J'ai toujours tenu pour acquis qu'on écrivait dabord les primaires, 4
maximum, et que si on voulait en faire plus on remplacait la dernière
primaire par une étendue, dans laquelle on plaçait ses logiques. Et
donc, je ne pensais pas qu'il soit possible de refaire une primaire
*derrière* une étendue.
J'ai toujours tenu pour acquis qu'on écrivait dabord les primaires, 4
maximum, et que si on voulait en faire plus on remplacait la dernière
primaire par une étendue, dans laquelle on plaçait ses logiques. Et
donc, je ne pensais pas qu'il soit possible de refaire une primaire
*derrière* une étendue.
J'ai toujours tenu pour acquis qu'on écrivait dabord les primaires, 4
maximum, et que si on voulait en faire plus on remplacait la dernière
primaire par une étendue, dans laquelle on plaçait ses logiques. Et
donc, je ne pensais pas qu'il soit possible de refaire une primaire
*derrière* une étendue.
Non, il ne peut y avoir que 4 partitions primaires (ou logiques), mais la
logique peut être n'importe ou. Les outils DOS obligent à avoir une seule
logique, mais je crois bien que Linux permet de creer plusieurs logiques.
Dans tous les cas dans chaque logique tu as une liste chaînée de
partitions étendues, que Linux voit comme hda5, hda6, etc. et FreeBSD
de même comme ad0s5, ad0s6, etc.
Ce qui se passe si on crée deux partitions
logiques, je ne l'ai jamais testé.
Non, il ne peut y avoir que 4 partitions primaires (ou logiques), mais la
logique peut être n'importe ou. Les outils DOS obligent à avoir une seule
logique, mais je crois bien que Linux permet de creer plusieurs logiques.
Dans tous les cas dans chaque logique tu as une liste chaînée de
partitions étendues, que Linux voit comme hda5, hda6, etc. et FreeBSD
de même comme ad0s5, ad0s6, etc.
Ce qui se passe si on crée deux partitions
logiques, je ne l'ai jamais testé.
Non, il ne peut y avoir que 4 partitions primaires (ou logiques), mais la
logique peut être n'importe ou. Les outils DOS obligent à avoir une seule
logique, mais je crois bien que Linux permet de creer plusieurs logiques.
Dans tous les cas dans chaque logique tu as une liste chaînée de
partitions étendues, que Linux voit comme hda5, hda6, etc. et FreeBSD
de même comme ad0s5, ad0s6, etc.
Ce qui se passe si on crée deux partitions
logiques, je ne l'ai jamais testé.
Pour moi, on me l'a appris en les nommant inversement : la partition
étendue est le "conteneur" qui renferme n partitions logiques,
mais
j'ignorais qu'une primaire pouvait succéder à une étendue. Quoi qu'il
en soit, la limitation des 4 partitions primaires (ou trois primaire +
une étendue dans laquelle se trouvent n logiques) va être blocante
dans mon cas, quel que soit l'ordre dans lequel je crée mes partitions
primaires, puisque j'ai déjà 3 primaires en début de disque, suivie
d'une étendue : la limite est atteinte :-( .
Tant pis, *BSD attendra mon prochain DD.
Pour moi, on me l'a appris en les nommant inversement : la partition
étendue est le "conteneur" qui renferme n partitions logiques,
mais
j'ignorais qu'une primaire pouvait succéder à une étendue. Quoi qu'il
en soit, la limitation des 4 partitions primaires (ou trois primaire +
une étendue dans laquelle se trouvent n logiques) va être blocante
dans mon cas, quel que soit l'ordre dans lequel je crée mes partitions
primaires, puisque j'ai déjà 3 primaires en début de disque, suivie
d'une étendue : la limite est atteinte :-( .
Tant pis, *BSD attendra mon prochain DD.
Pour moi, on me l'a appris en les nommant inversement : la partition
étendue est le "conteneur" qui renferme n partitions logiques,
mais
j'ignorais qu'une primaire pouvait succéder à une étendue. Quoi qu'il
en soit, la limitation des 4 partitions primaires (ou trois primaire +
une étendue dans laquelle se trouvent n logiques) va être blocante
dans mon cas, quel que soit l'ordre dans lequel je crée mes partitions
primaires, puisque j'ai déjà 3 primaires en début de disque, suivie
d'une étendue : la limite est atteinte :-( .
Tant pis, *BSD attendra mon prochain DD.
