indirectement une taxe de redressement fiscal elle existe déjà : si certains ne fraudaient pas, de combien pourrions nous baisser l'impôt ?...
Intérêt très minime pour le contribuable que tu es : de toutes façons, les taxes sur la consommation et autres impôts directs écrasent de façon imposante la part des impôts directs.
Pour l'état, par contre, toute rentrée devient énorme dès lors qu'elle touche en masse.
De toutes manières, nos responsables ont la chose trop facile. Un élu (sénateur-maire) me disait il y a quelques années: "pour vous commerçant il faut faire preuve de beaucoup d'imagination pour augmenter le chiffre d'affaires, pour nous élus c'est bien plus simple, il suffit d'augmenter les impôts", ce à quoi je répondis: "à trop tirer sur la corde, elle finit par casser". Et c'est bien ce qui est en train de se produire dans un contexte global. Je suggère à cet égard le plafonnement de l'impôt :-), en d'autres termes nos énarques devront se montrer imaginatifs pour faire face aux dépenses de l'Etat qui a bien trop tiré sur la corde en nombre de domaines et favorisé des dérives. J'ai la faiblesse de croire qu'alors travailler redeviendra motivant et que dès lors nombre de problèmes trouveront leur solution. John
In news:1hv5y5w.2z1shvufolanN%anneleguennec@free.fr,
Anne <anneleguennec@free.fr> nous écrit:
"Alf92" <alf92[NO-SPAM]@freesurf.fr> wrote:
indirectement une taxe de redressement fiscal elle existe déjà :
si certains ne fraudaient pas, de combien pourrions nous
baisser l'impôt ?...
Intérêt très minime pour le contribuable que tu es : de toutes façons,
les taxes sur la consommation et autres impôts directs écrasent de
façon imposante la part des impôts directs.
Pour l'état, par contre, toute rentrée devient énorme dès lors qu'elle
touche en masse.
De toutes manières, nos responsables ont la chose trop facile. Un élu
(sénateur-maire) me disait il y a quelques années: "pour vous commerçant il
faut faire preuve de beaucoup d'imagination pour augmenter le chiffre
d'affaires, pour nous élus c'est bien plus simple, il suffit d'augmenter les
impôts",
ce à quoi je répondis: "à trop tirer sur la corde, elle finit par casser".
Et c'est bien ce qui est en train de se produire dans un contexte global.
Je suggère à cet égard le plafonnement de l'impôt :-), en d'autres termes
nos énarques devront se montrer imaginatifs pour faire face aux dépenses de
l'Etat qui a bien trop tiré sur la corde en nombre de domaines et favorisé
des dérives.
J'ai la faiblesse de croire qu'alors travailler redeviendra motivant et que
dès lors nombre de problèmes trouveront leur solution.
John
indirectement une taxe de redressement fiscal elle existe déjà : si certains ne fraudaient pas, de combien pourrions nous baisser l'impôt ?...
Intérêt très minime pour le contribuable que tu es : de toutes façons, les taxes sur la consommation et autres impôts directs écrasent de façon imposante la part des impôts directs.
Pour l'état, par contre, toute rentrée devient énorme dès lors qu'elle touche en masse.
De toutes manières, nos responsables ont la chose trop facile. Un élu (sénateur-maire) me disait il y a quelques années: "pour vous commerçant il faut faire preuve de beaucoup d'imagination pour augmenter le chiffre d'affaires, pour nous élus c'est bien plus simple, il suffit d'augmenter les impôts", ce à quoi je répondis: "à trop tirer sur la corde, elle finit par casser". Et c'est bien ce qui est en train de se produire dans un contexte global. Je suggère à cet égard le plafonnement de l'impôt :-), en d'autres termes nos énarques devront se montrer imaginatifs pour faire face aux dépenses de l'Etat qui a bien trop tiré sur la corde en nombre de domaines et favorisé des dérives. J'ai la faiblesse de croire qu'alors travailler redeviendra motivant et que dès lors nombre de problèmes trouveront leur solution. John
Ghost-Rider
C'est ce que l'on appelle "l'indépendance du droit fiscal", qui taxe même les opérations délictueuses pour ne pas, en plus, leur donner un avantage financier sur les opérations honnêtes.
Certes, à l'image des trafiquants de drogue qui sont redressés sur le reenu. Mais c'est considérer l'achat d'un support de stockage comme une "opération délictueuse" a priori qui me choque.
