SL wrote:Aujourd'hui Jeanneney semble réussir assez bien à motiver les
partenaires européens pour faire quelques chose de concurrent au
niveau européen. Et il me paraît assez évident qu'il y a un enjeu
énorme à ne pas laisser les EU seuls sur ce créneau : c'est une
question de capacité de l'Europe à avoir une existence culturelle
et d'être présent, tout simplement, dans les supports de diffusion
du savoir de demain.
Ton argument est ridicule, ce projet consiste tout juste à dilapider
l'argent public pour rien, pour faire plaisr à des gros nullards
comme Jeanneney. Ce qui compte c'est que les textes soient
accessibles. Quand ils le sont gratos et de manière excellente comme
sur print.google.com, c'est génial. En quoi s'agit-il de culture
américaine monopoliste?
C'est au contraire le meilleur de l'amérique qui se trouve là, pour
le plus mauvais il n'y a pas besoin de regarder plus loin que les
écrans de télé en ce moment.
SL <nospam@nospam.com> wrote:
Aujourd'hui Jeanneney semble réussir assez bien à motiver les
partenaires européens pour faire quelques chose de concurrent au
niveau européen. Et il me paraît assez évident qu'il y a un enjeu
énorme à ne pas laisser les EU seuls sur ce créneau : c'est une
question de capacité de l'Europe à avoir une existence culturelle
et d'être présent, tout simplement, dans les supports de diffusion
du savoir de demain.
Ton argument est ridicule, ce projet consiste tout juste à dilapider
l'argent public pour rien, pour faire plaisr à des gros nullards
comme Jeanneney. Ce qui compte c'est que les textes soient
accessibles. Quand ils le sont gratos et de manière excellente comme
sur print.google.com, c'est génial. En quoi s'agit-il de culture
américaine monopoliste?
C'est au contraire le meilleur de l'amérique qui se trouve là, pour
le plus mauvais il n'y a pas besoin de regarder plus loin que les
écrans de télé en ce moment.
SL wrote:Aujourd'hui Jeanneney semble réussir assez bien à motiver les
partenaires européens pour faire quelques chose de concurrent au
niveau européen. Et il me paraît assez évident qu'il y a un enjeu
énorme à ne pas laisser les EU seuls sur ce créneau : c'est une
question de capacité de l'Europe à avoir une existence culturelle
et d'être présent, tout simplement, dans les supports de diffusion
du savoir de demain.
Ton argument est ridicule, ce projet consiste tout juste à dilapider
l'argent public pour rien, pour faire plaisr à des gros nullards
comme Jeanneney. Ce qui compte c'est que les textes soient
accessibles. Quand ils le sont gratos et de manière excellente comme
sur print.google.com, c'est génial. En quoi s'agit-il de culture
américaine monopoliste?
C'est au contraire le meilleur de l'amérique qui se trouve là, pour
le plus mauvais il n'y a pas besoin de regarder plus loin que les
écrans de télé en ce moment.
Ce qui n'existera pas sur Google n'existera plus, tout court.
Ce qui n'existera pas sur Google n'existera plus, tout court.
Ce qui n'existera pas sur Google n'existera plus, tout court.
C'est ce que la BNF fait, depuis longtemps et avec un gros
investissement, dans le projet Gallica :
Gallica propose un accès à 70 000 ouvrages numérisés, à plus de 80
000 images et à plusieurs dizaines d'heures de ressources
sonores. Cet ensemble constitue l'une des plus importantes
bibliothèques numériques accessibles gratuitement sur l'Internet.
[...]
<http://gallica.bnf.fr/>
Certes ce n'est pas énorme par rapport à ce que veut faire
Google.
C'est ce que la BNF fait, depuis longtemps et avec un gros
investissement, dans le projet Gallica :
Gallica propose un accès à 70 000 ouvrages numérisés, à plus de 80
000 images et à plusieurs dizaines d'heures de ressources
sonores. Cet ensemble constitue l'une des plus importantes
bibliothèques numériques accessibles gratuitement sur l'Internet.
