Tardigradus wrote:
> A titre personnel, j'ai du mal à voir en quoi on pourrait voir comme un
> progrès le fait de payer des femmes réduites à utiliser leur corps pour
> survivre au profit de couples dont le seul malheur est de ne pas pouvoir
> avoir d'enfant, ce qui est bien triste mais bon faut pas exagérer non
> plus.
Quelques pistes pour ta réflexion :
1/ le *principe* de la GPA n'implique pas automatiquement une
transaction financière : dans la grande majorité des pays du monde le
don d'organe est lié à une telle transaction, PAS en France, à titre de
comparaison. Et dans un grand nombre de témoignages (reportages
télévisés, films...) la motivation première déclarée (?) des porteuses
est soit du bonheur d'être enceinte, soit du bonheur d'offrir une
possibilité de maternité à des gens qui en sont privés.
2/ si on se met à considérer la monétisation des corps et son caractère
éthiquement discutable, on peut appeler tout Zola à la rescousse,
invoquer la prostitution, les harems et l'esclavage, les ateliers qui
fabriquent nos fringues au Bengladesh ou dans un sous-sol de banlieue
(qui devraient nous obliger, "moralement", à circuler à poil ou à filer
la laine à la mode de Gandhi ou Lanza del Vasto...).
3/ note d'ailleurs que dans l'esclavage, il n'y a plus de transaction
financière directe ! :-(
4/ à la base il s'agit de restaurer (ou d'instaurer) une liberté d'agir
ou une liberté de choix. Elle pourrait être encadrée (éthiquement) mais
il s'agit quand même d'une liberté. A contrario, l'interdiction (et son
accompagnement : la répression) sonne différemment et un indice évident
de la tonalité politique que ça prend est de considérer ceux qui
marchent "contre". À la différence d'autres thèmes qui pourraient être
partagés par certains partis de gauche, ici c'est un peu monovalent
"conservateur" ou "réactionnaire". Ça peut questionner.
hth,
Tardigradus <patrick.K1600GTLcazaux@cadratin.fr.invalid> wrote:
> A titre personnel, j'ai du mal à voir en quoi on pourrait voir comme un
> progrès le fait de payer des femmes réduites à utiliser leur corps pour
> survivre au profit de couples dont le seul malheur est de ne pas pouvoir
> avoir d'enfant, ce qui est bien triste mais bon faut pas exagérer non
> plus.
Quelques pistes pour ta réflexion :
1/ le *principe* de la GPA n'implique pas automatiquement une
transaction financière : dans la grande majorité des pays du monde le
don d'organe est lié à une telle transaction, PAS en France, à titre de
comparaison. Et dans un grand nombre de témoignages (reportages
télévisés, films...) la motivation première déclarée (?) des porteuses
est soit du bonheur d'être enceinte, soit du bonheur d'offrir une
possibilité de maternité à des gens qui en sont privés.
2/ si on se met à considérer la monétisation des corps et son caractère
éthiquement discutable, on peut appeler tout Zola à la rescousse,
invoquer la prostitution, les harems et l'esclavage, les ateliers qui
fabriquent nos fringues au Bengladesh ou dans un sous-sol de banlieue
(qui devraient nous obliger, "moralement", à circuler à poil ou à filer
la laine à la mode de Gandhi ou Lanza del Vasto...).
3/ note d'ailleurs que dans l'esclavage, il n'y a plus de transaction
financière directe ! :-(
4/ à la base il s'agit de restaurer (ou d'instaurer) une liberté d'agir
ou une liberté de choix. Elle pourrait être encadrée (éthiquement) mais
il s'agit quand même d'une liberté. A contrario, l'interdiction (et son
accompagnement : la répression) sonne différemment et un indice évident
de la tonalité politique que ça prend est de considérer ceux qui
marchent "contre". À la différence d'autres thèmes qui pourraient être
partagés par certains partis de gauche, ici c'est un peu monovalent
"conservateur" ou "réactionnaire". Ça peut questionner.
hth,
Tardigradus wrote:
> A titre personnel, j'ai du mal à voir en quoi on pourrait voir comme un
> progrès le fait de payer des femmes réduites à utiliser leur corps pour
> survivre au profit de couples dont le seul malheur est de ne pas pouvoir
> avoir d'enfant, ce qui est bien triste mais bon faut pas exagérer non
> plus.
