Il y aura du cloud proprio comme il y aura du cloud libre. Ce que je
crois, c'est que le modèle du logiciel compilé en C/C++ qui se télécharge
et s'installe sur un OS donné, est définitivement dépassé.
Il y aura du cloud proprio comme il y aura du cloud libre. Ce que je
crois, c'est que le modèle du logiciel compilé en C/C++ qui se télécharge
et s'installe sur un OS donné, est définitivement dépassé.
Il y aura du cloud proprio comme il y aura du cloud libre. Ce que je
crois, c'est que le modèle du logiciel compilé en C/C++ qui se télécharge
et s'installe sur un OS donné, est définitivement dépassé.
Le 10-11-2016, Julien Arlandis nous expliquait dans
fr.comp.os.linux.debats
() :Le 10/11/2016 à 00:18, P4nd1-P4nd4 a écrit :http://www.techrepublic.com/article/open-source-pioneer-munich-debates-report-that-suggests-abandoning-linux-for-windows-10/
BOn, je dis pas hein je suis très content de mon Ubuntu sur lesque lje
viens d'installer le kernel low latency :>)
Le problème, ce n'est pas le système en lui-même, c'est le nombre
incaclulable d'applications métiers qui n'existent que sous Windows, et
encore que sous certaines versions de Windows, qui rendent l'exercice
difficile.
Moi-même je travaille souvent dans un environnement de 15 000 desktop,
et avec près de 1500 logiciels à gérer, vous n'imaginez pas la
galère...
Bon, je ne comprends toujours pas POURQUOI ils avaient encore fait leur
propre distro de Linux,,,
Le débat Linux vs Windows est dépassé, le cloud est en train de mettre
tout le monde d'accord dans la mesure où dans moins de 5 ans tous les
logiciels seront développées en SaaS.
Jusqu'au moment où on se souviendra qu'on ne peut pas garantir la
connectivité réseau à 100%.
Tout ça n'est qu'histoire de mode, on nous refait le coup du client
léger à la sauce 2.0. Dans 20 ans on nous dira que la souplesse
s'acquiert par la disponibilité des applications en dehors de toutes
dépendence au réseau et on sera reparti pour une migration dans l'autre
sens, jusqu'à ce que dans 40 ans des petits jeunes 3.0 viennent nous
dire de retourner sur le client léger jusqu'à ce que...
Il faut bien vendre du rêve sur papier glacé à des DSI...Le meilleur OS sera juste le meilleur navigateur du marché.
C'est bien le problème... Actuellement la vértitable question devant
l'état de l'offre des navigateurs c'eest plutôt "Lequel d'entre eux est
le moins pourris ?", ce qui n'est pas tout àa fait pareil ;-)
Le 10-11-2016, Julien Arlandis nous expliquait dans
fr.comp.os.linux.debats
(<ec7d601de706ea51f5896dd35879cb43d6645864@news.nemoweb.net>) :
Le 10/11/2016 à 00:18, P4nd1-P4nd4 a écrit :
http://www.techrepublic.com/article/open-source-pioneer-munich-debates-report-that-suggests-abandoning-linux-for-windows-10/
BOn, je dis pas hein je suis très content de mon Ubuntu sur lesque lje
viens d'installer le kernel low latency :>)
Le problème, ce n'est pas le système en lui-même, c'est le nombre
incaclulable d'applications métiers qui n'existent que sous Windows, et
encore que sous certaines versions de Windows, qui rendent l'exercice
difficile.
Moi-même je travaille souvent dans un environnement de 15 000 desktop,
et avec près de 1500 logiciels à gérer, vous n'imaginez pas la
galère...
Bon, je ne comprends toujours pas POURQUOI ils avaient encore fait leur
propre distro de Linux,,,
Le débat Linux vs Windows est dépassé, le cloud est en train de mettre
tout le monde d'accord dans la mesure où dans moins de 5 ans tous les
logiciels seront développées en SaaS.
Jusqu'au moment où on se souviendra qu'on ne peut pas garantir la
connectivité réseau à 100%.
Tout ça n'est qu'histoire de mode, on nous refait le coup du client
léger à la sauce 2.0. Dans 20 ans on nous dira que la souplesse
s'acquiert par la disponibilité des applications en dehors de toutes
dépendence au réseau et on sera reparti pour une migration dans l'autre
sens, jusqu'à ce que dans 40 ans des petits jeunes 3.0 viennent nous
dire de retourner sur le client léger jusqu'à ce que...