[...]
<http://gallica.bnf.fr/>
Certes ce n'est pas énorme par rapport à ce que veut faire
Google.
C'est ce que la BNF fait, depuis longtemps et avec un gros
investissement, dans le projet Gallica :
Gallica propose un accès à 70 000 ouvrages numérisés, à plus de 80
000 images et à plusieurs dizaines d'heures de ressources
sonores. Cet ensemble constitue l'une des plus importantes
bibliothèques numériques accessibles gratuitement sur l'Internet.
[...]
<http://gallica.bnf.fr/>
Certes ce n'est pas énorme par rapport à ce que veut faire
Google.
Si vous pensez qu'il n'y a aucun enjeu à ce que l'Europe se dote du
savoir-faire pour ce genre de projet, qui lui seront nécessaires pour
avoir la moindre politique culturelle, mes arguments vous sembleront
effectivement fumeux. De même si vous pensez qu'il n'y a aucun enjeu
en terme de « diversité » (culturelle, scientifique), à ce que ce mode
de diffusion du savoir, qui risque d'avoir une importance énorme, soit
assuré dans un seul Etat voire par une seule société -- c'est là les
dangers de renforcement de "monopole" culturel à mon avis.
C'est au contraire le meilleur de l'amérique qui se trouve là, pour
le plus mauvais il n'y a pas besoin de regarder plus loin que les
écrans de télé en ce moment.
Je n'y vois pas vraiment le meilleur de l'amérique. Je trouve ça très
symptomatique du phénomène de technologisation de la science : c'est
assez étonnant de voir un projet de type bibiothécaire
guidé par la
partie "technique" de l'affaire, la moins importante. Les fondateurs
de Google ont peut être eu de bonnes idées pour appliquer la théorie
des graphes au ranking des pages web, mais ça n'en fait pas vraiment
des gens qualifiés pour ce genre de projet.
Ce que je veux dire, avant que vous ne me tombiez dessus à bras
raccourcis, c'est que je suis dubitatif en voyant un projet qui est un
peu l'équivalent (dans une toute petite mesure) de la construction des
grands bibliothèques dans l'antiquité, où à la Renaissance, etc.,
assuré non pas par des conservateurs, des bibliothècaires, etc., mais
par des techniciens.
Si vous pensez qu'il n'y a aucun enjeu à ce que l'Europe se dote du
savoir-faire pour ce genre de projet, qui lui seront nécessaires pour
avoir la moindre politique culturelle, mes arguments vous sembleront
effectivement fumeux. De même si vous pensez qu'il n'y a aucun enjeu
en terme de « diversité » (culturelle, scientifique), à ce que ce mode
de diffusion du savoir, qui risque d'avoir une importance énorme, soit
assuré dans un seul Etat voire par une seule société -- c'est là les
dangers de renforcement de "monopole" culturel à mon avis.
C'est au contraire le meilleur de l'amérique qui se trouve là, pour
le plus mauvais il n'y a pas besoin de regarder plus loin que les
écrans de télé en ce moment.
Je n'y vois pas vraiment le meilleur de l'amérique. Je trouve ça très
symptomatique du phénomène de technologisation de la science : c'est
assez étonnant de voir un projet de type bibiothécaire
guidé par la
partie "technique" de l'affaire, la moins importante. Les fondateurs
de Google ont peut être eu de bonnes idées pour appliquer la théorie
des graphes au ranking des pages web, mais ça n'en fait pas vraiment
des gens qualifiés pour ce genre de projet.
Ce que je veux dire, avant que vous ne me tombiez dessus à bras
raccourcis, c'est que je suis dubitatif en voyant un projet qui est un
peu l'équivalent (dans une toute petite mesure) de la construction des
grands bibliothèques dans l'antiquité, où à la Renaissance, etc.,
assuré non pas par des conservateurs, des bibliothècaires, etc., mais
par des techniciens.
