La LCEN fait prendre conscience de certains risques juridiques aux
acteurs concernés.
Ah, ben si tu le dis...Tu oublies (peut être ?) que le responsable d'un traitement de données
est soumis à l'obligation de sécurité des informations, du traitement
des données sous peines de sanctions pénales. [cf loi informatique et
libertés de 1978]
Confusion de ma part. J'ai écrit loi du 79 à la place de loi de 78. Mais
bon, ce n'est pas la LCEN.Même si je constate que nous partageons le même point de vue à ce
sujet j'aimerais ajouter qu'il y a d'autres raisons qui vont aussi
pousser un éditeur à améliorer la qualité de son produit : les bugs,
les failles, la protection logicielle, etc.
Quel est son intérêt de le faire si ni la réglementation, ni ses
clients ne le réclament ?
Un éditeur, c'est une entreprise avec un/des dirigeant(s) qui ont des
Cf. refus par certains constructeurs d'admettre et donc corriger des
défaillances grave mais minoritaires.
C'est pas nouveau.
références peut-être ? :)
Par exemples :
*http://solutions.journaldunet.com/itws/011116_it_ntbugtraq_cooper.shtml
Ça, c'est une interview, pas un projet de loi.
Tu me demandes des références je t'en communique. On dit merci au lieu
*Le rapport CCIA [il me semble avoir posté le(s) lien(s) ici un petit
coup de DéjàNews]
*http://www.transfert.net/a9390
Encore une interview...
Oui et cf ci-dessus pourquoi.
*http://www.juriscom.net/pro/2/cta20011002.htm
Une réflexion, juste, mais pas non plus un projet de loi.
Oui et cf ci-haut pourquoi.
*http://www.juriscom.net/pro/2/da20020901.htm
Rapport avec la choucroute ?
Garanties & responsabilités dans les logiciels libres.
Si ton propos est de pondre un loi qui dira que tout logiciel proposé
devra s'accompagner d'engagements de responsabilité de la part de
l'auteur, je crois qu'il ne va pas rester beaucoup de développeur de LL
en France. Mais bon...
Tu vas bien vite en besogne. On verra...
La LCEN fait prendre conscience de certains risques juridiques aux
acteurs concernés.
Ah, ben si tu le dis...
Tu oublies (peut être ?) que le responsable d'un traitement de données
est soumis à l'obligation de sécurité des informations, du traitement
des données sous peines de sanctions pénales. [cf loi informatique et
libertés de 1978]
Confusion de ma part. J'ai écrit loi du 79 à la place de loi de 78. Mais
bon, ce n'est pas la LCEN.
Même si je constate que nous partageons le même point de vue à ce
sujet j'aimerais ajouter qu'il y a d'autres raisons qui vont aussi
pousser un éditeur à améliorer la qualité de son produit : les bugs,
les failles, la protection logicielle, etc.
Quel est son intérêt de le faire si ni la réglementation, ni ses
clients ne le réclament ?
Un éditeur, c'est une entreprise avec un/des dirigeant(s) qui ont des
Cf. refus par certains constructeurs d'admettre et donc corriger des
défaillances grave mais minoritaires.
C'est pas nouveau.
références peut-être ? :)
Par exemples :
*http://solutions.journaldunet.com/itws/011116_it_ntbugtraq_cooper.shtml
Ça, c'est une interview, pas un projet de loi.
Tu me demandes des références je t'en communique. On dit merci au lieu
*Le rapport CCIA [il me semble avoir posté le(s) lien(s) ici un petit
coup de DéjàNews]
*http://www.transfert.net/a9390
Encore une interview...
Oui et cf ci-dessus pourquoi.
*http://www.juriscom.net/pro/2/cta20011002.htm
Une réflexion, juste, mais pas non plus un projet de loi.
Oui et cf ci-haut pourquoi.
*http://www.juriscom.net/pro/2/da20020901.htm
Rapport avec la choucroute ?
Garanties & responsabilités dans les logiciels libres.
Si ton propos est de pondre un loi qui dira que tout logiciel proposé
devra s'accompagner d'engagements de responsabilité de la part de
l'auteur, je crois qu'il ne va pas rester beaucoup de développeur de LL
en France. Mais bon...
Tu vas bien vite en besogne. On verra...
La LCEN fait prendre conscience de certains risques juridiques aux
acteurs concernés.
