en vertu de quels éléments lances-tu cette affirmation
totalement gratuite ? Tu as des chiffres, des données, je suppose ?
Pourrait-on en apprécier la teneur ? Rien qu'avec la Chine, cela ne
nous ferait pas près d'un milliard et demi de personnes ?
Hum, là non plus je ne vois pas où tu veux en venir.
Je dis que les problèmes d'application d'une décision de justice
française à l'étranger ne sont pas apparus avec Internet. Pour le
reste, je ne comprends pas de quoi tu parles.
L'argumentation que je contredisais à la base concernait la
matérialisation en France d'un délit commis sur Internet du seul fait
que le contenu soit accessible en France. Tu remettais ça en doute,
alors que c'est du battu et du rebattu en Droit français.
Et ce que je ne comprends pas, c'est que tu insistes sur
l'inapplicabilité des décisions de justice à ce sujet quand le contenu
vient de l'étranger.
Oooouuuuuuuuiiii, tout le monde sait que ce n'est pas automatique.
Personne ne va te contredire sur ce point.
Oui, du fait de l'internaute qui va chercher la page, pas de celui de
Yahoo!
Tu peux formuler clairement là où tu veux en venir ?
Jurisprudence ? D'une juridiction de 1er degré ? Allez, j'arrête là
sur ce point.
Pourtant retenue et répétée par la doctrine.
Ça existe aussi des
jurisprudences hors cour de cassation, tu sais.
[...] Et concernant l'atteinte
matérialisée par la seule accessibilité en France, ce n'est pas la
seule, et ne concerne pas seulement le droi pénal.
Ah oui, quels pays ? Les modèles eux-mêmes diffèrent, notamment chez
les anglo-saxons, les allemands. Je ne te parle même pas des pays de
droit arabe, où les bases sont totalement différentes.
Je parle par rapport à un cas donné, j'ai dit. Ça ne veut pas dire que
tous les pays ont des droits identiques, ça ne veut pas dire non plus
que les pays ont des droits complétement différents.
Donc, je répète, à voir selon les cas.
Je parle quant à la suppression du contenu du site. Cela ne veut pas
dire comdamnation du délinquant, mais je pense que ce n'est pas
négligeable non plus.
il ne reste plus grand chose. Ce n'est pas Internet qui a
inventé ce type de situations, ça existait déjà avant.
Ah oui ? Et en vertu de quels éléments lances-tu cette affirmation
totalement gratuite ? Tu as des chiffres, des données, je suppose ?
Pourrait-on en apprécier la teneur ? Rien qu'avec la Chine, cela ne
nous ferait pas près d'un milliard et demi de personnes ?
Hum, là non plus je ne vois pas où tu veux en venir.
Je dis que les problèmes d'application d'une décision de justice
française à l'étranger ne sont pas apparus avec Internet. Pour le
reste, je ne comprends pas de quoi tu parles.
L'argumentation que je contredisais à la base concernait la
matérialisation en France d'un délit commis sur Internet du seul fait
que le contenu soit accessible en France. Tu remettais ça en doute,
alors que c'est du battu et du rebattu en Droit français.
Et ce que je ne comprends pas, c'est que tu insistes sur
l'inapplicabilité des décisions de justice à ce sujet quand le contenu
vient de l'étranger.
Oooouuuuuuuuiiii, tout le monde sait que ce n'est pas automatique.
Personne ne va te contredire sur ce point.
Oui, du fait de l'internaute qui va chercher la page, pas de celui de
Yahoo!
Tu peux formuler clairement là où tu veux en venir ?
Jurisprudence ? D'une juridiction de 1er degré ? Allez, j'arrête là
sur ce point.
Pourtant retenue et répétée par la doctrine.
Ça existe aussi des
jurisprudences hors cour de cassation, tu sais.
[...] Et concernant l'atteinte
matérialisée par la seule accessibilité en France, ce n'est pas la
seule, et ne concerne pas seulement le droi pénal.
Ah oui, quels pays ? Les modèles eux-mêmes diffèrent, notamment chez
les anglo-saxons, les allemands. Je ne te parle même pas des pays de
droit arabe, où les bases sont totalement différentes.
Je parle par rapport à un cas donné, j'ai dit. Ça ne veut pas dire que
tous les pays ont des droits identiques, ça ne veut pas dire non plus
que les pays ont des droits complétement différents.
Donc, je répète, à voir selon les cas.
Je parle quant à la suppression du contenu du site. Cela ne veut pas
dire comdamnation du délinquant, mais je pense que ce n'est pas
négligeable non plus.
il ne reste plus grand chose. Ce n'est pas Internet qui a
inventé ce type de situations, ça existait déjà avant.
Ah oui ? Et en vertu de quels éléments lances-tu cette affirmation
totalement gratuite ? Tu as des chiffres, des données, je suppose ?
Pourrait-on en apprécier la teneur ? Rien qu'avec la Chine, cela ne
nous ferait pas près d'un milliard et demi de personnes ?
Hum, là non plus je ne vois pas où tu veux en venir.