Si vous pensez qu'il n'y a aucun enjeu à ce que l'Europe se dote du
savoir-faire pour ce genre de projet, qui lui seront nécessaires pour
avoir la moindre politique culturelle, mes arguments vous sembleront
effectivement fumeux. De même si vous pensez qu'il n'y a aucun enjeu
en terme de « diversité » (culturelle, scientifique), à ce que ce mode
de diffusion du savoir, qui risque d'avoir une importance énorme, soit
assuré dans un seul Etat voire par une seule société -- c'est là les
dangers de renforcement de "monopole" culturel à mon avis.
C'est au contraire le meilleur de l'amérique qui se trouve là, pour
le plus mauvais il n'y a pas besoin de regarder plus loin que les
écrans de télé en ce moment.
Je n'y vois pas vraiment le meilleur de l'amérique. Je trouve ça très
symptomatique du phénomène de technologisation de la science : c'est
assez étonnant de voir un projet de type bibiothécaire
guidé par la
partie "technique" de l'affaire, la moins importante. Les fondateurs
de Google ont peut être eu de bonnes idées pour appliquer la théorie
des graphes au ranking des pages web, mais ça n'en fait pas vraiment
des gens qualifiés pour ce genre de projet.
Ce que je veux dire, avant que vous ne me tombiez dessus à bras
raccourcis, c'est que je suis dubitatif en voyant un projet qui est un
peu l'équivalent (dans une toute petite mesure) de la construction des
grands bibliothèques dans l'antiquité, où à la Renaissance, etc.,
assuré non pas par des conservateurs, des bibliothècaires, etc., mais
par des techniciens.
In article , SL wrote:Si vous pensez qu'il n'y a aucun enjeu à ce que l'Europe se dote
du savoir-faire pour ce genre de projet, qui lui seront
nécessaires pour avoir la moindre politique culturelle, mes
arguments vous sembleront effectivement fumeux. De même si vous
pensez qu'il n'y a aucun enjeu en terme de « diversité »
(culturelle, scientifique), à ce que ce mode de diffusion du
savoir, qui risque d'avoir une importance énorme, soit assuré dans
un seul Etat voire par une seule société -- c'est là les dangers
de renforcement de "monopole" culturel à mon avis.
Le problème, c'est de faire et pas de papoter - surtout quand le
bavardage consiste à taper sur ceux qui réussissent là où pour
l'instant on a échoué.
Jeannenay se couvre de ridicule, alors que s'il avait félicité
google pour la qualité de ses outils et proposé une coopération, on
pourrait jouer gagnant-gagnant.
C'est au contraire le meilleur de l'amérique qui se trouve là, pour
le plus mauvais il n'y a pas besoin de regarder plus loin que les
écrans de télé en ce moment.
Je n'y vois pas vraiment le meilleur de l'amérique. Je trouve ça très
symptomatique du phénomène de technologisation de la science : c'est
assez étonnant de voir un projet de type bibiothécaire
Ce n'est pas *seulement* un projet corporatiste de bibliothécaire
qui se fait plaisir sans regarder quels sont les besoins
scientifiques
des utilisateurs. C'est un projet global d'accès illimité à un savoir
exhaustif.
guidé par la partie "technique" de l'affaire, la moins
importante. Les fondateurs de Google ont peut être eu de bonnes
idées pour appliquer la théorie des graphes au ranking des pages
web, mais ça n'en fait pas vraiment des gens qualifiés pour ce
genre de projet.
À ce compte là, si les informaticiens avaient la même attitude, tu
donnerais tes messages usenet à saisir à un pupitreur, et tu ne
verrais jamais une machine en vrai. D'ailleurs usenet n'existerait
pas.
Bref, les bibliothécaires, c'est bien, c'est un beau métier, ma
belle-mère le fait très bien, mais ça n'est qu'un métier, pas une
vocation de vestale.
Ce que je veux dire, avant que vous ne me tombiez dessus à bras
raccourcis, c'est que je suis dubitatif en voyant un projet qui
est un peu l'équivalent (dans une toute petite mesure) de la
construction des grands bibliothèques dans l'antiquité, où à la
Renaissance, etc., assuré non pas par des conservateurs, des
bibliothècaires, etc., mais par des techniciens.