Oui, et l'histoire du droit fiscal est un angle intéressant de l'étude des civilisations. Il faut bien trouver l'argent là où il est, d'une part, avec des motivations d'intérêt général supposé, d'autre part; si on peut y rajouter une pincée de morale, l'impôt n'en sera que mieux accepté.
Cordialement
Ghost Rider
C'est ce que l'on appelle "l'indépendance du droit fiscal", qui taxe
même les opérations délictueuses pour ne pas, en plus, leur donner un
avantage financier sur les opérations honnêtes.
Certes, à l'image des trafiquants de drogue qui sont redressés sur le
reenu. Mais c'est considérer l'achat d'un support de stockage comme une
"opération délictueuse" a priori qui me choque.
Oui, et l'histoire du droit fiscal est un angle intéressant de l'étude
des civilisations. Il faut bien trouver l'argent là où il est, d'une
part, avec des motivations d'intérêt général supposé, d'autre part; si
on peut y rajouter une pincée de morale, l'impôt n'en sera que mieux
accepté.
C'est ce que l'on appelle "l'indépendance du droit fiscal", qui taxe même les opérations délictueuses pour ne pas, en plus, leur donner un avantage financier sur les opérations honnêtes.
Certes, à l'image des trafiquants de drogue qui sont redressés sur le reenu. Mais c'est considérer l'achat d'un support de stockage comme une "opération délictueuse" a priori qui me choque.
Oui, et l'histoire du droit fiscal est un angle intéressant de l'étude des civilisations. Il faut bien trouver l'argent là où il est, d'une part, avec des motivations d'intérêt général supposé, d'autre part; si on peut y rajouter une pincée de morale, l'impôt n'en sera que mieux accepté.
Cordialement
Ghost Rider
dominique
Oui, et l'histoire du droit fiscal est un angle intéressant de l'étude des civilisations. Il faut bien trouver l'argent là où il est, d'une part, avec des motivations d'intérêt général supposé, d'autre part; si on peut y rajouter une pincée de morale, l'impôt n'en sera que mieux accepté.
Difficile d'imaginer une démocratie qui ne se donnerait pas les moyens de faire respecter un minimum d'égalité fiscale. Je ne suis pas choqué qu'un contrôle fiscal correctement effectué se teinte d'un soupçon de morale. À la réflexion, seuls sont susceptibles d'être redressés des contribuables qui, de bonne ou mauvaise foi, ont échappé à tout ou partie de leurs obligations fiscales. L'égalité veut que tout le monde participe à proportion de ses facultés aux charges de l'État. Que certains parviennent à éluder cette obligation n'est pas suffisant pour rendre discutable les efforts de la société pour que la majorité se mette « à la voie » comme dirait Mauriac. Bon après-midi, Dominique
Oui, et l'histoire du droit fiscal est un angle intéressant de l'étude
des civilisations. Il faut bien trouver l'argent là où il est, d'une
part, avec des motivations d'intérêt général supposé, d'autre part; si
on peut y rajouter une pincée de morale, l'impôt n'en sera que mieux
accepté.
Difficile d'imaginer une démocratie qui ne se donnerait pas les moyens
de faire respecter un minimum d'égalité fiscale.
Je ne suis pas choqué qu'un contrôle fiscal correctement effectué se
teinte d'un soupçon de morale.
À la réflexion, seuls sont susceptibles d'être redressés des
contribuables qui, de bonne ou mauvaise foi, ont échappé à tout ou
partie de leurs obligations fiscales. L'égalité veut que tout le monde
participe à proportion de ses facultés aux charges de l'État.
Que certains parviennent à éluder cette obligation n'est pas suffisant
pour rendre discutable les efforts de la société pour que la majorité se
mette « à la voie » comme dirait Mauriac.
Bon après-midi,
Dominique
Oui, et l'histoire du droit fiscal est un angle intéressant de l'étude des civilisations. Il faut bien trouver l'argent là où il est, d'une part, avec des motivations d'intérêt général supposé, d'autre part; si on peut y rajouter une pincée de morale, l'impôt n'en sera que mieux accepté.