Quelques pistes pour ta réflexion :
1/ le *principe* de la GPA n'implique pas automatiquement une
transaction financière : dans la grande majorité des pays du monde le
don d'organe est lié à une telle transaction, PAS en France, à titre de
comparaison. Et dans un grand nombre de témoignages (reportages
télévisés, films...) la motivation première déclarée (?) des porteuses
est soit du bonheur d'être enceinte, soit du bonheur d'offrir une
possibilité de maternité à des gens qui en sont privés.
2/ si on se met à considérer la monétisation des corps et son caractère
éthiquement discutable, on peut appeler tout Zola à la rescousse,
invoquer la prostitution, les harems et l'esclavage, les ateliers qui
fabriquent nos fringues au Bengladesh ou dans un sous-sol de banlieue
(qui devraient nous obliger, "moralement", à circuler à poil ou à filer
la laine à la mode de Gandhi ou Lanza del Vasto...).
3/ note d'ailleurs que dans l'esclavage, il n'y a plus de transaction
financière directe ! :-(
4/ à la base il s'agit de restaurer (ou d'instaurer) une liberté d'agir
ou une liberté de choix. Elle pourrait être encadrée (éthiquement) mais
il s'agit quand même d'une liberté. A contrario, l'interdiction (et son
accompagnement : la répression) sonne différemment et un indice évident
de la tonalité politique que ça prend est de considérer ceux qui
marchent "contre". À la différence d'autres thèmes qui pourraient être
partagés par certains partis de gauche, ici c'est un peu monovalent
"conservateur" ou "réactionnaire". Ça peut questionner.
hth,
> Il y a des pédophiles socialistes, et pourtant on leur laisse gouverner le
> pays parce qu'ils sont anticléricaux et islamophobes.
C'est une accusation grave et infondée si tu ne l'étayes pas par des sources
de condamnation.
> Il y a des pédophiles socialistes, et pourtant on leur laisse gouverner le
> pays parce qu'ils sont anticléricaux et islamophobes.
C'est une accusation grave et infondée si tu ne l'étayes pas par des sources
de condamnation.
> Il y a des pédophiles socialistes, et pourtant on leur laisse gouverner le
> pays parce qu'ils sont anticléricaux et islamophobes.
C'est une accusation grave et infondée si tu ne l'étayes pas par des sources
de condamnation.
> Et, par parenthèse, on ne rappellera jamais assez qu'il y a une assez forte
> corrélation entre adoption et divorce. Je demande à voir pour la GPA. Ce qui
> rend débile la procédure d'adoption "par couple", on devrait faire deux
> adoptions, une par individu, avec deux dossiers.
Oui, ça serait pas mal.
En fait les adoptants devraient plus être comme des parrain/marraine à
l'ancienne :-D
> Et, par parenthèse, on ne rappellera jamais assez qu'il y a une assez forte
> corrélation entre adoption et divorce. Je demande à voir pour la GPA. Ce qui
> rend débile la procédure d'adoption "par couple", on devrait faire deux
> adoptions, une par individu, avec deux dossiers.
Oui, ça serait pas mal.
En fait les adoptants devraient plus être comme des parrain/marraine à
l'ancienne :-D
> Et, par parenthèse, on ne rappellera jamais assez qu'il y a une assez forte
> corrélation entre adoption et divorce. Je demande à voir pour la GPA. Ce qui
> rend débile la procédure d'adoption "par couple", on devrait faire deux
> adoptions, une par individu, avec deux dossiers.
Oui, ça serait pas mal.
En fait les adoptants devraient plus être comme des parrain/marraine à
l'ancienne :-D
Cl.Massé wrote:Ah oui, comme les insultes de Taubira.
Taubira est l'honneur de la politique, on devrait lui dresser une
statue.
