Je viens de croiser sur Internet un site dedie a Ubuntu U.E, je
constate que la derniere version de U.E. 2.10 est une version de
Intrepid Ibex, c'est a dire une Ubuntu 8.10 a la sauce
plein-de-softs-dedans ; bon, honnetement je ne vois pas d'amelioration
sensible, je voulais juste savoir a quoi cette version U.E sert en fait ?
Bien amicalement,
Regux
--
http://regux.com
Linux, Mac OS X, Windows : Touchez pas à mes potes !
Ben tu demandes des périphériques grand publics qui n'ont pas de driv er pour windows, je t'en trouve!
A+ JF
Il va reformuler la question :
des périphériques grand public qui ont des drivers windows sans drivers windows .....
totof2000
On 21 avr, 17:36, Jerome Lambert wrote:
totof2000 a écrit :
>> Prce que tu trouves plus clair p.ex. les endroits où sont les fichie rs >> de X11 sous Debian stable (pour rester en charte)? >> - les fichiers de configurations sont dans /etc/X11. Pourquoi pas. >> - dans la même logique, les bibliothèques devraient être dans /l ib/X11. >> Perdu, c'est dans /usr/lib/X11
> Ca ne me choque pas ... /bin et /sbin sont censés ne contenir que ce > qui est nécessaire au démarrage de la machine en Single User .... Il > est à noter que sur certains unix /bin et /sbin ne sont que des liens > vers /usr/bin et /usr/sbin (un peu gênant lorsque /usr est sur une > autre partition). Donc les libs sont bien à leur place.
Mais qui de /etc/X11 et /bin/X11? La logique voudrait qu'on mette le tout dans /usr/
>> - et les binaires? Les paris sont ouverts entre /bin/X11 et >> /usr/bin/X11. Et bien ni l'un ni l'autre: /bin/X11 n'existe pas, et >> /usr/bin/X11 n'est qu'un lien symbolique vers /usr/bin/, tout comme >> /usr/X11R6/bin. D'ailleurs un "which startx" me répond bien >> /usr/bin/startx (idem avec xclock ou xterm).
>> Si on avait quelque chose du genre /etc/X11, /bin/X11 et /lib/X11, ou à >> l'inverse /usr/X11/{bin, etc, lib}, là il y aurait logique claire. M ais >> en l'état actuel des choses il n'y en a pas.
> La question est : doit-on considérer X11 comme faisant partie de l'OS > ou comme un package additionnel ?
> Si c'est le cas, les binaires ont bien leur place dans /usr/bin.
Sauf qu'ici ce n'est pas tranché: si X11 fait partie de l'OS, on est dans le premier cas que j'évoque (/{etc, bin, lib}/X11, et si ce n'est pas le cas on est dans le second (/usr/X11/{bin, etc, lib}). Or ici on a un mélange des deux.
Si c'est tranché ...
Il faut différencier "système de base" de "comandes et "libs nécessaires pour pouvoir démarrer l'OS" Les systèmes Linux en sont venu à tout mélager .... Pour ma part je considère que : - ce qui est nécessaire au démarrage doit se trouver sur / /bin / sbin - ce qui fait partie du système de base (c'est à dire ce qui est installé lorsque tu fais une installation minimale) dans /usr (de mémoire sur Unix /usr signifie Unix System Ressources ...) - ce qui fait partie des logiciels/packages supplémentaires dans / usr/local ou /usr/pkg, parfois dans /opt.
On 21 avr, 17:36, Jerome Lambert <jerome.lamb...@swing.be> wrote:
totof2000 a écrit :
>> Prce que tu trouves plus clair p.ex. les endroits où sont les fichie rs
>> de X11 sous Debian stable (pour rester en charte)?
>> - les fichiers de configurations sont dans /etc/X11. Pourquoi pas.
>> - dans la même logique, les bibliothèques devraient être dans /l ib/X11.
>> Perdu, c'est dans /usr/lib/X11
> Ca ne me choque pas ... /bin et /sbin sont censés ne contenir que ce
> qui est nécessaire au démarrage de la machine en Single User .... Il
> est à noter que sur certains unix /bin et /sbin ne sont que des liens
> vers /usr/bin et /usr/sbin (un peu gênant lorsque /usr est sur une
> autre partition). Donc les libs sont bien à leur place.
