Pour en revenir au sujet, le seul fait que la question initiale soit pos ée
et que le citoyen lambda ne puisse répondre d'une manière à ©vidente:
"J'appelle la police, ils arrêtent les squatters et je réin tègre
immédiatement mon logement"
devrait tous nous faire réfléchir à la situation actuelle de notre société,
de ses lois et de la mise en application de celles-ci.
Pour en revenir au sujet, le seul fait que la question initiale soit pos ée
et que le citoyen lambda ne puisse répondre d'une manière à ©vidente:
"J'appelle la police, ils arrêtent les squatters et je réin tègre
immédiatement mon logement"
devrait tous nous faire réfléchir à la situation actuelle de notre société,
de ses lois et de la mise en application de celles-ci.
Pour en revenir au sujet, le seul fait que la question initiale soit pos ée
et que le citoyen lambda ne puisse répondre d'une manière à ©vidente:
"J'appelle la police, ils arrêtent les squatters et je réin tègre
immédiatement mon logement"
devrait tous nous faire réfléchir à la situation actuelle de notre société,
de ses lois et de la mise en application de celles-ci.
Bonjour Dominique,
Le Fri, 1 May 2015 19:55:46 +0200, (Dominique G.) a
écrit :
> Jobi wrote:
>
> > Bonjour,
> > Vous partez 3 jours en WE, et vous revenez les serrures sont changées et
> > votre maison est squattée.
> > Vous faites quoi ?
> >
> > Apparemment ce genre de gag arrive, et légalement c'est pas évident de
> > récupérer son bien, voir ici:
> >
> > http://immobilier.lefigaro.fr/article/une-octogenaire-se-retrouve-a-la-rue
> > -delogee-par-des-squatteurs_f4c87e3c-ef20-11e4-b77d-c597eba3ec55/
>
> Manifestement, vous avez mal lu : la vieille dame n'était pas "partie 3
> jours en WE":
>
> "Maryvonne a 83 ans, et est propriétaire de sa maison à Rennes...
> qu'elle décide de regagner, après avoir vécu longtemps chez son
> conjoint..."
>
> Il faut la conjonction de plusieurs circonstances pour qu'une personne
> se retrouve dans cette situation.
> Mais la circonstance la plus importante était qu'elle avait laissé
> longtemps son immeuble non occupé et sans surveillance.
> Maintenant, il faut qu'elle obtienne une mesure d'expulsion et qu'elle
> demande une indemnité d'occupation aux squatteurs par le biais d'un
> juge.
Je me permets d'ajouter que des lois du 5 mars 2007 il y en a un
paquet mais pas une qui soit désignée comme "la loi sur le domicile". A
première vue, la seule qui semble susceptible de disposer sur ce sujet
est la loi n° 2007-297 du 5 mars 2007 relative à la prévention de la
délinquance :
<http://www.legifrance.gouv.fr/affichTexte.do?cidTexte=JORFTEXT000000615568>
Mais je n'ai rien vu en première lecture :) qui ressemble à ces 48
heures qu'évoque l'article du Figaro dans cette loi -- en tout cas,
une recherche sur "heure" et "jours" n'a pas fait apparaître de durées
de 48 heures ou 2 jours liées à une occupation de lieux.
(Je me demande à quel point, quant à cette supposée loi sur le domicile
et ces 48 heures, on n'est pas en présence d'une "légende urbaine" qui
cristallise un sentiment d'absurdité supposée de la loi.)
Amicalement,
Bonjour Dominique,
Le Fri, 1 May 2015 19:55:46 +0200, dmkgbt@free.invalid (Dominique G.) a
écrit :
> Jobi <Jobi@is.invalid> wrote:
>
> > Bonjour,
> > Vous partez 3 jours en WE, et vous revenez les serrures sont changées et
> > votre maison est squattée.
> > Vous faites quoi ?