Il faut bien vendre du rêve sur papier glacé à des DSI...
Le meilleur OS sera juste le meilleur navigateur du marché.
C'est bien le problème... Actuellement la vértitable question devant
l'état de l'offre des navigateurs c'eest plutôt "Lequel d'entre eux est
le moins pourris ?", ce qui n'est pas tout àa fait pareil ;-)
Le 10-11-2016, Julien Arlandis nous expliquait dans
fr.comp.os.linux.debats
() :Le 10/11/2016 à 00:18, P4nd1-P4nd4 a écrit :http://www.techrepublic.com/article/open-source-pioneer-munich-debates-report-that-suggests-abandoning-linux-for-windows-10/
BOn, je dis pas hein je suis très content de mon Ubuntu sur lesque lje
viens d'installer le kernel low latency :>)
Le problème, ce n'est pas le système en lui-même, c'est le nombre
incaclulable d'applications métiers qui n'existent que sous Windows, et
encore que sous certaines versions de Windows, qui rendent l'exercice
difficile.
Moi-même je travaille souvent dans un environnement de 15 000 desktop,
et avec près de 1500 logiciels à gérer, vous n'imaginez pas la
galère...
Bon, je ne comprends toujours pas POURQUOI ils avaient encore fait leur
propre distro de Linux,,,
Le débat Linux vs Windows est dépassé, le cloud est en train de mettre
tout le monde d'accord dans la mesure où dans moins de 5 ans tous les
logiciels seront développées en SaaS.
Jusqu'au moment où on se souviendra qu'on ne peut pas garantir la
connectivité réseau à 100%.
Tout ça n'est qu'histoire de mode, on nous refait le coup du client
léger à la sauce 2.0. Dans 20 ans on nous dira que la souplesse
s'acquiert par la disponibilité des applications en dehors de toutes
dépendence au réseau et on sera reparti pour une migration dans l'autre
sens, jusqu'à ce que dans 40 ans des petits jeunes 3.0 viennent nous
dire de retourner sur le client léger jusqu'à ce que...
Il faut bien vendre du rêve sur papier glacé à des DSI...Le meilleur OS sera juste le meilleur navigateur du marché.
C'est bien le problème... Actuellement la vértitable question devant
l'état de l'offre des navigateurs c'eest plutôt "Lequel d'entre eux est
le moins pourris ?", ce qui n'est pas tout àa fait pareil ;-)
Le 10/11/2016 à 10:07, Doug713705 a écrit :Le 10-11-2016, Julien Arlandis nous expliquait dans
fr.comp.os.linux.debats
() :Le 10/11/2016 à 00:18, P4nd1-P4nd4 a écrit :http://www.techrepublic.com/article/open-source-pioneer-munich-debates-report-that-suggests-abandoning-linux-for-windows-10/
BOn, je dis pas hein je suis très content de mon Ubuntu sur lesque lje
viens d'installer le kernel low latency :>)
Le problème, ce n'est pas le système en lui-même, c'est le nombre
incaclulable d'applications métiers qui n'existent que sous Windows, et
encore que sous certaines versions de Windows, qui rendent l'exercice
difficile.
Moi-même je travaille souvent dans un environnement de 15 000 desktop,
et avec près de 1500 logiciels à gérer, vous n'imaginez pas la
galère...
Bon, je ne comprends toujours pas POURQUOI ils avaient encore fait leur
propre distro de Linux,,,
Le débat Linux vs Windows est dépassé, le cloud est en train de mettre
tout le monde d'accord dans la mesure où dans moins de 5 ans tous les
logiciels seront développées en SaaS.
Jusqu'au moment où on se souviendra qu'on ne peut pas garantir la
connectivité réseau à 100%.
Il faut voir le problème dans l'autre sens, ce n'est pas la connectivité
réseau à 100% qui va conditionner la transition vers le 100% cloud, c'est
au contraire la transition vers le 100% cloud et les objets connectés
(notamment les voitures connectées et autonomes) qui va apporter la
connectivité réseau à 100%.
Demain l'accès à internet sera fourni de base avec les équipements
connectés via la 5G, à terme il faudra une constellation de satellites
basses orbites pour assurer une couverture à 100% de la surface du globe.