Ah, ben si tu le dis...Tu oublies (peut être ?) que le responsable d'un traitement de données
est soumis à l'obligation de sécurité des informations, du traitement
des données sous peines de sanctions pénales. [cf loi informatique et
libertés de 1978]
Confusion de ma part. J'ai écrit loi du 79 à la place de loi de 78. Mais
bon, ce n'est pas la LCEN.Même si je constate que nous partageons le même point de vue à ce
sujet j'aimerais ajouter qu'il y a d'autres raisons qui vont aussi
pousser un éditeur à améliorer la qualité de son produit : les bugs,
les failles, la protection logicielle, etc.
Quel est son intérêt de le faire si ni la réglementation, ni ses
clients ne le réclament ?
Un éditeur, c'est une entreprise avec un/des dirigeant(s) qui ont des
Cf. refus par certains constructeurs d'admettre et donc corriger des
défaillances grave mais minoritaires.
C'est pas nouveau.
références peut-être ? :)
Par exemples :
*http://solutions.journaldunet.com/itws/011116_it_ntbugtraq_cooper.shtml
Ça, c'est une interview, pas un projet de loi.
Tu me demandes des références je t'en communique. On dit merci au lieu
*Le rapport CCIA [il me semble avoir posté le(s) lien(s) ici un petit
coup de DéjàNews]
*http://www.transfert.net/a9390
Encore une interview...
Oui et cf ci-dessus pourquoi.
*http://www.juriscom.net/pro/2/cta20011002.htm
Une réflexion, juste, mais pas non plus un projet de loi.
Oui et cf ci-haut pourquoi.
*http://www.juriscom.net/pro/2/da20020901.htm
Rapport avec la choucroute ?
Garanties & responsabilités dans les logiciels libres.
Si ton propos est de pondre un loi qui dira que tout logiciel proposé
devra s'accompagner d'engagements de responsabilité de la part de
l'auteur, je crois qu'il ne va pas rester beaucoup de développeur de LL
en France. Mais bon...
Tu vas bien vite en besogne. On verra...
LaDDL wrote:
La LCEN ne va pas sanctionner l'utilisateur de bonne foi possesseur de
code hostile/malveillant.
Reportez-vous au nombreux commentaires/remarques à ce sujet (déjà
longuement expliqué ici même sur ce NG). Même à certaines de vos
citations : "(...) l'avocat général Etienne Madranges: Il semble
inenvisageable d'instaurer une jurisprudence répressive dont il
résulterait une véritable insécurité permanente, juridique et
judiciaire, pour les internautes, certes avisés, mais de bonne foi, qui
découvrent les failles de systèmes informatiques manifestement non
sécurisés".
Vous démontrez exactement le contraire.
Absolument pas. Reprenez l'échange depuis le début.
Kitetoa a bien été sanctionné en
première instance où les juges s'en sont tenu strictement au texte
contre l'avis du procureur lui-même. Sans l'appel de l'avocat général
cette affaire en serait resté là.
Nous sommes dans une société de droit où il est possible de faire appel.
LaDDL wrote:
La LCEN ne va pas sanctionner l'utilisateur de bonne foi possesseur de
code hostile/malveillant.
Reportez-vous au nombreux commentaires/remarques à ce sujet (déjà
longuement expliqué ici même sur ce NG). Même à certaines de vos
citations : "(...) l'avocat général Etienne Madranges: Il semble
inenvisageable d'instaurer une jurisprudence répressive dont il
résulterait une véritable insécurité permanente, juridique et
judiciaire, pour les internautes, certes avisés, mais de bonne foi, qui
découvrent les failles de systèmes informatiques manifestement non
sécurisés".
Vous démontrez exactement le contraire.
Absolument pas. Reprenez l'échange depuis le début.
Kitetoa a bien été sanctionné en
première instance où les juges s'en sont tenu strictement au texte
contre l'avis du procureur lui-même. Sans l'appel de l'avocat général
cette affaire en serait resté là.
Nous sommes dans une société de droit où il est possible de faire appel.
LaDDL wrote:
La LCEN ne va pas sanctionner l'utilisateur de bonne foi possesseur de
code hostile/malveillant.
Reportez-vous au nombreux commentaires/remarques à ce sujet (déjà
longuement expliqué ici même sur ce NG). Même à certaines de vos
citations : "(...) l'avocat général Etienne Madranges: Il semble
inenvisageable d'instaurer une jurisprudence répressive dont il
résulterait une véritable insécurité permanente, juridique et
judiciaire, pour les internautes, certes avisés, mais de bonne foi, qui
découvrent les failles de systèmes informatiques manifestement non
sécurisés".