Et pour qui vous aller donner ? Pour mozilla, pour financer des pages
de pub dans le New York Times en faveur d'un paquet de ligne de code ?
Vous imaginez le côté dérisoire ???
Je ne sais pas si c'est dérisoire un page dans le NYT :)
Bah, il ne faut pas chercher midi à quatorze heures. Le créateur de
Vim a son travail, ses revenus et la satisfaction de voir son
logiciel faire fureur. Qu'il engage à faire un geste envers
l'Ouganda n'a rien de choquant.
Ca doit faire curieux tout de même d'avoir autant de succès et (si
c'est le cas) voir les gens aussi serrés du crapaud alors qu'ils
utilisent le produit de votre travail. Ca doit être un peu décevant.
Et pour qui vous aller donner ? Pour mozilla, pour financer des pages
de pub dans le New York Times en faveur d'un paquet de ligne de code ?
Vous imaginez le côté dérisoire ???
Je ne sais pas si c'est dérisoire un page dans le NYT :)
Bah, il ne faut pas chercher midi à quatorze heures. Le créateur de
Vim a son travail, ses revenus et la satisfaction de voir son
logiciel faire fureur. Qu'il engage à faire un geste envers
l'Ouganda n'a rien de choquant.
Ca doit faire curieux tout de même d'avoir autant de succès et (si
c'est le cas) voir les gens aussi serrés du crapaud alors qu'ils
utilisent le produit de votre travail. Ca doit être un peu décevant.
Et pour qui vous aller donner ? Pour mozilla, pour financer des pages
de pub dans le New York Times en faveur d'un paquet de ligne de code ?
Vous imaginez le côté dérisoire ???
Je ne sais pas si c'est dérisoire un page dans le NYT :)
Bah, il ne faut pas chercher midi à quatorze heures. Le créateur de
Vim a son travail, ses revenus et la satisfaction de voir son
logiciel faire fureur. Qu'il engage à faire un geste envers
l'Ouganda n'a rien de choquant.
Ca doit faire curieux tout de même d'avoir autant de succès et (si
c'est le cas) voir les gens aussi serrés du crapaud alors qu'ils
utilisent le produit de votre travail. Ca doit être un peu décevant.
ce que tu denonces selon ma perception c'est plutot "le
politiquement correct" qui est plutot pour moi le signe d'une
incapacite a faire avancer les positions ou points de vu
Non, pas seulement, c'est plutôt le caractère faussement neutre et
objectif du contenu. Si mes arguments te sembles fumeux, prenons un
terrain plus factuel et plus sûr.
Concrètement, quels points de vues sont représentés ? Pas tous
naturellement. On n'a pas demandé à Pol Pot son avis sur le génocide
khmer rouge. La neutralité de point de vue, ça veut juste dire "le
narrateur fait mine de ne pas prendre partie". Mais concrètement, ils
n'y a que les points de vues des gens qui veulent bien le donner (ou
dont ils jugent devoir rendre compte). Il n'y a *aucun* dispositif
méthodologique et critique pour prendre en compte ce biais. Le critère
de sélection du contenu est le bon vouloir (les préjugés) des
intervenants. Il n'y a nulle part la moindre exigence, qui est un
stricte minimum scientifique, d'essayer de se porter la contradiction
contre soi-même, de se justifier contre les « points de vue »
adverses. Ce n'est pas seulement que les points de vue sont
incomplets, qu'ils sont arbitrairement sélectionnés, c'est aussi que
chaque « point de vue » est l'étalage d'un préjugé. Et on aura beau
tous les aligner, on aura toujours que des préjugés, fussent-ils des
miliers.
moi pas d'accord il y a deux aspects a la problematique le premier
qui semble etre sujet a caution est la ligne editorialiste
mais peut'on reellement dissocier le contenu de la forme ou
concretement : la forme reference un contenu et le contenu implique
un referencement croise pour etre factuelle "eh moi aussi je peux"
en gros le cheminement de la lecture implique un parti pris ce qui
necessite une impartialite affichee et souhaitable afin de ne pas
perturber le cheminement de la lecture induite par l'intervenant
entre le clavier et la chaise voie off il fallait la trouver celle
la :-)
Tous les points de vues sont énumérés à égalités, comme s'ils étaient
égaux, alors que l'activité scientifique c'est justement de les mettre
sur des plans différents. C'est justement de dire : celui-ci est faux,
celui ci n'a pas de contre argument valable. D'un disque dur rempli
de préjugés on ne tire pas un seul énoncé scientifique.