Les bibliothèques ont toujours été faite par initiative privée, une
volonté politique d'abord,
et *seulement* gérées par le personnel.
Le métier change, et les bibliothécaires doivent changer avec.
In article <u1x3yiogw.fsf@nospam.com>, SL wrote:
Si vous pensez qu'il n'y a aucun enjeu à ce que l'Europe se dote
du savoir-faire pour ce genre de projet, qui lui seront
nécessaires pour avoir la moindre politique culturelle, mes
arguments vous sembleront effectivement fumeux. De même si vous
pensez qu'il n'y a aucun enjeu en terme de « diversité »
(culturelle, scientifique), à ce que ce mode de diffusion du
savoir, qui risque d'avoir une importance énorme, soit assuré dans
un seul Etat voire par une seule société -- c'est là les dangers
de renforcement de "monopole" culturel à mon avis.
Le problème, c'est de faire et pas de papoter - surtout quand le
bavardage consiste à taper sur ceux qui réussissent là où pour
l'instant on a échoué.
Jeannenay se couvre de ridicule, alors que s'il avait félicité
google pour la qualité de ses outils et proposé une coopération, on
pourrait jouer gagnant-gagnant.
C'est au contraire le meilleur de l'amérique qui se trouve là, pour
le plus mauvais il n'y a pas besoin de regarder plus loin que les
écrans de télé en ce moment.
Je n'y vois pas vraiment le meilleur de l'amérique. Je trouve ça très
symptomatique du phénomène de technologisation de la science : c'est
assez étonnant de voir un projet de type bibiothécaire
Ce n'est pas *seulement* un projet corporatiste de bibliothécaire
qui se fait plaisir sans regarder quels sont les besoins
scientifiques
des utilisateurs. C'est un projet global d'accès illimité à un savoir
exhaustif.
guidé par la partie "technique" de l'affaire, la moins
importante. Les fondateurs de Google ont peut être eu de bonnes
idées pour appliquer la théorie des graphes au ranking des pages
web, mais ça n'en fait pas vraiment des gens qualifiés pour ce
genre de projet.
À ce compte là, si les informaticiens avaient la même attitude, tu
donnerais tes messages usenet à saisir à un pupitreur, et tu ne
verrais jamais une machine en vrai. D'ailleurs usenet n'existerait
pas.
Bref, les bibliothécaires, c'est bien, c'est un beau métier, ma
belle-mère le fait très bien, mais ça n'est qu'un métier, pas une
vocation de vestale.
Ce que je veux dire, avant que vous ne me tombiez dessus à bras
raccourcis, c'est que je suis dubitatif en voyant un projet qui
est un peu l'équivalent (dans une toute petite mesure) de la
construction des grands bibliothèques dans l'antiquité, où à la
Renaissance, etc., assuré non pas par des conservateurs, des
bibliothècaires, etc., mais par des techniciens.
Les bibliothèques ont toujours été faite par initiative privée, une
volonté politique d'abord,
et *seulement* gérées par le personnel.
Le métier change, et les bibliothécaires doivent changer avec.
In article , SL wrote:Si vous pensez qu'il n'y a aucun enjeu à ce que l'Europe se dote
du savoir-faire pour ce genre de projet, qui lui seront
nécessaires pour avoir la moindre politique culturelle, mes
arguments vous sembleront effectivement fumeux. De même si vous
pensez qu'il n'y a aucun enjeu en terme de « diversité »
(culturelle, scientifique), à ce que ce mode de diffusion du
savoir, qui risque d'avoir une importance énorme, soit assuré dans
un seul Etat voire par une seule société -- c'est là les dangers
de renforcement de "monopole" culturel à mon avis.
Le problème, c'est de faire et pas de papoter - surtout quand le
bavardage consiste à taper sur ceux qui réussissent là où pour
l'instant on a échoué.
Jeannenay se couvre de ridicule, alors que s'il avait félicité
google pour la qualité de ses outils et proposé une coopération, on
pourrait jouer gagnant-gagnant.