Mais qui de /etc/X11 et /bin/X11? La logique voudrait qu'on mette le
tout dans /usr/
>> - et les binaires? Les paris sont ouverts entre /bin/X11 et
>> /usr/bin/X11. Et bien ni l'un ni l'autre: /bin/X11 n'existe pas, et
>> /usr/bin/X11 n'est qu'un lien symbolique vers /usr/bin/, tout comme
>> /usr/X11R6/bin. D'ailleurs un "which startx" me répond bien
>> /usr/bin/startx (idem avec xclock ou xterm).
>> Si on avait quelque chose du genre /etc/X11, /bin/X11 et /lib/X11, ou à
>> l'inverse /usr/X11/{bin, etc, lib}, là il y aurait logique claire. M ais
>> en l'état actuel des choses il n'y en a pas.
> La question est : doit-on considérer X11 comme faisant partie de l'OS
> ou comme un package additionnel ?
> Si c'est le cas, les binaires ont bien leur place dans /usr/bin.
Sauf qu'ici ce n'est pas tranché: si X11 fait partie de l'OS, on est
dans le premier cas que j'évoque (/{etc, bin, lib}/X11, et si ce n'est
pas le cas on est dans le second (/usr/X11/{bin, etc, lib}). Or ici on a
un mélange des deux.
Si c'est tranché ...
Il faut différencier "système de base" de "comandes et "libs
nécessaires pour pouvoir démarrer l'OS" Les systèmes Linux en sont
venu à tout mélager .... Pour ma part je considère que :
- ce qui est nécessaire au démarrage doit se trouver sur / /bin /
sbin
- ce qui fait partie du système de base (c'est à dire ce qui est
installé lorsque tu fais une installation minimale) dans /usr (de
mémoire sur Unix /usr signifie Unix System Ressources ...)
- ce qui fait partie des logiciels/packages supplémentaires dans /
usr/local ou /usr/pkg, parfois dans /opt.
>> Prce que tu trouves plus clair p.ex. les endroits où sont les fichie rs >> de X11 sous Debian stable (pour rester en charte)? >> - les fichiers de configurations sont dans /etc/X11. Pourquoi pas. >> - dans la même logique, les bibliothèques devraient être dans /l ib/X11. >> Perdu, c'est dans /usr/lib/X11
> Ca ne me choque pas ... /bin et /sbin sont censés ne contenir que ce > qui est nécessaire au démarrage de la machine en Single User .... Il > est à noter que sur certains unix /bin et /sbin ne sont que des liens > vers /usr/bin et /usr/sbin (un peu gênant lorsque /usr est sur une > autre partition). Donc les libs sont bien à leur place.
Mais qui de /etc/X11 et /bin/X11? La logique voudrait qu'on mette le tout dans /usr/
>> - et les binaires? Les paris sont ouverts entre /bin/X11 et >> /usr/bin/X11. Et bien ni l'un ni l'autre: /bin/X11 n'existe pas, et >> /usr/bin/X11 n'est qu'un lien symbolique vers /usr/bin/, tout comme >> /usr/X11R6/bin. D'ailleurs un "which startx" me répond bien >> /usr/bin/startx (idem avec xclock ou xterm).
>> Si on avait quelque chose du genre /etc/X11, /bin/X11 et /lib/X11, ou à >> l'inverse /usr/X11/{bin, etc, lib}, là il y aurait logique claire. M ais >> en l'état actuel des choses il n'y en a pas.
> La question est : doit-on considérer X11 comme faisant partie de l'OS > ou comme un package additionnel ?
> Si c'est le cas, les binaires ont bien leur place dans /usr/bin.
Sauf qu'ici ce n'est pas tranché: si X11 fait partie de l'OS, on est dans le premier cas que j'évoque (/{etc, bin, lib}/X11, et si ce n'est pas le cas on est dans le second (/usr/X11/{bin, etc, lib}). Or ici on a un mélange des deux.
Si c'est tranché ...