Tout ça n'est qu'histoire de mode, on nous refait le coup du client
léger à la sauce 2.0. Dans 20 ans on nous dira que la souplesse
s'acquiert par la disponibilité des applications en dehors de toutes
dépendence au réseau et on sera reparti pour une migration dans l'autre
sens, jusqu'à ce que dans 40 ans des petits jeunes 3.0 viennent nous
dire de retourner sur le client léger jusqu'à ce que...
Non, ce n'est pas qu'une question de mode, mais de besoin économique et
social dans un monde où le stockage de l'information doit se
décentraliser pour permettre le travail collaboratif à distance, le
transport de marchandises et d'équipements autonomes via les drones, la
communication d'objets connectés et mobiles etc etc... Ces équipements
connectés peuvent eux même renforcer le maillage du réseau en devenant
des relais.
Le 10/11/2016 à 10:07, Doug713705 a écrit :
Le 10-11-2016, Julien Arlandis nous expliquait dans
fr.comp.os.linux.debats
(<ec7d601de706ea51f5896dd35879cb43d6645864@news.nemoweb.net>) :
Le 10/11/2016 à 00:18, P4nd1-P4nd4 a écrit :
http://www.techrepublic.com/article/open-source-pioneer-munich-debates-report-that-suggests-abandoning-linux-for-windows-10/
BOn, je dis pas hein je suis très content de mon Ubuntu sur lesque lje
viens d'installer le kernel low latency :>)
Le problème, ce n'est pas le système en lui-même, c'est le nombre
incaclulable d'applications métiers qui n'existent que sous Windows, et
encore que sous certaines versions de Windows, qui rendent l'exercice
difficile.
Moi-même je travaille souvent dans un environnement de 15 000 desktop,
et avec près de 1500 logiciels à gérer, vous n'imaginez pas la
galère...
Bon, je ne comprends toujours pas POURQUOI ils avaient encore fait leur
propre distro de Linux,,,
Le débat Linux vs Windows est dépassé, le cloud est en train de mettre
tout le monde d'accord dans la mesure où dans moins de 5 ans tous les
logiciels seront développées en SaaS.
Jusqu'au moment où on se souviendra qu'on ne peut pas garantir la
connectivité réseau à 100%.
Il faut voir le problème dans l'autre sens, ce n'est pas la connectivité
réseau à 100% qui va conditionner la transition vers le 100% cloud, c'est
au contraire la transition vers le 100% cloud et les objets connectés
(notamment les voitures connectées et autonomes) qui va apporter la
connectivité réseau à 100%.
Demain l'accès à internet sera fourni de base avec les équipements
connectés via la 5G, à terme il faudra une constellation de satellites
basses orbites pour assurer une couverture à 100% de la surface du globe.
Tout ça n'est qu'histoire de mode, on nous refait le coup du client
léger à la sauce 2.0. Dans 20 ans on nous dira que la souplesse
s'acquiert par la disponibilité des applications en dehors de toutes
dépendence au réseau et on sera reparti pour une migration dans l'autre
sens, jusqu'à ce que dans 40 ans des petits jeunes 3.0 viennent nous
dire de retourner sur le client léger jusqu'à ce que...
Non, ce n'est pas qu'une question de mode, mais de besoin économique et
social dans un monde où le stockage de l'information doit se
décentraliser pour permettre le travail collaboratif à distance, le
transport de marchandises et d'équipements autonomes via les drones, la
communication d'objets connectés et mobiles etc etc... Ces équipements
connectés peuvent eux même renforcer le maillage du réseau en devenant
des relais.
Le 10/11/2016 à 10:07, Doug713705 a écrit :Le 10-11-2016, Julien Arlandis nous expliquait dans
fr.comp.os.linux.debats
() :Le 10/11/2016 à 00:18, P4nd1-P4nd4 a écrit :http://www.techrepublic.com/article/open-source-pioneer-munich-debates-report-that-suggests-abandoning-linux-for-windows-10/
BOn, je dis pas hein je suis très content de mon Ubuntu sur lesque lje
viens d'installer le kernel low latency :>)
Le problème, ce n'est pas le système en lui-même, c'est le nombre
incaclulable d'applications métiers qui n'existent que sous Windows, et
encore que sous certaines versions de Windows, qui rendent l'exercice
difficile.
Moi-même je travaille souvent dans un environnement de 15 000 desktop,
et avec près de 1500 logiciels à gérer, vous n'imaginez pas la
galère...