Vous démontrez exactement le contraire.
Absolument pas. Reprenez l'échange depuis le début.
Kitetoa a bien été sanctionné en
première instance où les juges s'en sont tenu strictement au texte
contre l'avis du procureur lui-même. Sans l'appel de l'avocat général
cette affaire en serait resté là.
Nous sommes dans une société de droit où il est possible de faire appel.
Un éditeur, c'est une entreprise avec un/des dirigeant(s) qui ont des
exigences. Pour certains la qualité de leur produit compte avant tout
tandis que d'autres privilégient d'autres critères. Chacun suit ses
propres objectifs et sa stratégie de développement.
Tu me demandes des références je t'en communique. On dit merci au lieu
de dénigrer hein ?! ;)
Tu vas bien vite en besogne. On verra... Observes aujourd'hui que de
nombreux développements informatiques se font déjà à l'étranger.
En France, une question pourrait éventuellement être soumise un jour
aux tribunaux, celle de savoir si la responsabilité du fait des
produits défectueux est applicable à un logiciel à l'origine d'une
atteinte à la sécurité des personnes.
Enfin, je ne proposes rien si ce n'est évoquer les constats/discussions
en cours depuis qq temps à propos des failles dans les logiciels et de
la responsabilité des éditeurs.
Donc, quelle idée de lancer KDE qui va prendre plus de RAM
que 1500 Xterms...
Heu tu fais quoi avec 1500 xterms? une cure xtermale?
Un éditeur, c'est une entreprise avec un/des dirigeant(s) qui ont des
exigences. Pour certains la qualité de leur produit compte avant tout
tandis que d'autres privilégient d'autres critères. Chacun suit ses
propres objectifs et sa stratégie de développement.
Tu me demandes des références je t'en communique. On dit merci au lieu
de dénigrer hein ?! ;)
Tu vas bien vite en besogne. On verra... Observes aujourd'hui que de
nombreux développements informatiques se font déjà à l'étranger.
En France, une question pourrait éventuellement être soumise un jour
aux tribunaux, celle de savoir si la responsabilité du fait des
produits défectueux est applicable à un logiciel à l'origine d'une
atteinte à la sécurité des personnes.
Enfin, je ne proposes rien si ce n'est évoquer les constats/discussions
en cours depuis qq temps à propos des failles dans les logiciels et de
la responsabilité des éditeurs.
Donc, quelle idée de lancer KDE qui va prendre plus de RAM
que 1500 Xterms...
Heu tu fais quoi avec 1500 xterms? une cure xtermale?
Un éditeur, c'est une entreprise avec un/des dirigeant(s) qui ont des
exigences. Pour certains la qualité de leur produit compte avant tout
tandis que d'autres privilégient d'autres critères. Chacun suit ses
propres objectifs et sa stratégie de développement.
Tu me demandes des références je t'en communique. On dit merci au lieu
de dénigrer hein ?! ;)
Tu vas bien vite en besogne. On verra... Observes aujourd'hui que de
nombreux développements informatiques se font déjà à l'étranger.
En France, une question pourrait éventuellement être soumise un jour
aux tribunaux, celle de savoir si la responsabilité du fait des
produits défectueux est applicable à un logiciel à l'origine d'une
atteinte à la sécurité des personnes.
Enfin, je ne proposes rien si ce n'est évoquer les constats/discussions
en cours depuis qq temps à propos des failles dans les logiciels et de
la responsabilité des éditeurs.
Donc, quelle idée de lancer KDE qui va prendre plus de RAM
que 1500 Xterms...
Heu tu fais quoi avec 1500 xterms? une cure xtermale?
On Thu, 15 Jul 2004 14:34:05 +0000, LaDDL wrote:Le fait d'envoyer à un éditeur d'anti-virus un programme commercial
contenant manifestement un cheval de Troie (c'est arrivé) ou un spyware
(très courant) oblige à commettre théoriquement plusieurs délits:
Avant d'affirmer n'importe quoi prenez conseil auprès d'un avocat
spécialisé. Merci.
Et bien expliquez-moi comment vérifier si un logiciel contient un cheval
de Troie ou un spyware sans tomber dans l'illégalité, le tout sans
bosser (évidemment) pour l'éditeur du produit. Si vous avez un moyen
*sûr* (ie. vous seriez prêts à aller en procès pour ça) quant au droit
français actuel, faites-moi signe ...