> >
> > Apparemment ce genre de gag arrive, et légalement c'est pas évident de
> > récupérer son bien, voir ici:
> >
> > http://immobilier.lefigaro.fr/article/une-octogenaire-se-retrouve-a-la-rue
> > -delogee-par-des-squatteurs_f4c87e3c-ef20-11e4-b77d-c597eba3ec55/
>
> Manifestement, vous avez mal lu : la vieille dame n'était pas "partie 3
> jours en WE":
>
> "Maryvonne a 83 ans, et est propriétaire de sa maison à Rennes...
> qu'elle décide de regagner, après avoir vécu longtemps chez son
> conjoint..."
>
> Il faut la conjonction de plusieurs circonstances pour qu'une personne
> se retrouve dans cette situation.
> Mais la circonstance la plus importante était qu'elle avait laissé
> longtemps son immeuble non occupé et sans surveillance.
> Maintenant, il faut qu'elle obtienne une mesure d'expulsion et qu'elle
> demande une indemnité d'occupation aux squatteurs par le biais d'un
> juge.
Je me permets d'ajouter que des lois du 5 mars 2007 il y en a un
paquet mais pas une qui soit désignée comme "la loi sur le domicile". A
première vue, la seule qui semble susceptible de disposer sur ce sujet
est la loi n° 2007-297 du 5 mars 2007 relative à la prévention de la
délinquance :
<http://www.legifrance.gouv.fr/affichTexte.do?cidTexte=JORFTEXT000000615568>
Mais je n'ai rien vu en première lecture :) qui ressemble à ces 48
heures qu'évoque l'article du Figaro dans cette loi -- en tout cas,
une recherche sur "heure" et "jours" n'a pas fait apparaître de durées
de 48 heures ou 2 jours liées à une occupation de lieux.
(Je me demande à quel point, quant à cette supposée loi sur le domicile
et ces 48 heures, on n'est pas en présence d'une "légende urbaine" qui
cristallise un sentiment d'absurdité supposée de la loi.)
Amicalement,
Bonjour Dominique,
Le Fri, 1 May 2015 19:55:46 +0200, (Dominique G.) a
écrit :
> Jobi wrote:
>
> > Bonjour,
> > Vous partez 3 jours en WE, et vous revenez les serrures sont changées et
> > votre maison est squattée.
> > Vous faites quoi ?
> >
> > Apparemment ce genre de gag arrive, et légalement c'est pas évident de
> > récupérer son bien, voir ici:
> >
> > http://immobilier.lefigaro.fr/article/une-octogenaire-se-retrouve-a-la-rue
> > -delogee-par-des-squatteurs_f4c87e3c-ef20-11e4-b77d-c597eba3ec55/
>
> Manifestement, vous avez mal lu : la vieille dame n'était pas "partie 3
> jours en WE":
>
> "Maryvonne a 83 ans, et est propriétaire de sa maison à Rennes...
> qu'elle décide de regagner, après avoir vécu longtemps chez son
> conjoint..."
>
> Il faut la conjonction de plusieurs circonstances pour qu'une personne
> se retrouve dans cette situation.
> Mais la circonstance la plus importante était qu'elle avait laissé
> longtemps son immeuble non occupé et sans surveillance.
> Maintenant, il faut qu'elle obtienne une mesure d'expulsion et qu'elle
> demande une indemnité d'occupation aux squatteurs par le biais d'un
> juge.
Je me permets d'ajouter que des lois du 5 mars 2007 il y en a un
paquet mais pas une qui soit désignée comme "la loi sur le domicile". A
première vue, la seule qui semble susceptible de disposer sur ce sujet
est la loi n° 2007-297 du 5 mars 2007 relative à la prévention de la
délinquance :
<http://www.legifrance.gouv.fr/affichTexte.do?cidTexte=JORFTEXT000000615568>
Mais je n'ai rien vu en première lecture :) qui ressemble à ces 48
heures qu'évoque l'article du Figaro dans cette loi -- en tout cas,
une recherche sur "heure" et "jours" n'a pas fait apparaître de durées
de 48 heures ou 2 jours liées à une occupation de lieux.