Difficile d'imaginer une démocratie qui ne se donnerait pas les moyens de faire respecter un minimum d'égalité fiscale. Je ne suis pas choqué qu'un contrôle fiscal correctement effectué se teinte d'un soupçon de morale. À la réflexion, seuls sont susceptibles d'être redressés des contribuables qui, de bonne ou mauvaise foi, ont échappé à tout ou partie de leurs obligations fiscales. L'égalité veut que tout le monde participe à proportion de ses facultés aux charges de l'État. Que certains parviennent à éluder cette obligation n'est pas suffisant pour rendre discutable les efforts de la société pour que la majorité se mette « à la voie » comme dirait Mauriac. Bon après-midi, Dominique
filh
John Kelly wrote:
In news:1hv5y5w.2z1shvufolanN%, Anne nous écrit:
"Alf92" <alf92[NO-SPAM]@freesurf.fr> wrote:
indirectement une taxe de redressement fiscal elle existe déjà : si certains ne fraudaient pas, de combien pourrions nous baisser l'impôt ?...
Intérêt très minime pour le contribuable que tu es : de toutes façons, les taxes sur la consommation et autres impôts directs écrasent de façon imposante la part des impôts directs.
Pour l'état, par contre, toute rentrée devient énorme dès lors qu'elle touche en masse.
De toutes manières, nos responsables ont la chose trop facile. Un élu (sénateur-maire) me disait il y a quelques années: "pour vous commerçant il faut faire preuve de beaucoup d'imagination pour augmenter le chiffre d'affaires, pour nous élus c'est bien plus simple, il suffit d'augmenter les impôts", ce à quoi je répondis: "à trop tirer sur la corde, elle finit par casser". Et c'est bien ce qui est en train de se produire dans un contexte global. Je suggère à cet égard le plafonnement de l'impôt :-), en d'autres termes nos énarques devront se montrer imaginatifs pour faire face aux dépenses de l'Etat qui a bien trop tiré sur la corde en nombre de domaines et favorisé des dérives. J'ai la faiblesse de croire qu'alors travailler redeviendra motivant et que dès lors nombre de problèmes trouveront leur solution.
C'est beau comme du Madelin de la grande époque :)
Maintenant on peut réfléchir comme ça : - ou va l'argent des impots ?
On peut aussi réfléchir comme ça : - au lieu de demande à ton pays ce qu'il peut faire pour toi... que peux tu faire pour lui ?
FiLH
-- Le fondement du constat bourgeois, c'est le bon sens, c'est-à-dire une vérité qui s'arrête sur l'ordre arbitraire de celui qui la parle. Roland Barthes. http://www.filh.org
John Kelly <Jkelly@OTERfree.fr> wrote:
In news:1hv5y5w.2z1shvufolanN%anneleguennec@free.fr,
Anne <anneleguennec@free.fr> nous écrit:
"Alf92" <alf92[NO-SPAM]@freesurf.fr> wrote:
indirectement une taxe de redressement fiscal elle existe déjà :
si certains ne fraudaient pas, de combien pourrions nous
baisser l'impôt ?...
Intérêt très minime pour le contribuable que tu es : de toutes façons,
les taxes sur la consommation et autres impôts directs écrasent de
façon imposante la part des impôts directs.
Pour l'état, par contre, toute rentrée devient énorme dès lors qu'elle
touche en masse.
De toutes manières, nos responsables ont la chose trop facile. Un élu
(sénateur-maire) me disait il y a quelques années: "pour vous commerçant il
faut faire preuve de beaucoup d'imagination pour augmenter le chiffre
d'affaires, pour nous élus c'est bien plus simple, il suffit d'augmenter les
impôts",
ce à quoi je répondis: "à trop tirer sur la corde, elle finit par casser".
Et c'est bien ce qui est en train de se produire dans un contexte global.
Je suggère à cet égard le plafonnement de l'impôt :-), en d'autres termes
nos énarques devront se montrer imaginatifs pour faire face aux dépenses de
l'Etat qui a bien trop tiré sur la corde en nombre de domaines et favorisé
des dérives.
J'ai la faiblesse de croire qu'alors travailler redeviendra motivant et que
dès lors nombre de problèmes trouveront leur solution.
C'est beau comme du Madelin de la grande époque :)
Maintenant on peut réfléchir comme ça :
- ou va l'argent des impots ?
On peut aussi réfléchir comme ça :
- au lieu de demande à ton pays ce qu'il peut faire pour toi... que peux
tu faire pour lui ?
FiLH
--
Le fondement du constat bourgeois, c'est le bon sens, c'est-à-dire
une vérité qui s'arrête sur l'ordre arbitraire de celui qui la parle.
Roland Barthes.
http://www.filh.org
indirectement une taxe de redressement fiscal elle existe déjà : si certains ne fraudaient pas, de combien pourrions nous baisser l'impôt ?...
Intérêt très minime pour le contribuable que tu es : de toutes façons, les taxes sur la consommation et autres impôts directs écrasent de façon imposante la part des impôts directs.