Bon, je ne comprends toujours pas POURQUOI ils avaient encore fait leur
propre distro de Linux,,,
Le débat Linux vs Windows est dépassé, le cloud est en train de mettre
tout le monde d'accord dans la mesure où dans moins de 5 ans tous les
logiciels seront développées en SaaS.
Jusqu'au moment où on se souviendra qu'on ne peut pas garantir la
connectivité réseau à 100%.
Il faut voir le problème dans l'autre sens, ce n'est pas la connectivité
réseau à 100% qui va conditionner la transition vers le 100% cloud, c'est
au contraire la transition vers le 100% cloud et les objets connectés
(notamment les voitures connectées et autonomes) qui va apporter la
connectivité réseau à 100%.
Demain l'accès à internet sera fourni de base avec les équipements
connectés via la 5G, à terme il faudra une constellation de satellites
basses orbites pour assurer une couverture à 100% de la surface du globe.
Tout ça n'est qu'histoire de mode, on nous refait le coup du client
léger à la sauce 2.0. Dans 20 ans on nous dira que la souplesse
s'acquiert par la disponibilité des applications en dehors de toutes
dépendence au réseau et on sera reparti pour une migration dans l'autre
sens, jusqu'à ce que dans 40 ans des petits jeunes 3.0 viennent nous
dire de retourner sur le client léger jusqu'à ce que...
Non, ce n'est pas qu'une question de mode, mais de besoin économique et
social dans un monde où le stockage de l'information doit se
décentraliser pour permettre le travail collaboratif à distance, le
transport de marchandises et d'équipements autonomes via les drones, la
communication d'objets connectés et mobiles etc etc... Ces équipements
connectés peuvent eux même renforcer le maillage du réseau en devenant
des relais.
Bonjour,
Julien Arlandis wrote:Il y aura du cloud proprio comme il y aura du cloud libre. Ce que je
crois, c'est que le modèle du logiciel compilé en C/C++ qui se télécharge
et s'installe sur un OS donné, est définitivement dépassé.
Je doute que les applications qui tournent sur des supercalculateurs
monolithiques ou distribués soient déportées dans les nuages.
Le gros intérêt du calcul en nuage sera, à terme, de facturer l'usage du
logiciel et non son achat....
Cordialement
Dominique.
Bonjour,
Julien Arlandis wrote:
Il y aura du cloud proprio comme il y aura du cloud libre. Ce que je
crois, c'est que le modèle du logiciel compilé en C/C++ qui se télécharge
et s'installe sur un OS donné, est définitivement dépassé.
Je doute que les applications qui tournent sur des supercalculateurs
monolithiques ou distribués soient déportées dans les nuages.
Le gros intérêt du calcul en nuage sera, à terme, de facturer l'usage du
logiciel et non son achat....
Cordialement
Dominique.
Bonjour,
Julien Arlandis wrote:Il y aura du cloud proprio comme il y aura du cloud libre. Ce que je
crois, c'est que le modèle du logiciel compilé en C/C++ qui se télécharge
et s'installe sur un OS donné, est définitivement dépassé.
Je doute que les applications qui tournent sur des supercalculateurs
monolithiques ou distribués soient déportées dans les nuages.
Le gros intérêt du calcul en nuage sera, à terme, de facturer l'usage du
logiciel et non son achat....
Cordialement
Dominique.
Le 10-11-2016, Julien Arlandis nous expliquait dans
fr.comp.os.linux.debats
() :logiciels seront développées en SaaS.
Le meilleur OS sera juste le meilleur navigateur du marché.
Étant donné que les applications web sont déjà depuis plusieurs années
la principale méthode de développer des logiciels pour les entreprises
et qu'il reste plein de logiciels difficiles à migrer, ça m'étonnerait
que ça aille si vite.
S'ils ont des machines sous Windows NT, c'est que le renouvellement des
logiciels est beaucoup plus lent que ça.
Cela va aller beaucoup plus vite que vous ne sauriez l'imaginer, les
technologies, les équipements et les standards évoluent de concert vers
cet objectif convergent. Les navigateurs sont de plus en plus autonomes et
court circuitent petit à petit l'OS sur lequel ils se greffent. Chrome est
déjà un OS dans l'OS et même un OS tout court via le chromebook, avec un
rythme de croissance exponentiel, dans quelques mois à peine il sera
devenu l'OS le plus complet du marché et c'est sans compter sur le fait
que google est en train de fusionner Chrome OS avec Android.