Les personnes "autorisées à pratiquer le RE" sont les chercheurs, les
Entretenir la confusion dans les esprits comme vous le faites c'est de
la mauvaise foi caractérisée et IHMO de la malhônneteté intellectuelle.
Ou bien vous êtes incompétent voire ignorant parce que vous ne maîtrisez
pas ce sujet en conséquence abstenez-vous.
Z'êtes déjà frottés à des avocats d'éditeurs ou autres détenteurs de
droits, pour des analyses techniquement exactes mais déplaisant à
l'entité en question ?
Nous entretenons de très bonnes relations avec les contructeurs,
On Thu, 15 Jul 2004 14:34:05 +0000, LaDDL wrote:
Le fait d'envoyer à un éditeur d'anti-virus un programme commercial
contenant manifestement un cheval de Troie (c'est arrivé) ou un spyware
(très courant) oblige à commettre théoriquement plusieurs délits:
Avant d'affirmer n'importe quoi prenez conseil auprès d'un avocat
spécialisé. Merci.
Et bien expliquez-moi comment vérifier si un logiciel contient un cheval
de Troie ou un spyware sans tomber dans l'illégalité, le tout sans
bosser (évidemment) pour l'éditeur du produit. Si vous avez un moyen
*sûr* (ie. vous seriez prêts à aller en procès pour ça) quant au droit
français actuel, faites-moi signe ...
Les personnes "autorisées à pratiquer le RE" sont les chercheurs, les
Entretenir la confusion dans les esprits comme vous le faites c'est de
la mauvaise foi caractérisée et IHMO de la malhônneteté intellectuelle.
Ou bien vous êtes incompétent voire ignorant parce que vous ne maîtrisez
pas ce sujet en conséquence abstenez-vous.
Z'êtes déjà frottés à des avocats d'éditeurs ou autres détenteurs de
droits, pour des analyses techniquement exactes mais déplaisant à
l'entité en question ?
Nous entretenons de très bonnes relations avec les contructeurs,
On Thu, 15 Jul 2004 14:34:05 +0000, LaDDL wrote:Le fait d'envoyer à un éditeur d'anti-virus un programme commercial
contenant manifestement un cheval de Troie (c'est arrivé) ou un spyware
(très courant) oblige à commettre théoriquement plusieurs délits:
Avant d'affirmer n'importe quoi prenez conseil auprès d'un avocat
spécialisé. Merci.
Et bien expliquez-moi comment vérifier si un logiciel contient un cheval
de Troie ou un spyware sans tomber dans l'illégalité, le tout sans
bosser (évidemment) pour l'éditeur du produit. Si vous avez un moyen
*sûr* (ie. vous seriez prêts à aller en procès pour ça) quant au droit
français actuel, faites-moi signe ...
Les personnes "autorisées à pratiquer le RE" sont les chercheurs, les
Entretenir la confusion dans les esprits comme vous le faites c'est de
la mauvaise foi caractérisée et IHMO de la malhônneteté intellectuelle.
Ou bien vous êtes incompétent voire ignorant parce que vous ne maîtrisez
pas ce sujet en conséquence abstenez-vous.
Z'êtes déjà frottés à des avocats d'éditeurs ou autres détenteurs de
droits, pour des analyses techniquement exactes mais déplaisant à
l'entité en question ?
Nous entretenons de très bonnes relations avec les contructeurs,
On Wed, 14 Jul 2004 11:01:12 +0000, LaDDL wrote:L'industrie informatique/les éditeurs de logiciels vont devoir être
soumis aux mêmes responsabilités que les autres industries.
Comment ? Par qui ? Quand ? Sous quelle juridiction ? A quel prix ?
Dis ça t'arrive jamais d'être courtois. Que Usenet a bien changé ! >p
On Wed, 14 Jul 2004 11:01:12 +0000, LaDDL wrote:
L'industrie informatique/les éditeurs de logiciels vont devoir être
soumis aux mêmes responsabilités que les autres industries.
Comment ? Par qui ? Quand ? Sous quelle juridiction ? A quel prix ?
Dis ça t'arrive jamais d'être courtois. Que Usenet a bien changé ! >p
On Wed, 14 Jul 2004 11:01:12 +0000, LaDDL wrote:L'industrie informatique/les éditeurs de logiciels vont devoir être
soumis aux mêmes responsabilités que les autres industries.
Comment ? Par qui ? Quand ? Sous quelle juridiction ? A quel prix ?