Pour l'état, par contre, toute rentrée devient énorme dès lors qu'elle touche en masse.
De toutes manières, nos responsables ont la chose trop facile. Un élu (sénateur-maire) me disait il y a quelques années: "pour vous commerçant il faut faire preuve de beaucoup d'imagination pour augmenter le chiffre d'affaires, pour nous élus c'est bien plus simple, il suffit d'augmenter les impôts", ce à quoi je répondis: "à trop tirer sur la corde, elle finit par casser". Et c'est bien ce qui est en train de se produire dans un contexte global. Je suggère à cet égard le plafonnement de l'impôt :-), en d'autres termes nos énarques devront se montrer imaginatifs pour faire face aux dépenses de l'Etat qui a bien trop tiré sur la corde en nombre de domaines et favorisé des dérives. J'ai la faiblesse de croire qu'alors travailler redeviendra motivant et que dès lors nombre de problèmes trouveront leur solution.
C'est beau comme du Madelin de la grande époque :)
Maintenant on peut réfléchir comme ça : - ou va l'argent des impots ?
On peut aussi réfléchir comme ça : - au lieu de demande à ton pays ce qu'il peut faire pour toi... que peux tu faire pour lui ?
FiLH
-- Le fondement du constat bourgeois, c'est le bon sens, c'est-à-dire une vérité qui s'arrête sur l'ordre arbitraire de celui qui la parle. Roland Barthes. http://www.filh.org
John Kelly
In news:1hv6f31.96pgutbzd11lN%, FiLH nous écrit:
C'est beau comme du Madelin de la grande époque :)
Pourquoi vouloir coller un nom sur une idée qui de plus n'est pas de lui, que d'autres ont eu avant lui?
Maintenant on peut réfléchir comme ça : - ou va l'argent des impots ?
On peut, néanmoins il reste qu'en limitant l'impôt on limitera les questions.
On peut aussi réfléchir comme ça : - au lieu de demande à ton pays ce qu'il peut faire pour toi... que peux tu faire pour lui ?
Un excellent principe, appliqué par ailleurs dans de nombreux pays. Mais qui n'empêche en aucune façon que la première chose de bien à faire reste de garder l'oeil sur les dérives des responsables.
In news:1hv6f31.96pgutbzd11lN%filh@filh.orgie,
FiLH <filh@filh.orgie> nous écrit:
C'est beau comme du Madelin de la grande époque :)
Pourquoi vouloir coller un nom sur une idée qui de plus n'est pas de lui,
que d'autres ont eu avant lui?
Maintenant on peut réfléchir comme ça :
- ou va l'argent des impots ?
On peut, néanmoins il reste qu'en limitant l'impôt on limitera les
questions.
On peut aussi réfléchir comme ça :
- au lieu de demande à ton pays ce qu'il peut faire pour toi... que
peux tu faire pour lui ?
Un excellent principe, appliqué par ailleurs dans de nombreux pays.
Mais qui n'empêche en aucune façon que la première chose de bien à faire
reste de garder l'oeil sur les dérives des responsables.
C'est beau comme du Madelin de la grande époque :)
Pourquoi vouloir coller un nom sur une idée qui de plus n'est pas de lui, que d'autres ont eu avant lui?
Maintenant on peut réfléchir comme ça : - ou va l'argent des impots ?
On peut, néanmoins il reste qu'en limitant l'impôt on limitera les questions.
On peut aussi réfléchir comme ça : - au lieu de demande à ton pays ce qu'il peut faire pour toi... que peux tu faire pour lui ?
Un excellent principe, appliqué par ailleurs dans de nombreux pays. Mais qui n'empêche en aucune façon que la première chose de bien à faire reste de garder l'oeil sur les dérives des responsables.
filh
John Kelly wrote:
In news:1hv6f31.96pgutbzd11lN%, FiLH nous écrit:
C'est beau comme du Madelin de la grande époque :)
Pourquoi vouloir coller un nom sur une idée qui de plus n'est pas de lui, que d'autres ont eu avant lui?
Maintenant on peut réfléchir comme ça : - ou va l'argent des impots ?
On peut, néanmoins il reste qu'en limitant l'impôt on limitera les questions.
Ce qui ne répond pas à la question. Étonnant comme un spécialiste de la question comme toi ne la connais pas.
On peut aussi réfléchir comme ça : - au lieu de demande à ton pays ce qu'il peut faire pour toi... que peux tu faire pour lui ?