Il faut savoir que les standards HTML5 viennent susceptibles de développer
correctement des webs apps viennent à peine d'être implémentés par les
principaux navigateurs, ce qui n'était pas encore possible en 2015 l'est
aujourd'hui et ce qui devrait l'être pour assurer le déploiement de
logiciels plus complexes le sera probablement au courant de l'année 2017
voire 2018.
Jusqu'à l'inévitable big fail du réseau qui mettra tout le monde sur la
paille...
Le 10-11-2016, Julien Arlandis nous expliquait dans
fr.comp.os.linux.debats
(<0971c3c9764e38c1c61c4074a61675b171a92bc7@news.nemoweb.net>) :
logiciels seront développées en SaaS.
Le meilleur OS sera juste le meilleur navigateur du marché.
Étant donné que les applications web sont déjà depuis plusieurs années
la principale méthode de développer des logiciels pour les entreprises
et qu'il reste plein de logiciels difficiles à migrer, ça m'étonnerait
que ça aille si vite.
S'ils ont des machines sous Windows NT, c'est que le renouvellement des
logiciels est beaucoup plus lent que ça.
Cela va aller beaucoup plus vite que vous ne sauriez l'imaginer, les
technologies, les équipements et les standards évoluent de concert vers
cet objectif convergent. Les navigateurs sont de plus en plus autonomes et
court circuitent petit à petit l'OS sur lequel ils se greffent. Chrome est
déjà un OS dans l'OS et même un OS tout court via le chromebook, avec un
rythme de croissance exponentiel, dans quelques mois à peine il sera
devenu l'OS le plus complet du marché et c'est sans compter sur le fait
que google est en train de fusionner Chrome OS avec Android.
Il faut savoir que les standards HTML5 viennent susceptibles de développer
correctement des webs apps viennent à peine d'être implémentés par les
principaux navigateurs, ce qui n'était pas encore possible en 2015 l'est
aujourd'hui et ce qui devrait l'être pour assurer le déploiement de
logiciels plus complexes le sera probablement au courant de l'année 2017
voire 2018.
Jusqu'à l'inévitable big fail du réseau qui mettra tout le monde sur la
paille...
Le 10-11-2016, Julien Arlandis nous expliquait dans
fr.comp.os.linux.debats
() :logiciels seront développées en SaaS.
Le meilleur OS sera juste le meilleur navigateur du marché.
Étant donné que les applications web sont déjà depuis plusieurs années
la principale méthode de développer des logiciels pour les entreprises
et qu'il reste plein de logiciels difficiles à migrer, ça m'étonnerait
que ça aille si vite.
S'ils ont des machines sous Windows NT, c'est que le renouvellement des
logiciels est beaucoup plus lent que ça.
Cela va aller beaucoup plus vite que vous ne sauriez l'imaginer, les
technologies, les équipements et les standards évoluent de concert vers
cet objectif convergent. Les navigateurs sont de plus en plus autonomes et
court circuitent petit à petit l'OS sur lequel ils se greffent. Chrome est
déjà un OS dans l'OS et même un OS tout court via le chromebook, avec un
rythme de croissance exponentiel, dans quelques mois à peine il sera
devenu l'OS le plus complet du marché et c'est sans compter sur le fait
que google est en train de fusionner Chrome OS avec Android.
Il faut savoir que les standards HTML5 viennent susceptibles de développer
correctement des webs apps viennent à peine d'être implémentés par les
principaux navigateurs, ce qui n'était pas encore possible en 2015 l'est
aujourd'hui et ce qui devrait l'être pour assurer le déploiement de
logiciels plus complexes le sera probablement au courant de l'année 2017
voire 2018.
Jusqu'à l'inévitable big fail du réseau qui mettra tout le monde sur la
paille...
Le 10/11/2016 à 10:07, Doug713705 a écrit :Le 10-11-2016, Julien Arlandis nous expliquait dans
fr.comp.os.linux.debats
() :Le 10/11/2016 à 00:18, P4nd1-P4nd4 a écrit :http://www.techrepublic.com/article/open-source-pioneer-munich-debates-report-that-suggests-abandoning-linux-for-windows-10/
BOn, je dis pas hein je suis très content de mon Ubuntu sur lesque lje
viens d'installer le kernel low latency :>)
Le problème, ce n'est pas le système en lui-même, c'est le nombre
incaclulable d'applications métiers qui n'existent que sous Windows, et
encore que sous certaines versions de Windows, qui rendent l'exercice
difficile.