Dis ça t'arrive jamais d'être courtois. Que Usenet a bien changé ! >p
On Thu, 15 Jul 2004 14:34:05 +0000, LaDDL wrote:
Mais vous insinuez, sous-entendez que les innocents risquent d'être
condamné !!! IHMO c'est complétement faux et par-dessus le marché
colporter ce genre de propos totalement erronés nuit gravement à la
bonne compréhension du cadre législatif en criminalité informatique.
C'est bizarre, mais il me semblait justement que c'était la peur que des
innocents soient condamnés via la lCEN (ie. personne ne veut être celui
par qui la jurisprudence arrivera) qui inquiétait le plus les
professionels de la sécurité informatique.
Cette loi oui sanctionne les crimes et délits informatiques. Et je suis
Et que c'était d'ailleurs pour ça que de plus en plus de gens se la
jouent "profil bas", préférant limiter les risques judiciaires encourus
pour telle ou telle publication *techniquement exacte*.
Je pense justement que cette loi oblige à modifier la politique de
Pour vous, tout est clair dans cette loi ?
Cf mes propos précédents.
Par exemple, pas de "flou artistique" autour de cette phrase : "Le fait,
sans motif légitime, d'importer, de détenir, d'offrir, de céder ou de
mettre à disposition un équipement, un instrument, un programme
informatique ou toute donnée conçus ou spécialement adaptés pour
commettre une ou plusieurs des infractions prévues par les articles 323-1
à 323-3 [...]" ?
Bien sûr que si c'est flou. Que recouvre par exemple le concept de
On Thu, 15 Jul 2004 14:34:05 +0000, LaDDL wrote:
Mais vous insinuez, sous-entendez que les innocents risquent d'être
condamné !!! IHMO c'est complétement faux et par-dessus le marché
colporter ce genre de propos totalement erronés nuit gravement à la
bonne compréhension du cadre législatif en criminalité informatique.
C'est bizarre, mais il me semblait justement que c'était la peur que des
innocents soient condamnés via la lCEN (ie. personne ne veut être celui
par qui la jurisprudence arrivera) qui inquiétait le plus les
professionels de la sécurité informatique.
Cette loi oui sanctionne les crimes et délits informatiques. Et je suis
Et que c'était d'ailleurs pour ça que de plus en plus de gens se la
jouent "profil bas", préférant limiter les risques judiciaires encourus
pour telle ou telle publication *techniquement exacte*.
Je pense justement que cette loi oblige à modifier la politique de
Pour vous, tout est clair dans cette loi ?
Cf mes propos précédents.
Par exemple, pas de "flou artistique" autour de cette phrase : "Le fait,
sans motif légitime, d'importer, de détenir, d'offrir, de céder ou de
mettre à disposition un équipement, un instrument, un programme
informatique ou toute donnée conçus ou spécialement adaptés pour
commettre une ou plusieurs des infractions prévues par les articles 323-1
à 323-3 [...]" ?
Bien sûr que si c'est flou. Que recouvre par exemple le concept de
On Thu, 15 Jul 2004 14:34:05 +0000, LaDDL wrote:
Mais vous insinuez, sous-entendez que les innocents risquent d'être
condamné !!! IHMO c'est complétement faux et par-dessus le marché
colporter ce genre de propos totalement erronés nuit gravement à la
bonne compréhension du cadre législatif en criminalité informatique.
C'est bizarre, mais il me semblait justement que c'était la peur que des
innocents soient condamnés via la lCEN (ie. personne ne veut être celui
par qui la jurisprudence arrivera) qui inquiétait le plus les
professionels de la sécurité informatique.
Cette loi oui sanctionne les crimes et délits informatiques. Et je suis
Et que c'était d'ailleurs pour ça que de plus en plus de gens se la
jouent "profil bas", préférant limiter les risques judiciaires encourus
pour telle ou telle publication *techniquement exacte*.
Je pense justement que cette loi oblige à modifier la politique de
Pour vous, tout est clair dans cette loi ?
Cf mes propos précédents.
Par exemple, pas de "flou artistique" autour de cette phrase : "Le fait,
sans motif légitime, d'importer, de détenir, d'offrir, de céder ou de
mettre à disposition un équipement, un instrument, un programme
informatique ou toute donnée conçus ou spécialement adaptés pour
commettre une ou plusieurs des infractions prévues par les articles 323-1
à 323-3 [...]" ?