Un excellent principe, appliqué par ailleurs dans de nombreux pays. Mais qui n'empêche en aucune façon que la première chose de bien à faire reste de garder l'oeil sur les dérives des responsables.
Mais quelles dérives ? Et où va cet argent (bis) ?
FiLH
-- Le fondement du constat bourgeois, c'est le bon sens, c'est-à-dire une vérité qui s'arrête sur l'ordre arbitraire de celui qui la parle. Roland Barthes. http://www.filh.org
John Kelly <Jkelly@OTERfree.fr> wrote:
In news:1hv6f31.96pgutbzd11lN%filh@filh.orgie,
FiLH <filh@filh.orgie> nous écrit:
C'est beau comme du Madelin de la grande époque :)
Pourquoi vouloir coller un nom sur une idée qui de plus n'est pas de lui,
que d'autres ont eu avant lui?
Maintenant on peut réfléchir comme ça :
- ou va l'argent des impots ?
On peut, néanmoins il reste qu'en limitant l'impôt on limitera les
questions.
Ce qui ne répond pas à la question. Étonnant comme un spécialiste de la
question comme toi ne la connais pas.
On peut aussi réfléchir comme ça :
- au lieu de demande à ton pays ce qu'il peut faire pour toi... que
peux tu faire pour lui ?
Un excellent principe, appliqué par ailleurs dans de nombreux pays.
Mais qui n'empêche en aucune façon que la première chose de bien à faire
reste de garder l'oeil sur les dérives des responsables.
Mais quelles dérives ? Et où va cet argent (bis) ?
FiLH
--
Le fondement du constat bourgeois, c'est le bon sens, c'est-à-dire
une vérité qui s'arrête sur l'ordre arbitraire de celui qui la parle.
Roland Barthes.
http://www.filh.org
C'est beau comme du Madelin de la grande époque :)
Pourquoi vouloir coller un nom sur une idée qui de plus n'est pas de lui, que d'autres ont eu avant lui?
Maintenant on peut réfléchir comme ça : - ou va l'argent des impots ?
On peut, néanmoins il reste qu'en limitant l'impôt on limitera les questions.
Ce qui ne répond pas à la question. Étonnant comme un spécialiste de la question comme toi ne la connais pas.
On peut aussi réfléchir comme ça : - au lieu de demande à ton pays ce qu'il peut faire pour toi... que peux tu faire pour lui ?
Un excellent principe, appliqué par ailleurs dans de nombreux pays. Mais qui n'empêche en aucune façon que la première chose de bien à faire reste de garder l'oeil sur les dérives des responsables.
Mais quelles dérives ? Et où va cet argent (bis) ?
FiLH
-- Le fondement du constat bourgeois, c'est le bon sens, c'est-à-dire une vérité qui s'arrête sur l'ordre arbitraire de celui qui la parle. Roland Barthes. http://www.filh.org
John Kelly
In news:1hv6hjv.jk8qvz193icihN%, FiLH nous écrit:
Ce qui ne répond pas à la question. Étonnant comme un spécialiste de la question comme toi ne la connais pas. Mais quelles dérives ? Et où va cet argent (bis) ?
FiLH
Aurais-tu abusé de la Gueuse? Ce que je puis te dire, c'est qu'il n'est pas dans mes poches, j'ai constaté. Maintenant je n'ai pas vérifié les tiennes car je ne suis ni flic, ni contrôleur des impôts, ni membre d'un quelconque gouvernement, ni ..., ni..., encore moins le spécialiste que tu prétends que je suis, crénom. Au surplus, tu ne me feras pas dire ce que je n'ai pas à dire ;-)
Sorry mon FiLH t'as pas bon, ce doit pas être ton jour :-)) John
In news:1hv6hjv.jk8qvz193icihN%filh@filh.orgie,
FiLH <filh@filh.orgie> nous écrit:
Ce qui ne répond pas à la question. Étonnant comme un spécialiste de
la question comme toi ne la connais pas.
Mais quelles dérives ? Et où va cet argent (bis) ?
FiLH
Aurais-tu abusé de la Gueuse?
Ce que je puis te dire, c'est qu'il n'est pas dans mes poches, j'ai
constaté.
Maintenant je n'ai pas vérifié les tiennes car je ne suis ni flic, ni
contrôleur des impôts, ni membre d'un quelconque gouvernement, ni ...,
ni..., encore moins le spécialiste que tu prétends que je suis, crénom.