La neutralité de point de vue à la base ça veut dire « pas de baston
»
: c'est un dispositif pragmatique nécessaire pour faire cohabiter
autant de contributeurs. Mais ce concept n'a aucune existance
scientifique à ma connaissance (les seules utilisation que je
connaisse au contraire consiste à nier qu'on puisse ne avoir de point
de vue, comme dans la généralité épistémologique en sciences humaines
"le point de vue crée l'objet"). Le « point de vue » c'est surtout un
concept de bistro du commerce (chacun son point de vue ! C'est jamais
que ton point de vue, etc.), une conception triviale de la relativité.
patron un demi
j'entends bien et apprehende que le concept de neutralite puisse etre
un fourre tout
et que cette notion ne soit pas bien definie ou que la notion soit
apprehendee de maniere empirique qui tout bien considere est a la
base des notions scientifiques
par contre je pense que la generalite epistomologique a un parti pris
qd tu dis "le point de vue cree l'objet" en math cela serait plutot le
point de vue
devoile une notion de ou des objets"
bon il arrive ce demi
ce qui implique une notion d' acquis l'on a souvent tendance a
negliger l'acquis dans les relations vue objet prenons un cas
concret philologique pour se retrouver dans le contexte precedemment
cite un objet ,un point de vue la vision est liee a l'interpretation
qui se fait en fct des savoirs de l'observateur
ah merci ...
et le savoir evolut en fct des progres se qui implique que la vision
de l'obj sera la meme mais pas interpretee de la meme maniereEt cette règle de bonne conduite pour discuter à plusieurs autour du
comptoir sans se foutre sur la gueule est promue pierre de touche et
garante de l'objectivité. C'est une discussion de bistrot qui prétend
devenir Savoir Absolu. Il y a d'excellents contributeurs, la question
n'est pas là, mais la valeur scientifique de l'ensemble, en tant que
projet d'accumulation de savoir, est quand même déterminée par ce
point. Wikipedi est un (vaste, certes) bistro du commerce. Où tout
d'un coup une communauté culturellement très identifiée prétend,
naïvement et sans aucune réflexivité, prétend écrire le savoir du
monde.
en gros se qui te gonfle c'est que cela ne soit pas un systeme
academique qui detient les tenants et les aboutissants de wikipedia ?
Certes, les scientifiques n'ont qu'un « point de vue », eux
aussi. Mais ils ont des précédures de validations et d'établissement
de consensus, ce qui est ce qu'on a trouvé de mieux.
prenons le postulat " la science a un seul point de vue"
le simple fait de relater cette notion ou que le point de vue soit
restitue implique
que le consensus valide par sciences est fidelement restitue
je ne comprends toujours pas :-)
Et, surtout, un
minimum de formation.
si tu continues je vais commander un wisky
il y a peu a la radio a un directeur de je ne sais plus quelle
bibliotheque
qui guellait et il geullait fort en plus parce que google allait
mettre en ligne je ne sais plus combien de livres gratuitement , il
avait comme argument en gros ils vont imposer leur vision de
l'histoire au monde
mais putain au lieu de gueller comme un abruti il ferait mieux de
mettre en ligne gratuitement
ce que tu denonces selon ma perception c'est plutot "le
politiquement correct" qui est plutot pour moi le signe d'une
incapacite a faire avancer les positions ou points de vu
Non, pas seulement, c'est plutôt le caractère faussement neutre et
objectif du contenu. Si mes arguments te sembles fumeux, prenons un
terrain plus factuel et plus sûr.
Concrètement, quels points de vues sont représentés ? Pas tous
naturellement. On n'a pas demandé à Pol Pot son avis sur le génocide
khmer rouge. La neutralité de point de vue, ça veut juste dire "le
narrateur fait mine de ne pas prendre partie". Mais concrètement, ils
n'y a que les points de vues des gens qui veulent bien le donner (ou
dont ils jugent devoir rendre compte). Il n'y a *aucun* dispositif
méthodologique et critique pour prendre en compte ce biais. Le critère
de sélection du contenu est le bon vouloir (les préjugés) des
intervenants. Il n'y a nulle part la moindre exigence, qui est un
stricte minimum scientifique, d'essayer de se porter la contradiction
contre soi-même, de se justifier contre les « points de vue »
adverses. Ce n'est pas seulement que les points de vue sont
incomplets, qu'ils sont arbitrairement sélectionnés, c'est aussi que
chaque « point de vue » est l'étalage d'un préjugé. Et on aura beau
tous les aligner, on aura toujours que des préjugés, fussent-ils des
miliers.