Cl.Massé <contact@nospam.invalid> wrote:
Ah oui, comme les insultes de Taubira.
Taubira est l'honneur de la politique, on devrait lui dresser une
statue.
Cl.Massé wrote:Ah oui, comme les insultes de Taubira.
Taubira est l'honneur de la politique, on devrait lui dresser une
statue.
Quelques pistes pour ta réflexion :
1/ le *principe* de la GPA n'implique pas automatiquement une transaction
financière : dans la grande majorité des pays du monde le don d'organe est lié
à une telle transaction, PAS en France, à titre de comparaison. Et dans un
grand nombre de témoignages (reportages télévisés, films...) la motivation
première déclarée (?) des porteuses est soit du bonheur d'être enceinte, soit
du bonheur d'offrir une possibilité de maternité à des gens qui en sont
privés.
2/ si on se met à considérer la monétisation des corps et son caractère
éthiquement discutable, on peut appeler tout Zola à la rescousse, invoquer la
prostitution, les harems et l'esclavage, les ateliers qui fabriquent nos
fringues au Bengladesh ou dans un sous-sol de banlieue (qui devraient nous
obliger, "moralement", à circuler à poil ou à filer la laine à la mode de
Gandhi ou Lanza del Vasto...).
3/ note d'ailleurs que dans l'esclavage, il n'y a plus de transaction
financière directe ! :-(
4/ à la base il s'agit de restaurer (ou d'instaurer) une liberté d'agir ou une
liberté de choix. Elle pourrait être encadrée (éthiquement) mais il s'agit
quand même d'une liberté. A contrario, l'interdiction (et son accompagnement :
la répression) sonne différemment et un indice évident de la tonalité
politique que ça prend est de considérer ceux qui marchent "contre". À la
différence d'autres thèmes qui pourraient être partagés par certains partis de
gauche, ici c'est un peu monovalent "conservateur" ou "réactionnaire". Ça peut
questionner.
Quelques pistes pour ta réflexion :
1/ le *principe* de la GPA n'implique pas automatiquement une transaction
financière : dans la grande majorité des pays du monde le don d'organe est lié
à une telle transaction, PAS en France, à titre de comparaison. Et dans un
grand nombre de témoignages (reportages télévisés, films...) la motivation
première déclarée (?) des porteuses est soit du bonheur d'être enceinte, soit
du bonheur d'offrir une possibilité de maternité à des gens qui en sont
privés.
2/ si on se met à considérer la monétisation des corps et son caractère
éthiquement discutable, on peut appeler tout Zola à la rescousse, invoquer la
prostitution, les harems et l'esclavage, les ateliers qui fabriquent nos
fringues au Bengladesh ou dans un sous-sol de banlieue (qui devraient nous
obliger, "moralement", à circuler à poil ou à filer la laine à la mode de
Gandhi ou Lanza del Vasto...).
3/ note d'ailleurs que dans l'esclavage, il n'y a plus de transaction
financière directe ! :-(
4/ à la base il s'agit de restaurer (ou d'instaurer) une liberté d'agir ou une
liberté de choix. Elle pourrait être encadrée (éthiquement) mais il s'agit
quand même d'une liberté. A contrario, l'interdiction (et son accompagnement :
la répression) sonne différemment et un indice évident de la tonalité
politique que ça prend est de considérer ceux qui marchent "contre". À la
différence d'autres thèmes qui pourraient être partagés par certains partis de
gauche, ici c'est un peu monovalent "conservateur" ou "réactionnaire". Ça peut
questionner.
Quelques pistes pour ta réflexion :
1/ le *principe* de la GPA n'implique pas automatiquement une transaction
financière : dans la grande majorité des pays du monde le don d'organe est lié
à une telle transaction, PAS en France, à titre de comparaison. Et dans un
grand nombre de témoignages (reportages télévisés, films...) la motivation
première déclarée (?) des porteuses est soit du bonheur d'être enceinte, soit
du bonheur d'offrir une possibilité de maternité à des gens qui en sont
privés.