Au surplus, tu ne me feras pas dire ce que je n'ai pas à dire ;-)
Sorry mon FiLH t'as pas bon, ce doit pas être ton jour :-))
John
Ce qui ne répond pas à la question. Étonnant comme un spécialiste de la question comme toi ne la connais pas. Mais quelles dérives ? Et où va cet argent (bis) ?
FiLH
Aurais-tu abusé de la Gueuse? Ce que je puis te dire, c'est qu'il n'est pas dans mes poches, j'ai constaté. Maintenant je n'ai pas vérifié les tiennes car je ne suis ni flic, ni contrôleur des impôts, ni membre d'un quelconque gouvernement, ni ..., ni..., encore moins le spécialiste que tu prétends que je suis, crénom. Au surplus, tu ne me feras pas dire ce que je n'ai pas à dire ;-)
Sorry mon FiLH t'as pas bon, ce doit pas être ton jour :-)) John
dominique
Maintenant on peut réfléchir comme ça : - ou va l'argent des impots ?
On peut, néanmoins il reste qu'en limitant l'impôt on limitera les questions.
Il est vrai qu'on peut raisonner a minima : en supprimant toute fiscalité, on supprime de facto la question de sa destination. Mais est-ce que la fiscalité ne se justifie que par sa simple existence ? N'a-t-elle pas une utilité ? Dit autrement, ce qui me fâche le plus, c'est un gros contribuable qui pleure de payer des impôts. Je vois régulièrement passer dans mon bureau d'heureuses gens qui ne sont pas imposées à l'impôt sur le revenu. À dire vrai, je préfère encore en payer... D'une certaine façon, je participe ainsi à la solidarité nationale : je gagne de l'argent et j'aide ceux qui n'en gagnent pas (assez) ! Et peu importe si le bénéficiaire ne m'est pas reconnaissant ! On peut, ensuite, discuter à l'envie de la destination des impôts. On peut se laisser aller à rêver d'une fiscalité à la carte. Chacun choisirait ce pour quoi il veut bien payer. Je n'ai plus d'enfant scolarisé : je ne veux pas payer pour les écoles, les collèges, les lycées et les universités. Je n'aime pas Le Pen : je ne veux pas financer son parti. Les vieux ne vont pas à la piscine. Ils ne veulent pas payer pour les équipements sportifs. Mais, moi, je ne veux pas payer pour les vieux parce que je ne le suis pas encore etc. Et ça nous ramène en charte : je ne veux pas payer de taxes sur les mémoires parce que je ne pirate pas !
Mais qui n'empêche en aucune façon que la première chose de bien à faire reste de garder l'oeil sur les dérives des responsables.
Quelles dérives ? Qui sont lesdits responsables ? Les politiciens ? Les fonctionnaires ? Les bénéficiaires des redistributions fiscales ? Il y a, sur ce sujet de la fiscalité, un paradoxe étonnant. Un contribuable heureux est un contribuable qui paye peu d'impôts. Par conséquent, il faut réduire les charges de l'État. Quelle est la première charge de l'État : ses fonctionnaires. Depuis quelques années, les effectifs de la fonction publique sont gérés au rabot. Le bonheur, en quelque sorte car l'équation est simple : moins de fonctionnaires = moins d'impôts ! Mais, un jour, ce contribuable a besoin de l'administration et il exige immédiatement un service de qualité avec le nombre de fonctionnaires nécessaire et suffisant pour qu'il obtienne immédiatement la réponse à sa question. En clair, pour que je paye moins d'impôts, il faut supprimer des fonctionnaires. Mais quand j'ai besoin d'une école, d'un hôpital, d'un policier, d'un juge, d'une prison, d'une Répression des fraudes... je veux tous les fonctionnaires à mon service. Étrange paradoxe par lequel le contribuable et l'usager sont une seule et même personne mais qui défend des intérêts totalement opposés. Bon après-midi, Dominique
Maintenant on peut réfléchir comme ça :
- ou va l'argent des impots ?
On peut, néanmoins il reste qu'en limitant l'impôt on limitera les
questions.
Il est vrai qu'on peut raisonner a minima : en supprimant toute
fiscalité, on supprime de facto la question de sa destination. Mais
est-ce que la fiscalité ne se justifie que par sa simple existence ?
N'a-t-elle pas une utilité ?
Dit autrement, ce qui me fâche le plus, c'est un gros contribuable qui
pleure de payer des impôts.