moi pas d'accord il y a deux aspects a la problematique le premier
qui semble etre sujet a caution est la ligne editorialiste
mais peut'on reellement dissocier le contenu de la forme ou
concretement : la forme reference un contenu et le contenu implique
un referencement croise pour etre factuelle "eh moi aussi je peux"
en gros le cheminement de la lecture implique un parti pris ce qui
necessite une impartialite affichee et souhaitable afin de ne pas
perturber le cheminement de la lecture induite par l'intervenant
entre le clavier et la chaise voie off il fallait la trouver celle
la :-)
Tous les points de vues sont énumérés à égalités, comme s'ils étaient
égaux, alors que l'activité scientifique c'est justement de les mettre
sur des plans différents. C'est justement de dire : celui-ci est faux,
celui ci n'a pas de contre argument valable. D'un disque dur rempli
de préjugés on ne tire pas un seul énoncé scientifique.
La neutralité de point de vue à la base ça veut dire « pas de baston
»
: c'est un dispositif pragmatique nécessaire pour faire cohabiter
autant de contributeurs. Mais ce concept n'a aucune existance
scientifique à ma connaissance (les seules utilisation que je
connaisse au contraire consiste à nier qu'on puisse ne avoir de point
de vue, comme dans la généralité épistémologique en sciences humaines
"le point de vue crée l'objet"). Le « point de vue » c'est surtout un
concept de bistro du commerce (chacun son point de vue ! C'est jamais
que ton point de vue, etc.), une conception triviale de la relativité.
patron un demi
j'entends bien et apprehende que le concept de neutralite puisse etre
un fourre tout
et que cette notion ne soit pas bien definie ou que la notion soit
apprehendee de maniere empirique qui tout bien considere est a la
base des notions scientifiques
par contre je pense que la generalite epistomologique a un parti pris
qd tu dis "le point de vue cree l'objet" en math cela serait plutot le
point de vue
devoile une notion de ou des objets"
bon il arrive ce demi
ce qui implique une notion d' acquis l'on a souvent tendance a
negliger l'acquis dans les relations vue objet prenons un cas
concret philologique pour se retrouver dans le contexte precedemment
cite un objet ,un point de vue la vision est liee a l'interpretation
qui se fait en fct des savoirs de l'observateur
ah merci ...
et le savoir evolut en fct des progres se qui implique que la vision
de l'obj sera la meme mais pas interpretee de la meme maniere
Et cette règle de bonne conduite pour discuter à plusieurs autour du
comptoir sans se foutre sur la gueule est promue pierre de touche et
garante de l'objectivité. C'est une discussion de bistrot qui prétend
devenir Savoir Absolu. Il y a d'excellents contributeurs, la question
n'est pas là, mais la valeur scientifique de l'ensemble, en tant que
projet d'accumulation de savoir, est quand même déterminée par ce
point. Wikipedi est un (vaste, certes) bistro du commerce. Où tout
d'un coup une communauté culturellement très identifiée prétend,
naïvement et sans aucune réflexivité, prétend écrire le savoir du
monde.
en gros se qui te gonfle c'est que cela ne soit pas un systeme
academique qui detient les tenants et les aboutissants de wikipedia ?
Certes, les scientifiques n'ont qu'un « point de vue », eux
aussi. Mais ils ont des précédures de validations et d'établissement
de consensus, ce qui est ce qu'on a trouvé de mieux.
prenons le postulat " la science a un seul point de vue"
le simple fait de relater cette notion ou que le point de vue soit
restitue implique
que le consensus valide par sciences est fidelement restitue
je ne comprends toujours pas :-)
Et, surtout, un
minimum de formation.
si tu continues je vais commander un wisky
il y a peu a la radio a un directeur de je ne sais plus quelle
bibliotheque
qui guellait et il geullait fort en plus parce que google allait
mettre en ligne je ne sais plus combien de livres gratuitement , il
avait comme argument en gros ils vont imposer leur vision de
l'histoire au monde
mais putain au lieu de gueller comme un abruti il ferait mieux de
mettre en ligne gratuitement
ce que tu denonces selon ma perception c'est plutot "le
politiquement correct" qui est plutot pour moi le signe d'une
incapacite a faire avancer les positions ou points de vu
Non, pas seulement, c'est plutôt le caractère faussement neutre et
objectif du contenu. Si mes arguments te sembles fumeux, prenons un
terrain plus factuel et plus sûr.
