famées). Ah, et les "virus" en question visait aussi bien (en fait aussi
mal) Linux que Windows. Au deuxième virus, j'ai d'ailleurs changer de
Est-ce que tu considères que les pilotes de périphériques font partie du
noyau ? Si oui, ce n'est plus le cas depuis plusieurs années déjà...
famées). Ah, et les "virus" en question visait aussi bien (en fait aussi
mal) Linux que Windows. Au deuxième virus, j'ai d'ailleurs changer de
Est-ce que tu considères que les pilotes de périphériques font partie du
noyau ? Si oui, ce n'est plus le cas depuis plusieurs années déjà...
famées). Ah, et les "virus" en question visait aussi bien (en fait aussi
mal) Linux que Windows. Au deuxième virus, j'ai d'ailleurs changer de
Est-ce que tu considères que les pilotes de périphériques font partie du
noyau ? Si oui, ce n'est plus le cas depuis plusieurs années déjà...
logiciel libre à Windows on peut carrément dire qu'un windows de base +
une offre logicielle sur un CD annexe permet d'avoir un système qui met la
paté à n'importe quelle distribution Linux.
Et moi, ça m'embarrasse...
logiciel libre à Windows on peut carrément dire qu'un windows de base +
une offre logicielle sur un CD annexe permet d'avoir un système qui met la
paté à n'importe quelle distribution Linux.
Et moi, ça m'embarrasse...
logiciel libre à Windows on peut carrément dire qu'un windows de base +
une offre logicielle sur un CD annexe permet d'avoir un système qui met la
paté à n'importe quelle distribution Linux.
Et moi, ça m'embarrasse...
D'accord, ce serait pour des raisons uniquement marketing. Et alors ?
Et alors ? Alors, ils continueront à faire de la merde.
Errare humanum est, ...
Sed persevere diabolicum :)
:~$ sed persevere diabolicum
D'accord, ce serait pour des raisons uniquement marketing. Et alors ?
Et alors ? Alors, ils continueront à faire de la merde.
Errare humanum est, ...
Sed persevere diabolicum :)
ego@machina:~$ sed persevere diabolicum
D'accord, ce serait pour des raisons uniquement marketing. Et alors ?
Et alors ? Alors, ils continueront à faire de la merde.
Errare humanum est, ...
Sed persevere diabolicum :)
:~$ sed persevere diabolicum
l'Administration, bin elle ne laisse pas le choix...
Comme dirais Stephane, tu peux toujours t'expatrier :-)
l'Administration, bin elle ne laisse pas le choix...
Comme dirais Stephane, tu peux toujours t'expatrier :-)
l'Administration, bin elle ne laisse pas le choix...
Comme dirais Stephane, tu peux toujours t'expatrier :-)
Et je ne parle pas de la diffusion de l'ouvre pour laquelle ils ont
contribué le morceau de code (qui est clairement sous GPL), mais des
autres ouvres parallèles de l'auteur original (désolé pour
l'expression malheureuse, j'espère que l'idée reste claire).
Ah bon, première nouvelle. Je croyais qu'on parlait du fait qu'un
auteur qui accepte une contribution tierce dans un code qu'il a
distribué sous GPL perd la possibilité de distribuer sous une autre
licence sans l'accord du contributeur.
Par ailleurs, j'ai du mal à imaginer l'applicabilité pratique de ce
que tu décris ; par contre, si on considère l'ouvre comme
collective, cela devient beaucoup plus facile à imaginer...
Le terme correct est oeuvre de collaboration, ce qui est différent
d'oeuvre collective. Et ça revient à ce que je dis : la diffusion
doit être autorisée par tous les auteurs.
Ça marche dans les deux sens : Toto Contributeur dit à l'auteur « tu
acceptes mon patch sous _mes_ conditions, et si tu n'es pas content
tu n'as qu'à refaire le boulot toi-même. ».
Euh, non, cela je ne le prends pas.
Pas compris. Qu'est-ce que tu ne prends pas ?
Mais si j'ai bien compris qu'en fait tu sous-entends « je contribue
à ton logiciel que sous la promesse que tu le gardes libre », pour
moi cela ne marche pas, en tous cas je ne trouve pas cela évident
(en droit, moralement c'est autre chose).
Non, ce n'est pas ça. Ce que c'est, c'est : « Je contribue à ton
logiciel, et si tu acceptes, ça devient _notre_ logiciel. Et je te
préviens, je n'accepterai pas d'autre licence que la GPL. ».
D'abord, je fais une différence à ce niveau entre un patch qui
précise explicitement (ou implicitement au travers des conditions du
projet, un peu genre le contrat Debian) "ce patch est placé sous
GPL", et un autre qui ne le fait pas. Dans la pratique, je vois
passer les deux.