Je vois régulièrement passer dans mon bureau d'heureuses gens qui ne
sont pas imposées à l'impôt sur le revenu. À dire vrai, je préfère
encore en payer... D'une certaine façon, je participe ainsi à la
solidarité nationale : je gagne de l'argent et j'aide ceux qui n'en
gagnent pas (assez) ! Et peu importe si le bénéficiaire ne m'est pas
reconnaissant !
On peut, ensuite, discuter à l'envie de la destination des impôts. On
peut se laisser aller à rêver d'une fiscalité à la carte. Chacun
choisirait ce pour quoi il veut bien payer.
Je n'ai plus d'enfant scolarisé : je ne veux pas payer pour les écoles,
les collèges, les lycées et les universités.
Je n'aime pas Le Pen : je ne veux pas financer son parti.
Les vieux ne vont pas à la piscine. Ils ne veulent pas payer pour les
équipements sportifs. Mais, moi, je ne veux pas payer pour les vieux
parce que je ne le suis pas encore etc.
Et ça nous ramène en charte : je ne veux pas payer de taxes sur les
mémoires parce que je ne pirate pas !
Mais qui n'empêche en aucune façon que la première chose de bien à faire
reste de garder l'oeil sur les dérives des responsables.
Quelles dérives ?
Qui sont lesdits responsables ? Les politiciens ? Les fonctionnaires ?
Les bénéficiaires des redistributions fiscales ?
Il y a, sur ce sujet de la fiscalité, un paradoxe étonnant. Un
contribuable heureux est un contribuable qui paye peu d'impôts. Par
conséquent, il faut réduire les charges de l'État. Quelle est la
première charge de l'État : ses fonctionnaires. Depuis quelques années,
les effectifs de la fonction publique sont gérés au rabot. Le bonheur,
en quelque sorte car l'équation est simple : moins de fonctionnaires =
moins d'impôts !
Mais, un jour, ce contribuable a besoin de l'administration et il exige
immédiatement un service de qualité avec le nombre de fonctionnaires
nécessaire et suffisant pour qu'il obtienne immédiatement la réponse à
sa question.
En clair, pour que je paye moins d'impôts, il faut supprimer des
fonctionnaires. Mais quand j'ai besoin d'une école, d'un hôpital, d'un
policier, d'un juge, d'une prison, d'une Répression des fraudes... je
veux tous les fonctionnaires à mon service.
Étrange paradoxe par lequel le contribuable et l'usager sont une seule
et même personne mais qui défend des intérêts totalement opposés.
Bon après-midi,
Dominique
Maintenant on peut réfléchir comme ça : - ou va l'argent des impots ?
On peut, néanmoins il reste qu'en limitant l'impôt on limitera les questions.
Il est vrai qu'on peut raisonner a minima : en supprimant toute fiscalité, on supprime de facto la question de sa destination. Mais est-ce que la fiscalité ne se justifie que par sa simple existence ? N'a-t-elle pas une utilité ? Dit autrement, ce qui me fâche le plus, c'est un gros contribuable qui pleure de payer des impôts. Je vois régulièrement passer dans mon bureau d'heureuses gens qui ne sont pas imposées à l'impôt sur le revenu. À dire vrai, je préfère encore en payer... D'une certaine façon, je participe ainsi à la solidarité nationale : je gagne de l'argent et j'aide ceux qui n'en gagnent pas (assez) ! Et peu importe si le bénéficiaire ne m'est pas reconnaissant ! On peut, ensuite, discuter à l'envie de la destination des impôts. On peut se laisser aller à rêver d'une fiscalité à la carte. Chacun choisirait ce pour quoi il veut bien payer. Je n'ai plus d'enfant scolarisé : je ne veux pas payer pour les écoles, les collèges, les lycées et les universités. Je n'aime pas Le Pen : je ne veux pas financer son parti. Les vieux ne vont pas à la piscine. Ils ne veulent pas payer pour les équipements sportifs. Mais, moi, je ne veux pas payer pour les vieux parce que je ne le suis pas encore etc. Et ça nous ramène en charte : je ne veux pas payer de taxes sur les mémoires parce que je ne pirate pas !
Mais qui n'empêche en aucune façon que la première chose de bien à faire reste de garder l'oeil sur les dérives des responsables.