(Je me demande à quel point, quant à cette supposée loi sur le domicile
et ces 48 heures, on n'est pas en présence d'une "légende urbaine" qui
cristallise un sentiment d'absurdité supposée de la loi.)
Amicalement,
On peut faire difficilement plus explicite : le délai de 48 heures
n'existe pas.
On peut faire difficilement plus explicite : le délai de 48 heures
n'existe pas.
On peut faire difficilement plus explicite : le délai de 48 heures
n'existe pas.
Albert ARIBAUD wrote:
> On peut faire difficilement plus explicite : le délai de 48 heures
> n'existe pas.
Si.
C'est le délai de flagrance pour ce délit _en matière pénale_.
Au-delà de 48 h, on n'est plus en flagrant délit et ce n'est plus la
police qui peut intervenir, c'est tout.
La loi de 2007 intervient en matière _civile_
Albert ARIBAUD <albert.aribaud@free.fr> wrote:
> On peut faire difficilement plus explicite : le délai de 48 heures
> n'existe pas.
Si.
C'est le délai de flagrance pour ce délit _en matière pénale_.
Au-delà de 48 h, on n'est plus en flagrant délit et ce n'est plus la
police qui peut intervenir, c'est tout.
La loi de 2007 intervient en matière _civile_
Albert ARIBAUD wrote:
> On peut faire difficilement plus explicite : le délai de 48 heures
> n'existe pas.
Si.
C'est le délai de flagrance pour ce délit _en matière pénale_.
Au-delà de 48 h, on n'est plus en flagrant délit et ce n'est plus la
police qui peut intervenir, c'est tout.
La loi de 2007 intervient en matière _civile_
yves écrivait:
>Le Fri, 01 May 2015 23:18:03 +0200, a écrit:
>
>> "J'appelle la police, ils arrêtent les squatters et je réint ègre
>> immédiatement mon logement"
>
>Mais on vient de démontrer qu'il peut faire ça.
>C'est dans la réponse du ministère à la question du sénateur.
La réponse n'est pas vraiment un modèle de clarté.
[...]
Très loin de
"J'appelle la police, ils arrêtent les squatters et je réintègre
immédiatement mon logement"
yves <yves@free.invalid> écrivait:
>Le Fri, 01 May 2015 23:18:03 +0200, a@a.a a écrit:
>
>> "J'appelle la police, ils arrêtent les squatters et je réint ègre
>> immédiatement mon logement"
>
>Mais on vient de démontrer qu'il peut faire ça.
>C'est dans la réponse du ministère à la question du sénateur.
La réponse n'est pas vraiment un modèle de clarté.
[...]
Très loin de
"J'appelle la police, ils arrêtent les squatters et je réintègre
immédiatement mon logement"
yves écrivait:
>Le Fri, 01 May 2015 23:18:03 +0200, a écrit:
>
>> "J'appelle la police, ils arrêtent les squatters et je réint ègre
>> immédiatement mon logement"
>
>Mais on vient de démontrer qu'il peut faire ça.
>C'est dans la réponse du ministère à la question du sénateur.
La réponse n'est pas vraiment un modèle de clarté.
[...]
Très loin de
"J'appelle la police, ils arrêtent les squatters et je réintègre
immédiatement mon logement"
"Dans un délai de 48 heures suivant l'intrusion illicite, la police peut
procéder à l'expulsion immédiate des squatteurs - c'est le « flagrant
délit » (article 53 du code pénal). Passé 48 heures, toutefois, la
police est juridiquement impuissante. C'est l'article 61 de la loi n°
91-650 du 9 juillet 1991 portant réforme des procédures civiles
d'exécution qui s'applique : le propriétaire ou le locataire du domicile
doit saisir la justice, obtenir une décision d'expulsion, puis atten dre
le concours des forces de l'ordre pour l'exécution de cette déc ision"
> (Je me demande à quel point, quant à cette supposée loi sur le domicile
> et ces 48 heures, on n'est pas en présence d'une "légende urb aine" qui
> cristallise un sentiment d'absurdité supposée de la loi.)