Un patch à un logiciel sous GPL par quelqu'un d'autre que le
titulaire du copyright de la partie patchée est toujours
implicitement sous GPL, puisque la licence du logiciel interdit d'en
reditstribuer des versions modifiées autrement que sous GPL, et que
le patch est précisément une version modifiée.
Il est évidemment question de patches non triviaux.
Et je ne parle pas de la diffusion de l'ouvre pour laquelle ils ont
contribué le morceau de code (qui est clairement sous GPL), mais des
autres ouvres parallèles de l'auteur original (désolé pour
l'expression malheureuse, j'espère que l'idée reste claire).
Ah bon, première nouvelle. Je croyais qu'on parlait du fait qu'un
auteur qui accepte une contribution tierce dans un code qu'il a
distribué sous GPL perd la possibilité de distribuer sous une autre
licence sans l'accord du contributeur.
Par ailleurs, j'ai du mal à imaginer l'applicabilité pratique de ce
que tu décris ; par contre, si on considère l'ouvre comme
collective, cela devient beaucoup plus facile à imaginer...
Le terme correct est oeuvre de collaboration, ce qui est différent
d'oeuvre collective. Et ça revient à ce que je dis : la diffusion
doit être autorisée par tous les auteurs.
Ça marche dans les deux sens : Toto Contributeur dit à l'auteur « tu
acceptes mon patch sous _mes_ conditions, et si tu n'es pas content
tu n'as qu'à refaire le boulot toi-même. ».
Euh, non, cela je ne le prends pas.
Pas compris. Qu'est-ce que tu ne prends pas ?
Mais si j'ai bien compris qu'en fait tu sous-entends « je contribue
à ton logiciel que sous la promesse que tu le gardes libre », pour
moi cela ne marche pas, en tous cas je ne trouve pas cela évident
(en droit, moralement c'est autre chose).
Non, ce n'est pas ça. Ce que c'est, c'est : « Je contribue à ton
logiciel, et si tu acceptes, ça devient _notre_ logiciel. Et je te
préviens, je n'accepterai pas d'autre licence que la GPL. ».
D'abord, je fais une différence à ce niveau entre un patch qui
précise explicitement (ou implicitement au travers des conditions du
projet, un peu genre le contrat Debian) "ce patch est placé sous
GPL", et un autre qui ne le fait pas. Dans la pratique, je vois
passer les deux.
Un patch à un logiciel sous GPL par quelqu'un d'autre que le
titulaire du copyright de la partie patchée est toujours
implicitement sous GPL, puisque la licence du logiciel interdit d'en
reditstribuer des versions modifiées autrement que sous GPL, et que
le patch est précisément une version modifiée.
Il est évidemment question de patches non triviaux.
Et je ne parle pas de la diffusion de l'ouvre pour laquelle ils ont
contribué le morceau de code (qui est clairement sous GPL), mais des
autres ouvres parallèles de l'auteur original (désolé pour
l'expression malheureuse, j'espère que l'idée reste claire).
Ah bon, première nouvelle. Je croyais qu'on parlait du fait qu'un
auteur qui accepte une contribution tierce dans un code qu'il a
distribué sous GPL perd la possibilité de distribuer sous une autre
licence sans l'accord du contributeur.
Par ailleurs, j'ai du mal à imaginer l'applicabilité pratique de ce
que tu décris ; par contre, si on considère l'ouvre comme
collective, cela devient beaucoup plus facile à imaginer...
Le terme correct est oeuvre de collaboration, ce qui est différent
d'oeuvre collective. Et ça revient à ce que je dis : la diffusion
doit être autorisée par tous les auteurs.
Ça marche dans les deux sens : Toto Contributeur dit à l'auteur « tu
acceptes mon patch sous _mes_ conditions, et si tu n'es pas content
tu n'as qu'à refaire le boulot toi-même. ».
Euh, non, cela je ne le prends pas.
Pas compris. Qu'est-ce que tu ne prends pas ?
Mais si j'ai bien compris qu'en fait tu sous-entends « je contribue
à ton logiciel que sous la promesse que tu le gardes libre », pour
moi cela ne marche pas, en tous cas je ne trouve pas cela évident
(en droit, moralement c'est autre chose).
Non, ce n'est pas ça. Ce que c'est, c'est : « Je contribue à ton
logiciel, et si tu acceptes, ça devient _notre_ logiciel. Et je te
préviens, je n'accepterai pas d'autre licence que la GPL. ».
D'abord, je fais une différence à ce niveau entre un patch qui
précise explicitement (ou implicitement au travers des conditions du
projet, un peu genre le contrat Debian) "ce patch est placé sous
GPL", et un autre qui ne le fait pas. Dans la pratique, je vois
passer les deux.