2/ si on se met à considérer la monétisation des corps et son caractère
éthiquement discutable, on peut appeler tout Zola à la rescousse, invoquer la
prostitution, les harems et l'esclavage, les ateliers qui fabriquent nos
fringues au Bengladesh ou dans un sous-sol de banlieue (qui devraient nous
obliger, "moralement", à circuler à poil ou à filer la laine à la mode de
Gandhi ou Lanza del Vasto...).
3/ note d'ailleurs que dans l'esclavage, il n'y a plus de transaction
financière directe ! :-(
4/ à la base il s'agit de restaurer (ou d'instaurer) une liberté d'agir ou une
liberté de choix. Elle pourrait être encadrée (éthiquement) mais il s'agit
quand même d'une liberté. A contrario, l'interdiction (et son accompagnement :
la répression) sonne différemment et un indice évident de la tonalité
politique que ça prend est de considérer ceux qui marchent "contre". À la
différence d'autres thèmes qui pourraient être partagés par certains partis de
gauche, ici c'est un peu monovalent "conservateur" ou "réactionnaire". Ça peut
questionner.
jr a formulé ce dimanche :L'adoption plénière est aussi un fantasme de cellule familiale bourgeoise >
paman-mapa-bébé-monchien. Pourquoi s'emmerder à vouloir effacer toute
trace > d'une filiation antérieure (jusqu'à la fiction d'une date de
naissance, > parfois), ce qui a pour conséquence première que plein de
gosses restent sur > le carreau, n'ayant pas la chance d'être orphelins?
Je vous renvoie aux art 343 et suiv du code civil :
1/ L'adoption plénière peut être demandée par une personne seule âgée
d'au moins 28 ans (343-1)
2/ Les adoptés ne sont pas forcément orphelins.
3/ Changer son nom, cad intégrer l'adopté sans restriction dans
sa nouvelle famille, lui ouvre les mêmes droits successoraux
qu'un enfant biologique.
Sinon dans la France des villages d'antan, il était courant qu'un gamin
vive plus de la moitié du temps chez ses grands-parents, voire chez
des oncles et tantes en ville quand il faisait des études...
On ne signait aucun papier, le troc généralement de services tenait lieu
de pension, jusqu'à ce que les bourges citadins soixante huitards
viennent nous enseigner combien les familles étaient haïssables.
jr a formulé ce dimanche :
L'adoption plénière est aussi un fantasme de cellule familiale bourgeoise >
paman-mapa-bébé-monchien. Pourquoi s'emmerder à vouloir effacer toute
trace > d'une filiation antérieure (jusqu'à la fiction d'une date de
naissance, > parfois), ce qui a pour conséquence première que plein de
gosses restent sur > le carreau, n'ayant pas la chance d'être orphelins?
Je vous renvoie aux art 343 et suiv du code civil :
1/ L'adoption plénière peut être demandée par une personne seule âgée
d'au moins 28 ans (343-1)
2/ Les adoptés ne sont pas forcément orphelins.
3/ Changer son nom, cad intégrer l'adopté sans restriction dans
sa nouvelle famille, lui ouvre les mêmes droits successoraux
qu'un enfant biologique.
Sinon dans la France des villages d'antan, il était courant qu'un gamin
vive plus de la moitié du temps chez ses grands-parents, voire chez
des oncles et tantes en ville quand il faisait des études...
On ne signait aucun papier, le troc généralement de services tenait lieu
de pension, jusqu'à ce que les bourges citadins soixante huitards
viennent nous enseigner combien les familles étaient haïssables.
jr a formulé ce dimanche :L'adoption plénière est aussi un fantasme de cellule familiale bourgeoise >
paman-mapa-bébé-monchien. Pourquoi s'emmerder à vouloir effacer toute
trace > d'une filiation antérieure (jusqu'à la fiction d'une date de
naissance, > parfois), ce qui a pour conséquence première que plein de
gosses restent sur > le carreau, n'ayant pas la chance d'être orphelins?