Il faut différencier "système de base" de "comandes et "libs nécessaires pour pouvoir démarrer l'OS" Les systèmes Linux en sont venu à tout mélager .... Pour ma part je considère que : - ce qui est nécessaire au démarrage doit se trouver sur / /bin / sbin - ce qui fait partie du système de base (c'est à dire ce qui est installé lorsque tu fais une installation minimale) dans /usr (de mémoire sur Unix /usr signifie Unix System Ressources ...) - ce qui fait partie des logiciels/packages supplémentaires dans / usr/local ou /usr/pkg, parfois dans /opt.
totof2000
On 21 avr, 18:52, Jerome Lambert wrote:
Cumbalero a écrit :
> Stephane TOUGARD a écrit :
>> Se bouffer du stock jusqu'a son obsolesence, peut etre.
> Si c'est le cas, ils peuvent toujours installer l'OS qu'ils veulent sur > ce stock pour l'écouler. Mais bon, on saura jamais si ça peut se ve ndre > tant que ce sera pas dispo...
C'est clairement vu: si par après il faut installer un Windows dessus pour l'écouler, ce sera au tarif "OEM au détail", soit une centaine d'euros, à comparer à la trentaine demandée pour une pré-installa tion en usine. Donc non seulement on se bouffe du stock, mais en plus on devra l'écouler 70 euros plus cher. Et ça t'étonne que personne ne le fas se?
Euh .. Et installer l'OS sans poser la fameuse étiquette sur le boitier et laisser le soin au vendeur ou a l'acheteur de le faire ? S'il ne veut pas d'OS on lui donne pas l'étiquette !!! C'est d'une simplicité enfantine.
On 21 avr, 18:52, Jerome Lambert <jerome.lamb...@swing.be> wrote:
Cumbalero a écrit :
> Stephane TOUGARD a écrit :
>> Se bouffer du stock jusqu'a son obsolesence, peut etre.
> Si c'est le cas, ils peuvent toujours installer l'OS qu'ils veulent sur
> ce stock pour l'écouler. Mais bon, on saura jamais si ça peut se ve ndre
> tant que ce sera pas dispo...
C'est clairement vu: si par après il faut installer un Windows dessus
pour l'écouler, ce sera au tarif "OEM au détail", soit une centaine
d'euros, à comparer à la trentaine demandée pour une pré-installa tion en
usine.
Donc non seulement on se bouffe du stock, mais en plus on devra
l'écouler 70 euros plus cher. Et ça t'étonne que personne ne le fas se?
Euh .. Et installer l'OS sans poser la fameuse étiquette sur le
boitier et laisser le soin au vendeur ou a l'acheteur de le faire ?
S'il ne veut pas d'OS on lui donne pas l'étiquette !!!
C'est d'une simplicité enfantine.
>> Se bouffer du stock jusqu'a son obsolesence, peut etre.
> Si c'est le cas, ils peuvent toujours installer l'OS qu'ils veulent sur > ce stock pour l'écouler. Mais bon, on saura jamais si ça peut se ve ndre > tant que ce sera pas dispo...
C'est clairement vu: si par après il faut installer un Windows dessus pour l'écouler, ce sera au tarif "OEM au détail", soit une centaine d'euros, à comparer à la trentaine demandée pour une pré-installa tion en usine. Donc non seulement on se bouffe du stock, mais en plus on devra l'écouler 70 euros plus cher. Et ça t'étonne que personne ne le fas se?
Euh .. Et installer l'OS sans poser la fameuse étiquette sur le boitier et laisser le soin au vendeur ou a l'acheteur de le faire ? S'il ne veut pas d'OS on lui donne pas l'étiquette !!! C'est d'une simplicité enfantine.
rg
Michel Talon a écrit :
rg wrote:
Je suis le premier à dire sur un autre sujet que c'est justement un juge et pas un éditeur qui fait la loi. J'admet que pour le coup, j'ai mal choisi mes mots, mais tu as répondu à la partie la moins importante de mon intervention, j'aurais bien aimé une réponse sur le reste.