Un patch à un logiciel sous GPL par quelqu'un d'autre que le
titulaire du copyright de la partie patchée est toujours
implicitement sous GPL, puisque la licence du logiciel interdit d'en
reditstribuer des versions modifiées autrement que sous GPL, et que
le patch est précisément une version modifiée.
Il est évidemment question de patches non triviaux.
Oui mais tu utilises Windows, donc tu peux crever, en l'ocurrence.
Parce que les gens sont extrèmement attachés à leurs habitudes,
surtout celles qui leur ont coûté.
Pour la plupart des gens, l'apprentissage des tâches windowsiennes
de base a été long et douloureux.
un changement un tant soit peu important (comme passer de windows à
KDE) est vécu comme intolérable.
C'est absolument indépendant de la qualité des logiciels;
Cette force de l'habitude est si extrème que les voitures
européennes n'ont toujours pas de boîte de vitesse automatique,
alors que ça existe depuis plus de 60 ans.
Une illustration dans joel on software de ce principe essentiel :
Oui mais tu utilises Windows, donc tu peux crever, en l'ocurrence.
Parce que les gens sont extrèmement attachés à leurs habitudes,
surtout celles qui leur ont coûté.
Pour la plupart des gens, l'apprentissage des tâches windowsiennes
de base a été long et douloureux.
un changement un tant soit peu important (comme passer de windows à
KDE) est vécu comme intolérable.
C'est absolument indépendant de la qualité des logiciels;
Cette force de l'habitude est si extrème que les voitures
européennes n'ont toujours pas de boîte de vitesse automatique,
alors que ça existe depuis plus de 60 ans.
Une illustration dans joel on software de ce principe essentiel :
Oui mais tu utilises Windows, donc tu peux crever, en l'ocurrence.
Parce que les gens sont extrèmement attachés à leurs habitudes,
surtout celles qui leur ont coûté.
Pour la plupart des gens, l'apprentissage des tâches windowsiennes
de base a été long et douloureux.
un changement un tant soit peu important (comme passer de windows à
KDE) est vécu comme intolérable.
C'est absolument indépendant de la qualité des logiciels;
Cette force de l'habitude est si extrème que les voitures
européennes n'ont toujours pas de boîte de vitesse automatique,
alors que ça existe depuis plus de 60 ans.
Une illustration dans joel on software de ce principe essentiel :
En gros tu t'en prends plein la gueule pour pas un rond et tu
n'as que l'option de te la fermer. Autrement dit estime-toi
heureux de ne pas avoir été là sur le coup.
C'est exactement ce qu'il a écrit.
En gros tu t'en prends plein la gueule pour pas un rond et tu
n'as que l'option de te la fermer. Autrement dit estime-toi
heureux de ne pas avoir été là sur le coup.
C'est exactement ce qu'il a écrit.
En gros tu t'en prends plein la gueule pour pas un rond et tu
n'as que l'option de te la fermer. Autrement dit estime-toi
heureux de ne pas avoir été là sur le coup.
C'est exactement ce qu'il a écrit.
Bin, en tant que contributeur je n'ai jamais vu la possibilité d'exprimer de
telles conditions... (ni la moindre condition, d'ailleurs.)
En gros, soit j'adhère intégralement à la charte ou les éléments disponibles
(qui ne constitue absolument pas un contrat), soit je n'envois pas.
Là, c'est clair, et effectivement si l'auteur accepte le patch l'ouvre est
verrouillée sous GPL (sauf postérieure rétractation explicite de Toto).
Non.
La diffusion par l'auteur du patch (Toto) de l'assemblage de la version
originale et de son patch est effectivement sous GPL (ce qui permet la
continuité du projet). Mais on ne parle pas de cela ici.
Parce que si ce que tu écrivais ci-dessus était correct, il serait
absolument impossible d'avoir des logiciels avec deux licences, GPL et autre
chose (disons MIT).
Bin, en tant que contributeur je n'ai jamais vu la possibilité d'exprimer de
telles conditions... (ni la moindre condition, d'ailleurs.)
En gros, soit j'adhère intégralement à la charte ou les éléments disponibles
(qui ne constitue absolument pas un contrat), soit je n'envois pas.
Là, c'est clair, et effectivement si l'auteur accepte le patch l'ouvre est
verrouillée sous GPL (sauf postérieure rétractation explicite de Toto).
Non.
La diffusion par l'auteur du patch (Toto) de l'assemblage de la version
originale et de son patch est effectivement sous GPL (ce qui permet la
continuité du projet). Mais on ne parle pas de cela ici.
Parce que si ce que tu écrivais ci-dessus était correct, il serait
absolument impossible d'avoir des logiciels avec deux licences, GPL et autre
chose (disons MIT).
Bin, en tant que contributeur je n'ai jamais vu la possibilité d'exprimer de
telles conditions... (ni la moindre condition, d'ailleurs.)