Moi-même je travaille souvent dans un environnement de 15 000 desktop,
et avec près de 1500 logiciels à gérer, vous n'imaginez pas la
galère...
Bon, je ne comprends toujours pas POURQUOI ils avaient encore fait leur
propre distro de Linux,,,
Le débat Linux vs Windows est dépassé, le cloud est en train de mettre
tout le monde d'accord dans la mesure où dans moins de 5 ans tous les
logiciels seront développées en SaaS.
Jusqu'au moment où on se souviendra qu'on ne peut pas garantir la
connectivité réseau à 100%.
Il faut voir le problème dans l'autre sens, ce n'est pas la connectivité
réseau à 100% qui va conditionner la transition vers le 100% cloud, c'est
au contraire la transition vers le 100% cloud et les objets connectés
(notamment les voitures connectées et autonomes) qui va apporter la
connectivité réseau à 100%.
Demain l'accès à internet sera fourni de base avec les équipements
connectés via la 5G, à terme il faudra une constellation de satellites
basses orbites pour assurer une couverture à 100% de la surface du globe.
Tout ça n'est qu'histoire de mode, on nous refait le coup du client
léger à la sauce 2.0. Dans 20 ans on nous dira que la souplesse
s'acquiert par la disponibilité des applications en dehors de toutes
dépendence au réseau et on sera reparti pour une migration dans l'autre
sens, jusqu'à ce que dans 40 ans des petits jeunes 3.0 viennent nous
dire de retourner sur le client léger jusqu'à ce que...
Non, ce n'est pas qu'une question de mode, mais de besoin économique et
social dans un monde où le stockage de l'information doit se
décentraliser pour permettre le travail collaboratif à distance, le
transport de marchandises et d'équipements autonomes via les drones, la
communication d'objets connectés et mobiles etc etc... Ces équipements
connectés peuvent eux même renforcer le maillage du réseau en devenant
des relais.
Le 10/11/2016 à 10:07, Doug713705 a écrit :
Le 10-11-2016, Julien Arlandis nous expliquait dans
fr.comp.os.linux.debats
(<ec7d601de706ea51f5896dd35879cb43d6645864@news.nemoweb.net>) :
Le 10/11/2016 à 00:18, P4nd1-P4nd4 a écrit :
http://www.techrepublic.com/article/open-source-pioneer-munich-debates-report-that-suggests-abandoning-linux-for-windows-10/
BOn, je dis pas hein je suis très content de mon Ubuntu sur lesque lje
viens d'installer le kernel low latency :>)
Le problème, ce n'est pas le système en lui-même, c'est le nombre
incaclulable d'applications métiers qui n'existent que sous Windows, et
encore que sous certaines versions de Windows, qui rendent l'exercice
difficile.
Moi-même je travaille souvent dans un environnement de 15 000 desktop,
et avec près de 1500 logiciels à gérer, vous n'imaginez pas la
galère...
Bon, je ne comprends toujours pas POURQUOI ils avaient encore fait leur
propre distro de Linux,,,
Le débat Linux vs Windows est dépassé, le cloud est en train de mettre
tout le monde d'accord dans la mesure où dans moins de 5 ans tous les
logiciels seront développées en SaaS.
Jusqu'au moment où on se souviendra qu'on ne peut pas garantir la
connectivité réseau à 100%.
Il faut voir le problème dans l'autre sens, ce n'est pas la connectivité
réseau à 100% qui va conditionner la transition vers le 100% cloud, c'est
au contraire la transition vers le 100% cloud et les objets connectés
(notamment les voitures connectées et autonomes) qui va apporter la
connectivité réseau à 100%.
Demain l'accès à internet sera fourni de base avec les équipements
connectés via la 5G, à terme il faudra une constellation de satellites
basses orbites pour assurer une couverture à 100% de la surface du globe.
Tout ça n'est qu'histoire de mode, on nous refait le coup du client
léger à la sauce 2.0. Dans 20 ans on nous dira que la souplesse
s'acquiert par la disponibilité des applications en dehors de toutes
dépendence au réseau et on sera reparti pour une migration dans l'autre
sens, jusqu'à ce que dans 40 ans des petits jeunes 3.0 viennent nous
dire de retourner sur le client léger jusqu'à ce que...