La loi n'est pas absurde
, c'est juste qu'elle est dans le domaine du
droit civil alors qu'il y a une loi pénale qui sanctionne la violati on
de domicile
Droit Pénal :
"l'article 226-4 du code pénal n'a pas pour objet de garantir d'une
manière générale la propriété immobilière c ontre une usurpation, mais de
protéger le domicile en tant qu'élément encadrant et prot égeant un lieu
de vie privé, justifiant une protection juridique plus rigoureuse au
moyen du droit pénal et non pas simplement du droit civil (Cour de
cassation, chambre criminelle, 22 janvier 1997)."
Droit Civil :
"en matière civile, l'article 38 de la loi n° 2007-290 du 5 mar s 2007
instituant le droit au logement opposable et portant diverses mesures en
faveur de la cohésion sociale prévoit un dispositif qui permet aux
victimes de personnes qui se sont introduites dans leur domicile, en
leur absence, de reprendre rapidement possession des lieux."
"Dans un délai de 48 heures suivant l'intrusion illicite, la police peut
procéder à l'expulsion immédiate des squatteurs - c'est le « flagrant
délit » (article 53 du code pénal). Passé 48 heures, toutefois, la
police est juridiquement impuissante. C'est l'article 61 de la loi n°
91-650 du 9 juillet 1991 portant réforme des procédures civiles
d'exécution qui s'applique : le propriétaire ou le locataire du domicile
doit saisir la justice, obtenir une décision d'expulsion, puis atten dre
le concours des forces de l'ordre pour l'exécution de cette déc ision"
> (Je me demande à quel point, quant à cette supposée loi sur le domicile
> et ces 48 heures, on n'est pas en présence d'une "légende urb aine" qui
> cristallise un sentiment d'absurdité supposée de la loi.)
La loi n'est pas absurde
, c'est juste qu'elle est dans le domaine du
droit civil alors qu'il y a une loi pénale qui sanctionne la violati on
de domicile
Droit Pénal :
"l'article 226-4 du code pénal n'a pas pour objet de garantir d'une
manière générale la propriété immobilière c ontre une usurpation, mais de
protéger le domicile en tant qu'élément encadrant et prot égeant un lieu
de vie privé, justifiant une protection juridique plus rigoureuse au
moyen du droit pénal et non pas simplement du droit civil (Cour de
cassation, chambre criminelle, 22 janvier 1997)."
Droit Civil :
"en matière civile, l'article 38 de la loi n° 2007-290 du 5 mar s 2007
instituant le droit au logement opposable et portant diverses mesures en
faveur de la cohésion sociale prévoit un dispositif qui permet aux
victimes de personnes qui se sont introduites dans leur domicile, en
leur absence, de reprendre rapidement possession des lieux."
"Dans un délai de 48 heures suivant l'intrusion illicite, la police peut
procéder à l'expulsion immédiate des squatteurs - c'est le « flagrant
délit » (article 53 du code pénal). Passé 48 heures, toutefois, la
police est juridiquement impuissante. C'est l'article 61 de la loi n°
91-650 du 9 juillet 1991 portant réforme des procédures civiles
d'exécution qui s'applique : le propriétaire ou le locataire du domicile
doit saisir la justice, obtenir une décision d'expulsion, puis atten dre
le concours des forces de l'ordre pour l'exécution de cette déc ision"
> (Je me demande à quel point, quant à cette supposée loi sur le domicile
> et ces 48 heures, on n'est pas en présence d'une "légende urb aine" qui
> cristallise un sentiment d'absurdité supposée de la loi.)