Concrètement, quels points de vues sont représentés ? Pas tous
naturellement. On n'a pas demandé à Pol Pot son avis sur le génocide
khmer rouge. La neutralité de point de vue, ça veut juste dire "le
narrateur fait mine de ne pas prendre partie". Mais concrètement, ils
n'y a que les points de vues des gens qui veulent bien le donner (ou
dont ils jugent devoir rendre compte). Il n'y a *aucun* dispositif
méthodologique et critique pour prendre en compte ce biais. Le critère
de sélection du contenu est le bon vouloir (les préjugés) des
intervenants. Il n'y a nulle part la moindre exigence, qui est un
stricte minimum scientifique, d'essayer de se porter la contradiction
contre soi-même, de se justifier contre les « points de vue »
adverses. Ce n'est pas seulement que les points de vue sont
incomplets, qu'ils sont arbitrairement sélectionnés, c'est aussi que
chaque « point de vue » est l'étalage d'un préjugé. Et on aura beau
tous les aligner, on aura toujours que des préjugés, fussent-ils des
miliers.
moi pas d'accord il y a deux aspects a la problematique le premier
qui semble etre sujet a caution est la ligne editorialiste
mais peut'on reellement dissocier le contenu de la forme ou
concretement : la forme reference un contenu et le contenu implique
un referencement croise pour etre factuelle "eh moi aussi je peux"
en gros le cheminement de la lecture implique un parti pris ce qui
necessite une impartialite affichee et souhaitable afin de ne pas
perturber le cheminement de la lecture induite par l'intervenant
entre le clavier et la chaise voie off il fallait la trouver celle
la :-)
Tous les points de vues sont énumérés à égalités, comme s'ils étaient
égaux, alors que l'activité scientifique c'est justement de les mettre
sur des plans différents. C'est justement de dire : celui-ci est faux,
celui ci n'a pas de contre argument valable. D'un disque dur rempli
de préjugés on ne tire pas un seul énoncé scientifique.
La neutralité de point de vue à la base ça veut dire « pas de baston
»
: c'est un dispositif pragmatique nécessaire pour faire cohabiter
autant de contributeurs. Mais ce concept n'a aucune existance
scientifique à ma connaissance (les seules utilisation que je
connaisse au contraire consiste à nier qu'on puisse ne avoir de point
de vue, comme dans la généralité épistémologique en sciences humaines
"le point de vue crée l'objet"). Le « point de vue » c'est surtout un
concept de bistro du commerce (chacun son point de vue ! C'est jamais
que ton point de vue, etc.), une conception triviale de la relativité.
patron un demi
j'entends bien et apprehende que le concept de neutralite puisse etre
un fourre tout
et que cette notion ne soit pas bien definie ou que la notion soit
apprehendee de maniere empirique qui tout bien considere est a la
base des notions scientifiques
par contre je pense que la generalite epistomologique a un parti pris
qd tu dis "le point de vue cree l'objet" en math cela serait plutot le
point de vue
devoile une notion de ou des objets"
bon il arrive ce demi
ce qui implique une notion d' acquis l'on a souvent tendance a
negliger l'acquis dans les relations vue objet prenons un cas
concret philologique pour se retrouver dans le contexte precedemment
cite un objet ,un point de vue la vision est liee a l'interpretation
qui se fait en fct des savoirs de l'observateur
ah merci ...
et le savoir evolut en fct des progres se qui implique que la vision
de l'obj sera la meme mais pas interpretee de la meme maniereEt cette règle de bonne conduite pour discuter à plusieurs autour du
comptoir sans se foutre sur la gueule est promue pierre de touche et
garante de l'objectivité. C'est une discussion de bistrot qui prétend
devenir Savoir Absolu. Il y a d'excellents contributeurs, la question
n'est pas là, mais la valeur scientifique de l'ensemble, en tant que
projet d'accumulation de savoir, est quand même déterminée par ce
point. Wikipedi est un (vaste, certes) bistro du commerce. Où tout
d'un coup une communauté culturellement très identifiée prétend,
naïvement et sans aucune réflexivité, prétend écrire le savoir du
monde.
en gros se qui te gonfle c'est que cela ne soit pas un systeme
academique qui detient les tenants et les aboutissants de wikipedia ?