Je crois qu'il y a un point que tu ne saisis pas, dans le cas d'espèce l'éditeur ne fait pas la loi. Le contenu du CLUF n'est en rien une "loi". La loi, c'est simplement la loi générale sur le copyright qui dit que tu n'as aucun droit d'utiliser le logiciel de l'éditeur sans son autorisation. Il n'y a aucune autre loi que ça. Maintenant, pour donner son autorisation l'éditeur te demande de respecter certaines conditions (la licence, le contenu du CLUF) et en outre de le payer. Si tu acceptes ces conditions, c'est un contrat, tu as le droit d'utiliser le logiciel, sinon tu ne l'as pas. La loi n'a rien à voir dans la définition des termes d'un contrat, tant que les clauses ne sont pas illégales, ou dans des cas rarissimes jugées léonines dans un procés. Les termes d'un contrat n'appartiennnent qu'aux deux parties qui contractent. Rien n'empêche le contrat d'être entièrement défini par une des deux parties et accepté par l'autre, c'est extrêmement courant dans des tas de domaines. Ca ne rend pas les termes du contrat ni plus ni moins contractuels. Par contre, si, aprés avoir accepté un contrat, l'utilisateur se met à en violer les termes, c'est effectivement quelque chose de réprimé par la loi, l'autre partie peut demander des dommages, etc.
On est 100% d'accord.
Sauf que le cas du contrat léonin, c'est justement, ce qui me semble "plaidable".
Bref l'argument que tu donnes contre le CLUF ne tient pas du tout.
Ah ? Dans ce post, je parlais de séparation comptable de logiciel et matériel.
Dans un autre post j'ai parlé CLUF mais, et ce n'est pas pour être de mauvaise foi, je ne vois pas quel argument j'ai donné qui dirait le contraire de ce que tu dis là.
-- Régis (rg)
Michel Talon a écrit :
rg <regis-newsgroup@grison.org> wrote:
Je suis le premier à dire sur un autre sujet que c'est justement un juge
et pas un éditeur qui fait la loi. J'admet que pour le coup, j'ai mal
choisi mes mots, mais tu as répondu à la partie la moins importante de
mon intervention, j'aurais bien aimé une réponse sur le reste.
Je crois qu'il y a un point que tu ne saisis pas, dans le cas d'espèce
l'éditeur ne fait pas la loi. Le contenu du CLUF n'est en rien une
"loi". La loi, c'est simplement la loi générale sur le copyright qui
dit que tu n'as aucun droit d'utiliser le logiciel de l'éditeur sans son
autorisation. Il n'y a aucune autre loi que ça.
Maintenant, pour donner son autorisation l'éditeur te demande de
respecter certaines conditions (la licence, le contenu du CLUF) et en
outre de le payer. Si tu acceptes ces conditions, c'est un contrat, tu
as le droit d'utiliser le logiciel, sinon tu ne l'as pas.
La loi n'a rien à voir dans la définition des termes d'un contrat, tant
que les clauses ne sont pas illégales, ou dans des cas rarissimes jugées
léonines dans un procés. Les termes d'un contrat n'appartiennnent qu'aux
deux parties qui contractent. Rien n'empêche le contrat d'être
entièrement défini par une des deux parties et accepté par l'autre,
c'est extrêmement courant dans des tas de domaines. Ca ne rend pas les
termes du contrat ni plus ni moins contractuels.
Par contre, si, aprés avoir accepté un contrat, l'utilisateur se met à
en violer les termes, c'est effectivement quelque chose de réprimé par
la loi, l'autre partie peut demander des dommages, etc.
On est 100% d'accord.
Sauf que le cas du contrat léonin, c'est justement, ce qui me semble
"plaidable".
Bref l'argument que tu donnes contre le CLUF ne tient pas du tout.
Ah ? Dans ce post, je parlais de séparation comptable de logiciel et
matériel.
Dans un autre post j'ai parlé CLUF mais, et ce n'est pas pour être de
mauvaise foi, je ne vois pas quel argument j'ai donné qui dirait le
contraire de ce que tu dis là.
Je suis le premier à dire sur un autre sujet que c'est justement un juge et pas un éditeur qui fait la loi. J'admet que pour le coup, j'ai mal choisi mes mots, mais tu as répondu à la partie la moins importante de mon intervention, j'aurais bien aimé une réponse sur le reste.