La loi n'est pas absurde
, c'est juste qu'elle est dans le domaine du
droit civil alors qu'il y a une loi pénale qui sanctionne la violati on
de domicile
Droit Pénal :
"l'article 226-4 du code pénal n'a pas pour objet de garantir d'une
manière générale la propriété immobilière c ontre une usurpation, mais de
protéger le domicile en tant qu'élément encadrant et prot égeant un lieu
de vie privé, justifiant une protection juridique plus rigoureuse au
moyen du droit pénal et non pas simplement du droit civil (Cour de
cassation, chambre criminelle, 22 janvier 1997)."
Droit Civil :
"en matière civile, l'article 38 de la loi n° 2007-290 du 5 mar s 2007
instituant le droit au logement opposable et portant diverses mesures en
faveur de la cohésion sociale prévoit un dispositif qui permet aux
victimes de personnes qui se sont introduites dans leur domicile, en
leur absence, de reprendre rapidement possession des lieux."
Bonjour,
Vous partez 3 jours en WE, et vous revenez les serrures sont changées et
votre maison est squattée.
Vous faites quoi ?
Apparemment ce genre de gag arrive, et légalement c'est pas évident de
récupérer son bien, voir ici:
http://immobilier.lefigaro.fr/article/une-octogenaire-se-retrouve-a-la-rue-delogee-par-des-squatteurs_f4c87e3c-ef20-11e4-b77d-c597eba3ec55/
Bonjour,
Vous partez 3 jours en WE, et vous revenez les serrures sont changées et
votre maison est squattée.
Vous faites quoi ?
Apparemment ce genre de gag arrive, et légalement c'est pas évident de
récupérer son bien, voir ici:
http://immobilier.lefigaro.fr/article/une-octogenaire-se-retrouve-a-la-rue-delogee-par-des-squatteurs_f4c87e3c-ef20-11e4-b77d-c597eba3ec55/
Bonjour,
Vous partez 3 jours en WE, et vous revenez les serrures sont changées et
votre maison est squattée.
Vous faites quoi ?
Apparemment ce genre de gag arrive, et légalement c'est pas évident de
récupérer son bien, voir ici:
http://immobilier.lefigaro.fr/article/une-octogenaire-se-retrouve-a-la-rue-delogee-par-des-squatteurs_f4c87e3c-ef20-11e4-b77d-c597eba3ec55/
Si.
C'est le délai de flagrance pour ce délit _en matière pénale_.
Au-delà de 48 h, on n'est plus en flagrant délit et ce n'est plus la
police qui peut intervenir, c'est tout.
La loi de 2007 intervient en matière _civile_
Si.
C'est le délai de flagrance pour ce délit _en matière pénale_.
Au-delà de 48 h, on n'est plus en flagrant délit et ce n'est plus la
police qui peut intervenir, c'est tout.
La loi de 2007 intervient en matière _civile_
Si.
C'est le délai de flagrance pour ce délit _en matière pénale_.
Au-delà de 48 h, on n'est plus en flagrant délit et ce n'est plus la
police qui peut intervenir, c'est tout.
La loi de 2007 intervient en matière _civile_
Le 01/05/2015 19:40, Jobi a écrit :
> Bonjour,
> Vous partez 3 jours en WE, et vous revenez les serrures sont changées et
> votre maison est squattée.
> Vous faites quoi ?
>
> Apparemment ce genre de gag arrive, et légalement c'est pas évident de
> récupérer son bien, voir ici:
>
> http://immobilier.lefigaro.fr/article/une-octogenaire-se-retrouve-a-la- rue-delogee-par-des-squatteurs_f4c87e3c-ef20-11e4-b77d-c597eba3ec55/
J'essaye de faire la synthèse des réponses,
selon le consensus qui se dégage, il semblerait
qu'il est légalement assez simple
de récupérer sa résidence principale,
si on la retrouve squattée a son retour de vacances.