C'est au contraire le meilleur de l'amérique qui se trouve là, pour
le plus mauvais il n'y a pas besoin de regarder plus loin que les
écrans de télé en ce moment.
Je n'y vois pas vraiment le meilleur de l'amérique. Je trouve ça très
symptomatique du phénomène de technologisation de la science : c'est
assez étonnant de voir un projet de type bibiothécaire
Ce n'est pas *seulement* un projet corporatiste de bibliothécaire
qui se fait plaisir sans regarder quels sont les besoins
scientifiques
des utilisateurs. C'est un projet global d'accès illimité à un savoir
exhaustif.
guidé par la partie "technique" de l'affaire, la moins
importante. Les fondateurs de Google ont peut être eu de bonnes
idées pour appliquer la théorie des graphes au ranking des pages
web, mais ça n'en fait pas vraiment des gens qualifiés pour ce
genre de projet.
À ce compte là, si les informaticiens avaient la même attitude, tu
donnerais tes messages usenet à saisir à un pupitreur, et tu ne
verrais jamais une machine en vrai. D'ailleurs usenet n'existerait
pas.
Bref, les bibliothécaires, c'est bien, c'est un beau métier, ma
belle-mère le fait très bien, mais ça n'est qu'un métier, pas une
vocation de vestale.
Ce que je veux dire, avant que vous ne me tombiez dessus à bras
raccourcis, c'est que je suis dubitatif en voyant un projet qui
est un peu l'équivalent (dans une toute petite mesure) de la
construction des grands bibliothèques dans l'antiquité, où à la
Renaissance, etc., assuré non pas par des conservateurs, des
bibliothècaires, etc., mais par des techniciens.
Les bibliothèques ont toujours été faite par initiative privée, une
volonté politique d'abord,
et *seulement* gérées par le personnel.
Le métier change, et les bibliothécaires doivent changer avec.
C'est ce que la BNF fait, depuis longtemps et avec un gros
investissement, dans le projet Gallica :
Gallica propose un accès à 70 000 ouvrages numérisés, à plus de
80
000 images et à plusieurs dizaines d'heures de ressources
sonores. Cet ensemble constitue l'une des plus importantes
bibliothèques numériques accessibles gratuitement sur l'Internet.
[...]
<http://gallica.bnf.fr/>
desole je ne connais pas l'existence ce site
c'est une veritable mine d'or
et accessoirement quel est le meilleur ocr sous gpl
ou telechargeable gratuitement je ne suis pas sectaire
C'est ce que la BNF fait, depuis longtemps et avec un gros
investissement, dans le projet Gallica :
Gallica propose un accès à 70 000 ouvrages numérisés, à plus de
80
000 images et à plusieurs dizaines d'heures de ressources
sonores. Cet ensemble constitue l'une des plus importantes
bibliothèques numériques accessibles gratuitement sur l'Internet.
[...]
<http://gallica.bnf.fr/>
desole je ne connais pas l'existence ce site
c'est une veritable mine d'or
et accessoirement quel est le meilleur ocr sous gpl
ou telechargeable gratuitement je ne suis pas sectaire
C'est ce que la BNF fait, depuis longtemps et avec un gros
investissement, dans le projet Gallica :
Gallica propose un accès à 70 000 ouvrages numérisés, à plus de
80
000 images et à plusieurs dizaines d'heures de ressources
sonores. Cet ensemble constitue l'une des plus importantes
bibliothèques numériques accessibles gratuitement sur l'Internet.
[...]
<http://gallica.bnf.fr/>
desole je ne connais pas l'existence ce site
c'est une veritable mine d'or
et accessoirement quel est le meilleur ocr sous gpl
ou telechargeable gratuitement je ne suis pas sectaire
Si ; bibliothécaire ne voulait pas dire « qui se fait plaisir sans
regarder quels sont les besoins scientifiques », ça veut juste dire :
qui relève du métier de la constitution de collections et de la mise à
disposition d'ouvrages.des utilisateurs. C'est un projet global d'accès illimité à un savoir
exhaustif.
