Dans tous les cas on dérawtise, sinon il n'y a pas d'image.
De toute façon les réglages ne s'appliquent pas au raw, mais sur une image
obtenue à partir du raw.
Par exemple entre ACR 3.7 et ACR 4.x l'algorithme
utilisé pour calculer cette image a changé, ce qui fait qu'avec exactement
le même raw et exactement les mêmes réglages en aval, on obtient pourtant
des résultats différents.
La base c'est toujours un fichier brut, des opérations et une image finale.
Ce qui change c'est simplement l'ergonomie avec des traitements à la volée.
Dans tous les cas on dérawtise, sinon il n'y a pas d'image.
De toute façon les réglages ne s'appliquent pas au raw, mais sur une image
obtenue à partir du raw.
Par exemple entre ACR 3.7 et ACR 4.x l'algorithme
utilisé pour calculer cette image a changé, ce qui fait qu'avec exactement
le même raw et exactement les mêmes réglages en aval, on obtient pourtant
des résultats différents.
La base c'est toujours un fichier brut, des opérations et une image finale.
Ce qui change c'est simplement l'ergonomie avec des traitements à la volée.
Dans tous les cas on dérawtise, sinon il n'y a pas d'image.
De toute façon les réglages ne s'appliquent pas au raw, mais sur une image
obtenue à partir du raw.
Par exemple entre ACR 3.7 et ACR 4.x l'algorithme
utilisé pour calculer cette image a changé, ce qui fait qu'avec exactement
le même raw et exactement les mêmes réglages en aval, on obtient pourtant
des résultats différents.
La base c'est toujours un fichier brut, des opérations et une image finale.
Ce qui change c'est simplement l'ergonomie avec des traitements à la volée.
Hugues a écrit :j'ai juste recherché un derawtiseur, pas un éditeur de
fichiers RAW, et ça me suffit. Tout dépend des besoins de chacun...
Voilà : un photographe s'intéresse au résultat. "Derawtiser" ne l'intéresse
pas. C'est un concept de technicien ou d'informaticien.
En ce qui concerne le
RAW, c'est un peu nouveau et je ne connais pas d'équivalent à ce "format"
Ca tombe bien, ce n'est pas un format !!! C'est juste exploiter les données
brutes du capteur.
Hugues a écrit :
j'ai juste recherché un derawtiseur, pas un éditeur de
fichiers RAW, et ça me suffit. Tout dépend des besoins de chacun...
Voilà : un photographe s'intéresse au résultat. "Derawtiser" ne l'intéresse
pas. C'est un concept de technicien ou d'informaticien.
En ce qui concerne le
RAW, c'est un peu nouveau et je ne connais pas d'équivalent à ce "format"
Ca tombe bien, ce n'est pas un format !!! C'est juste exploiter les données
brutes du capteur.
Hugues a écrit :j'ai juste recherché un derawtiseur, pas un éditeur de
fichiers RAW, et ça me suffit. Tout dépend des besoins de chacun...
Voilà : un photographe s'intéresse au résultat. "Derawtiser" ne l'intéresse
pas. C'est un concept de technicien ou d'informaticien.
En ce qui concerne le
RAW, c'est un peu nouveau et je ne connais pas d'équivalent à ce "format"
Ca tombe bien, ce n'est pas un format !!! C'est juste exploiter les données
brutes du capteur.
Tout ce qu'il n'y a pas dans un raw de petit capteur, j'imagine...
(JPR : le raw sur un petit capteur m'a toujours laissé assez perplexe)
Tout ce qu'il n'y a pas dans un raw de petit capteur, j'imagine...
(JPR : le raw sur un petit capteur m'a toujours laissé assez perplexe)
Tout ce qu'il n'y a pas dans un raw de petit capteur, j'imagine...
(JPR : le raw sur un petit capteur m'a toujours laissé assez perplexe)
C'est jouer avec les mots. Evidemment qu'il faut afficher
quelque chose. Il n'en reste pas moins que dans un cas on
travaille sur les données raw, dans l'autre on passe au jpeg
ou autre format.
C'est jouer avec les mots. Evidemment qu'il faut afficher
quelque chose. Il n'en reste pas moins que dans un cas on
travaille sur les données raw, dans l'autre on passe au jpeg
ou autre format.
C'est jouer avec les mots. Evidemment qu'il faut afficher
quelque chose. Il n'en reste pas moins que dans un cas on
travaille sur les données raw, dans l'autre on passe au jpeg
ou autre format.