Je crois qu'il y a un point que tu ne saisis pas, dans le cas d'espèce l'éditeur ne fait pas la loi. Le contenu du CLUF n'est en rien une "loi". La loi, c'est simplement la loi générale sur le copyright qui dit que tu n'as aucun droit d'utiliser le logiciel de l'éditeur sans son autorisation. Il n'y a aucune autre loi que ça. Maintenant, pour donner son autorisation l'éditeur te demande de respecter certaines conditions (la licence, le contenu du CLUF) et en outre de le payer. Si tu acceptes ces conditions, c'est un contrat, tu as le droit d'utiliser le logiciel, sinon tu ne l'as pas. La loi n'a rien à voir dans la définition des termes d'un contrat, tant que les clauses ne sont pas illégales, ou dans des cas rarissimes jugées léonines dans un procés. Les termes d'un contrat n'appartiennnent qu'aux deux parties qui contractent. Rien n'empêche le contrat d'être entièrement défini par une des deux parties et accepté par l'autre, c'est extrêmement courant dans des tas de domaines. Ca ne rend pas les termes du contrat ni plus ni moins contractuels. Par contre, si, aprés avoir accepté un contrat, l'utilisateur se met à en violer les termes, c'est effectivement quelque chose de réprimé par la loi, l'autre partie peut demander des dommages, etc.
On est 100% d'accord.
Sauf que le cas du contrat léonin, c'est justement, ce qui me semble "plaidable".
Bref l'argument que tu donnes contre le CLUF ne tient pas du tout.
Ah ? Dans ce post, je parlais de séparation comptable de logiciel et matériel.
Dans un autre post j'ai parlé CLUF mais, et ce n'est pas pour être de mauvaise foi, je ne vois pas quel argument j'ai donné qui dirait le contraire de ce que tu dis là.
-- Régis (rg)
talon
rg wrote:
Michel Talon a écrit :
Sauf que le cas du contrat léonin, c'est justement, ce qui me semble "plaidable".
Donc la question sera: combien de contrats ont été annulés pour clauses léonines? Certainement pas beaucoup, et dans des cas bien plus pathologiques que le cas présent. Car ce qui est central dans le droit des contrats c'est la liberté des contractants de contracter comme ils veulent, et en même temps la garantie qu'une fois le contrat conclu, la loi le fait respecter. Classiquement pour annuler un contrat il faut prouver qu'il y a eu "vice du consentement", erreur sur la nature du contrat, dol ou violence. Difficile de prétendre que c'est le cas ici. Commencer à évaluer si des clauses sont ou non léonines c'est introduire le "gouvernement des soviets" dans le monde de la "liberté parfaite". Personne n'aime ça, et il ne faut pas compter que ça va être prononcé à la légère.
--
Michel TALON
rg <regis-newsgroup@grison.org> wrote:
Michel Talon a écrit :
Sauf que le cas du contrat léonin, c'est justement, ce qui me semble
"plaidable".
Donc la question sera: combien de contrats ont été annulés pour clauses
léonines? Certainement pas beaucoup, et dans des cas bien plus
pathologiques que le cas présent. Car ce qui est central dans le droit
des contrats c'est la liberté des contractants de contracter comme ils
veulent, et en même temps la garantie qu'une fois le contrat conclu, la
loi le fait respecter. Classiquement pour annuler un contrat il faut
prouver qu'il y a eu "vice du consentement", erreur sur la nature du
contrat, dol ou violence. Difficile de prétendre que c'est le cas ici.
Commencer à évaluer si des clauses sont ou non léonines c'est introduire
le "gouvernement des soviets" dans le monde de la "liberté parfaite".
Personne n'aime ça, et il ne faut pas compter que ça va être prononcé à
la légère.
Sauf que le cas du contrat léonin, c'est justement, ce qui me semble "plaidable".
Donc la question sera: combien de contrats ont été annulés pour clauses léonines? Certainement pas beaucoup, et dans des cas bien plus pathologiques que le cas présent. Car ce qui est central dans le droit des contrats c'est la liberté des contractants de contracter comme ils veulent, et en même temps la garantie qu'une fois le contrat conclu, la loi le fait respecter. Classiquement pour annuler un contrat il faut prouver qu'il y a eu "vice du consentement", erreur sur la nature du contrat, dol ou violence. Difficile de prétendre que c'est le cas ici. Commencer à évaluer si des clauses sont ou non léonines c'est introduire le "gouvernement des soviets" dans le monde de la "liberté parfaite". Personne n'aime ça, et il ne faut pas compter que ça va être prononcé à la légère.