« Global », « illimité », « exhaustif »... C'est très naïf.
Je ne vais
pas reprendre exactement le débat ci-dessus sur Wikipedia, mais c'est
à peu près la même chose : ce gigantisme ne fait fait pas la place à
une réflexion -- de laquelle les bibliothéquaires au sens très large,
dont c'est le métier, sont spécialistes -- sur la question de la
représentativité, de la sélection des ouvrages à numériser, etc.
Ce gigantisme aveugle, sans évaluation, sans réflexivité, sans retour
critique sur les biais introduit par la sélection (car évidemment «
tout » n'est jamais numérisé ; au contraire « tout » numériser est la
meilleure manière d'introduire des biais) est anti-scientifique.
guidé par la partie "technique" de l'affaire, la moins
importante. Les fondateurs de Google ont peut être eu de bonnes
idées pour appliquer la théorie des graphes au ranking des pages
web, mais ça n'en fait pas vraiment des gens qualifiés pour ce
genre de projet.
À ce compte là, si les informaticiens avaient la même attitude, tu
donnerais tes messages usenet à saisir à un pupitreur, et tu ne
verrais jamais une machine en vrai. D'ailleurs usenet n'existerait
pas.
Non, je ne vois pas le rapport. Les informaticiens font avancer les
technologies informatiques indépendemment de projet comme celui-ci. Je
ne comprends pas ce que vous voulez dire.
La constitution d'une bibliothèque est un travail pour lequel des
spécialistes existent. je ne vois pas le problème.
Je devrais parler
de conservateur plutôt que de bibliothécaire peut-être ? Mais c'est un
métier pour lequel il existe de solide formation, comme l'Ecole des
Chartes pour la plus sélective d'entre elle. Allez peut être faire un
tour sur leur site pour mesurer le "gigantisme" de la tradition
intellectuelle et scientifique qu'il y a derrière ça.
Les bibliothèques ont toujours été faite par initiative privée, une
volonté politique d'abord,
? C'est l'un ou c'est l'autre alors ? Vous dites privé puis volonté politique.
??? Ne croyez pas que google feront beaucoup changer notre
environnement culturel, nos besoins, ou la spécialisation des
métiers...
Si ; bibliothécaire ne voulait pas dire « qui se fait plaisir sans
regarder quels sont les besoins scientifiques », ça veut juste dire :
qui relève du métier de la constitution de collections et de la mise à
disposition d'ouvrages.
des utilisateurs. C'est un projet global d'accès illimité à un savoir
exhaustif.
« Global », « illimité », « exhaustif »... C'est très naïf.
Je ne vais
pas reprendre exactement le débat ci-dessus sur Wikipedia, mais c'est
à peu près la même chose : ce gigantisme ne fait fait pas la place à
une réflexion -- de laquelle les bibliothéquaires au sens très large,
dont c'est le métier, sont spécialistes -- sur la question de la
représentativité, de la sélection des ouvrages à numériser, etc.
Ce gigantisme aveugle, sans évaluation, sans réflexivité, sans retour
critique sur les biais introduit par la sélection (car évidemment «
tout » n'est jamais numérisé ; au contraire « tout » numériser est la
meilleure manière d'introduire des biais) est anti-scientifique.
guidé par la partie "technique" de l'affaire, la moins
importante. Les fondateurs de Google ont peut être eu de bonnes
idées pour appliquer la théorie des graphes au ranking des pages
web, mais ça n'en fait pas vraiment des gens qualifiés pour ce
genre de projet.
À ce compte là, si les informaticiens avaient la même attitude, tu
donnerais tes messages usenet à saisir à un pupitreur, et tu ne
verrais jamais une machine en vrai. D'ailleurs usenet n'existerait
pas.
Non, je ne vois pas le rapport. Les informaticiens font avancer les
technologies informatiques indépendemment de projet comme celui-ci. Je
ne comprends pas ce que vous voulez dire.