Quelles dérives ? Qui sont lesdits responsables ? Les politiciens ? Les fonctionnaires ? Les bénéficiaires des redistributions fiscales ? Il y a, sur ce sujet de la fiscalité, un paradoxe étonnant. Un contribuable heureux est un contribuable qui paye peu d'impôts. Par conséquent, il faut réduire les charges de l'État. Quelle est la première charge de l'État : ses fonctionnaires. Depuis quelques années, les effectifs de la fonction publique sont gérés au rabot. Le bonheur, en quelque sorte car l'équation est simple : moins de fonctionnaires = moins d'impôts ! Mais, un jour, ce contribuable a besoin de l'administration et il exige immédiatement un service de qualité avec le nombre de fonctionnaires nécessaire et suffisant pour qu'il obtienne immédiatement la réponse à sa question. En clair, pour que je paye moins d'impôts, il faut supprimer des fonctionnaires. Mais quand j'ai besoin d'une école, d'un hôpital, d'un policier, d'un juge, d'une prison, d'une Répression des fraudes... je veux tous les fonctionnaires à mon service. Étrange paradoxe par lequel le contribuable et l'usager sont une seule et même personne mais qui défend des intérêts totalement opposés. Bon après-midi, Dominique
Faut-il songer au mythe de l'augmentation du coût de la vie?
Ou se rappeler que l'impôt sur le revenu repose en France sur deux modalités tout à fait spécifique : un prélèvement qui intervient 15 mois au moins après la fin de perception de ces revenus, un loooooooong refus des classes dirigeantes de voir s'établir cet impôt jugé inique, comme toutes les taxes directes d'ailleurs, et qui ne capitulèrent qu'en 1913... La Gurre leur a donné un sursis de 7 ans, qu'elles mirent à profit pour étblir bien des barrages leur permettant des fuites couvertes par une pseudo équité.
Tu parles.
Ceci dit, mon niveau de vie a très peu baissé ces derniers temps, mes besoins en inutile vanté par la publicité restant voisins de zéro.
Faut-il songer au mythe de l'augmentation du coût de la vie?
Ou se rappeler que l'impôt sur le revenu repose en France sur deux
modalités tout à fait spécifique : un prélèvement qui intervient 15 mois
au moins après la fin de perception de ces revenus, un loooooooong refus
des classes dirigeantes de voir s'établir cet impôt jugé inique, comme
toutes les taxes directes d'ailleurs, et qui ne capitulèrent qu'en
1913... La Gurre leur a donné un sursis de 7 ans, qu'elles mirent à
profit pour étblir bien des barrages leur permettant des fuites
couvertes par une pseudo équité.
Tu parles.
Ceci dit, mon niveau de vie a très peu baissé ces derniers temps, mes
besoins en inutile vanté par la publicité restant voisins de zéro.
Faut-il songer au mythe de l'augmentation du coût de la vie?
Ou se rappeler que l'impôt sur le revenu repose en France sur deux modalités tout à fait spécifique : un prélèvement qui intervient 15 mois au moins après la fin de perception de ces revenus, un loooooooong refus des classes dirigeantes de voir s'établir cet impôt jugé inique, comme toutes les taxes directes d'ailleurs, et qui ne capitulèrent qu'en 1913... La Gurre leur a donné un sursis de 7 ans, qu'elles mirent à profit pour étblir bien des barrages leur permettant des fuites couvertes par une pseudo équité.
Tu parles.
Ceci dit, mon niveau de vie a très peu baissé ces derniers temps, mes besoins en inutile vanté par la publicité restant voisins de zéro.
John Kelly
In news:45fd61e3$0$5102$, dominique nous écrit:
Il est vrai qu'on peut raisonner a minima : ... [+ nombreuses lignes]
Lorsqu'il est question de limiter l'impôt, il n'est pas question de le supprimer. C'est un peu comme si je m'étendais sur votre propre raisonnement, à contrario j'en arriverais à la conclusion que l'on doit tous ses revenus au fisc :-)
Excellente soirée John
In news:45fd61e3$0$5102$ba4acef3@news.orange.fr,
dominique <zzz@aol.com> nous écrit:
Il est vrai qu'on peut raisonner a minima : ... [+ nombreuses lignes]
Lorsqu'il est question de limiter l'impôt, il n'est pas question de le
supprimer.
C'est un peu comme si je m'étendais sur votre propre raisonnement, à
contrario j'en arriverais à la conclusion que l'on doit tous ses revenus au
fisc :-)
Il est vrai qu'on peut raisonner a minima : ... [+ nombreuses lignes]
Lorsqu'il est question de limiter l'impôt, il n'est pas question de le supprimer. C'est un peu comme si je m'étendais sur votre propre raisonnement, à contrario j'en arriverais à la conclusion que l'on doit tous ses revenus au fisc :-)