--
Michel TALON
Stephane TOUGARD
totof2000 wrote:
Euh .. Et installer l'OS sans poser la fameuse étiquette sur le boitier et laisser le soin au vendeur ou a l'acheteur de le faire ? S'il ne veut pas d'OS on lui donne pas l'étiquette !!! C'est d'une simplicité enfantine.
C'est surtout :
- un encouragement au piratage a grande echelle en distribuant a tout va du logiciel sans licence. - une infrastructure de gestion de licence qui n'apporte aucun gain a qui que ce soit.
totof2000 wrote:
Euh .. Et installer l'OS sans poser la fameuse étiquette sur le
boitier et laisser le soin au vendeur ou a l'acheteur de le faire ?
S'il ne veut pas d'OS on lui donne pas l'étiquette !!!
C'est d'une simplicité enfantine.
C'est surtout :
- un encouragement au piratage a grande echelle en distribuant a tout va
du logiciel sans licence.
- une infrastructure de gestion de licence qui n'apporte aucun gain a
qui que ce soit.
Euh .. Et installer l'OS sans poser la fameuse étiquette sur le boitier et laisser le soin au vendeur ou a l'acheteur de le faire ? S'il ne veut pas d'OS on lui donne pas l'étiquette !!! C'est d'une simplicité enfantine.
C'est surtout :
- un encouragement au piratage a grande echelle en distribuant a tout va du logiciel sans licence. - une infrastructure de gestion de licence qui n'apporte aucun gain a qui que ce soit.
Vivien Moreau
Regis a tapoté :
totof2000 a écrit : ../..
Si on avait quelque chose du genre /etc/X11, /bin/X11 et /lib/X11, ou à l'inverse /usr/X11/{bin, etc, lib}, là il y aurait logique claire. Mais en l'état actuel des choses il n'y en a pas.
La question est : doit-on considérer X11 comme faisant partie de l'OS ou comme un package additionnel ?
Ca c'est une bonne question ! Ou pourrais je trouver les standards de localisation des binaires sous Unix/Linux ?
Le FHS, par exemple : http://www.pathname.com/fhs/
[...]
-- Vivien Moreau / Tuxicomane
Regis <l.t.a.b@wanadoo.fr> a tapoté :
totof2000 a écrit :
../..
Si on avait quelque chose du genre /etc/X11, /bin/X11 et /lib/X11,
ou à l'inverse /usr/X11/{bin, etc, lib}, là il y aurait logique
claire. Mais en l'état actuel des choses il n'y en a pas.
La question est : doit-on considérer X11 comme faisant partie de l'OS
ou comme un package additionnel ?
Ca c'est une bonne question ! Ou pourrais je trouver les standards de
localisation des binaires sous Unix/Linux ?
Le FHS, par exemple :
http://www.pathname.com/fhs/
Si on avait quelque chose du genre /etc/X11, /bin/X11 et /lib/X11, ou à l'inverse /usr/X11/{bin, etc, lib}, là il y aurait logique claire. Mais en l'état actuel des choses il n'y en a pas.
La question est : doit-on considérer X11 comme faisant partie de l'OS ou comme un package additionnel ?
Ca c'est une bonne question ! Ou pourrais je trouver les standards de localisation des binaires sous Unix/Linux ?
Le FHS, par exemple : http://www.pathname.com/fhs/
[...]
-- Vivien Moreau / Tuxicomane
Cumbalero
Stephane TOUGARD a écrit :
- un encouragement au piratage a grande echelle en distribuant a tout va du logiciel sans licence.
Je serais curieux des résultats d'une enquête à grande échelle sur la possession réelle de licences pour les logiciels propriétaires installés chez les particuliers. C'est déjà la foire dans les entreprises...
Et bon, par chez toi, j'ai une idée du résultat.
A+ JF
Stephane TOUGARD a écrit :
- un encouragement au piratage a grande echelle en distribuant a tout va
du logiciel sans licence.
Je serais curieux des résultats d'une enquête à grande échelle sur la
possession réelle de licences pour les logiciels propriétaires installés
chez les particuliers. C'est déjà la foire dans les entreprises...