La constitution d'une bibliothèque est un travail pour lequel des
spécialistes existent. je ne vois pas le problème.
Je devrais parler
de conservateur plutôt que de bibliothécaire peut-être ? Mais c'est un
métier pour lequel il existe de solide formation, comme l'Ecole des
Chartes pour la plus sélective d'entre elle. Allez peut être faire un
tour sur leur site pour mesurer le "gigantisme" de la tradition
intellectuelle et scientifique qu'il y a derrière ça.
Les bibliothèques ont toujours été faite par initiative privée, une
volonté politique d'abord,
? C'est l'un ou c'est l'autre alors ? Vous dites privé puis volonté politique.
??? Ne croyez pas que google feront beaucoup changer notre
environnement culturel, nos besoins, ou la spécialisation des
métiers...
Si ; bibliothécaire ne voulait pas dire « qui se fait plaisir sans
regarder quels sont les besoins scientifiques », ça veut juste dire :
qui relève du métier de la constitution de collections et de la mise à
disposition d'ouvrages.des utilisateurs. C'est un projet global d'accès illimité à un savoir
exhaustif.
« Global », « illimité », « exhaustif »... C'est très naïf.
Je ne vais
pas reprendre exactement le débat ci-dessus sur Wikipedia, mais c'est
à peu près la même chose : ce gigantisme ne fait fait pas la place à
une réflexion -- de laquelle les bibliothéquaires au sens très large,
dont c'est le métier, sont spécialistes -- sur la question de la
représentativité, de la sélection des ouvrages à numériser, etc.
Ce gigantisme aveugle, sans évaluation, sans réflexivité, sans retour
critique sur les biais introduit par la sélection (car évidemment «
tout » n'est jamais numérisé ; au contraire « tout » numériser est la
meilleure manière d'introduire des biais) est anti-scientifique.
guidé par la partie "technique" de l'affaire, la moins
importante. Les fondateurs de Google ont peut être eu de bonnes
idées pour appliquer la théorie des graphes au ranking des pages
web, mais ça n'en fait pas vraiment des gens qualifiés pour ce
genre de projet.
À ce compte là, si les informaticiens avaient la même attitude, tu
donnerais tes messages usenet à saisir à un pupitreur, et tu ne
verrais jamais une machine en vrai. D'ailleurs usenet n'existerait
pas.
Non, je ne vois pas le rapport. Les informaticiens font avancer les
technologies informatiques indépendemment de projet comme celui-ci. Je
ne comprends pas ce que vous voulez dire.
La constitution d'une bibliothèque est un travail pour lequel des
spécialistes existent. je ne vois pas le problème.
Je devrais parler
de conservateur plutôt que de bibliothécaire peut-être ? Mais c'est un
métier pour lequel il existe de solide formation, comme l'Ecole des
Chartes pour la plus sélective d'entre elle. Allez peut être faire un
tour sur leur site pour mesurer le "gigantisme" de la tradition
intellectuelle et scientifique qu'il y a derrière ça.
Les bibliothèques ont toujours été faite par initiative privée, une
volonté politique d'abord,
? C'est l'un ou c'est l'autre alors ? Vous dites privé puis volonté politique.
??? Ne croyez pas que google feront beaucoup changer notre
environnement culturel, nos besoins, ou la spécialisation des
métiers...
Si vous pensez qu'il n'y a aucun enjeu à ce que l'Europe se dote du
savoir-faire pour ce genre de projet, qui lui seront nécessaires pour
avoir la moindre politique culturelle, mes arguments vous sembleront
effectivement fumeux. De même si vous pensez qu'il n'y a aucun enjeu
en terme de « diversité » (culturelle, scientifique), à ce que ce mode
de diffusion du savoir, qui risque d'avoir une importance énorme, soit
assuré dans un seul Etat voire par une seule société -- c'est là les
dangers de renforcement de "monopole" culturel à mon avis.