Certes, les scientifiques n'ont qu'un « point de vue », eux
aussi. Mais ils ont des précédures de validations et d'établissement
de consensus, ce qui est ce qu'on a trouvé de mieux.
prenons le postulat " la science a un seul point de vue"
le simple fait de relater cette notion ou que le point de vue soit
restitue implique
que le consensus valide par sciences est fidelement restitue
je ne comprends toujours pas :-)
Et, surtout, un
minimum de formation.
si tu continues je vais commander un wisky
il y a peu a la radio a un directeur de je ne sais plus quelle
bibliotheque
qui guellait et il geullait fort en plus parce que google allait
mettre en ligne je ne sais plus combien de livres gratuitement , il
avait comme argument en gros ils vont imposer leur vision de
l'histoire au monde
mais putain au lieu de gueller comme un abruti il ferait mieux de
mettre en ligne gratuitement
il y a peu a la radio a un directeur de je ne sais plus quelle
bibliotheque
C'est Jean-Noël Jeanneney, le président de la BNF.
<http://www.lemonde.fr/web/article/0,,36-680241,0.html>
(par exemple)qui guellait et il geullait fort en plus parce que google allait
mettre en ligne je ne sais plus combien de livres gratuitement , il
avait comme argument en gros ils vont imposer leur vision de
l'histoire au monde
C'est peut être un peu exagéré (de mon point de vue:-) mais je trouve
ça vrai.
mais putain au lieu de gueller comme un abruti il ferait mieux de
mettre en ligne gratuitement
C'est ce que la BNF fait, depuis longtemps et avec un gros
investissement, dans le projet Gallica :
il y a peu a la radio a un directeur de je ne sais plus quelle
bibliotheque
C'est Jean-Noël Jeanneney, le président de la BNF.
<http://www.lemonde.fr/web/article/0,1-0@2-3246,36-680241,0.html>
(par exemple)
qui guellait et il geullait fort en plus parce que google allait
mettre en ligne je ne sais plus combien de livres gratuitement , il
avait comme argument en gros ils vont imposer leur vision de
l'histoire au monde
C'est peut être un peu exagéré (de mon point de vue:-) mais je trouve
ça vrai.
mais putain au lieu de gueller comme un abruti il ferait mieux de
mettre en ligne gratuitement
C'est ce que la BNF fait, depuis longtemps et avec un gros
investissement, dans le projet Gallica :
il y a peu a la radio a un directeur de je ne sais plus quelle
bibliotheque
C'est Jean-Noël Jeanneney, le président de la BNF.
<http://www.lemonde.fr/web/article/0,,36-680241,0.html>
(par exemple)qui guellait et il geullait fort en plus parce que google allait
mettre en ligne je ne sais plus combien de livres gratuitement , il
avait comme argument en gros ils vont imposer leur vision de
l'histoire au monde
C'est peut être un peu exagéré (de mon point de vue:-) mais je trouve
ça vrai.
mais putain au lieu de gueller comme un abruti il ferait mieux de
mettre en ligne gratuitement
C'est ce que la BNF fait, depuis longtemps et avec un gros
investissement, dans le projet Gallica :
In article , SL wrote:il y a peu a la radio a un directeur de je ne sais plus quelle
bibliotheque
C'est Jean-Noël Jeanneney, le président de la BNF.
<http://www.lemonde.fr/web/article/0,,36-680241,0.html>
(par exemple)qui guellait et il geullait fort en plus parce que google allait
mettre en ligne je ne sais plus combien de livres gratuitement , il
avait comme argument en gros ils vont imposer leur vision de
l'histoire au monde
C'est peut être un peu exagéré (de mon point de vue:-) mais je trouve
ça vrai.
Je suis sûr que google serait tout à fait disposé à intégrer les
fonds de la BNF aux côtés de ceux des bibliothèques US qui ont
accepté de donner les leurs ;
la culture française est seulement victime ici du syndrome "NIH"
(not invented here).
mais putain au lieu de gueller comme un abruti il ferait mieux de
mettre en ligne gratuitement
C'est ce que la BNF fait, depuis longtemps et avec un gros
investissement, dans le projet Gallica :
Soyons sérieux : les seuls qui disent du bien de gallica sont ceux
qui n'ont jamais eu besoin de s'en servir. Il y a autant de rapport
entre gallica et googleprint qu'entre l'éole et un A380. Le choix
fondamental *de ne pas choisir* entre forme et fond a conduit la BNF
à scanner (en biais, d'ailleurs, le plus souvent) les pages et à les
livrer sous forme d'images ce qui interdit toute recherche textuelle
pertinente.