- un encouragement au piratage a grande echelle en distribuant a tout va du logiciel sans licence.
Je serais curieux des résultats d'une enquête à grande échelle sur la possession réelle de licences pour les logiciels propriétaires installés chez les particuliers. C'est déjà la foire dans les entreprises...
Et bon, par chez toi, j'ai une idée du résultat.
A+ JF
Doug713705
Le Wed, 22 Apr 2009 07:04:42 +0000, JKB a écrit dans news: des mots en forme de phrase pour nous dire :
Sauf que la plupart du temps, ta garantie est une garantie _constructeur_.
On est bien d'accord.
Pour ma part j'ai toujours agit directement auprès du constructeur et _jamais_ on en ma opposé que le système d'exploitation que j'utilisais ne convenait pas pour le matériel incriminé. A l'époque ou on ne parlait pas encore de Linux pour le grand public, Asus a même remplacé la carte mère d'un de mes portables et remonter soigneusement les disques durs dans la bête sans même un formatage. J'avais juste pris soin de signaler ce détail au préalable (un bête post-it sur le clavier signalant la présence d'un O.S. venu du froid)
-- @+ Doug - Linux user #307925 - Slamd64 roulaize ;-) [ Plus ou moins avec une chance de peut-être ]
Le Wed, 22 Apr 2009 07:04:42 +0000, JKB a écrit dans
news:slrngutgck.rt1.knatschke@rayleigh.systella.fr des mots en forme de
phrase pour nous dire :
Sauf que la plupart du temps, ta garantie est une garantie
_constructeur_.
On est bien d'accord.
Pour ma part j'ai toujours agit directement auprès du constructeur et
_jamais_ on en ma opposé que le système d'exploitation que j'utilisais ne
convenait pas pour le matériel incriminé.
A l'époque ou on ne parlait pas encore de Linux pour le grand public, Asus
a même remplacé la carte mère d'un de mes portables et remonter
soigneusement les disques durs dans la bête sans même un formatage.
J'avais juste pris soin de signaler ce détail au préalable (un bête post-it
sur le clavier signalant la présence d'un O.S. venu du froid)
--
@+
Doug - Linux user #307925 - Slamd64 roulaize ;-)
[ Plus ou moins avec une chance de peut-être ]
Le Wed, 22 Apr 2009 07:04:42 +0000, JKB a écrit dans news: des mots en forme de phrase pour nous dire :
Sauf que la plupart du temps, ta garantie est une garantie _constructeur_.
On est bien d'accord.
Pour ma part j'ai toujours agit directement auprès du constructeur et _jamais_ on en ma opposé que le système d'exploitation que j'utilisais ne convenait pas pour le matériel incriminé. A l'époque ou on ne parlait pas encore de Linux pour le grand public, Asus a même remplacé la carte mère d'un de mes portables et remonter soigneusement les disques durs dans la bête sans même un formatage. J'avais juste pris soin de signaler ce détail au préalable (un bête post-it sur le clavier signalant la présence d'un O.S. venu du froid)
-- @+ Doug - Linux user #307925 - Slamd64 roulaize ;-) [ Plus ou moins avec une chance de peut-être ]
Doug713705
Le Wed, 22 Apr 2009 10:03:15 +0800, Stephane TOUGARD a écrit dans news: des mots en forme de phrase pour nous dire :
Un ordinateur est un ensemble d'elements hardware et software pour fabriquer un produit fini qui fonctionne
Non pas dans le cas d'un PC. Pour un Atari ST, oui.
-- @+ Doug - Linux user #307925 - Slamd64 roulaize ;-) [ Plus ou moins avec une chance de peut-être ]
Le Wed, 22 Apr 2009 10:03:15 +0800, Stephane TOUGARD a écrit dans
news:2ga2c6-lma.ln1@gulliver.unices.org des mots en forme de phrase pour
nous dire :
Un ordinateur est un ensemble d'elements hardware et software pour
fabriquer un produit fini qui fonctionne
Non pas dans le cas d'un PC.
Pour un Atari ST, oui.
--
@+
Doug - Linux user #307925 - Slamd64 roulaize ;-)
[ Plus ou moins avec une chance de peut-être ]