Non, ce n'est pas qu'une question de mode, mais de besoin économique et
social dans un monde où le stockage de l'information doit se
décentraliser pour permettre le travail collaboratif à distance, le
transport de marchandises et d'équipements autonomes via les drones, la
communication d'objets connectés et mobiles etc etc... Ces équipements
connectés peuvent eux même renforcer le maillage du réseau en devenant
des relais.
Le 10/11/2016 à 10:07, Doug713705 a écrit :Le 10-11-2016, Julien Arlandis nous expliquait dans
fr.comp.os.linux.debats
() :Le 10/11/2016 à 00:18, P4nd1-P4nd4 a écrit :http://www.techrepublic.com/article/open-source-pioneer-munich-debates-report-that-suggests-abandoning-linux-for-windows-10/
BOn, je dis pas hein je suis très content de mon Ubuntu sur lesque lje
viens d'installer le kernel low latency :>)
Le problème, ce n'est pas le système en lui-même, c'est le nombre
incaclulable d'applications métiers qui n'existent que sous Windows, et
encore que sous certaines versions de Windows, qui rendent l'exercice
difficile.
Moi-même je travaille souvent dans un environnement de 15 000 desktop,
et avec près de 1500 logiciels à gérer, vous n'imaginez pas la
galère...
Bon, je ne comprends toujours pas POURQUOI ils avaient encore fait leur
propre distro de Linux,,,
Le débat Linux vs Windows est dépassé, le cloud est en train de mettre
tout le monde d'accord dans la mesure où dans moins de 5 ans tous les
logiciels seront développées en SaaS.
Jusqu'au moment où on se souviendra qu'on ne peut pas garantir la
connectivité réseau à 100%.
Il faut voir le problème dans l'autre sens, ce n'est pas la connectivité
réseau à 100% qui va conditionner la transition vers le 100% cloud, c'est
au contraire la transition vers le 100% cloud et les objets connectés
(notamment les voitures connectées et autonomes) qui va apporter la
connectivité réseau à 100%.
Demain l'accès à internet sera fourni de base avec les équipements
connectés via la 5G, à terme il faudra une constellation de satellites
basses orbites pour assurer une couverture à 100% de la surface du globe.
Tout ça n'est qu'histoire de mode, on nous refait le coup du client
léger à la sauce 2.0. Dans 20 ans on nous dira que la souplesse
s'acquiert par la disponibilité des applications en dehors de toutes
dépendence au réseau et on sera reparti pour une migration dans l'autre
sens, jusqu'à ce que dans 40 ans des petits jeunes 3.0 viennent nous
dire de retourner sur le client léger jusqu'à ce que...
Non, ce n'est pas qu'une question de mode, mais de besoin économique et
social dans un monde où le stockage de l'information doit se
décentraliser pour permettre le travail collaboratif à distance, le
transport de marchandises et d'équipements autonomes via les drones, la
communication d'objets connectés et mobiles etc etc... Ces équipements
connectés peuvent eux même renforcer le maillage du réseau en devenant
des relais.
Dominique MICOLLET vient de nous annoncer :Bonjour,
Julien Arlandis wrote:Il y aura du cloud proprio comme il y aura du cloud libre. Ce que je
crois, c'est que le modèle du logiciel compilé en C/C++ qui se télécharge
et s'installe sur un OS donné, est définitivement dépassé.
Je doute que les applications qui tournent sur des supercalculateurs
monolithiques ou distribués soient déportées dans les nuages.
Le gros intérêt du calcul en nuage sera, à terme, de facturer l'usage du
logiciel et non son achat....
ca ils ont déja commencés, autodesk aujourdhui ne vend plus de soft
avec licence permanente, ils imposent un abonnement renouvelable avec
autorisation en ligne, ce qui pose pas mal de probleme aux boites de
prods, genre quand tu as 150 employés qui attendent presque une heure
que le serveur de licence réponde quand ils veulent ouvrir leurs soft
de 3D.
Dominique MICOLLET vient de nous annoncer :
Bonjour,
Julien Arlandis wrote:
Il y aura du cloud proprio comme il y aura du cloud libre. Ce que je
crois, c'est que le modèle du logiciel compilé en C/C++ qui se télécharge
et s'installe sur un OS donné, est définitivement dépassé.
Je doute que les applications qui tournent sur des supercalculateurs
monolithiques ou distribués soient déportées dans les nuages.