Mr Jeanneney hérite d'un système catastrophique qui a englouti des
fortunes en pure perte, et la seule solution qui lui reste pour
garder un peu de prestige "politique", c'est de crier haro sur le
privé (google) alors que 10 minutes d'utilisation comparée des deux
systèmes suffisent à démontrer l'ineptie de la version financée à
fonds publics.
In article <umzmnkxs1.fsf@nospam.com>, SL wrote:
il y a peu a la radio a un directeur de je ne sais plus quelle
bibliotheque
C'est Jean-Noël Jeanneney, le président de la BNF.
<http://www.lemonde.fr/web/article/0,1-0@2-3246,36-680241,0.html>
(par exemple)
qui guellait et il geullait fort en plus parce que google allait
mettre en ligne je ne sais plus combien de livres gratuitement , il
avait comme argument en gros ils vont imposer leur vision de
l'histoire au monde
C'est peut être un peu exagéré (de mon point de vue:-) mais je trouve
ça vrai.
Je suis sûr que google serait tout à fait disposé à intégrer les
fonds de la BNF aux côtés de ceux des bibliothèques US qui ont
accepté de donner les leurs ;
la culture française est seulement victime ici du syndrome "NIH"
(not invented here).
mais putain au lieu de gueller comme un abruti il ferait mieux de
mettre en ligne gratuitement
C'est ce que la BNF fait, depuis longtemps et avec un gros
investissement, dans le projet Gallica :
Soyons sérieux : les seuls qui disent du bien de gallica sont ceux
qui n'ont jamais eu besoin de s'en servir. Il y a autant de rapport
entre gallica et googleprint qu'entre l'éole et un A380. Le choix
fondamental *de ne pas choisir* entre forme et fond a conduit la BNF
à scanner (en biais, d'ailleurs, le plus souvent) les pages et à les
livrer sous forme d'images ce qui interdit toute recherche textuelle
pertinente.
Mr Jeanneney hérite d'un système catastrophique qui a englouti des
fortunes en pure perte, et la seule solution qui lui reste pour
garder un peu de prestige "politique", c'est de crier haro sur le
privé (google) alors que 10 minutes d'utilisation comparée des deux
systèmes suffisent à démontrer l'ineptie de la version financée à
fonds publics.
In article , SL wrote:il y a peu a la radio a un directeur de je ne sais plus quelle
bibliotheque
C'est Jean-Noël Jeanneney, le président de la BNF.
<http://www.lemonde.fr/web/article/0,,36-680241,0.html>
(par exemple)qui guellait et il geullait fort en plus parce que google allait
mettre en ligne je ne sais plus combien de livres gratuitement , il
avait comme argument en gros ils vont imposer leur vision de
l'histoire au monde
C'est peut être un peu exagéré (de mon point de vue:-) mais je trouve
ça vrai.
Je suis sûr que google serait tout à fait disposé à intégrer les
fonds de la BNF aux côtés de ceux des bibliothèques US qui ont
accepté de donner les leurs ;
la culture française est seulement victime ici du syndrome "NIH"
(not invented here).
mais putain au lieu de gueller comme un abruti il ferait mieux de
mettre en ligne gratuitement
C'est ce que la BNF fait, depuis longtemps et avec un gros
investissement, dans le projet Gallica :
Soyons sérieux : les seuls qui disent du bien de gallica sont ceux
qui n'ont jamais eu besoin de s'en servir. Il y a autant de rapport
entre gallica et googleprint qu'entre l'éole et un A380. Le choix
fondamental *de ne pas choisir* entre forme et fond a conduit la BNF
à scanner (en biais, d'ailleurs, le plus souvent) les pages et à les
livrer sous forme d'images ce qui interdit toute recherche textuelle
pertinente.