Hugues a écrit :Je vois ce que vous voulez dire, mais je ne vois strictement aucune différence
entre dérawtiser et travailler sur des tirages papiers... Vous travaillez
directement sur la pellicule, moi je préfère travailler sur les tirages, je
risque moins de subir les aléas d'une connerie...
La comparaison n'est pas bonne. Dans un tirage, on travaille à partir du
négatif [l'original]. Si on derawtise on passe par un intermédiaire... Fini
l'original.
Donc expliquez-moi en quoi c'est une lubie d'informaticien de vouloir passer
par un derawtiseur avant de passer dans un logiciel de retouche, sachant que
je ne suis pas *obligé* de passer par le logiciel de retouche photo ??
C'est une approche technicienne d'un problème. Quand on ne sait pas (ou ne
peut pas) exploiter des données on les transforme en autre chose. Cette
transformation est une dégradation... Une des bases de la théorie de
l'information...
Le dérawtiseur me convient largement, je travaille mes prises de vue de façon
à ne pas avoir trop de boulot à effectuer après...
Comme déjà dit, chacun fait comme il veut. Je dis seulement qu'il existe
quelque chose de plus rigoureux et efficace.
Vous avez très bien remarqué que je l'ai mis entre guillemets. Ce n'est pas
la peine de me faire passer pour un con...
Ce n'était pas du tout mon but ;-))
Je parlais juste du fait qu'historiquement, je ne connais
aucune autre "extension de fichier" (pour vous faire plaisir) qui regroupe
sous un même drapeau une pléthore de formats de données totalement différents,
ayant cependant un même but final : stocker des images. Le seul exemple que je
connaisse est celui de Word avec son .doc
Oulala... Quand on a "un peu" d'historique en photo numérique on a pu
constater que des solutions complètement bizarroïdes ont existé. Totalement
propriétaires.
Ensuite, le nom de l'extension c'est une pure question
informatique donc, encore une fois, sans pertinence pour le photographe.
Mais on pourrait tres bien imaginer un format "brut d'image", qui serait
standard... C'est parfaitement envisageable en gardant la puissance du
RAW. Mais c'est un autre débat.
Comment avoir un standard dans une technologie qui évolue à grande vitesse ?
Pas mal de gens s'y sont cassés les dents dans divers domaines...
Hugues a écrit :
Je vois ce que vous voulez dire, mais je ne vois strictement aucune différence
entre dérawtiser et travailler sur des tirages papiers... Vous travaillez
directement sur la pellicule, moi je préfère travailler sur les tirages, je
risque moins de subir les aléas d'une connerie...
La comparaison n'est pas bonne. Dans un tirage, on travaille à partir du
négatif [l'original]. Si on derawtise on passe par un intermédiaire... Fini
l'original.
Donc expliquez-moi en quoi c'est une lubie d'informaticien de vouloir passer
par un derawtiseur avant de passer dans un logiciel de retouche, sachant que
je ne suis pas *obligé* de passer par le logiciel de retouche photo ??
C'est une approche technicienne d'un problème. Quand on ne sait pas (ou ne
peut pas) exploiter des données on les transforme en autre chose. Cette
transformation est une dégradation... Une des bases de la théorie de
l'information...
Le dérawtiseur me convient largement, je travaille mes prises de vue de façon
à ne pas avoir trop de boulot à effectuer après...
Comme déjà dit, chacun fait comme il veut. Je dis seulement qu'il existe
quelque chose de plus rigoureux et efficace.
Vous avez très bien remarqué que je l'ai mis entre guillemets. Ce n'est pas
la peine de me faire passer pour un con...
Ce n'était pas du tout mon but ;-))
Je parlais juste du fait qu'historiquement, je ne connais
aucune autre "extension de fichier" (pour vous faire plaisir) qui regroupe
sous un même drapeau une pléthore de formats de données totalement différents,
ayant cependant un même but final : stocker des images. Le seul exemple que je
connaisse est celui de Word avec son .doc
Oulala... Quand on a "un peu" d'historique en photo numérique on a pu
constater que des solutions complètement bizarroïdes ont existé. Totalement
propriétaires.
Ensuite, le nom de l'extension c'est une pure question
informatique donc, encore une fois, sans pertinence pour le photographe.
Mais on pourrait tres bien imaginer un format "brut d'image", qui serait
standard... C'est parfaitement envisageable en gardant la puissance du
RAW. Mais c'est un autre débat.
Comment avoir un standard dans une technologie qui évolue à grande vitesse ?
Pas mal de gens s'y sont cassés les dents dans divers domaines...