Je vous renvoie aux art 343 et suiv du code civil :
1/ L'adoption plénière peut être demandée par une personne seule âgée
d'au moins 28 ans (343-1)
2/ Les adoptés ne sont pas forcément orphelins.
3/ Changer son nom, cad intégrer l'adopté sans restriction dans
sa nouvelle famille, lui ouvre les mêmes droits successoraux
qu'un enfant biologique.
Sinon dans la France des villages d'antan, il était courant qu'un gamin
vive plus de la moitié du temps chez ses grands-parents, voire chez
des oncles et tantes en ville quand il faisait des études...
On ne signait aucun papier, le troc généralement de services tenait lieu
de pension, jusqu'à ce que les bourges citadins soixante huitards
viennent nous enseigner combien les familles étaient haïssables.
Si, c'est non seulement spécifiquement féminin mais ça ne concerne que les
femmes fertiles et souhaitant avoir un ou des enfants.
Si, c'est non seulement spécifiquement féminin mais ça ne concerne que les
femmes fertiles et souhaitant avoir un ou des enfants.
Si, c'est non seulement spécifiquement féminin mais ça ne concerne que les
femmes fertiles et souhaitant avoir un ou des enfants.
J'aime bien votre réponse :-)
J'aime bien votre réponse :-)
J'aime bien votre réponse :-)
De fait une de mes filles a fait un don d'ovocytes à ma grande surprise, vu
l'absence de militantisme. C'est plutôt chiant à faire et complètement
gratuit, on est bien obligé de voir que c'est altruiste.
De fait une de mes filles a fait un don d'ovocytes à ma grande surprise, vu
l'absence de militantisme. C'est plutôt chiant à faire et complètement
gratuit, on est bien obligé de voir que c'est altruiste.
De fait une de mes filles a fait un don d'ovocytes à ma grande surprise, vu
l'absence de militantisme. C'est plutôt chiant à faire et complètement
gratuit, on est bien obligé de voir que c'est altruiste.
a écrit dans le message de groupe de discussion : mdh890$rpq$Encore une loi qui ne concerne que les femmes et qui serait écrite par un
homme et votée majoritairement par des hommes, ou proposée par une femme qui
se retrouverait au perchoir sous les insultes des parlementaires et traitée de
nazie ?
Ah oui, comme les insultes de Taubira.
Non Monsieur, aujourd'hui les femmes ont
le droit de vote. Si vraiment ce sont des démocrates, et bien sûr s'ils en
ont*, vu l'ampleur de la contestation qu'ils fassent un référendum, car cette
argutie est vraiment minable.
-- ~~~~ clmasse chez libre Hexagone
Liberté, Egalité, Sale assisté.
a écrit dans le message de groupe de discussion : mdh890$rpq$1@dont-email.me...
Encore une loi qui ne concerne que les femmes et qui serait écrite par un
homme et votée majoritairement par des hommes, ou proposée par une femme qui
se retrouverait au perchoir sous les insultes des parlementaires et traitée de
nazie ?
Ah oui, comme les insultes de Taubira.
Non Monsieur, aujourd'hui les femmes ont
le droit de vote. Si vraiment ce sont des démocrates, et bien sûr s'ils en
ont*, vu l'ampleur de la contestation qu'ils fassent un référendum, car cette
argutie est vraiment minable.
-- ~~~~ clmasse chez libre Hexagone
Liberté, Egalité, Sale assisté.
a écrit dans le message de groupe de discussion : mdh890$rpq$Encore une loi qui ne concerne que les femmes et qui serait écrite par un
homme et votée majoritairement par des hommes, ou proposée par une femme qui
se retrouverait au perchoir sous les insultes des parlementaires et traitée de
nazie ?
Ah oui, comme les insultes de Taubira.
Non Monsieur, aujourd'hui les femmes ont
le droit de vote. Si vraiment ce sont des démocrates, et bien sûr s'ils en
ont*, vu l'ampleur de la contestation qu'ils fassent un référendum, car cette
argutie est vraiment minable.
-- ~~~~ clmasse chez libre Hexagone
Liberté, Egalité, Sale assisté.