En gros, soit j'adhère intégralement à la charte ou les éléments disponibles
(qui ne constitue absolument pas un contrat), soit je n'envois pas.
Là, c'est clair, et effectivement si l'auteur accepte le patch l'ouvre est
verrouillée sous GPL (sauf postérieure rétractation explicite de Toto).
Non.
La diffusion par l'auteur du patch (Toto) de l'assemblage de la version
originale et de son patch est effectivement sous GPL (ce qui permet la
continuité du projet). Mais on ne parle pas de cela ici.
Parce que si ce que tu écrivais ci-dessus était correct, il serait
absolument impossible d'avoir des logiciels avec deux licences, GPL et autre
chose (disons MIT).
En news:, Emmanuel Florac va
escriure:
(...)
un changement un tant soit peu important (comme passer de windows à
KDE) est vécu comme intolérable.
Tu es insultant pour « la plupart des gens ».
Par ailleurs, en environnement d'entreprise, c'est souvent un changement
subi sans l'avoir voulu ni même avoir été consulté, ce qui crée (en France
surtout ;-) un mouvement de rejet.
Une illustration dans joel on software de ce principe essentiel :
Il dit à peu près exactement le contraire de toi : si les utilisateurs
rentrent comme dans un gant dans le nouveau paradigme, il n'y a aucun
problème. Adaptation que Windows (et les environnements KDE et Gnome) ont
bien proposés, progressivement, à leurs utilisateurs venant d'autres
horizons.
Un des problèmes avec l'interface Windows, c'est qu'il y a plusieurs
manières de faire quelque chose, et que l'imitateur n'imite que celle que
lui utilise, donc rate systématiquement celles qu'utilisent les autres.
(Cela attrape tout le monde, y compris ceux qui développent de nouveaux
logiciels pour Windows.) Le même problème existe dans l'autre sens
d'ailleurs, par exemple avec l'utilisation des trois boutons des souris dans
les interfaces X11.
En news:pan.2006.03.08.21.17.59.606197@imaginet.fr, Emmanuel Florac va
escriure:
(...)
un changement un tant soit peu important (comme passer de windows à
KDE) est vécu comme intolérable.
Tu es insultant pour « la plupart des gens ».
Par ailleurs, en environnement d'entreprise, c'est souvent un changement
subi sans l'avoir voulu ni même avoir été consulté, ce qui crée (en France
surtout ;-) un mouvement de rejet.
Une illustration dans joel on software de ce principe essentiel :
Il dit à peu près exactement le contraire de toi : si les utilisateurs
rentrent comme dans un gant dans le nouveau paradigme, il n'y a aucun
problème. Adaptation que Windows (et les environnements KDE et Gnome) ont
bien proposés, progressivement, à leurs utilisateurs venant d'autres
horizons.
Un des problèmes avec l'interface Windows, c'est qu'il y a plusieurs
manières de faire quelque chose, et que l'imitateur n'imite que celle que
lui utilise, donc rate systématiquement celles qu'utilisent les autres.
(Cela attrape tout le monde, y compris ceux qui développent de nouveaux
logiciels pour Windows.) Le même problème existe dans l'autre sens
d'ailleurs, par exemple avec l'utilisation des trois boutons des souris dans
les interfaces X11.
En news:, Emmanuel Florac va
escriure:
(...)
un changement un tant soit peu important (comme passer de windows à
KDE) est vécu comme intolérable.
Tu es insultant pour « la plupart des gens ».
Par ailleurs, en environnement d'entreprise, c'est souvent un changement
subi sans l'avoir voulu ni même avoir été consulté, ce qui crée (en France
surtout ;-) un mouvement de rejet.
Une illustration dans joel on software de ce principe essentiel :
Il dit à peu près exactement le contraire de toi : si les utilisateurs
rentrent comme dans un gant dans le nouveau paradigme, il n'y a aucun
problème. Adaptation que Windows (et les environnements KDE et Gnome) ont
bien proposés, progressivement, à leurs utilisateurs venant d'autres
horizons.
Un des problèmes avec l'interface Windows, c'est qu'il y a plusieurs
manières de faire quelque chose, et que l'imitateur n'imite que celle que
lui utilise, donc rate systématiquement celles qu'utilisent les autres.
(Cela attrape tout le monde, y compris ceux qui développent de nouveaux
logiciels pour Windows.) Le même problème existe dans l'autre sens
d'ailleurs, par exemple avec l'utilisation des trois boutons des souris dans
les interfaces X11.
Combien de fois ai-je entendu "non merci, je suis habitué à Windows, ça
me convient comme ça"...
Combien de fois ai-je entendu "non merci, je suis habitué à Windows, ça
me convient comme ça"...
Combien de fois ai-je entendu "non merci, je suis habitué à Windows, ça
me convient comme ça"...