Je dis que les problèmes d'application d'une décision de justice
française à l'étranger ne sont pas apparus avec Internet. Pour le
reste, je ne comprends pas de quoi tu parles.
L'argumentation que je contredisais à la base concernait la
matérialisation en France d'un délit commis sur Internet du seul fait
que le contenu soit accessible en France. Tu remettais ça en doute,
alors que c'est du battu et du rebattu en Droit français.
Et ce que je ne comprends pas, c'est que tu insistes sur
l'inapplicabilité des décisions de justice à ce sujet quand le contenu
vient de l'étranger.
Oooouuuuuuuuiiii, tout le monde sait que ce n'est pas automatique.
Personne ne va te contredire sur ce point.
Jurisprudence ? D'une juridiction de 1er degré ? Allez, j'arrête là
sur ce point.
Pourtant retenue et répétée par la doctrine.
On s'en fout, la doctrine n'est jamais unanime ni univoque. C'est un
point marginal, heureusement. C'est la loi qui doit fonder le
jugement.
Ça existe aussi des
jurisprudences hors cour de cassation, tu sais.
Elle est, quand elle vient d'un TGI, de *très* faible poids, n'étant
confirmée par *rien* et considérée comme hautement faillible.
Les
cours d'appel n'ont pas été formées pour faire joli, la cour de
cassation non plus.
[...] Et concernant l'atteinte
matérialisée par la seule accessibilité en France, ce n'est pas la
seule, et ne concerne pas seulement le droi pénal.
Ne changeons pas de sujet. Cette vue de l'esprit du juge de premier
degré de juridiction n'a aucun fondement matériel.
En ce sens je la
réfute en tant que jurisprudence constante.
Quand une cour d'appel,
voir la cour de Cass la confirmera, il sera sans doute temps d'en
reparler. Pour l'instant, elle ne vaut pas grand chose.
Je parle quant à la suppression du contenu du site. Cela ne veut pas
dire comdamnation du délinquant, mais je pense que ce n'est pas
négligeable non plus.
Je pensais que nous parlions de droit, ne sortons pas du sujet.
Je n'ai jamais restreint le champ du débat au seul média Internet,
hors du cas d'espèce évoqué. Que vient faire cet argument ici ? Pour
le reste, j'évoque les quelques milliards de personnes dans le monde
qui ne sont pas régis par un droit fondé sur le modèle français, même
dans ses notions de base. Cela me semble clair comme notion.
L'argumentation que je contredisais à la base concernait la
matérialisation en France d'un délit commis sur Internet du seul fait
que le contenu soit accessible en France. Tu remettais ça en doute,
alors que c'est du battu et du rebattu en Droit français.
Des sources de jurisprudence constantes, autre qu'un jugement de TGI,
contredit à l'étranger, renvoyé en France et non confirmé, suite à une
transaction entre les parties ?
Et ce que je ne comprends pas, c'est que tu insistes sur
l'inapplicabilité des décisions de justice à ce sujet quand le
contenu vient de l'étranger.
Tu inventes, je n'ai pas écrit ça. Merci de ne pas me prêter des
propos qui ne sont pas les miens.
Contre ceux qui avancent l'exequatur
automatique
et la compétence invraissemblablement étendue du juge français
j'oppose les conditions réelle d'une exequatur à l'étranger,
contrôlée, fondée sur la concordance des droits nationaux et/ou
l'existence de conventions multilatériales particulières et strictes,
a fortiori quand le délit peut raisonnablement être contesté dans sa
matérialisation sur le sol français. Combien de fois devrais-je
l'écrire ?
Oooouuuuuuuuiiii, tout le monde sait que ce n'est pas automatique.
Personne ne va te contredire sur ce point.
Bien, j'aurais donc posté à raison, j'en suis fort aise, c'est ce que
je défends depuis l'origine du fil.
Jurisprudence ? D'une juridiction de 1er degré ? Allez, j'arrête là
sur ce point.
Pourtant retenue et répétée par la doctrine.
On s'en fout, la doctrine n'est jamais unanime ni univoque. C'est un
point marginal, heureusement. C'est la loi qui doit fonder le
jugement.
Ça existe aussi des
jurisprudences hors cour de cassation, tu sais.
Elle est, quand elle vient d'un TGI, de *très* faible poids, n'étant
confirmée par *rien* et considérée comme hautement faillible.
Les
cours d'appel n'ont pas été formées pour faire joli, la cour de
cassation non plus.
[...] Et concernant l'atteinte
matérialisée par la seule accessibilité en France, ce n'est pas la
seule, et ne concerne pas seulement le droi pénal.
Ne changeons pas de sujet. Cette vue de l'esprit du juge de premier
degré de juridiction n'a aucun fondement matériel.
En ce sens je la
réfute en tant que jurisprudence constante.
Quand une cour d'appel,
voir la cour de Cass la confirmera, il sera sans doute temps d'en
reparler. Pour l'instant, elle ne vaut pas grand chose.