Bien sûr que si c'est flou. Que recouvre par exemple le concept de
Les personnes "autorisées à pratiquer le RE" sont les chercheurs, les
professionnels de la SI/SSI, certains organismes gouvernementaux.
Sinon à titre individuel et privé c'est à ses risques et périls.
Nous entretenons de très bonnes relations avec les contructeurs,
éditeurs, équipementiers pour lesquels nous remontons leurs failles,
vulnérabilités.
[blablabla]
Une question d'éthique et d'exigence de responsabilité.
Les personnes "autorisées à pratiquer le RE" sont les chercheurs, les
professionnels de la SI/SSI, certains organismes gouvernementaux.
Sinon à titre individuel et privé c'est à ses risques et périls.
Nous entretenons de très bonnes relations avec les contructeurs,
éditeurs, équipementiers pour lesquels nous remontons leurs failles,
vulnérabilités.
[blablabla]
Une question d'éthique et d'exigence de responsabilité.
Les personnes "autorisées à pratiquer le RE" sont les chercheurs, les
professionnels de la SI/SSI, certains organismes gouvernementaux.
Sinon à titre individuel et privé c'est à ses risques et périls.
Nous entretenons de très bonnes relations avec les contructeurs,
éditeurs, équipementiers pour lesquels nous remontons leurs failles,
vulnérabilités.
[blablabla]
Une question d'éthique et d'exigence de responsabilité.
"LaDDL" == LaDDL writes:
"LaDDL" == LaDDL <alamaisonMOVEOUT@HIt-THE-DIRTnoos.fr> writes:
"LaDDL" == LaDDL writes:
Nicob wrote:Et bien expliquez-moi comment vérifier si un logiciel contient un cheval
de Troie ou un spyware sans tomber dans l'illégalité, le tout sans
bosser (évidemment) pour l'éditeur du produit. Si vous avez un moyen
*sûr* (ie. vous seriez prêts à aller en procès pour ça) quant au droit
français actuel, faites-moi signe ...
Les personnes "autorisées à pratiquer le RE" sont les chercheurs, les
professionnels de la SI/SSI, certains organismes gouvernementaux.
Sinon à titre individuel et privé c'est à ses risques et périls.
Nicob wrote:
Et bien expliquez-moi comment vérifier si un logiciel contient un cheval
de Troie ou un spyware sans tomber dans l'illégalité, le tout sans
bosser (évidemment) pour l'éditeur du produit. Si vous avez un moyen
*sûr* (ie. vous seriez prêts à aller en procès pour ça) quant au droit
français actuel, faites-moi signe ...
Les personnes "autorisées à pratiquer le RE" sont les chercheurs, les
professionnels de la SI/SSI, certains organismes gouvernementaux.
Sinon à titre individuel et privé c'est à ses risques et périls.
Nicob wrote:Et bien expliquez-moi comment vérifier si un logiciel contient un cheval
de Troie ou un spyware sans tomber dans l'illégalité, le tout sans
bosser (évidemment) pour l'éditeur du produit. Si vous avez un moyen
*sûr* (ie. vous seriez prêts à aller en procès pour ça) quant au droit
français actuel, faites-moi signe ...
Les personnes "autorisées à pratiquer le RE" sont les chercheurs, les
professionnels de la SI/SSI, certains organismes gouvernementaux.
Sinon à titre individuel et privé c'est à ses risques et périls.
Par exemple, pas de "flou artistique" autour de cette phrase : "Le fait,
sans motif légitime, d'importer, de détenir, d'offrir, de céder ou de
mettre à disposition un équipement, un instrument, un programme
informatique ou toute donnée conçus ou spécialement adaptés pour
commettre une ou plusieurs des infractions prévues par les articles 323-1
à 323-3 [...]" ?
Par exemple, pas de "flou artistique" autour de cette phrase : "Le fait,
sans motif légitime, d'importer, de détenir, d'offrir, de céder ou de
mettre à disposition un équipement, un instrument, un programme
informatique ou toute donnée conçus ou spécialement adaptés pour
commettre une ou plusieurs des infractions prévues par les articles 323-1
à 323-3 [...]" ?
Par exemple, pas de "flou artistique" autour de cette phrase : "Le fait,
sans motif légitime, d'importer, de détenir, d'offrir, de céder ou de
mettre à disposition un équipement, un instrument, un programme
informatique ou toute donnée conçus ou spécialement adaptés pour
commettre une ou plusieurs des infractions prévues par les articles 323-1
à 323-3 [...]" ?