Le gros intérêt du calcul en nuage sera, à terme, de facturer l'usage du
logiciel et non son achat....
ca ils ont déja commencés, autodesk aujourdhui ne vend plus de soft
avec licence permanente, ils imposent un abonnement renouvelable avec
autorisation en ligne, ce qui pose pas mal de probleme aux boites de
prods, genre quand tu as 150 employés qui attendent presque une heure
que le serveur de licence réponde quand ils veulent ouvrir leurs soft
de 3D.
Dominique MICOLLET vient de nous annoncer :Bonjour,
Julien Arlandis wrote:Il y aura du cloud proprio comme il y aura du cloud libre. Ce que je
crois, c'est que le modèle du logiciel compilé en C/C++ qui se télécharge
et s'installe sur un OS donné, est définitivement dépassé.
Je doute que les applications qui tournent sur des supercalculateurs
monolithiques ou distribués soient déportées dans les nuages.
Le gros intérêt du calcul en nuage sera, à terme, de facturer l'usage du
logiciel et non son achat....
ca ils ont déja commencés, autodesk aujourdhui ne vend plus de soft
avec licence permanente, ils imposent un abonnement renouvelable avec
autorisation en ligne, ce qui pose pas mal de probleme aux boites de
prods, genre quand tu as 150 employés qui attendent presque une heure
que le serveur de licence réponde quand ils veulent ouvrir leurs soft
de 3D.
Quand on voit le massacre qu'est en train de devenir l'IoT, il ya de
quoi rester dubitatif voire inquiet et dans tous les cas prudents.
Ce modèle du tout connecté est intrinsèquement techniquement beaucoup
trop fragile và tout un tas d'endroits, de la sécurité à la couverture.
Et si à terme il faut une constellation de satellites en orbite basse,
alors on a encore du temps devant nous parce que jusqu'à preuve du
contraire on envoit pas des satellites comme on claque des doigts.
Zuckerberg et Elon Musk viennent de le comprendre ;-)
Quand on voit le massacre qu'est en train de devenir l'IoT, il ya de
quoi rester dubitatif voire inquiet et dans tous les cas prudents.
Ce modèle du tout connecté est intrinsèquement techniquement beaucoup
trop fragile và tout un tas d'endroits, de la sécurité à la couverture.
Et si à terme il faut une constellation de satellites en orbite basse,
alors on a encore du temps devant nous parce que jusqu'à preuve du
contraire on envoit pas des satellites comme on claque des doigts.
Zuckerberg et Elon Musk viennent de le comprendre ;-)
Quand on voit le massacre qu'est en train de devenir l'IoT, il ya de
quoi rester dubitatif voire inquiet et dans tous les cas prudents.
Ce modèle du tout connecté est intrinsèquement techniquement beaucoup
trop fragile và tout un tas d'endroits, de la sécurité à la couverture.
Et si à terme il faut une constellation de satellites en orbite basse,
alors on a encore du temps devant nous parce que jusqu'à preuve du
contraire on envoit pas des satellites comme on claque des doigts.
Zuckerberg et Elon Musk viennent de le comprendre ;-)
Pour lancer
les satellites, ils avaient pris langue avec les russes pour
recycler leurs canons géants... La mise en orbite basse de
satellites avec des canons lanceurs de missile, c'était grandiose.
Pour lancer
les satellites, ils avaient pris langue avec les russes pour
recycler leurs canons géants... La mise en orbite basse de
satellites avec des canons lanceurs de missile, c'était grandiose.
Pour lancer
les satellites, ils avaient pris langue avec les russes pour
recycler leurs canons géants... La mise en orbite basse de
satellites avec des canons lanceurs de missile, c'était grandiose.
Bonjour,
JKB wrote:Pour lancer
les satellites, ils avaient pris langue avec les russes pour
recycler leurs canons géants... La mise en orbite basse de
satellites avec des canons lanceurs de missile, c'était grandiose.
Euh... comme dans "De la terre à lune" de Jules VERNE ?
Bonjour,
JKB wrote:
Pour lancer
les satellites, ils avaient pris langue avec les russes pour
recycler leurs canons géants... La mise en orbite basse de
satellites avec des canons lanceurs de missile, c'était grandiose.
Euh... comme dans "De la terre à lune" de Jules VERNE ?
Bonjour,
JKB wrote:Pour lancer
les satellites, ils avaient pris langue avec les russes pour
recycler leurs canons géants... La mise en orbite basse de
satellites avec des canons lanceurs de missile, c'était grandiose.
Euh... comme dans "De la terre à lune" de Jules VERNE ?