Je parle quant à la suppression du contenu du site. Cela ne veut pas
dire comdamnation du délinquant, mais je pense que ce n'est pas
négligeable non plus.
Je pensais que nous parlions de droit, ne sortons pas du sujet.
Je n'ai jamais restreint le champ du débat au seul média Internet,
hors du cas d'espèce évoqué. Que vient faire cet argument ici ? Pour
le reste, j'évoque les quelques milliards de personnes dans le monde
qui ne sont pas régis par un droit fondé sur le modèle français, même
dans ses notions de base. Cela me semble clair comme notion.
L'argumentation que je contredisais à la base concernait la
matérialisation en France d'un délit commis sur Internet du seul fait
que le contenu soit accessible en France. Tu remettais ça en doute,
alors que c'est du battu et du rebattu en Droit français.
Des sources de jurisprudence constantes, autre qu'un jugement de TGI,
contredit à l'étranger, renvoyé en France et non confirmé, suite à une
transaction entre les parties ?
Et ce que je ne comprends pas, c'est que tu insistes sur
l'inapplicabilité des décisions de justice à ce sujet quand le
contenu vient de l'étranger.
Tu inventes, je n'ai pas écrit ça. Merci de ne pas me prêter des
propos qui ne sont pas les miens.
Contre ceux qui avancent l'exequatur
automatique
et la compétence invraissemblablement étendue du juge français
j'oppose les conditions réelle d'une exequatur à l'étranger,
contrôlée, fondée sur la concordance des droits nationaux et/ou
l'existence de conventions multilatériales particulières et strictes,
a fortiori quand le délit peut raisonnablement être contesté dans sa
matérialisation sur le sol français. Combien de fois devrais-je
l'écrire ?
Oooouuuuuuuuiiii, tout le monde sait que ce n'est pas automatique.
Personne ne va te contredire sur ce point.
Bien, j'aurais donc posté à raison, j'en suis fort aise, c'est ce que
je défends depuis l'origine du fil.
Jurisprudence ? D'une juridiction de 1er degré ? Allez, j'arrête là
sur ce point.
Pourtant retenue et répétée par la doctrine.
On s'en fout, la doctrine n'est jamais unanime ni univoque. C'est un
point marginal, heureusement. C'est la loi qui doit fonder le
jugement.
Ça existe aussi des
jurisprudences hors cour de cassation, tu sais.
Elle est, quand elle vient d'un TGI, de *très* faible poids, n'étant
confirmée par *rien* et considérée comme hautement faillible.
Les
cours d'appel n'ont pas été formées pour faire joli, la cour de
cassation non plus.
[...] Et concernant l'atteinte
matérialisée par la seule accessibilité en France, ce n'est pas la
seule, et ne concerne pas seulement le droi pénal.
Ne changeons pas de sujet. Cette vue de l'esprit du juge de premier
degré de juridiction n'a aucun fondement matériel.
En ce sens je la
réfute en tant que jurisprudence constante.
Quand une cour d'appel,
voir la cour de Cass la confirmera, il sera sans doute temps d'en
reparler. Pour l'instant, elle ne vaut pas grand chose.
Je parle quant à la suppression du contenu du site. Cela ne veut pas
dire comdamnation du délinquant, mais je pense que ce n'est pas
négligeable non plus.
Je pensais que nous parlions de droit, ne sortons pas du sujet.
Je n'ai jamais restreint le champ du débat au seul média Internet,
hors du cas d'espèce évoqué. Que vient faire cet argument ici ? Pour
le reste, j'évoque les quelques milliards de personnes dans le monde
qui ne sont pas régis par un droit fondé sur le modèle français, même
dans ses notions de base. Cela me semble clair comme notion.
L'argumentation que je contredisais à la base concernait la
matérialisation en France d'un délit commis sur Internet du seul fait
que le contenu soit accessible en France. Tu remettais ça en doute,
alors que c'est du battu et du rebattu en Droit français.
Des sources de jurisprudence constantes, autre qu'un jugement de TGI,
contredit à l'étranger, renvoyé en France et non confirmé, suite à une
transaction entre les parties ?
Et ce que je ne comprends pas, c'est que tu insistes sur
l'inapplicabilité des décisions de justice à ce sujet quand le
contenu vient de l'étranger.
Tu inventes, je n'ai pas écrit ça. Merci de ne pas me prêter des
propos qui ne sont pas les miens.
Contre ceux qui avancent l'exequatur
automatique
et la compétence invraissemblablement étendue du juge français
j'oppose les conditions réelle d'une exequatur à l'étranger,
contrôlée, fondée sur la concordance des droits nationaux et/ou
l'existence de conventions multilatériales particulières et strictes,
a fortiori quand le délit peut raisonnablement être contesté dans sa
matérialisation sur le sol français. Combien de fois devrais-je
l'écrire ?
Oooouuuuuuuuiiii, tout le monde sait que ce n'est pas automatique.
Personne ne va te contredire sur ce point.
Bien, j'aurais donc posté à raison, j'en suis fort aise, c'est ce que
je défends depuis l'origine du fil.