Hugues a écrit :Je vois ce que vous voulez dire, mais je ne vois strictement aucune différence
entre dérawtiser et travailler sur des tirages papiers... Vous travaillez
directement sur la pellicule, moi je préfère travailler sur les tirages, je
risque moins de subir les aléas d'une connerie...
La comparaison n'est pas bonne. Dans un tirage, on travaille à partir du
négatif [l'original]. Si on derawtise on passe par un intermédiaire... Fini
l'original.
Donc expliquez-moi en quoi c'est une lubie d'informaticien de vouloir passer
par un derawtiseur avant de passer dans un logiciel de retouche, sachant que
je ne suis pas *obligé* de passer par le logiciel de retouche photo ??
C'est une approche technicienne d'un problème. Quand on ne sait pas (ou ne
peut pas) exploiter des données on les transforme en autre chose. Cette
transformation est une dégradation... Une des bases de la théorie de
l'information...
Le dérawtiseur me convient largement, je travaille mes prises de vue de façon
à ne pas avoir trop de boulot à effectuer après...
Comme déjà dit, chacun fait comme il veut. Je dis seulement qu'il existe
quelque chose de plus rigoureux et efficace.
Vous avez très bien remarqué que je l'ai mis entre guillemets. Ce n'est pas
la peine de me faire passer pour un con...
Ce n'était pas du tout mon but ;-))
Je parlais juste du fait qu'historiquement, je ne connais
aucune autre "extension de fichier" (pour vous faire plaisir) qui regroupe
sous un même drapeau une pléthore de formats de données totalement différents,
ayant cependant un même but final : stocker des images. Le seul exemple que je
connaisse est celui de Word avec son .doc
Oulala... Quand on a "un peu" d'historique en photo numérique on a pu
constater que des solutions complètement bizarroïdes ont existé. Totalement
propriétaires.
Ensuite, le nom de l'extension c'est une pure question
informatique donc, encore une fois, sans pertinence pour le photographe.
Mais on pourrait tres bien imaginer un format "brut d'image", qui serait
standard... C'est parfaitement envisageable en gardant la puissance du
RAW. Mais c'est un autre débat.
Comment avoir un standard dans une technologie qui évolue à grande vitesse ?
Pas mal de gens s'y sont cassés les dents dans divers domaines...
"Hugues" a écrit :Mais on pourrait tres bien imaginer un format "brut d'image",
qui serait standard... C'est parfaitement envisageable en gardant la
puissance du RAW. Mais c'est un autre débat.
Tentative :
http://fr.wikipedia.org/wiki/Format_DNG
"Hugues" a écrit :
Mais on pourrait tres bien imaginer un format "brut d'image",
qui serait standard... C'est parfaitement envisageable en gardant la
puissance du RAW. Mais c'est un autre débat.
Tentative :
http://fr.wikipedia.org/wiki/Format_DNG
"Hugues" a écrit :Mais on pourrait tres bien imaginer un format "brut d'image",
qui serait standard... C'est parfaitement envisageable en gardant la
puissance du RAW. Mais c'est un autre débat.
Tentative :
http://fr.wikipedia.org/wiki/Format_DNG
Ah bon. Moi je sauve au format gif 8 couleurs :-( Allons, tu sais
très bien que ceux qui font ça, sauvegardent en intermédiaire au
format tiff ou tout autre format *sans* perte.
Tiens petite question. J'utilise Lightroom uniquement pour sa fonction
derawtiseur. A la fin de mes manipulations, j'ai une image en mémoire.
Cette image, je la sauve au format tiff. Je ferme LR puis je le
réouvre avec le fichier tiff. Est-ce qu'il y aura une différence entre
l'image en mémoire après l'ouverture du fichier tiff et l'image en
mémoire avant de sauvegarder le fichier tiff ? (je ne parle pas de
fonctionnalité mais uniquement de l'image mémoire).
Dit autrement, une fois que tu as fixé tous tes éléments nécessaires à
la derawtisation (beurk !), est-ce que ce n'est pas équivalent, à
partir de cette étape, à travailler sur un tiff ?
Ah bon. Moi je sauve au format gif 8 couleurs :-( Allons, tu sais
très bien que ceux qui font ça, sauvegardent en intermédiaire au
format tiff ou tout autre format *sans* perte.
Tiens petite question. J'utilise Lightroom uniquement pour sa fonction
derawtiseur. A la fin de mes manipulations, j'ai une image en mémoire.
Cette image, je la sauve au format tiff. Je ferme LR puis je le
réouvre avec le fichier tiff. Est-ce qu'il y aura une différence entre
l'image en mémoire après l'ouverture du fichier tiff et l'image en
mémoire avant de sauvegarder le fichier tiff ? (je ne parle pas de
fonctionnalité mais uniquement de l'image mémoire).