(prévoir quand meme un délai de quelques jours,
pour être à nouveau en pleine possession de votre bien
puis quelques jours supplémentaires
pour refaire la peinture les tapisseries, etc ...)
en fait des désagréments mineurs, que je devrais gérer en plus de m es
obligations habituelles (aller bosser, emmener les enfants à l'école,
payer les impôts, payer les amendes etc etc !...) :-)
merci de confirmer ou d'infirmer
Maintenant élargissons le problème, aux résidences secondaires.
Vous n'êtes pas allé dans votre résidence secondaire depuis 6 mois
vous la retrouvez squattée au printemps.
Est-on dans le me cas de figure que précédemment ?
où sera t'il plus compliqué de récupérer son bien ?
Le 01/05/2015 19:40, Jobi a écrit :
> Bonjour,
> Vous partez 3 jours en WE, et vous revenez les serrures sont changées et
> votre maison est squattée.
> Vous faites quoi ?
>
> Apparemment ce genre de gag arrive, et légalement c'est pas évident de
> récupérer son bien, voir ici:
>
> http://immobilier.lefigaro.fr/article/une-octogenaire-se-retrouve-a-la- rue-delogee-par-des-squatteurs_f4c87e3c-ef20-11e4-b77d-c597eba3ec55/
J'essaye de faire la synthèse des réponses,
selon le consensus qui se dégage, il semblerait
qu'il est légalement assez simple
de récupérer sa résidence principale,
si on la retrouve squattée a son retour de vacances.
(prévoir quand meme un délai de quelques jours,
pour être à nouveau en pleine possession de votre bien
puis quelques jours supplémentaires
pour refaire la peinture les tapisseries, etc ...)
en fait des désagréments mineurs, que je devrais gérer en plus de m es
obligations habituelles (aller bosser, emmener les enfants à l'école,
payer les impôts, payer les amendes etc etc !...) :-)
merci de confirmer ou d'infirmer
Maintenant élargissons le problème, aux résidences secondaires.
Vous n'êtes pas allé dans votre résidence secondaire depuis 6 mois
vous la retrouvez squattée au printemps.
Est-on dans le me cas de figure que précédemment ?
où sera t'il plus compliqué de récupérer son bien ?
Le 01/05/2015 19:40, Jobi a écrit :
> Bonjour,
> Vous partez 3 jours en WE, et vous revenez les serrures sont changées et
> votre maison est squattée.
> Vous faites quoi ?
>
> Apparemment ce genre de gag arrive, et légalement c'est pas évident de
> récupérer son bien, voir ici:
>
> http://immobilier.lefigaro.fr/article/une-octogenaire-se-retrouve-a-la- rue-delogee-par-des-squatteurs_f4c87e3c-ef20-11e4-b77d-c597eba3ec55/
J'essaye de faire la synthèse des réponses,
selon le consensus qui se dégage, il semblerait
qu'il est légalement assez simple
de récupérer sa résidence principale,
si on la retrouve squattée a son retour de vacances.
(prévoir quand meme un délai de quelques jours,
pour être à nouveau en pleine possession de votre bien
puis quelques jours supplémentaires
pour refaire la peinture les tapisseries, etc ...)
en fait des désagréments mineurs, que je devrais gérer en plus de m es
obligations habituelles (aller bosser, emmener les enfants à l'école,
payer les impôts, payer les amendes etc etc !...) :-)
merci de confirmer ou d'infirmer
Maintenant élargissons le problème, aux résidences secondaires.
Vous n'êtes pas allé dans votre résidence secondaire depuis 6 mois
vous la retrouvez squattée au printemps.
Est-on dans le me cas de figure que précédemment ?
où sera t'il plus compliqué de récupérer son bien ?
Ãa va être difficile de confirmer ou informer
Ãa va être difficile de confirmer ou informer
Ãa va être difficile de confirmer ou informer