Mr Jeanneney hérite d'un système catastrophique qui a englouti des
fortunes en pure perte, et la seule solution qui lui reste pour
garder un peu de prestige "politique", c'est de crier haro sur le
privé (google) alors que 10 minutes d'utilisation comparée des deux
systèmes suffisent à démontrer l'ineptie de la version financée à
fonds publics.
c'est de crier haro sur le privé (google) alors que
10 minutes d'utilisation comparée des deux systèmes suffisent à
démontrer l'ineptie de la version financée à fonds publics.
c'est de crier haro sur le privé (google) alors que
10 minutes d'utilisation comparée des deux systèmes suffisent à
démontrer l'ineptie de la version financée à fonds publics.
c'est de crier haro sur le privé (google) alors que
10 minutes d'utilisation comparée des deux systèmes suffisent à
démontrer l'ineptie de la version financée à fonds publics.
Je suis sûr que google serait tout à fait disposé à intégrer les fonds
de la BNF aux côtés de ceux des bibliothèques US qui ont accepté de
donner les leurs ; la culture française est seulement victime ici du
syndrome "NIH" (not invented here).
à les livrer sous forme d'images ce qui interdit toute recherche
textuelle pertinente. Mr Jeanneney hérite d'un système catastrophique
qui a englouti des fortunes en pure perte, et la seule solution qui
lui reste pour garder un peu de prestige "politique", c'est de crier
haro sur le privé (google) alors que 10 minutes d'utilisation
comparée des deux systèmes suffisent à démontrer l'ineptie de la
version financée à fonds publics.
Et encore, par charité, on oubliera de s'apesantir sur le choix du
stockage en CDROM qui ramène internet à la vitesse du minitel.
Je suis sûr que google serait tout à fait disposé à intégrer les fonds
de la BNF aux côtés de ceux des bibliothèques US qui ont accepté de
donner les leurs ; la culture française est seulement victime ici du
syndrome "NIH" (not invented here).
à les livrer sous forme d'images ce qui interdit toute recherche
textuelle pertinente. Mr Jeanneney hérite d'un système catastrophique
qui a englouti des fortunes en pure perte, et la seule solution qui
lui reste pour garder un peu de prestige "politique", c'est de crier
haro sur le privé (google) alors que 10 minutes d'utilisation
comparée des deux systèmes suffisent à démontrer l'ineptie de la
version financée à fonds publics.
Et encore, par charité, on oubliera de s'apesantir sur le choix du
stockage en CDROM qui ramène internet à la vitesse du minitel.
Je suis sûr que google serait tout à fait disposé à intégrer les fonds
de la BNF aux côtés de ceux des bibliothèques US qui ont accepté de
donner les leurs ; la culture française est seulement victime ici du
syndrome "NIH" (not invented here).
à les livrer sous forme d'images ce qui interdit toute recherche
textuelle pertinente. Mr Jeanneney hérite d'un système catastrophique
qui a englouti des fortunes en pure perte, et la seule solution qui
lui reste pour garder un peu de prestige "politique", c'est de crier
haro sur le privé (google) alors que 10 minutes d'utilisation
comparée des deux systèmes suffisent à démontrer l'ineptie de la
version financée à fonds publics.
Et encore, par charité, on oubliera de s'apesantir sur le choix du
stockage en CDROM qui ramène internet à la vitesse du minitel.
Aujourd'hui Jeanneney semble réussir assez bien à motiver les
partenaires européens pour faire quelques chose de concurrent au
niveau européen. Et il me paraît assez évident qu'il y a un enjeu
énorme à ne pas laisser les EU seuls sur ce créneau : c'est une
question de capacité de l'Europe à avoir une existence culturelle et
d'être présent, tout simplement, dans les supports de diffusion du
savoir de demain.
Aujourd'hui Jeanneney semble réussir assez bien à motiver les
partenaires européens pour faire quelques chose de concurrent au
niveau européen. Et il me paraît assez évident qu'il y a un enjeu
énorme à ne pas laisser les EU seuls sur ce créneau : c'est une
question de capacité de l'Europe à avoir une existence culturelle et
d'être présent, tout simplement, dans les supports de diffusion du
savoir de demain.
Aujourd'hui Jeanneney semble réussir assez bien à motiver les
partenaires européens pour faire quelques chose de concurrent au
niveau européen. Et il me paraît assez évident qu'il y a un enjeu
énorme à ne pas laisser les EU seuls sur ce créneau : c'est une
question de capacité de l'Europe à avoir une existence culturelle et
d'être présent, tout simplement, dans les supports de diffusion du
savoir de demain.