Dit autrement, une fois que tu as fixé tous tes éléments nécessaires à
la derawtisation (beurk !), est-ce que ce n'est pas équivalent, à
partir de cette étape, à travailler sur un tiff ?
Ah bon. Moi je sauve au format gif 8 couleurs :-( Allons, tu sais
très bien que ceux qui font ça, sauvegardent en intermédiaire au
format tiff ou tout autre format *sans* perte.
Tiens petite question. J'utilise Lightroom uniquement pour sa fonction
derawtiseur. A la fin de mes manipulations, j'ai une image en mémoire.
Cette image, je la sauve au format tiff. Je ferme LR puis je le
réouvre avec le fichier tiff. Est-ce qu'il y aura une différence entre
l'image en mémoire après l'ouverture du fichier tiff et l'image en
mémoire avant de sauvegarder le fichier tiff ? (je ne parle pas de
fonctionnalité mais uniquement de l'image mémoire).
Dit autrement, une fois que tu as fixé tous tes éléments nécessaires à
la derawtisation (beurk !), est-ce que ce n'est pas équivalent, à
partir de cette étape, à travailler sur un tiff ?
Dans le cas du RAW, pour mon appareil photo il est en 12 bits / pixel, si je
le transforme en Jpeg sans perte (donc compression quasi nulle) en 24 bits /
pixels, en pratique je ne perds pas grand chose. Je me trompe ?
Dans le cas du RAW, pour mon appareil photo il est en 12 bits / pixel, si je
le transforme en Jpeg sans perte (donc compression quasi nulle) en 24 bits /
pixels, en pratique je ne perds pas grand chose. Je me trompe ?
Dans le cas du RAW, pour mon appareil photo il est en 12 bits / pixel, si je
le transforme en Jpeg sans perte (donc compression quasi nulle) en 24 bits /
pixels, en pratique je ne perds pas grand chose. Je me trompe ?
J'espere pouvoir tomber sur des versions d'évaluation.. Mais en pratique,ca
me saoule de tester des logiciels, aussi bons soient-ils, s'ils ne sont pas en
version complète et s'il faut payer pour avoir cette dernière...
On a bien des standard du web, des standard pour la documentation (docbook),
les images (jpeg, svg, etc..), la musique (wav, midi, mp3, vorbis, ...),
donc pourquoi pas pour la photo numérique ?
J'espere pouvoir tomber sur des versions d'évaluation.. Mais en pratique,ca
me saoule de tester des logiciels, aussi bons soient-ils, s'ils ne sont pas en
version complète et s'il faut payer pour avoir cette dernière...
On a bien des standard du web, des standard pour la documentation (docbook),
les images (jpeg, svg, etc..), la musique (wav, midi, mp3, vorbis, ...),
donc pourquoi pas pour la photo numérique ?
J'espere pouvoir tomber sur des versions d'évaluation.. Mais en pratique,ca
me saoule de tester des logiciels, aussi bons soient-ils, s'ils ne sont pas en
version complète et s'il faut payer pour avoir cette dernière...
On a bien des standard du web, des standard pour la documentation (docbook),
les images (jpeg, svg, etc..), la musique (wav, midi, mp3, vorbis, ...),
donc pourquoi pas pour la photo numérique ?
C'est jouer avec les mots. Evidemment qu'il faut afficher
quelque chose. Il n'en reste pas moins que dans un cas on
travaille sur les données raw, dans l'autre on passe au jpeg
ou autre format.
Dit autrement, une fois que tu as fixé tous tes éléments nécessaires à
la derawtisation (beurk !), est-ce que ce n'est pas équivalent, à
partir de cette étape, à travailler sur un tiff ?
C'est jouer avec les mots. Evidemment qu'il faut afficher
quelque chose. Il n'en reste pas moins que dans un cas on
travaille sur les données raw, dans l'autre on passe au jpeg
ou autre format.
Dit autrement, une fois que tu as fixé tous tes éléments nécessaires à
la derawtisation (beurk !), est-ce que ce n'est pas équivalent, à
partir de cette étape, à travailler sur un tiff ?
C'est jouer avec les mots. Evidemment qu'il faut afficher
quelque chose. Il n'en reste pas moins que dans un cas on
travaille sur les données raw, dans l'autre on passe au jpeg
ou autre format.
Dit autrement, une fois que tu as fixé tous tes éléments nécessaires à
la derawtisation (beurk !), est-ce que ce n'est pas équivalent, à
partir de cette étape, à travailler sur un tiff ?