Je n'y vois pas vraiment le meilleur de l'amérique. Je trouve ça très
symptomatique du phénomène de technologisation de la science : c'est
assez étonnant de voir un projet de type bibiothécaire guidé par la
partie "technique" de l'affaire, la moins importante. Les fondateurs
de Google ont peut être eu de bonnes idées pour appliquer la théorie
des graphes au ranking des pages web, mais ça n'en fait pas vraiment
des gens qualifiés pour ce genre de projet.
Si vous pensez qu'il n'y a aucun enjeu à ce que l'Europe se dote du
savoir-faire pour ce genre de projet, qui lui seront nécessaires pour
avoir la moindre politique culturelle, mes arguments vous sembleront
effectivement fumeux. De même si vous pensez qu'il n'y a aucun enjeu
en terme de « diversité » (culturelle, scientifique), à ce que ce mode
de diffusion du savoir, qui risque d'avoir une importance énorme, soit
assuré dans un seul Etat voire par une seule société -- c'est là les
dangers de renforcement de "monopole" culturel à mon avis.
Je n'y vois pas vraiment le meilleur de l'amérique. Je trouve ça très
symptomatique du phénomène de technologisation de la science : c'est
assez étonnant de voir un projet de type bibiothécaire guidé par la
partie "technique" de l'affaire, la moins importante. Les fondateurs
de Google ont peut être eu de bonnes idées pour appliquer la théorie
des graphes au ranking des pages web, mais ça n'en fait pas vraiment
des gens qualifiés pour ce genre de projet.
Si vous pensez qu'il n'y a aucun enjeu à ce que l'Europe se dote du
savoir-faire pour ce genre de projet, qui lui seront nécessaires pour
avoir la moindre politique culturelle, mes arguments vous sembleront
effectivement fumeux. De même si vous pensez qu'il n'y a aucun enjeu
en terme de « diversité » (culturelle, scientifique), à ce que ce mode
de diffusion du savoir, qui risque d'avoir une importance énorme, soit
assuré dans un seul Etat voire par une seule société -- c'est là les
dangers de renforcement de "monopole" culturel à mon avis.
Je n'y vois pas vraiment le meilleur de l'amérique. Je trouve ça très
symptomatique du phénomène de technologisation de la science : c'est
assez étonnant de voir un projet de type bibiothécaire guidé par la
partie "technique" de l'affaire, la moins importante. Les fondateurs
de Google ont peut être eu de bonnes idées pour appliquer la théorie
des graphes au ranking des pages web, mais ça n'en fait pas vraiment
des gens qualifiés pour ce genre de projet.
Ce qui n'existera pas sur Google n'existera plus, tout court.
C'est exactement le danger. C'est le pendant exacte de la destruction
de la bio-diversité : ici une seule société a un effet de
"discrimination" extrêment puissant entre ce qui continuera
'd'exister', en rentrant dans sa base, et ce qui du fait de son
exclusion, aura une existence scientifique ou culturelle
extraordinairement affaiblie.
C'est pour ça que la mise en concurrence de différents projets de ce
type est une nécessité scientifique amha.
Ce qui n'existera pas sur Google n'existera plus, tout court.
C'est exactement le danger. C'est le pendant exacte de la destruction
de la bio-diversité : ici une seule société a un effet de
"discrimination" extrêment puissant entre ce qui continuera
'd'exister', en rentrant dans sa base, et ce qui du fait de son
exclusion, aura une existence scientifique ou culturelle
extraordinairement affaiblie.
C'est pour ça que la mise en concurrence de différents projets de ce
type est une nécessité scientifique amha.
Ce qui n'existera pas sur Google n'existera plus, tout court.
C'est exactement le danger. C'est le pendant exacte de la destruction
de la bio-diversité : ici une seule société a un effet de
"discrimination" extrêment puissant entre ce qui continuera
'd'exister', en rentrant dans sa base, et ce qui du fait de son
exclusion, aura une existence scientifique ou culturelle
extraordinairement affaiblie.
C'est pour ça que la mise en concurrence de différents projets de ce
type est une nécessité scientifique amha.
et accessoirement quel est le meilleur ocr sous gpl
ou telechargeable gratuitement je ne suis pas sectaire
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